tag:blogger.com,1999:blog-56409551369198235052024-02-22T07:20:09.301-08:00ELOGES DES SENSEloge des sens, éloge des plaisirs, éloge de plein d'autres choses....ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.comBlogger116125truetag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-71479518213429420722024-02-22T07:19:00.000-08:002024-02-22T07:19:15.518-08:00<p> </p><p align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm;">
<span style="font-family: Arial Rounded MT Bold, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Alain
Eloge</span></span></p>
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<p align="center"><span style="font-family: Arial Rounded MT Bold, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les
belles histoires du °Père Castor</span></span></p>
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<p align="center"><span style="font-family: Arial Rounded MT Bold, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Panpan
éditions<br />
2020</span></span></p>
<h1 align="center" class="western"></h1>
<h1 align="center" class="western"></h1>
<h2 align="center" class="western"><a name="__RefHeading___Toc1994_2007316307"></a>
Livre 3</h2>
<h2 align="center" class="western"><a name="__RefHeading___Toc335_1146721603"></a>
Les mémoires du Père Castor</h2>
<p style="margin-left: 2cm; text-indent: 1.8cm;"> </p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1996_2007316307"></a>Préambule</h3>
<p style="margin-left: 2cm;">Dans ses « mémoires de guerre »,
le Général De Gaulle se qualifiait de « <i>vieil homme, recru
d’épreuves</i> ». Le Père Castor, qui apprécie les belles
lettres, aurait pu reprendre au moins une partie de la phrase à
son compte. Puisqu’en effet, il est aujourd’hui un vieil homme.
Et que, récemment, d’innocentes questions de la petite
Pomme, sa petite fille<a class="sdendnoteanc" href="#sdendnote1sym" name="sdendnote1anc"><sup>i</sup></a>,
l’ont amené à se remémorer son passé, et plus particulièrement
son passé de passionné de la fessée. Pourtant, toujours attentif à
l’exactitude des mots, il a estimé que l’adjectif « recru »
n’était probablement pas le plus adapté en la circonstance. En
effet, quoiqu’il ait pratiqué la chose fort longtemps, il ne se
sent en rien <i>«harassé, las, exténué »</i>et encore moins
<i>« accablé, submergé » </i>par celle-ci. Bien au
contraire, elle continue à faire partie de sa vie fantasmatique,
mais aussi, quand l’occasion s’en présente, bien concrète.
Ainsi, les souvenirs des fessées conjugales anciennes, celles de
fessées données ici où là à d’autres, se mêlent-ils à ceux,
plus récents, de rencontres qui, malgré son âge, lui ont fait
découvrir de nouvelles facettes de cette pratique.</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc548_665717933"></a> Chapitre
1<sup>er<br />
</sup>La maman fessée.</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1399_1696820252"></a>Découvertes</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">La curiosité enfantine de Pomme l’a
amené<span style="background: transparent;"> à </span><span style="background: transparent;">se
souvenir</span><span style="background: #ffff66;">,</span> jusque dans
les détails les plus croustillants, les fessées qu’il a flanquées
naguère à son épouse, et à d’autres « jeunes dames »
ainsi qu’il a coutume d’appeler celles dont il rougit les fesses
quel que soit leur âge. Mais cette conversation pour le moins peu
conventionnelle l’a aussi amené à « prendre en main »
la maman d’une autre petite fille au nom de fruit, le petite
Framboise. La maman de celle-ci, charmante jeune femme à la peau
blanche constellée - jusque dans la partie concernée par les
activités claquantes du Père Castor- de taches de rousseur du
plus joli effet se trouvait être aussi une de ces anciennes élèves.
<br />
Il avait fessé d’importance cette jeune maman avec
délectation, et il avait pu constater du bout des doigts que la
donzelle avait été aussi pour le moins troublée par l’expérience.
Pourtant, fidèle à des principes qu’il s’imposait de lui-même,
il n’y avait eu entre eux que cette fessée magistrale. A ses yeux,
il était exclu qu’elle soit suivie de ces activités sensuelles
qui concluaient immanquablement les fessées conjugales ou celles
qu’il lui était arrivé de donner à des « jeunes dames »
de rencontre. Et il en avait été de même pour les fessées dont il
avait continué à gratifier l’arrière train de la jeune
maman.. En effet, la jeune dame était revenue, de son plein gré
bien évidemment, et en ayant très bien compris que ses visites chez
le Père Castor auraient des conséquences claquantes pour son
postérieur.</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc343_1146721603"></a></h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc345_1146721603"></a>Ca
fait mal ...</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">Lors de sa première visite, elle avait
découvert d’abord qu’une fessée, eh bien ça fait terriblement
mal au derrière. Pourtant, si elle avait hésité si longtemps avant
de se résoudre à se rendre à l’invitation du Père Castor, ce
n’était pas par crainte de la douleur. A vrai dire, elle n’avait
pas vraiment pensé à celle-ci. Mais l’idée même d’être
« punie » comme une gamine, elle qui était une femme
adulte et responsable, lui avait longtemps paru tellement folle
qu’elle lui semblait de l’ordre impossible. Pourtant, elle
s’était bel et bien retrouvée un matin chez lui et avait dû se
résoudre à lui exprimer en des termes dépourvus d’ambiguïté
qu’elle était bien là pour recevoir une fessée. Et elle l’avait
reçue, et de la belle manière. Après que celui qui était ainsi
devenu son initiateur l’ait troussée et déculottée. Elle, plutôt
pudique bien que pas vraiment pudibonde, avait bel et bien exposé
son derrière au regard du vieux monsieur. Elle ne pouvait par
ailleurs pas ignorer <span style="background: transparent;">qu</span><span style="background: transparent;">e,
</span><span style="background: transparent;">alors</span><span style="background: transparent;">
elle</span><span style="background: transparent;"> </span>gigotait
sous l’averse de claques qui lui brûlait les fesses, elle avait
aussi laissé voir le plus intime d’elle même. Cependant, elle
n’avait pas vraiment été honteuse. Et encore moins humiliée.
Certes, elle en était consciente, elle avait bien montré son cul à
cet homme, et de sa propre volonté. Il ne l’avait en rien
contrainte. Mais en même temps, elle avait le sentiment d’y avoir
été obligée. Non qu’il ait exercé quelque pression que ce soit
pour arriver à ses fins ; mais tout simplement parce que- la
chose lui apparaissait comme une sorte d’évidence - il fallait
bien être cul nu pour recevoir une fessée. Or, elle en était
maintenant persuadée, cette fessée, elle en avait eu besoin. Besoin
et non « envie ».</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc550_665717933"></a>Le
besoin</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">Le jour où, alors qu’elle lui faisait
part de ses écarts de conduite quand elle était plus jeune, elle
avait convenu qu’elle <i>« aurait peut-être fait moins de
bêtises » </i>naguère si ses parents avaient été plus
sévères. En effet, ceux-ci, à la différence de beaucoup de
parents de l’époque où elle était enfant, chez lesquels il lui
était arrivé de voir un martinet pendu dans la cuisine, n’avaient
jamais utilisé le classique « panpan cucu » à son
encontre. L’ancien maître d’école lui avait alors asséné
sans détour que lui, à leur place, lui aurait flanqué <i>« une
fessée d’anthologie » </i>- elle se souvenait des mots
employés – après laquelle « <i>elle n’aurait
pu s’asseoir pendant un bon bout de temps</i> ».</p>
<p style="margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Dès
cet</span><span style="background: transparent;"> instant, </span>l’idée
de la fessée s’était en quelque sorte immiscée en elle. Jusqu’à
l’amener, un matin, à venir, le cœur battant, sonner à la porte
du Père Castor, qui n’en espérait pas tant, un peu comme un
agneau qui se présenterait volontairement à la porte de
l’abattoir, ou à celle du loup. Certes, cette fessée, la première
de sa vie, lui avait fait mal, très mal. Certes, elle n’avait
pu réprimer ni ses cris de douleur, ni les mouvements convulsifs et
désordonnés de ses jambes, ni les larmes qui avaient coulées sur
ses joues. Mais, une fois la fessée terminée, quand elle eut remis
se culotte et rabattu sa jupe, alors qu’elle retournait chez elle,
elle s’était sentie emplie d’une sorte de sérénité absolue.
Elle avait pris sa trempe, elle avait été fessée cul nu, elle
sentait ses fesses chaudes et douloureuses sous sa jupe, et elle
était dans un état de quiétude qu’elle ne se souvenait pas
d’avoir connu. Sans qu’elle puisse mettre des mots sur ses
sentiments, il lui semblait que cette fessée lui avait été non
seulement bénéfique, mais aussi nécessaire. Par ailleurs, elle ne
pouvait se cacher que, quelle qu’ait été la douleur, elle s’était
accompagnée d’un tout autre ressenti. Du reste – et c’était
le seul geste qui, en d’autres circonstances, aurait pu être
interprété comme une tentative d’abus - quand le Père Castor
avait constaté son émotion en glissant un doigt inquisiteur au plus
intime d’elle-même, celle-ci, elle le savait, était plus
qu’humide. Eh oui, il aurait été malhonnête de se le cacher à
elle-même, recevoir cette fessée l’avait fait mouiller !
Elle était pourtant reconnaissante au Père Castor de n’avoir rien
tenté pour profiter de son trouble, et d’avoir conservé la même
attitude lors de leurs rencontres ultérieures.</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc552_665717933"></a> De
la brosse</h4>
<p style="margin-left: 2cm;"> Puisqu’en effet, la jeune dame
était revenue régulièrement se faire claquer le popotin par le
vieux monsieur. Qui lui avait fait découvrir aussi, progressivement
et en étant, elle le sentait bien, attentif à ne pas brûler les
étapes, la morsure du martinet, celle de la fameuse ceinture de
cuir, pareille à celle qui, naguère s’était si souvent abattue
sur le postérieur de son épouse, ou la rudesse du dos d’une
brosse à cheveux qu’il lui avait prié de ramener elle même. La
demande l’avait fait sourire, le crâne chauve du Père Castor lui
rendant en effet cet ustensile peu utile. Mais elle avait cependant
répondu à son attente et, lors d’une séance ultérieure, elle
avait, sans un mot de commentaire, déposé sur la table basse du
salon la brosse dont elle avait constaté le jour même la brutalité
des impacts sur son derrière. Elle n’aurait su dire si cet
instrument contondant faisait « plus » ou « moins »
mal aux fesses que les lanières du martinet ou la ceinture de cuir.
Le ressenti en était en tous cas différent. Et les conséquences
aussi. Elle constaté, à son retour chez elle, dans le miroir de la
salle de bain, que son derrière était marqué par de fines zébrures
laissées par les lanières, ou par des marques plus larges causées
par la large bande de cuir. Comme elle avait bien sûr remarqué, dès
le premier jour, que son postérieur restait rouge plusieurs heures
après la fessée, même uniquement donnée de la large main du père
Castor. Mais elle avait été stupéfaite de la couleur de son
popotin après la première raclée à la brosse. Il était tellement
rouge, tellement chaud, tellement uniformément coloré, qu’elle
avait eu l’impression qu’il irradiait comme un soleil. Elle avait
aussi constaté, avec une grimace de douleur doublée d’un sourire
au souvenir des menaces du Père Castor, que, non seulement il était
exclu qu’après une telle tannée elle remit un slip, mais aussi
qu’il lui était vraiment difficile de s’asseoir.</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc351_1146721603"></a>A
la canne</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">Pourtant, et bien qu’elle se soit
demandé s’il lui serait possible d’endurer une raclée plus
douloureuse, elle était bel et bien retournée chez le Père Castor,
alors même qu’il lui avait annoncé que <i>« la prochaine
fois, je pense que tu seras prête pour la canne » </i>La
menace, qu’elle avait prise plutôt pour une promesse, l’avait à
la fois effrayée et comblée de fierté. Elle avait déjà vu, dans
le porte parapluies de l’entrée, cette fine canne en bambou. Et
ses recherches sur des sites spécialisés sur Internet l’avaient
convaincue qu’il s’agissait là d’un instrument terriblement
douloureux. Il lui inspirait donc une crainte légitime. Mais, en
même temps, elle comprenait bien qu’aux yeux du Père Castor, il
s’agissait d’une sorte de consécration. C’est donc les jambes
un peu flageolantes qu’elle s’était rendue à leur prochain
rendez-vous. Dès son arrivée, elle avait découvert la fameuse
canne, posée au travers de la table basse sur laquelle elle posait
les mains quand elle était invitée à se pencher pour présenter
son postérieur avant qu’il ne soit flagellé. Quand le Père
Castor avait fait siffler l’instrument en l’agitant, il avait vu
l’inquiétude, sinon la terreur, dans les yeux de la jeune femme.
En la regardant dans les yeux, il avait alors murmuré :</p>
<p style="margin-left: 2cm; text-indent: 1.8cm;">- <i>« Tu
sais que tu n’es obligée à rien ... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;">Elle n’avait pas répondu, mais tout en
essayant de maîtriser le tremblement de ses membres, elle s’était
penchée et, avant de poser ses mains sur la table, elle avait
elle-même retroussée sa robe jusqu’à sa taille. Comme pour la
féliciter de son courage, alors que d’habitude il tenait à se
charger lui-même de la déculotter, elle l’entendit chuchoter,
d’une voix un peu altérée par l’émotion :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> -
<i>« Baisse-la toi-même, petite »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Elle avait obéi, bien sûr.
Comprenant que le maître fesseur lui faisait en quelque sorte un
cadeau. Elle avait fait glisser le slip jusqu’à ses genoux,
écartant légèrement les jambes pour qu’il reste en place. Sans
se soucier que cette position rendait inévitablement visible son
intimité et même -le Père Castor, lui, s’en était évidemment
aperçu immédiatement – son petit trou. Pendant quelques instants,
seul le tic-tac régulier de la grande pendule normande avait troublé
le silence presque palpable de la pièce. Puis il avait été rompu
par un bref sifflement, et la jeune dame avait eu le sentiment que la
peau de son derrière venait d’être déchirée. Un trait de
douleur indicible. Et une douleur qui lui semblait s’amplifier, se
répandre en elle, pénétrer tout son être, irradier tout son
corps. Elle avait ouvert la bouche comme un poisson sorti de l’eau,
comme si elle cherchait de l’air. Exhalant une plainte modulée
tout en piétinant sur place. Mais, et elle en était très fière,
elle avait maintenue la position. Le Père Castor lui avait laissé
le temps de reprendre son souffle. Il voyait le derrière, qui
s’était d’abord crispé avant de se détendre et de s’ouvrir
comme un fruit mûr, maintenant décoré d’un équateur violacé.
L’implacable instrument s’était encore abattu deux fois au
travers du postérieur, provoquant les mêmes réactions. Sifflement
bref, impact, plainte modulée, crispation puis ouverture de la raie
fessière, et apparition d’une marque rectiligne, parallèle à la
première. La jeune dame n’avait pas tenté de se relever. Elle
serrait les dents et les poings. Sa respiration restait haletante,
son cœur battant à tout rompre, elle hoquetait alors que les larmes
coulaient librement sur ses joues. Et quand, à son habitude, le
doigt inquisiteur du Père Castor vint se glisser dans son intimité,
elle sut que celle-ci aussi ruisselait. Il eut le bon goût de ne pas
commenter la chose. Mais quand, autorisée à se redresser, la jeune
femme se<span style="background: transparent;"> blotti</span><span style="background: transparent;">t</span><span style="background: transparent;">
</span>sans ses bras en sanglotant, il eut bien du mal à cacher sa
solide érection, tout en lui caressant pudiquement les cheveux en
murmurant :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> <i> </i><i>- </i><i>« Je suis
fier de toi, petite, maintenant, tu es une vraie femme fessée »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;">Des mots qui l’emplirent de fierté et
qui firent redoubler ses sanglots. Mais qui pourrait dire si elle
pleurait de douleur – elle était en effet au-delà de tout ce
qu’elle avait pu connaître jusque là – ou de bonheur d’avoir
atteint le Graal ?</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc554_665717933"></a> Devant
la Présidente.</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc391_1146721603"></a>Droit
et devoir</h4>
<p style="margin-left: 2cm;"> Chacune des visites de la maman de
Framboise chez le Père Castor était ainsi pour elle une nouvelle
étape dans un chemin qu’elle ne regrettait pas d’avoir pris.
Pour le Père Castor, si expérimenté qu’i<span style="background: transparent;">l
f</span><span style="background: transparent;">û</span><span style="background: transparent;">t,
c</span>’était aussi l’occasion d’explorer des contrées qu’il
n’avait pas fréquentées jusque là. Peut-être était-ce
l’imprégnation du métier qui avait été le sien pendant si
longtemps, il avait à cœur d’être, fusse « en tout bien
tout honneur » une sorte de Pygmalion pour cette jeune femme.
Il était en même temps touché de la confiance qu’elle lui
faisait, et impressionné par sa capacité, elle si novice, à
supporter des fessées qui auraient amené certaines de celles qu’il
avait fessées auparavant à demander grâce. Il était parfaitement
conscient, bien sûr, qu’elles amenaient probablement parfois la
jeune dame à la limite de ce qu’elle pouvait supporter. Mais il
considérait que limiter les fessées aurait été, à son égard,
une forme de mépris. Pour lui, la maman de Framboise « méritait »
les fessées qu’il lui administrait. Au sens où, si elle venait
chez lui en sachant ce qu’il allait lui arriver, c’est qu’elle
estimait qu’elle devait être sévèrement fessée. Mais aussi au
sens où elle avait d’une certaine manière « droit » à
ces fessées. Son devoir était de les subir, comme le sien était de
les lui flanquer sans faiblir. Et s’il avait en conséquence le
droit de la fesser sans ménagement, c’était aussi son devoir.</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1401_1696820252"></a></h4>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc395_1146721603"></a>Une
visite impromptue.</h4>
<p style="margin-left: 2cm;"> Une de ces séances hebdomadaires,
ils avaient, au fil du temps, pris l’habitude qu’elles se passent
le vendredi matin, fut cependant aussi exceptionnelle pour lui que
pour elle. Il n’avait rien prémédité, et tout fut, finalement,
une affaire de circonstances. Qui lui rappela les vers de La Fontaine
<i>« l’occasion, l’herbe tendre, et je pense aussi quelque
diable me poussant ... » </i>En l’occurrence l’occasion, ou
le diable, fut une diablesse. Ce vendredi, un peu avant l’heure
d’arrivée habituelle de la maman de Framboise, qui déposait la
petite à l’école avant de se rendre chez lui, on sonna à sa
porte. Sans faire trop attention à l’heure, il ouvrit la porte
mais fut étonné de se trouver en face de Madame Fleurons, la
présidente d’une des associations dont il était membre actif. Il
lui aurait été difficile de prétendre être trop occupé pour la
recevoir, d’autant qu’elle s’excusait de venir de si bon matin
et qu’elle précisait qu’elle <i>« n’en avait que pour
quelques minutes »</i>Il la fit donc entrer en cherchant à ne
pas trop se comporter en ours grognon. Bien qu’il soit décidé à
écourter autant que possible cette visite imprévue, il poussa même
la délicatesse jusqu’à proposer une tasse de café à la
visiteuse. Mal -ou bien ? - lui en prit, celle-ci non seulement
accepta, mais elle s’installa dans le canapé et se mit à lui
exposer les motifs de sa visite. Mais la dite Madame Fleurons, il
aurait dû y penser avant de l’inviter à entrer, était une
incorrigible bavarde et avait l’habitude, qui exaspérait le Père
Castor, de se lancer souvent dans des digressions,qui allongeaient
tant ses propos que ses interlocuteurs en perdaient parfois le fil.
Elle n’en était donc qu’aux préliminaires de ses explications,
que le Père Castor écoutait d’une oreille distraite tout en
lorgnant sur la pendule, quand la cloche de l’entrée sonna à
nouveau.</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Oh, mais</i><i><span style="background: transparent;">
vo</span></i><i><span style="background: transparent;">u</span></i><i><span style="background: transparent;">s
a</span></i><i>ttendiez quelqu’un, cher monsieur …Je suis
peut-être importune ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Le Père Castor fut tout prêt de
lui répondre qu’en effet <i>« il attendait quelqu’un »
</i>et qu’elle était pour le moins <i>« importune »
</i>Son caractère bougon et son mépris des conventions mondaines
l’y poussaient d’ailleurs. Il fut presque surpris lui-même de la
réponse qu’il lui fit tout en faisant entrer la maman de
Framboise, dont le visage montra l’étonnement de découvrir une
autre femme dans la place.:</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> <i> </i><i>- </i><i>« Mais
non, ma chère Présidente, pas le moins du monde. »</i> </p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc397_1146721603"></a>Basculement.</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">Elle esquissa cependant un mouvement pour
se lever, et c’est alors que, dans la tête du Père Castor, tout
bascula. Au lieu de la raccompagner pour s’occuper comme il
convient de la jeune dame qui restait interdite, les bras ballants,
il reprit, d’un ton radouci et même enjoué :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais je vous en
prie, restez …vous ne nous gênez en rien, n’est-ce pas, jeune
dame ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Celle qu’il interpellait ainsi,
lui rappelant par la même sa situation par rapport à lui resta
d’abord sans voix puis balbutia :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Euh
… non ...bien sûr .. . madame...je veux dire...Monsieur... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Le Père Castor la remercia d’un
sourire radieux, et poursuivit, en choisissant encore ses mots :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Jeune
dame, je vous présente Madame la Présidente, avec qui je dois
régler quelques questions urgentes. »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> La maman de Framboise fut, un
instant, rassurée par les propos du vieil homme.</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Ah…
bien, monsieur… je ...je reviendrai plus tard... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Et elle s’apprêtait à tourner
les talons. Mais la voix, devenue un peu plus métallique, du Père
Castor l’en dissuada :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais
non, il ne saurait en être question, jeune dame. Vous savez bien que
ce que nous avons, nous aussi à régler ne saurait être reporté. »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Pour prendre une expression un peu
populaire, la dite jeune dame se demandait si « c’était du
lard ou du cochon » Qu’il puisse envisager de faire ce
qu’elle savait qu’il avait l’intention de faire malgré la
présence de cette intruse lui paraissait aussi <i>complètement
impossible » </i>qu’au juge du « Gorille » d’être
pris pour une guenon. Pourtant, comme à celui-ci <i>« la suite
lui prouva que non ».</i> </p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc399_1146721603"></a>Faites
donc !</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">La Présidente, ravie de pouvoir
poursuivre son babillage, s’était rassise. Mais, alors qu’elle
s’apprêtait à rependre le fil bien embrouillé de ses
explications, le Père Castor interrompit :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Je
vais vous demander de nous excuser, madame la Présidente, mais cette
jeune dame a des impératifs horaires. Vous voudrez bien nous
permettre de faire ce que nous avons à faire tout de suite ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Cette fois, la maman de Framboise
eut le sentiment que le sang se glaçait dans ses veines. Elle
écarquilla les yeux tandis que la Présidente acquiesçait de bon
cœur :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais
je vous en prie, cher ami, faites donc ... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Et la Père Castor, riant sous
cape, de s’exclamer :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Vous
êtes bien aimable, chère madame ».</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Avant de poursuivre, en se tournant
vers la maman de Framboise toujours interdite et immobile :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> -
<i>« Puisque madame nous y autorise … ne perdons pas de
temps... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Cette fois, la jeune femme parvint,
malgré son trouble, à s’exprimer :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais
non ...monsieur...vous savez bien ...et puis..ce n’est pas
possible... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Les yeux du Père Castor se
plissèrent, il les planta dans ceux de son interlocutrice et décréta
d’un ton sans réplique :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Il
ne me semble pas que cela soit à vous d’en décider, jeune
dame ! »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Les yeux de celle-ci semblaient
prêts à lui sortir de la tête. Inconsciemment, elle reculait
lentement vers la porte. Mais le Père Castor émit une sorte de
claquement de langue qu’elle comprit tout de suite, d’autant
qu’il s’accompagnait d’un geste explicite de l’index.</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> -
<i>« Allons, jeune dame, venez donc vous mettre en place, si
vous ne voulez pas aggraver les choses ».</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Une nouvelle fois, la maman de
Framboise était sur le bord du précipice. Elle émit une sorte de
borborygme incompréhensible, et elle croisa le regard de loup du
Père Castor. Elle y lut à la fois la détermination, mais aussi
l’attente, et même la confiance. Ce qu’il attendait d’elle
était à l’évidence impossible, inimaginable. Pourtant, son
regard montrait clairement qu’il était persuadé que la jeune dame
se plierait à sa décision. Elle n’eut pas un regard pour
l’intruse. Elle entremêla ses doigts dans un geste d’angoisse,
baissa la tête, puis elle plongea.</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> <i>« Bien,
monsieur, je suis prête. »</i> </p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc606_1673841979"></a>« Devant
tout le monde »</h4>
<p style="margin-left: 1.8cm;"> Elle était parfaitement
consciente de son acte. Elle ne se sentait en rien contrainte. Si
elle avait interprété le regard du Père Castor comme une
invitation, presque comme une conviction, elle n’y avait pas vu une
obligation, encore moins un chantage. Il lui était simplement apparu
qu’il fallait qu’elle le fasse. Non pour obéir à un ordre, mais
parce qu’il attendait d’elle qu’elle le fasse. Ou plus
exactement parce qu’il était persuadé qu’elle en était
capable. Elle était venue, une fois encore chez lui pour recevoir la
fessée. Une autre femme était présente, et alors ? En quoi
cela la concernait-elle ? Elle allait recevoir cette fessée
attendue, voulue, presque espérée. Le reste appartenait au Père
Castor, et il en serait fait comme il le déciderait. Et, une fois sa
décision prise, et annoncée, c’est presque sereinement qu’elle
s’approcha du fauteuil dans lequel il s’était installé, après
avoir remonté les manches de sa chemise dans ce geste, devenu pour
elle le signal que les choses sérieuses allaient commencer. </p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc608_1673841979"></a></h5>
<p style="margin-left: 1.9cm;"> Lors de ses pérégrinations sur
Internet, et dans les lectures des ouvrages traitant de la discipline
conjugale, de la soumission et de la fessée, la maman de Framboise
avait souvent lu des récits de « chipies » menacées -
ou qui subissaient – la « fessée devant tout le monde ».
La chose, évidemment, lui était apparue appartenir au monde des
fantasmes, sinon des perversions. Pourtant, ces scènes ou des femmes
étaient déculottées et fessées sous les regards d’assistants
l’avaient indubitablement troublée. Et il lui était arrivé bien
souvent, dans ses moments de rêveries éveillées, de s’imaginer à
la place de ces femmes. Elle n’avait jamais pratiqué le naturisme,
elle se refusait même à être « topless » sur la
plage ; à la salle de sport, elle rechignait à se doucher en
commun. Mais elle ressentait une sorte de crispation dans le ventre à
l’idée qu’on puisse la voir nue contre son gré.</p>
<p style="margin-left: 1.9cm;">Pourtant, alors qu’elle s’avançait
vers le Père Castor, c’était comme si elle avait oublié la
présence de la Présidente. Le Père Castor tendit la main vers
elle, la saisit par le poignet et, presque avec douceur, l’amena
près de lui. D’un geste qu’elle connaissait bien, il l’incita
à s’allonger au travers de ses genoux. Elle retrouvait les gestes
de sa première fessée, de sa découverte. Toujours avec des gestes
presque tendres, il releva, lentement le bas de sa robe. Puis il
introduisit les doigts sous la culotte et la fit glisser jusqu’aux
genoux.</p>
<p style="margin-left: 1.9cm;">La Présidente était restée immobile
et muette, bouche bée. La maman de Framboise reçut sa fessée sans
un cri. Elle n’était pas, de loin, la plus dure qu’il lui ait
été donné de subir. Mais ce fut cependant une vraie fessée.
Méthodique, appliquée. La Présidente ne pouvait quitter des yeux
ce derrière qui rougissait à vue d’œil. Quand enfin la main
cessa ses claques, la jeune dame se leva, toujours sans un mot.
Tranquillement, elle ôta sa culotte qu’elle laissa sur la table
basse. D’une voix un peu cassée par les sanglots qu’elle tâchait
d’étouffer, elle remercia « Monsieur »comme elle le
faisait à chaque fois. Puis elle esquissa une ébauche de révérence
à l’intention de la Présidente. Mais, alors qu’elle s’apprêtait
à sortir, le Père Castor l’arrêta :</p>
<p style="margin-left: 1.9cm;"> -
<i>« Restez un moment, jeune dame, nous n’en avons pas fini
... »</i></p>
<p style="margin-left: 1.9cm;"> Elle resta interloquée. Avait-il
l’intention de reprendre la séance ? Estimait-il qu’elle
n’avait pas assez donné d’elle-même ? Mais c’est à la
Présidente que s’adressa le Père Castor :</p>
<p style="margin-left: 1.9cm;"> -
<i>« J’espère que vous nous excuserez de cet intermède,
chère madame ».</i></p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1404_1696820252"></a> A
votre tour.</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc558_665717933"></a>Le
piège se tend</h4>
<p style="margin-left: 2cm;"> Pour le moins
décontenancée, celle-ci tenta de répondre sur le même ton,
presque précieux, que le Père Castor. Mais elle ne put éviter de
bafouiller tant elle était interloquée: </p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais
...enfin ...bien sûr, cher ami.. »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Le Père Castor la remercia d’un
mouvement de tête, et il ajouta :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Je suis bien aise que
vous approuviez mes méthodes, chère amie, et que vous soyez un peu
des nôtres »</i></p>
<p style="background: transparent; line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
Une fois encore, la Présidente ne put que marmonner une
réponse incompréhensible. Le Père Castor en profita pour lancer,
en changeant de ton cette fois :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Vous
pourriez vous exprimer clairement s’il vous plaît ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Peu habituée à ce que quiconque
lui parle sur ce ton, la dame leva les sourcils d’un air
interrogateur. Et le Père Castor apporta derechef une réponse sans
ambiguïté à une question …qu’elle n’avait pas posée !</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Il
me semble que vous n’avez pas été offusquée par … mes
méthodes, n’est-ce-pas ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> La Présidente fit visiblement un
effort pour éviter de bafouiller une nouvelle fois, sans pour autant
y parvenir complètement :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Eh
bien …non …enfin..je veux dire …après tout, vous êtes chez
vous n’est ce pas … »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> La maman de Framboise, qui jusque
là ne voyait pas où le Père Castor voulait en venir, décela cette
fois l’éclat de son regard de loup affamé quand il lança :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Je
suis ravi que vous en conveniez, ma chère. Et vous conviendrez
aussi, je pense que, comme on dit : « A Rome, on fait
comme les Romains… »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Toujours cette habitude de vieux
prof de citer des locutions à tout propos, cela fit sourire la maman
de Framboise, et la Présidente, sans comprendre dans quel chemin
elle s’engageait confirma benoîtement :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Ah mais …
certainement… »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;">Le piège s’était refermé, mais elle
ne le savait pas encore. Patiemment, le chasseur tissait les liens
qui allaient enfermer sa proie :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"><i> - « Vous conviendrez aussi, je
pense, qu’il ne serait pas juste que notre jeune amie soit la seule
à sacrifier aux rites de ma maison, n’est-ce-pas ? »</i></p>
<p style="font-style: normal; margin-left: 2cm;">La maman de Framboise
commençait maintenant à comprendre le jeu du vieil homme. Elle
revivait la conversation qui l’avait amenée, elle, à « convenir »
-puisque c’est le terme qu’utilisait le vieux prof – qu’elle
méritait la fessée. Et elle voyait comment la Présidente
s’engluait dans la toile d’araignée du Père Castor :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"><i> - « Euh… je ne suis pas sûre
de … de comprendre...cher ami... »</i></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc560_665717933"></a><span style="background: transparent;">Et
se referme</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;"> Le sourire du Père
Castor était devenu proprement carnassier. En se levant, et en se
frottant les paumes des mains l’une contre l’autre il laissa
tomber froidement :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oh, je suis bien sûr du contraire, chère madame.Votre tour
est venu, et vous le savez bien. Alors pourquoi tergiverser ? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Interdite
la Présidente balbutia :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Mais ...vous ne voudriez pas … ? »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Visiblement,
elle avait compris à quoi voulait en venir le Père Castor, mais il
lui était encore impossible de prononcer le mot fatidique. Bon
prince, le vieil instituteur le fit à sa place, mettant clairement
les points sur les i :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Mais bien sûr que si ! J’ai bien l’intention de
vous coller une fessée ma chère. Avec votre permission, bien sûr.
Et il ne me semble pas nécessaire que je vous en explique le motif,
n’est-ce-pas ? ».</i></span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1528_75025378"></a><span style="background: transparent;">Presque
sereine</span></h4>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Ce
qui étonna le plus la maman de Framboise, qui ne perdait bien
entendu pas une miette de la scène, quand elle se remémora celle-ci
par la suite, c’est qu’au final la digne Présidente entendit
presque sereinement ce discours pour le moins disruptif. Certes,
selon l’expression qui lui vint en tête, la Présidente eut l’air
« d’en rester comme deux ronds de flan » Mais elle ne
tomba pas dans les pommes, ni ne monta pas sur ses grands chevaux. Un
homme, avec lequel elle n’avait eu jusque là que des rapports
courtois et d’ordre quasi professionnel, venait, en présence d’un
tiers, de lui annoncer tout bonnement qu’il avait l’intention de
lui flanquer une fessée. A elle, une femme d’âge mûr et établie
dans la vie et la société. Et les murailles de Jéricho ne
s’étaient pas écroulées ! Dès lors qu’à ces mots, la
Présidente ne s’était pas décidée à injurier le Père Castor,
ou tout simplement à se lever et à partir sans coup férir, la
maman de Framboise comprit qu’elle aussi s’était laissée
engager dans une voie dont elle connaissait bien l’issue.
Finalement, pour les deux victimes du vieux pervers, le seul fait
d’envisager la chose possible, c’était déjà la rendre
inéluctable. C’est du reste ce qu’avait considéré le Père
Castor tout au long de sa « carrière » de fesseur. Comme
on le sait, il n’avait jamais fessé personne contre sa volonté ;
et il lui était arrivé de devoir y renoncer, la victime putative
l’ayant proprement envoyé bouler quand il avait envisagé la
chose. Mais ce ne fut pas le cas pour la Présidente. C’est tout à
fait à dessein que le Père Castor avait prononcé le mot tabou.
Comme il l’avait fait avec la maman de Framboise, il n’avait pas
utilisé de périphrases ou de circonvolutions. Bien au contraire, il
annonçait ses intentions sans fard. En se disant in petto que « ça
passe ou ça casse ». Et en l’occurrence, ça passa.</span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc562_665717933"></a><span style="background: transparent;"> En
place.</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Une autre de ces expressions
dont l’ancien enseignant parsemait ses discours revint à la
mémoire de son ancienne élève à cette occasion : « qui
ne dit mot consent » Et en effet, la Présidente, pourtant
d’habitude si bavarde, resta<span style="font-size: large;">
</span><span style="color: maroon;"><span style="font-size: small;">coi</span></span><span style="color: maroon;"><span style="font-size: small;">te</span></span><span style="color: maroon;"><span style="font-size: large;">
</span></span>et muette. La maman de Framboise avait dû exprimer
elle-même son acceptation, on s’en souvient. Le Père Castor dut
estimer que pour sa nouvelle proie il pouvait se passer de cette
réédition exprimée. Le seul fait qu’elle n’ait pas
explicitement et immédiatement refusé l’hypothèse serait
considéré comme une acceptation tacite.<br />
L’autre chose dont
se souvint avec étonnement la maman de Framboise par la suite, ce
fut la dichotomie entre les mots et la chose. Le Père Castor venait
d’annoncer à la Présidente qu’il avait l’intention de la
fesser, mais il ne se départait pas de la plus exquise correction
dans les mots comme dans l’attitude. Ainsi c’est presque
cérémonieusement qu’il tendit la main pour inviter la dame à se
lever, accompagnant le geste d’un « <i>si vous voulez bien,
chère amie » </i><span style="font-style: normal;">pour le
moins décalé en ces circonstances. L’idée qu’il aurait presque
pu s’acquitter d’un baise-main protocolaire traversa même
l’esprit de la maman de Framboise, et la fit sourire. La
Présidente, elle, ne sourit pas. Mais elle répondit à l’invitation
si courtoisement lancée. Elle se leva donc, et se laissa docilement
conduire par le maître des lieux jusque devant le bureau de
celui-ci. Il mit alors une main ferme sur la nuque de la dame,
l’amenant à se pencher vers le bureau sur lequel, par réflexe,
elle posa les mains. Une nouvelle formule un peu toute faite vint à
l’esprit de celle qui continuait à observer la scène en silence :
« courbe-toi, fier Sicambre ! » A vrai dire, elle ne
se souvenait plus de la suite de l’injonction. Mais il lui semblait
bien qu’elle faisait allusion à ce que celui – en l’occurrence
celle – à qui elle s’adressait devait « adorer » ou
« brûler ». Nul ne sait si la Présidente était en
mesure « d’adorer » ce qui allait suivre. Mais à n’en
pas douter, il y aurait bien « brûlure »...</span></span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1411_1696820252"></a><span style="background: transparent;">Faites
donc, bis !</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Et il est bien évident que,
maintenant, la Présidente ne pouvait plus ignorer où voulait en
venir le Père Castor. Pourtant, conformément à ses habitudes, pour
ne pas dire ses principes, il tint à ce que les choses, encore une
fois, soient sans ambiguïté :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Vous savez qu’il me faut maintenant vous trousser,
n’est-ce pas, ma chère ? »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">La
réponse d’icelle fut elle aussi limpide et directe. Elle reprit
mot à mot ce qu’elle avait répondu quand le Père Castor avait
sollicité son autorisation pour « faire ce que nous avons à
faire » avec la maman de Framboise :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Faite donc, Monsieur » </i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Une
fois encore, le Père Castor était donc arrivé à ses fins. La dame
l’autorisait bel et bien à « la trousser ». Cette
femme si digne et respectable acceptait donc sans barguigner d’être
traitée comme on le fait des soubrettes. Bien entendu, le Père
Castor profita aussitôt de l’aubaine en relevant la longue jupe
grise de la dame jusqu’au-dessus de sa taille. Et, probablement
émoustillé par le contraste entre les actes et les mots si délicats
sinon précieux, il récidiva :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Et aussi vous déculotter, chère madame ! ».</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Ce
que celle-ci, prouvant qu’après tout « il n’y a que le
premier pas qui compte » resta dans le rôle qu’elle avait
accepté :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Je vous en prie, monsieur, faites donc ce qui vous paraît
nécessaire ».</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">L’aplomb,
le culot même de la Présidente étonna peut-être autant le Père
Castor, qui n’en attendait pas tant, que la maman de Framboise. Et
l’un et l’autre furent aussi assez stupéfaits de ce que le
troussage mettait au jour.</span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1530_75025378"></a><span style="background: transparent;">Les
dessous chic …</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">On l’a compris, la dame était
ce qu’il convient d’appeler pudiquement « une femme d’âge
mûr » Un peu moins âgée que le retraité, mais beaucoup plus
que la maman de Framboise. Et sa tenue vestimentaire correspondait
tout à fait à son âge et son statut social. Jupe grise descendant
jusqu’aux mollets, bottines noires, chemisier gris perle boutonné
jusqu’en haut et recouvert d’un châle violet. Elle ne portait
pas de chapeau, mais à ce détail près, elle aurait pu en effet
faire partie de « ces dames au chapeaux verts » du roman
éponyme. Mais quand le Père Castor eut remonté la jupe, ce qu’il
découvrit le remplit d’aise mais surtout déconcerta la jeune
spectatrice.. Elle qui, comme les femmes de sa génération, allait
jambes nues ou portait des collants quand la froidure l’imposait,
s’étonna d’abord qu’alors que l’on était au printemps, la
dame porta des bas gris. Pour sa part, cet accessoire vestimentaire
était réservé aux grandes occasions, ou au désir de séduire. Et
encore, les rares fois où elle en avait porté, il s’était agit
de bas « auto-fixants » , le porte-jarretelles
appartenant, à ses yeux, au monde des fantasmes un peu pervers ou
des « cocotes » Mais elle aurait encore moins imaginé
l’accoutrement qu’elle découvrit. Elle n’avait en effet jamais
ni porté ni même vu de tels dessous, si ce n’est dans la
séquence culte du film « Autant en emporte le vent ».
Les hanches de la dame étaient en effet bel et bien enserrées dans
ce que la jeune femme identifia – à tort – comme un corset et
que les amateurs, eux, auraient qualifié plus exactement de « serre
- taille ». Une sorte de carcan couleur chair, visiblement
rigide, fermé dans le dos par un laçage serré, auquel les bas
étaient reliés par les jarretelles. </span>
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1544_75025378"></a><span style="background: transparent;">Sans !</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">On le sait, pour un passionné
du déculottage comme tous ceux qui pratiquent la fessée, dès qu’il
y a porte-jarretelles, « La » question est la même que
celle que se pose le capitaine Haddock à propos de sa barbe :
« dessus ou dessous ». On le sait, sur le plan
strictement esthétique, beaucoup considèrent qu’il est préférable
que les jarretelles passent au-dessus de la culotte. Mais, pour des
raisons strictement pratiques, beaucoup de femmes préfèrent au
contraire passer la culotte au dessus des jarretelles, permettant
ainsi de la baisser facilement pour faire pipi. Et, celles qui sont
confrontées à la fessée déculottée usent du même stratagème
pour faciliter la chose. <br />
Mais, dans le cas présent, le Père
Castor, et plus encore la maman de Framboise découvrirent avec
stupéfaction que la question ne se posait pas. Pour une raison bien
simple, la dame ne portait pas de culotte ! Et c’est
directement un derrière nu qui apparu ! Encadré par le
serre-taille en haut, les jarretelles de chaque côté et les bas. Le
tout formant une sorte de cadre mettant en valeur ce qui en
constituait le centre. Ce fut, bien entendu, une révélation. Cette
dame, se baladait donc cul nu sous sa robe ! Le cul à l’air !
Or, à l’évidence, cela ne pouvait pas être en prévision de ce
qu’elle était en train de vivre. C’était donc une habitude,
voire une règle de vie. A moins que l’on ne suppose qu’il
s’agisse d’un oubli fortuit, ce qui, convenons en, était bien
improbable. Le Père Castor se promit bien de tirer au clair cette
question dès que possible, mais pour l’immédiat il avait autre
chose à faire. Et la découverte de ce cul nu ne fit que le
confirmer dans sa détermination. Le fesser. Et le fesser
d’importance. <br />
Le Père Castor n’avait jamais été
particulièrement fétichiste de la lingerie. Il n’en fut pas moins
plus qu’émoustillé par ce que dévoilait celle qu’il allait
fesser. Et surtout, bien sûr par l’absence de la pièce souvent
jugée comme essentielle. </span>
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1546_75025378"></a><span style="background: transparent;">Contrastes</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">D’abord,
sûrement, pour l’aspect strictement visuel de la chose. Le
serre-taille amincissait évidement la taille de la dame, et mettait,
par contraste, plus encore en valeur ses hanches et surtout son
postérieur. Celui-ci s’élargissait en majesté, en forme de
guitare. Curieusement, lui pourtant habitué à en juger au premier
coup d’œil, découvrait avec surprise l’ampleur de ce derrière,
qui ne lui était pas apparue quand il était encore dissimulé par
les vêtements plutôt stricts que la dame portait habituellement. Le
Père Castor, en amateur averti, appréciait à sa juste valeur ce
popotin généreux. Ces fesses amples, séparées par une raie
largement ouverte, comme un sourire radieux. Des fesses qui
s’élargissaient vers le bas, en goutte d’huile. Un cul, se dit
le Père Castor, qui donnerait envie de le fesser même à celui qui
n’aurait jamais eu ce fantasme. Et a fortiori à un passionné
comme lui.<br />
Mais il était aussi séduit par le contraste entre
l’image que donnait d’elle-même cette femme et ce que révélait
l’absence de slip. Il en aurait donner sa main à couper -et Dieu
sait pourtant qu’il en avait besoin de cette main - que personne
n’aurait pu deviner qu’elle fut aussi coquine. Personne n’aurait
pu imaginer que, sous ces robes ou ces jupes toujours sages et
couvrantes, cette femme soit la foufoune et les fesses à l’air.
Peut-être fût-il, par la suite, un peu frustré de ne pas pouvoir
déculotter lui-même sa ravissante victime. Mais il savait déjà
que, jamais plus, il ne verrait cette femme du même œil. A son âge,
qu’il lui arrivait de juger lui-même quasi canonique, le Père
Castor venait de découvrir qu’il y avait peut-être bien plus de
femmes sans culotte qu’il n’avait jamais imaginé ! <br />
Enfin,
pour le Père Castor, il y avait aussi, voire surtout, le contraste
entre les deux postérieurs féminins qu’il découvrait quasi
simultanément. Bien sûr, au cours de sa longue « carrière »
il avait vu un nombre appréciable de culs féminins. Et il avait pu
en apprécier la variété. Les culs ronds, les culs généreux, les
culs musclés, les petits culs, les gros culs, les culs en pomme, en
poire, en melon … que sais-je ? Mais, quelles qu’aient été
ses expériences interlopes, il ne lui était pas souvent arrivé de
dénuder deux derrières dans la même journée ! Il pouvait
donc, mieux que jamais, comparer ces deux postérieurs aussi
agréables l’un que l’autre à ses yeux. L’un rond, quasiment
sphérique, rebondi, ferme, orné d’une raie fine comme un coup de
couteau dans un fruit. L’autre visiblement plus moelleux, plus
exubérant, dont la vallée laissait voir les profondeurs de la raie
jusqu’au petit trou. L’un, celui de la plus jeune, à la peau
pâle, presque laiteuse, constellé de taches de rousseur.
Contrastant avec les cuisses bronzées. L’autre au teint
curieusement plus mat, formant une continuité de carnation avec le
bas du dos et le haut des cuisses. La question s’imposa au vieux
pervers : arriverait-il à cette femme d’exposer ses fesses au
soleil ? <br />
En un mot comme en cent, il se régalait de
contempler ce cul, si différent de celui qu’il venait de fesser et
qu’il savait être encore chaud et rouge sous la jupe de la maman
de Framboise.</span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1413_1696820252"></a><span style="background: transparent;">Voyeuse.</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Celle-ci n’était pas restée
insensible non plus à la découverte du derrière de celle dont elle
avait bien sûr compris qu’elle allait subir ce qu’elle venait de
vivre. Nulle jalousie chez elle. Jamais elle n’avait pensé qu’en
la fessant régulièrement le Père Castor lui réservait
l’exclusivité. Nul mépris non plus. Certes, elle était bien
consciente que son propre derrière avait, sur celui de la
Présidente, l’avantage de la jeunesse. De la fraîcheur, de
l’élasticité. Mais elle était aussi, sincèrement, admirative de
ce qu’elle découvrait. Admirative d’abord de l’audace de celle
qui, pour elle, était quand même presque une vieille dame. Qu’elle
se résolve si facilement à tomber dans les rets du vieux chasseur,
cela avait déjà été une surprise. Ses réponses, les deux
« faites donc » à la fois dociles et presque ironiques,
révélaient aussi un caractère pour le moins ferme. Mais c’est
bien sûr l’absence de culotte, ce cul nu, ce popotin à l’air
libre, qui impressionnaient le plus celle qui, en comparaison se
sentait bien novice, presque prude. Elle était aussi réellement
admirative de la beauté de ce cul. C’est même l’idée qui lui
était venue en premier quand la jupe avait été relevée. Oui,
cette dame au physique finalement assez quelconque, à la mine plutôt
stricte, eh bien elle avait un beau cul ! Et bien que jamais la
jeune femme n’ait été tentée par les aventures saphiques, elle
ne pouvait le nier, la vision de ce cul l’avait émoustillée. Du
reste, si elle ne pouvait certes pas « mouiller sa culotte »
puisque, comme à l’accoutumée elle était restée sans après la
fessée, elle sentait bien que l’humidité sourdait de son
intimité. Machinalement, elle avait même serré les jambes, comme
si elle craignait que les traces de son excitation puissent couler
entre ses cuisses. Elle avait donc, nouveau contraste, le minou
humide et la bouche sèche. Recevoir la fessée sous le regard de
cette inconnue avait été une épreuve. Une épreuve qu’elle était
fière d’avoir surmontée. Mais aussi une épreuve qui l’avait
déjà, pour dire les choses sans tergiverser, fait mouiller. Voir le
cul nu de la Présidente n’avait fait qu’accroître le phénomène.
Et la perspective de voir ce cul maintenant fustigé plus encore.
Excitée, et en même temps honteuse de l’être ; elle sentait
sa foufoune bailler, frémir, et surtout abondamment couler …<br />
La
sage jeune femme, la maman attentive, était déjà devenue une
dévergondée qui montrait son cul sans pudeur à un vieux pervers.
Elle était assez consciente des choses pour ne pas ignorer qu’il y
avait quelque chose de l’ordre de l’exhibitionnisme dans son
attitude, même si rien d’explicitement sexuel ne venait s’ajouter
à la fessée. L’expérience de la fessée qu’elle venait de
recevoir sous les yeux d’une inconnue ne faisait que confirmer cet
aspect de son patrimoine fantasmatique. Elle était maintenant en
position de découvrir le voyeurisme. </span>
</p>
<p style="line-height: 120%;"><span style="background: transparent;"><br />
</span><br />
<br />
</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1417_1696820252"></a>Chapitre
2<sup>ème</sup><br />
La Présidente.</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1872_75025378"></a>Raclée
initiale.</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1874_75025378"></a>Du
travail soigné</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Force est de dire que le
spectacle qu’offrirent le Père Castor et sa nouvelle victime fut
tout à fait de nature à combler les penchants pour le voyeurisme de
la jeune femme. Ce fut aussi une découverte puisque, jusque là,
elle avait été l’objet des fessées, alors qu’ici elle en était
la spectatrice. C’est peu de dire que le changement de point de vue
fut en effet instructif. Elle découvrit d’abord les attitudes, les
regards, les mimiques du Père Castor «dans ses œuvres ».
Elle savait déjà qu’il fessait fort. Elle avait pu, à ses
dépens, apprendre comment il variait les endroits où il faisait
tomber sa main, les angles d’attaques, la force des claques, leur
rythme. Elle constatait maintenant que le Père Castor fessait avec
soin. Le visage tendu, l’air concentré. Il s’appliquait, le
bougre. La fessée de la Présidente, ce fut du travail soigné,
presque de l’art. Une sorte de symphonie. Elle commença
« moderato », par quelques bonnes claques appliquées
fermement sur chaque fesse alternativement. En laissant un moment de
pause entre chacune, comme pour leur laisser le temps de faire leur
œuvre. Puis le rythme s’accéléra. Le chef d’orchestre passait
à l’allegro. Les claques tombaient en rafales drues. Plus vite,
plus vite encore. Vivace ! Presto ! Prestissimo !
Avant de revenir à des moments de ralentissements, de modulation. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1876_75025378"></a>Couleurs.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Si, au début, les claques
s’étaient abattues sur le sommet des fesses, y faisant apparaître
une sorte de calotte colorée, le Père Castor veilla visiblement à
ne négliger aucune parcelle de ce qui lui était présenté. Sa main
claqua sur toute la surface des fesses. Celles ci tremblotaient,
s’écartaient, se resserraient, valdinguaient de droite à gauche
et de haut en bas. L’arrière des cuisses n’était pas négligé
pour autant. Et la maman de Framboise était bien placée pour savoir
que les claques y étaient particulièrement douloureuses. La marque
des doigts écartés s’y imprimait de manière éphémère mais
bien visible. Tandis que le derrière se colorait de manière
uniforme. Le Père Castor remarqua tout de suite que les deux culs
qu’il fessait successivement réagissaient différemment de ce
point de vue. Alors que les fesses de la maman de Framboise passaient
rapidement du blanc laiteux au rouge vif, celles de la Présidente
mettaient plus de temps à se colorer vraiment. Elles prenaient
progressivement un ton rouge foncé. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1878_75025378"></a>Réactions.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">De la même manière, les deux
culs réagissaient différemment au traitement qui leur était
infligé. Le derrière de la jeune dame menait une sorte de combat,
de résistance. Sous l’impact des claques, il se fermait comme une
huître, se crispait, durcissait, se faisait pierre, granit. Et il
fallait que la fessée se prolonge pour que le popotin finisse par
capituler, par se relâcher. Pour devenir boule de pâte comme celle
que le boulanger pétrit. Celui de la Présidente fit en quelque
sorte le chemin inverse. Longtemps, il ballotta au gré des claques
qui le faisaient valser. Il semblait avoir accepté d’emblée la
fessée. Et les mouvements désordonnés des fesses ouvraient
largement la raie fessière, exposant aux regards salaces le petit
trou béant. En apercevant ainsi l’anus de la dame, la maman de
Framboise eut un bref moment de honte rétrospective et d’angoisse.
<i>« Mon Dieu, est-ce que, moi aussi, je montre ainsi mon trou
du cul ? » </i><span style="font-style: normal;">Mais, la
fessée se poursuivant, les fesses de la Présidente se resserrèrent,
faisant disparaître l’objet du délit. Le son des claques devint
plus clair, tandis que, pour la première fois, la Présidente fit
entendre le son de sa voix.</span></span></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1880_75025378"></a>Cris
et chuchotements.</h5>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Jusque là en effet, et malgré
l’intensité de la raclée, elle était restée étonnamment
silencieuse. La maman de Framboise, dès les premières fessées
qu’elle avait reçues, avait mis, presque inconsciemment, un point
d’honneur, à ne pas crier comme un cochon qu’on égorge. Mais
elle n’avait pas pu étouffer complètement ses râles et ses
plaintes. Même en serrant les dents, elle ne pouvait s’empêcher
de lâcher des « aille », des « ouille », ou
de longs « aaaah ! » plaintifs. Au contraire, aucun
son ne sortit des lèvres de la Présidente. Cette résistance
passive incita évidemment le Père Castor à tout faire pour la
vaincre. Il redoubla donc d’ardeur, claquant sans retenue le cul
récalcitrant. Devant cet assaut, la Présidente gémit sourdement.
Elle émit quelques « humpf ! » et quelques soupirs.
Mais, en même temps, elle levait les fesses vers la main qui les
fustigeait. Comme si, loin de vouloir se soustraire au traitement que
subissait son postérieur, elle tendait celui-ci, l’offrant bien
plus que le protégeant. Et il apparut presque évident à la maman
de Framboise que les plaintes se mêlaient de halètements. </span>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Le
Père Castor ne fut pas sans s’en rendre compte, lui aussi. Il
comprit que, aussi douloureuse la fessée ait été, la Présidente
gémissait aussi de plaisir. D’autant plus qu’il pouvait
constater que la foufoune qu’elle exhibait en se cambrant de plus
en plus suintait visiblement. Dire que la Présidente mouillait
serait un euphémisme. Son intimité ruisselait littéralement comme
un fruit mûr. Nul autre qu’elle même ne pourrait dire si elle fut
vraiment foudroyée par un orgasme alors que son cul était ainsi
tanné. mais cette vision de moiteur ne pouvait laisser le vieil
homme insensible. Il eut fallu être de bois pour ne pas avoir envie
de défoncer ce sexe si généreusement offert. D’autant que le
Père Castor n’avait pas de raison de s’imposer avec la
Présidente les mêmes règles qu’avec la maman de Framboise. Par
respect pour elle comme pour l’autre femme, il fallait donc que la
première le laisse seul avec la seconde. Il fit donc se relever
celle qui venait de prendre une raclée qu’il savait déjà n’être
que la première :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -<i>« Il
me semble qu’un moment de réflexion au coin vous est nécessaire,
madame ... »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
la mena lui-même là où il voulait qu’elle aille. Fit en sorte
que la jupe resta relevée et les fesses bien visibles, et plaça les
mains sur la tête. Puis il se tourna vers la maman de Framboise :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -<i>« Quant
à toi petite, je pense qu’il est temps de rentrer ... »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
s’inclina, au sens propre comme au sens figuré :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -<i>« Bien,
Monsieur, je vous remercie pour tout, Monsieur »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Le
« Monsieur » comprit évidemment à quoi elle faisait
allusion. Il ébaucha même un sourire un peu complice mais il
ajouta, alors qu’elle était déjà sur le seuil de la porte :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -<i>« Nous
nous verrons vendredi prochain. Tu sais que nous aurons des choses à
régler, n’est-ce pas ? »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
ne demanda pas d’explication. Elle savait déjà qu’elle
accepterait ce que le Père Castor aurait décidé. Avait-il remarqué
son trouble alors qu’elle assistait à la fessée de la
Présidente ? Considérerait-il qu’elle doive être punie pour
cela ? Ce serait injuste. Mais elle n’envisageait pas de
refuser la punition s’il en décidait ainsi. Peut-être même
l’espérait-elle ?</span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3133_75025378"></a>Suites</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3135_75025378"></a>Remerciements.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Aussitôt la jeune femme
sortie, le Père Castor se jeta sur l’autre femme comme un mort de
faim. Alors qu’elle était restée sagement « au coin »,
les mains sur la tête, il la fit se pencher à nouveau, se colla
derrière elle et saisit à pleines mains sa généreuse poitrine.
Elle sentait contre ses fesses irritées la pression du sexe bandé
de celui qui venait de la tourmenter. Et qui, maintenant, pelotait
ses seins au travers de leur coquille rigide. Il les abandonna
cependant pour ouvrir son pantalon et sortir son sexe turgescent. Et,
sans plus de tergiversations, il enfila sa partenaire. Il la pilonna
à grands coups de reins qu’il accompagnait de « han »
de bûcheron. Avec l’âge, pour le plus grand bénéfice des dames,
les risques de précocité s’atténuent. Mais le vieil homme était
si excité qu’il explosa après quelques minutes seulement. La
Présidente exprima son plaisir sans retenue. Quand elle se redressa
et fit face à celui qui était devenu son amant, celui-ci ne put
déterminer si les larmes qui perlaient à ses yeux étaient celles
de la douleur de la raclée reçue, du plaisir de la baise ou de
l’émotion. En tout cas, radieuse, la Présidente souffla :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Merci, Monsieur … merci pour tout. »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><br />
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3137_75025378"></a>Derniers
outrages.</h5>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Cet impromptu avec la
Présidente fut l’amorce d’une sorte de renouveau pour la vie
sensuelle du vieil homme. Bien entendu, il revit régulièrement sa
partenaire .Pour lui coller des fessées soignées, bien sûr, mais
aussi pour profiter sans vergogne des suites de celles-ci. Avec elle,
le Père Castor ne s’imposait pas la sorte de vœux de chasteté
qu’il se sentait obligé de respecter avec la jeune maman. Il faut
dire que, sous ses airs parfois un peu guindée, elle se révéla
être une sacrée coquine. C’est du reste peut-être cette
contradiction entre l’image que la dame donnait d’elle-même et
ses débordements érotiques qui donnait une saveur toute
particulière à leur relation. Épicurien, le Père Castor goûtait
particulièrement de faire subir à sa partenaire « les
derniers outrages » tout en restant, sur le plan des échanges
verbaux, tout à fait respectueux des règles de la bienséance.
Aussi furieux et flamboyants que furent leurs ébats, ils
continuèrent à se voussoyer et même à n’utiliser qu’un
langage presque désuet de correction. Solliciter une fellation par
un <i>« auriez-vous la bonté de me sucer, chère amie ? »
</i>ou l’inciter à mieux faire par un <i>« concentrez vous
sur mes couilles, ma chère, si vous voulez bien » </i>donnait
à la chose une saveur toute particulière. D’autant que la dame
savait s’y prendre en la matière. Sa bouche, toujours
soigneusement maquillée d’un rouge à lèvre de bon goût, pompait
donc le dard de son amant avec gourmandise mais aussi avec talent.
Redonnant à cet organe une vitalité et une rigidité dont son
propriétaire s’étonnait lui-même. Et elle ne rechignait pas à
avaler goulûment le résultat de ses succions. <br />
De la même
manière, il retrouva avec elle les délices de pratiques qu’il
avait abandonnées depuis des lustres. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1223_1813599026"></a>Les
mots et les choses</h5>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
constata avec cette capacité à se moquer de lui-même qui faisait
son charme, que la sodomie <i>« c’est comme le vélo, ça ne
s’oublie pas »</i> La dame n’était pas non plus avare de
le laisser s’introduire par cette voie particulière quand il le
lui proposait avec délicatesse : </span>
</p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Si vous m’y autorisez, ma chère, il ne me déplairait pas
de vous défoncer la rondelle » </span></i>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">annonçait-il
alors à celle qui reprenait l’expression qu’elle avait utilisée
en d’autres circonstances tout aussi émoustillantes : </span>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"><i> -
« Mais faites donc, mon ami, j’en serais ravie ! »</i>
</span>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Le
jeu continuait alors dans un dialogue quelque peu surréaliste :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Fichtre, que votre trou du cul donne envie, madame ! »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
écartait les fesses généreuses pour mieux le découvrir</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Faites, faites donc ! Il n’attend que votre dard, vous
le voyez bien ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
se cambrait pour faciliter la chose.</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Mon Dieu qu’il va être bon de vous enculer,! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
présentait le gland à demi découvert contre l’anus déjà
entrouvert.</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Tout le plaisir est pour moi…. Allez, monsieur, hardi ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
ne se faisait pas dire deux fois, et pénétrait le trou divin avec
un soupir de plaisir.</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Ah ! Putain que c’est bon ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Dans
le feu de l’action il lui arrivait en effet d’oublier la
correction du langage. Et la dame, à qui la pénétration de son
fondement ne faisait pas perdre le sens de l’humour de répliquer :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oh, monsieur ! Serait-ce à moi que s’adresse ce mot
? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
saisissait la balle au bond :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Je ne me le permettrais pas, Madame ! Mais vous êtes en
effet une belle salope ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Constatait-il
alors qu’elle feulait au rythme de ses coups de reins.</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oui ! Je suis votre salope ! Vous me faites
mourir ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
accentuait encore sa jouissance en se caressant en même temps le
minou, ce qui, bien sûr, n’échappait pas à son partenaire :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Mais que fait là votre main, très chère ? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
ne tentait pas de nier, bien au contraire :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Je m’astique le minou, Monsieur. Oui, je me branle,
Monsieur ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Le
Père Castor embrayait tout en continuant à la pilonner :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Pensez-vous que ce soit correct pour une dame comme vous ? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
continuait le jeu :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oh non, Monsieur ...c’est...c’est mal ...je sais ...je
suis une petite cochonne ! »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Et qu’est-ce qui arrive aux petites cochonnes, ma belle
salope ? »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Elles sont punies, Monsieur ... »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Punies comment, Madame ? »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« ...la...la fessée...Monsieur...oui, la fessée !
Allez-y Monsieur !»</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">On
serait étonné que le vieux pervers n’obtempère pas à une telle
invitation. Aux claquements de son ventre contre les fesses,
s’ajoutaient donc ceux de ses deux mains frappant le cul en
cadence.</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Quand
la Président jouissait avec un râle guttural, elle n’aurait su
dire elle-même si c’était sa masturbation, l’enculage, ou la
fessée qui en était la cause !</span></p>
<h4 class="western" style="font-style: normal;"><a name="__RefHeading___Toc1195_427130317"></a>
<span style="background: transparent;">Secrets respectés et révélés.</span></h4>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Respectueuse de celui qui était
devenu son « Monsieur », la maman de Framboise ne posa
jamais la moindre question à celui-ci à propos de ce dont elle
avait été le témoin. Le Père Castor continuait à s’occuper de
ses fesses chaque semaine, elle continuait à recevoir ainsi sa
raclée hebdomadaire, peu lui importait qu’il en flanque aussi à
d’autres. De son côté le Père Castor, comme il l’avait fait
toute sa vie, pratiquait une sorte de strict cloisonnement. Il
considérait qu’il était impératif qu’il respecte l’intimité
des deux femmes qu’il fessait avec le même plaisir. Quand la
Présidente, aussi curieuse que bavarde, avait tenté de l’interroger
sur <i>« cette charmante jeune dame » </i>à la punition
de laquelle elle avait assisté <i>« accidentellement »</i>
la seule réponse avait été une volée de martinet plus longue
qu’à l’ordinaire , puisque le Père Castor amenait
régulièrement « ses affaires » lors de ses visites. </span>
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3141_75025378"></a>La
Comtesse aussi !</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1630_2069606885"></a>Découverte !</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Quant à la Présidente, aussi
bavarde qu’elle ait été, elle n’allait pas aller crier sur les
toits ses frasques, et encore moins sa conversion à la fessée. Elle
avait assez intériorisé les règles morales de son milieu social
pour qu’elle tienne à sa réputation de veuve chaste et digne.
Ainsi, ses tenues vestimentaires restaient des plus strictes, le plus
souvent en camaïeu de gris et de violet. Et nul n’eut pu deviner
que sous ses jupes tellement correctes qu’elles en étaient
tristounettes se cachaient parfois des fesses rougies. C’est du
reste ces marques qui ornaient souvent ses fesses plusieurs jours
après qu’elles aient été faites par les instruments du Père
Castor qui amenèrent son amie Madame De Frange, une authentique
fausse comtesse, à découvrir le pot aux roses, encore qu’il se
soit plutôt s’agit de rouge. La Présidente et elle étaient amies
depuis l’adolescence. Comme elles tenaient, l’une et l’autre, à
prendre soin de leurs corps, et que le mari de la pseudo comtesse
était assez riche pour avoir fait installer une salle de sport dans
leur luxueuse maison, elles s’y rendaient régulièrement de
concert. A l’issue de ces séances, les deux femmes passaient à la
douche. Toutes pétries des habitudes et principes des femmes de
leur génération, elles ne se douchaient pas ensemble, passant sous
le jet l’une après l’autre. Po<span style="color: black;">urtant, il
arrivait, comme ce fameux samedi, que l’une ou l’autre revienne
par inadvertance dans la salle d’eau avant que l’autre</span><span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">
n’ait terminé</span></span><span style="color: black;"> ses ablutions.
La Présidente n’était pas si pudibonde, </span><span style="color: black;">elle
ne s’offusqua pas </span><span style="color: black;"> </span> du retour
intempestif de son amie. Tout juste eut-elle le réflexe, quand son
amie surgit devant elle alors qu’elle se douchait, de ramener
d’abord les bras sur sa poitrine pour cacher ses seins, dans ce
geste naturel aux femmes , qui découvrent ainsi ce qui,
peut-être, mériterait d’être encore plus caché. Nombreux sont
les hommes qui, surprenant ainsi une dame dans son plus simple
appareil, l’o<span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">nt
vue </span></span>ainsi laisser voir son sexe, qu’il fut glabre ou
au naturel. La Comtesse, respectueuse des règles de la bienséance
et de l’intimité de son amie, s’excusa et allait se retourner
pour ne pas la gêner. Mais la Présidente, consciente qu’elle ne
pouvait dissimuler tout ce qui aurait dû l’être, prit la même
initiative, et se tourna vers le fond de la douche, comme si le fait
de na pas voir pouvait lui éviter d’être vue. Et comme elle
pivota sur elle-même plus vite que la <span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">Comtesse,
celle-ci aperçut, certes fort brièvement, un postérieur marbré de
bleu et zébré de fines traces violettes. Elle sortit de la salle
d’eau sans faire de commentaire, mais quand les deux amies se
retrouvèrent autour de leur traditionnelle tasse de thé, elle ne
put s’empêcher de revenir sur sa fugace découverte.</span></span></span></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1632_2069606885"></a>Perspicacité.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;"> - <i>« Je ...je suis
désolée, ma chérie. Je n’avais pas pensé que tu étais encore
... »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">La
Présidente fit le choix de prendre la chose à la légère :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Encore … « à poil » ..eh bien si ...mais
tu n’as pas à t’excuser. Après tout, comme on dit parait-il
« nous sommes entre femmes » non ? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">Mais
son amie, qui semblait plus gênée qu’elle, insista :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oui bien sûr, mais ...tu sais...j’ai vu ... »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">Cette
fois, la Présidente ne pouvait pas ne pas comprendre la raison de
l’étonnement de son amie. Elle tenta pourtant de rester sur le
registre de la plaisanterie :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Ah, ça, je n’en doute pas. Tu as vu...la lune comme disait
parfois galamment mon défunt mari. Et je gage que tu n’en as pas
perdu la vue ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">La
comtesse esquissa un sourire un peu contraint. Son amie ne l’avait
pas habituée à utiliser ce genre de langage, et encore moins à des
allusions à son intimité passée avec son mari. </span>
</p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> - « Non,
mais je..enfin...tu sais bien ..j’ai vu...dans quel état il
est ! »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;"><span style="font-style: normal;">Cette
fois, la Présidente</span><i> </i><span style="font-style: normal;">comprit
qu’elle ne pourrait éviter de répondre à la question que, </span><span style="color: black;"><span style="font-style: normal;"><span style="font-weight: normal;">du
reste, so</span></span></span><span style="font-style: normal;">n amie
n’avait pas posée :</span></span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Ah..oui...ne t’inquiète pas ...une chute toute bête dans
l’escalier ... »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">Avait-elle
espéré que son ami<span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">e
crût à</span></span> cette explication, ou espérait-elle seulement
qu’elle fasse comme si elle s’en contentait ? Si tel est le
cas, son espoir fut déçu puisque la Comtesse non seulement n’en
crut rien mais elle la regarda cette fois bien en face et énonça
d’une voix tranquille :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;"> -« <i>Non,
ma chérie ...tu n’es pas tombée dans l’escalier... »*</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">La
Présidente riposta, presque exaspérée :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i><span style="background: transparent;"> - « Mais si, je
t’assure! Je le sais quand même ! Et ...et j’ai la peau qui
marque si vite ... »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">La riposte de son amie la cloua
sur place :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> -<i>« Ah pour ça, oui,
tu peux le dire, quand tu en as pris une bonne, ça se voit ! »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Elle tenta bien d’esquiver
une nouvelle fois, mais en commençant à bredouiller un peu :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> -<i>« Comment ça ...que
veux tu dire enfin ! »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">« Le » mot n’avait
pas été prononcé, mais, bien sûr, elle avait compris ce que son
amie avait compris elle-même. Du reste elle le lui confirma :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> -<i>« Écoute, ma
chérie,je te prie de m’excuser, après tout, tout cela ne me
regarde pas. Tu n’es en rien obligée de m’en dire plus. Mais
crois moi ...je suis bien placée pour reconnaître les marques d’une
bonne fessée ! »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">L’insistance de son amie
avait contrarié la Présidente. Mais les derniers mots de la
Comtesse avaient aussi attisé sa curiosité légendaire. Aussi,
quoiqu’elle <span style="color: #ff3333;"><b>eût </b></span>préféré que
la conversation en reste là, elle ne put s’empêcher de
s’exclamer :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> -<i>« Comment ça « bien
placée » ? »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">La comtesse eut un sourire un
peu ironique, mais elle répondit sans tergiverser :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;"><span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span></span><i><span style="text-decoration: none;">« </span></i><span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;">
</span></span><i><span style="text-decoration: none;">Mais parce que
je suis quand même capable de voir l’état des miennes quand ça
m’arrive, ma chérie ! »</span></i></span></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1441_398011821"></a>Habitudes
conjugales</h5>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
La Présidente en resta bouche bée. Elle balbutia péniblement :</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Tu...toi aussi
tu….enfin….mais…. »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Elle semblait tellement désemparée que la Comtesse eut presque des
scrupules à la mettre ainsi en peine. Aussi choisit-elle d’être
directe :</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Eh bien oui, ma
chérie ...j’ai souvent eu le popotin dans un état assez proche du
tien aujourd’hui. Mais tu le sais, je suis une épouse … je peux
donc l’avouer sans </span></i><span style="text-decoration: none;">
</span><i><span style="text-decoration: none;">cacher qui en est le
responsable ... »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
La Présidente, qui connaissait le mari de son amie s’étonna :</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Tu veux dire
que Pierre, enfin je veux dire que ton mari ... » ?</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="text-decoration: none;"> -
« </span><i><span style="text-decoration: none;">Que mon mari a
en effet une conception disons ...traditionnelle des relations
conjugales. »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - « Il te ...pour te punir ? »</i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i>- « Bien entendu ! Aussi charmant et humaniste qu’il
soit, il a toujours considéré que l’épouse devait obéissance à
son mari, vois-tu. Il faut dire que dans son milieu, cela apparaît
comme une évidence. Dès lors que je lui étais « promise »
comme on disait encore en ce temps là dans ces famille, je savais
qu’il considérerait le droit de me punir, comme tu dis, comme
aussi une évidence. »</i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - </i><span style="font-style: normal;">« </span><i>Et tu …
enfin...tu trouvait cela ...normal ? »<br />
- « A
vrai dire, je ne me suis pas posée la question tu sais. Dans notre
milieu et à l’époque, cela ne choquait personne je crois. »</i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - « Je veux dire...pour te punir « pour de vrai » ? »</i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
La naïveté, réelle ou simulée, de la Présidente fit sourire son
amie :</p>
<p align="left" style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> -« Ah oui ... »pour de vrai », comme tu dis !
Monsieur mon mari n’a jamais donné une tannée « pour
rire », je peux te l’assurer. Mais en même temps, il ne m’a
jamais non<span style="color: black;"> plus </span>fessée sans de vraies
raisons. »</i></p>
<p align="left" style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - « Et...tu acceptes encore aujourd’hui ? »</i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Sans s’en rendre compte, la Présidente, par cette question qui
pouvait apparaître aussi comme une sorte de reproche, donnait en
quelque sorte « des verges pour se faire battre » :</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="text-decoration: none;"> - </span><i><span style="text-decoration: none;">« Oh,
ma chère, il me semble que, toi aussi, tu as ...accepté, non ? »</span></i></p>
<p align="left" style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - « Euh… oui ...bien sûr ..mais ...je veux dire...ce
n’est pas la même chose ... »</i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<i><span style="text-decoration: none;"> -« En es-tu bien sûre,
ma chérie ? Tu sais, quand o</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">n
reçoit une vraie fessée – et l’état de ton postérieur
m’incite à croire que c’est bel et bien ce qui t’est arrivé –
c’est toujours une « punition ». Et en même temps,
rassure-toi, quelques douloureuses que soient celles de Monsieur mon
mari, elles ont aussi les conséquences que tu connais, </span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">j’en
suis persuadée »</span></i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Comme la Présidente affectait de ne pas comprendre, son amie
n’hésita pas à mettre les points sur les « i » :</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="text-decoration: none;"> «</span><i><span style="text-decoration: none;">Encore
une fois, ma chérie, tu peux « garder le silence » comme
on dit dans les films policiers. Mais je ne me fais aucun soucis pour
toi, tu sais. Je te connais assez pour savoir</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">
que si tu te laisses m</span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">artyriser
ainsi le popotin, c’est que tu y trouves ton compte ! Et
laisse moi te dire que c’est très bien ainsi. </span></i>
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Elle n’éprouva aucune gêne à convenir que, de son côté, la
fessée était entrée dans sa vie comme une marque d’obéissance à
son mari. Mais elle avait vite constaté que, paradoxalement,
celui-ci était aussi plus enclin à des marques de tendresse quand
il lui avait tanné les fesses :</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Eh
bien oui, ma chérie, toute innocente que je fus alors ;
puisque, bien évidemment, celui qui devint mon mari était le
premier ; j’ai vite pris goût à « l’œuvre de
chair »comme disait nos confesseurs à la pension. Et je dois
dire que … j’ai tout de suite trouvé cela bien agréable !
J’ai sûrement eu finalement de la chance de tomber sur un mari
qui, tout en ayant des idées bien arrêtées sur le discipline
conjugale et les moyens de la faire régner, savait aussi donner du
plaisir à une femme. Alors, il ne m’a pas fallu longtemps pour
constater qu’il était particulièrement en forme de ce point de
vue quand il m’avait auparavant flanqué une fessée. Pour le dire
sans périphrase, il avait plus envie de baiser, et il me baisait
mieux, quand il m’avait fessée ! »</span></i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Pour autant, précisait-elle, elle n’avait jamais provoqué
consciemment les punitions. Elles étaient assez douloureuses pour
qu’au contraire, elle ait tout fait pour les éviter autant que
possible.
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Je
dois le reconnaître, jamais mon époux ne m’a punie sans raison,
et encore moins pour son plaisir.Tu comprends, à ses yeux, la
discipline conjugale, et donc les punitions qui vont avec, c’est un
sujet sérieux. Il a toujours tenu à ce que les raclées qu’il
m’administrait soient justifiées et surtout que j’en sois
moi-même persuadée. Ainsi, sauf cas exceptionnels, la fessée, chez
nous, n’est jamais appliquée sous le coup de la colère. Avec le
temps, il ne lui est même plus nécessaire de m’avertir de sa
décision. A la manière qu’il a de me regarder quand il const</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="background: transparent;">ate
une réaction, un mot, une attitude qui, selon lui méritent
sanction, je comprends aussitôt que j’y aurai droit. Mais … il
est alors trop tard. Je sais fort bien que rien de ce que je pourrai
dire ne le détournera de sa décision. En plus, tu me connais, je
suis trop fière pour tenter de l’attendrir. Pourtant, il y a des
fois où, finalement, je préférerais presque prendre ma volée
immédiateme</span></span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">nt.
Au lieu de cela je passe des heures, parfois des jours, en sachant
très bien que « ça » va tomber, mais dans l’incertitude
permanente sur le moment. »</span></i></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2989_665392713"></a>Une
chaude soirée</h5>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
La Présidente n’eut pas besoin d’interroger plus avant son amie.
Celle-ci, en veine de confidence, lui détailla les pratiques de son
mari en la matière. Ainsi, lui dit-elle, il pousse parfois la
perversité jusq<span style="color: black;"><span style="background: transparent;">u’à
sembler avoir oublié la punition méritée. Et elle tombait alors au
moment où la victime s’y attendait le moins</span></span>.
L’empêchant ainsi de s’y préparer. Et surtout lui imposant de
reprendre, après, la vie normale avec le derrière en feu. Elle
rappela à son amie une soirée quelques mois auparavant :</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Tu
sais, nous sommes arrivés les derniers chez nos amis les Fleurin.
Et, peut-être ne l’as tu pas remarqué, mais plusieurs de nos
amies m’ont demandé avec un peu d’insistance si j’allais bien.
Eh bien, quoique j’ai prétendu le contraire, je n’allais pas
bien du tout ! Quelques jours auparavant, je m’étais bêtement
emportée pour un motif finalement futile. Il s’était contenté de
commenter froidement : « tu ne seras pas étonnée des
conséquences, ma chérie. » Je m’attendais donc à prendre
ma volée le soir même ou le lendemain. Pourtant, trois jours sont
passés sans qu’il ne fasse la moindre allusion à cette colère
injustifiée. Je dois même dire – puisque nous en sommes aux
confidences tu m’en excuseras – qu’il s’est montré … très
tendre un soir, sans faire précéder les câlins par d’autres
pratiques. A tel point que, le fameux soir de l’invitation chez nos
amis, je me suis préparée tout à fait sereinement. Quand je suis
descendue, élégamment habillée,pomponnée et parfumée, et même
pas en retard (après tant d’années et tant de raclées pour ce
motif, c’est encore mon incapacité à être à l’heure qui me
vaut le plus de raclées) mon mari était lui aussi habillé pour
sortir. J’avais déjà en main la potée de fleurs que nous allions
amener à Paulette quand il me dit très tranquillement : </span></i><span style="text-decoration: none;">« </span><i><span style="text-decoration: none;">Les
Fleurin nous attendent pour vingt heures trente, nous avons le temps
de régler notre petit problème avant de partir. » Il n’avait
pas besoin d’en dire plus, tu penses bien que j’avais compris.
Pourtant, et c’est tout à fait</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">
exceptionnel, crois-moi, j’ai tenté non pas de le dissuader, mais
au moins d’obtenir qu’il reporte l’échéance. Mal m’en a
pris, puisque, à peine avais-je suggéré ce report qu’il
m’informa qu’il considérait cette</span></span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">
suggestion comme une insolence.Or, avec le temps, nous avons pris des
habitudes, pour ne pas dire des rituels. Je sais donc bien que, pour
lui, insolence signifie l’utilisation du martinet. </span></i></span>
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">A ce mot, la Présidente ne put
s’empêcher de s’exclamer :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Oh ! Lui
aussi ? »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">La naïveté de la question fit
une fois de plus sourire la Comtesse :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Eh bien oui …
tu sais...c’est un instrument assez courant dans les foyers ! »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Elle ne le dit pas, mais la
question de son amie lui confirmait qu’elle avait, elle aussi, fait
connaissance avec cet objet qui n’était donc pas utilisé
seulement par les époux. Puis elle reprit son récit :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> -
« </span><i><span style="text-decoration: none;">Conformément à
nos règles, j’ai donc dû aller le décrocher et le lui amener. »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;">La
chose lui paraissait tellement banale qu</span><span style="color: black;"><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">’elle
ne précisa par sur le moment que le martinet était toujours pendu à
un crochet dans leur chambre conju</span></span></span><span style="text-decoration: none;">gale.
Ni que, quand son mari décidait de l’utiliser dans une autre
pièce, elle était contrainte d’aller le chercher elle-même et de
le lui présenter, posée sur les paumes de ses mains, et les yeux
baissés.</span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« J’avais bien
compris que, plus la chose prendrait de </span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">temps,
plus nous risquions d’avoir à expliquer notre retard chez nos
amis. J’ai donc </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">obtempéré</span></span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><b>
</b></span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">s</span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">ans
tarder aux injonctions de mon mari : « Tu te mets en
position et en tenue ! » Il n’était pas nécessaire
qu’il les précise. J’ai donc retroussé ma robe, en faisant en
sorte qu’elle ne retombe pas quoi qu’il arrive, sachant fort bien
qu’en ce cas la séance reprendrait au début. Comme à mon
habitude pour sortir, je portais des bas, des vrais bien sûr (ceux
qui tiennent seuls ou les collants ne sont tolérés par mon mari que
fort exceptionnellement, et le pantalon est, lui, interdit en toutes
circonstances) et il y a bien longtemps que j’ai pris l’habitude
de passer la culotte par dessus les jarretelles. Pas seulement pour …
ce qui allait suivre, mais aussi plus prosaïquement pour faire pipi
de façon plus confortable. Je savais évidemment que la culotte
devrait être baissée, le plus souvent mon mari se charge de ce
qu’il appelle, un peu vulgairement, la « mise à l’air ».
mais, ce jour là, il m’annonça fermement : « tu peux
la retirer, tu n’en auras plus besoin » Certes, c’est aussi
une règle que j’ai intégrée, après la fessée je reste
généralement les fesses nues. Mais, en la circonstance, cela
voulait dire aller à la réception le cul nu. La perspective était
assez angoissante, même si la robe tombait au-dessous des genoux,
pour que je prenne le risque de tenter : « Mais tu sais
bien que nous sortons. Je</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">
ne peux pas y aller ... » La riposte fut immédiate : « Un
nouveau refus d’obéissance ? Tu les</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">
multiplies </span></span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">au</span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">jourd’hui ! »
et la menace encore plus explicite : « Cul nu
immédiatement, sinon tu vas aussi chercher la brosse à cheveux ! »
</span></i></span>
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Elle suffit à faire cesser
toutes velléités de discussion chez l’épouse. D’un geste aussi
assuré <span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">que</span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">
</span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">le</span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">
</span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">tr</span></span>emblement
de ses mains <span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">le
</span></span>lui permettait, elle fit donc descendre la culotte
soyeuse jusqu’à ses pieds, puis la posa sur la table du salon sur
laquelle elle se pencha. Conformément à ses habitudes, le mari
annonça les « motifs » avant d’agir :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; font-weight: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="color: black;"><span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Pour
ton attitude inadaptée »</span></i></span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; font-weight: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="color: black;"><span style="background: transparent;">Le
martinet s’abattit à douze reprises sur le postérieur exposé. La
Comtesse reçut cette douzaine de flagellations sans mot dire, en
serrant les dents. Puis elle se redressa et parvint à articuler,
appliquant ainsi une autre règle intangible de leur couple :</span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; font-weight: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="color: black;"><span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Merci »</span></i></span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Mais elle ne se faisait aucune
illusion, et ne fut donc p<span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">as
étonnée </span></span>d’entendre :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Et
maintenant pour les refus d’obéissance »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Douze nouveaux coups, dont
plusieurs s’égarèrent sur l’arrière des cuisses, provoquant
inévitablement des plaintes que la victime ne parvenait plus à
retenir. Cette fois le « merci » fut prononcé d’une
voix cassée. Mais l’implacable mari n’était pas satisfait pour
autant :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« J’ai
dit « les » refus. Tu te remets en place. Tout de
suite. »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Elle obtempéra encore, sachant
fort bien que toute tentative ne ferait que faire se prolonger la
séance. Mais cette fois, le premier des douze coups fit jaillir les
larmes. Et c’est en sanglotant qu’elle parvint à articuler le
dernier « merci ». </span>
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;">A
sa grande honte, la Présidente sentait les pointes de ses seins</span><span style="color: #ff3333;"><span style="text-decoration: none;">
</span></span><span style="color: #ff3333;"><span style="text-decoration: none;"><b>se</b></span></span><span style="text-decoration: none;"><b>
</b></span><span style="text-decoration: none;">durcir et son intimité
d’humidifier en entendant ce récit. Elle parvint cependant à
cacher son trouble tandis que la Comtesse poursuivait :</span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Tu
comprends, ce n’est sûrement pas la volée la plus sévère qu</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">e
j’aie eu à</span></span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">
subir. Mais, je t’assure, passer la soirée le cul nu et brûlant,
et devoir faire bonne figure alors que j’avais tellement de mal à
m’asseoir sans grimacer, ça été une vraie épreuve ! »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Pourtant, elle termina son
témoignage de manière presque primesautière en lançant avec un
sourire mutin :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Mais je dois dire
que la soirée s’est finalement bien terminée puisque mon mari m’a
rendu les hommages dès que nous fûmes rentrés à la maison ! »
</i></span>
</p>
<p align="left" style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<br />
<br />
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1419_398011821"></a>Des
dames si dignes</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1453_398011821"></a>Infidélités</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"> Les deux femmes
retrouvèrent ainsi les échanges de secrets de leurs jeunes années.
La franchise de son amie, son absence totale de dissimulation, amena
la Présidente à abandonner elle aussi toute prévention. Elle passa
donc aux aveux sans barguigner. Son amie constata ainsi que flanquer
la fessée avait manifestement le même effet sur la libido du Père
Castor que sur son propre mari. De son côte, elle n’hésita même
pas à révéler à son amie qu’il lui était arrivé de donner
quelques coups de canif au contrat de fidélité conjugale. Elle ne
doutait pas qu’il en ait été de même pour son mari, mais elle
savait bien que l’adultère était mieux accepté quand il
concernait l’époux que l’épouse. Aussi avait-elle pris soin que
ces quelques aventures extra conjugales soient assez discrètes pour
qu’elles ne risquent pas d’être connues de son mari.
</p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"> <i>« Tu sais
bien que l’herbe paraît toujours plus v</i><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">erte
dans </span></span></i></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">le
pré </span></span></i></span></span><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">d’à
c</span></span></i></span><i>ôté. Et il faut bien dire que c’est
parfois vrai. Ne nous cachons pas les faits, les habitudes, ça a du
bon parfois, mais on a aussi besoin de nouveautés … Et puis, même
si, encore une fois, l’exercice de l’autorité conjugale continue
à doper les ardeurs de mon seigneur et maître, l’accumulation des
années amène à ce que le petit soldat soit moins souvent apte à
monter à l’assaut. Alors, oui, quelques amis de mon mari, ou des
plus jeunes rencontrés ici ou là. Après tout les auberges et les
petits hôtels discrets ne sont pas faits pour les chiens ! »</i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">Pourtant, bien
qu’elle n’ait pas été rongée par les remords, elle convint
que, après chacune de ses frasques, elle avait, inconsciemment,
multiplié les comportements justifiant des punitions maritales.
Comme si elle avait intériorisé le fait que ses infidélités
méritaient d’être sanctionnées, quand bien même celui qui
infligeait les punitions ignorait les vraies raisons de celles-ci.
Paradoxalement, prendre une raclée après qu’elle ait trompé son
mari lui ôtait tout regret de l’avoir fait. Et même semblait lui
donner une sorte d’absolution l’autorisant à recommencer. Elle
convenait aussi qu’elle avait ressenti une sorte de jouissance
perverse à être ainsi la seule à connaître le vrai motif des
volées qu’elle subissait. Et plus encore à recevoir, ensuite, ce
qu’elle continuait à appeler, d’une expression un peu désuète
« les hommages » de son mari après qu’il l’ait
fessée d’importance sans savoir qu’elle avait auparavant reçu
ceux d’un autre. Si elle avait cédé aux avances de quelques
amants de passage, aucun d’entre eux n’avait jamais pratiqué à
son endroit comme le faisait son mari. Elle le disait sans
détour :«<i> ils </i><i><span style="background: transparent;">m</span></i><span style="font-size: small;"><i><span style="background: transparent;">’ont
</span></i></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">baisé</span></span></i></span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">e</span></span></i></span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: x-large;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">,</span></span></i></span></span><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">
mai</span></span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">s
il n’y a que lui qui m’a fessée </span></span></i></span><span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">».
Après tout, c’était peut-être, à ses yeux, une forme de
fidélité conjugale. De même, jamais elle n’avait raconté cet
aspect de sa vie intime à ses amants. Mais, en entendant la
Présidente faire le récit des visites du Père Castor, elle
convenait qu’il faisait naître en elle quelques envies interlopes.
Attentive à respecter le jardin secret de son a</span></span></span>mie,
elle ne lui en dit rien, mais après leurs conversations si intimes,
il lui arriva à plusieurs reprises de se donner du plaisir en
imaginant une rencontre avec ce vieux professeur qu’elle ne
connaissait que par les confidences de la Présidente. Elle
s’imaginait volontiers dans la même posture que celle-ci quand
elle avait reçu sa volée sous les yeux de la maman de Framboise.
Comme elle l’avoua plus tard à son amie, il lui était déjà
arrivé d’être fessée par son mari sous le regards de tiers. Mais
il lui semblait que la honte de l’être par un autre devait être
un épice particulièrement relevé.
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1455_398011821"></a>« Je
ne suis pas la seule »</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.8cm; page-break-before: auto;">
En effet, la Présidente l’y poussant par ses questions, elle
revint souvent sur les habitudes claquantes de son mari. Comme son
amie continuait à s’en étonner, elle lui affirma sereinement :</p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;"> - <i>« Mais
ce n’est pas si extraordinaire, tu sais. Je ne suis pas la seule,
loin de là ! </i>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;">Ajoutant
même :</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;"> -
<i>« Peut-être en effet que le « panpan cucu » est
plus répandu dans le monde que mon mari et moi fréquentons. »</i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;">Elle
cita ainsi plusieurs de ses amies de ce qu’il est convenu
d’appeler, en province « la bonne société » qui,
selon elle, avaient plus souvent qu’à leur tour les fesses
rougies.
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;"> -
<i>« Elles te l’ont dit ? »</i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;"><i> -
« Par vraiment, en tous cas pas comme...enfin comme nous
pouvons en parler.Mais certaines allusions à des soirées
difficiles, certaines grimaces quand Madame Sain</i><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">t-Marc
s’assoit, o</span></span></i></span><i>u les regards échangés
entre Monsieur de Grignon et sa charmante bécasse de jeune épouse
quand celle-ci bavarde à tort et à travers m’ont mis la puce à
l’oreille. »</i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;">Puis,
devant la curiosité insatiable de son amie, elle poursuivit ses
explications.</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1423_398011821"></a>Punitions
ancillaires.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.8cm; page-break-before: auto;">
- <i>« Tu sais, c’est aussi une de ces pratiques qui ont
(peut-être heureusement) </i><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">disparu
aujourd’hui, mais qui ont perduré plus longtemps qu’on ne le
croit dans ce milieu si ferm</span></span></i></span><i>é et si
secret. Malgré les lois sociales, il a été longtemps admis dans
ces familles qu’il était légitime et même nécessaire de traiter
ainsi les « bonniches » </i>
</p>
<p>Elle arrêta d’un geste la Présidente qui regimbait devant ce
terme qui choquait ses convictions progressistes.
</p>
<p> - <i>« Épargne moi ton couplet Front Popu, ma chérie.
D’abord je ne te dis pas que j’approuve, je te dis ce qui est. Et
puis, si j’ai bien compris, ton instit, tout gaucho qu’il doit
être, ne répugne pas à traiter cette petite un peu comme une
soubrette non ? » </i>La remarque n’était pas dénuée
de bon sens, et la Présidente renonça à en débattre et laissa le
Comtesse poursuivre :</p>
<p> - <i>« Et puis, quand même, les choses on</i><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">t
changé.</span></span></i></span><i> Moi, je n’ai pas connu cette
époque, et mon mari non plus, enfin je crois. Mais mon beau-père
m’a raconté comment son propre père (tu vois que ça remonte
loin, c’est plus la peine de créer un syndicat) réglait ce qu’il
appelait « le service » dans sa maison. A l’époque il
y avait une cuisinière, une flopée de bonnes, plus un cocher, puis
plus tard un chauffeur. Les émoluments étaient versés en liquide
chaque quinzaine, le vendredi soir. C’était l’habitude pour le
personnel de maison. Mais ces vendredis là, chez les De Frange, on
ne distribuait pas que les enveloppes. La cuisinière, qui était
mariée avec le chauffeur, avait préparé celles-ci. Et quand une
des employées avait commis une faute de service quelconque, c’est
aussi la cuisinière qui annonçait devant tout le monde la faute …
et sa conséquence. </i>
</p>
<p>Pas sûre d’avoir bien compris, la Présidente interrompit :</p>
<p> - <i>« La conséquence ? Tu ne veux pas dire ... »</i></p>
<p>Mais si, elle voulait bien dire !</p>
<p><i> - « Je sais que cela paraît fou mais mon beau père
était persuadé d’être en quelque sorte un patron progressiste
puisqu’il ne pratiquait pas de retenue sur salaire ! La
conséquence, eh bien c’était que la fautive devait avancer (les
employées étaient rangées en rang d’oignon devant la cuisinière,
le chauffeur et « Monsieur et Madame » ) ébaucher une
révérence devant ses patrons et dire : « je vous prie de
m’excuser, Madame, Monsieur » Puis elle se tournait vers la
grande </i><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">cheminée,
et </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">elle
retirait son tablier … »</span></span></i></span></p>
<p>A ce moment de son récit, la Comtesse ébaucha un sourire avant
de poursuivre :</p>
<p> - <i>« Tu sais, mon beau-père, sous ses airs de pater
familias qui allait à la messe tous les dimanches avec toute sa
tribu, je pense que c’était un sacré vicelard. Je vois encore son
regard torve quand il me racontait par le menu ce à quoi il avait
assisté, ou ce qu’on lui avait lui-même raconté, je n’ai
jamais vraiment su.Quand il expliquait qu’une fois son tablier
enlevé, la soubrette se penchait et posait les mains sur la cheminée
après avoir retroussé sa combinaison et baissé sa culotte. (Là,
les yeux lui sortaient de la tête, le vieux !) C’est Julien,
le chauffeur, qui s’emparait alors d’une large bande de cuir qui
restait en permanence accrochée au manteau de la cheminée. Le vieux
pervers remarquait froidement « ça contribuait beaucoup à la
qualité du service . » En règle générale, c’était
une douzaine de coups que recevaient les postérieurs dénudés. Ils
y laissaient des marques rouges sur les peaux blanches. Certaines des
soubrettes les subissaient sans broncher. D’autres (je reprends les
termes du vieux pervers) « piaillaient » ou
« couinaient ». Sans se retourner, elles remontaient
</i><i>ensuite</i><i> leurs grandes culottes blanches, faisaient
retomber leurs combinaisons, </i><span style="color: red;"><i><b>et</b></i></span><i>
remettaient leurs tabliers. Puis elles faisaient face à « Monsieur
et Madame » et reprenaient leur place au côté de leurs
collègues. »</i></p>
<p>Et la Comtesse ajoutait :</p>
<p><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;"> « Il
ne me l’a jamais dit, mais je suis assez persuadée qu’en dehors
de ces punitions ancillaires, le maître de maison devait parfois
s’occuper des jeu</span></span></i></span><i>nes soubrettes Ça
aussi, c’était des mœurs plus que courante dans ce monde. Je ne
sais pas si, alors, les fesses des soubrettes étaient rougies.
Peut-être … Peut-être aussi que c’est parce qu’aujourd’hui
les « employées de maison » ne peuvent plus être
traitées ainsi que les maris se contentent des fesses de leurs
épouses ! »</i></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1630_792374993"></a>En
famille</h5>
<p>Cette dernière remarque ramenait la Comtesse à la fessée
conjugale, la bonne vieille fessée des familles. Puisque, pour elle,
la fessée était aussi, sinon d’abord, « une histoire de
famille ».</p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;"> <i>« Comme je
te l’ai dit, que mon mari considère que punir sa femme, et de le
faire en lui claquant les fesses pour dire les choses clairement,
soit son droit sinon son devoir ne m’a en rien étonnée. Je pense
même que, d’une certaine manière, j’ai toujours su qu’il en
serait ainsi. Dans ma famille, ça ne se discutait même pas :
un mari, c’est un « chef de famille ». Donc il lui
appartient, quand il l’estime nécessaire, de sévir, de punir. Ni
les enfants, ni le personnel, et encore moins les épouses n’auraient
eu l’audace de remettre ce droit en cause. Ni de se plaindre de
recevoir parfois une volée sur les fesses »</i></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">La Présidente, dont
la famille n’était pas du même milieu que celle de son amie,
l’interrogea :</p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;"> - <i>« Ta
maman ...elle aussi … ? »</i></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;"> - « Oh, tu
sais, ce ne sont pas des choses dont on parlait en famille. Du reste,
on ne parlait de rien ! Mais je l’ai aucun doute, ma chère
maman devait de temps en temps avoir les fesses bien chaudes. A moins
d’être une sainte, elle aurait d’ailleurs sûrement bien été
la seule à ne pas prendre parfois sa raclée. »
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1427_398011821"></a><span style="color: black;"><span style="background: transparent;">Entre
gens « du même monde »</span></span></h5>
<p><span style="color: black;"><span style="background: transparent;">Ces
révélations, c’en était vraiment pour la Présidente, lui firent
véritablement découvrir un monde qui lui avait été jusque là
inconnu. Habilement, par petites touches pour ne pas paraître trop
obnubilée par la question, elle amena son amie à revenir souvent
sur les pratiques qu’elle lui révélait.</span></span></p>
<p><span style="color: black;"><span style="background: transparent;">Ainsi
elle découvrit, à demi-mot d’abord, puis plus explicitement, que
les punitions corporelles n’étaient pas toujours reçues seulement
dans l’intimité familiale. Comme le disait avec une pointe
d’humour la Comtesse : « </span></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">Tu
comprends, ma chérie, la pudeur est une vertu à laquelle, bien sûr
nos maris sont attachés. Et s’il m’arrivait d’arborer des
tenues qui ne la respecte pas, le mien en tirerait à coup sûr
argument pour une volée carabinée.</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">
Pourtant, il y a déjà fort longtemps, je veux dire quand nous
étions bien plus jeunes qu’aujourd’hui, il avait un jour la
ferme intention de « m’en coller une », et il m’
avait informé</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">e</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">
qu’il avait l’intention de le faire le soir même, « </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">en
apéritif » précisa-t-il</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">.
Et </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">comme</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">
je lui </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">faisai</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">s</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">
remarquer qu’il ne pouvait en être question puisque nous
attendions nos amis les Fleury à dîner il me rétorqua calmement :
« Mais pourquoi pas ? Je suis bien persuadé que mon ami
Paul partage mes conceptions </span></i></span><i>et mes pratiques.
Et puis, nous serons entre gens du même monde ... » Eh oui,
nouvelle illustration des conceptions sociales de mon cher mari, il
lui semblait que, dès lors que nos visiteurs étaient « de
notre monde », rien ne s’opposait à ce qu’ils soient
témoins … Et ils le furent ! Je ne peux pas nier que, la
première fois, ce fut une vraie épreuve. Physique, bien sûr. Même
si, après tout, tu sais, avoir les fesses tannées dans l’intimité
ou en public, les sensations sont les mêmes. Mais surtout psychique.
</i><i>La perspective d’avoir les fesses mises à l’air devant ce
couple d’amis, c’était quand mêm</i><i><span style="background: transparent;">e
terrorisant, et le fait qu’ils appartiennent à « notre
monde » n’y changeait pas grand chose. Pourtant, je d</span></i><i><span style="background: transparent;">us</span></i><i><span style="background: transparent;">
bien m’y résoudre. Peut-être mon mari avait-il considéré que la
honte ajouterait un peu de piment à la punition. Peut-être aussi,
je le dis sans forfanterie, a-t-il ressenti une certaine fierté à
laisser découvrir … mes charmes cachés ! Du reste, je dois
dire que son ami Paul n’a pas été en reste, puisque, après que
j’aie reçu ma volée, il a estimé qu’il serait injuste que je
sois la seule. Et mon amie Lucette a donc été traitée de la même
manière que moi. Elle m’avoua après coup (c’est le mot qui
convient) que, pour elle, ce n’était pas une « première »puisque
son mari l’avait déjà fessée lors de soirées chez d’autres
amis. Ainsi, nous avons constitué une sorte de petit groupe de
quatre ou cinq couples, toujours les mêmes et toujours « de
notre monde » dont les épouses étaient punie</span></i><i><span style="background: transparent;">s</span></i><i><span style="background: transparent;">
de concert ... »</span></i></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1429_398011821"></a>Les
découvertes du Père Castor</h4>
<p>Au fil de leurs rencontres, la Présidente fit part au Père
Castor des confidences de la Comtesse. Celles-ci contribuèrent à
accroître sérieusement les connaissances du Père Castor en matière
de fessées. Jusque là il avait été un praticien, un pratiquant.
Et ces pratiques lui convenaient parfaitement. Maintenant, il
commençait à mieux comprendre les effets de la fessée sur les
femmes. Il devenait en quelque sorte un expert, un théoricien.
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2263_1530798435"></a>Littérature
et pédagogie.</h5>
<p>Il découvrait aussi le plaisir ressenti à l’audition des
confidences chaudes et sensuelles de son amie. Lui, l’amateur de
littératu<span style="background: transparent;">re, commençait à
prendre un vrai plaisir physique à lire – puisqu’il lui avait
imposé de mettre par écrit </span><span style="background: transparent;">c</span><span style="background: transparent;">es
découvertes – les récits de son amie. De plus, en enseignant
qu’il restait au fond de lui, il se réjouissait de corriger les
fautes d’orthographe ou de syntaxe de la rédactrice. Qui, bien
entendu, lui fournissaient d’excellents prétextes à punitions. Et
paradoxalement, l’enseignant bienveillant qu’il avait été pour
ses élèves, qui répugnait à les punir, prenait un plaisir pervers
à être un maître sévère et intransigeant avec la Présidente.
<br />
Il usait – et peut-être abusait – des punitions
corporelles, ayant établi des barèmes stricts. Les fautes d’usage
ou de conjugaison étaient ainsi sanctionnées d’un nombre fixe de
coups, claques manuelles ou cinglées de martinet. Et si une faute
était répétée plusieurs fois après avoir été corrigée, le
barème était doublé ... </span><span style="background: transparent;">Mais
il avait aussi remis à honneur des </span>punitions proprement
scolaires, imposant des « lignes » quand la conduite de
la Comtesse avait été, à ses yeux, fautive. Celle-ci se pliait
sans barguigner à ces obligations, copiant soigneusement les phrases
qui lui étaient imposées de son écriture soignée. Du reste, quand
il arrivait que l’écriture ne soit pas aussi soignée que
l’instituteur l’estimait souhaitable, non seulement la punition
devait être refaite, mais elle était accompagnée d’une sévère
fessée. Puis la Comtesse écrivait à nouveau ses « lignes »,
mais le cul nu ! Ces pratiques ramenaient aussi la Comtesse à
sa lointaine jeunesse. Quand elle présentait son « cahier de
punitions » à son « maître », elle ressentait à
la fois de la honte, de la gêne, mais aussi une véritable
excitation, jusqu’à en mouiller son slip. Tout comme elle ne
pouvait s’empêcher de couler comme une fontaine quand il lui était
imposé « d’aller au coin » alors qu’elle savait
qu’un visiteur (ou une visiteuse) était susceptible de survenir et
de la découvrir ainsi, les fesses à l’air et les mains sur la
tête.
</p>
<p><br />
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2265_1530798435"></a>Enquête
sociologique</h5>
<p>Le Père Castor en était venu peu à peu à analyser ces
confessions avec un œil presque scientifique. Il classait les types
de fessées comme un entomologiste classerait les insectes, ou un
sociologue les groupes sociaux. Il détaillait les motivations des
« victimes » comme celles des « tortionnaires ».
Considérant la part de recherche de la douleur, celle de la volonté
de soumission, d’obéissance. Mais aussi les aspects
exhibitionnistes, l’envie d’être vue, de la part de celles qui
reçoivent la fessée. Mais aussi les motivations, avouées ou non,
conscientes ou non, des fesseurs. Et, bien sûr, d’abord les
siennes. Il prenait conscience de ses propres ambiguïtés. Un non
violent militant qui prend son pied en frappant des femmes, et qui
plus est<span style="background: #ffff00;"> </span>les femmes qu’il
aime. Un féministe convaincu qui exige l’obéissance, la
soumission. Avec honnêteté, il cherchait à se comprendre lui-même.
Assumant le plaisir qu’il éprouvait, il ne pouvait le nier, à
faire souffrir des femmes. Il était devenu l’objet de ses
recherches. Et, chemin faisant, il progressait dans la connaissance
de lui-même, appliquant le précepte socratique.
</p>
<p>Mais la plus grande découverte qu’il fit en ce domaine, ce fut
bien sûr sa rencontre avec Mado <a class="sdendnoteanc" href="#sdendnote2sym" name="sdendnote2anc"><sup>ii</sup></a>
qui lui apporta.</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1431_1696820252"></a><span style="background: transparent;">Chapitre
3</span><sup><span style="background: transparent;">ème</span></sup><sup><br />
</sup>De
l’autre côté du manche .</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1433_1696820252"></a>Mado
comme Janus.</h4>
<p>Mado, sa vieille amie, celle qui lui a fait découvrir « l’autre
côté du manche ». Mado, tout aussi paradoxale que lui.
Humaniste, progressiste, libertaire, et qui, pourtant ...</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1431_398011821"></a>« Nul
ne guérit de son enfance »</h5>
<p>Qui pourtant avait assumé aussi tranquillement avoir été
l’objet de punitions corporelles dans son enfance. Sans pourtant
s’en plaindre ni se considérer comme une victime. Pourtant, le
Père Castor en était persuadé, c’était dans son enfance que se
trouvait l’origine de ses contradictions. Mado, enfant battue,
adolescente libérée aux yeux de ses copains mais soumise à
l’autorité de ses parents. Mado qui avait, elle le lui avait dit,
reçu une fessée à cause de lui, à cause de leur relation. A
plusieurs reprises, elle détailla pour le Père Castor les méthodes
disciplinaires qu’elle avait subies dans son enfance. Ces
confidences sur sa petite enfance mettaient parfois mal à l’aise
le vieil homme, révulsé par l’idée qu’on puisse battre un
enfant. Mais il ne pouvait se cacher que, quand les souvenirs
concernaient l’adolescente qu’il avait <span style="background: transparent;">connue
dans sa jeunesse, elles provoquaient chez lui un trouble d’une
toute autre nature. Il ressentait presque une forme de fierté à
avoir été à l’origine d’une fessée dont Mado se souvenait
avec autant de précision. Tandis qu’elle la lui racontait, avec
force détails, les images de cette ado dont la jupe était
retroussée et la culotte baissée défilaient devant ses yeux comme
sur un écran. Il se souvenait des formes de cette copine, ces formes
qu’il avait si souvent flattées de la main, et qui avaient ainsi
été fustigées.</span></p>
<p><span style="background: transparent;"> Et surtout les confidences
sans filtre ni tabou de sa vieille copine sur ses ressentis lors de
ces punitions maternelles permettaient au Père Castor de découvrir
des aspects de le psychologie féminine qui lui étaient jusque là
inconnus. En effet, Mado lui avait révélé que ces fessées, si
elles la faisaient cruellement souffrir, avaient aussi eu des
conséquences sur l’éveil de ses sens. Même si, disait-elle, elle
n’en avait pas été consciente à l’époque, elle se souvenait
de s’être régulièrement caressée après être passée par les
genoux de sa mère ou avoir eu les fesses flagellées. Et les récits
de ces séances de plaisir solitaire ne laissaient évidemment pas le
Père Castor indifférent. Leurs dialogues dépourvus de toute
censure permettaient aussi à Mado de mieux comprendre quel rôle
avait joué son éducation dans l’évolution de sa sexualité. Elle
assumait ainsi la dualité entre ses comportements qualifiés alors
de « délurés » et son acceptation des punitions
corporelles pourtant déjà assez exceptionnelles pour une fille de
son âge à l’époque. Peut-être même, admettait-elle, qu’avait
elle presque « besoin » de ces sanctions pour pouvoir
vivre pleinement sa vie sensuelle. Et surtout, elle avait compris que
sa rencontre fortuite, tant d’années après, avec son ancien petit
ami lui avait permis de laisser libre cours à une facette de sa
personnalité qu’elle ignorait jusque là. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1433_398011821"></a><br />
Libertaire
jusqu’au bout.</h5>
<p>On sait qu’il en avait été de même pour le Père Castor .
Il en avait découvert finalement autant sur lui que sur Mado. Mado
qui était pourtant restée libertaire, anarchiste, libre en un
mot.Libre de son corps, libre d’assumer.D’assumer ses envies, ses
fantasmes, ses choix. Mais aussi Mado capable d’avoir compris –
avant lui – le secret de son vieux camarade. Celui qu’il n’avait
jamais avoué, même pas – surtout pas - à lui-même. Mado qui
lui avait fait dépasser ses limites, qui lui avait fait ce cadeau
paradoxal. Mado qui lui avait ainsi donné une nouvelle liberté. Qui
lui avait permis l’aller au-delà des interdits, au-delà des
conventions au-delà même de ses propres convictions. Mado qui,
pourtant, n’avait rien prémédité.
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1435_398011821"></a><br />
Ça
m’est venu co<span style="background: transparent;">mme ça !</span></h5>
<p><span style="background: transparent;">La rencontre avec le Père
Castor, qu’elle n’avait plus croisé depuis des lustres, avait
été fortuite. Comme le font d’anciens amis qui se retrouvent, ils
avaient échangé des souvenirs. A demi-mot</span><span style="background: transparent;">s</span><span style="background: transparent;">
d’abord, puis plus directement. Leur « flirt », qui
avait été un peu plus qu’un flirt. Leurs échanges épistolaires,
dans lesquels celui qui n’était pas encore le Père Castor avait
fait allusion sans détour à leur relation. La découverte de la
lettre par la maman de Mado, et sa conséquence claquante pour ses
fesses. Elle n’avait ressenti aucune g</span><span style="background: transparent;">ê</span><span style="background: transparent;">ne
à raconter ce qui, finalement, n’était plus qu’une anecdote
d’un temps si lointain à son vieil ami. Et puis, comme </span><span style="background: transparent;">elle
le dira elle-même plus tard « </span><i><span style="background: transparent;">ça</span></i><i>
m’est venu comme ça</i> » Elle n’avait, bien entendu,
aucune intention de reprocher vraiment quoi que ce soit à cet ancien
petit ami, devenu un vieux monsieur si digne. Si reproche il y avait
eu, il était bien, pour elle, de l’ordre de la plaisanterie, de la
galéjade. Mais quelque chose dans le regard du vieil homme avait
tout fait basculer ...</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1435_1696820252"></a><span style="background: transparent;">La
mutation de Mado.</span></h4>
<p>Elle aurait bien été en peine d’expliquer comment elle était
passée de la plaisanterie à ...autre chose. Quand elle avait changé
de ton, adopté cette voix sévère, tellement différente de la
sienne, était-ce elle qui a<span style="background: transparent;">vait
cha</span><span style="background: transparent;">n</span><span style="background: transparent;">gé
ou bien l’homme auquel elle s’adressait ? En tout cas, sans
se concerter, ils étaient entrés l’un et l’autre dans une sorte
de jeu de rôle</span><span style="background: transparent;">s</span><span style="background: transparent;">.
Encore qu’il est légitime de se demander si c’était vraiment un
jeu. Plutôt une transformation, une mutation. Mais conjointe aux
deux partenaires. Mado ne jouait pas à la Maîtresse sévère, elle
l’était devenue. Pas plus que le Père Castor ne jouait au
garnement puni, il l’était lui aussi devenu. </span>
</p>
<p><span style="background: transparent;">Jamais Mado n’avait levé
la main sur qui que </span><span style="background: transparent;">c</span><span style="background: transparent;">e
soit. N</span>i enfant, bien sûr, cela aurait été en contradiction
avec tout ses principes éducatifs. Ni adulte, évidemment. Et
pourtant il lui était apparu évident qu’il fallait qu’elle le
fasse. Les mots, les attitudes, les intonations, lui étaient venus
tout naturellement. Comme si elle avait fait cela toute sa vie.
Intimer l’ordre au Père Castor de se lever, ouvrir la ceinture de
son pantalon, le baisser puis baisser de la même manière le slip.
Rien de commun avec les déshabillages mutuels qu’elle avait pu
connaître au hasard des rencontres de sa vie sentimentale. Elle ne
déshabillait pas son partenaire. Elle le déculottait. Ce mot, et
plus encore le <span style="background: transparent;">fait,
déclenchait une sorte de tourbillon dans sa tête. Et aussi …
ailleurs. </span><span style="background: transparent;">Renverser
l’homme aux fesses dénudées au travers de ses genoux. </span><span style="background: transparent;">Voir
ce grand corps à sa merci. Voir ce postérieur blanc, presque
délicat, obligeamment présenté. Mais aussi, sentir contre ses
cuisses la rigidité causée par la situation. Cette érection si
évidente ne l’avait pourtant en rien dissuadée de poursuivre,
bien au contraire. Ah il bandait ? Il n’en serait que plus
sévèrement puni !</span><span style="background: transparent;">Lever
la main. L’abattre sèchement sur le cul offert. Claquer. Fort. En
cadence. Frapper et frapper encore. Voir les fesses rosir puis
rougir. Voir l’empreinte de sa main s’imprimer fugacement sur la
peau du derrière. Et frapper encore. </span><span style="background: transparent;">Voir
les fesses crispées, serrées, comme pour se défendre. Puis les
voir céder, abandonner la lutte, se relâcher, s’écarter. Il lui
sembla que celui qui était devenu un garnement que l’on fesse ne
tentait plus de résister. Au contraire, il tanguait de droite à
gauche, comme pour offrir plus complaisamment une fesse puis l’autre,
alternativement, à la main implacable. Mado</span><span style="background: transparent;">
était complètement consciente de ce qu’elle faisait. Elle donnait
une fessée. Et elle en ressentait une excitation, une plénitude,
</span><span style="background: transparent;">une satisfaction
absolue. Comme si flanquer une fessée était tout naturel. Comme
s’il était évident qu’il lui fallait le faire. En un clin d’œil
elle était devenue une fesseuse …La paume de sa main lui faisait
mal à force de frapper. Sa respiration était devenue quelque peu</span>
haletante. Elle se mordait les lèvres, elle avait la gorge sèche.
Mais son intimité, au contraire, suintait. Mado mouillait. Sa
culotte collait à sa fente moite. Il lui semblait que les effluves
de son excitation se mêlaient à l’odeur virile qui émanait du
corps qu’elle malmenait. Le rythme des claques était devenu
presque frénétique. Leur bruit emplissait la pièce. Résonnait
comme un concert de tambours.<span style="background: transparent;">
Les battements désordonnés </span>de la main sur le derrière, les
mouvements incontrôlés de la victime, le frottement de ce sexe
durci sur ses cuisses aboutirent à une sorte d’acmé. Mado serra
les cuisses tout en frappant derechef. Et l’orgasme la traversa
comme un éclair.</p>
<p style="background: transparent; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.8cm;">
<br />
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2267_1530798435"></a>Devenir
un garnement.</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1437_1696820252"></a>Sensations.</h5>
<p>Le Père Castor ne comprit pas tout de suite les effets ravageurs,
pour la sensualité de son amie, de la trempe qu’il recevait. Une
vraie raclée. Douloureuse, ô combien ! Certes, il ne fut pas
vraiment étonné de constater par lui-même qu’une fessée, et
bien cela fait mal au cul. Il en avait toujours été parfaitement
conscient, considérant même sans vergogne qu’une fessée qui
n’aurait pas été douloureuse pour celle qui la recevait n’en
aurait pas été vraiment une. Mais, jusque là, la douleur
occasionnée par la fessée lui était en quelque sorte extérieure.
C’était une notion, un concept, abstrait. Là, il la découvrait
véritablement. Avec toute la gamme des sensations. L’explosion de
douleur quand la main frappe. Puis l’étalement de la souffrance,
qu’il compara intuitivement à celui d’une goutte de pluie
tombant sur un sol surchauffé. Et, en l’occurrence, son derrière
était bel et bien surchauffé ! Il se rendit compte que la
souffrance n’augmentait pas proportionnellement au nombre de
claques reçues. Comme si les premières avaient presque un effet
anesthésiant, la douleur atteignait assez vite une sorte de plateau.
La poursuite de l’avalanche de claque semblait ne faire
qu’entretenir la brûlure. Puis, insensiblement, sournoisement, la
douleur reprenait sa progression. Comme si elle avait franchi un
seuil et progressait vers l’étape suivante. Elle n’était plus
seulement cette sensation de cuisson à la surface de la peau des
fesses. Elle semblait s’être introduite en lui, l’emplir. Bien
sûr, quand la main implacable de Mado s’égarait sur l’arrière
des cuisses, il ressentait un impact différent, qui entraînait un
gémissement incontrôlable. Mais presque aussitôt les claques
reprenaient leur labourage systématique de ses fesses. Et le
souffrance n’était plus superficielle, elle était devenue une
sorte de globalité. Ce n’était pas seulement son cul qui était
fessé, c’était lui, tout entier.</p>
<p style="background: transparent; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.8cm;">
<br />
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1998_2007316307"></a><span style="background: #eeeeee;">Rituels
et innovations.</span></h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2000_2007316307"></a><span style="background: #eeeeee;">Les
mains !</span></h5>
<p>Plus tard, les rendez-vous avec Mado, ou plus exactement les
« convocations » - elle tenait à ce terme – de celui
qui était devenu le « Garnement » par la « Maîtresse »
devinrent réguliers. Mais ils ne furent jamais une routine. Certes,
la Maîtresse avait instauré des rituels immuables. Imposer au
Garnement « d’aller se laver les mains » avant toute
chose. Cette injonction était ainsi, pour lui, l’annonce de la
raclée. Elle le faisait entrer dans son personnage. Il baissait les
yeux, sans qu’elle aie eu à le lui demander, et filait obéir sans
demander son reste. Puis il présentait humblement ses mains, paumes
puis dos, afin que leur propreté soit vérifiée. Mado avait-elle eu
conscience, en instaurant cette obligation, de reprendre une coutume
des instituteurs du temps jadis, quand les fameux « hussards
noirs de la République » éduquaient aussi leurs ouailles aux
règles de l’hygiène ? Que le Père Castor, lui, y ait pensé
ou non, il lui suffisait d’entendre l’ordre pour qu’il soit
immédiatement en érection.
</p>
<p><br />
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2002_2007316307"></a><span style="background: #eeeeee;">Au
coin !</span></h5>
<p>De la même manière, le passage « au coin » les mains
sur la tête devint vite un moment incontournable. Qui, lui aussi,
contribuait à raffermir l’érection du vieux monsieur devenu
magiquement jeune garnement. Mais la Maîtresse s’ingéniait à
varier les plaisirs. Parfois il était envoyé « au coin »
dès son arrivée, alors que Mado finissait quelque tâche qu’elle
estimait urgente. Il avait alors tout le loisir d’attendre le
moment où il entendrait le fatal : <i>« Allons-y, en
place ! » </i><span style="font-style: normal;">C’étaient,
pour lui, des moments magiques. Moments d’angoisse, de
questionnements, d’attente. Il craignait, vraiment, le moment où
la Maîtresse déciderait d’entrer en action. Et en même temps, il
était impatient qu’elle le fasse. D’autre fois, c’était les
fesses nues, déjà rouges d’une première fessée, qu’il passait
au coin. Les mains sur la tête – il lui était alors interdit de
se frotter les fesses – les yeux fermés, il savait quel spectacle
il donnait à la Maîtresse. Un homme, un garnement, le cul nu,
</span><span style="font-style: normal;">pantalon sur les chevilles,
slip souvent aux genoux, </span><span style="font-style: normal;">le
nez au mur. A plusieurs reprises, il arrivé qu’alors qu’il était
ainsi installé, des visiteurs, le facteur, un livreur, sonnent à la
porte de Mado. La crainte qu’ils puissent le voir était alors si
sincère que les jambes du garnement flageolaient. </span><span style="font-style: normal;">La
Maîtresse serait-elle capable de faire entrer le ou la quidam ?
Serait-il ainsi surpris dans cette position peu avantageuse ?
La perspective le terrorisait vraiment, même si au fond de lui il la
savait improbable. Et en même temps ce risque fou qui faisait
battre plus vite son cœur faisait aussi durcir encore un peu plus sa
queue. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2004_2007316307"></a><span style="font-style: normal;">J</span><span style="font-style: normal;">oujoux</span></h5>
<p>Si la première fessée qu’il avait reçue avait été une fort
classique fessée « OTK », appliquée avec ferveur par
une main qui s’était révélée assez redoutable, la Maîtresse ne
s’en tint pas là, on le devine. Dès leur deuxième rencontre, le
Garnement fit connaissance avec ce qu’elle appelait drôlement ses
« joujoux ». Et il s’avéra qu’elle en possédait une
assez riche collection. A moins qu’elle n’aie fait ces
acquisitions que pour la circonstance. Un « martinet des
familles », tout pareil à celui qu’utilisait depuis toujours
le Père Castor. Mais aussi un modèle plus rare, et plus mordant.
Plusieurs brosses, dont les fesses du Garnement purent apprécier la
diversité des impacts. Une « strappe » (la Maîtresse
lui affirma que le mot pouvait être utilisé tant en anglais qu’en
français) et surtout un bouquet de badines, qu’elle préférait
appeler, avec une étincelle d’humour dans le regard, des
« verges ». Elle les avait cueillies elle-même, les
avait faite tremper dans l’eau toute une nuit pour assurer leur
souplesse, en avait ôté soigneusement toutes les aspérités (elle
ne voulait à aucun prix risquer de blesser les fesses) et, selon son
humeur, elles les utilisait ensemble ou elle n’employait qu’une
badine à la fois. Dans ce cas, la douleur se concentrait en une
mince ligne de feu qui amenait le garnement à la limite de sa
résistance, et lui mettait les larmes aux yeux.
</p>
<p style="background: transparent; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.8cm;">
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2006_2007316307"></a>Réactions</h5>
<p>Bravache, le Père Castor avait, bien sûr, tout fait pour subir
stoïquement les raclées que la Maîtresse lui distribuait.
Pourtant, il lui arrivait de ne pouvoir retenir un gémissement,
voire un cri bref quand la douleur le surprenait. Il ne pouvait de
même pas s’empêcher complètement de gigoter, d’agiter les
jambes, et même parfois de tenter de se soustraire à l’averse de
coups. Mal lui en prit, la Maîtresse décrétant sans tarder que
toute tentative de se protéger avec les mains lui vaudrait non
seulement de recevoir le coup sur celles-ci, mais surtout une volée
supplémentaire pour rebellions.
</p>
<p>Une fois la fessée terminée, ou suspendue, le besoin de tenter
de réduire la brûlure en se frottant les fesses de la paume des
mains était prégnant qu’il arriva que le Garnement tente de le
faire, en espérant que cette désobéissance passerait inaperçue.
Mal lui en prit encore une fois, puisque la Maîtresse décida que
« <i>puisque les fesses lui démangeaient encore, elle allait
calmer ce prurit à sa manière</i> ».<span style="font-style: normal;">Et
elle prirent sur le champs une nouvelle volée soignée. <br />
Le
Père Castor découvrit aussi les conséquences moins directes, et
beaucoup plus agréables, des fessées reçues. D’abord, on l’a
vu, elles avaient toujours un effet très positif sur la qualité de
ses érections. Ce qui, à son âge, était pour le moins fort
positif. </span><span style="font-style: normal;">L</span><span style="font-style: normal;">e
Père Castor découvrit aussi cette sensation de bien être d’après
la fessée. </span><span style="font-style: normal;">Le</span><span style="font-style: normal;">s
fesses restaient sensibles et douloureuses plusieurs heures après
avoir été fustigées. </span><i>« </i><i>Tant mieux, comme ça
tu y penseras plus longtemps » </i><span style="font-style: normal;">ironisait
Mado. En effet, cette persistance de la douleur prolongeait en
quelque sorte la séance elle-même. Mais surtout, dans les heures
qui suivaient, le Père Castor était parfaitement détendu, serein.
Il se souvenait de l’expression fameuse « </span><i>une
fessée et au lit !</i><span style="font-style: normal;"> »
Et bien, lui qui, l’âge venant, dormait souvent peu et mal,
s’endormait comme un bébé les soirs où il avait été fessé. </span>
</p>
<p><br />
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1439_1696820252"></a>Régression</h5>
<p>Pourtant, aussi vives que furent les réactions physiques »
aux fessées, elles ne furent peut-être pas le plus important pour
le Père Castor. Il le savait déjà, mais cette expérience nouvelle
le lui confirma : une fessée c’est bien plus qu’une série
de claques sur le cul. Il le savait quand il la donnait, il le
comprit plus encore quand il la reçue, une fessée c’est bien plus
dans la tête que sur le cul. Bien plus que la douleur, c’est le
sentiment de régression, de retour à l’enfance, qui fut le plus
fort pour lui. Et plus encore, le sentiment de dépendance. Il lui
était arrivé de lire des récits sur les pratiques de
« professionnelles » spécialisées dans la domination.
Et il avait lu que, souvent, leurs clients étaient des hommes
d’affaire, des « leaders » d’opinion. Ses
convocations chez sa Maîtresse, l’obligation de se plier à ses
exigences, les punitions corporelles reçues, l’amenèrent à mieux
comprendre. Oui, il lui arrivait d’avoir honte. Honte de montrer
ainsi ses fesses, honte d’être « puni au coin »,
nhonte d’être traité comme un gamin. Mais cette honte n’avait
rien d’une humiliation. Il n’avait surtout jamais honte d’être
lui-même. Ou, peut-être plus exactement, d’être plus encore
lui-même que dans « la vraie vie ».</p>
<p>Ressentir cette paix intérieure, cette sérénité, cette
quiétude, après une raclée l’amena à mieux comprendre les
femmes qu’il avait fessées.</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3159_75025378"></a>Ecriture</h5>
<p>Ces découvertes, ces réflexions, le Père Castor décida de les
mettre par écrit. Le Père Castor fut ainsi à la fois le héros, et
l’auteur qui en écrivait le parcours. Il lui fallu alors veiller à
ce que ses textes soient digne d’être publiés. Il lui fallait les
soumettre à correction. Appliquer ces corrections, mais aussi,
recevoir les corrections méritées. Elles furent nombreuses, et
souvent sévères. Il savait qu’elles étaient toujours méritées
et que leur sévérité même était indispensable pour qu’il
progresse. <br />
L’écriture, c’est aussi une « mise à
nu ». Elle amena le Père Castor à ne rien omettre de ses
envies, de ses plaisirs, de ses sensations. Même si, ultime pudeur,
il fit le choix de rester discret, voire secret, sur certains des
plaisirs interdits (à ses yeux) qu’il découvrit en même temps
que ceux de la fessée.
</p>
<p>Peut-être faudra-t-il encore beaucoup de fessées, et des
sévères, pour qu’il soit capable de dépasser aussi cet
interdit ?<br />
Ce seraient alors d’autres histoires du père
Castor.
</p>
<p style="page-break-before: always;"><br />
<br />
</p>
<div dir="ltr" id="Table des matières1">
<div dir="ltr" id="Table des matières1_Head"><p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b>Table
des matières</b></span></span></p>
</div>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1994_2007316307">Livre 3 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc335_1146721603">Les mémoires du Père
Castor 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1996_2007316307">Préambule 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc548_665717933"> Chapitre
1</a><a href="#__RefHeading___Toc548_665717933"><sup>er </sup></a><a href="#__RefHeading___Toc548_665717933">La</a><a href="#__RefHeading___Toc548_665717933">
maman fessée. 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1399_1696820252">Découvertes 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc345_1146721603">Ca fait mal ... 3</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc550_665717933">Le besoin 3</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc552_665717933"> De la brosse 4</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc351_1146721603">A la canne 5</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc554_665717933"> Devant
la Présidente. 6</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc391_1146721603">Droit et devoir 6</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc395_1146721603">Une visite impromptue. 7</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc397_1146721603">Basculement. 7</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc399_1146721603">Faites donc ! 8</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc606_1673841979">« Devant tout le
monde » 9</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1404_1696820252"> A
votre tour. 11</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc558_665717933">Le piège se tend 11</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc560_665717933">Et se referme 12</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1528_75025378">Presque sereine 12</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc562_665717933"> En place. 13</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1411_1696820252">Faites donc, bis ! 13</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1530_75025378">Les dessous chic … 14</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1544_75025378">Sans ! 15</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1546_75025378">Contrastes 15</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1413_1696820252">Voyeuse. 16</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1417_1696820252">Chapitre
2</a><a href="#__RefHeading___Toc1417_1696820252"><sup>ème</sup></a><a href="#__RefHeading___Toc1417_1696820252">
La Présidente.</a><a href="#__RefHeading___Toc1417_1696820252"> 17</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1872_75025378">Raclée initiale. 17</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1874_75025378">Du
travail soigné 17</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1876_75025378">Couleurs. 18</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1878_75025378">Réactions. 18</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1880_75025378">Cris
et chuchotements. 19</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc3133_75025378">Suites 20</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc3135_75025378">Remerciements. 20</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc3137_75025378">Derniers
outrages. 20</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1223_1813599026">Les
mots et les choses 21</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1195_427130317">Secrets respectés et
révélés. 22</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc3141_75025378">La Comtesse aussi ! 23</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1630_2069606885">Découverte ! 23</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1632_2069606885">Perspicacité. 24</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1441_398011821">Habitudes
conjugales 25</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2989_665392713">Une
chaude soirée 27</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1419_398011821">Des dames si dignes 30</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1453_398011821">Infidélités 30</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1455_398011821">« Je
ne suis pas la seule » 31</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1423_398011821">Punitions
ancillaires. 31</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1427_398011821">Entre
gens « du même monde » 33</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1429_398011821">Les découvertes du Père
Castor 34</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2263_1530798435">Littérature
et pédagogie. 34</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252">Chapitre
3</a><sup><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252">ème</a><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252">
</a></sup><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252">De l’autre
côté du manche .</a><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252"> 35</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1433_1696820252">Mado comme Janus. 35</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1431_398011821">« Nul
ne guérit de son enfance » 35</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1433_398011821">
Libertaire jusqu’au bout. 36</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1435_398011821">
Ça m’est venu comme ça ! 36</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1435_1696820252">La mutation de Mado. 37</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc2267_1530798435">Devenir un
garnement. 38</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1437_1696820252">Sensations. 38</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1998_2007316307">Rituels et
innovations. 38</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2000_2007316307">Les
mains ! 38</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2002_2007316307">Au
coin ! 39</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2006_2007316307">Réactions 40</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1439_1696820252">Régression 40</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc3159_75025378">Ecriture 41</a></p>
</div>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;"><br />
</p>
<div id="sdendnote1"><p class="sdendnote"><a class="sdendnotesym" href="#sdendnote1anc" name="sdendnote1sym">i</a>Voir
« Les fessées du Père Castor »</p>
</div>
<div id="sdendnote2"><p class="sdendnote"><a class="sdendnotesym" href="#sdendnote2anc" name="sdendnote2sym">ii</a>Voir
« La mésaventure du Père Castor »</p>
</div>ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-23958367878700743312024-02-22T06:34:00.000-08:002024-02-22T06:34:02.492-08:00<p> </p><p align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm;">
<span style="font-family: Arial Rounded MT Bold, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Alain
Eloge</span></span></p>
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<p align="center"><span style="font-family: Arial Rounded MT Bold, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les
belles histoires du °Père Castor</span></span></p>
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<p align="center"><span style="font-family: Arial Rounded MT Bold, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Panpan
éditions<br />
2020</span></span></p>
<h1 align="center" class="western"></h1>
<h1 align="center" class="western"></h1>
<h2 align="center" class="western"><a name="__RefHeading___Toc1994_2007316307"></a>
Livre 3</h2>
<h2 align="center" class="western"><a name="__RefHeading___Toc335_1146721603"></a>
Les mémoires du Père Castor</h2>
<p style="margin-left: 2cm; text-indent: 1.8cm;"> </p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1996_2007316307"></a>Préambule</h3>
<p style="margin-left: 2cm;">Dans ses « mémoires de guerre »,
le Général De Gaulle se qualifiait de « <i>vieil homme, recru
d’épreuves</i> ». Le Père Castor, qui apprécie les belles
lettres, aurait pu reprendre au moins une partie de la phrase à
son compte. Puisqu’en effet, il est aujourd’hui un vieil homme.
Et que, récemment, d’innocentes questions de la petite
Pomme, sa petite fille<a class="sdendnoteanc" href="#sdendnote1sym" name="sdendnote1anc"><sup>i</sup></a>,
l’ont amené à se remémorer son passé, et plus particulièrement
son passé de passionné de la fessée. Pourtant, toujours attentif à
l’exactitude des mots, il a estimé que l’adjectif « recru »
n’était probablement pas le plus adapté en la circonstance. En
effet, quoiqu’il ait pratiqué la chose fort longtemps, il ne se
sent en rien <i>«harassé, las, exténué »</i>et encore moins
<i>« accablé, submergé » </i>par celle-ci. Bien au
contraire, elle continue à faire partie de sa vie fantasmatique,
mais aussi, quand l’occasion s’en présente, bien concrète.
Ainsi, les souvenirs des fessées conjugales anciennes, celles de
fessées données ici où là à d’autres, se mêlent-ils à ceux,
plus récents, de rencontres qui, malgré son âge, lui ont fait
découvrir de nouvelles facettes de cette pratique.</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc548_665717933"></a> Chapitre
1<sup>er<br />
</sup>La maman fessée.</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1399_1696820252"></a>Découvertes</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">La curiosité enfantine de Pomme l’a
amené<span style="background: transparent;"> à </span><span style="background: transparent;">se
souvenir</span><span style="background: #ffff66;">,</span> jusque dans
les détails les plus croustillants, les fessées qu’il a flanquées
naguère à son épouse, et à d’autres « jeunes dames »
ainsi qu’il a coutume d’appeler celles dont il rougit les fesses
quel que soit leur âge. Mais cette conversation pour le moins peu
conventionnelle l’a aussi amené à « prendre en main »
la maman d’une autre petite fille au nom de fruit, le petite
Framboise. La maman de celle-ci, charmante jeune femme à la peau
blanche constellée - jusque dans la partie concernée par les
activités claquantes du Père Castor- de taches de rousseur du
plus joli effet se trouvait être aussi une de ces anciennes élèves.
<br />
Il avait fessé d’importance cette jeune maman avec
délectation, et il avait pu constater du bout des doigts que la
donzelle avait été aussi pour le moins troublée par l’expérience.
Pourtant, fidèle à des principes qu’il s’imposait de lui-même,
il n’y avait eu entre eux que cette fessée magistrale. A ses yeux,
il était exclu qu’elle soit suivie de ces activités sensuelles
qui concluaient immanquablement les fessées conjugales ou celles
qu’il lui était arrivé de donner à des « jeunes dames »
de rencontre. Et il en avait été de même pour les fessées dont il
avait continué à gratifier l’arrière train de la jeune
maman.. En effet, la jeune dame était revenue, de son plein gré
bien évidemment, et en ayant très bien compris que ses visites chez
le Père Castor auraient des conséquences claquantes pour son
postérieur.</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc343_1146721603"></a></h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc345_1146721603"></a>Ca
fait mal ...</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">Lors de sa première visite, elle avait
découvert d’abord qu’une fessée, eh bien ça fait terriblement
mal au derrière. Pourtant, si elle avait hésité si longtemps avant
de se résoudre à se rendre à l’invitation du Père Castor, ce
n’était pas par crainte de la douleur. A vrai dire, elle n’avait
pas vraiment pensé à celle-ci. Mais l’idée même d’être
« punie » comme une gamine, elle qui était une femme
adulte et responsable, lui avait longtemps paru tellement folle
qu’elle lui semblait de l’ordre impossible. Pourtant, elle
s’était bel et bien retrouvée un matin chez lui et avait dû se
résoudre à lui exprimer en des termes dépourvus d’ambiguïté
qu’elle était bien là pour recevoir une fessée. Et elle l’avait
reçue, et de la belle manière. Après que celui qui était ainsi
devenu son initiateur l’ait troussée et déculottée. Elle, plutôt
pudique bien que pas vraiment pudibonde, avait bel et bien exposé
son derrière au regard du vieux monsieur. Elle ne pouvait par
ailleurs pas ignorer <span style="background: transparent;">qu</span><span style="background: transparent;">e,
</span><span style="background: transparent;">alors</span><span style="background: transparent;">
elle</span><span style="background: transparent;"> </span>gigotait
sous l’averse de claques qui lui brûlait les fesses, elle avait
aussi laissé voir le plus intime d’elle même. Cependant, elle
n’avait pas vraiment été honteuse. Et encore moins humiliée.
Certes, elle en était consciente, elle avait bien montré son cul à
cet homme, et de sa propre volonté. Il ne l’avait en rien
contrainte. Mais en même temps, elle avait le sentiment d’y avoir
été obligée. Non qu’il ait exercé quelque pression que ce soit
pour arriver à ses fins ; mais tout simplement parce que- la
chose lui apparaissait comme une sorte d’évidence - il fallait
bien être cul nu pour recevoir une fessée. Or, elle en était
maintenant persuadée, cette fessée, elle en avait eu besoin. Besoin
et non « envie ».</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc550_665717933"></a>Le
besoin</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">Le jour où, alors qu’elle lui faisait
part de ses écarts de conduite quand elle était plus jeune, elle
avait convenu qu’elle <i>« aurait peut-être fait moins de
bêtises » </i>naguère si ses parents avaient été plus
sévères. En effet, ceux-ci, à la différence de beaucoup de
parents de l’époque où elle était enfant, chez lesquels il lui
était arrivé de voir un martinet pendu dans la cuisine, n’avaient
jamais utilisé le classique « panpan cucu » à son
encontre. L’ancien maître d’école lui avait alors asséné
sans détour que lui, à leur place, lui aurait flanqué <i>« une
fessée d’anthologie » </i>- elle se souvenait des mots
employés – après laquelle « <i>elle n’aurait
pu s’asseoir pendant un bon bout de temps</i> ».</p>
<p style="margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Dès
cet</span><span style="background: transparent;"> instant, </span>l’idée
de la fessée s’était en quelque sorte immiscée en elle. Jusqu’à
l’amener, un matin, à venir, le cœur battant, sonner à la porte
du Père Castor, qui n’en espérait pas tant, un peu comme un
agneau qui se présenterait volontairement à la porte de
l’abattoir, ou à celle du loup. Certes, cette fessée, la première
de sa vie, lui avait fait mal, très mal. Certes, elle n’avait
pu réprimer ni ses cris de douleur, ni les mouvements convulsifs et
désordonnés de ses jambes, ni les larmes qui avaient coulées sur
ses joues. Mais, une fois la fessée terminée, quand elle eut remis
se culotte et rabattu sa jupe, alors qu’elle retournait chez elle,
elle s’était sentie emplie d’une sorte de sérénité absolue.
Elle avait pris sa trempe, elle avait été fessée cul nu, elle
sentait ses fesses chaudes et douloureuses sous sa jupe, et elle
était dans un état de quiétude qu’elle ne se souvenait pas
d’avoir connu. Sans qu’elle puisse mettre des mots sur ses
sentiments, il lui semblait que cette fessée lui avait été non
seulement bénéfique, mais aussi nécessaire. Par ailleurs, elle ne
pouvait se cacher que, quelle qu’ait été la douleur, elle s’était
accompagnée d’un tout autre ressenti. Du reste – et c’était
le seul geste qui, en d’autres circonstances, aurait pu être
interprété comme une tentative d’abus - quand le Père Castor
avait constaté son émotion en glissant un doigt inquisiteur au plus
intime d’elle-même, celle-ci, elle le savait, était plus
qu’humide. Eh oui, il aurait été malhonnête de se le cacher à
elle-même, recevoir cette fessée l’avait fait mouiller !
Elle était pourtant reconnaissante au Père Castor de n’avoir rien
tenté pour profiter de son trouble, et d’avoir conservé la même
attitude lors de leurs rencontres ultérieures.</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc552_665717933"></a> De
la brosse</h4>
<p style="margin-left: 2cm;"> Puisqu’en effet, la jeune dame
était revenue régulièrement se faire claquer le popotin par le
vieux monsieur. Qui lui avait fait découvrir aussi, progressivement
et en étant, elle le sentait bien, attentif à ne pas brûler les
étapes, la morsure du martinet, celle de la fameuse ceinture de
cuir, pareille à celle qui, naguère s’était si souvent abattue
sur le postérieur de son épouse, ou la rudesse du dos d’une
brosse à cheveux qu’il lui avait prié de ramener elle même. La
demande l’avait fait sourire, le crâne chauve du Père Castor lui
rendant en effet cet ustensile peu utile. Mais elle avait cependant
répondu à son attente et, lors d’une séance ultérieure, elle
avait, sans un mot de commentaire, déposé sur la table basse du
salon la brosse dont elle avait constaté le jour même la brutalité
des impacts sur son derrière. Elle n’aurait su dire si cet
instrument contondant faisait « plus » ou « moins »
mal aux fesses que les lanières du martinet ou la ceinture de cuir.
Le ressenti en était en tous cas différent. Et les conséquences
aussi. Elle constaté, à son retour chez elle, dans le miroir de la
salle de bain, que son derrière était marqué par de fines zébrures
laissées par les lanières, ou par des marques plus larges causées
par la large bande de cuir. Comme elle avait bien sûr remarqué, dès
le premier jour, que son postérieur restait rouge plusieurs heures
après la fessée, même uniquement donnée de la large main du père
Castor. Mais elle avait été stupéfaite de la couleur de son
popotin après la première raclée à la brosse. Il était tellement
rouge, tellement chaud, tellement uniformément coloré, qu’elle
avait eu l’impression qu’il irradiait comme un soleil. Elle avait
aussi constaté, avec une grimace de douleur doublée d’un sourire
au souvenir des menaces du Père Castor, que, non seulement il était
exclu qu’après une telle tannée elle remit un slip, mais aussi
qu’il lui était vraiment difficile de s’asseoir.</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc351_1146721603"></a>A
la canne</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">Pourtant, et bien qu’elle se soit
demandé s’il lui serait possible d’endurer une raclée plus
douloureuse, elle était bel et bien retournée chez le Père Castor,
alors même qu’il lui avait annoncé que <i>« la prochaine
fois, je pense que tu seras prête pour la canne » </i>La
menace, qu’elle avait prise plutôt pour une promesse, l’avait à
la fois effrayée et comblée de fierté. Elle avait déjà vu, dans
le porte parapluies de l’entrée, cette fine canne en bambou. Et
ses recherches sur des sites spécialisés sur Internet l’avaient
convaincue qu’il s’agissait là d’un instrument terriblement
douloureux. Il lui inspirait donc une crainte légitime. Mais, en
même temps, elle comprenait bien qu’aux yeux du Père Castor, il
s’agissait d’une sorte de consécration. C’est donc les jambes
un peu flageolantes qu’elle s’était rendue à leur prochain
rendez-vous. Dès son arrivée, elle avait découvert la fameuse
canne, posée au travers de la table basse sur laquelle elle posait
les mains quand elle était invitée à se pencher pour présenter
son postérieur avant qu’il ne soit flagellé. Quand le Père
Castor avait fait siffler l’instrument en l’agitant, il avait vu
l’inquiétude, sinon la terreur, dans les yeux de la jeune femme.
En la regardant dans les yeux, il avait alors murmuré :</p>
<p style="margin-left: 2cm; text-indent: 1.8cm;">- <i>« Tu
sais que tu n’es obligée à rien ... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;">Elle n’avait pas répondu, mais tout en
essayant de maîtriser le tremblement de ses membres, elle s’était
penchée et, avant de poser ses mains sur la table, elle avait
elle-même retroussée sa robe jusqu’à sa taille. Comme pour la
féliciter de son courage, alors que d’habitude il tenait à se
charger lui-même de la déculotter, elle l’entendit chuchoter,
d’une voix un peu altérée par l’émotion :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> -
<i>« Baisse-la toi-même, petite »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Elle avait obéi, bien sûr.
Comprenant que le maître fesseur lui faisait en quelque sorte un
cadeau. Elle avait fait glisser le slip jusqu’à ses genoux,
écartant légèrement les jambes pour qu’il reste en place. Sans
se soucier que cette position rendait inévitablement visible son
intimité et même -le Père Castor, lui, s’en était évidemment
aperçu immédiatement – son petit trou. Pendant quelques instants,
seul le tic-tac régulier de la grande pendule normande avait troublé
le silence presque palpable de la pièce. Puis il avait été rompu
par un bref sifflement, et la jeune dame avait eu le sentiment que la
peau de son derrière venait d’être déchirée. Un trait de
douleur indicible. Et une douleur qui lui semblait s’amplifier, se
répandre en elle, pénétrer tout son être, irradier tout son
corps. Elle avait ouvert la bouche comme un poisson sorti de l’eau,
comme si elle cherchait de l’air. Exhalant une plainte modulée
tout en piétinant sur place. Mais, et elle en était très fière,
elle avait maintenue la position. Le Père Castor lui avait laissé
le temps de reprendre son souffle. Il voyait le derrière, qui
s’était d’abord crispé avant de se détendre et de s’ouvrir
comme un fruit mûr, maintenant décoré d’un équateur violacé.
L’implacable instrument s’était encore abattu deux fois au
travers du postérieur, provoquant les mêmes réactions. Sifflement
bref, impact, plainte modulée, crispation puis ouverture de la raie
fessière, et apparition d’une marque rectiligne, parallèle à la
première. La jeune dame n’avait pas tenté de se relever. Elle
serrait les dents et les poings. Sa respiration restait haletante,
son cœur battant à tout rompre, elle hoquetait alors que les larmes
coulaient librement sur ses joues. Et quand, à son habitude, le
doigt inquisiteur du Père Castor vint se glisser dans son intimité,
elle sut que celle-ci aussi ruisselait. Il eut le bon goût de ne pas
commenter la chose. Mais quand, autorisée à se redresser, la jeune
femme se<span style="background: transparent;"> blotti</span><span style="background: transparent;">t</span><span style="background: transparent;">
</span>sans ses bras en sanglotant, il eut bien du mal à cacher sa
solide érection, tout en lui caressant pudiquement les cheveux en
murmurant :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> <i> </i><i>- </i><i>« Je suis
fier de toi, petite, maintenant, tu es une vraie femme fessée »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;">Des mots qui l’emplirent de fierté et
qui firent redoubler ses sanglots. Mais qui pourrait dire si elle
pleurait de douleur – elle était en effet au-delà de tout ce
qu’elle avait pu connaître jusque là – ou de bonheur d’avoir
atteint le Graal ?</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc554_665717933"></a> Devant
la Présidente.</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc391_1146721603"></a>Droit
et devoir</h4>
<p style="margin-left: 2cm;"> Chacune des visites de la maman de
Framboise chez le Père Castor était ainsi pour elle une nouvelle
étape dans un chemin qu’elle ne regrettait pas d’avoir pris.
Pour le Père Castor, si expérimenté qu’i<span style="background: transparent;">l
f</span><span style="background: transparent;">û</span><span style="background: transparent;">t,
c</span>’était aussi l’occasion d’explorer des contrées qu’il
n’avait pas fréquentées jusque là. Peut-être était-ce
l’imprégnation du métier qui avait été le sien pendant si
longtemps, il avait à cœur d’être, fusse « en tout bien
tout honneur » une sorte de Pygmalion pour cette jeune femme.
Il était en même temps touché de la confiance qu’elle lui
faisait, et impressionné par sa capacité, elle si novice, à
supporter des fessées qui auraient amené certaines de celles qu’il
avait fessées auparavant à demander grâce. Il était parfaitement
conscient, bien sûr, qu’elles amenaient probablement parfois la
jeune dame à la limite de ce qu’elle pouvait supporter. Mais il
considérait que limiter les fessées aurait été, à son égard,
une forme de mépris. Pour lui, la maman de Framboise « méritait »
les fessées qu’il lui administrait. Au sens où, si elle venait
chez lui en sachant ce qu’il allait lui arriver, c’est qu’elle
estimait qu’elle devait être sévèrement fessée. Mais aussi au
sens où elle avait d’une certaine manière « droit » à
ces fessées. Son devoir était de les subir, comme le sien était de
les lui flanquer sans faiblir. Et s’il avait en conséquence le
droit de la fesser sans ménagement, c’était aussi son devoir.</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1401_1696820252"></a></h4>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc395_1146721603"></a>Une
visite impromptue.</h4>
<p style="margin-left: 2cm;"> Une de ces séances hebdomadaires,
ils avaient, au fil du temps, pris l’habitude qu’elles se passent
le vendredi matin, fut cependant aussi exceptionnelle pour lui que
pour elle. Il n’avait rien prémédité, et tout fut, finalement,
une affaire de circonstances. Qui lui rappela les vers de La Fontaine
<i>« l’occasion, l’herbe tendre, et je pense aussi quelque
diable me poussant ... » </i>En l’occurrence l’occasion, ou
le diable, fut une diablesse. Ce vendredi, un peu avant l’heure
d’arrivée habituelle de la maman de Framboise, qui déposait la
petite à l’école avant de se rendre chez lui, on sonna à sa
porte. Sans faire trop attention à l’heure, il ouvrit la porte
mais fut étonné de se trouver en face de Madame Fleurons, la
présidente d’une des associations dont il était membre actif. Il
lui aurait été difficile de prétendre être trop occupé pour la
recevoir, d’autant qu’elle s’excusait de venir de si bon matin
et qu’elle précisait qu’elle <i>« n’en avait que pour
quelques minutes »</i>Il la fit donc entrer en cherchant à ne
pas trop se comporter en ours grognon. Bien qu’il soit décidé à
écourter autant que possible cette visite imprévue, il poussa même
la délicatesse jusqu’à proposer une tasse de café à la
visiteuse. Mal -ou bien ? - lui en prit, celle-ci non seulement
accepta, mais elle s’installa dans le canapé et se mit à lui
exposer les motifs de sa visite. Mais la dite Madame Fleurons, il
aurait dû y penser avant de l’inviter à entrer, était une
incorrigible bavarde et avait l’habitude, qui exaspérait le Père
Castor, de se lancer souvent dans des digressions,qui allongeaient
tant ses propos que ses interlocuteurs en perdaient parfois le fil.
Elle n’en était donc qu’aux préliminaires de ses explications,
que le Père Castor écoutait d’une oreille distraite tout en
lorgnant sur la pendule, quand la cloche de l’entrée sonna à
nouveau.</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Oh, mais</i><i><span style="background: transparent;">
vo</span></i><i><span style="background: transparent;">u</span></i><i><span style="background: transparent;">s
a</span></i><i>ttendiez quelqu’un, cher monsieur …Je suis
peut-être importune ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Le Père Castor fut tout prêt de
lui répondre qu’en effet <i>« il attendait quelqu’un »
</i>et qu’elle était pour le moins <i>« importune »
</i>Son caractère bougon et son mépris des conventions mondaines
l’y poussaient d’ailleurs. Il fut presque surpris lui-même de la
réponse qu’il lui fit tout en faisant entrer la maman de
Framboise, dont le visage montra l’étonnement de découvrir une
autre femme dans la place.:</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> <i> </i><i>- </i><i>« Mais
non, ma chère Présidente, pas le moins du monde. »</i> </p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc397_1146721603"></a>Basculement.</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">Elle esquissa cependant un mouvement pour
se lever, et c’est alors que, dans la tête du Père Castor, tout
bascula. Au lieu de la raccompagner pour s’occuper comme il
convient de la jeune dame qui restait interdite, les bras ballants,
il reprit, d’un ton radouci et même enjoué :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais je vous en
prie, restez …vous ne nous gênez en rien, n’est-ce pas, jeune
dame ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Celle qu’il interpellait ainsi,
lui rappelant par la même sa situation par rapport à lui resta
d’abord sans voix puis balbutia :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Euh
… non ...bien sûr .. . madame...je veux dire...Monsieur... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Le Père Castor la remercia d’un
sourire radieux, et poursuivit, en choisissant encore ses mots :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Jeune
dame, je vous présente Madame la Présidente, avec qui je dois
régler quelques questions urgentes. »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> La maman de Framboise fut, un
instant, rassurée par les propos du vieil homme.</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Ah…
bien, monsieur… je ...je reviendrai plus tard... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Et elle s’apprêtait à tourner
les talons. Mais la voix, devenue un peu plus métallique, du Père
Castor l’en dissuada :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais
non, il ne saurait en être question, jeune dame. Vous savez bien que
ce que nous avons, nous aussi à régler ne saurait être reporté. »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Pour prendre une expression un peu
populaire, la dite jeune dame se demandait si « c’était du
lard ou du cochon » Qu’il puisse envisager de faire ce
qu’elle savait qu’il avait l’intention de faire malgré la
présence de cette intruse lui paraissait aussi <i>complètement
impossible » </i>qu’au juge du « Gorille » d’être
pris pour une guenon. Pourtant, comme à celui-ci <i>« la suite
lui prouva que non ».</i> </p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc399_1146721603"></a>Faites
donc !</h4>
<p style="margin-left: 2cm;">La Présidente, ravie de pouvoir
poursuivre son babillage, s’était rassise. Mais, alors qu’elle
s’apprêtait à rependre le fil bien embrouillé de ses
explications, le Père Castor interrompit :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Je
vais vous demander de nous excuser, madame la Présidente, mais cette
jeune dame a des impératifs horaires. Vous voudrez bien nous
permettre de faire ce que nous avons à faire tout de suite ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Cette fois, la maman de Framboise
eut le sentiment que le sang se glaçait dans ses veines. Elle
écarquilla les yeux tandis que la Présidente acquiesçait de bon
cœur :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais
je vous en prie, cher ami, faites donc ... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Et la Père Castor, riant sous
cape, de s’exclamer :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Vous
êtes bien aimable, chère madame ».</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Avant de poursuivre, en se tournant
vers la maman de Framboise toujours interdite et immobile :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> -
<i>« Puisque madame nous y autorise … ne perdons pas de
temps... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Cette fois, la jeune femme parvint,
malgré son trouble, à s’exprimer :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais
non ...monsieur...vous savez bien ...et puis..ce n’est pas
possible... »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Les yeux du Père Castor se
plissèrent, il les planta dans ceux de son interlocutrice et décréta
d’un ton sans réplique :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Il
ne me semble pas que cela soit à vous d’en décider, jeune
dame ! »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Les yeux de celle-ci semblaient
prêts à lui sortir de la tête. Inconsciemment, elle reculait
lentement vers la porte. Mais le Père Castor émit une sorte de
claquement de langue qu’elle comprit tout de suite, d’autant
qu’il s’accompagnait d’un geste explicite de l’index.</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> -
<i>« Allons, jeune dame, venez donc vous mettre en place, si
vous ne voulez pas aggraver les choses ».</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Une nouvelle fois, la maman de
Framboise était sur le bord du précipice. Elle émit une sorte de
borborygme incompréhensible, et elle croisa le regard de loup du
Père Castor. Elle y lut à la fois la détermination, mais aussi
l’attente, et même la confiance. Ce qu’il attendait d’elle
était à l’évidence impossible, inimaginable. Pourtant, son
regard montrait clairement qu’il était persuadé que la jeune dame
se plierait à sa décision. Elle n’eut pas un regard pour
l’intruse. Elle entremêla ses doigts dans un geste d’angoisse,
baissa la tête, puis elle plongea.</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> <i>« Bien,
monsieur, je suis prête. »</i> </p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc606_1673841979"></a>« Devant
tout le monde »</h4>
<p style="margin-left: 1.8cm;"> Elle était parfaitement
consciente de son acte. Elle ne se sentait en rien contrainte. Si
elle avait interprété le regard du Père Castor comme une
invitation, presque comme une conviction, elle n’y avait pas vu une
obligation, encore moins un chantage. Il lui était simplement apparu
qu’il fallait qu’elle le fasse. Non pour obéir à un ordre, mais
parce qu’il attendait d’elle qu’elle le fasse. Ou plus
exactement parce qu’il était persuadé qu’elle en était
capable. Elle était venue, une fois encore chez lui pour recevoir la
fessée. Une autre femme était présente, et alors ? En quoi
cela la concernait-elle ? Elle allait recevoir cette fessée
attendue, voulue, presque espérée. Le reste appartenait au Père
Castor, et il en serait fait comme il le déciderait. Et, une fois sa
décision prise, et annoncée, c’est presque sereinement qu’elle
s’approcha du fauteuil dans lequel il s’était installé, après
avoir remonté les manches de sa chemise dans ce geste, devenu pour
elle le signal que les choses sérieuses allaient commencer. </p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc608_1673841979"></a></h5>
<p style="margin-left: 1.9cm;"> Lors de ses pérégrinations sur
Internet, et dans les lectures des ouvrages traitant de la discipline
conjugale, de la soumission et de la fessée, la maman de Framboise
avait souvent lu des récits de « chipies » menacées -
ou qui subissaient – la « fessée devant tout le monde ».
La chose, évidemment, lui était apparue appartenir au monde des
fantasmes, sinon des perversions. Pourtant, ces scènes ou des femmes
étaient déculottées et fessées sous les regards d’assistants
l’avaient indubitablement troublée. Et il lui était arrivé bien
souvent, dans ses moments de rêveries éveillées, de s’imaginer à
la place de ces femmes. Elle n’avait jamais pratiqué le naturisme,
elle se refusait même à être « topless » sur la
plage ; à la salle de sport, elle rechignait à se doucher en
commun. Mais elle ressentait une sorte de crispation dans le ventre à
l’idée qu’on puisse la voir nue contre son gré.</p>
<p style="margin-left: 1.9cm;">Pourtant, alors qu’elle s’avançait
vers le Père Castor, c’était comme si elle avait oublié la
présence de la Présidente. Le Père Castor tendit la main vers
elle, la saisit par le poignet et, presque avec douceur, l’amena
près de lui. D’un geste qu’elle connaissait bien, il l’incita
à s’allonger au travers de ses genoux. Elle retrouvait les gestes
de sa première fessée, de sa découverte. Toujours avec des gestes
presque tendres, il releva, lentement le bas de sa robe. Puis il
introduisit les doigts sous la culotte et la fit glisser jusqu’aux
genoux.</p>
<p style="margin-left: 1.9cm;">La Présidente était restée immobile
et muette, bouche bée. La maman de Framboise reçut sa fessée sans
un cri. Elle n’était pas, de loin, la plus dure qu’il lui ait
été donné de subir. Mais ce fut cependant une vraie fessée.
Méthodique, appliquée. La Présidente ne pouvait quitter des yeux
ce derrière qui rougissait à vue d’œil. Quand enfin la main
cessa ses claques, la jeune dame se leva, toujours sans un mot.
Tranquillement, elle ôta sa culotte qu’elle laissa sur la table
basse. D’une voix un peu cassée par les sanglots qu’elle tâchait
d’étouffer, elle remercia « Monsieur »comme elle le
faisait à chaque fois. Puis elle esquissa une ébauche de révérence
à l’intention de la Présidente. Mais, alors qu’elle s’apprêtait
à sortir, le Père Castor l’arrêta :</p>
<p style="margin-left: 1.9cm;"> -
<i>« Restez un moment, jeune dame, nous n’en avons pas fini
... »</i></p>
<p style="margin-left: 1.9cm;"> Elle resta interloquée. Avait-il
l’intention de reprendre la séance ? Estimait-il qu’elle
n’avait pas assez donné d’elle-même ? Mais c’est à la
Présidente que s’adressa le Père Castor :</p>
<p style="margin-left: 1.9cm;"> -
<i>« J’espère que vous nous excuserez de cet intermède,
chère madame ».</i></p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1404_1696820252"></a> A
votre tour.</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc558_665717933"></a>Le
piège se tend</h4>
<p style="margin-left: 2cm;"> Pour le moins
décontenancée, celle-ci tenta de répondre sur le même ton,
presque précieux, que le Père Castor. Mais elle ne put éviter de
bafouiller tant elle était interloquée: </p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Mais
...enfin ...bien sûr, cher ami.. »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Le Père Castor la remercia d’un
mouvement de tête, et il ajouta :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Je suis bien aise que
vous approuviez mes méthodes, chère amie, et que vous soyez un peu
des nôtres »</i></p>
<p style="background: transparent; line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
Une fois encore, la Présidente ne put que marmonner une
réponse incompréhensible. Le Père Castor en profita pour lancer,
en changeant de ton cette fois :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Vous
pourriez vous exprimer clairement s’il vous plaît ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Peu habituée à ce que quiconque
lui parle sur ce ton, la dame leva les sourcils d’un air
interrogateur. Et le Père Castor apporta derechef une réponse sans
ambiguïté à une question …qu’elle n’avait pas posée !</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Il
me semble que vous n’avez pas été offusquée par … mes
méthodes, n’est-ce-pas ? »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> La Présidente fit visiblement un
effort pour éviter de bafouiller une nouvelle fois, sans pour autant
y parvenir complètement :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Eh
bien …non …enfin..je veux dire …après tout, vous êtes chez
vous n’est ce pas … »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> La maman de Framboise, qui jusque
là ne voyait pas où le Père Castor voulait en venir, décela cette
fois l’éclat de son regard de loup affamé quand il lança :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Je
suis ravi que vous en conveniez, ma chère. Et vous conviendrez
aussi, je pense que, comme on dit : « A Rome, on fait
comme les Romains… »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;"> Toujours cette habitude de vieux
prof de citer des locutions à tout propos, cela fit sourire la maman
de Framboise, et la Présidente, sans comprendre dans quel chemin
elle s’engageait confirma benoîtement :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"> - <i>« Ah mais …
certainement… »</i></p>
<p style="margin-left: 2cm;">Le piège s’était refermé, mais elle
ne le savait pas encore. Patiemment, le chasseur tissait les liens
qui allaient enfermer sa proie :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"><i> - « Vous conviendrez aussi, je
pense, qu’il ne serait pas juste que notre jeune amie soit la seule
à sacrifier aux rites de ma maison, n’est-ce-pas ? »</i></p>
<p style="font-style: normal; margin-left: 2cm;">La maman de Framboise
commençait maintenant à comprendre le jeu du vieil homme. Elle
revivait la conversation qui l’avait amenée, elle, à « convenir »
-puisque c’est le terme qu’utilisait le vieux prof – qu’elle
méritait la fessée. Et elle voyait comment la Présidente
s’engluait dans la toile d’araignée du Père Castor :</p>
<p style="margin-left: 2cm;"><i> - « Euh… je ne suis pas sûre
de … de comprendre...cher ami... »</i></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc560_665717933"></a><span style="background: transparent;">Et
se referme</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;"> Le sourire du Père
Castor était devenu proprement carnassier. En se levant, et en se
frottant les paumes des mains l’une contre l’autre il laissa
tomber froidement :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oh, je suis bien sûr du contraire, chère madame.Votre tour
est venu, et vous le savez bien. Alors pourquoi tergiverser ? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Interdite
la Présidente balbutia :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Mais ...vous ne voudriez pas … ? »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Visiblement,
elle avait compris à quoi voulait en venir le Père Castor, mais il
lui était encore impossible de prononcer le mot fatidique. Bon
prince, le vieil instituteur le fit à sa place, mettant clairement
les points sur les i :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Mais bien sûr que si ! J’ai bien l’intention de
vous coller une fessée ma chère. Avec votre permission, bien sûr.
Et il ne me semble pas nécessaire que je vous en explique le motif,
n’est-ce-pas ? ».</i></span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1528_75025378"></a><span style="background: transparent;">Presque
sereine</span></h4>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Ce
qui étonna le plus la maman de Framboise, qui ne perdait bien
entendu pas une miette de la scène, quand elle se remémora celle-ci
par la suite, c’est qu’au final la digne Présidente entendit
presque sereinement ce discours pour le moins disruptif. Certes,
selon l’expression qui lui vint en tête, la Présidente eut l’air
« d’en rester comme deux ronds de flan » Mais elle ne
tomba pas dans les pommes, ni ne monta pas sur ses grands chevaux. Un
homme, avec lequel elle n’avait eu jusque là que des rapports
courtois et d’ordre quasi professionnel, venait, en présence d’un
tiers, de lui annoncer tout bonnement qu’il avait l’intention de
lui flanquer une fessée. A elle, une femme d’âge mûr et établie
dans la vie et la société. Et les murailles de Jéricho ne
s’étaient pas écroulées ! Dès lors qu’à ces mots, la
Présidente ne s’était pas décidée à injurier le Père Castor,
ou tout simplement à se lever et à partir sans coup férir, la
maman de Framboise comprit qu’elle aussi s’était laissée
engager dans une voie dont elle connaissait bien l’issue.
Finalement, pour les deux victimes du vieux pervers, le seul fait
d’envisager la chose possible, c’était déjà la rendre
inéluctable. C’est du reste ce qu’avait considéré le Père
Castor tout au long de sa « carrière » de fesseur. Comme
on le sait, il n’avait jamais fessé personne contre sa volonté ;
et il lui était arrivé de devoir y renoncer, la victime putative
l’ayant proprement envoyé bouler quand il avait envisagé la
chose. Mais ce ne fut pas le cas pour la Présidente. C’est tout à
fait à dessein que le Père Castor avait prononcé le mot tabou.
Comme il l’avait fait avec la maman de Framboise, il n’avait pas
utilisé de périphrases ou de circonvolutions. Bien au contraire, il
annonçait ses intentions sans fard. En se disant in petto que « ça
passe ou ça casse ». Et en l’occurrence, ça passa.</span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc562_665717933"></a><span style="background: transparent;"> En
place.</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Une autre de ces expressions
dont l’ancien enseignant parsemait ses discours revint à la
mémoire de son ancienne élève à cette occasion : « qui
ne dit mot consent » Et en effet, la Présidente, pourtant
d’habitude si bavarde, resta<span style="font-size: large;">
</span><span style="color: maroon;"><span style="font-size: small;">coi</span></span><span style="color: maroon;"><span style="font-size: small;">te</span></span><span style="color: maroon;"><span style="font-size: large;">
</span></span>et muette. La maman de Framboise avait dû exprimer
elle-même son acceptation, on s’en souvient. Le Père Castor dut
estimer que pour sa nouvelle proie il pouvait se passer de cette
réédition exprimée. Le seul fait qu’elle n’ait pas
explicitement et immédiatement refusé l’hypothèse serait
considéré comme une acceptation tacite.<br />
L’autre chose dont
se souvint avec étonnement la maman de Framboise par la suite, ce
fut la dichotomie entre les mots et la chose. Le Père Castor venait
d’annoncer à la Présidente qu’il avait l’intention de la
fesser, mais il ne se départait pas de la plus exquise correction
dans les mots comme dans l’attitude. Ainsi c’est presque
cérémonieusement qu’il tendit la main pour inviter la dame à se
lever, accompagnant le geste d’un « <i>si vous voulez bien,
chère amie » </i><span style="font-style: normal;">pour le
moins décalé en ces circonstances. L’idée qu’il aurait presque
pu s’acquitter d’un baise-main protocolaire traversa même
l’esprit de la maman de Framboise, et la fit sourire. La
Présidente, elle, ne sourit pas. Mais elle répondit à l’invitation
si courtoisement lancée. Elle se leva donc, et se laissa docilement
conduire par le maître des lieux jusque devant le bureau de
celui-ci. Il mit alors une main ferme sur la nuque de la dame,
l’amenant à se pencher vers le bureau sur lequel, par réflexe,
elle posa les mains. Une nouvelle formule un peu toute faite vint à
l’esprit de celle qui continuait à observer la scène en silence :
« courbe-toi, fier Sicambre ! » A vrai dire, elle ne
se souvenait plus de la suite de l’injonction. Mais il lui semblait
bien qu’elle faisait allusion à ce que celui – en l’occurrence
celle – à qui elle s’adressait devait « adorer » ou
« brûler ». Nul ne sait si la Présidente était en
mesure « d’adorer » ce qui allait suivre. Mais à n’en
pas douter, il y aurait bien « brûlure »...</span></span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1411_1696820252"></a><span style="background: transparent;">Faites
donc, bis !</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Et il est bien évident que,
maintenant, la Présidente ne pouvait plus ignorer où voulait en
venir le Père Castor. Pourtant, conformément à ses habitudes, pour
ne pas dire ses principes, il tint à ce que les choses, encore une
fois, soient sans ambiguïté :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Vous savez qu’il me faut maintenant vous trousser,
n’est-ce pas, ma chère ? »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">La
réponse d’icelle fut elle aussi limpide et directe. Elle reprit
mot à mot ce qu’elle avait répondu quand le Père Castor avait
sollicité son autorisation pour « faire ce que nous avons à
faire » avec la maman de Framboise :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Faite donc, Monsieur » </i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Une
fois encore, le Père Castor était donc arrivé à ses fins. La dame
l’autorisait bel et bien à « la trousser ». Cette
femme si digne et respectable acceptait donc sans barguigner d’être
traitée comme on le fait des soubrettes. Bien entendu, le Père
Castor profita aussitôt de l’aubaine en relevant la longue jupe
grise de la dame jusqu’au-dessus de sa taille. Et, probablement
émoustillé par le contraste entre les actes et les mots si délicats
sinon précieux, il récidiva :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Et aussi vous déculotter, chère madame ! ».</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Ce
que celle-ci, prouvant qu’après tout « il n’y a que le
premier pas qui compte » resta dans le rôle qu’elle avait
accepté :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Je vous en prie, monsieur, faites donc ce qui vous paraît
nécessaire ».</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">L’aplomb,
le culot même de la Présidente étonna peut-être autant le Père
Castor, qui n’en attendait pas tant, que la maman de Framboise. Et
l’un et l’autre furent aussi assez stupéfaits de ce que le
troussage mettait au jour.</span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1530_75025378"></a><span style="background: transparent;">Les
dessous chic …</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">On l’a compris, la dame était
ce qu’il convient d’appeler pudiquement « une femme d’âge
mûr » Un peu moins âgée que le retraité, mais beaucoup plus
que la maman de Framboise. Et sa tenue vestimentaire correspondait
tout à fait à son âge et son statut social. Jupe grise descendant
jusqu’aux mollets, bottines noires, chemisier gris perle boutonné
jusqu’en haut et recouvert d’un châle violet. Elle ne portait
pas de chapeau, mais à ce détail près, elle aurait pu en effet
faire partie de « ces dames au chapeaux verts » du roman
éponyme. Mais quand le Père Castor eut remonté la jupe, ce qu’il
découvrit le remplit d’aise mais surtout déconcerta la jeune
spectatrice.. Elle qui, comme les femmes de sa génération, allait
jambes nues ou portait des collants quand la froidure l’imposait,
s’étonna d’abord qu’alors que l’on était au printemps, la
dame porta des bas gris. Pour sa part, cet accessoire vestimentaire
était réservé aux grandes occasions, ou au désir de séduire. Et
encore, les rares fois où elle en avait porté, il s’était agit
de bas « auto-fixants » , le porte-jarretelles
appartenant, à ses yeux, au monde des fantasmes un peu pervers ou
des « cocotes » Mais elle aurait encore moins imaginé
l’accoutrement qu’elle découvrit. Elle n’avait en effet jamais
ni porté ni même vu de tels dessous, si ce n’est dans la
séquence culte du film « Autant en emporte le vent ».
Les hanches de la dame étaient en effet bel et bien enserrées dans
ce que la jeune femme identifia – à tort – comme un corset et
que les amateurs, eux, auraient qualifié plus exactement de « serre
- taille ». Une sorte de carcan couleur chair, visiblement
rigide, fermé dans le dos par un laçage serré, auquel les bas
étaient reliés par les jarretelles. </span>
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1544_75025378"></a><span style="background: transparent;">Sans !</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">On le sait, pour un passionné
du déculottage comme tous ceux qui pratiquent la fessée, dès qu’il
y a porte-jarretelles, « La » question est la même que
celle que se pose le capitaine Haddock à propos de sa barbe :
« dessus ou dessous ». On le sait, sur le plan
strictement esthétique, beaucoup considèrent qu’il est préférable
que les jarretelles passent au-dessus de la culotte. Mais, pour des
raisons strictement pratiques, beaucoup de femmes préfèrent au
contraire passer la culotte au dessus des jarretelles, permettant
ainsi de la baisser facilement pour faire pipi. Et, celles qui sont
confrontées à la fessée déculottée usent du même stratagème
pour faciliter la chose. <br />
Mais, dans le cas présent, le Père
Castor, et plus encore la maman de Framboise découvrirent avec
stupéfaction que la question ne se posait pas. Pour une raison bien
simple, la dame ne portait pas de culotte ! Et c’est
directement un derrière nu qui apparu ! Encadré par le
serre-taille en haut, les jarretelles de chaque côté et les bas. Le
tout formant une sorte de cadre mettant en valeur ce qui en
constituait le centre. Ce fut, bien entendu, une révélation. Cette
dame, se baladait donc cul nu sous sa robe ! Le cul à l’air !
Or, à l’évidence, cela ne pouvait pas être en prévision de ce
qu’elle était en train de vivre. C’était donc une habitude,
voire une règle de vie. A moins que l’on ne suppose qu’il
s’agisse d’un oubli fortuit, ce qui, convenons en, était bien
improbable. Le Père Castor se promit bien de tirer au clair cette
question dès que possible, mais pour l’immédiat il avait autre
chose à faire. Et la découverte de ce cul nu ne fit que le
confirmer dans sa détermination. Le fesser. Et le fesser
d’importance. <br />
Le Père Castor n’avait jamais été
particulièrement fétichiste de la lingerie. Il n’en fut pas moins
plus qu’émoustillé par ce que dévoilait celle qu’il allait
fesser. Et surtout, bien sûr par l’absence de la pièce souvent
jugée comme essentielle. </span>
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1546_75025378"></a><span style="background: transparent;">Contrastes</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">D’abord,
sûrement, pour l’aspect strictement visuel de la chose. Le
serre-taille amincissait évidement la taille de la dame, et mettait,
par contraste, plus encore en valeur ses hanches et surtout son
postérieur. Celui-ci s’élargissait en majesté, en forme de
guitare. Curieusement, lui pourtant habitué à en juger au premier
coup d’œil, découvrait avec surprise l’ampleur de ce derrière,
qui ne lui était pas apparue quand il était encore dissimulé par
les vêtements plutôt stricts que la dame portait habituellement. Le
Père Castor, en amateur averti, appréciait à sa juste valeur ce
popotin généreux. Ces fesses amples, séparées par une raie
largement ouverte, comme un sourire radieux. Des fesses qui
s’élargissaient vers le bas, en goutte d’huile. Un cul, se dit
le Père Castor, qui donnerait envie de le fesser même à celui qui
n’aurait jamais eu ce fantasme. Et a fortiori à un passionné
comme lui.<br />
Mais il était aussi séduit par le contraste entre
l’image que donnait d’elle-même cette femme et ce que révélait
l’absence de slip. Il en aurait donner sa main à couper -et Dieu
sait pourtant qu’il en avait besoin de cette main - que personne
n’aurait pu deviner qu’elle fut aussi coquine. Personne n’aurait
pu imaginer que, sous ces robes ou ces jupes toujours sages et
couvrantes, cette femme soit la foufoune et les fesses à l’air.
Peut-être fût-il, par la suite, un peu frustré de ne pas pouvoir
déculotter lui-même sa ravissante victime. Mais il savait déjà
que, jamais plus, il ne verrait cette femme du même œil. A son âge,
qu’il lui arrivait de juger lui-même quasi canonique, le Père
Castor venait de découvrir qu’il y avait peut-être bien plus de
femmes sans culotte qu’il n’avait jamais imaginé ! <br />
Enfin,
pour le Père Castor, il y avait aussi, voire surtout, le contraste
entre les deux postérieurs féminins qu’il découvrait quasi
simultanément. Bien sûr, au cours de sa longue « carrière »
il avait vu un nombre appréciable de culs féminins. Et il avait pu
en apprécier la variété. Les culs ronds, les culs généreux, les
culs musclés, les petits culs, les gros culs, les culs en pomme, en
poire, en melon … que sais-je ? Mais, quelles qu’aient été
ses expériences interlopes, il ne lui était pas souvent arrivé de
dénuder deux derrières dans la même journée ! Il pouvait
donc, mieux que jamais, comparer ces deux postérieurs aussi
agréables l’un que l’autre à ses yeux. L’un rond, quasiment
sphérique, rebondi, ferme, orné d’une raie fine comme un coup de
couteau dans un fruit. L’autre visiblement plus moelleux, plus
exubérant, dont la vallée laissait voir les profondeurs de la raie
jusqu’au petit trou. L’un, celui de la plus jeune, à la peau
pâle, presque laiteuse, constellé de taches de rousseur.
Contrastant avec les cuisses bronzées. L’autre au teint
curieusement plus mat, formant une continuité de carnation avec le
bas du dos et le haut des cuisses. La question s’imposa au vieux
pervers : arriverait-il à cette femme d’exposer ses fesses au
soleil ? <br />
En un mot comme en cent, il se régalait de
contempler ce cul, si différent de celui qu’il venait de fesser et
qu’il savait être encore chaud et rouge sous la jupe de la maman
de Framboise.</span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1413_1696820252"></a><span style="background: transparent;">Voyeuse.</span></h4>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Celle-ci n’était pas restée
insensible non plus à la découverte du derrière de celle dont elle
avait bien sûr compris qu’elle allait subir ce qu’elle venait de
vivre. Nulle jalousie chez elle. Jamais elle n’avait pensé qu’en
la fessant régulièrement le Père Castor lui réservait
l’exclusivité. Nul mépris non plus. Certes, elle était bien
consciente que son propre derrière avait, sur celui de la
Présidente, l’avantage de la jeunesse. De la fraîcheur, de
l’élasticité. Mais elle était aussi, sincèrement, admirative de
ce qu’elle découvrait. Admirative d’abord de l’audace de celle
qui, pour elle, était quand même presque une vieille dame. Qu’elle
se résolve si facilement à tomber dans les rets du vieux chasseur,
cela avait déjà été une surprise. Ses réponses, les deux
« faites donc » à la fois dociles et presque ironiques,
révélaient aussi un caractère pour le moins ferme. Mais c’est
bien sûr l’absence de culotte, ce cul nu, ce popotin à l’air
libre, qui impressionnaient le plus celle qui, en comparaison se
sentait bien novice, presque prude. Elle était aussi réellement
admirative de la beauté de ce cul. C’est même l’idée qui lui
était venue en premier quand la jupe avait été relevée. Oui,
cette dame au physique finalement assez quelconque, à la mine plutôt
stricte, eh bien elle avait un beau cul ! Et bien que jamais la
jeune femme n’ait été tentée par les aventures saphiques, elle
ne pouvait le nier, la vision de ce cul l’avait émoustillée. Du
reste, si elle ne pouvait certes pas « mouiller sa culotte »
puisque, comme à l’accoutumée elle était restée sans après la
fessée, elle sentait bien que l’humidité sourdait de son
intimité. Machinalement, elle avait même serré les jambes, comme
si elle craignait que les traces de son excitation puissent couler
entre ses cuisses. Elle avait donc, nouveau contraste, le minou
humide et la bouche sèche. Recevoir la fessée sous le regard de
cette inconnue avait été une épreuve. Une épreuve qu’elle était
fière d’avoir surmontée. Mais aussi une épreuve qui l’avait
déjà, pour dire les choses sans tergiverser, fait mouiller. Voir le
cul nu de la Présidente n’avait fait qu’accroître le phénomène.
Et la perspective de voir ce cul maintenant fustigé plus encore.
Excitée, et en même temps honteuse de l’être ; elle sentait
sa foufoune bailler, frémir, et surtout abondamment couler …<br />
La
sage jeune femme, la maman attentive, était déjà devenue une
dévergondée qui montrait son cul sans pudeur à un vieux pervers.
Elle était assez consciente des choses pour ne pas ignorer qu’il y
avait quelque chose de l’ordre de l’exhibitionnisme dans son
attitude, même si rien d’explicitement sexuel ne venait s’ajouter
à la fessée. L’expérience de la fessée qu’elle venait de
recevoir sous les yeux d’une inconnue ne faisait que confirmer cet
aspect de son patrimoine fantasmatique. Elle était maintenant en
position de découvrir le voyeurisme. </span>
</p>
<p style="line-height: 120%;"><span style="background: transparent;"><br />
</span><br />
<br />
</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1417_1696820252"></a>Chapitre
2<sup>ème</sup><br />
La Présidente.</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1872_75025378"></a>Raclée
initiale.</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1874_75025378"></a>Du
travail soigné</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Force est de dire que le
spectacle qu’offrirent le Père Castor et sa nouvelle victime fut
tout à fait de nature à combler les penchants pour le voyeurisme de
la jeune femme. Ce fut aussi une découverte puisque, jusque là,
elle avait été l’objet des fessées, alors qu’ici elle en était
la spectatrice. C’est peu de dire que le changement de point de vue
fut en effet instructif. Elle découvrit d’abord les attitudes, les
regards, les mimiques du Père Castor «dans ses œuvres ».
Elle savait déjà qu’il fessait fort. Elle avait pu, à ses
dépens, apprendre comment il variait les endroits où il faisait
tomber sa main, les angles d’attaques, la force des claques, leur
rythme. Elle constatait maintenant que le Père Castor fessait avec
soin. Le visage tendu, l’air concentré. Il s’appliquait, le
bougre. La fessée de la Présidente, ce fut du travail soigné,
presque de l’art. Une sorte de symphonie. Elle commença
« moderato », par quelques bonnes claques appliquées
fermement sur chaque fesse alternativement. En laissant un moment de
pause entre chacune, comme pour leur laisser le temps de faire leur
œuvre. Puis le rythme s’accéléra. Le chef d’orchestre passait
à l’allegro. Les claques tombaient en rafales drues. Plus vite,
plus vite encore. Vivace ! Presto ! Prestissimo !
Avant de revenir à des moments de ralentissements, de modulation. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1876_75025378"></a>Couleurs.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Si, au début, les claques
s’étaient abattues sur le sommet des fesses, y faisant apparaître
une sorte de calotte colorée, le Père Castor veilla visiblement à
ne négliger aucune parcelle de ce qui lui était présenté. Sa main
claqua sur toute la surface des fesses. Celles ci tremblotaient,
s’écartaient, se resserraient, valdinguaient de droite à gauche
et de haut en bas. L’arrière des cuisses n’était pas négligé
pour autant. Et la maman de Framboise était bien placée pour savoir
que les claques y étaient particulièrement douloureuses. La marque
des doigts écartés s’y imprimait de manière éphémère mais
bien visible. Tandis que le derrière se colorait de manière
uniforme. Le Père Castor remarqua tout de suite que les deux culs
qu’il fessait successivement réagissaient différemment de ce
point de vue. Alors que les fesses de la maman de Framboise passaient
rapidement du blanc laiteux au rouge vif, celles de la Présidente
mettaient plus de temps à se colorer vraiment. Elles prenaient
progressivement un ton rouge foncé. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1878_75025378"></a>Réactions.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">De la même manière, les deux
culs réagissaient différemment au traitement qui leur était
infligé. Le derrière de la jeune dame menait une sorte de combat,
de résistance. Sous l’impact des claques, il se fermait comme une
huître, se crispait, durcissait, se faisait pierre, granit. Et il
fallait que la fessée se prolonge pour que le popotin finisse par
capituler, par se relâcher. Pour devenir boule de pâte comme celle
que le boulanger pétrit. Celui de la Présidente fit en quelque
sorte le chemin inverse. Longtemps, il ballotta au gré des claques
qui le faisaient valser. Il semblait avoir accepté d’emblée la
fessée. Et les mouvements désordonnés des fesses ouvraient
largement la raie fessière, exposant aux regards salaces le petit
trou béant. En apercevant ainsi l’anus de la dame, la maman de
Framboise eut un bref moment de honte rétrospective et d’angoisse.
<i>« Mon Dieu, est-ce que, moi aussi, je montre ainsi mon trou
du cul ? » </i><span style="font-style: normal;">Mais, la
fessée se poursuivant, les fesses de la Présidente se resserrèrent,
faisant disparaître l’objet du délit. Le son des claques devint
plus clair, tandis que, pour la première fois, la Présidente fit
entendre le son de sa voix.</span></span></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1880_75025378"></a>Cris
et chuchotements.</h5>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Jusque là en effet, et malgré
l’intensité de la raclée, elle était restée étonnamment
silencieuse. La maman de Framboise, dès les premières fessées
qu’elle avait reçues, avait mis, presque inconsciemment, un point
d’honneur, à ne pas crier comme un cochon qu’on égorge. Mais
elle n’avait pas pu étouffer complètement ses râles et ses
plaintes. Même en serrant les dents, elle ne pouvait s’empêcher
de lâcher des « aille », des « ouille », ou
de longs « aaaah ! » plaintifs. Au contraire, aucun
son ne sortit des lèvres de la Présidente. Cette résistance
passive incita évidemment le Père Castor à tout faire pour la
vaincre. Il redoubla donc d’ardeur, claquant sans retenue le cul
récalcitrant. Devant cet assaut, la Présidente gémit sourdement.
Elle émit quelques « humpf ! » et quelques soupirs.
Mais, en même temps, elle levait les fesses vers la main qui les
fustigeait. Comme si, loin de vouloir se soustraire au traitement que
subissait son postérieur, elle tendait celui-ci, l’offrant bien
plus que le protégeant. Et il apparut presque évident à la maman
de Framboise que les plaintes se mêlaient de halètements. </span>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Le
Père Castor ne fut pas sans s’en rendre compte, lui aussi. Il
comprit que, aussi douloureuse la fessée ait été, la Présidente
gémissait aussi de plaisir. D’autant plus qu’il pouvait
constater que la foufoune qu’elle exhibait en se cambrant de plus
en plus suintait visiblement. Dire que la Présidente mouillait
serait un euphémisme. Son intimité ruisselait littéralement comme
un fruit mûr. Nul autre qu’elle même ne pourrait dire si elle fut
vraiment foudroyée par un orgasme alors que son cul était ainsi
tanné. mais cette vision de moiteur ne pouvait laisser le vieil
homme insensible. Il eut fallu être de bois pour ne pas avoir envie
de défoncer ce sexe si généreusement offert. D’autant que le
Père Castor n’avait pas de raison de s’imposer avec la
Présidente les mêmes règles qu’avec la maman de Framboise. Par
respect pour elle comme pour l’autre femme, il fallait donc que la
première le laisse seul avec la seconde. Il fit donc se relever
celle qui venait de prendre une raclée qu’il savait déjà n’être
que la première :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -<i>« Il
me semble qu’un moment de réflexion au coin vous est nécessaire,
madame ... »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
la mena lui-même là où il voulait qu’elle aille. Fit en sorte
que la jupe resta relevée et les fesses bien visibles, et plaça les
mains sur la tête. Puis il se tourna vers la maman de Framboise :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -<i>« Quant
à toi petite, je pense qu’il est temps de rentrer ... »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
s’inclina, au sens propre comme au sens figuré :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -<i>« Bien,
Monsieur, je vous remercie pour tout, Monsieur »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Le
« Monsieur » comprit évidemment à quoi elle faisait
allusion. Il ébaucha même un sourire un peu complice mais il
ajouta, alors qu’elle était déjà sur le seuil de la porte :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -<i>« Nous
nous verrons vendredi prochain. Tu sais que nous aurons des choses à
régler, n’est-ce pas ? »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
ne demanda pas d’explication. Elle savait déjà qu’elle
accepterait ce que le Père Castor aurait décidé. Avait-il remarqué
son trouble alors qu’elle assistait à la fessée de la
Présidente ? Considérerait-il qu’elle doive être punie pour
cela ? Ce serait injuste. Mais elle n’envisageait pas de
refuser la punition s’il en décidait ainsi. Peut-être même
l’espérait-elle ?</span></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3133_75025378"></a>Suites</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3135_75025378"></a>Remerciements.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Aussitôt la jeune femme
sortie, le Père Castor se jeta sur l’autre femme comme un mort de
faim. Alors qu’elle était restée sagement « au coin »,
les mains sur la tête, il la fit se pencher à nouveau, se colla
derrière elle et saisit à pleines mains sa généreuse poitrine.
Elle sentait contre ses fesses irritées la pression du sexe bandé
de celui qui venait de la tourmenter. Et qui, maintenant, pelotait
ses seins au travers de leur coquille rigide. Il les abandonna
cependant pour ouvrir son pantalon et sortir son sexe turgescent. Et,
sans plus de tergiversations, il enfila sa partenaire. Il la pilonna
à grands coups de reins qu’il accompagnait de « han »
de bûcheron. Avec l’âge, pour le plus grand bénéfice des dames,
les risques de précocité s’atténuent. Mais le vieil homme était
si excité qu’il explosa après quelques minutes seulement. La
Présidente exprima son plaisir sans retenue. Quand elle se redressa
et fit face à celui qui était devenu son amant, celui-ci ne put
déterminer si les larmes qui perlaient à ses yeux étaient celles
de la douleur de la raclée reçue, du plaisir de la baise ou de
l’émotion. En tout cas, radieuse, la Présidente souffla :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Merci, Monsieur … merci pour tout. »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><br />
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3137_75025378"></a>Derniers
outrages.</h5>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Cet impromptu avec la
Présidente fut l’amorce d’une sorte de renouveau pour la vie
sensuelle du vieil homme. Bien entendu, il revit régulièrement sa
partenaire .Pour lui coller des fessées soignées, bien sûr, mais
aussi pour profiter sans vergogne des suites de celles-ci. Avec elle,
le Père Castor ne s’imposait pas la sorte de vœux de chasteté
qu’il se sentait obligé de respecter avec la jeune maman. Il faut
dire que, sous ses airs parfois un peu guindée, elle se révéla
être une sacrée coquine. C’est du reste peut-être cette
contradiction entre l’image que la dame donnait d’elle-même et
ses débordements érotiques qui donnait une saveur toute
particulière à leur relation. Épicurien, le Père Castor goûtait
particulièrement de faire subir à sa partenaire « les
derniers outrages » tout en restant, sur le plan des échanges
verbaux, tout à fait respectueux des règles de la bienséance.
Aussi furieux et flamboyants que furent leurs ébats, ils
continuèrent à se voussoyer et même à n’utiliser qu’un
langage presque désuet de correction. Solliciter une fellation par
un <i>« auriez-vous la bonté de me sucer, chère amie ? »
</i>ou l’inciter à mieux faire par un <i>« concentrez vous
sur mes couilles, ma chère, si vous voulez bien » </i>donnait
à la chose une saveur toute particulière. D’autant que la dame
savait s’y prendre en la matière. Sa bouche, toujours
soigneusement maquillée d’un rouge à lèvre de bon goût, pompait
donc le dard de son amant avec gourmandise mais aussi avec talent.
Redonnant à cet organe une vitalité et une rigidité dont son
propriétaire s’étonnait lui-même. Et elle ne rechignait pas à
avaler goulûment le résultat de ses succions. <br />
De la même
manière, il retrouva avec elle les délices de pratiques qu’il
avait abandonnées depuis des lustres. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1223_1813599026"></a>Les
mots et les choses</h5>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
constata avec cette capacité à se moquer de lui-même qui faisait
son charme, que la sodomie <i>« c’est comme le vélo, ça ne
s’oublie pas »</i> La dame n’était pas non plus avare de
le laisser s’introduire par cette voie particulière quand il le
lui proposait avec délicatesse : </span>
</p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Si vous m’y autorisez, ma chère, il ne me déplairait pas
de vous défoncer la rondelle » </span></i>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">annonçait-il
alors à celle qui reprenait l’expression qu’elle avait utilisée
en d’autres circonstances tout aussi émoustillantes : </span>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"><i> -
« Mais faites donc, mon ami, j’en serais ravie ! »</i>
</span>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Le
jeu continuait alors dans un dialogue quelque peu surréaliste :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;"> -
<i>« Fichtre, que votre trou du cul donne envie, madame ! »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
écartait les fesses généreuses pour mieux le découvrir</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Faites, faites donc ! Il n’attend que votre dard, vous
le voyez bien ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
se cambrait pour faciliter la chose.</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Mon Dieu qu’il va être bon de vous enculer,! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
présentait le gland à demi découvert contre l’anus déjà
entrouvert.</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Tout le plaisir est pour moi…. Allez, monsieur, hardi ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
ne se faisait pas dire deux fois, et pénétrait le trou divin avec
un soupir de plaisir.</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Ah ! Putain que c’est bon ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Dans
le feu de l’action il lui arrivait en effet d’oublier la
correction du langage. Et la dame, à qui la pénétration de son
fondement ne faisait pas perdre le sens de l’humour de répliquer :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oh, monsieur ! Serait-ce à moi que s’adresse ce mot
? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Il
saisissait la balle au bond :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Je ne me le permettrais pas, Madame ! Mais vous êtes en
effet une belle salope ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Constatait-il
alors qu’elle feulait au rythme de ses coups de reins.</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oui ! Je suis votre salope ! Vous me faites
mourir ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
accentuait encore sa jouissance en se caressant en même temps le
minou, ce qui, bien sûr, n’échappait pas à son partenaire :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Mais que fait là votre main, très chère ? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
ne tentait pas de nier, bien au contraire :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Je m’astique le minou, Monsieur. Oui, je me branle,
Monsieur ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Le
Père Castor embrayait tout en continuant à la pilonner :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Pensez-vous que ce soit correct pour une dame comme vous ? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Elle
continuait le jeu :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oh non, Monsieur ...c’est...c’est mal ...je sais ...je
suis une petite cochonne ! »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Et qu’est-ce qui arrive aux petites cochonnes, ma belle
salope ? »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Elles sont punies, Monsieur ... »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Punies comment, Madame ? »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« ...la...la fessée...Monsieur...oui, la fessée !
Allez-y Monsieur !»</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">On
serait étonné que le vieux pervers n’obtempère pas à une telle
invitation. Aux claquements de son ventre contre les fesses,
s’ajoutaient donc ceux de ses deux mains frappant le cul en
cadence.</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm;"><span style="background: transparent;">Quand
la Président jouissait avec un râle guttural, elle n’aurait su
dire elle-même si c’était sa masturbation, l’enculage, ou la
fessée qui en était la cause !</span></p>
<h4 class="western" style="font-style: normal;"><a name="__RefHeading___Toc1195_427130317"></a>
<span style="background: transparent;">Secrets respectés et révélés.</span></h4>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Respectueuse de celui qui était
devenu son « Monsieur », la maman de Framboise ne posa
jamais la moindre question à celui-ci à propos de ce dont elle
avait été le témoin. Le Père Castor continuait à s’occuper de
ses fesses chaque semaine, elle continuait à recevoir ainsi sa
raclée hebdomadaire, peu lui importait qu’il en flanque aussi à
d’autres. De son côté le Père Castor, comme il l’avait fait
toute sa vie, pratiquait une sorte de strict cloisonnement. Il
considérait qu’il était impératif qu’il respecte l’intimité
des deux femmes qu’il fessait avec le même plaisir. Quand la
Présidente, aussi curieuse que bavarde, avait tenté de l’interroger
sur <i>« cette charmante jeune dame » </i>à la punition
de laquelle elle avait assisté <i>« accidentellement »</i>
la seule réponse avait été une volée de martinet plus longue
qu’à l’ordinaire , puisque le Père Castor amenait
régulièrement « ses affaires » lors de ses visites. </span>
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3141_75025378"></a>La
Comtesse aussi !</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1630_2069606885"></a>Découverte !</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 2cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;">Quant à la Présidente, aussi
bavarde qu’elle ait été, elle n’allait pas aller crier sur les
toits ses frasques, et encore moins sa conversion à la fessée. Elle
avait assez intériorisé les règles morales de son milieu social
pour qu’elle tienne à sa réputation de veuve chaste et digne.
Ainsi, ses tenues vestimentaires restaient des plus strictes, le plus
souvent en camaïeu de gris et de violet. Et nul n’eut pu deviner
que sous ses jupes tellement correctes qu’elles en étaient
tristounettes se cachaient parfois des fesses rougies. C’est du
reste ces marques qui ornaient souvent ses fesses plusieurs jours
après qu’elles aient été faites par les instruments du Père
Castor qui amenèrent son amie Madame De Frange, une authentique
fausse comtesse, à découvrir le pot aux roses, encore qu’il se
soit plutôt s’agit de rouge. La Présidente et elle étaient amies
depuis l’adolescence. Comme elles tenaient, l’une et l’autre, à
prendre soin de leurs corps, et que le mari de la pseudo comtesse
était assez riche pour avoir fait installer une salle de sport dans
leur luxueuse maison, elles s’y rendaient régulièrement de
concert. A l’issue de ces séances, les deux femmes passaient à la
douche. Toutes pétries des habitudes et principes des femmes de
leur génération, elles ne se douchaient pas ensemble, passant sous
le jet l’une après l’autre. Po<span style="color: black;">urtant, il
arrivait, comme ce fameux samedi, que l’une ou l’autre revienne
par inadvertance dans la salle d’eau avant que l’autre</span><span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">
n’ait terminé</span></span><span style="color: black;"> ses ablutions.
La Présidente n’était pas si pudibonde, </span><span style="color: black;">elle
ne s’offusqua pas </span><span style="color: black;"> </span> du retour
intempestif de son amie. Tout juste eut-elle le réflexe, quand son
amie surgit devant elle alors qu’elle se douchait, de ramener
d’abord les bras sur sa poitrine pour cacher ses seins, dans ce
geste naturel aux femmes , qui découvrent ainsi ce qui,
peut-être, mériterait d’être encore plus caché. Nombreux sont
les hommes qui, surprenant ainsi une dame dans son plus simple
appareil, l’o<span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">nt
vue </span></span>ainsi laisser voir son sexe, qu’il fut glabre ou
au naturel. La Comtesse, respectueuse des règles de la bienséance
et de l’intimité de son amie, s’excusa et allait se retourner
pour ne pas la gêner. Mais la Présidente, consciente qu’elle ne
pouvait dissimuler tout ce qui aurait dû l’être, prit la même
initiative, et se tourna vers le fond de la douche, comme si le fait
de na pas voir pouvait lui éviter d’être vue. Et comme elle
pivota sur elle-même plus vite que la <span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">Comtesse,
celle-ci aperçut, certes fort brièvement, un postérieur marbré de
bleu et zébré de fines traces violettes. Elle sortit de la salle
d’eau sans faire de commentaire, mais quand les deux amies se
retrouvèrent autour de leur traditionnelle tasse de thé, elle ne
put s’empêcher de revenir sur sa fugace découverte.</span></span></span></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1632_2069606885"></a>Perspicacité.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; page-break-before: auto;">
<span style="background: transparent;"> - <i>« Je ...je suis
désolée, ma chérie. Je n’avais pas pensé que tu étais encore
... »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">La
Présidente fit le choix de prendre la chose à la légère :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Encore … « à poil » ..eh bien si ...mais
tu n’as pas à t’excuser. Après tout, comme on dit parait-il
« nous sommes entre femmes » non ? »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">Mais
son amie, qui semblait plus gênée qu’elle, insista :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Oui bien sûr, mais ...tu sais...j’ai vu ... »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">Cette
fois, la Présidente ne pouvait pas ne pas comprendre la raison de
l’étonnement de son amie. Elle tenta pourtant de rester sur le
registre de la plaisanterie :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Ah, ça, je n’en doute pas. Tu as vu...la lune comme disait
parfois galamment mon défunt mari. Et je gage que tu n’en as pas
perdu la vue ! »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">La
comtesse esquissa un sourire un peu contraint. Son amie ne l’avait
pas habituée à utiliser ce genre de langage, et encore moins à des
allusions à son intimité passée avec son mari. </span>
</p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> - « Non,
mais je..enfin...tu sais bien ..j’ai vu...dans quel état il
est ! »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;"><span style="font-style: normal;">Cette
fois, la Présidente</span><i> </i><span style="font-style: normal;">comprit
qu’elle ne pourrait éviter de répondre à la question que, </span><span style="color: black;"><span style="font-style: normal;"><span style="font-weight: normal;">du
reste, so</span></span></span><span style="font-style: normal;">n amie
n’avait pas posée :</span></span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><i><span style="background: transparent;"> -
« Ah..oui...ne t’inquiète pas ...une chute toute bête dans
l’escalier ... »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">Avait-elle
espéré que son ami<span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">e
crût à</span></span> cette explication, ou espérait-elle seulement
qu’elle fasse comme si elle s’en contentait ? Si tel est le
cas, son espoir fut déçu puisque la Comtesse non seulement n’en
crut rien mais elle la regarda cette fois bien en face et énonça
d’une voix tranquille :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;"> -« <i>Non,
ma chérie ...tu n’es pas tombée dans l’escalier... »*</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;">La
Présidente riposta, presque exaspérée :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i><span style="background: transparent;"> - « Mais si, je
t’assure! Je le sais quand même ! Et ...et j’ai la peau qui
marque si vite ... »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">La riposte de son amie la cloua
sur place :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> -<i>« Ah pour ça, oui,
tu peux le dire, quand tu en as pris une bonne, ça se voit ! »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Elle tenta bien d’esquiver
une nouvelle fois, mais en commençant à bredouiller un peu :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> -<i>« Comment ça ...que
veux tu dire enfin ! »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">« Le » mot n’avait
pas été prononcé, mais, bien sûr, elle avait compris ce que son
amie avait compris elle-même. Du reste elle le lui confirma :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> -<i>« Écoute, ma
chérie,je te prie de m’excuser, après tout, tout cela ne me
regarde pas. Tu n’es en rien obligée de m’en dire plus. Mais
crois moi ...je suis bien placée pour reconnaître les marques d’une
bonne fessée ! »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">L’insistance de son amie
avait contrarié la Présidente. Mais les derniers mots de la
Comtesse avaient aussi attisé sa curiosité légendaire. Aussi,
quoiqu’elle <span style="color: #ff3333;"><b>eût </b></span>préféré que
la conversation en reste là, elle ne put s’empêcher de
s’exclamer :</span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> -<i>« Comment ça « bien
placée » ? »</i></span></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">La comtesse eut un sourire un
peu ironique, mais elle répondit sans tergiverser :</span></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="background: transparent;"><span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span></span><i><span style="text-decoration: none;">« </span></i><span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;">
</span></span><i><span style="text-decoration: none;">Mais parce que
je suis quand même capable de voir l’état des miennes quand ça
m’arrive, ma chérie ! »</span></i></span></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1441_398011821"></a>Habitudes
conjugales</h5>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
La Présidente en resta bouche bée. Elle balbutia péniblement :</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Tu...toi aussi
tu….enfin….mais…. »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Elle semblait tellement désemparée que la Comtesse eut presque des
scrupules à la mettre ainsi en peine. Aussi choisit-elle d’être
directe :</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Eh bien oui, ma
chérie ...j’ai souvent eu le popotin dans un état assez proche du
tien aujourd’hui. Mais tu le sais, je suis une épouse … je peux
donc l’avouer sans </span></i><span style="text-decoration: none;">
</span><i><span style="text-decoration: none;">cacher qui en est le
responsable ... »</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
La Présidente, qui connaissait le mari de son amie s’étonna :</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Tu veux dire
que Pierre, enfin je veux dire que ton mari ... » ?</span></i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"><span style="text-decoration: none;"> -
« </span><i><span style="text-decoration: none;">Que mon mari a
en effet une conception disons ...traditionnelle des relations
conjugales. »</span></i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - « Il te ...pour te punir ? »</i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i>- « Bien entendu ! Aussi charmant et humaniste qu’il
soit, il a toujours considéré que l’épouse devait obéissance à
son mari, vois-tu. Il faut dire que dans son milieu, cela apparaît
comme une évidence. Dès lors que je lui étais « promise »
comme on disait encore en ce temps là dans ces famille, je savais
qu’il considérerait le droit de me punir, comme tu dis, comme
aussi une évidence. »</i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - </i><span style="font-style: normal;">« </span><i>Et tu …
enfin...tu trouvait cela ...normal ? »<br />
- « A
vrai dire, je ne me suis pas posée la question tu sais. Dans notre
milieu et à l’époque, cela ne choquait personne je crois. »</i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - « Je veux dire...pour te punir « pour de vrai » ? »</i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
La naïveté, réelle ou simulée, de la Présidente fit sourire son
amie :</p>
<p align="left" style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> -« Ah oui ... »pour de vrai », comme tu dis !
Monsieur mon mari n’a jamais donné une tannée « pour
rire », je peux te l’assurer. Mais en même temps, il ne m’a
jamais non<span style="color: black;"> plus </span>fessée sans de vraies
raisons. »</i></p>
<p align="left" style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - « Et...tu acceptes encore aujourd’hui ? »</i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Sans s’en rendre compte, la Présidente, par cette question qui
pouvait apparaître aussi comme une sorte de reproche, donnait en
quelque sorte « des verges pour se faire battre » :</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="text-decoration: none;"> - </span><i><span style="text-decoration: none;">« Oh,
ma chère, il me semble que, toi aussi, tu as ...accepté, non ? »</span></i></p>
<p align="left" style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<i> - « Euh… oui ...bien sûr ..mais ...je veux dire...ce
n’est pas la même chose ... »</i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<i><span style="text-decoration: none;"> -« En es-tu bien sûre,
ma chérie ? Tu sais, quand o</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">n
reçoit une vraie fessée – et l’état de ton postérieur
m’incite à croire que c’est bel et bien ce qui t’est arrivé –
c’est toujours une « punition ». Et en même temps,
rassure-toi, quelques douloureuses que soient celles de Monsieur mon
mari, elles ont aussi les conséquences que tu connais, </span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">j’en
suis persuadée »</span></i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Comme la Présidente affectait de ne pas comprendre, son amie
n’hésita pas à mettre les points sur les « i » :</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="text-decoration: none;"> «</span><i><span style="text-decoration: none;">Encore
une fois, ma chérie, tu peux « garder le silence » comme
on dit dans les films policiers. Mais je ne me fais aucun soucis pour
toi, tu sais. Je te connais assez pour savoir</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">
que si tu te laisses m</span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">artyriser
ainsi le popotin, c’est que tu y trouves ton compte ! Et
laisse moi te dire que c’est très bien ainsi. </span></i>
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Elle n’éprouva aucune gêne à convenir que, de son côté, la
fessée était entrée dans sa vie comme une marque d’obéissance à
son mari. Mais elle avait vite constaté que, paradoxalement,
celui-ci était aussi plus enclin à des marques de tendresse quand
il lui avait tanné les fesses :</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Eh
bien oui, ma chérie, toute innocente que je fus alors ;
puisque, bien évidemment, celui qui devint mon mari était le
premier ; j’ai vite pris goût à « l’œuvre de
chair »comme disait nos confesseurs à la pension. Et je dois
dire que … j’ai tout de suite trouvé cela bien agréable !
J’ai sûrement eu finalement de la chance de tomber sur un mari
qui, tout en ayant des idées bien arrêtées sur le discipline
conjugale et les moyens de la faire régner, savait aussi donner du
plaisir à une femme. Alors, il ne m’a pas fallu longtemps pour
constater qu’il était particulièrement en forme de ce point de
vue quand il m’avait auparavant flanqué une fessée. Pour le dire
sans périphrase, il avait plus envie de baiser, et il me baisait
mieux, quand il m’avait fessée ! »</span></i></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
Pour autant, précisait-elle, elle n’avait jamais provoqué
consciemment les punitions. Elles étaient assez douloureuses pour
qu’au contraire, elle ait tout fait pour les éviter autant que
possible.
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Je
dois le reconnaître, jamais mon époux ne m’a punie sans raison,
et encore moins pour son plaisir.Tu comprends, à ses yeux, la
discipline conjugale, et donc les punitions qui vont avec, c’est un
sujet sérieux. Il a toujours tenu à ce que les raclées qu’il
m’administrait soient justifiées et surtout que j’en sois
moi-même persuadée. Ainsi, sauf cas exceptionnels, la fessée, chez
nous, n’est jamais appliquée sous le coup de la colère. Avec le
temps, il ne lui est même plus nécessaire de m’avertir de sa
décision. A la manière qu’il a de me regarder quand il const</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="background: transparent;">ate
une réaction, un mot, une attitude qui, selon lui méritent
sanction, je comprends aussitôt que j’y aurai droit. Mais … il
est alors trop tard. Je sais fort bien que rien de ce que je pourrai
dire ne le détournera de sa décision. En plus, tu me connais, je
suis trop fière pour tenter de l’attendrir. Pourtant, il y a des
fois où, finalement, je préférerais presque prendre ma volée
immédiateme</span></span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">nt.
Au lieu de cela je passe des heures, parfois des jours, en sachant
très bien que « ça » va tomber, mais dans l’incertitude
permanente sur le moment. »</span></i></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2989_665392713"></a>Une
chaude soirée</h5>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
La Présidente n’eut pas besoin d’interroger plus avant son amie.
Celle-ci, en veine de confidence, lui détailla les pratiques de son
mari en la matière. Ainsi, lui dit-elle, il pousse parfois la
perversité jusq<span style="color: black;"><span style="background: transparent;">u’à
sembler avoir oublié la punition méritée. Et elle tombait alors au
moment où la victime s’y attendait le moins</span></span>.
L’empêchant ainsi de s’y préparer. Et surtout lui imposant de
reprendre, après, la vie normale avec le derrière en feu. Elle
rappela à son amie une soirée quelques mois auparavant :</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Tu
sais, nous sommes arrivés les derniers chez nos amis les Fleurin.
Et, peut-être ne l’as tu pas remarqué, mais plusieurs de nos
amies m’ont demandé avec un peu d’insistance si j’allais bien.
Eh bien, quoique j’ai prétendu le contraire, je n’allais pas
bien du tout ! Quelques jours auparavant, je m’étais bêtement
emportée pour un motif finalement futile. Il s’était contenté de
commenter froidement : « tu ne seras pas étonnée des
conséquences, ma chérie. » Je m’attendais donc à prendre
ma volée le soir même ou le lendemain. Pourtant, trois jours sont
passés sans qu’il ne fasse la moindre allusion à cette colère
injustifiée. Je dois même dire – puisque nous en sommes aux
confidences tu m’en excuseras – qu’il s’est montré … très
tendre un soir, sans faire précéder les câlins par d’autres
pratiques. A tel point que, le fameux soir de l’invitation chez nos
amis, je me suis préparée tout à fait sereinement. Quand je suis
descendue, élégamment habillée,pomponnée et parfumée, et même
pas en retard (après tant d’années et tant de raclées pour ce
motif, c’est encore mon incapacité à être à l’heure qui me
vaut le plus de raclées) mon mari était lui aussi habillé pour
sortir. J’avais déjà en main la potée de fleurs que nous allions
amener à Paulette quand il me dit très tranquillement : </span></i><span style="text-decoration: none;">« </span><i><span style="text-decoration: none;">Les
Fleurin nous attendent pour vingt heures trente, nous avons le temps
de régler notre petit problème avant de partir. » Il n’avait
pas besoin d’en dire plus, tu penses bien que j’avais compris.
Pourtant, et c’est tout à fait</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">
exceptionnel, crois-moi, j’ai tenté non pas de le dissuader, mais
au moins d’obtenir qu’il reporte l’échéance. Mal m’en a
pris, puisque, à peine avais-je suggéré ce report qu’il
m’informa qu’il considérait cette</span></span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">
suggestion comme une insolence.Or, avec le temps, nous avons pris des
habitudes, pour ne pas dire des rituels. Je sais donc bien que, pour
lui, insolence signifie l’utilisation du martinet. </span></i></span>
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">A ce mot, la Présidente ne put
s’empêcher de s’exclamer :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Oh ! Lui
aussi ? »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">La naïveté de la question fit
une fois de plus sourire la Comtesse :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« Eh bien oui …
tu sais...c’est un instrument assez courant dans les foyers ! »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Elle ne le dit pas, mais la
question de son amie lui confirmait qu’elle avait, elle aussi, fait
connaissance avec cet objet qui n’était donc pas utilisé
seulement par les époux. Puis elle reprit son récit :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> -
« </span><i><span style="text-decoration: none;">Conformément à
nos règles, j’ai donc dû aller le décrocher et le lui amener. »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;">La
chose lui paraissait tellement banale qu</span><span style="color: black;"><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">’elle
ne précisa par sur le moment que le martinet était toujours pendu à
un crochet dans leur chambre conju</span></span></span><span style="text-decoration: none;">gale.
Ni que, quand son mari décidait de l’utiliser dans une autre
pièce, elle était contrainte d’aller le chercher elle-même et de
le lui présenter, posée sur les paumes de ses mains, et les yeux
baissés.</span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> -
</span><i><span style="text-decoration: none;">« J’avais bien
compris que, plus la chose prendrait de </span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">temps,
plus nous risquions d’avoir à expliquer notre retard chez nos
amis. J’ai donc </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">obtempéré</span></span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><b>
</b></span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">s</span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">ans
tarder aux injonctions de mon mari : « Tu te mets en
position et en tenue ! » Il n’était pas nécessaire
qu’il les précise. J’ai donc retroussé ma robe, en faisant en
sorte qu’elle ne retombe pas quoi qu’il arrive, sachant fort bien
qu’en ce cas la séance reprendrait au début. Comme à mon
habitude pour sortir, je portais des bas, des vrais bien sûr (ceux
qui tiennent seuls ou les collants ne sont tolérés par mon mari que
fort exceptionnellement, et le pantalon est, lui, interdit en toutes
circonstances) et il y a bien longtemps que j’ai pris l’habitude
de passer la culotte par dessus les jarretelles. Pas seulement pour …
ce qui allait suivre, mais aussi plus prosaïquement pour faire pipi
de façon plus confortable. Je savais évidemment que la culotte
devrait être baissée, le plus souvent mon mari se charge de ce
qu’il appelle, un peu vulgairement, la « mise à l’air ».
mais, ce jour là, il m’annonça fermement : « tu peux
la retirer, tu n’en auras plus besoin » Certes, c’est aussi
une règle que j’ai intégrée, après la fessée je reste
généralement les fesses nues. Mais, en la circonstance, cela
voulait dire aller à la réception le cul nu. La perspective était
assez angoissante, même si la robe tombait au-dessous des genoux,
pour que je prenne le risque de tenter : « Mais tu sais
bien que nous sortons. Je</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">
ne peux pas y aller ... » La riposte fut immédiate : « Un
nouveau refus d’obéissance ? Tu les</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">
multiplies </span></span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;">au</span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">jourd’hui ! »
et la menace encore plus explicite : « Cul nu
immédiatement, sinon tu vas aussi chercher la brosse à cheveux ! »
</span></i></span>
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Elle suffit à faire cesser
toutes velléités de discussion chez l’épouse. D’un geste aussi
assuré <span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">que</span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">
</span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">le</span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">
</span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">tr</span></span>emblement
de ses mains <span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">le
</span></span>lui permettait, elle fit donc descendre la culotte
soyeuse jusqu’à ses pieds, puis la posa sur la table du salon sur
laquelle elle se pencha. Conformément à ses habitudes, le mari
annonça les « motifs » avant d’agir :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; font-weight: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="color: black;"><span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Pour
ton attitude inadaptée »</span></i></span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; font-weight: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="color: black;"><span style="background: transparent;">Le
martinet s’abattit à douze reprises sur le postérieur exposé. La
Comtesse reçut cette douzaine de flagellations sans mot dire, en
serrant les dents. Puis elle se redressa et parvint à articuler,
appliquant ainsi une autre règle intangible de leur couple :</span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; font-weight: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="color: black;"><span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Merci »</span></i></span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Mais elle ne se faisait aucune
illusion, et ne fut donc p<span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;">as
étonnée </span></span>d’entendre :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Et
maintenant pour les refus d’obéissance »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Douze nouveaux coups, dont
plusieurs s’égarèrent sur l’arrière des cuisses, provoquant
inévitablement des plaintes que la victime ne parvenait plus à
retenir. Cette fois le « merci » fut prononcé d’une
voix cassée. Mais l’implacable mari n’était pas satisfait pour
autant :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« J’ai
dit « les » refus. Tu te remets en place. Tout de
suite. »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Elle obtempéra encore, sachant
fort bien que toute tentative ne ferait que faire se prolonger la
séance. Mais cette fois, le premier des douze coups fit jaillir les
larmes. Et c’est en sanglotant qu’elle parvint à articuler le
dernier « merci ». </span>
</p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;">A
sa grande honte, la Présidente sentait les pointes de ses seins</span><span style="color: #ff3333;"><span style="text-decoration: none;">
</span></span><span style="color: #ff3333;"><span style="text-decoration: none;"><b>se</b></span></span><span style="text-decoration: none;"><b>
</b></span><span style="text-decoration: none;">durcir et son intimité
d’humidifier en entendant ce récit. Elle parvint cependant à
cacher son trouble tandis que la Comtesse poursuivait :</span></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">
<span style="background: transparent;"><span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Tu
comprends, ce n’est sûrement pas la volée la plus sévère qu</span></i><span style="color: black;"><i><span style="text-decoration: none;"><span style="font-weight: normal;">e
j’aie eu à</span></span></i></span><i><span style="text-decoration: none;">
subir. Mais, je t’assure, passer la soirée le cul nu et brûlant,
et devoir faire bonne figure alors que j’avais tellement de mal à
m’asseoir sans grimacer, ça été une vraie épreuve ! »</span></i></span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;">Pourtant, elle termina son
témoignage de manière presque primesautière en lançant avec un
sourire mutin :</span></p>
<p align="left" style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Mais je dois dire
que la soirée s’est finalement bien terminée puisque mon mari m’a
rendu les hommages dès que nous fûmes rentrés à la maison ! »
</i></span>
</p>
<p align="left" style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm; text-decoration: none;">
<br />
<br />
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1419_398011821"></a>Des
dames si dignes</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1453_398011821"></a>Infidélités</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"> Les deux femmes
retrouvèrent ainsi les échanges de secrets de leurs jeunes années.
La franchise de son amie, son absence totale de dissimulation, amena
la Présidente à abandonner elle aussi toute prévention. Elle passa
donc aux aveux sans barguigner. Son amie constata ainsi que flanquer
la fessée avait manifestement le même effet sur la libido du Père
Castor que sur son propre mari. De son côte, elle n’hésita même
pas à révéler à son amie qu’il lui était arrivé de donner
quelques coups de canif au contrat de fidélité conjugale. Elle ne
doutait pas qu’il en ait été de même pour son mari, mais elle
savait bien que l’adultère était mieux accepté quand il
concernait l’époux que l’épouse. Aussi avait-elle pris soin que
ces quelques aventures extra conjugales soient assez discrètes pour
qu’elles ne risquent pas d’être connues de son mari.
</p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;"> <i>« Tu sais
bien que l’herbe paraît toujours plus v</i><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">erte
dans </span></span></i></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">le
pré </span></span></i></span></span><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">d’à
c</span></span></i></span><i>ôté. Et il faut bien dire que c’est
parfois vrai. Ne nous cachons pas les faits, les habitudes, ça a du
bon parfois, mais on a aussi besoin de nouveautés … Et puis, même
si, encore une fois, l’exercice de l’autorité conjugale continue
à doper les ardeurs de mon seigneur et maître, l’accumulation des
années amène à ce que le petit soldat soit moins souvent apte à
monter à l’assaut. Alors, oui, quelques amis de mon mari, ou des
plus jeunes rencontrés ici ou là. Après tout les auberges et les
petits hôtels discrets ne sont pas faits pour les chiens ! »</i></p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.9cm;">Pourtant, bien
qu’elle n’ait pas été rongée par les remords, elle convint
que, après chacune de ses frasques, elle avait, inconsciemment,
multiplié les comportements justifiant des punitions maritales.
Comme si elle avait intériorisé le fait que ses infidélités
méritaient d’être sanctionnées, quand bien même celui qui
infligeait les punitions ignorait les vraies raisons de celles-ci.
Paradoxalement, prendre une raclée après qu’elle ait trompé son
mari lui ôtait tout regret de l’avoir fait. Et même semblait lui
donner une sorte d’absolution l’autorisant à recommencer. Elle
convenait aussi qu’elle avait ressenti une sorte de jouissance
perverse à être ainsi la seule à connaître le vrai motif des
volées qu’elle subissait. Et plus encore à recevoir, ensuite, ce
qu’elle continuait à appeler, d’une expression un peu désuète
« les hommages » de son mari après qu’il l’ait
fessée d’importance sans savoir qu’elle avait auparavant reçu
ceux d’un autre. Si elle avait cédé aux avances de quelques
amants de passage, aucun d’entre eux n’avait jamais pratiqué à
son endroit comme le faisait son mari. Elle le disait sans
détour :«<i> ils </i><i><span style="background: transparent;">m</span></i><span style="font-size: small;"><i><span style="background: transparent;">’ont
</span></i></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">baisé</span></span></i></span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">e</span></span></i></span></span><span style="color: black;"><span style="font-size: x-large;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">,</span></span></i></span></span><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">
mai</span></span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">s
il n’y a que lui qui m’a fessée </span></span></i></span><span style="color: black;"><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">».
Après tout, c’était peut-être, à ses yeux, une forme de
fidélité conjugale. De même, jamais elle n’avait raconté cet
aspect de sa vie intime à ses amants. Mais, en entendant la
Présidente faire le récit des visites du Père Castor, elle
convenait qu’il faisait naître en elle quelques envies interlopes.
Attentive à respecter le jardin secret de son a</span></span></span>mie,
elle ne lui en dit rien, mais après leurs conversations si intimes,
il lui arriva à plusieurs reprises de se donner du plaisir en
imaginant une rencontre avec ce vieux professeur qu’elle ne
connaissait que par les confidences de la Présidente. Elle
s’imaginait volontiers dans la même posture que celle-ci quand
elle avait reçu sa volée sous les yeux de la maman de Framboise.
Comme elle l’avoua plus tard à son amie, il lui était déjà
arrivé d’être fessée par son mari sous le regards de tiers. Mais
il lui semblait que la honte de l’être par un autre devait être
un épice particulièrement relevé.
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1455_398011821"></a>« Je
ne suis pas la seule »</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.8cm; page-break-before: auto;">
En effet, la Présidente l’y poussant par ses questions, elle
revint souvent sur les habitudes claquantes de son mari. Comme son
amie continuait à s’en étonner, elle lui affirma sereinement :</p>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;"> - <i>« Mais
ce n’est pas si extraordinaire, tu sais. Je ne suis pas la seule,
loin de là ! </i>
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;">Ajoutant
même :</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;"> -
<i>« Peut-être en effet que le « panpan cucu » est
plus répandu dans le monde que mon mari et moi fréquentons. »</i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;">Elle
cita ainsi plusieurs de ses amies de ce qu’il est convenu
d’appeler, en province « la bonne société » qui,
selon elle, avaient plus souvent qu’à leur tour les fesses
rougies.
</p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;"> -
<i>« Elles te l’ont dit ? »</i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;"><i> -
« Par vraiment, en tous cas pas comme...enfin comme nous
pouvons en parler.Mais certaines allusions à des soirées
difficiles, certaines grimaces quand Madame Sain</i><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">t-Marc
s’assoit, o</span></span></i></span><i>u les regards échangés
entre Monsieur de Grignon et sa charmante bécasse de jeune épouse
quand celle-ci bavarde à tort et à travers m’ont mis la puce à
l’oreille. »</i></p>
<p style="font-style: normal; line-height: 120%; margin-left: 1.8cm;">Puis,
devant la curiosité insatiable de son amie, elle poursuivit ses
explications.</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1423_398011821"></a>Punitions
ancillaires.</h5>
<p style="line-height: 120%; margin-left: 1.8cm; page-break-before: auto;">
- <i>« Tu sais, c’est aussi une de ces pratiques qui ont
(peut-être heureusement) </i><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">disparu
aujourd’hui, mais qui ont perduré plus longtemps qu’on ne le
croit dans ce milieu si ferm</span></span></i></span><i>é et si
secret. Malgré les lois sociales, il a été longtemps admis dans
ces familles qu’il était légitime et même nécessaire de traiter
ainsi les « bonniches » </i>
</p>
<p>Elle arrêta d’un geste la Présidente qui regimbait devant ce
terme qui choquait ses convictions progressistes.
</p>
<p> - <i>« Épargne moi ton couplet Front Popu, ma chérie.
D’abord je ne te dis pas que j’approuve, je te dis ce qui est. Et
puis, si j’ai bien compris, ton instit, tout gaucho qu’il doit
être, ne répugne pas à traiter cette petite un peu comme une
soubrette non ? » </i>La remarque n’était pas dénuée
de bon sens, et la Présidente renonça à en débattre et laissa le
Comtesse poursuivre :</p>
<p> - <i>« Et puis, quand même, les choses on</i><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">t
changé.</span></span></i></span><i> Moi, je n’ai pas connu cette
époque, et mon mari non plus, enfin je crois. Mais mon beau-père
m’a raconté comment son propre père (tu vois que ça remonte
loin, c’est plus la peine de créer un syndicat) réglait ce qu’il
appelait « le service » dans sa maison. A l’époque il
y avait une cuisinière, une flopée de bonnes, plus un cocher, puis
plus tard un chauffeur. Les émoluments étaient versés en liquide
chaque quinzaine, le vendredi soir. C’était l’habitude pour le
personnel de maison. Mais ces vendredis là, chez les De Frange, on
ne distribuait pas que les enveloppes. La cuisinière, qui était
mariée avec le chauffeur, avait préparé celles-ci. Et quand une
des employées avait commis une faute de service quelconque, c’est
aussi la cuisinière qui annonçait devant tout le monde la faute …
et sa conséquence. </i>
</p>
<p>Pas sûre d’avoir bien compris, la Présidente interrompit :</p>
<p> - <i>« La conséquence ? Tu ne veux pas dire ... »</i></p>
<p>Mais si, elle voulait bien dire !</p>
<p><i> - « Je sais que cela paraît fou mais mon beau père
était persuadé d’être en quelque sorte un patron progressiste
puisqu’il ne pratiquait pas de retenue sur salaire ! La
conséquence, eh bien c’était que la fautive devait avancer (les
employées étaient rangées en rang d’oignon devant la cuisinière,
le chauffeur et « Monsieur et Madame » ) ébaucher une
révérence devant ses patrons et dire : « je vous prie de
m’excuser, Madame, Monsieur » Puis elle se tournait vers la
grande </i><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">cheminée,
et </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;">elle
retirait son tablier … »</span></span></i></span></p>
<p>A ce moment de son récit, la Comtesse ébaucha un sourire avant
de poursuivre :</p>
<p> - <i>« Tu sais, mon beau-père, sous ses airs de pater
familias qui allait à la messe tous les dimanches avec toute sa
tribu, je pense que c’était un sacré vicelard. Je vois encore son
regard torve quand il me racontait par le menu ce à quoi il avait
assisté, ou ce qu’on lui avait lui-même raconté, je n’ai
jamais vraiment su.Quand il expliquait qu’une fois son tablier
enlevé, la soubrette se penchait et posait les mains sur la cheminée
après avoir retroussé sa combinaison et baissé sa culotte. (Là,
les yeux lui sortaient de la tête, le vieux !) C’est Julien,
le chauffeur, qui s’emparait alors d’une large bande de cuir qui
restait en permanence accrochée au manteau de la cheminée. Le vieux
pervers remarquait froidement « ça contribuait beaucoup à la
qualité du service . » En règle générale, c’était
une douzaine de coups que recevaient les postérieurs dénudés. Ils
y laissaient des marques rouges sur les peaux blanches. Certaines des
soubrettes les subissaient sans broncher. D’autres (je reprends les
termes du vieux pervers) « piaillaient » ou
« couinaient ». Sans se retourner, elles remontaient
</i><i>ensuite</i><i> leurs grandes culottes blanches, faisaient
retomber leurs combinaisons, </i><span style="color: red;"><i><b>et</b></i></span><i>
remettaient leurs tabliers. Puis elles faisaient face à « Monsieur
et Madame » et reprenaient leur place au côté de leurs
collègues. »</i></p>
<p>Et la Comtesse ajoutait :</p>
<p><span style="color: black;"><i><span style="font-weight: normal;"><span style="background: transparent;"> « Il
ne me l’a jamais dit, mais je suis assez persuadée qu’en dehors
de ces punitions ancillaires, le maître de maison devait parfois
s’occuper des jeu</span></span></i></span><i>nes soubrettes Ça
aussi, c’était des mœurs plus que courante dans ce monde. Je ne
sais pas si, alors, les fesses des soubrettes étaient rougies.
Peut-être … Peut-être aussi que c’est parce qu’aujourd’hui
les « employées de maison » ne peuvent plus être
traitées ainsi que les maris se contentent des fesses de leurs
épouses ! »</i></p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1630_792374993"></a>En
famille</h5>
<p>Cette dernière remarque ramenait la Comtesse à la fessée
conjugale, la bonne vieille fessée des familles. Puisque, pour elle,
la fessée était aussi, sinon d’abord, « une histoire de
famille ».</p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;"> <i>« Comme je
te l’ai dit, que mon mari considère que punir sa femme, et de le
faire en lui claquant les fesses pour dire les choses clairement,
soit son droit sinon son devoir ne m’a en rien étonnée. Je pense
même que, d’une certaine manière, j’ai toujours su qu’il en
serait ainsi. Dans ma famille, ça ne se discutait même pas :
un mari, c’est un « chef de famille ». Donc il lui
appartient, quand il l’estime nécessaire, de sévir, de punir. Ni
les enfants, ni le personnel, et encore moins les épouses n’auraient
eu l’audace de remettre ce droit en cause. Ni de se plaindre de
recevoir parfois une volée sur les fesses »</i></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">La Présidente, dont
la famille n’était pas du même milieu que celle de son amie,
l’interrogea :</p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;"> - <i>« Ta
maman ...elle aussi … ? »</i></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;"> - « Oh, tu
sais, ce ne sont pas des choses dont on parlait en famille. Du reste,
on ne parlait de rien ! Mais je l’ai aucun doute, ma chère
maman devait de temps en temps avoir les fesses bien chaudes. A moins
d’être une sainte, elle aurait d’ailleurs sûrement bien été
la seule à ne pas prendre parfois sa raclée. »
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1427_398011821"></a><span style="color: black;"><span style="background: transparent;">Entre
gens « du même monde »</span></span></h5>
<p><span style="color: black;"><span style="background: transparent;">Ces
révélations, c’en était vraiment pour la Présidente, lui firent
véritablement découvrir un monde qui lui avait été jusque là
inconnu. Habilement, par petites touches pour ne pas paraître trop
obnubilée par la question, elle amena son amie à revenir souvent
sur les pratiques qu’elle lui révélait.</span></span></p>
<p><span style="color: black;"><span style="background: transparent;">Ainsi
elle découvrit, à demi-mot d’abord, puis plus explicitement, que
les punitions corporelles n’étaient pas toujours reçues seulement
dans l’intimité familiale. Comme le disait avec une pointe
d’humour la Comtesse : « </span></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">Tu
comprends, ma chérie, la pudeur est une vertu à laquelle, bien sûr
nos maris sont attachés. Et s’il m’arrivait d’arborer des
tenues qui ne la respecte pas, le mien en tirerait à coup sûr
argument pour une volée carabinée.</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">
Pourtant, il y a déjà fort longtemps, je veux dire quand nous
étions bien plus jeunes qu’aujourd’hui, il avait un jour la
ferme intention de « m’en coller une », et il m’
avait informé</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">e</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">
qu’il avait l’intention de le faire le soir même, « </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">en
apéritif » précisa-t-il</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">.
Et </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">comme</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">
je lui </span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">faisai</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">s</span></i></span><span style="color: black;"><i><span style="background: transparent;">
remarquer qu’il ne pouvait en être question puisque nous
attendions nos amis les Fleury à dîner il me rétorqua calmement :
« Mais pourquoi pas ? Je suis bien persuadé que mon ami
Paul partage mes conceptions </span></i></span><i>et mes pratiques.
Et puis, nous serons entre gens du même monde ... » Eh oui,
nouvelle illustration des conceptions sociales de mon cher mari, il
lui semblait que, dès lors que nos visiteurs étaient « de
notre monde », rien ne s’opposait à ce qu’ils soient
témoins … Et ils le furent ! Je ne peux pas nier que, la
première fois, ce fut une vraie épreuve. Physique, bien sûr. Même
si, après tout, tu sais, avoir les fesses tannées dans l’intimité
ou en public, les sensations sont les mêmes. Mais surtout psychique.
</i><i>La perspective d’avoir les fesses mises à l’air devant ce
couple d’amis, c’était quand mêm</i><i><span style="background: transparent;">e
terrorisant, et le fait qu’ils appartiennent à « notre
monde » n’y changeait pas grand chose. Pourtant, je d</span></i><i><span style="background: transparent;">us</span></i><i><span style="background: transparent;">
bien m’y résoudre. Peut-être mon mari avait-il considéré que la
honte ajouterait un peu de piment à la punition. Peut-être aussi,
je le dis sans forfanterie, a-t-il ressenti une certaine fierté à
laisser découvrir … mes charmes cachés ! Du reste, je dois
dire que son ami Paul n’a pas été en reste, puisque, après que
j’aie reçu ma volée, il a estimé qu’il serait injuste que je
sois la seule. Et mon amie Lucette a donc été traitée de la même
manière que moi. Elle m’avoua après coup (c’est le mot qui
convient) que, pour elle, ce n’était pas une « première »puisque
son mari l’avait déjà fessée lors de soirées chez d’autres
amis. Ainsi, nous avons constitué une sorte de petit groupe de
quatre ou cinq couples, toujours les mêmes et toujours « de
notre monde » dont les épouses étaient punie</span></i><i><span style="background: transparent;">s</span></i><i><span style="background: transparent;">
de concert ... »</span></i></p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1429_398011821"></a>Les
découvertes du Père Castor</h4>
<p>Au fil de leurs rencontres, la Présidente fit part au Père
Castor des confidences de la Comtesse. Celles-ci contribuèrent à
accroître sérieusement les connaissances du Père Castor en matière
de fessées. Jusque là il avait été un praticien, un pratiquant.
Et ces pratiques lui convenaient parfaitement. Maintenant, il
commençait à mieux comprendre les effets de la fessée sur les
femmes. Il devenait en quelque sorte un expert, un théoricien.
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2263_1530798435"></a>Littérature
et pédagogie.</h5>
<p>Il découvrait aussi le plaisir ressenti à l’audition des
confidences chaudes et sensuelles de son amie. Lui, l’amateur de
littératu<span style="background: transparent;">re, commençait à
prendre un vrai plaisir physique à lire – puisqu’il lui avait
imposé de mettre par écrit </span><span style="background: transparent;">c</span><span style="background: transparent;">es
découvertes – les récits de son amie. De plus, en enseignant
qu’il restait au fond de lui, il se réjouissait de corriger les
fautes d’orthographe ou de syntaxe de la rédactrice. Qui, bien
entendu, lui fournissaient d’excellents prétextes à punitions. Et
paradoxalement, l’enseignant bienveillant qu’il avait été pour
ses élèves, qui répugnait à les punir, prenait un plaisir pervers
à être un maître sévère et intransigeant avec la Présidente.
<br />
Il usait – et peut-être abusait – des punitions
corporelles, ayant établi des barèmes stricts. Les fautes d’usage
ou de conjugaison étaient ainsi sanctionnées d’un nombre fixe de
coups, claques manuelles ou cinglées de martinet. Et si une faute
était répétée plusieurs fois après avoir été corrigée, le
barème était doublé ... </span><span style="background: transparent;">Mais
il avait aussi remis à honneur des </span>punitions proprement
scolaires, imposant des « lignes » quand la conduite de
la Comtesse avait été, à ses yeux, fautive. Celle-ci se pliait
sans barguigner à ces obligations, copiant soigneusement les phrases
qui lui étaient imposées de son écriture soignée. Du reste, quand
il arrivait que l’écriture ne soit pas aussi soignée que
l’instituteur l’estimait souhaitable, non seulement la punition
devait être refaite, mais elle était accompagnée d’une sévère
fessée. Puis la Comtesse écrivait à nouveau ses « lignes »,
mais le cul nu ! Ces pratiques ramenaient aussi la Comtesse à
sa lointaine jeunesse. Quand elle présentait son « cahier de
punitions » à son « maître », elle ressentait à
la fois de la honte, de la gêne, mais aussi une véritable
excitation, jusqu’à en mouiller son slip. Tout comme elle ne
pouvait s’empêcher de couler comme une fontaine quand il lui était
imposé « d’aller au coin » alors qu’elle savait
qu’un visiteur (ou une visiteuse) était susceptible de survenir et
de la découvrir ainsi, les fesses à l’air et les mains sur la
tête.
</p>
<p><br />
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2265_1530798435"></a>Enquête
sociologique</h5>
<p>Le Père Castor en était venu peu à peu à analyser ces
confessions avec un œil presque scientifique. Il classait les types
de fessées comme un entomologiste classerait les insectes, ou un
sociologue les groupes sociaux. Il détaillait les motivations des
« victimes » comme celles des « tortionnaires ».
Considérant la part de recherche de la douleur, celle de la volonté
de soumission, d’obéissance. Mais aussi les aspects
exhibitionnistes, l’envie d’être vue, de la part de celles qui
reçoivent la fessée. Mais aussi les motivations, avouées ou non,
conscientes ou non, des fesseurs. Et, bien sûr, d’abord les
siennes. Il prenait conscience de ses propres ambiguïtés. Un non
violent militant qui prend son pied en frappant des femmes, et qui
plus est<span style="background: #ffff00;"> </span>les femmes qu’il
aime. Un féministe convaincu qui exige l’obéissance, la
soumission. Avec honnêteté, il cherchait à se comprendre lui-même.
Assumant le plaisir qu’il éprouvait, il ne pouvait le nier, à
faire souffrir des femmes. Il était devenu l’objet de ses
recherches. Et, chemin faisant, il progressait dans la connaissance
de lui-même, appliquant le précepte socratique.
</p>
<p>Mais la plus grande découverte qu’il fit en ce domaine, ce fut
bien sûr sa rencontre avec Mado <a class="sdendnoteanc" href="#sdendnote2sym" name="sdendnote2anc"><sup>ii</sup></a>
qui lui apporta.</p>
<h3 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1431_1696820252"></a><span style="background: transparent;">Chapitre
3</span><sup><span style="background: transparent;">ème</span></sup><sup><br />
</sup>De
l’autre côté du manche .</h3>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1433_1696820252"></a>Mado
comme Janus.</h4>
<p>Mado, sa vieille amie, celle qui lui a fait découvrir « l’autre
côté du manche ». Mado, tout aussi paradoxale que lui.
Humaniste, progressiste, libertaire, et qui, pourtant ...</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1431_398011821"></a>« Nul
ne guérit de son enfance »</h5>
<p>Qui pourtant avait assumé aussi tranquillement avoir été
l’objet de punitions corporelles dans son enfance. Sans pourtant
s’en plaindre ni se considérer comme une victime. Pourtant, le
Père Castor en était persuadé, c’était dans son enfance que se
trouvait l’origine de ses contradictions. Mado, enfant battue,
adolescente libérée aux yeux de ses copains mais soumise à
l’autorité de ses parents. Mado qui avait, elle le lui avait dit,
reçu une fessée à cause de lui, à cause de leur relation. A
plusieurs reprises, elle détailla pour le Père Castor les méthodes
disciplinaires qu’elle avait subies dans son enfance. Ces
confidences sur sa petite enfance mettaient parfois mal à l’aise
le vieil homme, révulsé par l’idée qu’on puisse battre un
enfant. Mais il ne pouvait se cacher que, quand les souvenirs
concernaient l’adolescente qu’il avait <span style="background: transparent;">connue
dans sa jeunesse, elles provoquaient chez lui un trouble d’une
toute autre nature. Il ressentait presque une forme de fierté à
avoir été à l’origine d’une fessée dont Mado se souvenait
avec autant de précision. Tandis qu’elle la lui racontait, avec
force détails, les images de cette ado dont la jupe était
retroussée et la culotte baissée défilaient devant ses yeux comme
sur un écran. Il se souvenait des formes de cette copine, ces formes
qu’il avait si souvent flattées de la main, et qui avaient ainsi
été fustigées.</span></p>
<p><span style="background: transparent;"> Et surtout les confidences
sans filtre ni tabou de sa vieille copine sur ses ressentis lors de
ces punitions maternelles permettaient au Père Castor de découvrir
des aspects de le psychologie féminine qui lui étaient jusque là
inconnus. En effet, Mado lui avait révélé que ces fessées, si
elles la faisaient cruellement souffrir, avaient aussi eu des
conséquences sur l’éveil de ses sens. Même si, disait-elle, elle
n’en avait pas été consciente à l’époque, elle se souvenait
de s’être régulièrement caressée après être passée par les
genoux de sa mère ou avoir eu les fesses flagellées. Et les récits
de ces séances de plaisir solitaire ne laissaient évidemment pas le
Père Castor indifférent. Leurs dialogues dépourvus de toute
censure permettaient aussi à Mado de mieux comprendre quel rôle
avait joué son éducation dans l’évolution de sa sexualité. Elle
assumait ainsi la dualité entre ses comportements qualifiés alors
de « délurés » et son acceptation des punitions
corporelles pourtant déjà assez exceptionnelles pour une fille de
son âge à l’époque. Peut-être même, admettait-elle, qu’avait
elle presque « besoin » de ces sanctions pour pouvoir
vivre pleinement sa vie sensuelle. Et surtout, elle avait compris que
sa rencontre fortuite, tant d’années après, avec son ancien petit
ami lui avait permis de laisser libre cours à une facette de sa
personnalité qu’elle ignorait jusque là. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1433_398011821"></a><br />
Libertaire
jusqu’au bout.</h5>
<p>On sait qu’il en avait été de même pour le Père Castor .
Il en avait découvert finalement autant sur lui que sur Mado. Mado
qui était pourtant restée libertaire, anarchiste, libre en un
mot.Libre de son corps, libre d’assumer.D’assumer ses envies, ses
fantasmes, ses choix. Mais aussi Mado capable d’avoir compris –
avant lui – le secret de son vieux camarade. Celui qu’il n’avait
jamais avoué, même pas – surtout pas - à lui-même. Mado qui
lui avait fait dépasser ses limites, qui lui avait fait ce cadeau
paradoxal. Mado qui lui avait ainsi donné une nouvelle liberté. Qui
lui avait permis l’aller au-delà des interdits, au-delà des
conventions au-delà même de ses propres convictions. Mado qui,
pourtant, n’avait rien prémédité.
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1435_398011821"></a><br />
Ça
m’est venu co<span style="background: transparent;">mme ça !</span></h5>
<p><span style="background: transparent;">La rencontre avec le Père
Castor, qu’elle n’avait plus croisé depuis des lustres, avait
été fortuite. Comme le font d’anciens amis qui se retrouvent, ils
avaient échangé des souvenirs. A demi-mot</span><span style="background: transparent;">s</span><span style="background: transparent;">
d’abord, puis plus directement. Leur « flirt », qui
avait été un peu plus qu’un flirt. Leurs échanges épistolaires,
dans lesquels celui qui n’était pas encore le Père Castor avait
fait allusion sans détour à leur relation. La découverte de la
lettre par la maman de Mado, et sa conséquence claquante pour ses
fesses. Elle n’avait ressenti aucune g</span><span style="background: transparent;">ê</span><span style="background: transparent;">ne
à raconter ce qui, finalement, n’était plus qu’une anecdote
d’un temps si lointain à son vieil ami. Et puis, comme </span><span style="background: transparent;">elle
le dira elle-même plus tard « </span><i><span style="background: transparent;">ça</span></i><i>
m’est venu comme ça</i> » Elle n’avait, bien entendu,
aucune intention de reprocher vraiment quoi que ce soit à cet ancien
petit ami, devenu un vieux monsieur si digne. Si reproche il y avait
eu, il était bien, pour elle, de l’ordre de la plaisanterie, de la
galéjade. Mais quelque chose dans le regard du vieil homme avait
tout fait basculer ...</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1435_1696820252"></a><span style="background: transparent;">La
mutation de Mado.</span></h4>
<p>Elle aurait bien été en peine d’expliquer comment elle était
passée de la plaisanterie à ...autre chose. Quand elle avait changé
de ton, adopté cette voix sévère, tellement différente de la
sienne, était-ce elle qui a<span style="background: transparent;">vait
cha</span><span style="background: transparent;">n</span><span style="background: transparent;">gé
ou bien l’homme auquel elle s’adressait ? En tout cas, sans
se concerter, ils étaient entrés l’un et l’autre dans une sorte
de jeu de rôle</span><span style="background: transparent;">s</span><span style="background: transparent;">.
Encore qu’il est légitime de se demander si c’était vraiment un
jeu. Plutôt une transformation, une mutation. Mais conjointe aux
deux partenaires. Mado ne jouait pas à la Maîtresse sévère, elle
l’était devenue. Pas plus que le Père Castor ne jouait au
garnement puni, il l’était lui aussi devenu. </span>
</p>
<p><span style="background: transparent;">Jamais Mado n’avait levé
la main sur qui que </span><span style="background: transparent;">c</span><span style="background: transparent;">e
soit. N</span>i enfant, bien sûr, cela aurait été en contradiction
avec tout ses principes éducatifs. Ni adulte, évidemment. Et
pourtant il lui était apparu évident qu’il fallait qu’elle le
fasse. Les mots, les attitudes, les intonations, lui étaient venus
tout naturellement. Comme si elle avait fait cela toute sa vie.
Intimer l’ordre au Père Castor de se lever, ouvrir la ceinture de
son pantalon, le baisser puis baisser de la même manière le slip.
Rien de commun avec les déshabillages mutuels qu’elle avait pu
connaître au hasard des rencontres de sa vie sentimentale. Elle ne
déshabillait pas son partenaire. Elle le déculottait. Ce mot, et
plus encore le <span style="background: transparent;">fait,
déclenchait une sorte de tourbillon dans sa tête. Et aussi …
ailleurs. </span><span style="background: transparent;">Renverser
l’homme aux fesses dénudées au travers de ses genoux. </span><span style="background: transparent;">Voir
ce grand corps à sa merci. Voir ce postérieur blanc, presque
délicat, obligeamment présenté. Mais aussi, sentir contre ses
cuisses la rigidité causée par la situation. Cette érection si
évidente ne l’avait pourtant en rien dissuadée de poursuivre,
bien au contraire. Ah il bandait ? Il n’en serait que plus
sévèrement puni !</span><span style="background: transparent;">Lever
la main. L’abattre sèchement sur le cul offert. Claquer. Fort. En
cadence. Frapper et frapper encore. Voir les fesses rosir puis
rougir. Voir l’empreinte de sa main s’imprimer fugacement sur la
peau du derrière. Et frapper encore. </span><span style="background: transparent;">Voir
les fesses crispées, serrées, comme pour se défendre. Puis les
voir céder, abandonner la lutte, se relâcher, s’écarter. Il lui
sembla que celui qui était devenu un garnement que l’on fesse ne
tentait plus de résister. Au contraire, il tanguait de droite à
gauche, comme pour offrir plus complaisamment une fesse puis l’autre,
alternativement, à la main implacable. Mado</span><span style="background: transparent;">
était complètement consciente de ce qu’elle faisait. Elle donnait
une fessée. Et elle en ressentait une excitation, une plénitude,
</span><span style="background: transparent;">une satisfaction
absolue. Comme si flanquer une fessée était tout naturel. Comme
s’il était évident qu’il lui fallait le faire. En un clin d’œil
elle était devenue une fesseuse …La paume de sa main lui faisait
mal à force de frapper. Sa respiration était devenue quelque peu</span>
haletante. Elle se mordait les lèvres, elle avait la gorge sèche.
Mais son intimité, au contraire, suintait. Mado mouillait. Sa
culotte collait à sa fente moite. Il lui semblait que les effluves
de son excitation se mêlaient à l’odeur virile qui émanait du
corps qu’elle malmenait. Le rythme des claques était devenu
presque frénétique. Leur bruit emplissait la pièce. Résonnait
comme un concert de tambours.<span style="background: transparent;">
Les battements désordonnés </span>de la main sur le derrière, les
mouvements incontrôlés de la victime, le frottement de ce sexe
durci sur ses cuisses aboutirent à une sorte d’acmé. Mado serra
les cuisses tout en frappant derechef. Et l’orgasme la traversa
comme un éclair.</p>
<p style="background: transparent; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.8cm;">
<br />
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2267_1530798435"></a>Devenir
un garnement.</h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1437_1696820252"></a>Sensations.</h5>
<p>Le Père Castor ne comprit pas tout de suite les effets ravageurs,
pour la sensualité de son amie, de la trempe qu’il recevait. Une
vraie raclée. Douloureuse, ô combien ! Certes, il ne fut pas
vraiment étonné de constater par lui-même qu’une fessée, et
bien cela fait mal au cul. Il en avait toujours été parfaitement
conscient, considérant même sans vergogne qu’une fessée qui
n’aurait pas été douloureuse pour celle qui la recevait n’en
aurait pas été vraiment une. Mais, jusque là, la douleur
occasionnée par la fessée lui était en quelque sorte extérieure.
C’était une notion, un concept, abstrait. Là, il la découvrait
véritablement. Avec toute la gamme des sensations. L’explosion de
douleur quand la main frappe. Puis l’étalement de la souffrance,
qu’il compara intuitivement à celui d’une goutte de pluie
tombant sur un sol surchauffé. Et, en l’occurrence, son derrière
était bel et bien surchauffé ! Il se rendit compte que la
souffrance n’augmentait pas proportionnellement au nombre de
claques reçues. Comme si les premières avaient presque un effet
anesthésiant, la douleur atteignait assez vite une sorte de plateau.
La poursuite de l’avalanche de claque semblait ne faire
qu’entretenir la brûlure. Puis, insensiblement, sournoisement, la
douleur reprenait sa progression. Comme si elle avait franchi un
seuil et progressait vers l’étape suivante. Elle n’était plus
seulement cette sensation de cuisson à la surface de la peau des
fesses. Elle semblait s’être introduite en lui, l’emplir. Bien
sûr, quand la main implacable de Mado s’égarait sur l’arrière
des cuisses, il ressentait un impact différent, qui entraînait un
gémissement incontrôlable. Mais presque aussitôt les claques
reprenaient leur labourage systématique de ses fesses. Et le
souffrance n’était plus superficielle, elle était devenue une
sorte de globalité. Ce n’était pas seulement son cul qui était
fessé, c’était lui, tout entier.</p>
<p style="background: transparent; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.8cm;">
<br />
</p>
<h4 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1998_2007316307"></a><span style="background: #eeeeee;">Rituels
et innovations.</span></h4>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2000_2007316307"></a><span style="background: #eeeeee;">Les
mains !</span></h5>
<p>Plus tard, les rendez-vous avec Mado, ou plus exactement les
« convocations » - elle tenait à ce terme – de celui
qui était devenu le « Garnement » par la « Maîtresse »
devinrent réguliers. Mais ils ne furent jamais une routine. Certes,
la Maîtresse avait instauré des rituels immuables. Imposer au
Garnement « d’aller se laver les mains » avant toute
chose. Cette injonction était ainsi, pour lui, l’annonce de la
raclée. Elle le faisait entrer dans son personnage. Il baissait les
yeux, sans qu’elle aie eu à le lui demander, et filait obéir sans
demander son reste. Puis il présentait humblement ses mains, paumes
puis dos, afin que leur propreté soit vérifiée. Mado avait-elle eu
conscience, en instaurant cette obligation, de reprendre une coutume
des instituteurs du temps jadis, quand les fameux « hussards
noirs de la République » éduquaient aussi leurs ouailles aux
règles de l’hygiène ? Que le Père Castor, lui, y ait pensé
ou non, il lui suffisait d’entendre l’ordre pour qu’il soit
immédiatement en érection.
</p>
<p><br />
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2002_2007316307"></a><span style="background: #eeeeee;">Au
coin !</span></h5>
<p>De la même manière, le passage « au coin » les mains
sur la tête devint vite un moment incontournable. Qui, lui aussi,
contribuait à raffermir l’érection du vieux monsieur devenu
magiquement jeune garnement. Mais la Maîtresse s’ingéniait à
varier les plaisirs. Parfois il était envoyé « au coin »
dès son arrivée, alors que Mado finissait quelque tâche qu’elle
estimait urgente. Il avait alors tout le loisir d’attendre le
moment où il entendrait le fatal : <i>« Allons-y, en
place ! » </i><span style="font-style: normal;">C’étaient,
pour lui, des moments magiques. Moments d’angoisse, de
questionnements, d’attente. Il craignait, vraiment, le moment où
la Maîtresse déciderait d’entrer en action. Et en même temps, il
était impatient qu’elle le fasse. D’autre fois, c’était les
fesses nues, déjà rouges d’une première fessée, qu’il passait
au coin. Les mains sur la tête – il lui était alors interdit de
se frotter les fesses – les yeux fermés, il savait quel spectacle
il donnait à la Maîtresse. Un homme, un garnement, le cul nu,
</span><span style="font-style: normal;">pantalon sur les chevilles,
slip souvent aux genoux, </span><span style="font-style: normal;">le
nez au mur. A plusieurs reprises, il arrivé qu’alors qu’il était
ainsi installé, des visiteurs, le facteur, un livreur, sonnent à la
porte de Mado. La crainte qu’ils puissent le voir était alors si
sincère que les jambes du garnement flageolaient. </span><span style="font-style: normal;">La
Maîtresse serait-elle capable de faire entrer le ou la quidam ?
Serait-il ainsi surpris dans cette position peu avantageuse ?
La perspective le terrorisait vraiment, même si au fond de lui il la
savait improbable. Et en même temps ce risque fou qui faisait
battre plus vite son cœur faisait aussi durcir encore un peu plus sa
queue. </span>
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2004_2007316307"></a><span style="font-style: normal;">J</span><span style="font-style: normal;">oujoux</span></h5>
<p>Si la première fessée qu’il avait reçue avait été une fort
classique fessée « OTK », appliquée avec ferveur par
une main qui s’était révélée assez redoutable, la Maîtresse ne
s’en tint pas là, on le devine. Dès leur deuxième rencontre, le
Garnement fit connaissance avec ce qu’elle appelait drôlement ses
« joujoux ». Et il s’avéra qu’elle en possédait une
assez riche collection. A moins qu’elle n’aie fait ces
acquisitions que pour la circonstance. Un « martinet des
familles », tout pareil à celui qu’utilisait depuis toujours
le Père Castor. Mais aussi un modèle plus rare, et plus mordant.
Plusieurs brosses, dont les fesses du Garnement purent apprécier la
diversité des impacts. Une « strappe » (la Maîtresse
lui affirma que le mot pouvait être utilisé tant en anglais qu’en
français) et surtout un bouquet de badines, qu’elle préférait
appeler, avec une étincelle d’humour dans le regard, des
« verges ». Elle les avait cueillies elle-même, les
avait faite tremper dans l’eau toute une nuit pour assurer leur
souplesse, en avait ôté soigneusement toutes les aspérités (elle
ne voulait à aucun prix risquer de blesser les fesses) et, selon son
humeur, elles les utilisait ensemble ou elle n’employait qu’une
badine à la fois. Dans ce cas, la douleur se concentrait en une
mince ligne de feu qui amenait le garnement à la limite de sa
résistance, et lui mettait les larmes aux yeux.
</p>
<p style="background: transparent; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.8cm;">
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc2006_2007316307"></a>Réactions</h5>
<p>Bravache, le Père Castor avait, bien sûr, tout fait pour subir
stoïquement les raclées que la Maîtresse lui distribuait.
Pourtant, il lui arrivait de ne pouvoir retenir un gémissement,
voire un cri bref quand la douleur le surprenait. Il ne pouvait de
même pas s’empêcher complètement de gigoter, d’agiter les
jambes, et même parfois de tenter de se soustraire à l’averse de
coups. Mal lui en prit, la Maîtresse décrétant sans tarder que
toute tentative de se protéger avec les mains lui vaudrait non
seulement de recevoir le coup sur celles-ci, mais surtout une volée
supplémentaire pour rebellions.
</p>
<p>Une fois la fessée terminée, ou suspendue, le besoin de tenter
de réduire la brûlure en se frottant les fesses de la paume des
mains était prégnant qu’il arriva que le Garnement tente de le
faire, en espérant que cette désobéissance passerait inaperçue.
Mal lui en prit encore une fois, puisque la Maîtresse décida que
« <i>puisque les fesses lui démangeaient encore, elle allait
calmer ce prurit à sa manière</i> ».<span style="font-style: normal;">Et
elle prirent sur le champs une nouvelle volée soignée. <br />
Le
Père Castor découvrit aussi les conséquences moins directes, et
beaucoup plus agréables, des fessées reçues. D’abord, on l’a
vu, elles avaient toujours un effet très positif sur la qualité de
ses érections. Ce qui, à son âge, était pour le moins fort
positif. </span><span style="font-style: normal;">L</span><span style="font-style: normal;">e
Père Castor découvrit aussi cette sensation de bien être d’après
la fessée. </span><span style="font-style: normal;">Le</span><span style="font-style: normal;">s
fesses restaient sensibles et douloureuses plusieurs heures après
avoir été fustigées. </span><i>« </i><i>Tant mieux, comme ça
tu y penseras plus longtemps » </i><span style="font-style: normal;">ironisait
Mado. En effet, cette persistance de la douleur prolongeait en
quelque sorte la séance elle-même. Mais surtout, dans les heures
qui suivaient, le Père Castor était parfaitement détendu, serein.
Il se souvenait de l’expression fameuse « </span><i>une
fessée et au lit !</i><span style="font-style: normal;"> »
Et bien, lui qui, l’âge venant, dormait souvent peu et mal,
s’endormait comme un bébé les soirs où il avait été fessé. </span>
</p>
<p><br />
<br />
</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc1439_1696820252"></a>Régression</h5>
<p>Pourtant, aussi vives que furent les réactions physiques »
aux fessées, elles ne furent peut-être pas le plus important pour
le Père Castor. Il le savait déjà, mais cette expérience nouvelle
le lui confirma : une fessée c’est bien plus qu’une série
de claques sur le cul. Il le savait quand il la donnait, il le
comprit plus encore quand il la reçue, une fessée c’est bien plus
dans la tête que sur le cul. Bien plus que la douleur, c’est le
sentiment de régression, de retour à l’enfance, qui fut le plus
fort pour lui. Et plus encore, le sentiment de dépendance. Il lui
était arrivé de lire des récits sur les pratiques de
« professionnelles » spécialisées dans la domination.
Et il avait lu que, souvent, leurs clients étaient des hommes
d’affaire, des « leaders » d’opinion. Ses
convocations chez sa Maîtresse, l’obligation de se plier à ses
exigences, les punitions corporelles reçues, l’amenèrent à mieux
comprendre. Oui, il lui arrivait d’avoir honte. Honte de montrer
ainsi ses fesses, honte d’être « puni au coin »,
nhonte d’être traité comme un gamin. Mais cette honte n’avait
rien d’une humiliation. Il n’avait surtout jamais honte d’être
lui-même. Ou, peut-être plus exactement, d’être plus encore
lui-même que dans « la vraie vie ».</p>
<p>Ressentir cette paix intérieure, cette sérénité, cette
quiétude, après une raclée l’amena à mieux comprendre les
femmes qu’il avait fessées.</p>
<h5 class="western"><a name="__RefHeading___Toc3159_75025378"></a>Ecriture</h5>
<p>Ces découvertes, ces réflexions, le Père Castor décida de les
mettre par écrit. Le Père Castor fut ainsi à la fois le héros, et
l’auteur qui en écrivait le parcours. Il lui fallu alors veiller à
ce que ses textes soient digne d’être publiés. Il lui fallait les
soumettre à correction. Appliquer ces corrections, mais aussi,
recevoir les corrections méritées. Elles furent nombreuses, et
souvent sévères. Il savait qu’elles étaient toujours méritées
et que leur sévérité même était indispensable pour qu’il
progresse. <br />
L’écriture, c’est aussi une « mise à
nu ». Elle amena le Père Castor à ne rien omettre de ses
envies, de ses plaisirs, de ses sensations. Même si, ultime pudeur,
il fit le choix de rester discret, voire secret, sur certains des
plaisirs interdits (à ses yeux) qu’il découvrit en même temps
que ceux de la fessée.
</p>
<p>Peut-être faudra-t-il encore beaucoup de fessées, et des
sévères, pour qu’il soit capable de dépasser aussi cet
interdit ?<br />
Ce seraient alors d’autres histoires du père
Castor.
</p>
<p style="page-break-before: always;"><br />
<br />
</p>
<div dir="ltr" id="Table des matières1">
<div dir="ltr" id="Table des matières1_Head"><p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b>Table
des matières</b></span></span></p>
</div>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1994_2007316307">Livre 3 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc335_1146721603">Les mémoires du Père
Castor 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1996_2007316307">Préambule 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc548_665717933"> Chapitre
1</a><a href="#__RefHeading___Toc548_665717933"><sup>er </sup></a><a href="#__RefHeading___Toc548_665717933">La</a><a href="#__RefHeading___Toc548_665717933">
maman fessée. 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1399_1696820252">Découvertes 2</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc345_1146721603">Ca fait mal ... 3</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc550_665717933">Le besoin 3</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc552_665717933"> De la brosse 4</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc351_1146721603">A la canne 5</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc554_665717933"> Devant
la Présidente. 6</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc391_1146721603">Droit et devoir 6</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc395_1146721603">Une visite impromptue. 7</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc397_1146721603">Basculement. 7</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc399_1146721603">Faites donc ! 8</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc606_1673841979">« Devant tout le
monde » 9</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1404_1696820252"> A
votre tour. 11</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc558_665717933">Le piège se tend 11</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc560_665717933">Et se referme 12</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1528_75025378">Presque sereine 12</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc562_665717933"> En place. 13</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1411_1696820252">Faites donc, bis ! 13</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1530_75025378">Les dessous chic … 14</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1544_75025378">Sans ! 15</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1546_75025378">Contrastes 15</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1413_1696820252">Voyeuse. 16</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1417_1696820252">Chapitre
2</a><a href="#__RefHeading___Toc1417_1696820252"><sup>ème</sup></a><a href="#__RefHeading___Toc1417_1696820252">
La Présidente.</a><a href="#__RefHeading___Toc1417_1696820252"> 17</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1872_75025378">Raclée initiale. 17</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1874_75025378">Du
travail soigné 17</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1876_75025378">Couleurs. 18</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1878_75025378">Réactions. 18</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1880_75025378">Cris
et chuchotements. 19</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc3133_75025378">Suites 20</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc3135_75025378">Remerciements. 20</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc3137_75025378">Derniers
outrages. 20</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1223_1813599026">Les
mots et les choses 21</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1195_427130317">Secrets respectés et
révélés. 22</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc3141_75025378">La Comtesse aussi ! 23</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1630_2069606885">Découverte ! 23</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1632_2069606885">Perspicacité. 24</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1441_398011821">Habitudes
conjugales 25</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2989_665392713">Une
chaude soirée 27</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1419_398011821">Des dames si dignes 30</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1453_398011821">Infidélités 30</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1455_398011821">« Je
ne suis pas la seule » 31</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1423_398011821">Punitions
ancillaires. 31</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1427_398011821">Entre
gens « du même monde » 33</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1429_398011821">Les découvertes du Père
Castor 34</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2263_1530798435">Littérature
et pédagogie. 34</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252">Chapitre
3</a><sup><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252">ème</a><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252">
</a></sup><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252">De l’autre
côté du manche .</a><a href="#__RefHeading___Toc1431_1696820252"> 35</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1433_1696820252">Mado comme Janus. 35</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1431_398011821">« Nul
ne guérit de son enfance » 35</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1433_398011821">
Libertaire jusqu’au bout. 36</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1435_398011821">
Ça m’est venu comme ça ! 36</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1435_1696820252">La mutation de Mado. 37</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc2267_1530798435">Devenir un
garnement. 38</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1437_1696820252">Sensations. 38</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="#__RefHeading___Toc1998_2007316307">Rituels et
innovations. 38</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2000_2007316307">Les
mains ! 38</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2002_2007316307">Au
coin ! 39</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc2006_2007316307">Réactions 40</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc1439_1696820252">Régression 40</a></p>
<p style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;"><a href="#__RefHeading___Toc3159_75025378">Ecriture 41</a></p>
</div>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<div id="sdendnote1"><p class="sdendnote"><a class="sdendnotesym" href="#sdendnote1anc" name="sdendnote1sym">i</a>Voir
« Les fessées du Père Castor »</p>
</div>
<div id="sdendnote2"><p class="sdendnote"><a class="sdendnotesym" href="#sdendnote2anc" name="sdendnote2sym">ii</a>Voir
« La mésaventure du Père Castor »</p>
</div>ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-77868518562638647912022-01-21T13:40:00.003-08:002022-01-21T13:40:35.130-08:00Petit mari<h1 style="text-align: left;">Alain Éloge </h1><h1 style="text-align: left;"> Le petit mari </h1><div><br /></div><h2 style="text-align: left;"> Chapitre premier
A la fessée ce soir </h2><h3 style="text-align: left;"> « Au coin » </h3><div>Bien qu’il lui arrivât de se considérer comme quelque peu féru de psychologie, il était bien obligé d’en convenir : il était bien incapable de s’expliquer le mécanisme qui l’avait amené à cette situation pour le moins paradoxale. Pour tous, il était le professeur, l’homme installé dans la vie, l’adulte estimé de ses collègues, considéré par tous comme un homme sérieux sinon parfois austère. Il apparaissait aux connaissances de son couple comme un mari attentif, respecté par son épouse et peut-être même un peu autoritaire. Et pourtant il était là,debout, le nez collé au mur, le derrière nu, le pantalon et le slip aux chevilles. Il était, selon l’expression que tous auraient considérée comme enfantine, « mis au coin ». Il venait de prendre une fessée ; la couleur cramoisie de ses fesses ne pouvait du reste laisser le moindre doute à cet égard. Cette raclée qui lui laissait le postérieur endolori et brûlant cette fessée qui lui faisait monter les larmes au bord des yeux, c’était son épouse qui venait de la lui coller. </div><h3 style="text-align: left;"> En pyjama ! </h3><div>Pour lui, ce n’était certes pas une première. Des fessées, il en recevait régulièrement, et depuis fort longtemps. A la vérité, il se passait rarement une semaine sans qu’il n’entende son épouse lancer l’injonction devenue en quelque sorte coutumière:
« Dans cinq minutes en pyjama ! »
Aller « mettre son pyjama » c’était l’annonce de la fessée. Il le savait,il l’admettait comme une évidence, une règle intangible et indiscutable.
Elle n’avait pas besoin d’en dire plus. Encore moins de justifier sa décision. Il savait que, si elle le décidait, elle énoncerait les raisons de la punition avant de l’appliquer. Mais qu’il pouvait aussi lui arriver de lui coller sa fessée sans un mot pour la motiver. Sans barguigner, il se dépêchait de monter dans leur chambre, de revêtir ce fameux pyjama, puis d’aller se mettre de lui même face au mur, les mains sur la tête, en attendant sans broncher que son épouse le rejoigne. Aussi habitué qu’il fût à ce qui, au fil du temps, était devenu un rituel immuable, il ne pouvait s’empêcher de ressentir un frisson au creux des reins quand il entendait son pas dans l’escalier. Sans la voir, il savait qu’elle aurait ce sourire carnassier qu’il connaissait bien en le découvrant ainsi, attendant sans broncher qu’elle se décide à lui intimer l’ordre qu’il attendait et redoutait à la fois : </div><h3 style="text-align: left;">En place ! </h3><div>« Viens te mettre en place, mon petit mari, c’est l’heure de ta fessée »
Quand il se retournait, il la découvrait le plus souvent assise sur le coin du lit. Bien que se fût en fait inutile, tant le scénario était prévisible, elle lui montrait ses cuisses du doigt. . C’était, selon l’expression de sa femme « sa place ». Il s’empressait de s’installer comme il savait devoir le faire, bien conscient que tout retard, toute hésitation, lui vaudrait une raclée plus sévère. Parfois, avant qu’il ne s’allonge, il lui était ordonné :
« Tu baisses ta culotte ! »
Le mot aussi faisait partie de leur vocabulaire spécifique. Pas « le pantalon », mais bien « la culotte ». Que ce soit du reste celle du pyjama ou, en d’autres circonstances, le pantalon et le slip. D’autres fois, elle l’arrêtait d’un geste avant qu’il ne s’installe, et elle faisait elle-même descendre le pantalon de pyjama pour lui mettre – elle aimait cette expression – « la lune à l’air ». Ou encore, elle ne procédait au déculottage qu’alors qu’il était déjà « en position ». Mais quel que soit le choix de l’épouse, il se retrouvait immanquablement le cul nu. La fessée commençait alors.
Aussi nombreuses qu’elles aient été, chaque fessée lui apparaissait comme une découverte. Claques espacées, laissant à la douleur le temps d’en quelque sorte s’étaler, se diffuser. Ou, au contraire, rafale, averse, torrent furieux de claques s’abattant en tornades, et dont le crépitement emplissait la chambre. Fessée longue, interminable, se poursuivant de longues minutes, ou fessée précipitée, tout aussi douloureuse mais ramassée, appliquée comme à la hâte. Mais toujours suivie de l’inévitable « passage au coin ». Celui-ci suivait ainsi immanquablement la fessée, comme il l’avait précédée. Mais cette fois, c’était en restant le derrière nu, permettant ainsi à l’épouse de contempler la couleur à laquelle elle avait amené le postérieur de son « petit mari ». </div><h3 style="text-align: left;">La première fois </h3><div>Il est incapable de déterminer vraiment comment il est devenu ce mari puni, ce « petit mari » qui passe régulièrement au travers des genoux de sa femme. Curieusement, il ne se souvient que confusément de « la première fois ». Son épouse, elle, a un souvenir très précis de ce soir qui allait changer leur vie conjugale . Même si elle ne se souvient plus du motif de la discussion qui avait dégénéré en querelle au cours de laquelle le ton était d’autant plus monté que la raison en était insignifiante. La mauvaise foi dont il faisait preuve, et son obstination à nier l’évidence, avait amené l’épouse à lancer, dans le feu de la bisbille :
« Mais tu te comportes vraiment comme un gamin ! Tu mériterais d’en prendre une ! »
Benoîtement, il avait répondu :
« Une quoi ? »
Et la réponse avait fusé, comme une évidence :
« Une bonne fessée, comme un gamin mal élevé ! »
Immédiatement, elle s’était rendu compte de l’incongruité de ses mots, et elle était sur le point de s’en excuser, confuse d’avoir ainsi rabaissé son mari au rang d’un gamin que l’on envisage de punir par la plus enfantine des punitions. Mais avant qu’elle n’ait pu s’excuser, elle s’aperçut qu’au lieu de s’indigner, son mari avait baissé les yeux en bredouillant un vague :
« Mais … non ...tu ne vas pas ... »
Jouait-il un jeu, une sorte de rôle, ou était-il vraiment déstabilisé par la menace ? Elle n’aurait su le dire sur l’instant. Et, même si longtemps après que celle-ci ait été, maintes fois, concrétisée, elle ne sait toujours pas répondre à cette question. Pourtant, les mots lui étaient venus spontanément à la bouche :
« Oh mais si que je vais mon cher ! Et tout de suite ! »
A ce moment, s’il avait levé les épaules, ou s’il s’était mis à rire, les choses en seraient restées là, à une banale plaisanterie. Mais il ne fit ni l’un ni l’autre. Au contraire, il restait là, les yeux baissés, se tordant nerveusement les doigts. Calmement, comme si la chose allait de soi, elle s’était assise sur le lit, avait désigné ses cuisses de l’index et prononcé la phrase qui allait devenir rituelle :</div><h3 style="text-align: left;"> « Mon petit mari » </h3><div>« Allez, viens te mettre en place, mon petit mari ! »
Comment cette expression lui était elle venue à l’esprit, elle ne saurait le dire. Jamais elle n’avait donné la fessée à qui que ce soit, jamais elle ne l’avait reçue elle-même, et jamais elle n’en avait vu donner. Et lui non plus. Pourtant, sans hésiter, il s’approcha d’elle et, spontanément, il s’allongea au travers des cuisses de son épouse, adoptant instinctivement la position emblématique du gamin qui va prendre une fessée. Il était alors en pyjama, prêt à se coucher, et elle-même avait déjà enfilé sa nuisette satinée qui laissait ses cuisses largement découvertes. Une fois encore, les mots lui étaient venus comme s’ils étaient naturels, banals :
« La fessée, c’est cul nu, tu le sais bien, hein, mon petit mari »
Lequel ne pipa mot, mais en l’occurrence elle put considérer que « qui ne dit mot consent ». Pourtant, comme s’il convenait que les choses soient bien établies, elle poursuivit :
« Il faut donc le déculotter, ce vilain garçon »</div><h3 style="text-align: left;"> Fessé cul nu !</h3><div> En toute autre circonstance, une telle affirmation eut été ridicule, grotesque. Là, elle ne provoqua ni ricanement ni protestation de celui qui était ainsi qualifié. Elle joignit donc le geste à la parole, passant les deux index dans la ceinture du pantalon de pyjama et baissant celui-ci sous les fesses. Elle découvrit, presque attendrie, le derrière blanc, les fesses serrées, et constata qu’il était couvert de « chair de poule ». D’instinct, elle marqua un temps d’arrêt, comme pour laisser à son mari le temps de prendre conscience de sa situation : déculotté, le derrière à l’air au travers des cuisses de sa femme. Puis, comme au ralenti, elle leva bien haut la main droite et l’abattit sèchement sur la fesse droite. Elle fut presque étonnée du bruit sec qui résonna dans la chambre. Comme elle découvrit la marque bien visible de ses doigts sur l’hémisphère fustigé. Elle attendit quelques secondes, le temps de voir cette marque s’estomper, un peu comme la marque des pas sur le sable mouillé d’une plage à marée basse. Elle frappa alors l’autre fesse de la même manière. La main reprit alors son mouvement, régulier, implacable. Les fesses se serraient, dures comme de la pierre. Le bruit des claques emplissait la pièce. Elle accéléra le rythme, la main s’égarant parfois sur le haut des cuisses découvertes. Jusqu’à ce qu’il lui semblât que le postérieur se détendait, cessait de se crisper. Les premières salves avaient été reçues sans que le petit mari ne bronche ni ne laisse échapper la moindre plainte. Mais la poursuite de la fessée l’amena bientôt à gigoter, à agiter les jambes, à plier les genoux. Cependant, jamais il ne tenta ni de se relever, ni même de protéger son postérieur de ses mains. Le petit mari recevait la fessée, et ne faisait rien pour y échapper. Tout juste se mit-il à geindre et à ponctuer les claques qui tombaient comme à Gravelotte par des « aille ! » de des « ouille ! » de plus en plus plaintifs. </div><h3 style="text-align: left;"> Au coin, mains sur la tête ! </h3><div>Bien entendu, elle n’avait pas conscience, alors, que cette fessée ne serait que la première d’une longue série. Pas plus qu’elle ne pouvait savoir qu’elle ne serait pas, et de loin, la plus sévère qu’elle lui flanquerait. Elle découvrait, étonnée, la couleur pourpre qu’avaient prise les fesses. Jamais elle n’aurait imaginé qu’un derrière puisse ainsi se colorer. Si c’est à la lune qu’elle avait pensé en le déculottant, c’est bien un soleil rougeoyant qu’elle découvrait. Une fois la succession des claques interrompue, son homme était resté là, allongé, reprenant difficilement une respiration plus régulière, mais hachée par des sanglots étouffés. Instinctivement, elle comprit qu’il fallait qu’elle termine ce qu’elle avait commencé. Qu’il n’était pas possible qu’ils reviennent brutalement et sans transition dans la normalité. Une fois encore, les mots lui vinrent presque spontanément à la bouche :
« Allez, debout et au coin ! »
Mais cette fois elle ne fut pas vraiment étonnée qu’il obtempère sans tergiverser. Une fois qu’il se fut redressé, en grimaçant et en portant les mains à son derrière, elle désigna du doigt le coin formé par la bibliothèque et le mur. Les pieds entravés par son pantalon tombé sur ses chevilles, il se dirigea vers ce qui allait devenir, par la suite « son » coin. A peine y était-il parvenu, qu’elle lança :
« Mains sur la tête, garnement ! »</div><h3 style="text-align: left;"> Suite </h3><div>Une fois encore, il obéit immédiatement. Elle prit le temps d’allumer une cigarette, de se verser un verre de vin qu’elle sirota en contemplant la lune rougie par ses soins. Puis elle s’allongea sur la lit et susurra :
« Le vilain garçon a pris sa fessée, maintenant il est pardonné, il peut venir faire dodo »
Quand il se retourna, il avait les yeux humides, mais aussi un visage étonnamment serein. Et surtout, il arborait une érection triomphale, qu’il ne chercha pas à cacher, laissant les mains sur la tête alors qu’il s’approchait du lit.
Et ils ne firent pas dodo tout de suite. </div><div><br /></div><h2 style="text-align: left;"> Chapitre 2 <br />Un mode de vie </h2><h3 style="text-align: left;">Bis repetita </h3><div>Ils ne reparlèrent de cette soirée, pourtant mémorable, ni le lendemain ni les jours suivants. La vie, leur vie, avait repris comme si rien ne s’était passé. Y compris sur le plan sensuel. Ils firent l’amour plusieurs fois. Ni la fréquence de leurs ébats, ni la forme de ceux-ci n’avaient été modifiées. L’épouse aurait fort bien pu croire que cette soirée pour le moins notable resterait une parenthèse, une exception, un moment d’égarement. Dans tout les cas, elle ne fit rien pour qu’elle se reproduise. Et pourtant, elle se reproduisit. Longtemps après que la pratique de la fessée soit devenue presque banale dans leur couple, ils ne savent toujours pas, ni l’un ni l’autre si c’est volontairement qu’il a amené son épouse à récidiver. Elle lui avait demandé de faire une course assez ordinaire, mais en insistant pour qu’il ne l’oublie pas. Et, bien sûr il oublia ! Provocation ou « acte manqué » ? En tout cas, quand il se mit en demeure de s’en excuser et de se justifier, il le fit en baissant les yeux, et en se tordant les doigts, tandis que son épouse récriminait. En d’autres circonstances, il aurait mis fin à la discussion par une pirouette, ou il se serait fâché de ses reproches. Là, il restait coi, l’air contrit. Elle n’avait rien prémédité. Mais l’intuition lui vint immédiatement. Le laisser dans cette position d’enfant pris en faute lui était apparu comme une forme de mépris. Sans élever la voix, sans discuter ses justifications embarrassées, elle laissa tomber :
« Et bien mon petit mari va aller mettre son pyjama ... »
Il ne demanda pas son reste. Comme si la chose allait de soi. Comme s’il avait déjà intégré le lien incontournable entre ce vêtement pourtant bien banal et la raclée sur ses fesses nues. Il tourna les talons et se dirigea vers l’escalier. Et alors qu’il le montait, elle poursuivit :
« Et m’attendre au coin ! »
Comme si elle voulait lui laisser le temps de bien comprendre dans quoi il s’engageait, ou pour lui laisser une possible échappatoire, elle prit le temps, une nouvelle fois, de fumer une cigarette et de boire un verre de vin avant de le rejoindre.</div><h3 style="text-align: left;"> La même, et pourtant différente <span> </span></h3><div>Quand elle entra dans leur chambre, elle le trouva bien « au coin ». Dans le même coin. Celui qui allait devenir « son » coin. Sans qu'elle lui eût ordonné, il avait, de lui-même, mis les mains sur la tête. Comme s’il avait déjà assimilé la règle et adopté la position réglementaire.
Il reçut sa fessée. Comme la première fois. Et pourtant ce ne fut pas la même. Comme aucune de celles qu’il recevrait par la suite ne serait jamais identique aux autres. Chaque fessée serait une autre aventure, un autre voyage, une découverte. Certes, ils avaient adopté des règles non dites mais qui devinrent invariables. L’annonce de la décision. La tenue, en pyjama. Même si, au cours du temps, il arriva qu’elle n’attende pas le soir pour lui intimer brusquement :
« Allez, mon petit mari, baisse moi cette culotte tout de suite »
Avant de le courber sous son bras gauche et de le fesser rapidement, à la volée. Après quoi il remontait prestement son slip et son pantalon. Mais elle n’utilisait que le mot « culotte », comme une sorte de code. Et il savait qu’immanquablement, quelle qu’ait été la sévérité de la raclée, il n’échapperait pas, le soir venu, à la « vraie fessée » selon l’expression de son épouse. Elle n’avait même pas à s’en expliquer, encore moins à se justifier. Il lui suffisait de lui rappeler :
« Tu sais que nous avons à faire ce soir, mon petit mari ... »
Pour qu’il file prestement se mettre « en tenue ».</div><h3 style="text-align: left;"> Interdiction </h3><div>« En tenue », en pyjama, et « en position », au coin. Selon son humeur du jour, l’épouse le rejoignait rapidement ou, au contraire le laissait mariner un long moment. Quelle que fût sa décision, son « petit mari » maintenait la position. Hiératique, figée. Jamais il n’eut la tentation de tricher, de quitter son coin, de baisser les bras. Cette attente lui était pourtant physiquement pénible. Les bras s’ankylosaient. Les jambes tremblotaient. Il ne pouvait réfréner le besoin impérieux de piétiner. Et quand, arrivant sans bruit, elle le surprenait ainsi, il en connaissait d’avance la conséquence :
« Il ne me semble pas t’avoir autorisé à gigoter ! Puisque tu y tiens, je vais te donner une bonne raison de le faire ! »
La fessée était alors plus cinglante. L’épouse, douillette, avait vite constaté que fesser longuement lui meurtrissait la paume de la main. Elle avait très vite fait l’acquisition d’un martinet. Celui-ci flagellerait alors le derrière après que le mari, encore debout et les mains sur la tête, se soit déculotté. Et, en effet, il ne pourrait éviter de gigoter encore plus, de piétiner, de trépigner et même de sautiller sous les assauts des lanières. D’autant plus que, quelque peu perverse, l’épouse avait instauré, au fil du temps, l’interdiction de passer aux toilettes avant la séance punitive. Il avait ainsi découvert, à ses dépens, combien une fessée était plus pénible quand elle était reçue avec une envie de faire pipi. Avec la crainte, infondée mais réelle, que la douleur cuisante l’empêcha de se contrôler. D’autant que l’épouse durcissait parfois encore la punition en lui interdisant d’aller se soulager avant la fin de son séjour au coin. L’amenant parfois à être contraint de demander piteusement l’autorisation. Qui, bien sûr ne lui était accordée qu’accompagnée de ce que l’épouse appelait « un petit supplément ».</div><h3 style="text-align: left;"> Vespérales et matutinales </h3><div>Cette interdiction lui était encore plus difficile à supporter quand l’épouse décidait, alors même qu’il avait parfois reçu une fessée la veille au soir, de lui en coller une au réveil. Elle restait alors paresseusement dans le lit, et n’avait qu’un geste à faire pour qu’il vienne s’allonger au travers de ses jambes. Elle savait qu’il arborerait une inévitable érection matinale que les effluves tièdes du corps de son épouse contribueraient à renforcer. Elle s’en réjouissait, même si elle feignait de croire qu’elle était due à la fessée qu’il allait recevoir :
« Mais il bande, ce vaurien ! Eh bien puisque la fessée le met en forme allons-y ! »
Et l’érection, encore accentuée par la raclée, ne restait bien entendu pas inutilisée. Mais aussi satisfaisants qu’aient été ces moments d’après fessée, l’épouse considérait qu’il ne serait pas correct que son mari s’en tire à si bon compte. Aussi avait-elle pris l’habitude, de lui en « coller une autre » avant qu’il ne quitte la maison. La règle était si bien établie qu’après qu’il ait pris sa douche et qu’ils eurent partagé le petit-déjeuner, il suffisait d’un geste du doigt de l’épouse pour qu’il baisse lui-même son pantalon et son slip, découvrant un postérieur encore rouge et chaud de le fessée reçue. Et pour qu’il en reçoive une autre, ravivant la douleur des fesses déjà endolories. Après quoi, le petit mari se reculottait prestement, et elle lui déposait un léger baiser sur les lèvres en murmurant :
« Comme ça, mon petit mari s’en souviendra ... » </div><h3 style="text-align: left;"> « Y penser toujours, n’en parler jamais »</h3><div> Mais, d’un commun accord, ils respectaient l’injonction célèbre de Clémenceau à propos de l’Alsace-Lorraine. Les fessées étaient flanquées, reçues, mais jamais commentées. Pas plus que les autres règles établies au fil du temps par l’épouse.
Elle avait en effet considéré que la fessée et le passage au coin devaient être accompagnés d’autres marques de la situation de « garnement » qui était devenue celle de son mari. . Ainsi avait-elle pris l’habitude de sanctionner ses écarts, réels ou pas par d’autres « punitions » tout aussi infantiles. Le « petit mari » était ainsi contraint, quand l’épouse en décidait ainsi, à « faire des lignes ».
Il avait découvert un jour, déposé sur la table de chevet de leur chambre conjugale, un cahier sur la couverture duquel l’épouse avait calligraphié, de sa belle écriture ronde : « Cahier de punitions ». C’est sur ce cahier qu’il était astreint à inscrire les punitions reçues, avec leurs motifs. Toute omission de le remplir scrupuleusement était sanctionnée par une raclée d’exception. Et il devait aussi y copier les lignes imposées à l’issue des séances claquantes. Avant qu’il ne soit autorisé à se reculotter, ou à la rejoindre dans le lit conjugal, elle annonçait ainsi, par exemple :
« Et ce sera cent fois « je dois prévenir quand je suis en retard »
Ou bien :
« Cinquante lignes : « il est interdit de hausser les épaules »
Ou encore :
« Le verbe « ne pas devoir aller faire pipi sans autorisation » à tous les temps de l’indicatif. »
Très à cheval sur le respect de l’orthographe, l’épouse sanctionnait toute faute par une fessée particulièrement sévère. De même que tout relâchement dans l’écriture. Et, quoi qu’il ait eu pour le moins des faiblesses en la matière, le petit mari s’était mis à veiller à remplacer ses pattes de mouche presque illisibles par une écriture soignée et à prendre soin de respecter les règles d’orthographe et de grammaire. Il constata lui-même cet effet positif des sanctions. Comme il ne put nier que le seul fait de s’installer devant son cahier de punitions, qu’il ait ou non reçu la fessée auparavant, avait les mêmes effets – eux aussi positifs – sur la raideur de son érection. </div><h3 style="text-align: left;"> Un besoin </h3><div>La perfection n’étant pas de ce monde, ses efforts n’étaient cependant pas suffisants pour éviter les sanctions, d’autant que les exigences de l’épouse croissaient à mesure des progrès accomplis. Aussi, quels que fussent ceux-ci, les passages du petit mari sur les genoux de son épouse, les séjours au coin et les lignes à copier ne firent que se multiplier. Et, même s’il eut préféré recevoir une correction d’exception plutôt que d’en convenir, le petit mari savait bien que ces fessées étaient devenues, avec le temps, non seulement une règle, un mode de vie, mais bel et bien un besoin.
Non qu’il ait basculé dans le masochisme. Il ne cherchait ni ne trouvait le plaisir dans la souffrance. Du reste, jamais il ne provoquait intentionnellement une raclée. Mais jamais non plus il ne cherchait réellement à les éviter. Son épouse décidait souverainement quand et comment il devait être puni, quand et comment il devait être fessé. C’était devenu, pour lui, un fait acquis. Et la fessée, il l’avait constaté dès le premier jour, et bien cela fait mal aux fesses. C’était aussi un fait acquis, une réalité incontournable. Mais en rien une humiliation véritable.. Recevoir régulièrement de sévères fessées déculottées, être mis au coin, copier des lignes, tout cela n’était en rien incompatible avec le respect de lui même. Il ne se sentait en rien offensé. Bien sûr, il y avait une forme de honte à être ainsi déculotté, grondé, puni. A danser sous les coups de martinet. A geindre, voire à crier quand la douleur devenait par trop insupportable. A être morigéné comme un gamin, à être contraint à rester au coin, le derrière nu exposé sans la moindre pudeur. A s’astreindre à de longues punitions infantilisantes. Mais cette honte faisait partie de la fessée, et il l’acceptait comme une conséquence inévitable. Jamais il n’avait eu le sentiment que celle qui le punissait ainsi puisse le mépriser. Presque au contraire. Le fesser sévèrement, ne rien lui passer, ne pas céder à la tentation, parfois, de ne pas aller jusqu’au bout de la punition décidée et annoncée, c’était autant de marques, certes paradoxales, de respect. Et surtout c’était un acte d’amour. </div><h2 style="text-align: left;"> Chapitre 3 <br />Partages d’expériences </h2><h3 style="text-align: left;">Révélation </h3><div>Curieusement, une fois la fessée devenue habituelle dans leur couple, le mari se posa moins de questions que l’épouse. Pour lui, la chose semblait aller d’elle-même, être en quelque sorte naturelle. Il lui arrivait –souvent – d’être puni ; il craignait ces punitions, mais elles lui semblaient indiscutables et même indispensables. En fait, jamais il ne s’était vraiment demandé si d’autres maris connaissaient les mêmes règles. S’il lui était arrivé de protester d’un « c’est pas juste » lors de certaines décisions de son épouse, c’était le motif qu’il contestait, ou la sévérité de la punition, jamais sa légitimité ou le droit qu’avait sa conjointe de le punir. Du reste, ces rares contestations de son autorité avaient été sanctionnées par des raclées mémorables, des séjours au coin interminables, et des punitions écrites qui lui avaient valu des crampes au poignet presque plus douloureuses que les fessées.
Quant à elle, l’épouse avait endossé avec un naturel qui l’étonnait elle-même le rôle d’épouse sévère. Elle qui ne se croyait pourtant pas d’un naturel autoritaire, n’avait eu finalement aucun mal à cette transformation de sa personnalité. Elle ne jouait pas un rôle, elle le vivait vraiment. Elle ne faisait pas « semblant » de punir son époux. Ce n’était pas une simagrée, ou un jeu. Elle fessait « pour de vrai », comme le disent les enfants. Et elle avait constaté avec stupeur … qu’elle y prenait plaisir. Dès la première fessée administrée à son mari, elle avait ressenti cette crispation dans son ventre, ce durcissement sensible des pointes de ses seins, cette accélération de son rythme cardiaque, dont elle ne pouvait pas se cacher l’origine. Et l’humidité de sa petite culotte, comme sa fragrance épicée, la lui avait confirmée. Flanquer la fessée la faisait mouiller, c’était aussi simple que cela. Punir son mari, le voir mis au coin, lui infliger des lignes à copier, l’entendre gémir, le fesser jusqu’à ce que son derrière soit cramoisi, tout cela l’excitait sexuellement. Elle n’en avait du reste ressenti aucune honte, et n’avait pas cherché à se le cacher.
Pourtant, cette révélation la questionnait. Sur elle-même, sur son homme, sur leur couple. Mais elle respectait la règle implicite, il était donc exclu qu’elle en parle avec son conjoint. Alors, femme de son époque, elle alla fureter sur Internet. Le nombre d’occurrences au mots « fessée » la stupéfia. Jamais elle ne pourrait toutes les parcourir. De plus, elle constata très vite que les sites consacrés au thème de la fessée, qu’ils soient ouvertement érotiques ou qu’ils prétendent analyser un phénomène de société, concernaient principalement la fessée appliquée par des hommes à des femmes.
Elle précisa donc sa recherche. Ajoutant les mots « mari » , « punition conjugale », « sévérité » … Au fil de ses pérégrinations, et après avoir éliminé les sites pornographiques, elle découvrit des témoignages d’épouses correspondant à sa recherche. Certaines de ces épouses détaillaient avec une sorte de délectation leurs manières de « dominer » (le mot revenait souvent) leurs maris. D’autres échangeaient leurs pratiques, et leurs conseils, un peu comme s’il s’agissait de tricot ou de recettes de cuisines. Certains de ces témoignages, par leur crudité ou par ce qui apparaissait comme proche d’un véritable sadisme la révulsaient. Certaines pratiques d’humiliation voire même proches de la torture la révoltaient. D’autres, par leurs excès mais aussi par les tenues en cuir ou en latex des pratiquantes, la faisaient plutôt rire. En aucun cas elle ne s’imaginait ainsi déguisée. Pourtant, elle finit par découvrir quelques témoignages d’épouses qui lui semblaient partager la même approche de ce qu’elle vivait.</div><h3 style="text-align: left;"> Marie-Claude et l’autorité matrimoniale</h3><div> Ainsi celui d’une certaine Marie-Claude, qui révélait avec une franchise presque déconcertante la manière dont elle pratiquait ce qu’elle appelait elle-même avec humour « l’autorité matrimoniale »</div><h4 style="text-align: left;"> Répondre à un besoin </h4><div>Dès les premières années de notre mariage, j’ai compris que mon mari avait besoin d’être « cadré ». Je ne lui ai rien imposé en la matière, j’ai seulement répondu à un véritable besoin de sa part. Un besoin de se plier à une autorité, en l’occurrence la mienne. Je suis bien consciente que cela peut paraître complètement inimaginable à celles et ceux qui ne vivent pas comme nous, mais je suis intimement persuadée que la fessée – puisqu’elle est le vecteur essentiel de cette autorité – lui est nécessaire. Elle a d’ailleurs fait partie de notre vie conjugale dès les débuts de celle-ci. D’abord en matière de sanction, pour punir des fautes, réelles ou vénielles. Elle nous a évité des querelles qui, souvent, empoisonnent les relations de couple. Plutôt que de nous chicaner, plutôt que de lui faire des reproches, je réglais les problèmes de la vie conjugale en lui flanquant tout bonnement une bonne fessée déculottée. Et jamais il n’a émis la moindre récrimination à ce propos.</div><h4 style="text-align: left;"> La fessée méritée ou demandée </h4><div>La plupart du temps, je n’avais même pas besoin de lui imposer ma décision, il suffisait que je fasse état de mon mécontentement et que je lui demande :
« tu sais ce que cela mérite ? »
pour qu’il convienne de lui-même :
« oui … une fessée »
Dès lors, le rituel s’est mis en place de manière presque naturelle : il prenait place derrière un des fauteuils de notre salon et se mettait en position. Il faut dire que sa corpulence rend difficile et en tout cas fort inconfortable pour moi la fessée au travers de mes genoux. De même, j’ai presque tout de suite compris que lui coller les fessées qu’il admettait si volontiers avoir méritées était très vite douloureux pour ma main. Aussi le martinet est -il rapidement venu la remplacer. Là aussi, il l’a admis sans tergiverser, et c’est d’ailleurs lui qui en a fait l’acquisition. Il est depuis rangé dans un tiroir de la bibliothèque, et, avant de s’installer derrière ce qui, au fil du temps est devenu pour nous le « fauteuil à fessées », mon mari va le chercher et me l’apporte avant de se déculotter et de se pencher par dessus le dossier du fauteuil. C’est, bien sûr, moi qui décide souverainement du nombre de cinglées qu’il recevra. Et il les reçoit sans broncher, jusqu’à ce que je lui annonce :
« tu peux aller le ranger »
Il se redresse alors, et vient chercher l’instrument pour le remettre à sa place, tout en restant les fesses nues.
Si je suis aussi affirmative quand j’affirme qu’il a besoin de ces séances, c’est qu’il lui arrive, alors même que je n’ai rien à lui reprocher, de me présenter spontanément le martinet, en me fournissant à la fois l’instrument et le motif de la fessée qu’il va prendre. </div><h4 style="text-align: left;"> Sans raison</h4><div> J’ai donc compris qu’il avait en effet besoin de sa fessée, encore même n’aurait-il rien fait pour la mériter, encore même n’aurais-je pas de raison de la lui flanquer. Ainsi, peu à peu, le lien entre une « faute » et la raclée s’est étiolé. Maintenant – et depuis déjà plusieurs années – la fessée n’est plus toujours liée à la notion de punition motivée. La première fois qu’il a ainsi été fessé sans vrai motif, je m’en souviens parfaitement. Nos occupations, et peut-être en effet son comportement sans la moindre faille pendant une semaine, avaient abouti à ce que nous avions passé toute la semaine sans qu’il soit fessé. Nous étions le samedi soir, au calme, en train de siroter un apéritif, quand j’ai lancé, à moitié sérieuse et à moitié en plaisantant :
« Tu ne trouves pas que nous avons passé une drôle de semaine, mon chéri ?
N’avait-il pas compris à quoi je faisais allusion, ou faisait-il semblant, j’avoue que je n’en sais rien. Alors j’ai précisé ma pensée :
« Pas une seule fessée depuis dimanche dernier … ça n’est pas normal ! »
Il m’a regardé, l’air un peu étonné. Puis il a en a convenu :
« Ben … oui ...peut-être ... »
J’ai immédiatement surenchéri :
« Mais c’est sûr ! »
Et c’est lui-même qui a suggéré :
« Je dois … aller le chercher ? »
Ma réponse a été sans surprise :
« Bien entendu, tu devrais déjà être en place »
Il s’est empressé de faire ce qu’il avait à faire, m’a tendu l’instrument et est allé s’installer après avoir baissé son pantalon et son slip. Si cette raclée n’était motivée, elle n’en fut pas moins cuisante. Il me semble même qu’elle a été plus sévère que celles qu’il prenait habituellement. Plus les lanières venaient s’appliquer sur son derrière et l’arrière de ses cuisses, plus il gigotait sous leur morsure, plus il piétinait, plus il poussait de petits cris étouffés et de grands soupirs, plus je flagellais de bon cœur. Et je n’avais aucun scrupule à le fesser ainsi sans véritable raison, ou plus exactement sans véritable motif. Ce soir là, nous avions franchi une étape. La fessée n’avait plus à être liée à une quelconque faute. Ce n’était plus vraiment une punition. Je dirais presque que nous en étions arrivés à la fessée pour elle-même. A une sorte de fessée essentielle, de fessée « chimiquement pure ».</div><h4 style="text-align: left;"> De la diversité des fessées</h4><div> Je veux dire par là à des fessées dépouillées de tout artifice. Mais en aucun cas à des simulacres ou à des fessées amoindries, bien au contraire. Ces fessées non motivées n’en sont pas moins sévères, ni moins cuisantes. L’état des fesses de mon mari en témoignait dès cette première expérience. Les lanières du martinet, que j’avais manié avec une vigueur accrue, avaient laissé de jolies arabesques sur le postérieur et les cuisses. Et, par la suite, d’autres instruments sont venus apporter leurs marques caractéristiques, et aussi leurs échos sonores particuliers. J’ai, en effet, « varié les plaisirs » en ne me limitant pas à ce bon martinet des familles, que je n’ai pas abandonné pour autant. Ainsi la brosse à cheveux, qui rend un son mat et qui donne aux fesses à une coloration cramoisie. Ou la large ceinture de cuir, qui laisse de longues marques violacées. Alors que la badine – en fait un simple tuteur en jonc – s’annonce par un sifflement aigu et provoque des traces rectilignes, parallèles ou entrecroisées selon la manière dont elle a été maniée. Plus les fessées sont devenues régulières, plus elles ont gagné en variété. Ne dit-on pas que l’ennui naquit un jour de l’uniformité ? Aujourd’hui, mon mari sait, chaque jour, qu’il sera fessé. Mais il ne sait jamais comment. La fessée sera-t-elle rapide, en averse brutale qui porte le derrière à l’ébullition en quelques minutes ? Ou bien sera-t-elle prolongée, avec des cinglées bien espacées, laissant le temps à chaque impact de s’étendre, de s’étaler ? Y aura-t-il des pauses, laissant naître l’incertitude sur le reprise ou pas de la raclée ? Sera-t-elle concentrée sur le postérieur, veillant à ce qu’il soit uniformément coloré, ou les coups s’égareront ils sur les cuisses, voire les mollets, amenant ma consentante victime à piétiner et à sautiller sur place ? Chaque fessée est attendue, mais chaque fessée est différente. </div><h4 style="text-align: left;">La quotidienneté et les journées particulières </h4><div> Mais surtout, la fessée est devenue quotidienne. Désormais, il ne se passe pas de jour sans qu’elle ne tombe. La seule incertitude tient au moment où elle sera donnée. Parfois au réveil, avant même qu’il n’ait pu aller faire pipi, l’expérience nous ayant fait constater que l’effet de la fessée est alors en quelque sorte démultiplié. Parfois même avant qu’il n’ait quitté le lit. Il prend alors sa raclée matutinale allongé sur le ventre, après avoir bien sûr baissé son pyjama. Encore convient-il alors qu’il creuse les reins pour mieux présenter son séant.
Parfois, au contraire, la fessée n’est donnée que le soir venu, après qu’il ait passé la journée sans savoir quand il y aurait droit. Et j’ai la certitude que quand, enfin, je lui signale que « le moment est venu », il est en fait soulagé. Et, bien sûr, je fais en sorte de ne pas décevoir son attente. La fessée est alors d’autant plus soignée que je sais qu’après, je pourrais percevoir la chaleur de ses fesses quand nous serons couchés.
Bien entendu, la quotidienneté des fessées n’exclut en rien des fessées je dirais plus « classiques », je veux dire par là motivées par son comportement. Mais quand il m’arrive d’avoir à le corriger au cours de la journée avant qu’il n’ait pris sa fessée « du jour », eh bien il la reçoit après, l’une ne lui évitant pas l’autre.
De la même façon, il m’arrive de décréter de temps à autres une « journée de fessées ». Ces jours là, sans qu’il soit besoin de justifier ma décision, je fais en sorte qu’il ait les fesses rouges et brûlantes du matin jusqu’au soir. . Je choisis bien sûr de préférence quand il peut rester à la maison toute la journée. Il prend alors une première raclée à son réveil, toujours avec l’interdiction du pipi préalable. C’est ce que j’appelle « la fessée inaugurale »Puis, dès qu’il a obtenu l’autorisation de se soulager, il en prend une autre, alors que son derrière est encore bien coloré et bien chaud. Cette deuxième fessée est pour lui comme un signal. Il comprend immédiatement que ce ne sera pas la dernière. Pour faciliter les choses, il m’arrive de lui imposer de rester en pyjama. Je n’aurai ainsi qu’à en baisser le bas à chaque fois que je le déciderai. L’expérience m’a appris que, pour que les fesses restent rouge comme je le souhaite, il convient qu’elles ne soient jamais plus de trois heures sans être fessées. Il reçoit donc au minimum six séances claquantes dans la journée. Mais c’est souvent plus, pour m’assurer que la coloration ne s’estompera pas. Au fur et à mesure que la journée s’écoule, je peux donc constater la permanence , et surtout l’accentuation de la coloration du postérieur. Avec l’accumulation des séances, celle-ci passe peu à peu du rouge au carmin puis au violet. Je ne peux évidemment pas ignorer que ces fessées multiples sont aussi de plus en plus douloureuses. Une fessée reçue sur un postérieur encore sensible de la raclée précédente est bien sûr plus difficile à supporter. Les mouvements convulsifs des jambes, et les cris qu’il ne peut réfréner à la cinquième ou la sixième fessée en sont la preuve tangible. Mais, j’insiste bien, ce n’est pas le but premier de ces journées « fesses rouges ». Je ne ressens aucun plaisir au fait de lui faire mal. Je ne suis pas plus sadique qu’il n’est masochiste. Mais nous savons tous les deux que rien ne pourra m’amener à renoncer à aller au bout de ces journées particulières. Et qu’il recevra autant de fessées qu’il faut pour garder son derrière cramoisi jusqu’à la dernière, « la fessée conclusive » qu’il reçoit au moment d’aller au lit. J’ai aussi constaté qu’aussi douloureuses que soient ses fesses à l’issue d’une telle journée, et même s’il lui est impossible de s’allonger sur le dos, il dort comme un bébé la nuit suivante. Bien qu’il ne puisse ignorer que, dès son on réveil, ses fesses encore chaudes et marquées par les séances de la veille recevront une nouvelle trempe...</div><h2 style="text-align: left;"> Chapitre 4
Autres couples, même mœurs </h2><h3 style="text-align: left;">Variété des pratiques </h3><div>En poursuivant ses lectures de « témoignages » d’épouses adeptes de la fessée conjugale, l’épouse du « petit mari » découvrit la variété de leurs pratiques.
Il y avait toujours fessées, accompagnées ou non d’autres formes de punitions ; il y avait toujours déculottage, la règle semblait immuable et unanimement pratiquée. La mise au coin semblait aussi très largement pratiquée. Et ces séjours le nez au mur et les fesses nues apparaissaient parfois plus difficiles à supporter pour les maris que la fessée elle-même. D’autant que, dans certains couples, planait toujours le risque – ou la menace – de visiteurs impromptus qui découvriraient le puni dans cette position équivoque. Certaines épouses ne pratiquaient que la fessée manuelle, peut-être la plus infantilisante, mais pas toujours la moins cuisante. D’autres, peut-être plus douillettes, utilisaient une gamme d’instruments qui étonna la lectrice. Le martinet semblait le plus utilisé, et elle en fut d’autant moins surprise qu’elle y avait elle-même recours. Mais, en la matière, l’imagination des épouses semblait presque infinie. Au gré de ses lectures, elle découvrait que des ceintures – parfois le mari devait lui-même retirer la sienne pour que son épouse l’en flagelle – mais aussi des instruments « faits maison », selon l’expression de l’une d’elles, des outils de cuisine, cuillères de bois par exemple, des savates et bien d’autres instruments divers et variés étaient utilisés pour claquer les postérieurs des maris. Si elle ne suivit pas immédiatement ces exemples, elle se mit cependant à regarder différemment les tuteurs de ses plantes vertes ou les planchettes de bois dans la cuisine. Mais elle découvrit surtout la variété des motifs de ces fessées conjugales.
Pour certaines épouses, il s’agissait bel et bien d’un mode de gouvernance du couple. Dans lequel les manquements du mari à des règles, qu’elles aient été décidées en commun ou imposées de la seule volonté de l’épouse, étaient sanctionnés par des punitions, au premier rang desquelles la fessée. Beaucoup de celles qui avaient instauré de telles règles insistaient sur le fait qu’elles évitaient les disputes stériles, les reproches réitérés, les éclats de voix. </div><h3 style="text-align: left;"> Marie-Caroline et le tarif </h3><h4 style="text-align: left;">Tradition familiale </h4><div>Ainsi, une certaine Marie-Caroline, le prénom laissait supposer qu’elle appartenait à la bourgeoisie traditionnelle, expliquait benoîtement :
« C’est vrai, mon mari reçoit souvent la fessée, il passe de longs séjours au coin, mais jamais nous ne nous disputons, jamais nous n’élevons la voix. Et je suis convaincue que c’est vraiment le mode de vie qui nous convient. Je vois des couples amis qui passent un temps infini à échanger des propos aigres-doux, ou à se faire la tête, souvent pour des motifs futiles. J’ai même assisté, avec gêne je dois dire, à des « prises de bec» lors desquelles les époux criaient plus que de raison. Chez nous, rien de tout cela. Mon mari connaît les règles de la maison, il les a acceptées, et il connaît aussi « le tarif ». C’est une notion que j’ai toujours connue dans mon enfance et même dans mon adolescence. Chez nous, c’est ma maman qui se chargeait de l’éducation des enfants – j’ai deux frères et une sœur – et elle avait instauré ce fameux « tarif ». Nous savions très bien à quelle sanction nous nous exposions quand nous ne respections pas les règles établies. Une insolence, c’était un passage au travers des genoux de maman quand nous étions enfants, une volée de martinet quand nous étions plus grands. Un devoir mal fait ou une mauvaise note, et c’était autant de coups de martinet que de points en dessous de la moyenne. S’il nous arrivait d’être en retard pour le repas, nous le passions au coin, mains sur la tête, jusqu’à ce que maman décrète – avec un sens de l’humour qui, à l’époque, ne nous faisait pas rire : « eh bien maintenant, tu vas prendre ton dessert ... » Elle décrochait alors le martinet qui était en permanence pendu à un clou dans la cuisine, les garçons baissaient leur culottes courtes, et plus tard leurs pantalons, puis leurs slips, et les filles relevaient leurs jupes et baissaient leurs culottes. Voir ainsi mes frères et sœur recevoir le martinet fesses nues, et le recevoir moi-même plus souvent qu’à mon tour – il paraît que j’avais déjà un caractère affirmé – m’a toujours semblé parfaitement naturel. Jamais je ne me serais autorisée à porter des tenues que maman aurait considérées comme « indécentes »et , dans notre milieu, la pudeur, sinon la pudibonderie, était de rigueur. Mais il était bien établi que la fessée nécessitait qu’on soit déculotté, cela nous semblait une règle que nous n’avions même pas l’idée de mettre en cause. J’ai ainsi reçu la fessée cul nu – jamais nous n’aurions utilisé un terme aussi cru alors – jusqu’à la veille de mon mariage. Je ne m’en suis pas vantée auprès de mon futur époux, même si je n’en avais pas honte. Mais peut-être avait-il recueilli les confidences de mes frères ?</div><h4 style="text-align: left;"> Le tarif </h4><div>En tout cas, sans que nous n’ayons jamais eu à en discuter vraiment, presque naturellement, ce sont les méthodes de ma famille que j’ai reprises dans notre vie de couple. Mon mari, je l’avais remarqué quand nous avions commencé à nous fréquenter, a tendance à utiliser parfois des mots que je considère comme grossiers, voire même à jurer, ce que je ne supporte pas. Dans les toutes premières semaines de notre mariage, alors qu’il venait de laisser échapper un mot que la correction m’empêche de répéter, je lui ai dit très calmement :
« Tu sais, chez moi, ça t’aurait valu une fessée immédiate !»
Comme il n’a pas semblé s’offusquer de cette perspective, eh bien j’ai poursuivi :
« Et ce sera le cas la prochaine fois, sache- le bien »
En ajoutant, pour faire bon poids :
« Avec en plus cent lignes ! »
Je ne sais pas si ce fut de sa part une provocation ou simplement la difficulté à perdre une mauvaise habitude, mais il me semble qu’il ne s’est pas passé trois jours sans qu’il récidive. Ma décision a été immédiate :
« Tu connais le tarif … »
Ma réaction n’a pas semblé l’étonner. J’ai déplacé une chaise, et je lui ai annoncé, comme une évidence :
« Tu baisses ton pantalon et tu te penches ... »
Comme s’il avait fait cela toute sa vie, il s’est exécuté immédiatement. Il a déboutonné son pantalon et s’est penché par dessus le dossier de la chaise, les mains à plat sur l’assise. Je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin ; j’ai pris une règle de bois qui était sur la table et j’ai annoncé :
« Un gros mot, c’est 25 coups, mais d’abord tu baisses ton slip. »
Sans se relever, il a fait glisser le sous-vêtement jusqu’à ses genoux, exposant ainsi son derrière nu. S’il m’était arrivé bien souvent de recevoir une raclée, il ne m’était bien entendu jamais arrivé d’en donner une. Pourtant il me semble que j’ai trouvé d’instinct le rythme et la force qu’il convenait d’adopter. Je sais que, pour lui, c’était une première expérience. Je sais aussi qu’elle a été douloureuse, ses gémissements étouffés, et surtout les marques bien visibles de la règle sur ses fesses m’en ont convaincue. Mais je dois dire qu’il a reçu sa correction avec une certaine dignité, sans jamais tenter de se redresser, se limitant à piétiner sur place. Comme s’il avait connu les règles avant même que je ne les édicte, il est resté en position une fois les vingt cinq coups reçus, sans même tenter ce mouvement, que je sais pourtant si naturel, de se frotter les fesses. Il a attendu que je l’autorise :
« Tu peux te relever, et tu vas au coin, dix minutes, les mains sur la tête, c’est le tarif »
Les jambes entravées par le pantalon, il s’est dirigé vers le coin que je lui désignai du doigt. Je n’ai pas eu à lui répéter l’injonction pour qu’il place ses mains, doigts entrecroisés sur sa tête. J’ai été presque étonnée de constater la couleur rouge brique qu’avaient prise ses fesses. Et, une fois les dix minutes écoulées, je lui ai annoncé :
« et avant demain soir j’attends tes cent lignes : ‘je ne dois pas dire de gros mots’ »
Le lendemain midi, la punition était déposée sur la table de la cuisine. La règle était établie, elle n’a plus varié.
Les autres règles ont été mises en place de la même manière. Le désordre dans ses affaires, les négligences de toutes natures, les excès de boisson … à chaque comportement qu’il sait fautif, correspond désormais une punition qu’il connaît et accepte sans avoir même l’idée de discuter. </div><h4 style="text-align: left;"> Progrès</h4><div> Si son langage est devenu plus châtié au fil du temps, il lui arrive encore de ne pas retenir un mot grossier, et il en paye immédiatement les conséquences. Quand, en plus, nous ne sommes pas seuls il me suffit d’un regard pour qu’il prenne conscience de sa faute, et il sait que,si la fessée n’est pas immédiate, elle sera doublée, de même que les lignes et le séjour au coin. Mais si le tarif des fautes qu’on pourrait qualifier de « courantes » ne varie pas, il m’arrive de devoir sévir de manière inopinée et particulière. Ainsi, récemment, il lui est arrivé d’omettre de me prévenir alors qu’il devait rentrer tard à cause d’une réunion entre copains, et je me suis inquiétée. Il n’a pas été étonné quand je lui ai annoncé, à son arrivée :
« Il est vingt-trois heures, donc trois heures de retard, trente fois le martinet ... »
Les trente minutes au coin ne l’ont pas non plus déstabilisé, il connaissait le tarif, pas plus que les trois fois cent lignes ‘je dois rentrer à l’heure dite’ . Mais il a quand même semblé déconcerté quand, à l’issue des trente minutes au coin j’ai annoncé :
« Et pour mon inquiétude et n’avoir pas prévenu de ton retard, eh bien on recommence ! »
Et malgré ses cris d’orfraie – bien compréhensibles – et ses trépignements frénétiques, il a pris une nouvelle série de trente coups de martinet sur un derrière déjà zébré de la première. En revanche, une fois la punition reçue, et un nouveau passage au coin le postérieur cramoisi, je ne lui ai plus fait le moindre reproche pour son retard. Une nouvelle règle avait été ajoutée au « tarif ». Voilà tout … </div><h4 style="text-align: left;">« Rubis sur l’ongle »</h4><div> Au final, même s’il est rare que plus d’une quinzaine de jours se passent sans que la fessée ne tombe, il me semble que notre couple connaît une quiétude que beaucoup nous envieraient. Une fois les règles établies et admises, il appartient à mon mari de choisir, soit de les respecter à la lettre, soit de les enfreindre en connaissant à l’avance les conséquences. Il fait parfois ce choix, et je le respecte. En ce sens, il n’est en rien un homme « soumis ». Il reste bel et bien un homme libre, qui assume crânement la responsabilité de ses actes. Certes, on peut me trouver intransigeante. Mais, à mes yeux, le punir selon nos règles, c’est aussi une forme de respect à son égard. Du reste, c’est bien ainsi qu’il le conçoit lui aussi. Quand il lui arrive, c’est la cause la plus fréquente de ses punitions, de boire plus que de raison lors de virées avec ses « copains », il sait que cela lui vaudra une raclée sévère le lendemain. Cela n’enlève rien au plaisir qu’il prend à ces sorties, peut-être même au contraire. Bien des hommes cherchent des excuses oiseuses, voire mentent à leurs épouses en inventant je ne sais quels prétextes. Mon mari, lui, a à cœur de ne jamais s’abaisser à de tels stratagèmes. Il admet qu’une soirée arrosée et tardive aura un coût. Il paye « rubis sur l’ongle » ou plutôt « martinet sur fesses ». Et cela nous convient parfaitement.</div><h2 style="text-align: left;"> Chapitre 5
Échanges entre épouses</h2><h3 style="text-align: left;"> Conversations</h3><div> La conclusion de la longue « confession » de Marie-Caroline avait excité plus encore la curiosité de l’épouse du petit mari. Sans s’expliquer pourquoi, elle imaginait l’auteure comme une caricature de la « bourgeoise-catho-bon chic-bon genre » et le terme de « confession » lui était venu naturellement à l’esprit. Elle avait même pouffé de rire en l’imaginant avouer, dans le secret d’un confessionnal, ce qui risquait bien d’apparaître, au yeux d’un curé, comme une forme de perversion. Après s’être créé un compte sur le site où elle avait découvert ce témoignage, en utilisant le pseudo de « Épouse », elle était parvenue à envoyer un message à cette « MarieCa » :</div><div> De Épouse à MarieCar
Bonjour.. En lisant votre témoignage, je constate avec plaisir,
et je dois dire un certain soulagement, que nous avons un peu la même conception de la vie conjugale.
Pourrions-nous échanger à ce sujet ?
Merci d’avance
Comme sa correspondante avait répondu, il s’en était suivi de longs échanges : </div><div>De MarieCa à Épouse
Bonjour à vous. Pourquoi pas ?
Je crois comprendre que, vous aussi, êtes adepte d’une certaine …
fermeté vis à vis de votre mari ? </div><div>De Épouse à MarieCar
On peut le dire comme cela, en effet.
Mon petit mari a vraiment besoin parfois que je sévisse …</div><div> De MarieCa à Épouse
Le terme de « besoin » me paraît tout à fait justifié.
Prendre de temps à autre une bonne déculottée
est en effet aussi un besoin pour mon mari.
Et une bonne épouse ne doit-elle pas tout faire
pour son mari (lol)</div><div> De Épouse à MarieCar
Je vois que nous nous comprenons !
Mon mari lui aussi a besoin d’une bonne fessée pour bien respecter les règles de la maison.
Ça lui est d’ailleurs arrivé pas plus tard que ce matin …
De MarieCa à Épouse
Oh … quelle coïncidence ! (lol)
Au mien aussi !</div><div> De Épouse à MarieCar
C’est amusant de penser qu’ils sont peut-être pris leur fessée au même moment …
Qu’avait-il fait pour mériter une fessée aussi matinale ?
Le mien avait ronflé comme un sonneur toute la nuit …
donc au réveil ce sont les claques qui ont résonné ! </div><div>De MarieCa à Épouse
Oui, c’est amusant ! Nous pourrions nous coordonner …
Fessées en duo, en stéréo !
Pour le mien ...ben … c’était tout simplement sa fessée du jour…</div><div> De Épouse à MarieCar
Ah oui … vous le fessez sans véritable motif ? </div><div>De MarieCa à Épouse
Oui, tout à fait !
J’ai très vite constaté que, quand il avait passé deux ou trois jours sans raclée,
il était de mauvaise humeur.
Ce qui lui en valait une carabinée bien sûr.
Alors , j’ai pris l’habitude d’une fessée en quelque sorte préventive …</div><div> De Épouse à MarieCar
Chaque jour ? </div><div>De MarieCa à Épouse
Ben oui !
C’est vraiment nécessaire pour lui !
Mais ça n’empêche pas les punitions motivées .
Hier soir il en a pris une parce qu’il avait laissé la salle de bain
dans un état épouvantable.
Il a donc pris sa volée ...dans la salle de bain …
Après une douche, la fessée, même juste à la main,
sur un derrière mouillé ça pique comme il dit ! </div><div> De Épouse à MarieCar
Ah...c’est une expérience que nous n’avons jamais tentée,
Mais je ne manquerai pas de tester ...
Il est allé au coin après ? </div><div> De MarieCa à Épouse
Pas tout de suite, parce que j’avais faim …
Mais après la fessée il a mis son pyjama. .
Comme ça, je n’ai eu qu’à baisser le bas pour le mettre au coin
après le repas ...et avant une fessée au moment du coucher. </div><div>De Épouse à MarieCar
Deux hier soir, et une ce matin au réveil !
Il doit avoir les fesses dans un drôle d’état ! </div><div>De MarieCa à Épouse
Oh, vous savez, même après deux raclées hier soir,
ses fesses étaient à peine encore rosées ce matin. . Et puis,
avec le temps, il est devenu endurant ! Lol </div><h4 style="text-align: left;"> A l’heure dite </h4><div>Ce premier échange fut suivi de beaucoup d’autres entre les deux femmes. L’épouse du petit mari prit ainsi l’habitude d’informer Marie-Caroline quand elle avait décidé de punir son petit mari. Elle adressait alors un message indiquant l’heure de la séance et ce qu’elle appelait drôlement « le menu ». Et, joueuse, Marie-Caroline avait décidé d’appliquer la même fessée, à la même heure, à son homme. Sans que cela ne le dispense de sa fessée quotidienne, quand le petit mari y échappait. Ce qui lui arrivait de moins en moins souvent, l’épouse étant devenue de plus en plus exigeante, et donc de plus en plus sévère. Ainsi le petit mari se vit-il punir pour des motifs souvent futiles. A tel point qu’il lui arriva un soir de protester, en contestant la décision de l’épouse. Celle-ci ne céda pas à ce qu’elle considéra comme un caprice doublé d’une insolence, ce qui valut au coupable de goûter successivement à la main de son épouse, puis au martinet, à la brosse à cheveux – qui était entrée dans la pratique de son épouse sur les conseils avisés de Marie-Caroline – et pour terminer en beauté à la règle en bois. La séance fut, bien entendu, suivie du traditionnel séjour au coin, et l’épouse envoya, depuis son téléphone, la photo des fesses tuméfiées et cramoisies à son amie. Qui, pour ne pas être en reste, s’efforça, avec succès, de mettre le derrière de son mari dans le même état avant d’en envoyer la preuve à l’épouse. L’habitude se prit ainsi, entre les deux femmes, de partager les images des postérieurs de leurs maris après les séances. </div><h4 style="text-align: left;"> Comparaisons </h4><div>L’épouse découvrit donc … les fesses de l’époux de celle qui devenait sinon son amie en tout cas sa compagne de jeu. Elle put ainsi constater qu’il arborait en effet un derrière pour le moins plantureux. De grosses fesses rondes, joufflues, bien différentes du postérieur de son petit mari, et qui justifiaient pleinement la réticence de Marie-Caroline à adopter la traditionnelle position sur les genoux pour les fesser. Elle s’étonna aussi de voir comment elles viraient au rouge vif en quelques minutes, alors qu’il lui fallait claquer longuement celles de son petit mari avant d’obtenir une aussi belle coloration. En revanche, la couleur pourpre s’estompait beaucoup plus vite pour le mari de Marie-Caroline que pour le sien. Elle ressentait une certaine forme de fierté à exhiber en retour le derrière musculeux de son homme, qui conservait sa belle couleur cramoisie alors qu’il était au coin parfois plus de vingt ou trente minutes après la fessée. Considérant qu’elle devait la pareille à son amie, elle lui envoya, elle aussi, une photo de ce derrière rouge brique. Du reste, Marie-Caroline, bonne joueuse, ne manqua pas de la féliciter pour la qualité du fessier de son mari. Tout en faisant remarquer ironiquement que, chez elle « il y avait plus de place ». Elle veillait d’ailleurs à rougir bien uniformément toute la large surface offerte à sa main ou aux instruments qu’elle choisissait. Insensiblement, les deux femmes en vinrent à entrer dans une sorte de compétition, à celle qui obtiendrait le derrière le plus coloré. Chez l’une comme chez l’autre, les fessées devinrent donc de plus en plus appuyées, sans que, dans un premier temps au moins, leurs maris ne puissent comprendre ce surcroît soudain de sévérité. </div><h4 style="text-align: left;"> « Souriez, vous êtes filmé ! »</h4><div> Mais, comme on le sait, l’appétit vient en mangeant. Les deux femmes avaient mis un doigt dans un engrenage, ils les emporta peut-être plus vite et plus loin qu’elles ne l’avaient prévu. Des photos « d’après », Marie-Caroline fut la première à prendre l’initiative de passer à des vidéos « pendant ». Un jour, au lieu de la traditionnelle photo du derrière rouge, elle envoya une vidéo de son mari au moment où elle lui flagellait allégrement le postérieur avec un martinet qu’elle avait, précisa-t-elle, « acheté exprès pour cette occasion . » Il s’en suivit un nouvel échange de messages : </div><div> De Épouse à MarieCar
Bonsoir. J’ai … bien reçu... </div><div>De MarieCa à Épouse
Et tu en penses quoi ?</div><div> De Épouse à MarieCar
Ben … que tu n’y vas pas de main morte !
Il a l’air de drôlement dérouiller !
Les marques des lanières sur ses fesses et ses cuisses ...impressionnantes !</div><div> De MarieCa à Épouse
Oh, tu sais, il lui est arrivé d’en prendre de plus carabinées.
En plus, se sachant filmé, je pensais qu’il aurait à cœur de supporter
sans broncher, et ça été le contraire !
D’habitude il ,ne crie pas comme un goret, et il gigote moins.
Son attitude
de cabot m’a d’ailleurs incitée à ...insister !</div><div> En effet, son mari avait subi cette fessée filmée avec moins de stoïcisme que d’habitude, alors qu’elle n’était pas – en tout cas aux yeux de son épouse – particulièrement sévère. Sous les volées des lanières du martinet tout neuf que son épouse inaugurait, il s’était mis à piétiner sur place, puis à sautiller en poussant des cris perçants. Jugeant cette attitude excessive, Marie-Caroline lui avait intimé l’ordre de « se tenir tranquille » et d’arrêter ce qu’elle qualifiait de « simagrées ». Et comme il continuait à s’agiter, elle avait interrompu la fessée, et la vidéo, pour l’envoyer « reprendre ses esprits » au coin. Puis elle n l’avait « invité » à se remettre en place. Mais cette fois, au lieu d’être penché par dessus le dossier du fauteuil comme d’habitude, elle exigea qu’il mette ses mains sur ses genoux et qu’il écarte les jambes. La valse du martinet avait alors repris, cinglant aussi bien le derrière que les cuisses et même les mollets. Impitoyable, Marie-Caroline avait même lancé plusieurs fois les lanières de bas en haut en visant la large raie fessière. Elles avaient alors atteint la partie la plus intime, mais aussi la plus sensible de l’anatomie de son mari, l’amenant, malgré des efforts, à pousser des hauts cris d’orfraie.
En lisant le dernier message de son amie, l’épouse s’était enquise : </div><div> De Épouse à MarieCar
Quoi ? Il savait … ? </div><div>De MarieCa à Épouse
Il savait quoi ?</div><div> De Épouse à MarieCar
Il savait que tu filmais et que tu allais me l’ m’envoyer ? </div><div> De MarieCa à Épouse
Bien sûr qu’il savait !,
Ça n’aurait pas été honnête de le prendre par surprise !</div><div><br /></div><h2 style="text-align: left;"> Chapitre 6
Communauté </h2><h3 style="text-align: left;">Consentant </h3><div> En effet, Marie-Caroline avait joué franc-jeu. Au moment de la fessée du soir, elle avait installé son téléphone sur un trépied et annoncé :
« Ce soir, je garde un petit souvenir »
Et comme il semblait ne pas comprendre – ou ne pas vouloir comprendre – elle avait expliqué, presque sur le ton de la plaisanterie :
« Tu es si mignon quand tu prends ta fessée … »
Il leur était déjà arrivé, auparavant et déjà sur la proposition de Marie-Caroline, de faire des « sextapes » dont la vision ultérieure en commun avait boosté leur libido. Mais jamais ils n’avaient filmé une fessée, et surtout jamais ils n’avaient partagé ces images de leur intimité avec qui que ce soit. Marie-Caroline n’avait d’ailleurs pas précisé tout de suite à son mari qu’elle avait l’intention de le faire, se contentant de poursuivre :
« Tu n’auras même pas besoin de sourire ...ce n’est pas ton joli minois qui sera la vedette ! »
Soit qu’il ait été convaincu, soit qu’il ait jugé ne pas être en situation de contrarier son épouse en la circonstance, il avait accepté ce qui lui semblait alors une lubie assez innocente. Mais alors qu’ il était au coin, les fesses bien rouges, il avait entendu son épouse qui regardait la vidéo s’écrier :
« Hum … mais c’est un joli film ! Tu sais, je suis très fière d’avoir un mari aussi obéissant. Et dont les fesses réagissent aussi bien à la fessée »
Et comme il ne répondait pas – qu’aurait-il pu d’ailleurs répondre à ce qui n’était pas une question ? – elle l’invita, d’une voix devenue subitement câline, à « venir voir » avec elle. Quand il se retourna pour la rejoindre, elle remarqua la vigueur de son érection. Et alors qu’elle repassait le petit film elle murmura d’un ton mutin :
« Mais tu aimes t’exhiber, gros cochon … ça te fait bander de te montrer hein ? »
Tout en caressant du bout des doigt le sexe tendu, elle ajouta :
« Et regarde… tu gigotes tellement qu’on voit même ... »
Elle n’avait pas eu besoin de finir sa phrase. Son mari constatait bien que la vidéo montrait son postérieur rebondi et ses larges cuisses se colorer et se zébrer de marques des lanières. Et, contraint d’écarter largement les jambes, il laissait apparaître furtivement le plus secret de lui-même.
Cette constatation, la remarque un peu salace de son épouse, et le jeu des doigts sur sa queue ne firent que faire durcir un peu plus celle-ci. La honte de s’exhiber aussi impudiquement se mêlant au plaisir procuré par la caresse. Il n’avait ainsi plus les idées tout à fait claires quand, son épouse accentuait le mouvement, autrement dit le branlait avec vigueur, elle susurra :
« Puisque tu aimes tant montrer ton cul et même ton petit trou …on va en faire profiter les autres... »
Cette fois, il eut un vrai haut-le-cœur. Il tenta bien de protester :
« Mais … tu ne vas quand même pas ...enfin ... »
Elle étouffa ses récriminations en l’embrassant à pleine bouche, puis en se laissant tomber à genoux pour redonner force et vigueur à la queue en la suçant goulûment. Son mari ne fit rien pour échapper à cette délicieuse succion. Bien au contraire, il enfonça plus profondément son dard, en donnant de vigoureux coups de reins. Il ne tarda pas à exploser, inondant la bouche de son épouse, qui avala sans rechigner avant d’annoncer : « Comme ça ma copine verra qu’elle n’est pas la seule à fesser son petit mari »
Elle lui confirma alors son intention, en lui montrant les photos des fesses meurtries du petit mari. Quoi qu’il ait pu en penser, il était trop tard pour le sien de protester. Et il savait bien qu’elle avait fait en sorte qu’en effet il ne soit pas reconnaissable. Comme elle l’avait indiqué à l’épouse, son mari était bien consentant …
Et quand l’épouse s’en étonna, elle répondit d’une pirouette : </div><div>De MarieCa à Épouse
Était -il en situation de s’opposer à son épouse ? Lol !</div><div> De Épouse à MarieCar
Certes …
Je trouve que c’est ...courageux de sa part,
et de la tienne. Ça a dû être … troublant non ? </div><div>De MarieCa à Épouse
On peut le dire comme ça, en effet …
Pour lui...et pour moi ! </div><div>De Épouse à MarieCar
...et pour moi aussi tu sais. </div><h3 style="text-align: left;">Troubles </h3><div>Elles ne s’épanchèrent pas plus avant sur leurs sentiments, pour l’une d’avoir ainsi exhibé l’intimité de son couple et pour l’autre d’avoir joué les voyeuses. Et d’en avoir été excitées l’une comme l’autre. Ce n’est qu’au cours des conversations suivantes, et par petites touches, d’abord allusives puis de plus en plus crues, qu’elles s’avouèrent, peut-être d’abord à elles-mêmes, leur « trouble ». Jusqu’à ce que l’épouse ose : </div><div>De Épouse à MarieCar
Tu sais … je dois t’avouer
quelque chose …mais c’est … un peu gênant...</div><div> De MarieCa à Epouse
Ah … il me semble que maintenant…
nous n’avons plus grand chose à nous cacher.
Tu ne penses pas ? </div><div>De Épouse à MarieCar
C’est vrai. J’en suis un peu honteuse,
mais en voyant ces images …
enfin, tu me comprends … </div><div>Bien sûr que sa correspondante avait compris à demi-mot. Mais, joueuse encore une fois, elle fit l’âne pour avoir du foin : </div><div>De MarieCa à Épouse
Ben … non. Je devrais comprendre quoi ? </div><div>Cette fois, l’épouse renonça à finasser. Et elle lâche tout à trac :</div><div> De Épouse à MarieCa
Que j’ai mouillé ma culotte !
Voilà ! </div><div>De MarieCa à Épouse
Eh bien, il n’y a pas de quoi en fouetter un chat !
Ni un mari, lol.
Tu as mouillé ton slip, c’est donc que tu en avais un, voilà tout ! </div><div>De Épouse à MarieCa
Tu ne m’en veux pas ?</div><div> De MarieCa à Épouse
T’en vouloir ? Mais de quoi, grands dieux ? </div><div>De Épouse à MarieCa
D’avoir été … excitée par la vision du cul de ton homme !
Tu ne trouves pas cela pervers ? </div><div> De MarieCa à Épouse
Ah si ! Je trouve cela pervers …
Délicieusement pervers !
Aussi pervers que d’avoir moi aussi mouillé
à l’idée de t’avoir fait partager ces images !
(mais moi je n’avais pas de culotte...)
Eh oui, ma chère, te faire voir le cul de mon mec
pendant sa fessée m’a presque fait jouir.
Alors à perverse, perverse et demie! </div><h3 style="text-align: left;"> Aveux </h3><div>La franchise débonnaire de Marie-Caroline rassura pleinement l’épouse qui, dès lors, se sentit autorisée à être aussi directe. Les deux femmes constataient donc que la pratique régulière de la fessée sur leurs maris respectifs leur procurait des bouffées de sensualité. L’une reconnaissait sans fard que dès que son mari baissait sa culotte, elle sentait ses seins pointer, se durcir, et sa foufoune se contracter. L’autre admettait qu’il en était de même pour elle, et qu’il lui arrivait d’être proche de l’orgasme quand elle fessait son homme. Toutes deux avaient aussi remarqué que la virilité de leurs époux était bel et bien accrue par ces séances, aussi douloureuses soient-elles pour leurs postérieurs.
Pour rassurer son amie, Marie-Caroline précisait que dans ce qu’elle qualifiait de « la vraie vie » elle était plutôt d’un naturel jaloux. « Si je vois une nana regarder mon mec avec un peu trop d’instance, je suis prête à lui arracher les yeux » Elle convenait même qu’il lui était arrivé de flanquer des raclées carabinées à son mari au seul motif qu’elle avait eu le sentiment qu’il avait attiré l’attention d’une autre femme, quand bien même elle savait qu’il n’avait rien fait pour cela. Mais elle avouait aussi que l’idée qu’une autre femme – en l’occurrence sa correspondante – puisse voir son mari prendre sa raclée, l’avait fortement émoustillée. L’épouse la comprenait d’autant mieux qu’emportée par la sorte de compétition dans laquelle étaient rentrées les deux femmes, elle décida de rendre la pareille à Marie-Caroline. </div><h2 style="text-align: left;"> Chapitre 7
Au tour du petit mari </h2><h3 style="text-align: left;"> Décision</h3><div> Marie-Caroline n’avait rien demandé à l’épouse du petit mari. Elle n’attendait rien en retour de son initiative. Et l’épouse ne se sentait en rien obligée d’agir comme sa nouvelle amie. Mais elle sut très vite qu’elle allait le faire. Pas pour « faire plaisir » à son amie. Mais parce qu’elle estimait non pas avoir « le droit » de l’imposer à son petit mari, mais bel et bien qu’il le méritait. Pas du tout comme on « mérite » une punition. Elle avait emmené son mari dans un chemin qu’elle avait choisi, et qu’il avait partagé, elle l’accompagnerait dans l’étape suivante. En assumant son rôle, ce qu’elle estimait être sa responsabilité. En conséquence, il lui apparaissait que lui demander son avis, son autorisation, serait une sorte de lâcheté. Elle filmerait son petit mari en train de prendre sa fessée. Elle partagerait la vidéo avec Marie-Caroline et son mari. Voilà tout. Il lui était arrivé, sans qu’elle sache vraiment elle-même si c’était ou non une plaisanterie, de menacer son mari de lui en « coller une devant tout le monde ». Le moment était venu de passer à l’acte. Elle annoncerait sa décision à son petit mari. Comme elle ne lui demanderait pas son avis, il n’aurait pas à accepter. Ils resteraient, l’un et l’autre dans leurs rôles,
Pourtant, partageant l’avis de Marie-Caroline, elle n’envisageait pas de lui cacher les choses. Il lui apparaissait nécessaire que son petit mari soit bien conscient de ce qui allait lui – et leur – arriver. Ainsi, elle ne précipita pas les choses. Elle ne voulait agir ni dans la précipitation, ni dans l’émotion. Elle se fit donc didactique.</div><h3 style="text-align: left;"> Annonce </h3><div>Un soir, alors que le petit mari avait déjà mis son pyjama et se préparait à prendre sa « fessée d’avant dodo » selon l’expression enfantine et un peu railleuse qu’employait volontiers son épouse, celle-ci l’invita à s’asseoir à côté d’elle et lui dit:
« Tu sais, mon chéri, tu n’es pas le seul homme à recevoir la fessée de sa femme »
Un peu interloqué par cette entrée en matière, il ne put que répondre évasivement :
« Ah … tu penses ...je ne sais pas ... »
Reprenant le ton de l’ironie et de la légèreté, l’épouse confirma :
« Eh oui, mon petit mari, tu n’es pas une exception. Il y a d’autres épouses tout aussi attentives à leurs maris »
Et pour prouver ses dires, elle fit découvrir à son mari la vidéo que lui avait envoyée Marie-Caroline. Il la visionna sans commentaire, ayant peut-être déjà deviné où voulait en venir son épouse. Et la suite de la conversation le conforta dans cette opinion :
« Il en prend une bonne, hein ? Et pourtant, il ne proteste pas... »
Diplomate, il se contenta de confirmer :
« En effet. Je suppose qu’il n’a pas eu le choix ... »
Elle le détrompa :
« Mais si ! Mais il a compris que c’était pour son bien. Une fessée devant tout le monde, ce doit être plus … marquant, non ? »
Qu’il en ait été convaincu ou non, il répondit évasivement :
« Ben … euh … oui...peut-être ... »
Son épouse poursuivit donc son avantage :
« Pour le savoir ...il faudrait ...tu ne crois pas ? »
Elle n’en dit pas plus, certaine qu’il avait très bien compris ses intentions . Mais comme il restait muet elle poursuivit, reprenant spontanément le ton qu’elle employait quand elle conviait son petit mari à se mettre en tenue de fessée :
« Il me semble t’avoir posé une question ...Faut-il que je t’en colle une tout de suite pour obtenir une réponse ? »
Ainsi, elle le remettait dans sa position de « vilain garnement » menacé d’une punition s’il ne s’exécutait pas. Il le comprit fort bien et convint :
« Oui … bien sûr …il faudrait ... »
Il n’était pas nécessaire d'expliciter les choses. Pour son épouse, sa réponse valait évidemment acquiescement. De plus, elle pouvait distinguer la bosse qui déformait le pantalon de pyjama de son mari. Elle lui fit remarquer ironiquement :
« Mais il me semble que cette vision ne te laisse pas indifférent, petit cochon ! Tu sais ce que mérite une telle réaction ? »
Il renonça à esquiver plus longtemps :
« Oui ...je sais ... »
et comprenant que son épouse attendait plus de lui, il admit clairement :
« La fessée ... »</div><div><br /></div><h3 style="text-align: left;"> Passage à l’acte</h3><div><br /></div><div> Afin de pouvoir préparer correctement la prise de vue, l’épouse envoya son petit mari au coin. Si cela lui donnait quelques minutes de répit avant l’action, cela lui donnait aussi le temps de prendre vraiment conscience de ce qui allait se passer. Il allait prendre une fessée – cela, il y était habitué – mais des inconnus pour lui allaient assister à cette fessée, fusse de manière différée. Cette perspective l’angoissait, le paniquait même. Et pourtant, plus l’échéance se rapprochait, plus il lui apparaissait que ce qui n’aurait pu être qu’une menace en l’air allait bel et bien se concrétiser, plus son érection gagnait en rigidité. Ce que ne manqua pas de constater l’épouse quand elle l’invita à la rejoindre. Et ce constat la conforta dans sa décision. Cependant, elle ne déclencha la caméra de son téléphone que quand elle eut ordonné :
« Tu te retournes et tu baisses ta culotte ! »
Elle tint à ce que la fessée qu’elle allait flanquer à son petit mari respecte les codes qu’ils avaient mis en place au fil du temps. Contrairement à son amie, la corpulence de son mari lui permettait d’adopter la position plus classique – et plus infantilisante aussi à ses yeux – de la fessée sur les genoux. Un simple geste du doigt lui suffit pour que son petit mari vienne s’installer comme il savait devoir le faire. Allongé au travers des cuisses de son épouse, les mains posées sur le lit, les jambes ne touchant par le sol. Elle régla l’application « vidéo » de son téléphone, vérifia que l’image était bien centrée, et quand le clignotement lui indiqua que la vidéo était en cours, elle se mit posément à claquer le derrière aussi obligeamment présenté. </div><h3 style="text-align: left;"> Résistance</h3><div> Comme à son habitude, elle commença par distribuer les claques alternativement sur une fesse puis sur l’autre, veillant à ce qu’elles soient appliquées sur toute la surface du postérieur. Elle ne put réprimer un sourire de satisfaction en constatant que celui-ci virait doucement au rose de plus en plus carmin. Mais elle remarqua aussi que son mari veillait à recevoir cette raclée sans moufter, sans s’agiter, sans gigoter, et surtout sans laisser échapper la moindre plainte malgré la multiplication des claques. Elle y vit une volonté de dignité, voire d’endurance, mais aussi une forme de résistance, qu’elle estima respectable. Mais qu’il lui fallait surmonter. Elle accentua donc le rythme des coups, et surtout laissa régulièrement la main s’égarer sur le haut des cuisses. Malgré les efforts du mari pour rester stoïque, il ne parvint pas à s’empêcher d’agiter les jambes quand la main frappait la peau plus sensible de l’intérieur des cuisses. Mais quand, peut-être inconsciemment, il se mit à plier les jambes, entravant ainsi les allers-retours de la main, elle interrompit un instant pour asséner :
« Tu sais que si tu continues, ça sera sanctionné ! »
Il se le tint pour dit, allongeant les jambes, et même croisant les mollets pour éviter qu’elles ne se relèvent machinalement. Mais il restait toujours silencieux, les mâchoires serrées, tout comme les fesses. Bien décidée à ne pas tolérer cette révolte, fusse-t-elle muette – et justement parce que muette – elle saisit alors la brosse à cheveux qu’elle avait préparée à portée de main. L’impact de la brosse sur un derrière déjà porté au vif eut raison de la résistance du petit mari. Alors que son derrière se marquait des plaques rouge violacé causées par la brosse, il laissa échapper d’abord des plaintes étouffées, puis des « aille !» et des « ouille ! » qui se mêlaient au bruit sec de l’instrument. En même temps, les fesses jusque là serrées et crispées se détendirent,
comme si, elles aussi, renonçaient à résister. Par ce relâchement involontaire, le petit mari laissait lui aussi apparaître furtivement ce « petit trou » que celui de Marie-Caroline avait révélé. Même si elle doutait qu’il soit visible sur le film, ce dévoilement involontaire apparut à l’épouse comme une petite victoire. Son petit mari prenait sa fessée, exprimait son ressenti, et renonçait à toute forme de refus, et même de pudeur. Elle l’avait amené là où elle voulait. Elle l’avait aidé à franchir une limite.
Quand enfin l’épouse estima que le postérieur de son mari avait atteint la couleur qu’elle souhaitait obtenir, elle l’autorisa à se relever. Pour, bien sûr, l’envoyer au coin, en ne manquant pas de filmer aussi sa déambulation vers celui-ci, avec même, pour finaliser sa vidéo, un gros plan fixe sur le derrière cramoisi.
Il ne lui restait plus qu’à envoyer la vidéo à Marie-Caroline, accompagnée d’un commentaire laconique : </div><div>De Épouse à MarieCa
Et voilà, à mon tour…
Merci de nous avoir permis d’’avancer.
Quelques minutes après Marie-Caroline accusait réception : </div><div> De MarieCa à Épouse
Mais c’est moi qui te remercie !
Si cela peut te rassurer
le visionnage a eu le même effet sur moi …</div><div> De Épouse à MarieCa
Tu veux dire que, toi aussi tu as … ?</div><div> De MarieCa à Épouse
Eh oui !
Il faut croire que c’est une réaction
bien naturelle …
Si je peux me permettre, j’ai la foufoune qui ruisselle !
A tel point que je ne vais pas pouvoir attendre
ce soir pour …</div><h3 style="text-align: left;"> Perspectives </h3><div> Elle n’avait pas besoin d’être plus explicite. Elle savait bien que son amie la comprendrait sans qu’il soit besoin d’en dire plus. L’échange en resta donc là, alors que Marie-Caroline se donnait du plaisir sans retenue. Mais, le lendemain, elle accompagna son message d’une « pièce jointe à l’intention de ton petit mari » : </div><div>« Cher Monsieur,
Mon épouse m’a permis de voir le joli film que la vôtre lui a adressé hier. Je vous en remercie, même si, comme vous vous en seriez douté, ce visionnage s’est accompagné, pour moi, d’une fessée tout aussi retentissante que celle que vous avez reçue. Mon épouse et moi-même nous réjouissons de constater que votre couple fonctionne avec les mêmes règles que le nôtre. Il est rassurant pour moi, je vous l’assure, de savoir que d’autres maris connaissent cette forme de relation de couple dont nous ne sommes pas des prosélytes, mais que nous sommes heureux de savoir partagée par d’autres. Nous espérons sincèrement que la cette vidéo ne sera pas une fin, mais bien un début. Et que nous aurons, très prochainement, l’occasion de poursuivre nos échanges « en présentiel » selon le terme maintenant consacré. Je gage que nos épouses ne manqueront pas de rendre cette perspective concrète quand elles en l’auront décidé.
Bien confraternellement si je puis dire.
Le mari de Marie-Caroline. »</div><div> Pour le petit mari, c’était l’annonce d’une nouvelle étape à franchir, et de nouvelles perspectives.</div><div><br /></div><div style="text-align: center;"> Fin</div><div style="text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: center;"> Table des matières </div><div>Le « petit mari » 3 </div><div> Chapitre premier </div><div>A la fessée ce soir 3
« Au coin » 3
En pyjama ! 3
En place ! 3
La première fois 4
« Mon petit mari » 5
Fessé cul nu ! 5
Au coin, mains sur la tête ! 6
Suite 6 </div><div>Chapitre 2 </div><div>Un mode de vie 7
Bis repetita 7
La même, et pourtant différente 7
Interdiction 8
Vespérales et matutinales 8
« Y penser toujours, n’en parler jamais » 9
Un besoin 9</div><div> Chapitre 3 </div><div>Partages d’expériences 11
Révélation 11
Marie-Claude et l’autorité matrimoniale 12
Répondre à un besoin 12
La fessée méritée ou demandée 12
Sans raison 13
De la diversité des fessées 13
La quotidienneté et les journées particulières 14 </div><div>Chapitre 4</div><div> Autres couples, même mœurs 17
Variété des pratiques 17
Marie-Caroline et le tarif 17
Tradition familiale 17
Le tarif 18
Progrès 19
« Rubis sur l’ongle » 20 </div><div>Chapitre 5 </div><div>Échanges entre épouses 22
Conversations 22
A l’heure dite 24
Comparaisons 24
« Souriez, vous êtes filmé ! » 25 </div><div>Chapitre 6
Communauté 28
Consentant 28
Troubles 29
Aveux 30 </div><div> Chapitre 7
Au tour du petit mari 32
Décision 32
Annonce 32
Passage à l’acte 33
Résistance 33
Perspectives 35</div>ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-33503525874946783232020-02-06T23:02:00.000-08:002020-02-06T23:02:03.224-08:00L'attente<!--[if gte mso 9]><xml>
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<br />
<div class="Heading2">
<b><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc108_106452997"><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Questions.</span></a></b></div>
<div class="Heading2">
<br /></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Dans la chambre vide, dont les rideaux
filtrent la lumière du jour, le silence est presque total. A peine Eugénie
perçoit-elle faiblement un bruissement de pas sur la moquette du couloir de
l’hôtel. Mais ce bruit, si étouffé soit-il, suffit à la faire tressaillir.
Pourtant, attentive, elle veille à ne pas changer de position. Elle est nue, à
genoux, les cuisses écartées, les mains sur la tête. Offerte, impudique et
vulnérable. Elle craint et espère à la fois que le pas qu’elle entend soit bien
le sien. Qu’il va entrer, qu’il va venir. Impatiente que cette attente
angoissante se termine, même si elle sait ce qu’elle subira quand il sera
entré. Elle imagine déjà son regard mi-sévère, mi-amusé. Elle anticipe
l’angoisse qui sera la sienne quand il passera derrière elle, disparaissant de
sa vue. Tous ses sens en éveil, elle s’efforcera de deviner, à l’oreille, de
quel instrument il se sera emparé. Choisira-t-il la cravache de cuir qu’elle a
dû elle-même lui apporter et laisser, bien en évidence, sur le lit ? Ou
bien percevra-t-elle le chuintement de la ceinture qu’il fera glisser dans les
passants de son pantalon, ou le bruit de ramage des lanières d’un martinet
qu’on agite, ou encore le sifflement aigu d’une fine baguette qui fend l’air ?
Elle sait que, malgré ses efforts, elle aura du mal à ne pas frissonner en
anticipant l’impact du premier coup. Inconsciemment, elle serrera les fesses,
tout en sachant que la morsure de la badine ou des lanières n’en sera pas moins
douloureuse pour autant. Mais elle sait qu’il peut aussi délaisser
momentanément son derrière pour commencer par titiller ses flancs, ses épaules,
ses seins ou même la plante de ses pieds. A cette pensée, ses pieds se crispent
au souvenir de l’éclair de douleur qui avait vrillé son corps quand la cravache
était venue frapper cet endroit si sensible lors de leur dernière rencontre.
Une sorte de courant électrique avait traversé son corps, remontant par ses
cuisses, jusqu’à son sexe qui avait palpité et les pointes de ses seins .Et
celles-ci durcissent, réagissant à la crainte de la souffrance comme à
l’attente du plaisir, par le redressement insolent des tétons que mordront
aussi les pinces qu’il y accrochera.</span></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Heading2">
<b><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc110_106452997"><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">L’angoisse</span></a></b></div>
<div class="Heading2">
<br /></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Les pas se rapprochent. Un instant de
silence encore plus pesant. Le bruit de la serrure, la porte qui s’ouvre, sa
silhouette qui se détache un instant dans l’encadrement. Mais aussi, mais
surtout, derrière lui, dans le couloir, les bras encombrés de linge, une
employée de l’hôtel qui vaque à son travail. Un regard bref, si bref qu’elle ne
sait s’il a vraiment existé, ou si elle l’a seulement craint. A-t-elle été vue
par cette inconnue dans cette position de soumission ? La femme de chambre
a-t-elle pu apercevoir cette femme nue, tellement impudique, exhibée,
indécente ? Peut-elle comprendre pourquoi cette cliente est ainsi
agenouillée, la foufoune glabre exposée ?</span></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">La porte s’est déjà refermée, Eugénie ne
saura jamais si elle a été découverte. Si la jeune femme de chambre sait
maintenant que la cliente de la chambre 132 est exposée, à poil,
agenouillée, les cuisses écartées, la chatte offerte. Si elle a compris
que le client qui, tout à l’heure, s’est présenté à l’accueil avec cette belle
femme, comme un couple illégitime qui vient prendre du bon temps en journée à
l’hôtel, va maintenant la frapper, la flageller, la faire souffrir. Comment
pourrait-elle comprendre que cette femme accepte, plus même, attend, qu’il la
traite ainsi ? Qu’il la maltraite, qu’il la fesse, qu’il zèbre ses fesses
de coups de martinet, qu’il lui rougisse le cul en la fessant à la volée, qu’il
lui impose des pinces sur les tétons et sur le sexe ? Comment
pourrait-elle comprendre comment une femme en vient là, alors qu’Eugénie,
elle-même serait bien incapable de l’expliquer.</span></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Heading2">
<b><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc112_106452997"><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Comprendre</span></a></b></div>
<div class="Heading2">
<br /></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Comment, en effet, en est-elle venue
là ? A attendre, presque avec impatience, que cet homme vienne la
maltraiter, la fesser, la fouetter, la faire souffrir jusqu’à ce que les larmes
lui perlent aux coins des yeux ? Alors qu’elle l’attendait, veillant à respecter
strictement les consignes qu’il lui a imposées : être nue, en position de
soumission, les étapes de son parcours lui étaient revenues confusément.</span></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Heading3">
<i><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc114_106452997">Virtuel</a></i></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">La rencontre virtuelle tout d’abord. Ces
échanges de messages sur un site coquin. Pourquoi avait-elle engagé et
poursuivit le dialogue avec cet homme au pseudo quelconque, alors qu’elle
envoyait bouler tant d’autres correspondants ? Peut-être parce que,
à la différence d’autres, il n’a pas commencé par lui poser tout de go les
questions récurrentes du genre « t’es à poil ? » ou « t’as
de gros seins ? » Elle ne se souvient que confusément de leurs
premières conversations. Comment était-il arrivé à ce qu’elle en révèle autant
sur elle, sur son intimité ? Peut-être, paradoxalement, parce que, justement,
il ne lui avait pas demandé. Et pourtant, elle s’était dévoilée. Exposant, en
termes non équivoques, ce qu’elle n’avait jamais divulgué à qui que se soit.
Ses fantasmes, ses rêves éveillés, ces idées inavouables. Son trouble quand
elle découvrait, au hasard de ses pérégrinations sur Internet ou de ses
lectures, les mots tabous : « punie », « raclée »,
« soumission » et surtout, surtout, "fessée ».</span></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Heading3">
<i><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc116_106452997">Le mot et la chose</a></i></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Ce mot la troublait depuis si longtemps,
depuis son enfance peut-être. Pourtant elle n’avait jamais été fessée durant
l’enfance, et l’idée même de traiter ainsi un enfant lui fait horreur. Tout
comme elle était prête, elle la jeune femme des années du féminisme
revendicatif, à se mobiliser contre toute violence faite aux femmes. Mais, dès
son adolescence, elle avait lu, en cachette, de ces récits de punitions
conjugales, de femmes fessées, d’épouses punies, de maîtresses soumises, qui
pullulent dans les revues coquines. Et ces lectures avaient accompagné ses
pratiques sensuelles solitaires. Etait-ce elle qui l’avait avoué en premier, ou
bien lui qui l’avait interrogée à ce sujet ? Elle ne saurait le dire. Elle
n’en avait jamais parlé, même à ses partenaires ou à ses meilleures amies. Avec
elles, il lui était arrivé de se confier sur ses flirts, puis sur ses
rencontres amoureuses. Elle n’était certes pas prolixe en la matière, mais
assez libérée pour ne pas se formaliser quand une de ses amies lui révélait
telle ou telle découverte en matière de sexe, et pour ne pas hésiter à faire
partager, fusse à demi-mots, les siennes. Mais, peut-être curieusement, autant
il lui était finalement presque facile de convenir qu’elle pratiquait sans
réticence la fellation –« jusqu’au bout » avait-elle précisé à une
copine qui lui expliquait qu’elle ne parvenait pas à faire ce cadeau à son
amant - ou la sodomie ; autant partager ses fantasmes lui
apparaissait impossible. <br />
Pourtant, avec lui, elle s’était presque spontanément révélée, sans
qu’elle puisse vraiment dire pourquoi. Comme elle a du mal à se souvenir
comment il l’a amenée à passer des aveux, des confidences, à l’obéissance à
distance. A se plier à ses ordres relatifs à ses tenues vestimentaires, à lui
envoyer des photos de plus en plus intimes. Ses seins, ses fesses, son sexe.
Puis des vidéos de ses séances de caresses et de masturbation. Mais aussi à ne
se faire jouir seule qu’avec son autorisation, elle qui se livrait à ces
activités sensuelles quand son homme s’absentait. Et même à lui demander
l’autorisation, à implorer qu’il le lui permette. Ou, au contraire, à se faire
jouir à l’heure qu’il lui imposerait</span></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Heading3">
<i><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc118_106452997"><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Punitions</span></a></i><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";"></span></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Alors, comment avait-il réussi à la prendre
en faute ? Quels avaient été les premiers motifs de ses punitions ?
Là aussi, les souvenirs d’Eugénie étaient confus. Avoir trop fumé, ou trop bu.
S’être refusée à son mari. Ou peut-être, mais elle n’en est même pas sûre,
n’avoir pas obéi<u> </u>correctement aux injonctions de Monsieur. Pourtant elle
s’était bel et bien pliée à ces punitions. Des lignes à écrire, punition
infantile, régressive. Il ne lui avait même pas demandé de lui envoyer la photo
de ces lignes, comme si il savait qu’elle ne mentirait pas, qu’elle ne jouerait
pas. Elle s’était imposé de calligraphier, de sa plus belle écriture, ces
phrases humiliantes. « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Je dois obéir
à Monsieur sans<u> </u>discuter ni récriminer » ; « Je suis la
chose de Monsieur, et je le remercie de me punir quand je le
mérite » ; «Je ne dois jouir que quand Monsieur m’y
autorise » ; « Je vous prie de m’autoriser à me faire jouir,
Monsieur » …</i> De la même manière, elle était restée « au
coin », nue, les mains sur la tête, quand il lui en donnait l’ordre.
Malgré l’inconfort de la position, la douleur aux genoux, les tensions dans le
dos selon qu’il ait ordonné qu’elle soit debout ou à genoux, le nez au mur.
Là, elle avait dû lui envoyer les photos … Comme celles de ses seins ornés de
pinces à linge. Avec de courtes vidéos commentées : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Cinq minutes, merci Monsieur » ; « Dix minutes,
merci Monsieur » … jusqu’à « Trente minutes, merci Monsieur » </i>jusqu’à
celle de l’enlèvement des pinces, avec l’explosion de douleur qui la faisait
geindre, avant de haleter de plaisir quand il l’autorisait à se faire jouir.
Ces moments où se mêlaient une vraie humiliation, et de vrais frissons de
plaisir. Etre ainsi nue, à genoux, cuisses largement écartées, impudique,
obscène, les seins insolents aux pointes dardées, dans cette
« position de soumise » qu’il lui avait apprise, honteuse d’ainsi
s’avilir, et pourtant son intimité ruisselante. Elle lui avouait, encore
une fois honteuse, et en même temps presque fière. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Oui, Monsieur, quand je suis en position de soumise, je
mouille » ; « Ma chatte est toute moite, Monsieur » ;
« Quand j’ai les pinces aux seins j’ai mal, Monsieur, mais je mouille
comme une salope, ma foufoune ruisselle, même mon petit trou palpite,
Monsieur ». </i>Au fil des semaines, ces moments de punitions, elle
les attendait, les espérait, tout autant qu’elle les redoutait.</span></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Heading2">
<b><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc120_106452997"><span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Épreuves.</span></a></b></div>
<div class="Heading2">
<br /></div>
<div class="Heading3">
<i><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc122_106452997">A table</a></i></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Comme elle avait redouté, mais aussi
attendu et espéré le moment de cette première rencontre avec ce
« Monsieur » dont elle ne connaissait que la voix – encore leurs
échanges téléphoniques avaient-ils été limités -, et les volontés, ou plutôt
les ordres. Elle avait consciencieusement suivi les consignes reçues. La
tenue vestimentaire, jupe, bien sûr, et chemisier dont elle devait laisser
trois boutons ouverts. Soutien gorge pigeonnant, bas avec porte-jarretelles,
mais, exceptionnellement, culotte obligatoire. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Il faut que tu en portes une, pour pouvoir l’enlever »</i>avait-il
précisé.<br />
En soi, l’injonction ne l’avait pas troublée outre mesure. Se passer de
slip n’était plus pour elle une vraie épreuve. Elle avait déjà vécue, sur ordre
de Monsieur, des « journées cul nu ». Et, quelles qu’aient été ses
craintes la première fois, avec ce sentiment que « tout le monde allait le
voir », elle avait ressenti une sorte de fierté à relever ce défi.
Monsieur lui avait aussi révélé qu’il lui était arrivé de demander – et elle
savait que pour lui cela signifiait exiger – à sa compagne d’aller
retirer sa culotte aux toilettes pour la lui ramener à table. Elle se sentait
prête à une telle épreuve. Pourtant elle fut pour le moins déstabilisée quand,
alors qu’ils dînaient au restaurant de l’hôtel dans lequel ils s’étaient
retrouvés, il lui dit tout à trac : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">«Maintenant
tu la retires, et tu la poses sur la table » </i>D’abord, elle avait
incliné la tête en signe d’acceptation, puis elle avait esquissé un mouvement
pour se lever. Mais un simple claquement de langue avait suffi pour qu’il le
lui interdise. Et il avait précisé : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Là, tout de suite » </i>Elle avait tressailli, mais son
regard, à la fois ironique et impénétrable lui avait fait comprendre que
l’ordre n’était pas négociable. Certes, la nappe était assez longue pour cacher
leurs jambes, mais les tables voisines étaient si proches qu’ils entendaient
les conversations de leurs occupants. Il n’avait pourtant pas baissé la voix
pour ajouter : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Retire ta
culotte tout de suite, à moins que tu veuilles ta fessée tout de suite, là
devant tout le monde » </i>Les autres dîneurs avaient-ils pu
entendre ? Elle n’osa pas les regarder. Elle resta les yeux rivés sur la
table, souleva légèrement les fesses de son siège, se baissa pour passer les
mains sous sa jupe, et saisit son slip entre pouce et index. D’un geste
brusque, comme on se jette à l’eau, elle fit glisser le sous-vêtement
jusqu’à ses chevilles. Elle se redressa un instant, planta son regard dans
celui de Monsieur, comme pour le défier, puis se baissa à nouveau.
Avait-elle tremblé, ou bien son mouvement avait-il été trop rapide ? En
tous cas, le slip resta un instant accroché aux souliers, et elle dut s’y
reprendre à deux fois pour lui faire passer l’obstacle. Elle y parvint
cependant, et posa la main serrée sur le morceau de tissu sur la table.
Monsieur tendit la sienne, et, vaincue, elle y déposa la boule soyeuse, qu’il
porta aussitôt à son nez, la reniflant avec un sourire sardonique avant de la
glisser dans sa poche. Un nouvel ordre : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Relève ta jupe, le cul directement sur le siège ! » </i>Une
nouvelle fois elle obtempéra. Alors seulement, elle osa regarder autour d’elle,
emplie à la fois de terreur qu’on ait pu la voir, et d’une incommensurable
fierté.</span></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Heading3">
<i><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc124_106452997">La remettre</a></i></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Le repas se poursuivit sans qu’il ne fasse
la moindre allusion à ce qui venait de se passer. Mais, après le dessert, au
lieu de se diriger vers la chambre comme elle s’y attendait, il l’emmena vers
le jardin de l’hôtel, et la fit s’asseoir sur un banc, lui prenant place sur
une chaise. Un ordre bref :<i style="mso-bidi-font-style: normal;">«écarte les
jambes, montre-moi ! » </i>Malgré la proximité d’autres clients, elle
hésita à peine, et elle ouvrit le compas de ses cuisses. Elle n’aurait su dire
s’il avait vraiment pu apercevoir sa foufoune glabre – l’épilation de celle-ci
avait été une des premières épreuves qu’elle avait eu à subir – mais il
confirma d’un hochement de tête qu’il était satisfait. Il sortit alors la
culotte de sa poche et, tranquillement, la lui tendit en disant
seulement : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Remets- la,
maintenant » </i>Aussitôt elle comprit que ce serait autrement plus
difficile que de la retirer. Il lui fallut, en effet, d’abord se pencher pour
l’enfiler – en prenant garde cette fois à ce que ses pieds n’accrochent pas le slip
– puis le faire remonter le long de ses jambes jusqu’à ses genoux. Mais il
était alors incontournable de se lever, pour remonter la culotte jusqu’en haut
en relevant sa jupe. Elle ne pouvait ignorer qu’alors, pendant quelques
secondes, son bas ventre serait exposé. Elle fut du reste bien consciente que
l’homme qui fumait une cigarette sur un banc à quelques mètres d’eux, n’en
avait pas perdu une miette. Mais elle n’eut pas le temps d’avoir honte. Déjà
Monsieur lui lançait, assez fort pour que l’homme n’ait pas pu ne pas
entendre : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Maintenant tu
montes et tu m’attends. En position…de présentation. »</i></span></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Heading3">
<i><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc126_106452997">Positions</a></i></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Il n’avait pas besoin d’en dire plus. Elle
savait ce que cela signifiait. Ces « positions », il les lui avait
enseignées, en lui envoyant même des photos pour qu’elle les apprenne. Elle les
avait en effet étudiées, et expérimentées, en lui envoyant les photos pour
qu’il en juge. Elle avait même copié leurs prescriptions :<br />
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« L’attente » : debout,
face à Monsieur, mains dans le dos, jambes écartées et les yeux baissés.<br />
</i>C’était parfois l’attente de son arrivée, mais aussi parfois celle des
pinces que Monsieur viendrait accrocher à ses tétons. <br />
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« L’arrière » : penchée en
avant, mains sur les genoux pour bien présenter le cul à Monsieur.<br />
</i>Quand il lui faisait prendre cette position, elle savait que son derrière
aurait à subir la main, ou les instruments choisis par Monsieur. Et que si elle
perdait l’équilibre et bougeait les pieds, la punition serait immédiate<i style="mso-bidi-font-style: normal;">. </i><br />
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Les mains » : accroupie,
en équilibre, les bras tendus, paumes vers le ciel</i>. <br />
Peut-être celle qu’elle craignait le plus, les coups de cravache ou de ceinture
sur la paume des mains lui semblant plus douloureux que sur les fesses. Et, là
aussi, si elle perdait l’équilibre, la conséquence était cuisante.<br />
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Présentation » : à
genoux, cuisses largement écartées, mains sur la tête</i>.<br />
Totalement impudique, exposant sa foufoune<i style="mso-bidi-font-style: normal;">.<br />
</i>« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Exposition » : à
genoux, buste penché jusqu’au sol, mains écartant largement les fesses</i>.<br />
Plus impudique encore, montrant bien le petit trou …</span></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Heading2">
<b><a href="https://www.blogger.com/u/1/null" name="__RefHeading___Toc128_106452997">L’attente</a></b></div>
<div class="Textbody">
<span style="font-family: "Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Il n’avait donc pas eu à en dire plus. Elle
s’était dépêchée de monter dans la chambre, avait pris soin de laisser la porte
entrouverte – ce qui augmentait sa crainte d’être vue – puis s’était
promptement déshabillée, en rangeant soigneusement ses vêtements sur une
chaise. Bien qu’elle en ait très envie, elle n’était pas passée aux
toilettes, sachant qu’une des prescriptions permanentes et incontournables de
Monsieur était l’interdiction de faire pipi trois heures avant leurs
rencontres. Il exigeait en effet qu’elle le fit en sa présence et sans se
cacher. A la peur d’être vue, s’ajoutait donc celle de ne pas savoir résister
au besoin de faire pipi. C’est aussi pourquoi elle attendait avec tellement
d’impatience qu’il entre…</span></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<span style="font-family: "Liberation Serif","serif"; font-size: 12.0pt; mso-ansi-language: FR; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans"; mso-bidi-language: HI; mso-fareast-font-family: SimSun; mso-fareast-language: ZH-CN;"><br clear="all" style="mso-special-character: line-break; page-break-before: always;" />
</span>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
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<br /></div>
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<br /></div>
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<br /></div>
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<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
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<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="ContentsHeading" style="tab-stops: right dotted 470.3pt;">
Table des matières</div>
<div class="Contents1">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc106_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">L’attente<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................................................................ </span>1</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc108_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Questions.<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................................ </span>1</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc110_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">L’angoisse<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................................ </span>1</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc112_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Comprendre<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">..................................................................................................................................... </span>2</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc114_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Virtuel<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.......................................................................................................................................... </span>2</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc116_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Le mot et la
chose<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................ </span>2</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc118_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Punitions<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">...................................................................................................................................... </span>3</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc120_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Epreuves.<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">......................................................................................................................................... </span>3</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc122_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">A table<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">......................................................................................................................................... </span>3</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc124_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">La remettre<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.................................................................................................................................. </span>4</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc126_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Positions<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">...................................................................................................................................... </span>5</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/u/1/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc128_106452997"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">L’attente<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................................... </span>5</span></a></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-30618968258152524202019-05-09T23:24:00.002-07:002019-05-09T23:27:19.598-07:00Correspondance (lisible !)La première versino étant difficile à lire pour les personnes vieillissantes, le même texte plus lisible ...:-)<br />
<br />
<br />
<div align="center" style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm; page-break-after: avoid;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: 36pt;">ALAIN
ELOGE</span></span></span></div>
<div align="center" class="western">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: 66pt;">Correspondance</span></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: large;"><i>Échange
de lettres entre Caroline et Anne – Charlotte</i></span></span></span></div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="center" class="western" style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: large;"><i>Panpan
éditions</i></span></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western" style="page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc255_805917996"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Préambule</span></h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc257_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Un
grenier et des souvenirs</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">C’est
un grenier, poussiéreux et encombré, comme tous les greniers de
vieilles maisons familiales. En l’occurrence, celle de mes parents,
et auparavant de mes grands parents, que j’ai vidée quand mon père
a dû se résoudre à la quitter. En farfouillant dans les
vieilleries, je retrouvais l’émoi connu dans mon enfance, quand,
avec mes cousins, nous jouions dans ce grenier, à l’abri des
regards et de la surveillance de nos parents. Et me revenaient les
souvenirs de jeux pas toujours complètement innocents. Comme tous
les enfants, je suppose, il nous était en effet arrivé de jouer
« au docteur » C’est donc dans ce grenier, déjà plein
de poussière et de toiles d’araignées, que j’ai découvert que
les petits garçons ne sont pas fait tout à fait comme les petites
filles. C’est là aussi qu’un de mes cousins, que j’ai depuis
perdu de vue, aimait à jouer au « Papa », ce qui,
l’autorisait à prétendre que nous (je veux dire ma cousine et
moi-même) n’avions pas été sages et devions être punies. Toutes
les deux entrions dans son jeu, et ne nous offusquions par outre
mesure qu’il nous impose de baisser nos petites culottes « Petit
Bateau » pour procéder à ce qu’il appelait le « panpan
cucu » J’avoue que ces souvenirs m’ont un instant détournée
de ma tâche, et que, dans cette lumière tamisée, je me suis
remémorée ce mélange de peur (il frappait pour de vrai, le bougre)
de honte (à cette époque nous n’étions pas habituées à montrer
notre postérieur sans barguigner) mais aussi de trouble qui
m’envahissait quand j’étais « obligée » de baisser
mon slip, et quand je voyais ma cousine faire de même. Les images
défilaient dans ma tête. Je revoyais le popotin rond et rose de
celle-ci devenir tout rouge, et aussi la bosse qui déformait le
short de mon cousin. Celui-ci n’avait d’ailleurs pas hésité à
nous montrer, tout fier, que son « zizi » était tout
raide après qu’il ait ainsi joué le rôle du papa sévère. Mais
à l’époque, je n’avait sûrement pas imaginé à quels jeux
plus solitaires il devait s’adonner ensuite. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc259_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« A
l’insu de mon plein gré »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Pourtant,
ces souvenirs lointains m’ont amenée, presque « à l’insu
de mon plein gré » comme on dit aujourd’hui, à porter la
main à ma culotte, et à constater qu’elle était quelque peu
humide. Et, comme l’âne de la fable qui profite de l’herbe
tendre, le démon m’a aussi entraînée à glisser cette main sous
la culotte et à me donner un moment de plaisir solitaire.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc261_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Une
grosse malle et des papiers jaunis</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Une
fois revenue à des activités plus avouables, j’ai repris mon
travail de rangements, en emplissant de grands sacs d’une masse de
vieux papiers jaunis. Je n’ai pas pris le temps de les lire, mais,
aimant les vieux livres, j’ai mis de côté quelques ouvrages
reliés qui feront bel effet dans ma bibliothèque. Je me suis aussi
arrêtée devant le contenu d’une grande malle dont je ne parvenais
pas à ouvrir le couvercle. Celui-ci était fermé par une grosse
serrure, dont bien entendu je ne trouvais pas la clef. La curiosité
étant, je l’avoue, un de mes plus tendres défauts, je me suis
armée d’un tournevis pour forcer la fermeture. La malle était
emplie de vêtements visiblement fort anciens, que j’ajoutais au
tas de ceux que j’allais jeter, mais j’y découvrit aussi une
sorte de cartable en cuir brun contenant un paquet de feuilles
jaunies et racornies, couvertes d’écritures à l’encre violette.
</span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Quand
j’ai réussi à lire ces feuilles, ce fut la découverte. Je
compris vite qu’il s’agissait de lettres entre deux amies
d’enfance. Les prénoms ne me disaient rien, et il m’a fallu
faire quelques recherches dans les archives de la famille pour
découvrir que l’une des deux femmes qui avait écrit ces lettres
devait être la grand-mère de ma grand-mère. Malgré mes
recherches, je ne sais rien d’elle, ni de son mari. Sauf … ce
que, je pense, personne n’a jamais su, sauf sa confidente.</span></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc263_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Une
tradition familiale.</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Mais,
après avoir, laborieusement, déchiffré ces écrits souvent presque
illisibles, j’ai compris que, quand nous pratiquions nos jeux
enfantins dans ce grenier, nous ne faisions, finalement, que
poursuivre une sorte de tradition familiale.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1782_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Les personnages</span></h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><b>Caroline
Asnière (Mme A*)</b> : Amie d’enfance de Anne-Charlotte,
vingt-huit ans, récemment mariée à </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"> Étienne
Asnières<i> </i></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><b>Anne
– Charlotte</b> <b>de Valette (Mme De V*)</b> : Amie
d’enfance de Caroline, trente ans, marié depuis quelques années à
</span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">
Louis de Valette</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><b>Lucie</b>
Laville : Dix-neuf ans,récemment mariée à :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"> Pierre Laville, ami de Louis</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><b>Eliane</b>
Legoulle : cinquante ans, amie de Juliette, épouse de </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"> Georges
Legoulle</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><i>Son
mari lui a donné une fessée après que Lucie ait reçu la sienne,
en présence des deux autres couples.</i></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">J<b>uliette
</b> Faisan : Quarante - sept ans, amie de Lucie et d’Anne -
Charlotte, épouse de </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"> Émile
Faisan </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1614_1560952596"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 1 :<br />
La lettre de
Mme A* à son amie Mme De V*</span></h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc213_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Une
découverte pour Caroline »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Mme
A* est une jeune femme d’un peu moins de trente ans, mariée depuis
moins d’un an avec un homme un peu plus âgé qu’elle. Mariage
largement organisé par les familles, comme il est de tradition dans
cette société bourgeoise de la fin du XIX <sup>ème</sup> siècle,
mais aussi mariage d’amour. Monsieur A* est un homme charmant, bel
homme, sérieux mais qui plaît aux femmes. Et la jeune demoiselle
qu’on lui a présentée un jour lui a semblé jolie. Un peu ronde,
avec des formes pleines et gracieuses, et un regard espiègle qui l’a
séduit. Si la jeune fille était pure et virginale comme il
convenait en ces temps, le marié avait quelque peu jeté sa gourme
dans sa jeunesse auprès de quelques servantes accortes voire dans
ces cafés de la vieille ville où les messieurs sont accueillis par
des dames qui savent les recevoir. Depuis le mariage le couple vit
dans la maison de famille des A*, et la jeune mariée s’est trouvée
séparée de son amie d’enfance, mariée quelques années avant
elle, avec qui elle entretient une correspondance quasiment
hebdomadaire. Ce lundi elle est à son secrétaire et son écriture
tremble un peu plus que d’habitude :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère amie, </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Depuis
tant d’années que nous échangeons cette correspondance, jamais je
n’ai tant hésité à vous écrire qu’aujourd’hui ; Et
pourtant vous savez que j’ai assez confiance en cous pour ne jamais
avoir hésité à vous dire tout de mes pensées les plus secrètes,
et même des événements les plus … intimes de ma vie. C’est
bien ainsi que je n’ai pas trouvé déplacé de vous faire part de
la cour que m’a faite – en son temps – celui qui est devenu mon
mari. D’autant que, auparavant, vous m’aviez compté la carte du
tendre qui a précédé votre propre union. Et comme vous aviez pu
évoquer sans détours les suites de celui-ci, ce dont je vous suis
vous ne pouvez savoir combien reconnaissante, j’ai osé en faire de
même à votre égard sans rougir. Mais cette fois, j’ai vraiment
failli renoncer à poursuivre cette sorte de mise à nu – le terme
vous parait-il choisi ? – et ne c’est que la crainte de
manquer d’honnêteté envers vous qui m’a résolu à prendre la
plume malgré mon honte, ou tout au moins ma gêne. Pour vous narrer
quoi en fait ? Et bien, quoi qu’il m’en coûte de l’écrire,
que mon mari a osé lever la main sur moi. Ho, ne vous mettez pas
dans l’inquiétude, je n’ai pas le visage tuméfié. D’ailleurs
le visage n’a en rien été concerné par l’affaire ! Et
pourtant j’ai bien été battue, punie, comme je ne l’avais plus
été depuis les années de notre déjà presque lointaine jeunesse.
Je sais qu’en lisant ces mots vous devez avoir deviné de quelle
punition il s’agit. Il me semble me souvenir que, chez vous comme
chez moi, nos maman aimaient à être obéies et respectées, et que
quand ce n’était pas le cas certaines parties de nos anatomie
d’enfants en faisaient les frais. Il me semble même que chez vous,
à la différence de chez moi, la Demoiselle qui se chargeait de
l’éducation de vos frères et sœurs était aussi habilitée à
faire usage des mêmes arguments en cas de désobéissance. Mais il
s’agissait bien de ces punitions enfantines qui font, ou tout de
moins qui faisaient alors, partie de l’éducation de toutes les
fillettes et même des garçons pré pubères. Le rouge me monte au
front, après avoir coloré une autre partie de moi-même, en
m’imaginant ce que vous penserez de nous en comprenant que mon mari
ait pu en user de la même manière avec son épouse. Pouvez-vous un
seul instant imaginer que cet homme, que vous avez rencontré, si
délicat, si bien élevé, si correct en toutes circonstances, ait pu
s’autoriser à administrer à son épouse ce que jusque là je
n’imaginais possible que pour des enfants ? Et même encore le
pourriez vous croire, comment pourriez vous comprendre que votre
amie, dont on se plaît souvent à souligner le caractère entier et
l’exigence de liberté ait pu le tolérer ? Me croiriez-vous
si je vous dis qu’il n’a même pas eu à utiliser la force ?
Que tout simplement, au détour d’une discussion un peu vive,
disons le mot d’une querelle comme il en survient, je le suppose,
dans tous les couples, il m’a dit sans même élever la voix :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Cela
suffit, Caroline, je pense qu’une fessée te fera le plus grand
bien »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
suis sure que vous m’imaginez déjà hurlant ma colère et mon
indignation à cette seule pensée ? Eh bien pas du tout !
J’ai été si surprise, si décontenancée, que je n’ai rien
trouvé à répondre. J’en suis resté les bras ballants et, je le
crains, la bouche bée. Et quand il m’a pris la main pour me faire
approcher, je me suis laissé tirer comme un agneau qu’on emmène à
l’abattoir. Sans réaction aucune. En un clin d’œil, je me suis
trouvé basculée au travers de ses genoux après qu’il se soit
assis sur le divan du salon. Mais il n’a même pas cherché à
profiter de ce moment d’étonnement. Tout au contraire, il a prit
tout son temps, comme s’il tenait à ce que je me rende pleinement
compte de ma situation. Et comme si cela ne suffisait pas, il a
annoncé, de cette même vois étonnamment tranquille :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Ma
chérie, tu va prendre la fessée que j’aurais du t’administrer
depuis longtemps. Mais n’ai crainte, tu n’auras rien perdu pour
attendre, ton derrière s’en souviendras, je te le promets »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Dés
cet instant il me semble avoir été un peu comme spectatrice de ce
qui m’arrivait. J’ai senti qu’il relevait le vas de ma robe, et
qu’il emmenait mon jupon de tulle dans le même mouvement. Il me
semble même, à ma grande honte, que j’ai légèrement soulevé
les reins pour lui faciliter la tâche. Il a du considérer que
l’imminence de ce qui allait suivre me rendait idiote puisqu’il a
tenu à préciser :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Comme
une fessée se reçoit c** nu, il va nous falloir baisser cette
ravissante culotte, ma chérie »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Peut-être
faut-il que je vous précise que depuis quelques mois déjà j’ai
renoncé à nos bonnes vielles culottes ouvertes et j’ai adopté ce
que, parait-il, les anglais nomment des « slips » qui
doivent, eux, être baissés pour laisser libre l'accès au plus
secret de nous – même. A peine a-t-il joint le geste à la parole
qu’une formidable claque venait incendier ma fesse gauche. Avant
tout, même si cela parait stupide, c’est le bruit qui m’a le
plus étonné. Je ne me souvenais pas qu’une fessée faisait un tel
vacarme. Il m’a semblé que le bruit se répandait dans toute la
maison, où nous étions heureusement seuls cet après-midi. Je n’ai
pas eu le temps de poursuivre ma réflexion sur la sonorité de la
chose, une deuxième claque venant s’écraser sur l’autre fesse,
suivie d’une cascade d’autres, m’amenant surtout à me souvenir
qu’une fessée fait mal. Est-ce l’âge qui a attendri mes fesses
ou mon mari qui a la main plus lourde que celles qui en ont usé
avant sur mon postérieur ? En tout cas dire que cette fessée a
été douloureuse serait en deçà de la réalité. En un mot comme
en mille, j’ai eu un mal de chien ! Et malgré mes efforts
pour rester digne – vous savez combien je suis orgueilleuse – je
sais que je n’ai pas pu empêcher mes jambes de gigoter et que je
n’ai pas tardé à ponctuer les nouveaux assauts de la dextre
maritale de cris perçants. Je serais bien incapable de dire combien
de claques a reçu mon pauvre derrière. J’avais en tout cas le
sentiment qu’il m’avait positivement enlevé la peau des fesses.
Et je n’aurais pas été étonné de le retrouver sanguinolent
quand il a enfin cessé la valse de sa main sur mes rotondités
Pourtant, quand j’ai pu le regarder dans le miroir de ma chambre,
où je me suis réfugiée dés qu’il a lâché son étreinte, je
l’ai découvert certes cramoisi, mais certainement pas tuméfié.
D’ailleurs le lendemain matin il avait retrouvé pratiquement son
aspect antérieur. En ce qui concerne la douleur, j’ai bien eu le
besoin de me frotter les fesses pour faire baisser la cuisson pendant
un moment, et le soir j’avais encore un peu de mal à m’asseoir
sans grimacer. Mais au total, là aussi, tout est rentré dans
l’ordre assez rapidement. Voilà, ma chère amie. Comprendrez-vous
l’effort sur moi-même pour oser vous raconter tout cela ? Je
vous en ai dit beaucoup, peut-être trop. Mais au point où j’en
suis, la pudeur serait quasiment ridicule. Quoiqu’il m’en coûte,
j’irais donc jusqu’au bout de mes aveux. Tandis qu’il me
tannait les fesses, j’ai eu mal à un point qu’il est difficile
d’expliquer. Et pourtant – mon dieu que j’ai honte de vous
écrie ces mots ! – au milieu de cette étendue de souffrance,
je sais que « quelque chose» s’est passé au creux de mon
ventre. Une sensation que je n’ai pas vraiment identifiée, mais
qui, je le crains, m’a plus amené à lever les fesses vers la main
qui les fustigeaient qu’à chercher à les mettre à l’abri. Mais
je ne peux nier ce « quelque chose » puisque, quelques
instants après que je sois montée me réfugier dans ma chambre,
celui qui m’avait mis le derrière en cet état est venu me
rejoindre. Je suis resté interdite, les yeux baissés, ne sachant
s’il avait l’intention de reprendre son manège. Mais j’ai
seulement entendu sa voix chaude qui disait :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Montre-moi »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il
n’a pas eu besoin d’expliquer. Je me suis tournée, j’ai relevé
ma jupe au dessus de ma taille. Je n’ai pas eu à retirer la
culotte, elle était restée au salon. Positivement, je lui ai montré
mon derrière. Je me suis troussée comme on m’imagine d’une
fille d’auberge. Et pourtant, je vous l’avoue, j’ai été
submergée d’une vague de fierté quand je l’ai entendu sire,
d’une vois un peu étranglée :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Il
est très beau comme cela, ton c** tu sais. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
ne puis aller plus loin. Je suis aussi rouge aux joues que je ne
l’étais au séant ce jour là en devinant que vous avez déjà
compris ce qui a suivi. Pardonnez moi mon impudeur, ma tendre amie,
mais j’ai tellement besoin de votre amitié pour comprendre ce qui
m’arrive »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre
amie désemparée</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">C.
A. </span></span>
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1874_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 2 :<br />
Réponse de
Mme De V*à son amie Mme A*</span></h1>
<div align="center" class="western">
<br />
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc215_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Mais
moi aussi ! »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Dés
qu’elle eut pris connaissance de la lettre de son amie de toujours,
Mme De V* s’est mise en devoir de lui répondre :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
douce amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ne
vous fâchez pas en lisant les premiers lignes de cette lettre, mais
mon Dieu que la votre m’a amusée ! Non que je me réjouisse
de la meurtrissure de vos fesses, qui sont bien jolies s’il me
souvient de nos baignades d’il n’y a pas si longtemps après
tout. Que je me gausse en quoi que se soit de ce qui vous est arrivé.
Je compatis, croyez le bien. Mais c’est votre étonnement qui m’a
amusé, et avant tout … étonnée. Oserai-je vous l’avouer, ce
qui m’a surpris, ce n’est pas tant que votre mari en ai usé de
cette manière à votre endroit – encore qu’en l’occurrence
l’envers serait mieux adapté – mais bien plutôt qu’il ne
l’ait pas fait plus tôt. Enfin quoi, bientôt 8 mois de mariage,
et votre mari ne s’était jamais montré …autoritaire ?
C’est donc que vous seriez devenue bien sage – ce qui m’étonne
quelque peu vous connaissant – ou qu’il soit fort patient. Et
votre stupéfaction devant sa décision et son comportement me laisse
moi-même interdite. Êtes-vous vraiment si naïve que vous ignoriez
que ces manières sont le lot de la plupart des maris ? Seriez
vous si étonnée de savoir que la plupart de celles que vous
fréquentez ont ainsi plus ou moins régulièrement affaire avec la
main de leurs époux ? Et s’il est une chose qui, encore une
fois, m’étonne fort, c’est que votre mari n’ait pas agit ainsi
plus vite. Car s’il est un point sur lequel je partage entièrement
son avis, ma tendre, c’est que vous avez un postérieur tout à
fait adapté à ce genre de privauté. Eh oui ma chère, comme il
parait que certaines d’entre nous ont « des têtes à
chapeau », certaines ont des « derrières à fessée ».
Et c’est votre cas ! Ne le prenez pas comme une critique, bien
au contraire. Mon propre mari a usé de cette expression à mon
intention, et je suis bien sûre que, dans son esprit, c’était un
compliment. Mais voilà, il en a usé avant même de le découvrir,
comment dire ? Intégralement. En quelque sorte il n’ pas
attendu que nous soyons mariés pour m’informer de ses intentions.
Je m’en souviens comme si c’était hier. Quelques mois avant que
nous passions devant Monsieur le curé et monsieur le Maire, nous
étions déjà fiancés et pouvions donc nous écarter quelque peu du
cercle familial les dimanches après-midi, en tout bien tout
honneur, bien sûr. Il ne se serait pas permis ce qu’il est convenu
d’appeler « un geste déplacé » et notre intimité se
limitait encore à une main dans la sienne, un bras autour de mes
hanches et un chaste baiser au moment de nous quitter. Ce qui ne
l’empêcha pas de me dire un jour tout à trac :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« J’espère
que vous ne serez pas toujours aussi sage quand nous serons marié,
ma douce »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et
comme je m’étonnais qu’il puisse souhaiter une telle chose et
lui en demandais ingénument la raison, il me répondit en riant :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Mais
pour que je puisse vous fesser pour de bonnes raisons ma chère ! »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous
le voyez, il ne cachait ni ses intentions, ni le plaisir qu’il
aurait à agir de la sorte. Bien sûr j’ai été pour le moins
interloquée, mais pas un instant je n’ai envisagé de cesser notre
relation pour cela. Je venais d’apprendre que Monsieur de V*
comptait bien flanquer la fessée à son épouse, cela ne
m’empêcherait certes pas de vouloir être celle-là ! Il est
vrai que mes dernières fessées de gamines n’étaient pas si
lointaine – ma maman avait considérée que je restais dans la
catégorie concernée jusque tard dans mon adolescence – et que je
n’en gardais, finalement, pas un souvenir si terrifiant. Même si
pourtant maman avait la main </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">leste
et savait faire rougir mes rondeurs de belle façon. Mais comme elle
le disait avec une gouaille qui détonnait chez cette grande
bourgeoise distinguée :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Il
ne sera pas plus fendu après qu’avant, ma fille. Et comme on dit,
c’est par là que la sagesse vient aux filles ! »Par
ailleurs, pour tout vous dire, la continuation de ce type d’activités
claquantes chez les couples mariés ne m’était pas tout à fait
inconnue. Il m’était arrivé, quand j’avais une dizaine
d’années, de passer quelques jours chez ma sœur aînée qui avait
convolée en justes noces quelques mois auparavant. J’étais bien
entendu encore innocente, mais je n’ignorais quand même pas tout à
fait les choses de la vie. Et ma chambre étant assez proche de celle
des jeunes mariés, il m’était arrivé d’entendre des soupirs et
des grognements dont j’avais fort bien deviné l’origine Un soir
il m’avait semblé que les deux tourtereaux étaient un peu tendus.
Et à un moment, sans que j’en aie vraiment compris la raison, mon
beau-frère a lancé à l’intention de son épouse :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Dînons
toujours dans le calme, nous réglerons nos petits problèmes plus
tard »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
sœur avait brusquement rougie, et n’avait presque plus desserré
les dents de la soirée. Je suis monté me coucher avant eux, mais je
l’avoue, un peu après qu’ils aient regagné leur chambre
nuptiale, la curiosité m’a poussée à sortir dans le couloir et –
je sais c’est très mal et j’aurais bien mérité d’être punie
pour cela, mais c’est la vérité, je ne peux la nier – j’ai
été collé mon oreille à la porte de leur chambre. Je me revois
encore, en chemise de nuit, pieds nus, grelottant de froid dans ce
grand couloir glacé. Je n’ai entendu d’abord que les classiques
bruits d’étoffes froissées et d’ablutions, et j’allais
regagner mon lit quand j’entendis ma sœur qui soufflait à voix si
basse que je l’ai à peine entendu :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Non,
pas ce soir, tu sais bien que la petite … »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et
la voix de son mari, qui lui ne semblait pas chercher à murmurer,
qui répliquait :</span></span></div>
<ul>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Allons,
tu sais bien que je ne remet jamais ce genre de choses au lendemain.
Viens vite te mettre en place. »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Non,
je t’en prie, elle pourrait entendre tu sais. »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Mais
non, d’abord elle est couchée, et de toutes manières, je suis
chez moi et je n’ai pas l’intention de renoncer pour une gamine.
Après tout, il ne tient qu’à toi d’être silencieuse ma
chérie. Et plus vite tu seras prête, moins tu auras de mal à le
rester. Et plus tu me fais traîner, plus cela durera, et plus tu
risques de t’exprimer, tu le sais bien. »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Mais
même si je ne dis rien… le bruit…dans la maison, ça résonne
tu sais… »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Oh,
mais si ce n’est que cela tu n’as rien à craindre ma chérie,
j’ai pensé à tout. Tu crains le bruit de ma main ? Elle
n’en fera aucun, je te le promets. J’ai justement préparé pour
toi un joli petit bouquet … »</span></span></div>
</li>
</ul>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pour
vous dire si j’étais peu au fait, sur l’instant j’ai pensé
que le mari avait vraiment préparé un bouquet de fleurs pour sa
femme pour se faire pardonner leur querelle. Je n’ai donc pas tout
de suite saisi le sens de la suite de leur dialogue :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Non…s’il
te plaît...demain quand nous serons seuls, si tu veux
… »<br />
« Maintenant les enfantillages, ça suffit !
En position, tout de suite, et relève moi tout cela ! »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A
partir de cet instant je n’ai plus entendu qu’une sorte de
bruissement presque imperceptible à travers la porte de bois. Avec
aussi quelques plaintes étouffées de la voix de ma sœur. Des
sortes de « umff » « oumm » puis,
brusquement un bref cri beaucoup plus fort « aille ! »
lancé d’une voix cassée par les larmes. C’est alors que je me
suis enfuie à toutes jambes et réfugiée dans mon lit. Ce n’est
que le lendemain, pendant qu’ils étaient sortis, qu’en furetant
dans leurs appartements – oui je sais, c’est encore mal et
j’aurais mérité une deuxième sanction pour ma curiosité – que
j’ai compris que le bouquet n’était pas de roses. Dans le petit
boudoir attenant à la chambre, là où ma sœur se changeait, j’ai
découvert, pendu au mur, un faisceau de brindilles souples reliées
entre elles par un fort ruban rose. Je n’avais bien entendu jamais
goûté de ce genre d’instrument, mais j’ai su beaucoup plus tard
combien ils pouvaient être mordants et cruels pour la peau de celles
qui le reçoivent. J’ai su aussi qu’il laisse des marques plus
durables et qui rappellent parfois plusieurs jours la séance qui les
a provoquées. <br />
Ma sœur ne m’a fait aucune confidence, et
bien entendu ne ne lui ai pas posé de question. En tout cas, le
lendemain, son visage ne m’a pas semblé refléter une nuit de
douleur, mais au contraire une sorte de tranquillité sereine.
J’étais trop ignorante des choses du mariage pour en tirer des
conclusions. Pourtant ma propre expérience d’auditrice aurait pu
me faire comprendre qu’être actrice ne pouvait pas laisser les
sens endormis. Puisque vous avez été franche et directe avec moi,
je vais l’être aussi, ma toute douce. Ce soir là, bien
qu’effrayée, réfugiée dans ma chambre, avec dans les oreilles le
bruissement cadencé par les petits cris de ma sœur … je ne me
suis pas endormie tout de suite. Bien sur, ce souvenir est trop
lointain pour que je sache si je me suis consciemment référée à
ce que je venais d’entendre pour alimenter mon imaginaire. Il me
semble pourtant – mais peut-être est-ce en référence à des
expériences plus récentes – que les doigts ne se sont pas limités
à fouiller mon buisson adolescent mais ont du aussi s’égarer vers
les rondeurs postérieures et le petit chemin secret qu’elles
cachent.<br />
</span></span><br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma toute douce, vous n’êtes pas si extraordinaire, et en tout cas
pas anormale d’avoir eu du mal à distinguer entre douleur cuisante
et plaisir fulgurant. Et c’est là mon second sujet d’étonnement,
et un peu de sourire. Enfant que vous êtes ! Vous ne comprenez
pas que l’un et l’autre peuvent se conjuguer ? Vous vous
étonnez qu’une fessée qui fouette les sangs puisse aussi fouetter
le désir et les sens ? Mais pourquoi diantre pensez-vous que
tant de femmes la tolèrent s’il en était autrement ? Bien sur la
sévérité claquante d’un mari peut être le moyen pour lui
d’établir son autorité dans la maison. Mais vous savez aussi que
pour la plupart ils n’ont pas besoin de l’imposer de cette
manière. Et d’ailleurs que bien souvent cette autorité que nos
mères et nos confesseurs nous rappellent d’avoir à respecter est
bien souvent illusoire. Et puis, que diable, nous sommes des êtres
civilisés ! Nous avons lu Voltaire, Rousseau et même Diderot,
même si nos prêtres nous l’interdisaient. Et si la fessée
maritale n’était qu’un acte d’autorité, elle ne serait, me
semble-t-il, pas de notre siècle. Mais vous devez savoir, ma petite,
que le corps a ses raisons que la Raison, justement, ne connaît pas.
Et si votre corps s’enflamme plus vite à l’issue d’une bonne
fessée, vous n’avez pas à en rougir. En tout cas pas du visage !
En tout cas vous n’êtes pas la seule à découvrir cet étrange
résultat, celle qui vous l’écrit peut en témoigner. Pour tout
dire, il me semble que si ces séances nous mettent dans cet état
c’est peut-être aussi parce qu’elles ont le même résultat sur
nos maris. Vous l’avez, je pense, constaté vous-même. Pour ma
part j’en ai eu témoignage le soir même de mes noces. Je vous
arrête tout de suite, non, ma chère, je n’ai rien fait ce jour là
qui me la fasse mériter. Cela n’a pas empêché celui qui était
mon époux depuis quelques heures seulement de m’annoncer dés que
nous nous sommes retrouvés dans la chambre nuptiale :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Ma
chère, je vais vous coller votre fessée d’épouse »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et
comme je lui faisais remarquer, respectueusement, que rien ne la
motivait, il a souri et admis, beau joueur :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« En
effet, je vous l’accorde. Mais j’en ai trop envie. La refuser
serait une raison pour la mériter, alors vous voyez … »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Est-ce
le souvenir de cette soirée chez ma sœur, la curiosité ou
simplement l’acceptation de ce que je sentais inéluctable ?
En tout cas je n’ai pas prolongé la discussion. Et puisqu’il
m’avait voussoyé alors que d’habitude il n’utilisait pas ce
langage d’un autre temps, je suis entrée d’instinct dans son
jeu :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Bien,
monsieur, je suis prête «<br />
« C’est bien.
Relevez votre robe et votre jupon, bien haut s’il vous
plaît »<br />
« Bien, monsieur. Est-ce suffisant comme
cela ? »<br />
« Oui, madame. Maintenant penchez
vous sur le montant du lit et laissez-y vos mains quoi qu’il
arrive »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
devais être une élève douée, voyez-vous, puisque j’avais de
moi-même ramené les grands volants de mon ample robe de mariée
devant pour les coincer entre mon ventre et le lit. Je dois dire
franchement que pour cette première il y a été avec beaucoup de
modération. Il a commencé par quelques claques sur ma jolie culotte
soyeuse de mariée. C’était, bien sur, une culotte à l’ancienne.
Pas une de ses prisons que les femmes portent aujourd’hui. Mais
bien une jolie pièce de soie rosée, nouée à l’arrière, et que
mon cher époux s’est mis en demeure de dénouer un peu comme on
retire les nœuds d’un cadeau avant de l’ouvrir. Il m’a donc
déculottée avec délicatesse, puis a continué la cavalcade des
claques sur ma peau nue. Bien sur cela m’a semblé fort douloureux,
même si en comparant avec ce que la vie conjugale m’a réservé
par la suite je sais aujourd’hui qu’il s’agissait presque d’un
simulacre. Mais, comme vous, j’ai senti naître cette boule de
chaleur qui, partie du séant et se diffuse dans le ventre jusqu’à
venir incendier le plus secret de nous même. La position qu’il
m’avait imposée m’a aussi évité, pour ce premier soir, la
découverte, parfois traumatisante parait-il pour les jeunes oies
blanches, de la virilité érigée de mon époux. Quand l’averse de
claques s’est tarie, j’ai gardé la même position, essuyant mes
yeux au pli de mon coude, et cherchant à calmer la brûlure en
caressant mes globes. Un instant après il était derrière moi,
passant les mains sous ma robe pour passer devant et faire jaillir
mes seins du corset qui les emprisonnait. Je ne vais pas aller plus
loin dans ce récit, ma toute douce. Mais je peux vous dire, sans
choquer votre pudeur, que j’ai constaté depuis que jamais, quelles
que soient les caresses que nous échangions, la virilité de mon
mari n’est aussi triomphante que lorsque mon postérieur a été
tanné en première partie. Et puisque nous sommes entre femmes, et
que dans ce domaine là aussi l’excès peut nuire, laissez moi vous
dire que, dés ce premier jour, quand il a décidé de s’introduire
en moi sans même me retourner – j’ai appris plus tard qu’il
appelait cela du joli nom de « levrette » - la dimension
pourtant respectable de son membre ne m’a pas fait vraiment
souffrir. Preuve, s’il en fallait, que la fessée m’avait moi
aussi rendue perméable au plaisir. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma tendre amie, que vous m’avez entraîné sur des terrains que je
ne fréquente plus guère. J’espère sincèrement vous avoir
rassurée. Mais, je dois le dire, ces souvenirs m’ont étrangement
troublés. Je ne peux chasser de mon esprit l’image charmante de
votre personne le bas du dos dénudé sur les genoux de votre
séduisant mari. Cette image me bouleverse tant que, tandis que ma
main droite s’active sur cette feuille, sa consœur est partie
d’elle – même vers d’autres voyages, et que je sens mon jardin
secret s’humecter de rosée. Voilà, vilaine, que vous avez poussé
une femme – presque – honnête à reprendre ces pratiques que la
morale réprouve. Je vous souhaite qu’une telle faute, avouée ou
non, vous vaille dés que possible une mémorable fessée. Et c’est
en imaginant celle-ci et en me laissant couler vers le plaisir que je
vous embrasse.</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre
bien tendre et presque envieuse<br />
A-C de V*</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1876_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 3 :<br />
Lettre de Mme
A* à son amie Mme De V*</span></h1>
<div align="center" class="western">
<br />
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc217_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">«Soeurs
en fessées »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Jeune
mariée, Caroline a reçu une fessée de son mari, et elle est
troublée d’en avoir été troublée sensuellement. Elle s’en
ouvre par une lettre auprès de son amie d’enfance, ne Charlotte de
V* qui la rassure en lui avouant qu’elle aussi la reçoit
régulièrement de son mari qui en est plus vigoureux au lit. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Ma
bonne amie,</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Vous
écrire ma dernière lettre avait été, je peux vous l’assurer,
une vraie épreuve. Attendre votre réaction a été encore plus
difficile encore. Cent fois je me suis reprochée d’avoir eu
l’impudeur de coucher – oh ce mot ! – de telles choses sur
papier. Cent fois j’ai tremblé de peur que vous renonciez à tout
jamais à avoir pour amie une telle dévergondée. Et puis, ce matin,
dans le courrier, l’enveloppe mauve avec votre belle écriture à
l’encre violette. Mon Dieu quel bonheur ! Mais aussi quelle
stupeur en la lisant ! Ainsi vous aussi ? Moi qui croyais
vous connaître, jamais je n’avais imaginé que vous puissiez
partager aussi cela avec moi. Si vous saviez comme j’en suis fière
que nous soyons en quelque sorte encore plus proche que nous ne le
pensions. « Sœurs de cœur, sœurs d’enfance, mais aussi
sœurs en fessées ! » Pourrait-on dire. Mais il me
semble qu’en me répondant vous avez aussi encore joué avec moi,
et avec ma curiosité que vous appelez ma naïveté. Vous en avez
trop dit, ou pas assez, ma chère. Maintenant il vous faudra répondre
à tout, sinon je vous dénonce à votre mari, et je ne doute pas
qu’avoir fait de telles confidences vous vaudra de sa part l’envie
de se surpasser sur votre postérieur. Je vous taquine, ma douce, et
je sais bien que vous avez fait exprès de ne me dire les choses que
partiellement pour exacerber ma curiosité que vous connaissez bien.
D’abord j’ai cru comprendre que non seulement « cela »
vous est arrivé, mais que « cela » vous arrive souvent.
Si souvent que cela ? Depuis cette fessée inaugurale de votre
nuit de noces, vous en recevez donc si régulièrement ? Vous
faites aussi allusion à la meurtrissure des verges, cela veut-il
dire que votre mari ne se contente pas de vous chauffer le derrière
à la main ? Mon Dieu, je n’ose imaginer les ravages que doit
faire un instrument conçu spécialement pour cet usage. Alors vite,
ma belle, asseyez vous à votre écritoire – sauf bien sûr si
l’état de votre fondement ne le permettait pas – et racontez moi
tout. Et dites moi aussi ce que je dois comprendre des dernières
lignes de votre lettre. J’ai cru y déceler une sorte de nostalgie
ou de déception. Votre mari vous délaisserait-il ? J’avais
auparavant pourtant cru comprendre qu’il était fort entreprenant
et fort gaillard de ce point de vue. J’espère qu’il n’est pas
souffrant. Je suis pourtant certaine que vos appâts ne peuvent le
laisser indifférent. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>De
mon coté, je vous l’assure, je ne vous cacherai rien. D’abord
vous sembliez souhaiter à demi-mot que cette fessée ne soit pas une
expérience unique. Eh bien ma douce, votre souhait a été exaucé.
C’était d’ailleurs quelques jours seulement après que je vous
aie écrit. Et je dois avouer que, cette fois, il n’a pas eu à
chercher un prétexte, je pourrais presque dire que je l’avais bien
mérité. Vous connaissez mon incapacité à respecter un horaire, et
mes retards presque systématiques. Depuis notre mariage, et même
avant, c’est un de mes défauts – et Dieu sait que j’en ai
quelques autres – qui exaspère le plus mon mari. Or, ce soir là,
je suis rentrée à la maison à presque vingt heures, en ayant
oublié que nous devions sortir pour un dîner où nous étions
attendus à dix neuf heures. A mon grand étonnement mon mari n’a
pas élevé la voix, et ne m’a pas vraiment fait de reproches, se
contentant de dire d’une voix un peu froide :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Nous
n’allons pas encore perdre du temps, nous sommes déjà assez en
retard. Nous en reparlerons plus tard »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Nous
nous sommes bien sûr excusés auprès de nos hôtes, et mon mari a
eu l’élégance de ne pas me mettre mal à l’aise en m’en
rendant responsable. Il n’a pas fait une allusion à ce retard
durant la soirée, et je dois même dire qu’au retour à la maison
il s’est montré charmant et pour tout dire … empressé. En
quelque sorte nous nous sommes réconciliés sur l’oreiller avant
même de nous être disputés. Mais le lendemain, au moment où il
quittait la maison, il a lancé à mon intention :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« A
ce soir. Je t’attends à dix huit heures dans mon bureau. Ne sois
pas en retard. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Il
n’en a pas dit plus. Le ton n’était ni en colère ni menaçant.
Et pourtant l’objet de ce rendez-vous m’a paru immédiatement
évident. Finalement je pourrais presque dire que la journée
d’attente a été presque plus difficile à vivre que la punition
elle-même. Et pourtant c’en fut-une, et une vraie. Durant toute la
journée, impossible de penser à autre chose. Les mains moites, le
cœur qui bat la chamade, l’estomac tordu. Et ces questions
incessantes. Que va-t-il faire ? Comment cela va-t-il se
passer ? Mais, curieusement, pas une seconde je n’ai pensé ni
qu’il puisse y renoncer, ni que, de mon coté, je puisse m’y
soustraire. Je n’ai même pas cherché ce que je pourrais dire ou
faire pour y échapper. J’ai du mal à l’admettre moi-même, mais
en quelque sorte j’avais déjà intériorisé le fait que quoi
qu’il arrive, j’allais être fessée. Et, en effet, je l’ai
été ! Cet après-midi là, je devais aller prendre le thé
chez Madame H* qui reçoit tous les mardis. Pour être sûre d’être
rentrée à l’heure dite, je me suis fait excuser par un billet
indiquant qu’une « obligation impérieuse » m’empêchait
d’être présente. J’ai donc passé la plus grande partie de
l’après-midi dans mon boudoir. Je m’y suis fait servir le thé
et je me suis habillée. J’avoue que j’ai choisi mes vêtements
et surtout ceux de dessous avec un soin particulier. Tant qu’à
devoir les montrer à son époux, autant qu’ils soient jolis
n’est-ce pas ? . Un quart d’heure avant dix huit heures
j’étais plantée devant la pendule. Pour rien au monde je n’aurais
voulu me présenter à son bureau avant l’heure imposée. Et
quelque chose me disait qu’il ne me fallait surtout pas être une
fois encore en retard. Mais juste au moment de quitter mon refuge,
j’ai été prise d’une irrésistible envie … de faire pipi. Je
me suis donc présentée à la porte de son bureau alors que les six
coups venaient de sonner. J’ai frappé un coup léger à la
porte, et il m’a invitée à entrer. Il était assis à son bureau,
il a levé les yeux et posé sa plume pour me dire de cette même
voix tranquille et chaude :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Bien,
allons y tout de suite, prépare – toi vite »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Et
comme je restais les bras ballants au milieu du bureau, ne sachant
pas vraiment ce qu’il attendait de moi, il a précisé :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu
relèves ta robe, bien haut, et je ne veux pas qu’elle retombe. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Je
me suis exécutée, me plaçant de coté, n’ayant pas réussi à
estimer s’il était plus humiliant d’exposer mes fesses ou le
devant à sa vue. Je me suis arrangée pour retenir ma robe d’une
main, et me souvenant de la première expérience j’allais dégager
mon derrière de la culotte quand il m’a arrêtée :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Non,
laisse cela, c’est pour moi. Baisse-toi, les mains sur les
genoux »<br />
Une fois que j’ai eu pris la position demandée,
il s’est approché de moi, il a fait glisser ma culotte jusqu’au
dessous des fesses, et il m’a saisie aux épaules de la main gauche
pour me maintenir. Il avait toujours sa voix tellement tranquille
quand il m’a annoncé :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Je
pense que je n’ai pas besoin de te rappeler la raison de cette
fessée n’est-ce pas ma chérie ? L’impolitesse vis-à-vis
de moi mais aussi de nos amis, mais surtout l’inquiétude qui a été
la mienne quand je t’ai attendue, il te faut les apprendre par les
fesses. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Et
immédiatement, il s’est mis à me les claquer à toute volée.
Peut-être ne frappait-il pas vraiment plus fort que la première
fois, mais il frappait plus vite. Les claques se succédaient comme
une averse d’orage. Non seulement je me suis mise vite à piailler,
mais aussi à piétiner sur place, comme si cette danse de Saint Guy
pouvait m’éviter les claques. Celles-ci ont couvert toute la
surface disponible. Et vous savez qu’elle n’est pas si
négligeable n’est – ce pas. De la ceinture jusqu’à la limite
des cuisses, tout mon derrière n’était qu’un champ labouré.
J’étais en larmes, et dès que la succession des coups a cessé,
je me suis redressée comme un ressort et j’ai continué à
sautiller sur place en me frottant les fesses pour calmer tant soit
peu la souffrance. Mais une fois encore, celle-ci se conjuguait avec
une effervescence des sens. Et, visiblement, ceux de mon cher époux
n’étaient pas restés non plus insensibles. Mais cette fois, et
pourtant je n’avais pas encore lu votre si édifiante lettre, je ne
me suis plus vraiment posé de questions, et je me suis laissé aller
au plaisir. Nous n’avons même pas pris le temps de rejoindre notre
chambre. C’est dans ce bureau, renversée sur le fauteuil de cuir,
les fesses frottant douloureusement contre lui, troussée comme une
fille, que j’ai reçu les hommages de mon mari qui n’a pas eu la
patience d’ôter son habit. C’était la première fois que nous
succombions aux plaisirs de la chair autrement que dans notre chambre
et dans nos tenues de nuit. Dois-je oser vous l’avouer ? Ces
circonstances ont rendu la chose plus satisfaisante pour moi que
d’ordinaire. Il faut dire que la vigueur de mon mari n’y était
peut-être pas pour rien, puisqu’il a pu me montrer par deux fois
que je ne lui étais pas indifférente…Mais après tout, ce n’était
que mérité. N’est-il pas que justice que cette épreuve, et c’en
est une, soit, d’une certaine manière récompensée ?
D’autant que cette séance avait été singulièrement plus
violente que la première. Et mon séant en a gardé les traces. Le
lendemain matin il n’était plus rouge mais véritablement violacé.
Est-ce péché d’orgueil ? Je vous avoue que j’en étais
presque fière. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Je
dois ajouter que mon cher mari a eu l’élégance de ne plus faire
la moindre allusion ni à la cause, ni à la réalisation de cette
punition. Et que, depuis cette séance, j’ai fait attention à ne
plus être en retard. Dans les jours qui ont suivi, en effet, je
pense que mon pauvre derrière n’aurait pas supporté une nouvelle
correction. Depuis, je vous rassure, il est revenu à sa couleur
d’origine. Mais quelque chose dans les yeux de mon homme quand il
me regarde par instant, et la lecture de votre propre expérience, me
dit qu’elles ne le resteront pas si longtemps…</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Je
vos remercie encore de votre attention et je vous embrasse bien
tendrement.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre
Caroline, qui découvre la vie, et qui aime ça !</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>C.A.
</i></span></span>
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc219_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Des
questions »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">La
découverte que son amie était, elle aussi, fessée par son mari, et
le fait qu’elle lui ait écrit que beaucoup d’autres épouses
l’étaient elles aussi, ont amené Caroline à s’interroger sur
chacune de ses amies. Quand elle rencontre ne peut s’empêcher
de se demander si elle, cette grande femme aux formes pleines et
généreuses « la »reçoit de son mari, ce petit monsieur
plutôt chétif. Et l’idée la fait rire. Même question à propos
de Marie – Anne, cette petite boulotte dont les rondeurs
pourraient, pense-t-elle, tout à fait attirer la main d’un mari
sévère. Bien sûr, elle n’ose pas aborder tout à trac cette
question. Même si elle imagine parfois la tête de ses amies si, au
beau milieu des papotages, elle interrogeait à la cantonade :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">« </span><span style="font-size: x-small;"><i>Dites
moi, chères amies, vos maris vous donnent-ils souvent la fessée sur
vos popotins déculottés ?</i></span><span style="font-size: x-small;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Pourtant,
chez Mme F*, une des dames, maman de trois enfants, expliquait à une
autre jeune maman ses conceptions de l’éducation des enfants.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">« B</span><span style="font-size: x-small;"><i>ien
sur Adèle, leur bonne nounou est parfaite pour les petites. Mais
elle les aime tellement qu’elle leur passe tout ou presque. Alors,
parfois, il me faut bien mettre la main à la pâte. Et je vous
assure que pour rappeler les enfants à leur devoir, je n’ai encore
rien trouvé de mieux qu’une bonne fessée ! Il est bien rare
qu’il se passe une semaine sans que l’une d’elles se retrouve
sur mes genoux les fesses à l’air. Et après non seulement elle,
mais aussi les sœurs qui assistent à la punition se tiennent à
carreau. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Une
des dames présentes surenchérit :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">« </span><span style="font-size: x-small;"><i>C’est
certain. Je pratique de même avec les miens. Et croyez moi, mon
Élisabeth file doux : »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Une
autre s’étonna : </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>« Votre
Élisabeth ? Mais elle va sur ses douze ans non ? »<br />
« Oui,
elle les aura à la saint Jean. Et alors ? Il n’est pas
question de modifier mes habitudes pour cela «<br />
« Pourtant,
quand elles grandissent… cela devient délicat non ? »<br />
« Pas
pour moi en tout cas ma chère. Bien sûr la chose se passe hors de
la présence des hommes, et donc rien n’interdit que cette
demoiselle ne reçoive le salaire de ses errements sur les fesses
dénudées ! »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Madame
G*, plus âgée n’était pas intervenue jusque là, mais elle
affirma tranquillement :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> « </span><span style="font-size: x-small;"><i>Vous
savez, chez nous, mes deux filles y ont eu droit jusqu’à la veille
de leur mariage</i></span><span style="font-size: x-small;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Et
Madame de B*, qui connaît l’une des filles de Madame G* a ajouté
dans un sourire :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> « </span><span style="font-size: x-small;"><i>Et
après leurs maris ont pris le relais </i></span><span style="font-size: x-small;">? »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Le
rire de toutes a évité à la maman concernée de répondre, et il a
repris de plus belle quand la belle Madame J* a lancé en riant de
toutes ses jolies dents :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> « </span><span style="font-size: x-small;"><i>Oh,
c’est pour cela comme pour l’équitation, il faut poursuivre
l’entraînement pour le pas perdre la main ! »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">La
conversation a ensuite roulé sur d’autres sujets. Mais Caroline
s’est mise en tête d’inviter bientôt cette dame dont le
brillant des yeux durant cette conversation lui a mis la puce à
l’oreille. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1878_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 4 :<br />
Lettre de Mme
De V*à Mme A*</span></h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Depuis
qu’Anne Charlotte sait que son amie d’enfance, la belle Caroline,
connaît aussi les affres et les plaisirs de la fessée conjugale,
elle ne cesse d’imaginer les belles rondeurs de sa sœur de lait
rudement mises au vif par la dextre de son mari. Et comme celui-ci
est plutôt bel homme, il est arrivé que, dans sa rêverie, ce ne
soit plus les fesses de l’épouse qui subissent ce traitement, mais
bien les siennes. Bien sûr elle ne fera pas partager cette vision à
l’épouse légitime. Pourtant elle s’empresse de répondre à
cette nouvelle missive, en ne cachant que ce qu’il convient de
cacher.</span></span></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc221_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Des
plaisirs solitaires »</span></h2>
<div class="western">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
toute belle, </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
suis bien forcée de vous faire un aveu qui devrait me faire rougir
le visage autant que la main de votre époux vous fait rougir les
fesses. Votre seconde lettre a eu sur mes sens le même effet que vos
premiers aveux. Et me voilà replongée dans les dérives sataniques
du plaisir solitaire, moi qui étais devenue presque sage. Encore
que, pour tout vous dire, je n’y ai jamais vraiment complètement
renoncé. Sauf peut-être durant les toutes premières années de mon
mariage, quand la virilité toujours en éveil de mon cher mari était
si exigeante que j’avais bien peu de motifs, et même d’occasions
de chercher à me procurer à moi-même ce qu’il me prodiguait si
généreusement. Il est vrai qu’alors il n’était pratiquement
pas de soir qu’il ne vienne partager ma couche, et il lui arrivait
de surcroît de me rendre parfois une visite matinale avant que
d’aller chasser. Mais, vous l’avez compris ma chère, les années
passant l’intensité des choses à tendance à s’amoindrir. Je
vous rassure, mon mari n’est en rien souffrant, et il est encore
fort capable de procurer à une femme les hommages qu’elle attend
d’un homme. Il me l’a encore prouvé hier au soir, et de fort
belle manière ma foi. Mais quoi, vous le verrez vous-même bien
assez tôt, l’âge n’épargne personne. Ce qui était quotidien
devient peu à peu plus proche de l’hebdomadaire. Et, dans ces
tournois de l’amour, le chevalier à moins souvent l’initiative
de redoubler l’assaut. Que cela m’ait quelquefois affligée, et
que j’eusse parfois espéré une fréquence plus grande dans ses
assiduités, je le confesse. Encore qu’en ce domaine, l’âge
permet de comprendre qu’il faut parfois préférer la qualité à
la quantité, quand toutefois on est contrainte de choisir. Et quand
la nature titille un peu trop mes propres besoins, eh bien oui, je
vous l’avoue, ma douce, j’ai en effet recours aux pratiques de
nos jeunes années. Je sais, selon nos confesseurs et les moralistes,
c’est très mal. Mais selon nos sens, mon Dieu que c’est bon.
Après tout, qui connaît mieux les attentes de nos sens que
nous-mêmes ? Bien sûr, je n’ai en rien renoncé aux assauts
vigoureux d’une belle virilité et au travail profond d’un soc
vigoureux en son champ. Mais cela empêche-t-il d’apprécier aussi
la douceur de ses propres doigts ? Je ne jurerais du reste pas
que mon maître et seigneur soit totalement dupe. Mais, en ce domaine
comme dans d’autres, il convient me semble-t-il que chacun fasse
comme s’il ignorait que l’autre le sache. Mais une certaine lueur
dans son regard quand il me demande, pour ne pas dire quand il exige,
de faire devant ses yeux ce qu’à d’autres moments je pratique
dans le secret de mon boudoir m’incite à penser qu’il n’en
ignore pas tout. Jamais au grand jamais, je n’aurais imaginé en
arriver un jour à exposer à quiconque ces épisodes de ma vie
d’épouse. Mais votre candeur et votre franchise m’amènent à
considérer qu’avec vous, rien ne doit être caché. Et je gage
bien sur que vous prenez toutes les précautions nécessaires pour
jeter aux flammes ces épîtres aussitôt que vous les aurez lues.
J’avoue par ailleurs que je ressens un étrange plaisir à vous
faire de telles confessions impudiques. A tel point que je sens déjà
sourdre en moi une humidité qui en est le témoignage. Je m’impose
pourtant de ne pas céder à l’envie qui me taraude de poser la
plume pour utiliser autrement la main qui la tient. Je ne doute pas
que vous mesurez l’effort que je fais pour vous être agréable. Et
je prends aussi le risque, si mon mari rentrait au bercail avant que
je n’ai pu changer de tenue, et qu’il lui prenne l’envie de
quelque caresse un peu appuyée, que l’humidité de ma culotte me
vaille une de ces fessées impromptues qu’il lui arrive encore –
Dieu merci – de me flanquer. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voilà
donc la première réponse à vos questions, ma chère curieuse. Eh
bien oui, je prends encore, et souvent, et de belle manière, de ces
fessées qui me laissent le derrière en feu, les joues mouillées de
larmes, et d’autres parties de moi-même d’autre façon. Je dois
même dire, qu’en ce domaine il n’y a eu ni pause ni même baisse
de fréquence. Peut-être même au contraire. Au fil des années, mon
cher mari a toujours autant de vivacité pour trouver de bons motifs
à me caresser rudement les fesses. Et quand il n’en trouve pas, et
bien ma foi il s’en passe ! Encore qu’il aime, me
semble-t-il à ce que les fessées soient à ses yeux ou aux miens
justifiées. Dans les premières années de notre union, il a
considéré que les sanctions appliquées au hasard des fautes ou des
manquements de ma part ne suffisaient pas, au motif que touts ne
pouvaient pas être sanctionnés sur le champ. Aussi a-t-il pris
l’habitude, selon sa propre expression de « mettre les
pendules à l’heure » chaque premier vendredi du mois. Pour
qu’aucun motif ne soit oublié, il m’a imposé d’en tenir
moi-même la liste. Il m’appartient donc parfois d’y inscrire de
moi-même ce qui me semble mériter sa sévérité, encore ne
l’aurait-il pas su. D’autres fois cependant c’est lui qui
m’indique d’un « vous le noterez s’il vous plaît »
que tel ou tel de mes actes ou de mes attitudes lui a déplu. Et le
jour dit, rituellement après le dîner, je me présente devant lui
avec à la main la liste que je dois lui lire à haute voix. Le
croirez-vous, chère amie, même après tant d’années, il me
semble que cette lecture d’aveux est peut-être plus difficile pour
moi que la punition qui s’en suivra. Voyez ainsi vendredi dernier,
votre amie, que vous avez connue si fière parfois, tenant son cahier
à la main et lisant à l’intention de son mari carré dans son
fauteuil :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Le
4 du mois, une insolence à votre égard, le 9 du mois un retard, le
16 et de nouveau le 17 du mois une grande négligence dans la
surveillance du service et le 26 du mois un refus d’obéissance
méritent d’être sanctionnés, Monsieur »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Cela
fait beaucoup pour ce mois, ma chère. Vous m’apporterez
l’instrument s’il vous plaît, et vous compterez vingt. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il
n’a pas besoin d’en dire plus. Je sais qu’il a décidé
d’épargner sa paume et d’utiliser le martinet dont il a fait
l’acquisition pour notre première année de mariage. Je sais
surtout qu’il m’appartient d’aller le chercher dans l’armoire
et de le lui apporter respectueusement. Puis de me tourner vers le
grand bureau qui orne le coin de la pièce, de relever moi-même mes
vêtements – que j’ai bien sûr choisis en fonction de ce que je
sais alors inéluctable – et de me pencher sur le meuble de bois
d’ébène, dans la position que j’ai compris que vous connaissez,
présentant ainsi à leur bourreau les hémisphères qu’il va
flageller. Il me semble que nos maris ont en commun l’exigence
d’ôter eux-mêmes le dernier rempart qui protège nos lunes. En
effet, il tient à baisser lui-même ma culotte, jouant, selon son
caprice, à la retirer entièrement où à la laisser en haut des
cuisses ou à la pliure des genoux. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous
avez donc une deuxième réponse à vos questions, oui mes fesses
connaissent la morsure des lanières. Si je vous disais qu’elles ne
sont pas plus douloureuses que la main maritale, vous ne me croiriez
pas, et vous auriez raison. Même si une fessée manuelle peut faire
mal, à en pleurer, la douleur n’est jamais tout à fait comparable
à celle d’une poignée de lanières de cuir flagellant la peau.
Quand on la subit, on comprend mieux l’expression triviale « avoir
la peau des fesses enlevée ». C’est en effet tout à fait la
sensation que l’on éprouve. Même si, là aussi, après quelques
jours, les longues traces bleuâtres et parfois boursouflées
laissées par la chevelure cinglante disparaissent. Et pourtant, ma
toute belle, tout en vous aimant, et peut-être justement parce que
je vous aime, je souhaite qu’un jour votre mari fasse un jour cet
achat. Alors seulement vous comprendrez que si je me contente de dire
que cela fait « plus » mal, je ne suis ni exacte ni
complète. Il n’est pas vraiment possible d’établir une telle
hiérarchie entre les sortes de fessées. La main, le martinet, la
ceinture de cuir ou la cravache du cavalier, sont à mes yeux – je
devrais dire à mes fesses – autant de voyages, de découvertes,
différents. Des voyages qui vous feront pleurer, crier, peut-être
même plus, je le sais, mais des voyages qui vous feront découvrir
des espaces qui, sinon, vous resteraient ignorés.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pour
en revenir à ce dernier vendredi, oui, il m’a fait mal, très mal.
D’autant qu’avant de se saisir du fatal instrument, il a tenu, je
reprends ses paroles à « préparer le terrain » par une
vigoureuse fessée manuelle. C’est donc sur un cul déjà fort
rouge que se sont abattus les vingt cinglements qu’il m’a fallu
compter à haute voix. Il y tient en effet absolument. Même si je ne
sais pas ce qu’il ferait si j’interrompais le compte avant
l’échéance annoncée. Peut-être continuerait-il quand même ?
Peut-être jugerait-il que je ne puis en subir plus ? Je ne le
saurai probablement jamais. Vous me savez têtue et trop fière pour
céder en implorant une fin anticipée. Par contre, il m’est arrivé
un jour de refuser de compter. Il avait décidé de m’imposer
quinze coups. Je les ai reçus sans desserrer les dents, tout en
comptant dans ma tête. Et après le quinzième … la fouettée a
continué. Je vous laisse imaginer Au dix-septième, j’ai compris
que lui non plus ne céderait pas, et j’ai lâché le fatal « un »
… suivi des quatorze autres annonces, les dernières émises entre
des sanglots. Je vous laisse imaginer l’état de mes pauvres
fesses. Elles étaient littéralement proches d’être en sang.
Trois jours après elles restaient bleues et boursouflées, et il
m’était pratiquement impossible de m’asseoir sans grimacer de
douleur. Je n’ai jamais réitéré cette rébellion. Mais j’étais
immensément fière d’avoir prouvé que j’étais capable de
résister. Et lui avait prouvé qu’il savait ne pas céder, et je
lui en étais d’une certaine manière reconnaissante. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pour
le reste, si je suis assez persuadée que nous ne ne sommes pas les
seules, et de très loin, à connaître de ces séances claquantes
sur nos postérieurs, je dois vous avouer que je n’en sais pas
beaucoup plus. Avant de le faire à votre intention, jamais il ne
m’étais venu à l’idée de raconter à qui que ce soit les
pratiques de notre couple. Et aucune de mes amies ne m’a non plus
fait de confidence en la matière. Pourtant, j’ai dans l’idée
que la jeune Madame L*, mariée depuis peu à une relation de mon
mari pourrait bien être des nôtres. Non qu’elle m’ait fait
quelques confidences que ce soit, nous ne sommes pas assez intimes
pour cela. Mais lors d’une soirée chez des amis communs, la belle
s’est montrée particulièrement désagréable, et surtout envers
son mari qui n’a pas semblé prêter attention au comportement de
sa moitié, jusqu’à ce qu’il lui lance d’une voix glacée à
la suite de je ne sais plus quelle insolence de sa part :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Nous
en reparlerons plus tard n’est ce pas »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Phrase
anodine, certes, mais lancée avec un regard subitement dur, et qui a
fait qu’ensuite la jolie peste s’est transformée en petite fille
silencieuse et effacée, cherchant à se faire oublier. La lecture de
votre lettre m’a remis cette soirée en mémoire et j’ai cherché
un prétexte pour rendre visite à cette jeune dame et en ai profité
pour lui lancer :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Nous
avons passé une soirée délicieuse n’est – ce pas ? »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Oui..Charmante,
en effet »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Et
j’espère qu’elle s’est bien terminée ? »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et
là, son visage s’est empourpré, et elle a bredouillé quelque
chose comme :*</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Oui..
enfin… bien sûr… »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « Eh
bien tant mieux …. Avec ces drôles de personnages que sont les
hommes, on ne sait jamais… Profitez bien de la tendresse du vôtre
ma petite. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
n’ai pas voulu la mettre plus dans l’embarras, et je l’ai
quittée en l’embrassant.Je n’en sais donc pas plus. Mais depuis
j’ai reçu de sa part une invitation à un thé la semaine
prochaine. Peut-être la belle sera-t-elle en veine de confidences ?</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">En
attendant je vous embrasse,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Soyez
sage, il ne faut abuser de rien.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre
</span></span>
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A
C de V</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1880_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 5 :<br />
Lettre de Mme
A* à son amie Mme De V*</span></h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Caroline
A* a confié par écrit à son amie d’enfance, Anne Charlotte de V*
que son mari l’avait fessée, et qu’elle en avait été fort
troublée. A son grand étonnement, son amie lui a répondu qu’elle
connaissait aussi ces séances claquantes sur son postérieur, et ce
depuis le premier jour de son mariage. Il s’en suit un échange de
correspondance où les deux amies se dévoilent sans fard, et dans
laquelle les fessées qu’elles reçoivent l’une et l’autre sont
souvent évoquées. Dans une dernière lettre, Anne - Charlotte a
raconté à son amie qu’elle se demande si une autre de ses
connaissances, la belle Lucie L* ne subit pas le même traitement
qu’elles de la part de son mari, et qu’elle compte bien tout
faire pour lui tirer les vers du nez. En réponse, Caroline poursuit
des confessions …</span></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc223_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Poursuite
des confessions »</span></h2>
<div class="western">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
très chère,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Autant
j’ai hésité longtemps et je me suis reproché parfois d’avoir
osé vous dévoiler ce qui aurait pu rester un secret de couple,
autant je m’en félicite après la lecture de votre dernière
lettre. Je vous avoue que j’ai presque eu les larmes aux yeux
d’émotion en découvrant votre intimité, et la confiance avec
laquelle vous me la présentez. Et puis aussi, quel bonheur que de
constater que nous sommes si proches par certains cotés !
Allons au fait tout de suite, ma douce, je n’ai pas plus que vous
vraiment renoncé aux plaisirs solitaires. Il est vrai que, dans ma
jeunesse, j’y avais recours quasiment chaque jour, ou plutôt
chaque soir. Pour trouver le sommeil il me fallait d’abord m’être
quelque peu caressé l’abricot et la cerise. Même quand il m’est
arrivé de partager ma chambre avec une amie – vous souvenez vous
que vous fûtes de celles-là ma douce ? – je ne renonçais
pas pour autant à mes coupables penchants. Simplement, avec le
temps, j’ai appris à me procurer du plaisir sans bruit et sans
trop de mouvements. A vrai dire, mais je crains d’expliquer à une
plus expérimentée que moi, il m’arrivait même d’aboutir au but
recherché sans avoir à y mettre la main. La seule crispation des
cuisses m’amenait parfois, sans que personne autour de moi ne
puisse y voir quoi que se soit, à une explosion toute intérieure.
Depuis mon mariage, les assiduités de mon époux et peut-être aussi
l’âge m’amènent bien sûr à un rythme moins soutenu. Mais à
l’occasion de la toilette, ou d’une difficulté à trouver le
sommeil, mes mains s’égarent encore parfois sur mes seins, aiment
à en agacer les petits bouts avant de descendre plus bas, rejoindre
le buisson frisé d’où sourd le nectar qui leur permettra de mieux
glisser. Il me faut alors composer entre l’envie d’aboutir vite
là où je sais vouloir aller et celui de faire durer l’attente qui
rend l’aboutissement encore plus délicieux. Il s’agit donc de
retarder autant que faire ce peut le moment de m’occuper du petit
bouton, de ce perce neige impatient que le moindre effleurement un
peu appuyé portera à l’incandescence. <br />
Mais, pour ma part,
ces moments ne sont pas à proprement parler un moyen de compenser un
manque d’ardeur de mon mari. Certes, nous sommes mariés depuis
moins longtemps que vous, et peut-être découvrirai-je avec le temps
que celle-ci s’émousse au fil des ans. Mais pour aujourd’hui,
mon époux est plus que régulier dans ses visites vespérales. Oh
bien sur, celles-ci ne sont pas tout à fait aussi régulières que
le chant du coq le matin. Il est des soirs où la fatigue, une
préoccupation, une obligation mondaine, que sais-je, amènent à une
pause. Il en est d’autre où une indisposition de ma part me pousse
à lui faire comprendre que j’aurais besoin d’un vrai repos. Et
il est assez attentif et galant pour le comprendre. A condition
toutefois, il faut le dire, que cela ne se reproduise pas plusieurs
soirs de suites. Et quand la nature et le retour de la lune m’amènent
à solliciter d’être dispensé des devoirs conjugaux trois ou
quatre jours de suite, j’ai la fierté de voir monsieur mon mari
devenir d’humeur maussade. Du reste il ne manque pas, dans ces cas
là, de rattraper les soirs qu’il considère comme perdus dans les
jours qui suivent. Et ses ardeurs ne sont alors plus seulement
vespérales mais peuvent être matinales ou impromptues. Encore que
depuis quelques temps, et vous allez voir que nous en revenons
toujours au sujet qui a entraîné cette correspondance, il a pris
l’initiative, les jours où la voie ordinaire ne peut être
utilisée, d’en choisir une autre, qui lui donne l’occasion de
rendre hommage à mon verso. Il faut vous dire que, assez tôt après
notre mariage, et bien avant qu’il ne se mue en époux fesseur
comme le votre, il m’avait fait découvrir la position que vous
utilisâtes lors de votre première fessée et qui porte ce joli nom
inspiré du rongeur bondissant. Je n’ai donc pas été plus étonnée
que cela le soir où il ma amené à prendre cette position, certes
un peu inconfortable, mais qui met tellement en valeur nos attributs
postérieurs, à genoux, la tête entre les mains et le dos incurvé
pour mieux faire pointer ce qui, dans ce cas, ne mérite peut-être
pas d’autre mot que celui de c**. Par contre c’est avec stupeur
que j’ai senti que sa virilité, après s’être comportée avec
mon antre d’amour comme une mouillette avec un œuf à la coque, a
quittée ce nid douillet sans pousser plus loin son avantage et s’est
glissée un peu plus haut, vers une autre entrée plus secrète, et
pour tout dire plus étroite. Dire que cette découverte fut un grand
moment de plaisir serait mentir. La différence de taille entre
l’objet et son étui suffit à expliquer que l’introduction de
l’un dans l’autre impose à ce dernier une déformation difficile
à supporter. Pourtant, mais vous savez combien je suis bonne et
j’aime à faire plaisir autour de moi, les râles de bonheur de mon
tendre bourreau tandis que son épée pénétrait mes entrailles ont
rendu cet instant moins difficile à supporter. J’ai en tout cas eu
le sentiment d’avoir, ce soir là, passé, moi aussi, une sorte de
porte, pour aboutir dans un monde que j’ignorais jusque là. Et
prenant mon acceptation pour définitive, mon cher époux me propose
régulièrement cette alternative quand je lui oppose le calendrier
pour refuser une étreinte plus conventionnelle. Mais peut-être
suis-je entrain de … prêcher à une convertie ? Si tel est le
cas, peut-être me comprendrez vous si je vous dis que du strict
point de vue du plaisir physique cette voie m’apparaît comme moins
efficace que l’autre, mais qu’elle déclenche aussi des
sensations presque plus mentales oserai-je dire. Peut-être parce
que, fruit de notre éducation, elle reste marquée par l’interdit,
donc par le goût délicieux du péché ? Peut-être aussi parce
que, du fait de la position prise, nous ne voyons pas le partenaire,
et que cela permet à notre imaginaire des égarements que nous nous
interdirions dans d’autres situations. Ou tout simplement parce
que, dans le cas de mon époux, cette pratique semble lui procurer un
tel plaisir que ma fierté en est comblée. Du reste, et peut-être
cela participe-t-il aussi de ce plaisir un peu trouble que me procure
ces moments différents, il ne se prive pas de me faire partager son
bonheur qu’il exprime sans retenue. Et là aussi, lui qui est, vous
le savez, la correction voire la distinction même, en arrive à
l’oublier et à utiliser des termes que je ne suis pas encore
capable d’écrire, alors que je suis plus que troublée de les
entendre ! Tout cela pour vous dire – mais vous savez combien
je suis bavarde et comme j’ai tendance à oublier le fil de mes
récits parfois – que, jusqu’à présent, il se passe rarement
plus de trois jours sans que mon époux ne me rende hommage, que se
soit le soir quand nous gagnons le lit en même temps, ou le matin
quand il décide de me réveiller de galante manière. Pour en
revenir au sujet que nous abordions dans nos courriers précédents,
et fort heureusement, ces moments de tendresses conjugales ne sont
pas tous assortis de fessées. Si tel était le cas je pense que
j’aurais du renoncer depuis longtemps à la position assise. Par
contre, et fort heureusement, l’inverse est toujours vrai. Et si
depuis que j’en ai fait la découverte, et que je m’en suis
ouverte à vous, j’ai du repasser par ces moments brûlants quatre
ou cinq fois, ils furent toujours suivis, peut-être faudrait-il dire
récompensés, ou conclus, par de grands moments de frissons. Je dois
même vous avouer que, la dernière fois que mon séant a été
fustigé, et de la belle manière, par mon mari, j’avais presque
sciemment provoqué la chose. Une fois encore il m’attendait pour
sortir et m’avais recommandé de ne pas être en retard. J’aurais
tout à fait pu être à la maison à l’heure dite mais je ne sais
– ou je sais trop – quel démon m’a poussé à traîner
consciemment de manière à n’y arriver qu’avec une bonne
demi-heure de retard. Bien entendu il était dans l’entrée, déjà
habillé et prêt à partir. Je savais intérieurement que ce retard
me vaudrait une fessée. Et je m’attendais à ce que je paye en
monnaie claquante ma dette le lendemain. Mais il n’en fut rien.
Cette fois, en effet, il me fallu payer comptant – sinon contente-.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, et sans qu’il
n’ait pris la peine de justifier quoi que se soit ou même de me
réprimander, je me suis retrouvée pliée en deux sur sa jambe, les
mains posées sur une marche de l’escalier, la jupe troussée et la
culotte plus arrachée que baissée. Quelle averse mon Dieu ! Je
me suis débattue, j’ai crié, j’ai pleuré, rien n’y a fait.
Il ne m’a lâchée, que quand il a eu trop mal à la main, je
pense. Ensuite il ne m’a pas laissé le temps de me rafraîchir, il
était vraiment temps que nous partions. Il m’a juste lancé « tu
la laisses là ! » quand j’ai voulu remonter ma culotte,
et je n’ai pas pris le risque de lui faire répéter. J’ai passé
la soirée à me tortiller sur la chaise, les fesses brûlantes. Et
cette fois, ce n’est qu’au retour à la maison, fort tard, que
mon mari m’a dispensé la partie la plus agréable de la chose.
Mais, est-ce parce qu’elle avait été retardée, elle fut
vraiment renversante ! J’ose le dire, quelque douloureuse ait été
le premier acte, la qualité du second le valait bien. N’en tirez
pas pour autant la conclusion que je joue régulièrement les
provocatrices. Mon cher et tendre époux trouve bien assez souvent
lui-même les raisons d’honorer mon popotin pour que je n’aie pas
besoin de lui en trouver. Et comme, même en dehors de ces moments
d’autorité conjugale, il reste assez empressé à remplir ses
devoirs conjugaux, il n’est pas nécessaire que mon inconduite ne
l’y pousse. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
vous laisse sur ces bonnes paroles, ma toute douce, en formant le vœu
que votre propre époux découvre quelques une de vos vilenies qui
vous vaudront une séance cuisante … puis apaisante !</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre
tendre et attentive amie</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Caroline.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1882_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 6 :<br />
<b> </b><b>Lettre
Mme De V** à son amie de Mme A </b></span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc225_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Et
Lucie … aussi ! »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Lors
d’une soirée chez elle, Anne Charlotte, épouse régulièrement
fessée par son époux, et qui est loin de s’en plaindre, a
remarqué le ton sévère du mari de la belle Lucie L*. Quelques
temps plus tard, celle-ci, qui l’avait invitée à prendre le thé
n’a pas caché qu’en effet, elle faisait elle aussi partie de ces
épouses dont les maris rougissent parfois le postérieur. Troublée
par ces confidences directes, et surtout par le récit d’une fessée
reçue par Lucie devant deux autres couples, elle s’empresse d’en
rendre compte à son amie d’enfance, Caroline, qui, elle, a
découvert plus récemment les affres mais aussi les plaisirs de ces
pratiques.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
toute douce,<br />
Quel bonheur encore une fois de lire votre lettre,
que vous m’avez fait attendre, vilaine que vous êtes. Mais je
comprends bien qu’avec un époux tellement empressé auprès de
vous, vous n’ayez pas trop de loisir pour écrire à votre vielle
amie qui en est réduite trop souvent à relire vos courriers
précédents et à imaginer, avec les conséquences que vous devinez,
vos moment de tendresse et de passion. Encore qu’il ne faut rien
exagérer, et si, en effet, mon mari n’est plus aussi vigoureux
qu’au début de notre relation, ni que je le voudrais parfois, il
reste, j’ose dire le mot, un amant tout à fait empressé et même,
je le pense bien que je n’ai pas vraiment d’élément pour
comparer, talentueux. Je ne sais d’ailleurs si le hasard des
rencontres nous a amené, vous et moi, à trouver des maris faits sur
le même modèle ou si tout les hommes se ressemblent, mais il me
semble qu’en effet, votre mari et le mien ont plus d’un point
commun. Et en particulier cette attirance curieuse pour le verso de
nos anatomies, et pas seulement pour les fustiger. Peut-être est-ce
parce que je suis un peu plus avancée en âge et en expérience que
vous, ma petite, mais moi j’ose écrire le mot que vous ne parvenez
pas à tracer sur le papier : oui mon mari aime m’enculer. Voilà,
c’est dit. Et, comme le vôtre si j’ai bien compris, il aime à
me faire partager verbalement son enthousiasme dans ces moments de
pénétration arrières. Il est vrai que ce cher homme, plutôt
silencieux dans la vie ordinaire, est assez expansif dans ces moments
là. Et il aime, en effet, à commenter ce qu’il est entrain de
faire, et que pourtant je en peux pas ne pas savoir ! Peut-être
vais-je vous choquer (encore que je doute de la chose, vous
connaissant un tout petit peu mieux maintenant) mais je suis assez
troublée moi aussi par ces mots qui, en effet, ne font pas partie du
langage convenu des salons. Mais quoi, pourquoi nierai-je être
quelque peu bouleversée par ces annonces faites d’une voix
rauque : </span><span style="font-size: medium;"><i>« je
vais t’enculer bien à fond ! Je vais te bourrer le cul ma
petite salope ! </i></span><span style="font-size: medium;">»
Voire ces ordres impérieux : </span><span style="font-size: medium;"><i>« présente
bien ton cul que je le bourre »</i></span><span style="font-size: medium;">
ou ces questions presque naïves : </span><span style="font-size: medium;"><i>« tu
la sens bien là ?»</i></span><span style="font-size: medium;">
(Comment pourrais-je ne pas sentir cette tige épaisse qui me dilate
le fondement ?) ou encore ces promesses, heureusement suivies de
concrétisations : </span><span style="font-size: medium;"><i>« je
vais venir …je vais jouir…je vais tout t’envoyer dans le cul !,
je vais t’emplir …</i></span><span style="font-size: medium;"> »
Eh oui, ma chère petite, ce Monsieur de V*, si bien élevé, qui
sait pratiquer le baise main quand il convient, qui emploi un langage
châtié si ce n’est parfois même recherché, sait fort
opportunément oublier ces conventions de langage au moment qui
convient. Et pour tout vous dire, même si l’habitude ne m’est
venue qu’au cours des ans, il m’arrive de perdre aussi assez le
contrôle de moi-même pour l’encourager sans plus de retenue par
de grands </span><span style="font-size: medium;"><i>« bourre
moi, met le moi, baise moi, donne moi tout mon amour ! </i></span><span style="font-size: medium;">»
qui contribuent, je pense, pour beaucoup à ragaillardir le monsieur.
Et pour en finir sur ce chapitre, je dois vous avouer que la
conjugaison de ces manières d’exprimer nos enthousiasmes
réciproques, ajoutés aux soupirs et aux feulements causés par le
plaisir, quand ce n’est pas aux claquements de la main de l’un
sur les fesses de l’autre, m’ont amenés parfois à rougir
quelque peu en débarquant dans la salle du petit déjeuner d’hôtel
où nous avions passé une soirée épicée. <br />
Mais je vous
raconterai cela une autre fois. Il me faut pour aujourd’hui ne pas
oublier de poursuivre ma narration des aventures supposées – et
vous allez le voir confirmées – de ma nouvelle amie, Lucie L* dont
je vous ai déjà parlé. Vous vous souvenez peut-être que, à la
manière dont son mari s’était adressé à elle, et à l’effet
que cette voix avait eu sur son comportement, je m’étais demandé
si Monsieur L *, un homme assez séduisant, plus vieux qu’elle,
mais portant beau, avec un regard bleu acier assez troublant ma foi,
ne faisait pas parfois preuve d’autorité sur son épouse, une
jolie petite bécasse, un peu rondouillette mais tout à fait
adorable au demeurant. Quand j’avais fait allusion à la manière
dont s’était terminée cette soirée chez nos amis, il m’avait
semblé qu’elle s’était un peu troublée. Pourtant, c’est elle
qui a pris l’initiative de m’inviter à un thé chez elle, et
bien entendu j’ai répondu à son invitation. Première surprise
pour moi – agréable vous allez comprendre en quoi – il ne
s’agissait pas d’une sempiternelle réunion de dames par laquelle
il nous arrive de nous débarrasser en une seule fois d’une tripoté
d’invitations à rendre et où personne n’écoute vraiment
quiconque. J’étais la seule invitée, et la jolie Lucie m’a dit
dés mon arrivée :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « </span><span style="font-size: medium;"><i>Nous
ne serons que vous deux, madame, ainsi nous pourrons parler
tranquilles</i></span><span style="font-size: medium;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pourtant,
bien sur, rien n’indiquait qu’elle avait en tête d’aborder le
sujet qui m’intriguait. Aussi ne me suis-je pas lancée d’emblée
sur ce terrain, persuadée qu’il me faudrait développer des
trésors d’ingéniosité et d’allusions pour espérer amener ma
belle sur le terrain qui me convenait. Et bien pas du tout. Dés
que, au détour d’une phrase et comme par inadvertance, j’ai
abordé la question des maris parfois autoritaires, elle s’est
lâchée sans la moindre réticence, me répondant tout de go :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> </span><span style="font-size: medium;"><i>« Ah
bien sûr, en épousant Pierre, je savais à quoi m’en tenir en
matière de discipline. Mais comme mes parents pratiquaient de même
depuis toujours, j’avais si j’ose dire les fesses entraînées ! »
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et
je vous assure que cela était dit avec le plus grand naturel, sans
la moindre rougeur aux joues, comme si, après tout, elle me
renseignait sur les goûts de son mari en matière de cuisine ou de
musique ! Et à partir de là, je n’ai pratiquement plus eu
besoin de relancer mon amie pour qu’elle me raconte par le menu son
expérience en la matière. Les fessées enfantines données par les
nounous puis ses grandes sœurs dûment chapitrées par les parents
quand elles gardaient leur cadette « et elles avaient intérêt
à ce que nous soyons sages, sinon c’est elles qui prenaient la
raclée au retour des parents. » Puis la découverte de la
large ceinture de cuir pendue dans l’entrée de la maison et dont
l’utilisation sur le derrière des filles marquait dans la famille
la sortie de l’enfance, à douze ans, juste après la première
communion. Et la belle de commenter : </span><span style="font-size: medium;"><i>« Bien
sur, c’est tellement plus douloureux que les fessées reçues
jusque là, je le savais pour avoir entendu les cris de mes sœurs
quand elles y avaient droit, mais en même temps, j’étais presque
impatiente d’être moi aussi une grande. Je sais bien que pour la
plupart des gens, aujourd’hui, cela est complètement fou, mais
chez nous cela</i></span><span style="font-size: medium;"><i>
</i></span><span style="font-size: medium;"><i>paraissait
normal. Cela arrivait à mes sœurs, à mes cousines, et même à
maman et à mes tantes – de la part de mon grand-père puis de
leurs maris bien sûr – et aucune d’elle ne s’en cachait. </i></span><span style="font-size: medium;">»
Vous imaginez vous, ma très chère, cette jolie blonde, aux formes
généreuses (je dois dire que sa chute de reins donnerait envie à
des moins acharnés que nos propres maris tant elle est ronde et
pleine) qui me tient ce langage tout en sirotant son thé avec
distinction ? Et qui continue sur le même ton, m’expliquant
qu’après tout, le mariage n’avait eut comme conséquence que de
passer d’une autorité à une autre, elle aussi cinglante. Vous
vous doutez que je ne perdais pas une miette de ce récit, et je vous
avoue qu’il m’apparaissait tellement impudique que je sentais une
crispation au creux de mon ventre, et une rosée naître un peu plus
bas. Pourtant je me gardais bien d’interrompre mon amie, la
relançant seulement parfois d’un hochement de tête ou d’un
prudent </span><span style="font-size: medium;"><i>« vraiment</i></span><span style="font-size: medium;"> ? »Et
je fis bien puisque c’est ainsi qu’elle me confia, toujours avec
son regard clair et innocent, que non seulement il lui était arrivée
de recevoir la fessée de son mari en présence de ses sœurs plus
âgées, mais aussi du mari de l’un d’entre elles, et même,
mais là, quand même, j’ai cru voir une rougeur apparaître sur
ses joues, d’avoir été fessée au cours d’un repas chez eux, en
présence de deux couples d’amis. Et comme je m’étonnais :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> </span><span style="font-size: medium;"><i>« mais
il ne vous a quand même pas</i></span><span style="font-size: medium;">
… »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Elle
me répondit presque sans ciller :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> </span><span style="font-size: medium;"><i>« oh
si, bien sûr j’ai bien tenté de lui demander de reporter la chose
à plus tard, et au mois de ne pas me déculotter, mais rien ne l’a
fait changer d’avis </i></span><span style="font-size: medium;">»</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et
elle avait donc fini par se plier à l’exigence de son mari, et
avait été fessée après avoir été déculottée devant leurs
convives. Elle m’avoua que ces instants avaient été difficiles à
vivre, mais ajouté qu’après qu’elle se soit relevée et
reculottée, l’un des maris présent avait félicité le sien pour
son caractère « </span><span style="font-size: medium;"><i>et
vous petite madame pour votre obéissance, qualité tellement rare
aujourd’hui</i></span><span style="font-size: medium;"> »Et
il avait ajouté qu’il ne serait pas normal qu’elle soit la seule
à en faire preuve. Il s’était alors tourné vers sa propre femme,
une dame d’une cinquantaine d’année, très « bon chic bon
genre », en disant : </span><span style="font-size: medium;"><i>« ma
chérie, comme de toutes manières tu la recevras ce soir, je pense
que se serait une belle preuve d’amitié pour Lucie que d’accepter,
comme elle, d’y passer maintenant </i></span><span style="font-size: medium;">»
L’épouse s’était alors levée, elle s’était approchée
d’elle et avait murmuré : </span><span style="font-size: medium;"><i>« c’est
pour vous, pour vous seule, que j’accepte, vous savez. Mais vous
avez été courageuse, et surtout vous avez compris qu’il n’y a
pas d’humiliation à obéir, mais aussi de la grandeur, je veux
vous le montrer à mon tour.</i></span><span style="font-size: medium;"> »
Elle s’était alors dirigée d’elle-même vers son mari, avait
elle-même remonté sa robe, puis baissé sa culotte jusqu’aux
genoux avant de se pencher, mains aux genoux, présentant ses fesses
à son mari. Lucie était encore émue en me racontant ce qu’elle
appelait « le cadeau » que lui avait ainsi fait celle qui
depuis est devenue une de ses plus proches amies. Elle avait reçue,
selon les mots même de ma nouvelle amie, « </span><span style="font-size: medium;"><i>une
volée bien plus sévère que la mienne sans presque lâcher un cri</i></span><span style="font-size: medium;"> »
Mais son visage ruisselait de larmes quand son mari lui avait enfin
donné l’autorisation de se relever. Elle l’avait fait, puis
avait entamé une sorte de danse sur place en se frottant les fesses
qui étaient devenues cramoisies, avant de remonter sa culotte, de se
moucher en reniflant, puis de revenir s’asseoir au salon pour
partager le café et les liqueurs. Quand à l’autre épouse, qui
n’avait pipé mot sur le moment, elle avait tout simplement déclaré
quand ils se quittaient : </span><span style="font-size: medium;"><i>« la
prochaine fois, c’est nous qui invitons n’est ce pas ? Et …
je ne serais pas en reste.</i></span><span style="font-size: medium;"> »
Et quelques semaines plus tard c’est au moment de l’apéritif,
chez elle, que cette femme a reçu ce que les deux autres femmes
avaient subies ajparavant. » <br />
Vous voyez, ma toute douce,
que si les hommes sont parfois de drôles d’animaux, nos consœurs
sont parfois aussi étonnante. En tout cas, je pense que je vais me
faire de cette petite Lucie une vraie amie. Je vous avoue qu’elle
m’avait d’abord semblé un peu, comment dire, bécasse. Mais,
après cette après-midi passée en sa compagnie, je suis largement
revenue sur mon jugement. Elle est peut-être seulement étonnamment
« nature ». En tout cas elle assume parfaitement sa
condition, sans honte ni forfanterie, et en tout cas sans le moindre
soupçon de perversité. Par contre il me semble qu’elle est aussi
sans une once de pudibonderie, si ce n’est même de pudeur. Ainsi,
quand elle me parlait de l’usage fait par son mari de la large
règle en bois qu’il utilise dans son métier d’architecte, elle
a tout bonnement relevé sa jupette pour me faire constater les
marques violettes. Certes, elles défiguraient un peu le joufflu de
la belle. Mais, mon dieu qu’elle a de belles fesses ! A en
être jalouse ! Je vous avoue que quand j’ai regagné ma
voiture ma petite culotte était trempée. Une fois encore, j’ai du
céder à mes coupables penchants. Si d’aventure vous y cédiez
aussi en lisant la présente, j’en serais ravie, ma belle.<br />
Votre
amie pour toujours.<br />
</span><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"><i>Anne
Charlotte. </i></span></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1884_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 7 :<br />
<b> </b><b>Lettre
de Mme A à son amie Mme De V**</b></span></h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Caroline
répond à la lettre de son amie Anne Charlotte, qui lui a fait
découvrir qu’elles n’étaient pas les seules épouses de leur
monde à avoir parfois les fesses claquées par leurs époux. Elle
brûle d’en savoir plus, mais elle expose aussi sans rien cacher le
trouble qu’elle ressent quand son mari la prive de culotte</span></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc227_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Sans »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Ma
bonne amie, </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Si
j’en crois votre dernière lettre, nous allons bientôt pouvoir
fonder une amicale des épouses de maris sévères ! Et il me
semble bien que votre nouvelle jeune amie mériterait sans conteste
d’en prendre la présidence, si toutefois les titres sont
distribués en fonction des « mérites »Finalement, si
nous nous comparons à elle, nos maris sont presque de doux
compagnons ! Certes, je ne peux mesurer la sévérité des
fessées que reçoit cette jeune épouse à la seule lecture d’un
récit de deuxième main en quelque sorte. Mais si cuisantes que
soient celles que je reçois de mon cher époux, au moins sont elles
toujours reçues dans la stricte intimité de notre ménage et, fort
heureusement, vous êtes la seule à connaître ce coté de ma
personnalité. Et si vous ne m’avez rien caché, il en est de même
pour vous. Mais comme, de votre coté, vous semblez être la seule de
nous trois à connaître la morsure des lanières, je vous intronise
sans barguigner vice-présidente (mon Dieu que ce mot vous va bien !)
et je vous assure que je ne tiens pas à ce que les progrès
éventuels de mon mari m’amènent à revendiquer une place plus
éminente. Car il progresse, le bougre ! Pas vraiment en
sévérité, mais au moins en imagination. Je m’explique. Je vous
ai raconté comment, lors d’une fessée bien méritée et presque
provoquée, il m’avait interdit de remettre ma culotte avant de
partir à cette soirée. Tout au long de celle-ci, c’est donc à
la fois les picotements consécutifs à la manière dont il avait été
traité, et le contraste avec l’air frais arrivant directement sur
lui, qui ont fait que je ne pouvais penser à autre chose qu’à mon
pauvre derrière. Je sais que vous pouvez comprendre la difficulté
de suivre une conversation ordinaire avec les fesses encore
brûlantes. Il me fallait en plus faire attention à ne pas grimacer
quand je changeais de position. J’entends déjà votre objection,
je n’avais qu’à ne pas rester assise. C’est vrai que dans les
heures qui suivent les séances dont son tant amateurs nos époux, il
est préférable de rester debout. Sauf que je vous assure qu’aller
et venir au sein d’un groupe avec l’air tant soit peu naturel
n’est pas si facile quand il vous manque une pièce de vêtement
certes petite mais … essentielle ! Evidement j’avais une
jupe assez longue pour qu’en aucune manière l’absence de la
petite culotte ait pu avoir des conséquences sur ma pudeur. Mais
vous ne pouvez pas savoir combien cette absence est présente à
l’esprit. Chaque fois que j’ai du me lever, j’avais le
sentiment que toute l’assemblée allait savoir que j’étais nue
sous ma jupe. Et quand, au hasard d’un buffet, un ou une autre
convive m’effleurait le dos je sentais une sueur froide jusqu’au
creux de mes reins. Je dois d’ailleurs à la vérité de dire que
mon cher mari, par les quelques plus ou moins discrètes caresses
prodiguées à mon envers n’a pas contribué à ce que j’oublie
l’état de celui-ci. Et peut-être la qualité de la conclusion
dont je pense vous avoir déjà fait état, n’est elle pas sans
rapport avec le fait que Monsieur avait su pendant toute cette soirée
mondaine et pour tout dire quelque peu ennuyeuse que sa chère moitié
cachait un derrière tout rouge sous sa sage jupe grise ! Je le
pense d’autant plus que ce qui avait été, me semble-t-il, une
décision ponctuelle, motivée par le fait que j’avais été fessée
à la va-vite presque sur le seuil de notre maison, est devenu très
rapidement une habitude, pour ne pas dire une règle. Déjà
auparavant, quand il arrivait à mon mari de se montrer autoritaire
le soir à la maison, il m’était arrivé, sans même qu’il ait
besoin de m’y contraindre, de ne pas remettre ce que j’avais du
retirer pour lui laisser libre accès à son terrain d’activités.
D’autant que le plus souvent il l’avait fait dans notre chambre
alors que j’avais déjà revêtu ma tenue de nuit. Il a d’ailleurs
eu, un soir, l’élégance de me dire que s’il regrettait de ne
pas avoir à baisser cette petite culotte il me trouvait
« craquante » quand il avait à relever ma longue chemise
de nuit en pilou. Dois-je vous avouer que j’en avais été fort
fière ? Et même quand il m’était arrivé de recevoir ce
qu’il estime mon dû au rez -de-chaussée, dans son bureau le plus
souvent, alors que nous étions seuls à la maison, je ne m’imposais
pas le frottement d’un slip sur le postérieur ainsi mit au vif. En
plus cela permet à Monsieur, parfois, comme le vôtre le fait aussi
me semble-t-il, de soulever la jupe ou la robe, voire de me demander
de le faire, pour juger de l’évolution des couleurs de ce qu’il
a appelé un jour « le soleil couchant ». Mais
maintenant, c’est pour lui une conséquence quasi obligatoire de la
fessée : je suis « interdite de culotte » Ainsi il
m’arrive d’être punie un soir et de l’entendre dire, en
conclusion de la séance, « et demain tu es privée n’est-ce
pas ? » Et croyez moi, il veille à ce que son ordre soit
respecté. La première fois qu’il a lancé ce commandement, j’ai
pensé qu’il plaisantait, et en tout cas le lendemain la chose
m’était sortie de la tête. Mais quand il est rentré, le soir,
avant même de m’interroger sur ma journée, il a plaqué ses mains
au « bon endroit », a froncé les sourcils, relevé à la
volée le bas de ma robe, et découvrant la petite culotte que
j’avais enfilée, sans penser à mal, le matin, il s’est écrié
que « puisque j’avais décidé de ne pas obéir » il
allait s’expliquer plus clairement. Et j’ai pris derechef une
fessée mémorable qui m’a enlevé toute envie de remettre un slip
non seulement le soir même mais à chaque fois qu’il me
l’interdirait. C’est ainsi des jours entiers qu’il me faut me
passer de ce petit morceau de tissus fin dont on ne comprend
l’importance … que quand on en est privée. Quand je reste à la
maison, ma fois, c’est de peu d’importance. Mais quand nous
sortons le soir, c’est arrivé plusieurs fois, ou quand il lui
prend la fantaisie de se montrer sévère à l’heure du déjeuner
alors que je visite des amies l’après-midi, je revis ces heures
d’angoisse au cours desquelles je ne cesse de me demander si « ça »
ne pourrait pas se voir ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Mais
j’ai assez parlé de moi ! parlez moi donc de vous, ma chère,
et surtout, parlez moi encore de cette petite Lucie . Je vous
avoue que je brûle d’en savoir plus sur cette fessée reçue
devant autrui. Et plus encore sur celle reçue par une autre épouse,
jusque là épargnée si j’ai bien compris. Vous en a –t-elle dit
plus ? J’attends votre prochaine lettre avec l’impatience
que vous devinez, et je vous embrasse en vous suggérant d’embrasser
en mon nom cette gentille Lucie !</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre
tendre</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: large;"><i>Caroline</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1886_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 8 :<br />
<b> </b><b>Lettre
Mme De V** à son amie de Mme A </b></span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc229_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« En
public ! »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Anne
Charlotte, épouse régulièrement fessée par son mari, poursuit sa
correspondance avec son amie d’enfance, Caroline. En réponse aux
questions insistantes de celle-ci, elle revient sur les confidences
d’une troisième femme, Lucie, qui, elle, a été fessée par son
mari en présence de deux autres couples. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mon
Dieu que j’aime votre fraîcheur ! Que j’aime votre
explication sur la fraîcheur de l’air sur les rondeurs privées de
slip ! Eh oui, on « ne pense qu’à cela », je
sais ! Et pourtant, en effet, en principe personne ne s’en
aperçoit. Sauf que nos hommes, eux, le savent. Et que, je constate
par votre récit que le mien n’est pas le seul, cela les met en
appétit ! Mais oui, ma belle, je vous taquine ! Bien sûr
qu’il m’est arrivé, moi aussi, de ne rien porter sous mes jupes
ou sous mes robes. La différence avec vous c’est que cela ne
m’arrive pas seulement après les séances autoritaires de mon
mari. Pour tout dire, il lui arrive assez souvent de me « demander »
(mais vous savez qu’avec nos hommes, leurs « demandes »
sont comme des ordres) d’oublier de mettre ma culotte, surtout
quand nous sortons en soirée. Et, tout comme vous, sa main rencontre
alors plus souvent que nécessaire le tissu qui moule mes fesses sans
autre protection. Je ne vous cacherai pas qu’il m’est arrivé
parfois de frôler l’incident. Par exemple quand, fort détendue,
et peut-être ayant un tout petit peu profité du champagne servi
sans limitation, je me suis mise à danser en oubliant que quand ma
jupe voletait par trop … Ou encore quand il m’est arrivé, chez
des collègues de mon mari, d’être assise dans un fauteuil très
bas et de surprendre tout à coup le regard d’un des hommes présent
et qui semblait se perdre en haut de mes cuisses. Mais au total,
après tout, rien ne me prouve que qui que ce soit ne s’en soit
jamais vraiment rendu compte. Encore qu’avec le temps, le regard de
mon cher mari est devenu fort acéré. Même sous un vêtement ample,
je ne sais pas comment il fait mais il est capable de savoir si j’en
ai une ou pas au premier coup d’œil. Ce qui m’a valu quelques
belles fessées les fois où j’en avais enfilé une malgré ses
ordres, et quelques caresses fort tendres quand, au contraire,
j’avais pris de moi-même l’initiative de ne pas en mettre. Tout
cela pour vous dire, ma toute belle, qu’il n’est même plus
nécessaire que j’en sois privée pour m’en priver ! </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Venons-en
à ma chère Lucie et à ses confidences tellement émoustillantes.
Je vous ai raconté dans ma dernière lettre comment son mari l’avait
punie en présence de deux autres couples, et comment une autre
épouse avait accepté de faire de même. Visiblement cette soirée
est restée, et on le comprend, gravée dans la mémoire de ma jolie
amie, et elle y est revenue plusieurs fois lors de nos conversations.
Il faut vous dire que je fais tout pour ramener « la question »
sur le tapis et que je n’ai pas caché à cette jeune femme que
moi, qui suis plus âgée qu’elle, subis souvent et depuis
longtemps le même traitement de mon mari. J’ai même ajouté, vous
me le pardonnerez j’espère, qu’une autre de mes amies,vous ma
tout belle, avez découvert plus récemment cette drôle d’habitude
qu’ont les maris de nous faire rougir le popotin. Et je dois vous
dire qu’elle a été fort intéressée par le récit de votre
découverte, et qu’elle est aussi curieuse de votre expérience que
vous l’êtes de la sienne. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Elle
m’a donc raconté par le menu cette première fessée reçue « en
public » comme elle le dit de manière charmante. Son mari,
elle en convient, l’avait prévenue, après l’avoir punie comme
vous le savez pour son attitude lors de la soirée chez nous, que
« la prochaine fois je n’attendrai pas d’être rentré à
la maison » Et même si elle n’avait pas véritablement
compris qu’il la menaçait d’une fessée immédiate et devant
témoin, elle avait, dit elle, fait attention à ne plus donner de
raisons de fâcherie à son mari. Ou au moins, comme elle le précise
« je veux dire à l’extérieur, à la maison il n’a jamais
vraiment renoncé ! » Mais comme elle le dit elle-même
« c’est plus fort que moi » et lors d’une soirée
chez un autre collègue de son mari, elle a récidivé sans même
s’en rendre compte. Cette fois, outre le couple qui invitait, un
autre couple était présent. La maîtresse de maison étant fort
occupée par le service participait peu à la conversation, et
l’autre épouse, une dame d’une cinquantaine d’année plutôt
réservée, parlait très peu elle aussi. C’est donc notre belle
écervelée qui a monopolisé la parole, intervenant sans cesse,
coupant la parole à son mari et surtout lui apportant la
contradiction, ce qu’elle savait pourtant lui être insupportable.
Jusqu’à ce que le dit mari la regarde dans les yeux et lâche le
fameux </span><span style="font-size: medium;"><i>« cette
fois nous n’attendrons pas d’être rentrés tu sais</i></span><span style="font-size: medium;"> ! »
avant de reprendre la conversation avec ses amis sans plus de
commentaire. Bien entendu, la belle avait compris ce qu’elle
pensait encore être une menace mais se l’était tenu pour dit et
n’avait plus dit un mot. A tel point que, quand ils étaient passés
au salon pour le café, l’hôtesse s’était inquiétée de la
voir « </span><span style="font-size: medium;"><i>aussi
silencieuse depuis tout à l’heure</i></span><span style="font-size: medium;"> »
Lucie avait bafouillé une vague explication, mais c’est son mari
qui avait tranquillement déclaré </span><span style="font-size: medium;"><i>« Lucie
s’inquiète un peu chère amie parce qu’elle sait qu’elle va
recevoir la punition qu’elle a bien méritée par son attitude</i></span><span style="font-size: medium;"> »Un
peu interloquée, mais en le prenant sur le ton de la plaisanterie,
la dame avait répliqué </span><span style="font-size: medium;"><i>« vous
ne voudriez quand même pas punir une aussi charmante enfant !</i></span><span style="font-size: medium;"> »
ce à quoi le mari avait répondu </span><span style="font-size: medium;"><i>« mais
bien sûr que si, madame. Comme vous le dites vous-même, Lucie se
comporte comme une enfant, il est donc bien normal qu’elle soit
punie comme telle, si Georges et vous-même me le permettait bien
entendu</i></span><span style="font-size: medium;"> » Et
avant que la dame n’ait pu répondre c’est son mari qui avait dit
« </span><span style="font-size: medium;"><i>Vous être
nos invités, vous faites comme chez vous, mon cher »</i></span><span style="font-size: medium;">
Il ne se l’était pas fait répéter et, en s’asseyant sur un des
fauteuils du salon avait simplement dit « </span><span style="font-size: medium;"><i>je
vous remercie, Lucie va donc recevoir sa fessée tout de suite. Viens
te mettre en place ma chérie </i></span><span style="font-size: medium;">»
La belle Lucie avait tenté d’échapper à son triste sort en
bafouillant « </span><span style="font-size: medium;"><i>mais
non ..pas ici…s’il te plaît …nos amis …à la maison si tu
veux</i></span><span style="font-size: medium;"> »
avouant ainsi, mais elle ne s’en est avisée que par la suite,
qu’elle était en quelque sorte habituée à la chose. Mais son
mari l’avait coupée d’un très sec « </span><span style="font-size: medium;"><i>cela
suffit Lucie. C’est tout autant nos amis que moi que tu as
indisposés, il est juste que tu sois punie en leur présence.</i></span><span style="font-size: medium;"> »
D’un geste qu’elle connaissait fort bien, il l’avait
« invitée » à le rejoindre, l’avait fait s’allonger
au travers de ses genoux, avait tout de suite relevé sa jupe et
s’était mis à la fesser exactement comme s’ils avaient été
dans leur chambre. Comme de coutume il avait appliqué une vingtaine
de claques par-dessus la culotte, puis elle avait senti avec effroi
ses pouces se glisser sous l’élastique de celle-ci. Elle avait
bien tenté de couiner et de l’implorer </span><span style="font-size: medium;"><i>« non..s’il
te plaît..pas la culotte, pas devant tout le monde »</i></span><span style="font-size: medium;">
mais une fois encore, implacable il avait répliqué « </span><span style="font-size: medium;"><i>une
fessée se reçoit déculottée, tu le sais très bien, et nos amis
aussi, j’en suis persuadé. Ne fais pas l’enfant, sinon tu sais
que ce sera plus long !</i></span><span style="font-size: medium;"> ».
Lucie en convint elle-même, ce ne fut pas, et de loin, la fessée la
plus sévère qu’elle ait reçue, même si ce ne fut pas non plus,
et loin de là, un simulacre. Mais comme le dit la belle
insupportable elle-même, « </span><span style="font-size: medium;"><i>la
situation était tellement nouvelle pour moi, tellement presque
incroyable, que je ne me souviens presque pas de la douleur. Je
m’appliquai surtout à ne pas laisser le moindre cri m’échapper.
Et ce n’est que lorsque mon mari m’a fait relever que je me suis
renduecompte que mes joues étaient trempées de larmes.</i></span><span style="font-size: medium;">
A</span><span style="font-size: medium;"><i> peine relevée, je
me suis empressée de tenter de remonter ma culotte. Mais, fidèle à
ses habitudes, mon mari me l’a interdit </i></span><span style="font-size: medium;">»
Elle s’était donc retrouvée debout, les bras ballants, le slip
tombé aux chevilles. Son mari l’avait alors autorisée à se
rasseoir, non sans lui intimer l’ordre, d’un geste de l’index,
de lui donner sa petite culotte qu’il avait glissée dans sa poche.
Lucie avait obéi, non sans s’être furtivement frotté les fesses
avant qu’elles ne touchent le canapé. Elle avait gardé les yeux
baissés, n’osant pas croiser le regard des autres. C’est alors
que le maître de maison a pris la parole :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« </span><span style="font-size: medium;"><i>Mon
cher, je vois avec plaisir que vous êtes de ces hommes qui
maintiennent des traditions auxquelles mon épouse et moi sommes très
attachés. Votre charmante épouse s’est conduite comme une gamine,
beaucoup de maris soi disant évolués et modernes lui en auraient
fait le reproche une fois rentrés à la maison. Et vous, chère
petite madame, vous auriez dû subir d’interminables réprimandes.
Alors qu’ici les choses ont été réglées promptement, sans cris,
sans aigreur. Et si votre mari me le permet, je vous félicite aussi,
chère Lucie. L’obéissance est une qualité rare de nos jours.
Vous avez reçu votre fessée avec beaucoup de dignité. Et je pense
que vous méritez de ne pas être la seule à témoigner ce soir de
ce qu’une épouse doit parfois subir.</i></span><span style="font-size: medium;"> »
Il s’était alors tourné vers son épouse et avait dit : «</span><span style="font-size: medium;"><i>tu
sais que nous avons des choses à régler nous aussi, et comme je
n’ai pas voulu t’empêcher de préparer notre repas j’avais
prévu que nous le ferions après le départ de nos amis ou demain.
Mais il me semble qu’il serait correct envers notre jeune amie de
nous exécuter tout de suite»</i></span><span style="font-size: medium;">
L’épouse avait hésité un instant, puis sans un mot s’était
levée, et s’était dirigée vers le siège où son mari était
assis. Elle ne lui avait pas répondu directement, mais s’était
arrêtée devant Lucie et avait murmuré « C</span><span style="font-size: medium;"><i>’est
pour vous, pour vous seule, que j’accepte, vous savez. Mais vous
avez été courageuse, et surtout vous avez compris qu’il n’y a
pas d’humiliation à obéir, mais aussi de la grandeur, je veux
vous le montrer à mon tour. Pour vous confirmer qu’il n’y a
pas de honte, mais de la fierté à être fessée par l’homme qu’on
aime.</i></span><span style="font-size: medium;"> » Et,
sans même que son mari n’ait eu à le lui demander, elle avait
relevé sa robe pourtant plutôt longue jusqu’au dessus de sa
taille et s’était penchée, les mains posées sur la table basse
du salon, le derrière tourné vers son homme. Celui-ci s’était
alors levé, mais avant de commencer ce qui apparaissait comme
maintenant inévitable, il avait dit avec un sourire que Lucie
qualifiait elle-même de «craquant » : </span><span style="font-size: medium;"><i>« Pour
te féliciter de ta décision, et à titre tout à fait exceptionnel,
je t’autorise à la baisser toi-même ma chérie</i></span><span style="font-size: medium;"> »
Et son épouse de répondre, la voix quand même un peu étranglée
« </span><span style="font-size: medium;"><i>merci,
Monsieur</i></span><span style="font-size: medium;"> »,
puis de s’exécuter, faisant glisser la culotte beige jusqu’à
ses pieds, puis la retirant complètement avant de, tout simplement,
la poser sur le dossier de la chaise puis de reprendre sa position,
le corps plié en deux, la robe coincée sous ses coudes contre son
corps, les deux mains tenant l’assise de la chaise. Le maître de
maison s’était alors levé, il s’était placé à coté de sa
femme, avait posé la main gauche au creux de ses reins, et de la
main droite s’était mis à la fesser méthodiquement. Il
s’appliquait, claquant alternativement chaque fesse, d’un
mouvement ample, régulier, comme un métronome. Le derrière de
madame Legoulle était moins rond et moins plein que celui de Lucie.
Même si elle restait une très belle femme, le temps avait fait son
œuvre, faisant perdre à cette paire de fesses un peu de sa fermeté
et de son insolence. Les assistants avaient pu constater que les
claques semblaient plus « s’enfoncer » dans ce derrière
que dans celui, plus ferme, plus dur, plus résistant peut-être, de
Lucie. Autant celui de celle-ci semblait une boule de granit sur
lequel les coups claquaient comme des pétards, rendant un bruit
clair de coup de fusil, autant celui de cette dame fort digne
semblait amortir chaque claque, se déformer, marquer l’impact de
la main une fraction de seconde, et rendre un bruit plus mat, comme
étouffé. Par contre, alors que Lucie avait réussi, en serrant les
dents à en avoir mal à la mâchoire, à ne pas lâcher le moindre
cri, autant l’épouse scandait chaque claque d’un petit cri,
bref, un peu étouffé. Une sorte de jappement qui alternait avec le
bruit des chocs entre la main large du mari et ce cul qui tremblotait
en rythme. « vlan » « </span><span style="font-size: medium;"><i>aie </i></span><span style="font-size: medium;">»
« vlan » « </span><span style="font-size: medium;"><i>hiii </i></span><span style="font-size: medium;">»
… Inconsciemment peut-être, Lucie avait gardé les jambes collées
l’une à l’autre, les fesses serrées, réussissant ainsi à
laisser cachée son intimité. Et quand la fessée avait été
terminée, elle avait réussi à se tourner de telle manière qu’elle
avait pu se frotter les fesses sans que les assistants ne voient
vraiment le coté pile de son individus. Seule la femme qui était
maintenant courbée et copieusement fessée et qui se trouvait alors
face à elle avait pu entrevoir brièvement son ventre et son sexe
couvert seulement d’une petite bande de duvet blond et frisé. La
belle Lucie avait en effet soin de sa petite chatte, l’épilant en
grande partie, à la seule exception de cette bande étroite que son
mari avait un jour qualifiée de « coiffure de Huron »
par référence à la manière dont, affirmait-il, les indiens de
cette tribu se coiffaient. Au contraire, quand monsieur Legoulle
avait cessé de tanner la peau des fesses de son épouse et lui avait
annoncé </span><span style="font-size: medium;"><i>« tu
peux te relever et calmer la chaleur</i></span><span style="font-size: medium;"> »
elle s’était redressée, et sans chercher un instant à cacher la
touffe frisée qui ornait son bas ventre, s’était mise à se
frotter les fesses tout en piétinant sur place en une sorte de danse
rituelle. Lucie avoue avoir été troublée par le contraste entre la
maîtresse de maison distinguée, attentive, presque guindée qui les
avaient reçus, et cette femme nue jusqu’à la ceinture, se
frottant les fesses cramoisies, aux cuisses larges et dont l’intimité
disparaissait derrière un buisson épais et dru. . Son mari
s’était alors levé, en déclarant « </span><span style="font-size: medium;"><i>nos
petites femmes ont été bien courageuses, nous allons boire le
champagne en leur honneur</i></span><span style="font-size: medium;"> »
Et la soirée s’était ainsi terminée autour des coupes de
champagne, la conversation reprenant, au moins entre les hommes,
comme si cet intermède de femmes fessées n’avait jamais existé.
Sauf qu’au moment de se séparer, la troisième femme, jusque là
fort discrète avait embrassé sur les deux joues les deux autres
puis leur avait murmuré : </span><span style="font-size: medium;"><i>« La
prochaine fois, c’est nous qui invitons, n’est-ce pas »</i></span><span style="font-size: medium;">
Puis elle avait ajouté, « </span><span style="font-size: medium;"><i>et
je ne serai pas en reste </i></span><span style="font-size: medium;">»
Et les trois couples s’étaient séparés sans que nul ne
s’inquiète de savoir ce qu’elle voulait dire par là. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma chère, je pense que je vous ai retracé assez fidèlement ce que
la belle Lucie m’a raconté finalement sans beaucoup se faire
prier. Je me demande même si elle n’y a pas pris un certain
plaisir. Après tout, peut-être que cette belle ingénue cache un
tempérament quelque peu exhibitionniste ? Pour ma part je vous
avoue qu’entendre cette belle plante décrire ainsi par le menu non
seulement comment elle avait été fessée mais aussi comment l’avait
été l’autre dame, plus âgée que moi m’a fort troublée. Je
crains d’ailleurs que ma jeune amie s’en soit douté puisque,
quand nous nous sommes séparées elle m’a glissé innocemment:
</span><span style="font-size: medium;"><i>« merci pour
ce moment agréable ma chère. Mais j’espère que nous nous
reverrons bientôt. J’aimerais vous avoir à dîner un soir, avec
votre mari je suis sûre que nous passerions une délicieuse
soirée</i></span><span style="font-size: medium;"> » Je
ne sais pas ce qu’elle avait en tête en disant cela, je ne suis
même pas crtaine qu’elle ait fait le lien avec le récit de cet
autre dîner, mais je vous avoue que, sans être en rien prête à
« passer à l’acte » il m’est venu quelques images
furtives qui ont eu sur mes sens la conséquence que vous devinerez
….</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">En
espérant que vous aussi aurez les sens allumés, je vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre
tendre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A.C.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1888_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 9 :<br />
Lettre de
Mme A* à son amie Mme De V* </span>
</h1>
<h2 align="left" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc231_805917996"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Découverte du martinet »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Anne
Charlotte et Caroline poursuivent leurs échanges épistolaires.
Caroline ne cesse de harceler son amie pour en savoir plus sur les
secrets de la belle Lucie qu’elle n’a jamais vue mais dont elle
connaît les aventures. Elle en profite, elle aussi, pour découvrir
d’autres pratiques et s’en ouvre à sa fidèle confidente.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère et si précieuse confidente,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
vous avez gagné ! Vous l’aviez deviné, la lecture des
confidences retranscrites de cette Lucie que je n’ai jamais vue a
eu le même effet sur moi que leur audition avait eu sur vous. En un
mot comme en mille, elle m’a fait mouiller plus qu’abondamment.
Et vous êtes bien placée pour savoir que dans ces circonstances, il
faudrait être bien bête pour ne pas donner à notre corps ce qu’il
réclame. Eh bien oui, je l’avoue, que dis-je, je le proclame, je
me suis donné du plaisir Je ne vais pas vous en dire plus, je vous
sais assez experte en la matière pour deviner comment. Par contre,
depuis nos derniers échanges, je pense avoir progressé et m’être
rapprochée de votre expertise sur un autre plan. Eh oui, ma chère,
il n’est plus sûr que vous méritiez la préséance sur moi dans
notre club des femmes fessées. Vous ne l’aviez obtenue que parce
qu’étant la seule dont le fondement ait été flagellé autrement
que par la dextre maritale. Vous ne l’êtes plus ! Je connais
depuis quelques jours moi aussi cette autre dimension de la fessée.
Celle procurée par les lanières d’un bon vieux martinet bien de
chez nous. Je vous le dis tout net, et d’ailleurs vous le savez, la
douleur est sans commune mesure avec celle d’une fessée classique.
Même si, je dois le dire, mon mari, toujours attentif, a veillé à
n’user qu’avec mesure de cet instrument aussi nouveau pour lui
que pour moi. Et pourtant, je vous l’avoue, je suis presque fière
de vous avoir en quelque sorte rejointe. Et chaque fois, et c’est
de plus en plus souvent, que mon mari s’occupe ainsi de mon
postérieur, je me demande si je m’approche de ce que vous
connaissez, et aussi de ce que votre jolie amie connaît. Mais mon
Dieu, faut-il croire que toutes les épouses sont ainsi traitées par
leurs maris ? Ou bien est-ce que celles qui le sont ont une
sorte de sixième sens pour se reconnaître entre elles ? J’ai
repensé longuement à ce qu’a eu à subir votre jeune amie lors de
la soirée chez leurs amis. Je ne doute pas qu’être ainsi mise à
nue devant autrui soit une épreuve. Et pourtant, si elle vous la
raconte avec tant de facilité, n’est-ce pas qu’elle y a trouvé
aussi autre chose que de la souffrance et de la honte ? Après
tout ne m’avez-vous pas écrit qu’il vous est arrivé de « la »
recevoir à l’hôtel et de vous demander si d’autres n’en
avaient pas entendu le bruit ? A ce moment là, qu’avez-vous
ressenti ? N’y-a-t-il pas une parcelle de vous qui aimerait
que d’autres sachent que vous la recevez ? Ne vous offusquez
pas de ces questions, ma toute douce, si je vous les pose vous
comprenez bien que c’est d’abord à moi-même que je le fais. Je
ne peux me le cacher, vous décrire les fessées que je prends ne
m’est pas indifférent. Pour le dire plus crûment, cela me met les
sens en feu. Et vous savez comment je tente d’éteindre cet
incendie ! Et, tout en n‘étant certainement pas prête, comme
vous ne l’êtes pas non plus, à « passer à l’acte »
comme vous dites, je ne peux pas nier que l’idée d’être ainsi
fessée devant témoin a été pour moi une source de rêveries
éveillées et fort motivantes pour ma sensualité. A ce propos,
l’invitation chez la belle Lucie et son mari a-t-elle été
confirmée ? Si elle l’est y répondrez vous ?
Préviendrez-vous votre mari des habitudes de ce couple ? A
moins qu’il ne les connaisse déjà ? Dois-je m’attendre à
lire bientôt sous votre plume le récit de la fessée de ma chère
Caroline devant la belle Lucie ? Voilà bien des questions
auxquelles je vous somme de répondre par retour du courrier, sous
peine de mériter de « la »recevoir chaque matin jusqu’à
ce que vous vous soyez exécutée ! Mais j’en reviens à ma
« découverte ». Vous avouerez que c’est curieux, mais
depuis quelques mois maintenant, il me semble que la passion de mon
époux pour la partie charnue de mon individu et sa manie de le
porter à incandescence pour le moindre prétexte se soit subitement
accrue. Il m’arrive parfois de considérer que le rythme
hebdomadaire auquel vos fesses sont soumises à la main de votre mari
soit presque enviable, tant il devient courant que les miennes le
soient plusieurs fois dans la même semaine, et parfois à fort peu
de jours d’écart. A tel point qu’il est courant qu’elles ne se
soient pas encore totalement remises d’une tannée quand il prend à
mon cher tourmenteur l’envie de remettre le couvert. Et si je ne
vous cache pas que la peau a un peu de mal à supporter une volée
quand elle est encore marquée et fragilisée par la précédente, je
ne peux pas nier que le plaisir que prend mon maître et seigneur à
découvrir mon fondement encore marqué par les traces de son œuvre
me console largement des désagréments. D’autant qu’il ne cache
pas alors son admiration pour, si vous me permettez de citer sans
censure ses mots, « ce cul magnifique qui ferait bander un
mort » (sic) Et même si cette admiration se paye en claques
d’autant plus appuyées que leur cible rougeoie plus que le soleil
de l’épouse de Barbe Bleue, elle entraîne aussi d’autres
compensations que je vous laisse deviner. Pour prendre mon mari au
mot, même s’il n’est heureusement pas mort, la vue de mon
derrière ainsi décoré a bien la conséquence qu’il prétend sur
sa virilité. Après tout, peut-être est-ce le fait de dialoguer
avec vous à ce sujet qui m’a amenée à mieux la recevoir ?
Ou bien mon cher mari lit-il dans mes pensées ? En tout état
de cause, la semaine dernière, après une fessée « à faire
pipi par terre » qui m’avait laissé le derrière meurtri à
tel point qu’il m’a été quasiment impossible de dormir sur le
dos de toute la nuit qui a suivi, mon cher mari s’est plaint, sans
rire … d’avoir mal à la main ! Et comme je ne compatissais
pas assez à la souffrance de ce pauvre petit homme, il m’a lancé :
« nous aurions vraiment bien besoin d’un martinet tu sais ».
Phrase laissée sans réponse, et qui n’en demandait d’ailleurs
pas. Phrase qui n’était pas tombée dans l’oreille d’une
sourde, vous le pensez bien. Mais phrase sans suite le lendemain, ni
les jours suivants. Et donc phrase oubliée. Jusqu’à avant –hier,
alors que mon cher mari m’accompagnait en ville pour faire de
courses. Alors que nous passions devant le magasin « Au bonheur
de Madame » (je vous promets que je n’invente pas, c’est
bel et bien le nom de ce magasin qui tient à la fois de la droguerie
et du marchand de vaisselle) il m’a invitée, comme si cela allait
de soi : « Tiens, entre donc, je pense qu’ils en
vendent » Et comme je marquai mon incompréhension il a
précisé, sans même baisser la voix alors que nous étions sur le
trottoir assez chargé de promeneurs, « Eh bien des martinets
!. Tu vas en acheter un, je te laisse le choix s’ils ont plusieurs
modèles. Je t’attends au Café du Prince, nous prendrons le thé
avant de rentrer » J’ai tenté de le dissuader, non pas tant
par refus de l’idée qu’il s’équipe ainsi, d’une certaine
manière j’y étais prête, mais par la perspective de devoir
entrer seule et faire une telle acquisition. Mais j’ai compris que
cela faisait partie du « jeu » pour lui. Il ne l’a
d’ailleurs pas caché, continuant à m’expliquer, toujours à
haute voix pour m’empêcher de faire durer l’explication
« puisque c’est sur toi qu’il va servir, ma chérie, il est
juste que cela toi qui l’achètes non ? Et puis, une bonne
épouse n’a-t-elle pas toujours envie d’offrir à son petit mari
le cadeau dont il a envie ? Surtout si elle sait que ne pas
obéir à une telle demande aurait des conséquences sur … »
Il n’a pas eu besoin de terminer, j’avais tellement peur qu’on
l’entende que je me suis précipitée dans le magasin. Je vous le
disais, recevoir le martinet a été pour moi une vraie épreuve. Une
épreuve initiatique peut-être, mais une épreuve quand – même.
Mais aussi douloureuse qu’elle ait été, et je sais que vous savez
ce que « douloureuse » veut dire en l’occurrence, je
pense sincèrement que le recevoir a été moins difficile que de
l’acheter ! Je vous campe la scène, et vous vous imaginez
votre Caroline déboulant dans ce magasin encombré d’ustensiles
ménagers les plus divers, des balais de crin aux plus belles
assiettes en porcelaine. Et Caro de déambuler à travers les rayons,
le nez en l’air, affectant celle qui se balade sans but précis. Et
soudain, au détour du rayon « animalerie » (je vous
promets encore une fois que je ne ments pas, c’est à côté des
paniers pour chiens et des caisses pour transporter les chats que je
« les » ai trouvés) je tombe nez à nez (si tant est
qu’un martinet ait un nez ?) avec un véritable bouquet de
martinets. Oui, un bouquet. Une bonne dizaine de ces objets étaient
en effet regroupés et suspendus à un crochet. Je m’approche,
l’air de rien, faisant mine d’être passionnée par les jouets
pour chiots. Distraitement j’approche la main, et je touche la
chevelure de cuir. Dois-je l’avouer, ce contact me donne la chair
de poule. Du bout des doigts je palpe ces longues lanières,
tellement lisses d’un côté, et rugueuses de l’autre. Un frisson
glisse de ma nuque jusqu’au bas de ma colonne vertébrale. Je sens
que mon cœur bat plus vite. Je sais que je suis déjà rouge. Et
pourtant, en même temps, je sais déjà que je vais le faire, que je
vais l’acheter. Je sais déjà que je vais sortir avec cet
instrument. Non pas tant parce qu’il me l’a ordonné, parce qu’il
le veut, mais parce que je le veux ! Je le sens jusqu’au plus
secret de moi-même, il me faut cet objet. Je le veux. J’en ai
besoin. Mais auparavant il me reste la vraie épreuve. M’approcher
du comptoir où trône une grosse dame, la cinquantaine, cheveux
ramassés en un chignon très sage, et une poitrine opulente
généreusement offerte aux yeux des amateurs. <br />
« Bonjour
Madame, je voudrais ….euh vous avez des … ». Décidément
le mot ne veut pas sortir. J’indique de la main la direction du
rayon en question mais je bredouille tant que la vendeuse finit par
m’interrompre : <br />
« Vous cherchez quoi, madame ?
je peux vous aider ? » <br />
« Euh..oui..je voulais
voir un …enfin un ..Là-bas … » <br />
« un martinet ?
Mais bien sûr ! » <br />
Mon Dieu pourquoi parle-t-elle
aussi fort ? J’ai l’impression que sa voix emplit le
magasin, où déambulent d’autres clients. Veut-elle vraiment que
toute la clientèle sache que la petite madame vient acheter un
martinet ? Et pourquoi pas le crier tant qu’elle y est :
« Mesdames, Messieurs, cette jeune dame vient acheter un
martinet qui va lui cingler le cul bientôt ! » Le rouge
aux joues, j’acquiesce de la tête. La patronne sort de derrière
son comptoir et se dirige vers le rayon concerné. Elle se saisit
d’une sorte de perche dotée d’un crochet en use habilement,
comme pour décrocher un régime de bananes d’un arbre. Et la voilà
qui étale la dizaine de martinets sur le dessus d’un rayon. Tous
pareils, manche en bois d’une trentaine de centimètres, lanières
de cuir de longueur comparable. Mais en même temps tous différents,
ou presque. Des manches en bois blancs, d’autres colorés, bleus,
jaunes, verts… Des lanières noires, brillantes d’un coté,
d’autres fauves, d’autres beige clair. Et la matrone de demander,
toujours d’une voix de stentor : <br />
« Lequel vous
ferait plaisir, ma petite dame ? »<br />
Me ferait
plaisir ! mais elle le fait exprès ? J’ouvre la bouche
et il n’en sort qu’un vague borborygme. <br />
« Humme..ben…je
ne sais pas … » <br />
Puis comme je ne vais quand même pas
attendre qu’elle me propose un essayage, j’indique à la vendeuse
l’un des objets, au hasard. Manche jaune tirant sur le vert,
lanières bordeaux. Que m’importe la couleur de la chose, je ne
l’achète pas pour le regarder ni pour l’exposer, et celui qui va
l’utiliser non plus. Posément, la vendeuse raccroche le bouquet,
puis se dirige vers la caisse en demandant, presque à la cantonade,
tout en agitant l’objet quasiment au dessus de sa tête, comme s’il
importait que tous les acheteurs et tous les vendeurs du magasin
soient bien informés que « la petite dame » a acheté un
martinet : <br />
« Je vous mets un sachet ? »<br />
Ben non, je vais sortir en le tenant à bout de brs, comme un sac à
main ! Bien sûr que tu me le mets dans un sac en papier !
Dans une sorte de brouillard, je paye, j’attrape le sac, je le
fourre sous mon bras et je me dirige vers la sortie, accompagnée
d’un tonitruant : <br />
« Au revoir, madame, à bientôt
j’espère ! »<br />
Pense-t-elle que je vais l’user
aussi vite qu’il me faudra le remplacer, ou que je commence une
collection ? Me voilà dans la rue, attentive à ce que le dit
sachet se fasse aussi discret que possible, comme si celles et ceux
qui me croisent pouvaient deviner son contenu. Quelques minutes après
je retrouve mon mari attablé devant un demi de bière. Avant même
de me laisser commander mon thé et mon gâteau, il tend la main pour
se saisir du sac. Il aura l’élégance de ne pas sortir l’objet,
mais seulement d’ouvrir le sachet et, tout sourire de me dire :
<br />
« Il est très joli. On va rentrer vite, j’ai hâte de
l’essayer. »<br />
Il a eu la délicatesse de ne pas ajouter
« toi aussi ? » Mais c’était implicite. Et comme
vous pouvez le deviner, moins d’une heure plus tard, les fesses de
votre Caro faisaient connaissance avec la chevelure de l’objet. Mon
Dieu quelle rencontre ! Mais, si vous le permettez, je vous la
raconterai plus tard, pour l’heure il me faut terminer cette
lettre, mon mari m’attend, et il ne serait pas prudent pour mes
fesses de le faire patienter plus longtemps. Dans l’état où elles
se trouvent quarante huit heures après l’inauguration de
« Marcel » (c’est ainsi que mon facétieux de mari a
décidé de l’appeler !) elles ont besoin d’encore quelques
jours de repos, je pense que vous le comprendrez. Sachez juste que
votre Caro est très fière d’être, comme vous, une femme qui
connaît cet autre monde : celui du martinet.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
vous remercie de me l’avoir indirectement fait découvrir, et je
vous embrasse</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Caroline.
</span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1890_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 10 :<br />
<b> </b><b>Lettre
Mme De V** à son amie de Mme A </b></span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc233_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Lucie,
suites »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Dans
une lettre précédente, Anne – Charlotte a raconté à son amie
Caroline comment son autre amie, Lucie avait reçu une fessée de son
mari en présence de deux autres couples. De son côté, Caroline
découvre de nouvelles étapes dans sa vie de femme fessée. Ainsi,
sur consigne de son mari, elle a acheté un martinet. Elle l’a
raconté à son amie qui continue à rencontrer Lucie qui poursuit
son récit, qu’Anne Charlotte retranscrit à Caroline.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle, </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
n’ai pas besoin de vous dire combien je suis heureuse que, vous
aussi, ayez franchi ce pas ! Heureuse pour vous. Heureuse que
vous connaissiez ce sentiment si particulier. Faut-il plutôt dire
ces sensations si particulières ? Avoir la peau des fesses
flagellée par le martinet, c’est en effet, vous l’avez constaté,
des sensations physiques différentes de celles d’une fessée
manuelle. Même si, au total, une bonne et longue fessée à la main
peut faire aussi mal que quelques coups de martinet, la douleur est
d’une autre nature. Autant la main chauffe toute la surface des
fesses de manière presque uniforme, autant les lanières donnent
l’impression que la peau du cul est en quelque sorte déchiquetée,
labourée, hachée menue. Mais ce n’est peut-être pas là
l’essentiel. Il me semble, vous me direz si vous partagez ce
sentiment, que la différence tient surtout à la relation entre la
personne fessée et celui qui la fesse. En passant de la fessée
manuelle, allongée le plus souvent sur les genoux du mari, au
martinet, reçu souvent debout, penchée sur le dossier d’un siège
ou sur un meuble, il m’a semblé passer d’un statut enfantin à
une position d’adulte. Dans la fessée manuelle, on peut en quelque
sorte « jouer » à être redevenue une petite fille, et
ce « jeu » n’est pas pour rien dans le plaisir qui
accompagne les cris et les pleurs. Mais quand on reçoit le martinet
comme je l’ai reçu de mon homme, on ne peut plus se mentir. C’est
bien une femme, adulte, raisonnable, majeure, qui est ramenée à la
position d’une femme aux fesses nues et offertes, piaillant sous
les coups d’un martinet. Ce n’est plus un derrière enfantin, un
popotin, un « cucu » qui est fessé. C’est le derrière
mûr, large, affirmé, d’une femme tout aussi mûre qui est cinglé
par les lanières. Ce ne sont plus des pleurs d’enfant. Ce sont les
cris d’une femme adulte. On ne peut plus se le cacher, on est une
femme fessée, cinglée, meurtrie, et qui, puisqu’elle se laisse
faire, et même fait en sorte de l’être, aime cela. Il me semble
bien qu’en allant vous-même faire l’acquisition de votre
martinet, vous vous êtres bel et bien mise dans cette position. Non
plus celle d’une femme qu’un homme fesse presque par surprise,
mais bien celle d’une femme qui, d’une certaine manière,
revendique d’être fessée. Vous comprendrez qu’il me tarde de
lire le récit de votre découverte de ces sensations. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">De
mon côté c’est avec plaisir que je m’en vais vous faire
partager la suite des confidences de ma jeune amie. Vous vous
souvenez que lors de la soirée lors de laquelle elles avaient été
fessées, la troisième femme avait lancé une invitation chez elle
en ajoutant, quelque peu énigmatique qu’elle « ne serait
pas en reste. » Et vous allez voir qu’elle a honoré sa
promesse. En effet, moins de trois semaines plus tard, son mari et
elle ont invité leurs amis en même temps que le couple chez qui
Lucie avait reçu sa première fessée en public. Bien entendu, les
mots de l’épouse qui recevait ce soir là n’étaient pas tombés
dans l’oreille d’une sourde, et Lucie s’était arrangée dans
les jours qui avaient suivi cette soirée mémorable pour revoir la
dame qui avait partagé son sort et l’interroger sur leur consœur.
Éliane, puisque c’était là son prénom, l’avait reçue fort
gentiment, et lui avait dit très franchement que pour elle aussi,
cela avait été la première fois qu’elle était fessée autrement
que dans l’intimité de son couple. En ajoutant que le fait que
Lucie l’ait été la première avait, finalement, rendu la chose
plus facile à supporter. Elle avait même avoué à Lucie que quand
elle l’avait vue allongée sur les genoux de son mari, les fesses
rougissantes sous ses mains, et avant que son propre mari ait décidé
de faire la même chose pour elle, elle s’était imaginée dans la
même position. D’une certaine manière, elle n’avait pas
vraiment été étonnée de la demande de son mari et elle ajouta
qu’il lui aurait paru déloyal à l’égard de sa jeune invitée
de la laisser affronter seule cette épreuve. D’ailleurs,
ajoutait-elle la troisième épouse, Juliette, avait dû ressentir la
même chose, puisqu’elle avait laissé échapper ce qui pouvait
apparaître comme une promesse : « je ne serai pas en
reste ». Éliane et elle étaient amies depuis plusieurs
années, sans que leur amitié les ait vraiment amenées à une
intimité du même ordre que celle qui nous unit. Du reste, précisait
Éliane, mon amie ne lui avait jamais fait de confidences sur sa vie
intime. Et bien entendu elle n’en avait pas fait non plus sur la
sienne. Elle ne s’était jamais posé la question de savoir comment
le mari de son ami réglait les querelles conjugales. Pas plus
qu’elle n’avait eu l’occasion de faire savoir à son amie que
son mari lui rougissait assez régulièrement les fesses. Pour
autant, elle avait cru de son devoir d’appeler celle-ci au
téléphone (elle était très fière d’être une des premières
dames du canton à passéder cet isntrument) le lendemain même de
cette mémorable soirée. Pour lui dire d’abord que, malgré cet
épisode dont elle ne niait pas l’importance à ses yeux (mutine
elle avait précisé « et pas seulement à mes yeux, si vous
voyez ce que je veux dire ! ») la soirée avait été fort
agréable. Mais aussi pour lui dire, avant même qu’elle n’ait
expliqué le sens de ses mots, « qu’en aucun cas elle n’était
obligée à rien » et que « ce qui était arrivé à la
jeune Lucie et à moi, même en la présence de votre mari et de
vous-même, ne concerne que nous et nos maris ». Ce à quoi
Juliette avait répondu qu’elle l’entendait bien ainsi mais que
contrairement à ce que semblait croire Éliane, elle n’était pas
tout à fait ignorante des pratiques dont elle et leur jeune amie
avaient été les victimes lors de cette soirée. « Eh oui, ma
bonne amie, mon mari pratique avec moi, ou plutôt sur moi, à peu
près de la même manière que les vôtres. Et pour tout vous dire,
dès que le mari de cette jeune et belle écervelée s’est mis à
lui faire entendre raison de manière claquante, j’ai su qu’il
m’arriverait à coup sûr la même chose le soir même. Je ne
pouvais ignorer que la scène à laquelle il venait d’assister lui
aurait donné des idées à mon endroit, ou plutôt à mon envers !.
Pourtant, je lui ai été reconnaissante de ne pas évoquer la
possibilité de suivre l’exemple des deux autres hommes .
Visiblement, il ne voulait rien brusquer, rien m’imposer. Et c’est
justement parce qu’il m’a laissée libre que j’ai décidé,
dans l’instant, que moi aussi je devrai payer de ma personne. Quand
nous nous sommes retrouvés dans la voiture, en sortant de chez vous,
mon mari m’a interrogée sur ce que j’avais voulu dire par « je
ne serai pas en reste » et je lui ai répondu sans barguigner
que, moi aussi, j’étais capable de me montrer obéissante. Et
comme il faisait semblant de ne pas comprendre, je l’ai même
taquiné sur le mode « puisque tu as pu admirer les postérieurs
de ces dames, ne serait-il pas juste que leurs maris puissent faire
de même avec celles de ton épouse mon cher ? » Insolence
qui, bien entendu, lui a donné le motif rêvé pour m’en coller
une sévère dès notre retour à la maison, non sans la conclure en
disant « puisque c’est ton choix, ma chère, je retarderai la
prochaine jusqu’à ce que nos amis répondent à notre invitation »
Juliette avait ajouté que c’était la phrase d’Éliane sur « la
grandeur » qu’il y avait à être fessée par l’homme qu’on
aime qui l’avait décidée à s’y soumettre elle aussi. Son mari
et elle avaient donc organisé cette nouvelle réunion entre amis et,
dès l’apéritif, c’est lui qui avait annoncé que son
épouse ayant « commis quelques bêtises » durant la
quinzaine de jours écoulés depuis la précédente soirée, elle
serait punie au dessert. Éliane s’était alors permis de remarquer
que cela lui semblait bien sévère de laisser la maîtresse de
maison servir le repas avec « une épée de Damoclès »
au - dessus de la tête. Le mari en avait convenu, tout en précisant
ironiquement que ce n’était pas la tête de son épouse qui était
menacée, et, son épouse acquiesçant, elle avait reçu sa fessée
séance tenante et, selon les mots de son mari « comme nous
pratiquons d’habitude » L’épouse s’était alors placée
derrière un des fauteuils du salon, elle avait remonté sa longue
robe jusqu’à la taille, découvrant une petite culotte ivoire que
son mari avait descendue jusqu’à ses chevilles. Il s’était
alors excusé dans un sourire « d’avoir les mains fragiles »
tout en retirant sa ceinture qu’il avait pliée en deux avant de
cingler à douze reprises les fesses de son épouse. A chaque coup,
celle-ci se redressait un instant, comme un cheval qui se cabre, en
étouffant un « umpf » guttural avant de reprendre la
position. Les deux femmes se mordaient les lèvres, ressentant
presque physiquement la brûlure du cuir sur leurs propres fesses.
Celles de Juliette étaient marquées, zébrées de longues traces
rouges qui viraient déjà au violacé alors que la fessée n’était
pas terminée. Sans se retourner, l’épouse avait alors remonté sa
culotte, esquivant une grimace de douleur quand elle était venu
frotter les fesses tuméfiées, puis avait repris son service en
remarquant seulement : « vous m’excuserez de ne pas
m’asseoir avec vous tout de suite, n’est ce pas ? » La
soirée s était alors poursuivie sans que personne ne fasse
plus la moindre allusion à la manière dont elle avait commencé.
Sauf au moment du départ, quand le mari d’Éliane avait proposé
de « nous revoir tous et toutes bientôt » tandis que
celui de Lucie ajoutait « et si nos chères épouses le veulent
bien, nous mettrons tous nos comptes à jour » Personne ne
s’étant récrié, la chose fut ainsi convenue. Vous avouerai-je,
ma tendre amie, que depuis que Lucie m’a fait ce récit je ne cesse
de me demander si, d’une certaine manière, je ne l’envie pas.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et
vous, imaginez vous votre tendre popotin traité ainsi devant
d’autres que votre cher et tendre époux ?<br />
Je vous
embrasse.<br />
</span><span style="font-size: medium;"><i>
</i></span><span style="font-size: medium;"><i>Votre troublée</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.</i></span></span></div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1892_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 11 : <br />
Lettre de
Mme A à son amie Mme De V** </span>
</h1>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Dans
un courrier précédent (voir Correspondance n° 9) Caroline a
raconté à son amie d’enfance comment, sur décision de son mari,
elle avait du faire l’acquisition d’un martinet. Elle revient sur
le sujet dans une nouvelle lettre, en réponse à celle où Anne –
Charlotte lui a retranscrit le récit des fessées reçues par son
amie Lucie et une autre dame lors de soirées chez elles, en se
demandant comment elle vivrait une expérience pareille. </span></span>
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc235_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Et
si moi aussi … ? »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
très chère,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous
vous doutez, j’en suis sûre, de la gourmandise avec laquelle j’ai
lu, que dis-je j’ai dégusté, votre dernière lettre. Vraiment,
vous avez du flair et de la méthode pour susciter les confidences,
ma très chère ! Mais dites - moi, pensez vous qu’il existe
autour de nous … des femmes, je, veux dire des épouses, qui ne la
reçoivent pas ? Vous, la belle Lucie, la digne Eliane et même
Juliette …. Mais oui, notre association devient une structure de
masse si on ose dire ! Mais finalement aussi que d’expériences
différente !. Évidemment, « la » recevoir
autrement que dans l’intimité du couple change tout !
Peut-être plus encore que le passage de la main maritale aux
lanières du martinet. Et on ne peut penser à ces épouses troussées
devant d’autres couples sans s’imaginer au moins furtivement à
leur place, ce qui ne veut pas dire qu’on soit prête à le faire. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A
propos de martinet, puisque le mot vient sous ma plume, je n’ai pu
que vous conter l’achat de la chose.. Or vous vous doutez bien que
ce n’est pas pour en faire un élément de décoration de notre
intérieur que mon époux m’a fait faire cet achat. Comme vous vous
seriez douté qu’il a tenu absolument à l’étrenner dès notre
retour à la maison. Je dois reconnaître qu’il n’a pas cherché
un vain prétexte ou inventé un motif de circonstances. Il s’est
contenté de me regarder avec de regard de loup qui me trouble
toujours autant en disant : « Tu t’en es bien tirée, ma
chérie, c’est un bel achat, nous allons l’essayer tout de
suite ». Je n’ai ni essayé de retarder ce que je savais
inéluctable, ni tenté de le faire changer d’avis, ni même voulu
argumenter sur l’absence de motif, sachant fort bien que mes
tentatives en auraient constitué un parfait. C’est donc sans
tergiverser que j’ai suivi mon maître et seigneur dans la chambre
conjugale. Et c’est de moi-même que j’ai posé la question :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> -Comment
dois-je me mettre ? </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A
laquelle il répondit sans hésiter, et avec cette pointe de
vulgarité qui elle aussi m’émeut parfois chez lui :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> « A
poil et sur le lit. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il
m’était déjà arrivé de recevoir une fessée dans la tenue
d’Eve, mais c’était parce que j’étais déjà ainsi quand
l’envie prenait à Monsieur. Il lui arrive assez souvent de me
demander de me mettre ainsi toute nue, et j’avoue être assez fière
du plaisir visible – vous savez bien comment on mesure ces choses
chez nos époux – qu’il prend à me regarder ainsi avant de me
rendre hommage autrement qu’avec ses yeux. Mais c’était la
première fois qu’il me voulait ainsi pour me tanner la peau des
fesses. J’ai donc obtempéré et je n’ai pas voulu jouer les
ingénues plus longtemps en lui demandant comment il convenait de
m’installer sur le lit, la position à plat ventre étant à
l’évidence ce qu’il attendait de moi. Pas tout à fait cependant
puisque, avant d’entrer en action il me demanda – mais le verbe
« demander » est-il celui qui convient en la
circonstance ? – de « présenter mes fesses mieux que
cela » Je me suis donc retrouvée agenouillée, la tête dans
les mains, les coudes sur le lit, et le popotin en effet saillant et
provoquant. J’avais fermé les yeux, mais il n’était pas
nécessaire que je le vois pour savoir qu’il avait pris en main
l’objet dont nous venions de faire l’acquisition. Je me préparai
à en subir les morsures, en repensant à ce que vous m’en aviez
dit, ce qui contribuait à la fois à me terroriser et à souhaiter
qu’il passe à l’action sans plus tarder. Mais alors que
j’essayais en quelque sorte d’imaginer la douleur que ces langues
de cuir allaient faire naître sur ma peau tendre, alors que je
cherchais à anticiper la déchirure, c’est au contraire une sorte
de douce caresse qui est venue me chatouiller la peau des épaules
avant de descendre le long de mon dos. Bien loin de la brûlure à
laquelle je tentais de me préparer, c’était comme si des dizaines
de doigts effleuraient la peau de mon dos. Comme si des serpents de
douceur se lovaient sur mes épaules, puis se glissaient doucement,
lentement, sensuellement le long de ma colonne vertébrale. Je
sentais que tout mon dos se hérissait de chair de poule, de même
que mes bras alors même que la chevelure caressante ne les avait pas
touchés. D’un instrument de punition, mon mari avait fait un outil
de douceur, de plaisir, de bonheur. Les lanières frôlaient mon dos,
jusqu’aux reins, puis remontaient, infiniment lentement, Elles
roulaient sur ma nuque, s’égaraient de nouveau sur mes épaules,
s’immisçaient sous mes aisselles, se mêlaient à mes cheveux.
Puis elles reprenaient leur lent voyage entre mes omoplates,
déviaient sur mes flancs, sur mes hanches. Je ronronnais de plaisir,
j’écartais les bras pour que les langues de plaisir puissent me
caresser mieux encore. Puis, elles s’étalèrent sur mes fesses,
toujours aussi douces, toujours aussi caressantes, toujours aussi
délicates. Elles qui auraient dû les flageller, les frapper, les
cingler, voilà qu’au contraire elles les câlinaient, les
dorlotaient, les sublimaient. Inconsciemment je tendais les fesses
vers ces dispensatrices de douceur. Ce faisant mes deux hémisphères
s’écartaient, ouvrant largement la raie fessière, impudiquement.
Alors ces coquines caressantes s’y glissaient, s’y inséraient.
J’accentuais la position pour les écarter plus encore, pour que
les lanières pénètrent plus profondément. Elles allaient et
venaient dans la vallée profonde. Elles titillaient mon petit trou,
et je haletais de plaisir. Elles coulissaient sur toute la longueur
de ma raie, et je feulais de bonheur. Elles feignaient de s’approcher
de ma chatte que je sentais ouverte, ruisselante, mais au dernier
moment elles changeaient de direction, et je grondais de dépit.
Elles visitaient alors mes cuisses, leur intérieur si tendre, le pli
de mes genoux, mes chevilles, jusqu’à venir chatouiller
délicatement la plante des pieds. J’écartais les orteils pour
qu’elles s’y emmêlent. Et la pérégrination voluptueuse
reprenait. La caresse délicieuse remontait, centimètre après
centimètre. J’écartais les cuisses autant que ma position me le
permettait dans l’espoir qu’enfin elles viennent déposer leurs
baisers délicats sur mon sexe impatient. Doucement j’incitais mon
tendre tourmenteur à les laisser aller là où mon plaisir les
demandait tellement. « Oui…vas-y.. ;oui…s’il te
plaît..plus haut.. ; »Mais il me faisait encore languir,
encore espérer, encore supplier. La chevelure infernale reprenait
ses errements. Mes flancs, mes reins, mes fesses, mon dos, mes
cuisses…. Et soudain, l’explosion. Un arc électrique me traversa
le corps. Un cri rauque monta à mes lèvres. Mon corps se tendit
comme un arc. Les lanières étaient venues frotter sur ma chatte,
griffant délicatement mes lèvres et surtout titillant presque
violemment mon petit bouton. Un summum de plaisir, mieux qu’une
langue – et pourtant mon Dieu que j’aime cette caresse au nom
sentant le latin de cuisine – mieux qu’un sexe qui pénètre.
Mieux même que le plaisir que l’on se donne à soi-même. Mon
clitoris semblait être devenu énorme, monstrueux. Ma chatte
semblait vouloir avaler ces lanières diaboliques. Mon bouton
irradiait dans tout mon corps. Je jouissais comme jamais je n’avais
joui. Je hurlais presque : « ouiii ! vas-y !
fort ! plus fort ! » Alors, lancées à toute volée,
les lanières du martinet s’abattirent sur mes globes. Déchirement.
Douleur. Ou plaisir ? Ou les deux ? Ou au-delà ? Mes
cris étaient-ils de plaisir, de jouissance, ou de douleur ? Je
n’étais plus en mesure de distinguer les uns des autres. Mon
orgasme gigantesque se mêlait intiment avec une douleur dépassant
tout ce que les fessées les plus sévères m’avaient fait
connaître. Et tandis que les lanières continuaient à me lacérer
les fesses je continuais à crier mes « Oui…. Plus fort !! »
et je me suis abattue dans un sanglot tout en tremblant de plaisir.
Et quand mon bourreau d’amour, après avoir arrêté le ballet
infernal des lanières, saisit à pleines mains mes fesses
déchiquetées pour les écarter plus encore et y glisser sa queue,
quand celle-ci s’introduisit dans mon anus dilaté mais si
sensible, quand il m’a ainsi enculée, bourrée, emplie le cul de
sa bite turgescente, alors que la douleur de cette pénétration
brutale, violente, sauvage, est venue se superposer à celle qui me
déchirait les fesses qu’il malaxait tout en me baisant le petit
trou, c’est à vous que j’ai pensé, ma chère. Comment
pourrai-je jamais vous remercier de ce moment d’extase ?</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre
Caroline, épuisée de douleur, et de plaisir, à jamais
reconnaissante que vous l’ayez amenée à ce nouveau continent du
plaisir.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1894_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 12 :<br />
<b> </b><b>Lettre
Mme De V** à son amie de Mme A </b></span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc237_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Juliette »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Anne
Charlotte a reçu une lettre dans laquelle son amie d’enfance
Caroline, qui a pourtant découvert les vertus de la fessée
conjugale bien après elle, lui fait le récit brûlant de sa
découverte du martinet. Elle lui répond sans tarder, d’autant
qu’elle tient à l’entretenir de ce qu’elle a découvert
concernant Juliette …</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle, ma toute belle,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
pensais naïvement être votre initiatrice, voilà que je me retrouve
votre élève. Ou plutôt, si vous avez été un moment mon élève
en matière de découverte de cette zone grise entre le plaisir et la
souffrance, l’élève a dépassé la maîtresse. Vous imaginez vous
dans quel état m’a mise la lecture de votre si impudique
confession ? Moi qui pensais vous faire découvrir les secrets
de la correction au martinet, moi qui vous développais les arcanes
de cette souffrance troublante, voilà que je découvre que votre
tourmenteur a su faire de cet instrument de punition si cruel un
instrument de plaisir ! Vous avouerai-je que j’ai été
jalouse de vous, ma chérie ? Mesurez vous la chance qui est la
vôtre d’avoir un mari qui sache ainsi manier cet instrument ?
Je reconnais qu’en lisant votre témoignage, j’en ai eu les
larmes aux yeux. Ainsi il est des hommes, que dis-je des maris,
capables de porter leur épouse aussi loin dans le chemin du
plaisir ? Dieu sait que je n’ai pas à me plaindre de mon
époux, toujours attentif à chercher à donner à sa femme ce
qu’elle peut espérer de son homme. Dieu sait aussi combien je lui
suis reconnaissante de m’avoir fait découvrir que l’on pouvait à
la fois crier de douleur, avoir les fesses à vif, et atteindre un
degré de plaisir jusque là inconnu. Mais, à l’évidence, votre
mari est un expert en la matière. Oui, en un mot comme en mille, ma
chérie, je vous envie ! Et, mais je suis sûre que vous vous en
seriez doutée, je n’ai pas pu résister à chercher à tester les
capacités cachées de ce martinet que je pensais vous avoir fait
découvrir. Il faut dire que la chance était avec moi, lorsque j’ai
pris connaissance de votre lettre, j’étais seule pour la journée,
mon maître et seigneur ayant à faire à l’extérieur. A la
première lecture, et presque sans l’avoir vraiment voulu, ma main
s’était crispée sur mon pubis, d’abord au travers de ma robe,
puis directement dans la culotte. J’ai ainsi accompagné votre
récit de caresses intimes de plus en plus appuyées, jusqu’à me
retrouver avec deux doigts enfoncés dans mon intimité, et à jouir
à la minute où je lisais votre propre explosion sauvage quand,
enfin, les lanières venaient parachever le si délicieux prélude au
plaisir. Mais je n’étais pas satisfaite. Vos mots m’avaient
tant échauffé les sens qu’il m’en fallait plus. Alors, presque
hagarde, j’ai couru dans la chambre nuptiale, et j’ai été
chercher l’instrument. Mon mari le range dans un des tiroirs de son
meuble, juste caché par quelques revues innocentes au cas où la
femme de ménage l’ouvrirait. Il lui arrive de m’imposer d’aller
le chercher et de le lui présenter, bien à plat sur mes deux mains,
comme une offrande. Je dois alors baisser les yeux, et tendre les
mains avec dessus le martinet que je lui tends, comme si je lui
demandais de s’en servir. Mais là, pour la première fois,
j’ouvris ce tiroir hors de sa présence. J’avais bien le
sentiment de braver un interdit, un peu comme la pauvre épouse de
Barbe Bleue quand elle ouvre la porte interdite. Mais rien n’aurait
pu m’arrêter. J’avais un besoin physique de toucher ce manche un
peu rêche et ces lanières qui vous avaient fait tant jouir. En
vous écrivant ces mots, j’ai encore dans les narines, l’odeur si
caractéristique du bureau de mon mari. En ouvrant ce tiroir, c’est
celle du tabac pour la pipe mélangée à la fragrance du cuir qui
m’a sautée au visage. J’ai pris l’objet en main, comme s’il
s’agissait d’un trophée, d’une œuvre d’art, d’un
talisman. J’en caressai le bois du manche, un peu rugueux, de la
paume de la main. Puis j’ai porté la chevelure de cuir à mes
narines. J’ai eu une crispation au niveau de mon sexe, il m’a
semblé que ces lanières sentaient le sperme, la mouille, la
jouissance. J’y ai enfoncé mon nez comme je le fais dans les poils
pubiens de mon homme avant de le sucer. J’y retrouvai les mêmes
odeurs, chaudes, sensuelles, animales. Puis je me suis enfuie du
bureau, courant à travers la maison pour me réfugier dans ma
chambre. J’étais véritablement hors de moi-même. Sans même
l’avoir explicitement décidé, j’ai arraché mes vêtements plus
que je ne me suis déshabillée. En un tour de main j’étais nue,
toute nue, à poil. Et je tenais toujours le martinet entre mes
mains. Je l’ai serré contre ma poitrine, entre mes seins. Le bout
du manche à portée de ma bouche, les lanières pendant sur mon
ventre. Je me suis mise à sucer le petit renflement à l’extrémité
du manche, comme je l’aurais fait d’un gland. J’étais trop
excitée, mes jambes flageolaient. J’allais m’écrouler. Je suis
tombée à genoux sur le parquet, les cuisses écartées. Le sexe
offert, indécente, obscène. J’abordais le paradis. Les fines
bandes de cuir reposaient juste sur ma chatte entrouverte. Ce fut
comme un contact électrique. J’avais en même temps la vision de
votre corps parcouru par les mêmes bandes de cuir maniées par votre
mari. Comme il l’a fait pour vous, j’ai retardé le moment où
elles iraient tétaniser mon bouton. J’ai fait coulisser la
chevelure sur mes cuisses, sur mon ventre, sur mes hanches, sur mes
flancs. Je sentais physiquement les frissons qui accompagnaient les
pérégrinations de cet instrument diabolique. Vos mots dictaient
mes actes. J’étais vous. J’ai fait remonter les lanières
jusqu’à mes seins. Oh mon Dieu, quelle secousse quand elles sont
venues caresser mes tétons ardents ! J’ai joui une
première fois, rien que par le contact entre les pointes de mes
seins et ce cuir un peu âpre. Je me suis laissé tomber sur le dos,
arquée, les jambes repliées sous mes fesses, les cuisses
écartelées. Alors, lentement, j’ai fait redescendre les lanières.
Entre mes seins, sur mon ventre, jusqu’aux abords de mon minou. Je
prenais le temps, je retardais l’instant que pourtant je désirais
tant. J’ai fait tourner la chevelure autour de mon sexe. Les
langues de cuir se mêlaient à ma touffe,allaient musarder sur mes
cuisses, sur mes hanches. Puis, infiniment lentement, je les ai fait
se lover sur mes lèvres ouvertes. Se glisser dans la fente béante.
Entrer en moi. Caresser mon bouton qui me semblait être devenu
énorme. Je ne pouvais plus ralentir, contrôler, attendre. J’ai
fait ressortir les lanières, puis les ai fait retourner une nouvelle
fois sur ce sexe béant, gourmand, affamé. Un cri. Une explosion. Le
paradis. Encore. Plus vite. Plus fort. Les langues de cuir fauve
entrent et sortent de ma chatte de plus en plus vite. Je me cambre au
maximum. Mes fesses se soulèvent, mon derrière est maintenant à
quelques centimètre du sol. Dans cette position les lanières du
martinet se glissent jusqu’aux abords de mon petit trou. Je sens
la divine caresse sur mon anus. Je serre un peu les fesses, pour
mieux sentir le glissement. Du bas de ma colonne vertébrale, tout le
long de la raie des fesses, dans le petit trou, puis tout le long de
me fente, jusqu’au clitoris. C’était divin, tout simplement
divin. Alors j’ai accéléré la cadence. Lançant les lanières
chaque fois un peu plus vite, un peu plus fort. Ce n’était plus la
caresse, c’était des flagellations. Oui, ma chérie, je me
fouettais la chatte. Cet endroit de toutes les douceurs, ce nid de
tendresse, cet écrin de délicatesse, voilà que je le flagellais à
grands coups. Je m’appliquais le martinet sur les fesses tendues
bien sûr, mais surtout en visant la partie la plus sensible de
moi-même. Ma chatte, mon trou du cul. Faut-il appeler douleur cette
brûlure au-delà de tout ? Non. Jouissance ultime. Explosion de
bonheur. Déchirure suprême. Je sentais mon sexe bailler, s’ouvrir
et se fermer convulsivement, tenter de se protéger, et en même
temps s’écarteler pour être mieux cinglé. C’était comme si
mon corps était ouvert en son milieu. Je ne peux vous dire combien
d’orgasmes m’ont submergée. J’ai eu le sentiment d’une
tornade de jouissance.. Je sais que j’ai crié, hurlé. Tout mon
corps était tétanisé. J’abattais les lanières à toute volée,
ravageant ma chatte, meurtrissant les chairs. C’était comme si mon
cul était pénétré par un fer rouge. Insupportable. Mais tellement
bon ! Quand, enfin, j’ai ramené la chevelure diabolique sur
mon visage, elle était poisseuse de ma liqueur, odorante, chaude,
dégoulinante. La déchirure de mon intimité était si douloureuse
que je me suis recroquevillée, les genoux au menton. Et là, roulée
en boule, je sentais la boule de feu du plaisir reprendre son
cheminement en moi. Il fallait que je jouisse encore, je devais
encore jouir. J’ai approché le manche du martinet de ma chatte
ruisselante. Il s’y est enfoncé comme dans une motte de beurre.
Cette tige de bois dur est venue ravager un sexe endolori, ultra
sensible, mis au vif. Une faux me sciait le sexe, m’ouvrait le
ventre, me déchirait les entrailles. Et pourtant je la poussais,
plus fort, plus loin. Et la déchirure fut encore plus violente quand
j’ai fait sortir le manche gluant. Je l’ai porté à l’orée de
mon cul. Juste au bord du trou. Comme mon mari le fait quand il se
prépare à m’enculer et qu’il veut que je sente son dard
congestionné et énorme sur ma rondelle avant de la forcer. Alors,
de toutes mes forces, j’ai fait pénétrer le manche au fond de mon
cul. Je me suis écroulée, au bord de l’évanouissement, à plat
ventre, le corps secoué de soubresauts. Je sais que le martinet
était resté planté au fond de moi. Je le sentais dans mon
fondement. Et je jouissais, encore et encore …Et j’ai crié votre
nom, ma chérie. Vous m’aviez fait jouir. Vous, mon amie de
toujours. Vous, ma sœur en jouissance. Comment pourrai-je jamais
vous remercier de cette découverte ? Deux jours après j’ai
encore le sexe et le cul irrités, sensibles, ravagés. Je suis
heureuse que mon mari ne revienne que dans cinq jours, je n’aurais
pas pu lui cacher l’état de son terrain de jeu. Je ne sais surtout
pas si j’aurais supporté qu’il me fasse l’amour. Il n’aurait
pas pu ne pas voir les marques de la flagellation sur mes fesses et à
l’intérieur de mes cuisses. Aurais-je supporté la moindre fessée
sans m’évanouir de douleur ? Je ne sais pas. Mais je sais
qu’il suffit que j’effleure ma chatte ou ma raie pour repartir,
immédiatement, dans un orgasme qui explose au fond de moi. Et pour
penser à vous.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous
vous en douteriez, même si je ne vous l’avouais pas, ma chérie,
écrire ces lignes a entraîné les conséquences que vous imaginez
sur mes sens. Je sens que mon intimité s’est couverte de rosée,
comme je sens les pointes de mes seins réclamer leur dû de
caresses. J’ai résisté jusqu’à la dernière ligne de ce
courrier que je vous devais en remerciement de ces moments d’extase.
Mais vous me savez faible. Je vais donc me laisser aller une fois
encore à la dépravation. Une fois encore à cause de vous !
Mais peut-être y-a-t-il une justice immanente ? Et peut-être
serez vous prochainement punie de m’avoir ainsi poussée sur le
chemin du vice ? C’est en tout cas tout le mal – et tout le
bien – que je vous souhaite. Certaine que, la prochaine fois que
vos fesses seront flagellées, vous penserez que c’est, aussi, pour
vous punir – ou pour vous remercier – d’avoir poussé votre
tendre amie à de telles extrémités. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse aussi fort que je me donne le plaisir que je vous
souhaite.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre
reconnaissante</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A.C.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">PS
Je reprends la plume après cet intermède ma foi bien agréable, en
m’apercevant qu’emportée par mon récit, j’ai oublié de vous
dire que, depuis ma dernière lettre, j’ai rencontré cette fameuse
Juliette dont mon amie m’a rapporté les propos. Il est trop tard
pour que je vous en fasse récit aujourd’hui, cela sera donc pour
la prochaine fois…</span></span></div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1896_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 13 :<br />
Lettre de
Mme A à son amie Mme De V** </span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc239_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Encore
des secrets révélés »</span></h2>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Alors
qu’elle lit la lettre par laquelle son amie, Mme De V** lui raconte
comment elle s’est donné du plaisir avec un martinet, Caroline se
laisse aller à exposer ses secrets intimes à Anne Charlotte. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
finis à l’instant de lire votre dernière lettre, et il me faut
vous répondre sur deux points sans tarder. Oui, comme vous
l’espériez et me le souhaitiez, le martinet a repris du service.
Et à ce rythme je crains même qu’il ne durera pas autant que les
contributions comme dit mon cher – et en l’occurrence pas si
tendre – mari. Mais comme ce vénérable instrument a été utilisé
avant que je ne lise votre confession ardente, je n’ai pas pu en
atténuer les morsures en pensant à la belle image de mon amie se
donnant à elle-même du plaisir avec le même instrument qui me tire
les larmes. Ce sera donc pour la prochaine fois, puisque prochaine
fois il y aura. Aucun doute là-dessus, mon mari ayant appris très
vite, vous allez le voir, et visiblement il a pris goût à la chose.
Et oui aussi, la lecture de vos épîtres a le même effet sur mes
sens que les miennes sur les vôtres. Et pour être sûre de pouvoir
vous écrire sans que ma main ne tremble, j’ai fait le choix de
procéder d’abord aux soins que mon corps réclamait avant d’en
venir aux choses de l’esprit. Ou, si vous préférez un langage
plus direct et moins littéraire, je me suis branlée d’importance
avant de prendre la plume. « Prendre son pied, prendre la
plume » le même verbe, et pourtant …. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Comme
j’étais encore en tenue de nuit quand j’ai découvert la petite
enveloppe mauve dans mon courrier, je n’ai pas eu comme vous à
glisser la main dans ma culotte pour accompagner la lecture, puisque
de culotte il n’y en avait pas ! J’ai donc accompagné la
lecture de vos mots – et quels mots – d’une douce et prudente
caresse d’un abricot encore chaud de la nuit, et encore un peu
marqué par la visite de la virilité de mon époux la veille au
soir. Et comme je n’avais pas encore procédé à ma toilette,
c’est un minou encore un peu irrité mais aussi encore moite qui a
reçu la douce caresse de la pulpe de mes doigt. Et dés que j’ai
eu relevé ma nuisette pour faciliter l’accès à l’endroit
convoité, la fragrance qui m’est montée au nez aurait suffit à
me rappeler la visite vespérale de mon époux si je l’avais
oubliée. Je dois avouer que les lendemains de ces visites maritales,
il me plaît assez de retarder le moment où l’eau et le savon
viendront faire disparaître cette odeur chaude et si particulière
de mon intimité quand s’y ajoute cette touche musquée qu’y
apporte la liqueur déposée dans le vase par l’Homme. Avez-vous
remarqué vous aussi ce parfum à nul autre pareil, ma chère ?
Pour moi, c’est un peu « l’odeur de l’amour » Il me
semble qu’il y à là une réminiscence de celle de la paille
chaude, pour ne pas dire, plus vulgairement, de l’étable. Il
m’arrive d’y porter le doigt pour le plaisir de humer plus
directement ce mélange de mes senteurs intimes avec celles qui
proviennent de mon cher mari. J’aime aussi goûter ce nectar du
bout de la langue, y retrouvant probablement un peu le même plaisir
trouble sinon ambiguë que celui que mon amant éprouve quand il
m’embrasse à pleine bouche, et à pleine langue, après qu’il
ait joui dans ma bouche. Même si, en épouse obéissante et pour
tout dire amatrice, je m’efforce d’avaler ce cadeau, je sais
qu’il reste dans ma bouche le goût du sperme, et que mon mari
retrouve ainsi dans sa propre bouche la saveur de ce qu’il a fait
gicler dans la mienne. Pour en finir sur ce point (mais je m’égare,
vous savez à quel point je suis bavarde) il m’est arrivé, quand
mon mari m’a fait quelques cajoleries « aux heures
ouvrables » d’éviter absolument de passer par la salle de
bain avant de sortir. Je peux ainsi, à l’occasion, retrouver
discrètement cette senteur de serre chaude. Je peux aussi sentir la
moiteur du miel en moi. Et le jour où mon mari, particulièrement en
forme et amoureux, m’a fait l’amour en rentrant d’une soirée à
laquelle je m’étais rendue sans me laver alors qu’il m’avait
renversée sur un fauteuil juste avant de partir, j’ai eu
brièvement le sentiment d’être une fille perdue, une catin, qui
se fait prendre alors que la jouissance du client précédent est
encore en elle. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mais,
vous vous en douteriez, je ne me suis pas contentée de l’olfactif
ou même du gustatif. La lecture de vos exploits solitaires imposait
que j’en passe par le sens du toucher. Encore l’ai-je fait
d’abord avec précaution et mesure, à la fois pour pouvoir rester
en éveil à ma lecture et pour ménager un terrain quelque peu
sensible. Il faut dire que la veille au soir, celui qui règne sur
cette partie de mon individu s’était quelque peu conduit en
hussard. Peut-être est ce parce que nous n’avions pas connu de
moments d’intimité depuis cinq ou six jours, peut-être avait-il
abusé de nourritures échauffantes, peut-être étais-je
particulièrement désirable ce soir là. En tout cas dès les
premières manœuvres d’approche de sa part, j’ai pu constater,
de visu d’abord puis de manière plus manuelle, que sa virilité
était particulièrement flamboyante. Avant même que je n’y ai
posé ni main ni bouche, j’étais confrontée à une queue noueuse,
violacée, turgescente et d’où un gland rouge vif semblait
impatient de surgir. M’autoriseriez-vous, ma chère, sans en rien
« faire l’article » à vous avouer combien je trouve
cette queue émouvante quand elle est ainsi bandée, dressée, fière
et conquérante ? Vous le savez, je n’ai pas véritablement
d’éléments de comparaison pour juger de la qualité de l’organe
de mon homme. Ce que j’en ai lu ici ou là me permet seulement de
savoir que du point de vue strictement quantitatif, elle est plutôt
dans la catégorie des grandes tailles. Je soupçonne du reste mon
mari d’en être très conscient et assez fier, quand il se tient
debout, les mains aux hanches, le corps un peu penché en arrière,
pour faire mieux sortir ce bâton noueux qui lui monte jusqu’à
hauteur du nombril et dont la verticalité permet de découvrir la
majesté. Surmontée de son gland arrondi, souvent déjà à demi
découvert quand il me la présente, elle est parcourue au dos par un
bourrelet violet qui descend jusqu’aux couilles. Tandis que l’autre
face laisse voir une grosse veine bleuâtre et tout un réseau de
minuscules veines dessinant comme une carte de géographie à la
surface de la peau brune. En dessous le sac est gonflé comme une
bourse de riche de deux belles prunes, celle de gauche s’épanouissant
plus que celle de droite. Le tout sur un fond de buisson de poils
noirs et frisés du plus bel effet. Une belle bite, pour parler bref.
Et même une grosse bite. Il m’est arrivé de lire que certaines
femmes, peut-être pour rassurer leurs maris peu dotés, affirment
que « la taille ne fait rien à l’affaire ». Il m’est
arrivé d’entendre des galéjades d’hommes entre eux affirmant
avec humour, qu’il vaut mieux « une petite courageuse qu’une
grande fainéante » Peut-être. Mais je serais pour ma part
plutôt encline à croire ces femmes qui avouent leur bonheur de se
sentir « remplies » au moment fatidique. En tout cas, et
avec toujours le manque d’expérience permettant de comparer, il me
semble que je n’aurais pas les mêmes sensations si la chose qui me
pénètre était de plus petite dimension. Mais, comme le disaient
nos maîtres quand nous étions écolières, « la perfection
n’est pas de ce monde » ou, plus prosaïquement, « toute
médaille à son revers ». En l’occurrence, quand Monsieur
tient à ce que ma bouche soit le havre où s’épanouira cette
tige turgescente, il arrive que son diamètre me cause de véritables
crampes à la mâchoire. Et comme si j’interromps mon service alors
que son bénéficiaire en attend encore du bonheur se sont mes fesses
qui paieront pour cette insolence, il me faut parfois choisir entre
la souffrance au derrière et la douleur à la mâchoire. Et que dire
quand, emporté par l’enthousiasme qui me ravit, mon homme pousse à
la fois son avantage et sa bite dans ma bouche, si ce n’est que je
suis à la limite de l’étouffement ? Mais, hier soir, ce
n’est pas à mon orifice buccal qu’en voulait mon époux. A vrai
dire il avait visiblement envie de la chose la plus simple, mais la
plus immédiate. Autrement dit, je n’ai même pas eu le temps
d’entamer quelque préliminaire que ce soit, pas même d’humecter
la chose de ma salive pour faciliter l’introduction qui devait
suivre, que déjà il me voulait retournée et offerte, et qu’il
profitait du cadeau. Et c’est donc un vase encore sec, sans la
moindre préparation, qui dut supporter l’intromission directe et
brutale d’une tige dure et qui m’a paru encore plus volumineuse
qu’à l’ordinaire. D’un geste il m’avait placée comme il
l’entendait : agenouillée sur le lit, les fesses bien hautes,
l’orifice bien présenté au pieu qui allait le pénétrer. Tout
juste mon cher époux a-t-il eu le temps de me gratifier d’un
laudatif « Ah ! j’aime ton cul comme ça tu sais ? »
qu’il m’avait déjà saisie aux hanches et qu’une barre à mine
fourrageait mon intimité, se frayait un passage de force, et venait
buter tout au fond. J’en ai eu le souffle coupé, mais avant que je
n’aie pu lui faire savoir que son entrée me semblait un peu trop
violente que déjà le soc s’était reculé… pour mieux sauter si
je puis dire. Je ne sais s’il me faut choisir l’allégorie du
laboureur faisant pénétrer toujours plus profond sa charrue dans le
sillon, ou celle du bûcheron accompagnant de grands « han »
ses coups de cognée, en l’occurrence de reins. Mais j’avais le
sentiment d’être plus dans un jeu de foire ou dans un tonneau au
milieu d’un océan déchaîné que dans un lit. Bien entendu, avec
une telle fougue, le canon ne tarda pas à envoyer son boulet, et un
grand cri de jouissance suivi d’un profond soupir de contentement
me fit savoir que mon seigneur et maître avait atteint le plaisir.
Quand à moi, il n’en était hélas rien. La chose s’était faite
trop vite pour que j’en ressentisse les bienfaits. Pas contre je ne
puis pas dire qu’elle ait été sans sensation. En effet, et cela
explique pourquoi je dois prendre aujourd’hui des précautions
avant de me laisser aller aux plaisirs solitaires, les coups de
boutoir du mandrin marital ont au sens propre du terme commotionné
mon abricot. Un peu comme si on l’avait visité avec un manche à
balai. Je n’ai pas eu l’outrecuidance et la grossièreté de m’en
plaindre. Mais mon mari a assez de délicatesse, même si en la
matière il n’en avait pas fait la preuve, pour comprendre que sa
précipitation même m’avait privée de la part à laquelle j’avais
droit. Il ne s’en est pas excusé, cela aurait été inconvenant.
Il s’est contenté de murmurer, et cela m’a fait fondre « tu
n’as qu’à ne pas avoir un cul aussi affolant, ma chérie »
Et pour me prouver à quel point c’était vrai, et ayant retrouvé
sa vigueur avec une rapidité que je ne m’explique pas encore, il
entreprit sans attendre de visiter avec à peine plus de précaution
le second orifice que ma position, que je n’avais pas quittée,
mettait à sa disposition. Tout juste eut-il la patience d’attendre
que je détende les défenses de ce second trou, laissant sa queue
juste posée sur la rondelle, sans la forcer. Et comme il a eu la
bonne idée de porter le doigt sur mon petit bouton, je ne tardai pas
à m’ouvrir et à laisser son sexe prendre position dans mes
arrières comme il l’avait fait dans mon devant. Fort heureusement,
le second assaut fit naître cette explosion que nous attendons dans
ces circonstances. Si l’étui était plus étroit encore – la
nature est ainsi faite – il était aussi plus préparé à ce qui
allait lui arriver, et paradoxalement j’ai eu moins le sentiment
d’un passage forcé lors de la pénétration dans ce couloir étroit
que lors de la première visite. Ou peut-être est-ce aussi la
sensation d’un conduit que l’on force qui participa à l’arrivée
de la vague de bonheur ? Peut-être aussi la force de la caresse
des doigts sur mon clitoris n’y a-t-elle pas été pour rien. Mais
elle a eu aussi comme conséquence de me ravager une seconde fois la
foufoune. Sensation agréable cette fois, certes, mais qui laissa
quand même mon bonbon irrité et à vif. Ceci pour vous expliquer
que j’ai fait le choix d’effleurements ce matin plutôt que de
pénétration. Il n’en reste pas moins qu’ils furent fort
agréables, et m’amenèrent à un honnête plaisir. Je ne vous en
dirais pas plus, d’abord parce que j’ai déjà été bien trop
longue et ensuite parce que je ne vous dirais plus rien … tant que
vous ne m’aurai pas gratifiée d’une longue lettre pour me dire
tout ce que vous savez sur cette Juliette qui me semble ne pas
manquer d’intérêt. Pour ma part je vous narrerai la prochaine
fois comment mon cher mari a repris la main sur le martinet… mais
cette fois en l’utilisant dans sa fonction première, celle de
punir plus que de faire jouir…</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A
bientôt donc ma douce</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Caro </i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1898_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 14 :<br />
<b> </b><b>Lettre
Mme De V** à son amie de Mme A </b></span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc241_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Juliette,
suite »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">En
répétant à son amie Caroline ce que son autre amie, Lucie, lui a
raconté de la fessée qu’elle a reçue en compagnie d’une autre
femme lors d’une soirée, Anne Charlotte a fait aussi allusion à
Juliette de F* qui avait d’elle-même pris l’initiative de
convier les deux femmes précédemment punies et leurs époux chez
elle pour qu’elle la reçoive à son tour. Dans une précédente
lettre (cf Correspondance n° 12) elle a indiqué à Caroline qu’elle
avait elle-même rencontré Juliette.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
jolie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
sais, je suis coupable d’avoir fait naître la curiosité chez vous
sans la satisfaire tout de suite. La prochaine fois que mon mari me
tannera le cuir des fesses, je vous dédierai la punition, je la
recevrai en paiement de ma faute, c’est promis. Mais, franchement,
ma précédente lettre était déjà fort longue, et il ne faut
abuser de rien. Comme je vous l’écrivais alors, ce n’est plus à
travers les confidences de Lucie que je découvre la fameuse Juliette
de F* mais bel et bien en direct. Je ne vais pas vous lasser avec le
récit des circonstances dans lesquelles nous nous sommes
rencontrées, il vous suffit de savoir qu’elle savait fort bien, en
me recevant, qui j’étais, et ce que je savais d’elle et de notre
amie commune. Du reste elle a mis les choses au point dès le début
de notre entrevue :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ainsi, madame, vous êtes amie avec cette charmante et tellement
ingénue Lucie ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais oui, j’ai ce plaisir, et je trouve que l’adjectif charmante
lui va vraiment comme un gant.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Et celui d’ingénue ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Ingénue, je ne saurais dire. Peut-être naïve ? En tout cas
d’un naturel et d’une franchise vraiment attendrissante.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ah certainement ! Je ne pense pas que sa naïveté soit feinte.
Elle se raconte sans fard, sans rien cacher. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais elle le fait avec un tel naturel qu’il n’y a rien de gênant
à cela me semble-t-il.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Certainement. Même si parfois elle a quelque peu tendance à
dévoiler aussi l’intimité de ses amies …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous voulez dire que …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oh ne vous sentez pas mal à l’aise madame, il n’y a pas de quoi
fouetter un chat …si j’ose dire (rire franc)</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
le terme est en effet tout à fait celui qui convient !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Je vous avoue que j’ai essayé de dire à notre charmante Lucie
qu’elle devrait être parfois plus discrète. Mais, à vrai dire,
je ne suis pas vraiment fâchée qu’elle vous ait dévoilé ainsi
les petites habitudes de notre couple. Dés lors que j’ai cru
comprendre que ce sont aussi les vôtres. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
(hésitante) Euh.. enfin …Je veux dire …Lucie vous a dit ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette
(souriante) Eh oui ma chère. Elle n’a pas été plus discrète
pour vous que pour moi ! Comme vous le disiez, c’est tout son
charme. Mais ne vous alarmez pas, je ne suis pas, moi, du genre à
répéter les choses à tout va. N’ayez crainte, votre petit
secret, si secret il y a, restera entre nous… Je veux dire entre
vous, moi …et Lucie !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Un secret … je ne sais pas… Il est vrai qu’il n’est pas
habituel de parler de ces choses, mais notre ingénue le fait avec un
tel naturel que je n’ai pas cru devoir entendre ses confidences si
troublantes sans m’ouvrir à elle avec la même franchise.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
C’est bien ce que j’avais compris. Et finalement, vous avez réagi
comme moi, en considérant qu’il vous fallait en quelque sorte être
aussi transparente à l’égard de notre jeune amie qu’elle
l’avait été avec vous.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Eh bien oui, je pense qu’en effet je me suis sentie en quelque
sorte obligée de ne rien lui cacher, dés lors qu’elle-même …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Je vous comprends d’autant mieux que j’ai fait de même … sauf
que pour moi cela ne s’est pas limité à des mots !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Comment …ah oui, excusez moi, je comprends. Vous voulez dire que
vous vous êtes sentie en quelque sorte obligée de subir ce qu’elle
avait enduré?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Obligée, je ne dirais pas cela. Après tout ni moi ni mon mari
n’étions pour rien dans le fait que la jolie Lucie soit déculottée
par son époux, même si l’un et l’autre avions apprécié le
spectacle de son joli postérieur rougi par la dextre maritale. Et ce
n’est pas non plus de notre fait si notre hôte avait en quelque
sorte proposé à son épouse d’y passer elle aussi. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Si j’en crois ce que m’a raconté notre amie ce sont même les
mots d’Éliane qui vous ont amenée à ..</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oui, c’est vrai. J’ai trouvé Éliane très digne. Je sais
qu’elle n’avait jamais été fessée autrement que dans la
stricte intimité de leur couple. D’ailleurs, comme vous le dites,
son mari ne lui a pas vraiment imposé d’être punie devant nous,
il lui a suggéré. Et sa femme s’est alors levée, un peu pâle,
et a dit, en regardant notre petite Lucie qui reniflait encore un peu
que c’était pour elle qu’elle acceptait, en ajoutant ces mots
qui, en effet m’ont touchée : « il y a de la grandeur à
être fessée par l’homme qu’on aime »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Et vous avez pensé alors vous aussi « passer à la casserole »
sur le champ ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, pas vraiment. Je savais bien sûr que la vision de ces deux
derrières fessés n’avait pas pu laisser mon mari insensible.
J’avais bien compris qu’il avait déjà fantasmé sur l’idée
de me la flanquer en public, cela m’était d’ailleurs presque
déjà arrivé, mais je savais aussi que jamais il ne m’aurait mise
en situation ni d’accepter contrainte et forcée, ni de le
ridiculiser en étant la seule à refuser.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Cela vous était « presque » arrivé dites – vous ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oui, je sais, on ne peut pas être « presque » fessée en
public … on l’est ou on ne l’est pas ! Mais je veux dire
par là qu’à plusieurs reprises mon cher mari avait décidé de me
claquer les fesses dans des circonstances où d’autres pouvaient
sinon voir tout au moins entendre …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Ah mon dieu mais que tout ces hommes se ressemblent !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Comment cela ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Eh bien …le mien aussi a eu bien souvent la main qui le démangeait
quand, « comme par hasard » il y avait d’autres
oreilles pour entendre le bruit si caractéristique …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Vraiment, cela vous est arrivé aussi ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Oh oui … pour ma plus grande honte parfois, et oserai-je dire aussi
pour mon plus grand trouble ? Il nous arrive, mon époux et moi,
de voyager et de loger à l’hôtel, où parfois les cloisons entre
les chambres sont tout sauf épaisses. Et j’ai tout lieu de penser
qu’il est arrivé à plusieurs reprises que les occupants des
chambres voisines n’aient rien ignoré de ce que la dame de la
chambre d’à côté subissait. Certes, je m’efforçais de rester
aussi stoïque que possible et de ne laisser échapper ni cri ni
râle, mais les rafales de la paume maritale sur la peau de mon
revers ne pouvaient pas ne pas être entendues du voisinage. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette
(souriant) : Eh bien en effet, ma chère, nos maris ont
visiblement des habitudes communes, et nous des hontes, mais, je
confirme, des troubles, communs ! Pour tout vous dire, c’est
d’ailleurs parce que, lors d’un séjour à Paris, je protestais
du bruit occasionné par une séance un peu rude que mon cher mari me
laissa le choix, continuer ainsi à informer le voisinage de mon
infortune ou faire, selon ses mots « moins de bruit » en
remplaçant sa main par ce qu’il avait sous elle…</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. : « Sous
elle » … ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
En l’occurrence la ceinture de cuir fauve qui retenait son
pantalon !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Et vous avez donc, de vous même, choisi d’être flagellée ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Eh oui …A l’époque il me semblait moins cruel d’avoir le
fondement meurtri à coup de ceinture que d’entendre, dans le
silence de cet après-midi si calme, le bruit des claques résonner
dans les couloirs déserts. Il faut dire qu’alors, je n’avais pas
l’expérience de ce qu’une lanière de cuir peut faire sur la
peau tendre de notre fondement !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Pour ma part, mon mari n’a jamais utilisé ce genre d’instrument
… mais il a très vite exigé que nous fassions l’acquisition de
l’instrument que mes fesses avaient connus dans mon enfance …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ah … votre mari est donc adepte du martinet enfantin ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Eh oui … vous avez dû, vous aussi en subir les morsures ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, jamais. Il faut vous dire que, jusqu’à mon mariage, jamais
mes fesses n’avaient été fustigées. Cela a d’ailleurs bien
fait rire mon époux quand il a appris que, enfant, je n’avais
jamais été fessée. Et il me semble qu’il s’est donné la
mission de rattraper le temps perdu ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Et donc il vous a fait découvrir la meurtrissure de la ceinture dans
cet hôtel ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Tout à fait. Il me semble que c’était hier ! Quand je lui ai
demandé d’arrêter parce que j’avais trop honte du bruit il m’a
mis le marché en main : « tu sais bien que je
n’arrêterais pas en cours de route. Mais si tu me le demandes, je
veux bien remplacer ma main par ma ceinture, mais je te préviens,
elle sera plus silencieuse, mais je ne suis pas sûr que tu ne le
regrettes pas » Et il m’a donc fallu lui demander
« explicitement » selon ses termes. Et pour que je
choisisse « en connaissance de cause » il m’a précisé
que si je faisais ce choix, et comme j’étais « novice »
ce serait « une douzaine »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Il voulait dire douze coups de ceinture ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Exactement. J’ai donc dû, toute honte bue, lui demander à voix
haute « une douzaine sur les fesses, s’il vous plaît,
monsieur » J’ai alors dû me relever, me mettre nue alors que
jusque là il n’avait fait que relever ma robe et baisser ma
culotte, et me tenir debout, juste les mains appuyées sur le rebord
de la fenêtre. Je me souviens que je voyais la Sacré Cœur
par-dessus les toits de Paris pendant que les douze coups me
lacéraient le derrière.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais au moins êtes vous parvenue à ne pas crier ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oui, mais à quel prix ! Je me suis mordu les lèvres au sang,
mais en effet pas un bruit ne m’a échappé. A tel point qu’après
mon mari, devenu tendre, m’a félicitée en ajoutant « Désormais
j’épargnerai mes mains, ma chérie … » Et depuis il est en
effet très rare qu’il me punisse autrement que par cette fameuse
ceinture qu’il a appelée par jeu, et je ne sais pourquoi « la
Simone » </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
(en riant) Encore un point commun, le mien appelle le martinet
« Marcel » !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette
(riant elle aussi) Et « Marcel » vous accompagne donc
dans vos déplacements ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Oui, bien souvent ! Mais cela n’empêche pas mon mari de
préférer parfois la traditionnelle fessée manuelle et bruyante.
Surtout quand il pense – et moi avec – que des voisins ou le
personnel de l’hôtel peuvent entendre. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Et vous pensez que c’est parfois le cas ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Hélas oui ! J’en suis même sûre ! Une fois, à peine
ma fessée terminée, nous avons même entendu, sans aucun doute
possible, qu’une autre fessée était administrée dans la chambre
voisine !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Vraiment ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Tout à fait ! Alors que mon mari était devenu tendre et que
nous en étions à des jeux un peu moins douloureux, et même
franchement agréables, nous avons entendu la pétarade tout à fait
caractéristique d’une fessée crépitante. Laquelle a du reste
donné à mon mari une nouvelle vigueur ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Et vous avez pu savoir qui en était la victime ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Tout à fait ! Le jour de notre départ, j’ai descendu
l’escalier avec une dame, plutôt bon chic bon genre, qui au moment
où je la saluais en ajoutant « peut-être à une autre
fois ? » puisque nous fréquentons régulièrement cet
hôtel quand nous séjournons à Paris, a répliqué avec un charmant
sourire : « j’espère bien que non, votre mari donne
trop d’idée au mien ! » Et comme, sur le moment, je ne
comprenais pas ce qu’elle voulait dire, elle a ajouté en tapotant
sans équivoque son derrière « j’ai encore du mal à
m’asseoir, pas vous ? » </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Cela a dû être un moment de complicité rare !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Certainement ! Et curieusement, j’ai trouvé moins pénible le
fait de savoir que cette dame connaissait mon infortune que de
devoir, comme c’est généralement le cas, affronter les regards
lors du repas du soir ou lors du petit-déjeuner sans savoir qui « a
entendu »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Je vous comprends tout à fait. Mais en même temps, je dois avouer
qu’il est extrêmement troublant dans ces circonstances, de voir
les autres convives et de se demander, en effet, « qui ».
Et puis, soyons franches ma chère, au fond, si nous nous laissons
ainsi traiter, ne croyez vous pas que, « quelque part »
c’est parce que nous trouvons un certain plaisir à cette idée que
d’autres partagent ces moments ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous voulez dire qu’au fond de nous nous souhaiterions être …
vues dans ces moments là ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Peut-être pas explicitement. Mais si je veux être honnête avec
moi-même, je suis bien obligée de reconnaître que, bien avant
cette fameuse soirée chez Éliane, je savais en quelque sorte que je
serais un jour confrontée à la même situation.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous le souhaitiez ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, … encore que, c’est peut-être plus compliqué que cela …
En tout cas, quand j’ai vu notre chère Lucie ainsi fessée, puis
quand j’ai compris que mon amie Éliane faisait le choix de l’être
elle aussi, j’ai su, immédiatement, qu’il me faudrait en faire
de même. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Et pourtant vous n’avez pas suivi l’exemple d’Éliane en
revendiquant de l’être sur le champ. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, en effet. Mais peut-être est-ce surtout parce que mon mari n’en
a pas pris l’initiative. Je ne me voyais quand même pas le lui
demander ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais en glissant que « vous ne seriez pas en reste » vous
vous y engagiez pourtant de manière presque explicite.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
C’est vrai. D’ailleurs ni mes deux amies ni mon mari ne s’y
sont trompés. Même si il a fait semblant de ne pas avoir compris.
J’ai donc dû lui dire clairement que j’étais prête, moi aussi,
à me montrer obéissante. Je dois dire qu’il a eu l’élégance
de ne pas faire mine de se faire prier. Nous avons donc décidé,
presque tout de suite, d’organiser ce repas chez nous. Je pense que
notre amie commune vous a expliqué que nous avions prévu,
peut-être en référence à ce que nous avions vécu chez Éliane,
que je franchirais le pas en fin de repas. Eh bien je peux vous dire
aussi que quand elle a en quelque sorte proposé à mon mari de
procéder à la chose dés l’apéritif, j’ai été presque
soulagée. Peut-être en quelque sorte l’attente était-elle plus
difficile à affronter que la chose elle- même.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
J’imagine cependant que ces instants ont dû être difficiles à
vivre. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
A vrai dire, dès l’instant où j’ai su que les dés étaient
jetés tout c’est passé comme si d’une certaine manière j’étais
moi-même spectatrice de ce qui arrivait. En tout cas, je peux vous
jurer que je n’ai pas vraiment eu honte. Pourtant, croyez moi si
vous voulez, je suis plutôt prude de nature. Et jamais je n’ai
imaginé un instant pratiquer le naturisme qui est parait-il à la
mode chez nos voisins d’outre Rhin. Mais là, il ne s’agissait
pas de me montrer nue, comprenez vous ? Il s’agissait d’être
fessée, et pour cela, eh bien il faut être cul nu, voilà tout !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
(en riant) Je ne suis pas sûre de voir la différence ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette (plantant
son regard gris dans les yeux d’Anne – Charlotte) : Je suis
sûre que vous verrez très bien quand cela vous arrivera, ma chère.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma toute belle. J’interromps là le récit de ce dialogue qui, vous
vous en doutez, ne m’a pas laissée insensible. J’avoue avoir été
très impressionnée par la force de caractère de Juliette, et sa
capacité à s’analyser sans rien se cacher à elle-même.
Obligeant ainsi l’autre – en l’occurrence moi – à faire de
même. Vous comprendrez que sa dernière phrase avec ce « quand
cela vous arrivera » m’ait longuement trotté dans la tête.
Elle a eu l’élégance de changer très vite de conversation,
m’évitant ainsi d’y revenir. Je n’ai donc eu ni à m’offusquer
d’un « jamais de la vie » ni à sembler attendre que
cela effectivement m’arrive. Et je vous avoue qu’aujourd’hui
encore je ne suis pas certaine de mes sentiments. Être fessée
devant d’autres. Imaginez-vous cela ? En ai-je peur, ou, tout
au fond de moi, là où vous seule avez accès, en ai-je envie ?
En tout cas, pour reprendre les termes du début de cette lettre, la
prochaine fois que mon mari sévira à mon égard, je vous dédierai
d’autant plus ma fessée que je vais vous donner une autre raison
de me maudire, ou en tout cas d’attendre avec plus d’impatience
ma prochaine lettre. Mais vous savez que je ne vous l’écrirai que
quand vous m’en aurez dit plus sur la manière dont Monsieur votre
mari use désormais de ce que le mien appelle « son Marcel »
Pour l’instant qu’il vous suffise de savoir qu’avant que je la
quitte, et alors que nous en revenions à notre belle ingénue et son
absence de discrétion, celle qui est devenue maintenant mon amie a
glissé en riant : « </span><span style="font-size: medium;"><i>En
tout cas après la fessée que je lui ai flanquée pour lui apprendre
à ne pas parler à tort et à travers, peut-être sera-t-elle plus
discrète</i></span><span style="font-size: medium;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A
très bientôt ma toute belle …</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Anne
Charlotte qui découvre chaque jour un peu plus ce continent qui lui
était inconnu.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1900_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 15 : <br />
Lettre de
Mme A* à son amie Mme De V* </span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc243_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Devant
tout le monde ! »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Caroline
a raconté à son amie comment son mari lui avait fait découvrir le
martinet comme un outil à donner du plaisir. Mais elle a aussi
laissé entendre qu’il l’utilisait dans sa fonction plus
traditionnelle, et elle s’en ouvre à son amie Anne-Charlotte qui
lui raconte par le menu les confidences de ses deux nouvelles amies,
Julie et Juliette qui, elles, ont découvert la fessée hors du cadre
du couple.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle perverse,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ainsi
vous osez encore jouer à exciter ma curiosité, après avoir excité
d’autres sentiments ! Et même conditionner vos récits qui me
mettent dans un tel état à ce que je poursuive les miens. Mais qui
vous a jamais dit que j’envisageais de les cesser ? Je pense
que j’ai autant de plaisir à les écrire qu’à lire les vôtres,
ma belle. En tout cas je compte bien qu’à peine aurez vous lu
cette lettre, vous posterez la suite de la vôtre. Je suis sûre que
vous l’avez déjà écrite et je meurs d’impatience de découvrir
ce que la si digne Juliette a fait vivre à l’écervelée Julie !</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A
propos « d’écervelée » c’est juste le mot qu’a
employé mon mari à mon égard. Je vous fais grâce de la raison
d’un tel qualificatif, qu’il vous suffise de savoir qu’il
n’était pas totalement immérité. Et en tout cas qu’il a fourni
à mon époux un excellent prétexte pour me faire découvrir que le
martinet n’est pas seulement l’outil de plaisir dont il m’avait
fait cadeau la première fois. Eh bien, comme vous le savez je pense,
le martinet est bien tel qu’est la langue selon notre bon Ésope.
Il peut être aussi insupportablement douloureux qu’il sait être
divinement délicieux. Cette fois encore c’est « à poil »,
pour utiliser les mots de mon cher mari, que j’ai dansé sous les
lanières de cet instrument qu’il n’a pas encore baptisé comme
l’a fait le vôtre. Et quand je dis « dansé » c’est
bien le mot qui convient. Il m’avait été interdit de me pencher
sur un meuble ou même d’y appuyer les mains. L’ordre était de
rester, toute nue, debout, les mains sur la tête. Il m’avait été
précisé d’entrée que chaque fois que mes mains quitteraient ma
tête, le coup ne compterait pas. Et pour que j’intègre bien les
règles de son jeu, il m’a laissée un long moment ainsi, toute
nue, mains sur la tête, frissonnante. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il
a lentement tourné autour de moi, un peu comme s’il voulait
découvrir son terrain de jeu, comme s’il ne le connaissait pas.
J’avais auparavant déposé l’instrument dont il comptait bien
se servir sur la table du salon. Il s’en est emparé, il a fait
glisser les lanières sur sa paume, comme pour les tester, comme pour
vérifier leur velouté. Il m’a demandé ; presque tendrement
je vous assure : « prête, madame ? » et je me
suis entendu répondre, la voix quand même un peu voilée :
« oui, monsieur » Il a encore précisé : « vingt
coups, et je veux les entendre compter ». Puis, tout de suite,
le premier coup m’a déchiré les fesses. Vous le savez, elles ne
sont pas vierges de coups ni de meurtrissures. Et elles ne sont donc
pas douillettes. De plus, même si cela avait commencé par un moment
de pure douceur et de pur bonheur, ma première séance s’était
terminée par de grandes volées cruelles, et délicieuses. Pourtant
la douleur qui m’incendia les fesses m’arracha un cri que je ne
tentai même pas de ravaler. Immédiatement, sans même que j’en
aie conscience, mes deux mains sont venues se plaquer sur mes fesses
meurtries et j’entamai une sorte de piétinement sur place. Il ne
disait rien, il se contentait de me regarder, les bras croisés, avec
cet insupportable sourire, mi railleur, mi pervers. Et quand mes yeux
rencontrèrent les siens, il se contenta d’un signe négatif de la
tête. Il savait que j’avais déjà compris. Sans même qu’il
n’eut à le répéter, j’ai remis mes mains sur la tête, et je
me suis redressée. Je n’avais reçu qu’un coup, mais déjà les
larmes me montaient aux yeux. De la même voix à la fois calme et,
une fois encore, presque tendre, il reprit : « vingt
coups, madame, et je vous écoute » Et vlan, une nouvelle
déchirure. Cette fois j’ai eu la présence d’esprit de lancer
« un !» et la force de laisser mes mains où elles
étaient, esquissant juste un piétinement sur place puis reprenant
ma position. </span><span style="color: maroon;"><span style="font-size: medium;">Mais
la voix reprit, implacable,:</span></span><span style="font-size: medium;">
« un, Monsieur, s’il vous plaît madame » Et il avait
bien appuyé sur le « monsieur ». Une fois encore j’avais
compris et quand les lanières me lacérèrent une nouvelle fois le
derrière je ne cherchai pas à biaiser en comptant « deux »,
je savais déjà que le coup précédant ne compterait pas non plus.
Alors, vaincue, j’articulai « un, Monsieur ». Je
parvins à ne plus faire d’erreur, et c’est donc au total par
vingt deux fois que la chevelure de cuir s’abattit sur ma peau. Des
coups espacés, comme pour laisser le temps à la victime de sentir
la brûlure se diffuser. Puis, parfois, trois ou quatre cinglées à
la suite, en rafale. Et il me fallait pourtant parvenir à crier
presque « huit, monsieur, neuf, monsieur, dix, monsieur ! »
Mes doigts étaient croisés sur ma tête, pour les empêcher de se
séparer. A tel point que quand la punition fut terminée, j’eus
presque de la difficulté à baisser mes mains. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
sautillais sur place, d’une jambe sur l’autre, incapable de
rester immobile. Je sais que mon comptage se mêlait à mes
piaillements. J’ai continué un moment mon piétinement, puis j’ai
demandé humblement : « je peux » ? Il a
compris et a hoché la tête, m’autorisant ainsi à me frotter
doucement les fesses pour atténuer la douleur. La suite fut, vous
vous en doutez, plus tendre. Et celui qui venait d’être mon
bourreau – le terme est à peine exagéré – su se montrer, je
l’avoue, le plus fougueux des amants. Il me fit même l’aveu
d’avoir beaucoup apprécié de me voir ainsi, nue et offerte,
sautillant sur place ce qui amenait mes seins à se balancer en
cadence. Et peut-être était-ce pour les remercier de leur ballet
érotique qu’il choisit de fourrer son sexe tendu entre eux, en les
agitant de telles manières qu’ils le branlaient jusqu’à ce que
plaisir s’en suive et qu’ils fussent largement arrosés d’une
crème de beauté épaisse et odorante. Il me pria – mais vous
savez qu’en ces circonstances prière vaut ordre – de « ne
pas me laver » avant de sortir. Et comme il était hors de
question que j’impose à mes pauvres fesses meurtries le frottement
d’une culotte, c’est littéralement « le cul nu » et
les seins maculés de traces blanchâtres que je suis sortie ce soir
là. Vous ne serez pas étonnée que mon mari fut fort attentionné
au cours de cette soirée, par ailleurs assez ennuyeuse, ni qu’à
notre retour il sut comment se faire pardonner, s’il en était
besoin, de sa sévérité de l’après-midi. A propos de sévérité,
il me semble que vous avez encore quelques histoires dont vous avez
le secret avec la complicité de vos amies à me raconter …non ?</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br />
Je
vous embrasse</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Caro</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1902_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 16 :<br />
<b> </b><b>Lettre
Mme De V** à son amie de Mme A </b></span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc245_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Juliette,
encore »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Dans
une précédente lettre à son amie Caroline, Anne Charlotte a
reproduit, presque mot à mot, la conversation qu’elle a eue avec
Juliette à propos des habitudes de leurs maris réciproques. Cette
dernière lui a appris que leur amie commune, la belle Lucie avait
raconté que Caroline elle aussi recevait la fessée de son mari.
Elle poursuit aujourd’hui le récit des confidences de Juliette.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
toute belle,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">C’est
avec toujours le même plaisir que je lis le récit des exploits de
votre mari sur vos fesses. Et je vois que le bougre a vite appris en
la matière. Visiblement, vous êtes tombée sur un esthète de la
chose, ma chère. Et vous comprendrez combien je suis émue en vous
imaginant nue, debout, les mains sur la tête, et sautillant sur
place à chaque fois que les lanières viennent vous mordre le
derrière. Pour tout vous dire, les pointes de mes seins se
durcissent quand j’imagine comment votre belle poitrine doit
balancer quand vous dansez ainsi. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mais
je ne serai pas en reste vis-à-vis de vous, ma belle. Comme vous
l’écrivez, j’ai en effet une suite à apporter aux confidences
de mon amie Juliette. Mais cette fois il ne s’agit pas des fessées
que cette bonne amie reçoit de son époux, mais bien de celle
qu’elle a flanquée à la petite Lucie. Bien sur je n’ai, quand
même, pas pris de notes quand elle m’en a fait le récit. Pourtant
je vais essayer de vous répéter aussi exactement que possible notre
conversation.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous savez, ma chère, que vous m’avez intriguée l’autre fois en
me parlant de la manière dont vous auriez tenté e faire perdre à
notre chère ingénue son habitude d’être trop bavarde ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
Je me doutais bien que mes paroles auraient excitées votre
curiosité ! Et je savais bien aussi que vous conviendriez que
la belle Lucie pêche trop souvent par son bavardage impénitent.
D’ailleurs, si vous vous en souvenez, c’était déjà la raison
de la bonne fessée que son mari lui a flanquée lors de cette
fameuse soirée.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Je sais. Mais, jusqu’à ce que vous m’en parliez, je n’imaginais
pas qu’elle aurait été jusqu’à vous faire part de ce que je
lui avais innocemment confié.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
« Innocemment » ? Comme vous y allez, ma chère !
Croyez vous vraiment que nous agissions, vous, elle et moi, aussi
innocemment ? En tout cas, je peux vous assurer que notre jeune
amie a très bien compris à quoi je faisais allusion quand, au
détour d’une conversation, je lui ai lancé tout à trac :
« Malgré la sévérité de votre époux, il me semble que vous
ne vous êtes pas vraiment amendée côté excès de papotages, ma
petite » Elle a juste un peu rougi, et a murmuré : «
c’est vrai que j’ai du mal à tenir ma langue, mon mari m’en
fait souvent le reproche » Et comme je remarquais qu’elle en
payait le prix sur les fesses, elle a acquiescé avec un petit
sourire, mi désolé mi amusé. J’en ai profité pour ajouter que
je n’osais imaginer ce qu’elles subiraient si son mari apprenait
comment elle « colportait », c’est le terme que j’ai
utilisé à dessein, les histoires de couples de ses amis. Et elle a</i></span><span style="font-size: medium;">
</span><span style="font-size: medium;"><i>reconnu sans
ambages : « Ca c’est sûr qu’il serait furieux, je
n’ose même pas imaginer la trempe que je recevrais ! »
en ajoutant, avec ce sourire qui lui éclaire si bien le visage :
« heureusement qu’il n’en saura rien » Mais son
sourire s’est figé quand j’ai répondu : « en êtes
vous si assurée ma petite ? Croyez vous que vous pouvez ainsi
jaser sur les unes et sur les autres, répéter à l’envi ce que
vos amies vous confient en secret, mettre à nu l’intimité des
amis de votre mari sans qu’un jour l’une d’elles ne le lui
rapporte ? » Le sourire avait complètement disparu et la
belle a bredouillé « Oh…vous ne feriez pas ça, vous, mon
amie ? » J’ai profité de son trouble pour enfoncer le
clou en m’écriant : « mais pourquoi pas ? Vous
voudriez que je me rende complice de vos turpitudes, ma petite ?
Et vous pensez qu’on peut ainsi bavasser sans jamais en payer les
conséquences ? Se serait trop facile, vous ne croyez pas ? »
Cette fois notre petite Lucie commençait vraiment à perdre
contenance. Elle m’a presque supplié : « Je vous en
prie, mon bonne amie, ne faite pas cela, ne me trahissez pas, je vous
promets de me corriger » Le mot était trop beau pour que je le
laisse passer, j’ai planté mon regard dans ses yeux et j’ai
décrété : « Je ne pense pas que vous puissiez vous
corriger seule, ma petite. Je crois vraiment que vous avez besoin
d’une vraie correction ! » Son regard s’est vraiment
affolé, les larmes commençaient à perler aux coins de ses jolis
yeux et elle a pleurniché : « S’il vous plaît, non, ne
lui dites rien. Tout mais pas ça ! Ce n’est pas seulement la
fessée qu’il me donnerait qui me fait peur, vous savez, j’en ai
connu d’autres, mais j’aurais trop honte ! » </i></span><span style="font-size: medium;">
</span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Ainsi elle commençait à presque reconnaître ses torts ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
Tout à fait ! Elle ne discutait déjà plus la raison de la
punition. Je le lui ai fait remarquer, et elle a acquiescé en
reniflant « oui, c’est vrai, mais je ne veux pas que vous lui
racontiez, je ne veux pas » Elle était redevenue la petite
fille têtue, elle tapait presque du pied. Je me suis alors levée
brusquement et j’ai changé de ton : « Vous nele voulez
pas ! Voilà qui est nouveau, ma petite. Pensez vous vraiment
que vous ayez à décider ? » Elle est restée
interloquée, bouche bée, et j’ai profité de mon avantage pour la
prendre par l’oreille, comme une sale gamine, en m’écriant :
« Eh bien, ma petite, vous allez être comblée, vous n’aurez
pas à être punie par votre mari, je vais m’en charger ici et tout
de suite » C’était comme si on avait coupé les fils d’une
marionnette. Elle s’est laissé traîner jusqu’au canapé que je
venais de quitter sans même tenter de résister. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Elle avait compris que vous vouliez ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Ah ça, elle ne se faisait plus d’illusions ! Elle allait même
s’allonger d’elle-même au travers de mes genoux quand je me suis
assise avant même que je ne le lui ordonne. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais, vous, Juliette, vous aviez, comment dire, prémédité tout
cela ? Vous aviez décidé de la …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Non, vraiment pas ! Les mots nous ont entraînées, voilà tout.
Et quand j’ai senti la belle prête à subir ce qu’en effet je
n’avais pas planifié, je dois avouer que cela m’est apparu comme
évident. C’était comme si j’avais fait cela toute ma vie. J’ai
même corsé la chose en l’arrêtant d’un geste pour lui dire :
« Pas de cachotteries entre nous, ma petite. Je ne vais quand
même pas devoir vous apprendre comment on est punie quand on fait
des bêtises ! Allez, hop ; mettez vous en tenue ! »
Elle n’a pas fait celle qui ne comprends pas, je vous assure. En un
clin d’œil elle a soulevé su jupette au dessus de sa taille.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.(riant)
ah, elle était en jupe, cela facilite les choses !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Oui, d’ailleurs je ne l’ai jamais vu habillée autrement, il faut
croire qu’en mari avisé le sien l’exige, pour qu’elle soit
toujours disponible ! Et je n’ai même pas eu besoin
d’insister pour que, d’elle-même, elle baisse sa petite culotte
rouge jusqu’à ses pieds avant de venir bien sagement s’allonger.
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Ho ! Elle s’est déculottée ? Elle vous a montré son ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
(riant) Hé oui, elle m’a montré son cul, appelons la chose par
son noms! Cul qu’elle a d’ailleurs fort joli ! Bien sur ce
n’était pas vraiment une découverte pour moi, puisque j’avais
déjà eu l’occasion de voir le popotin de la gamine chez nos amis.
Mais je ne m’étais pas rendu compte alors qu’il était aussi
mignon ! Deux petites fesses bien rondes, charnues, rebondies
sans être grosses, avec deux adorables fossettes au creux des reins.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Mais … vous en parlez comme un homme parle des fesses d’une
femme ! En tout cas vous ne semblez pas être resté
indifférente.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Eh bien oui, je le confesse, ma chère, la vision de ce beau petit
cul m’a troublée! Avant même que la première claque ne tombe,
j’ai senti cette crispation là où vous savez qui annonce …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Mais ..vous voulez dire … ??</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Eh oui, ma chère. Ne faites pas l’effarouchée ou la mijaurée,
nous sommes entre femmes, que diable ! Quel mal y aurait-il à
vous avouer que voir ce derrière si charmant m’a fait mouiller ma
culotte ? Et vous-même, ma chère Anne Charlotte, pourriez
vous m’affirmer qu’en ce moment la vôtre est … si aride ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous
imaginez, ma chère, ma stupéfaction devant autant de naturel chez
cette femme d’allure si stricte par ailleurs. J’avoue que j’ai
senti le rouge me monter aux joues, d’autant plus qu’en effet….
J’ai balbutié une vague réponse et Juliette s’est écrié en
riant à belles dents :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
Vous voyez que nous sommes toutes faites pareil ! D’ailleurs
pourquoi aurions-nous ces conversations si, quelque part, cela ne
nous donnait pas un peu de bonheur ? Pourquoi faudrait-il qu’il
n’y ait qu’en présence de ces messieurs que nos corps puissent
s’exprimer ? Faudrait-il que j’ai honte de dire que quand
j’ai commencé à claquer ce popotin adorable les soubresauts de la
belle sur mon bas ventre ont amené celui-ci à couler comme une
fontaine, jusqu’à ce que je ressente cette explosion qui conclut
nos moments les plus agréables ? Je vous choque, ma chère ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Non … non,…ainsi vous avez …pris du plaisir à la fesser ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
En un mot comme en cent : oui ! Pour le dire sans plus de
circonvolutions, j’ai joui de voir ses fesses devenir cramoisies,
de les voir ballotter au rythme de mes claques, de voir la belle
agiter ses jambes en découvrant largement son intimité. Oui, ma
chère, j’ai pris mon pied en voyant ses fesses s’ouvrir et
laisser voir son petit œillet Voilà, c’est dit ! Et
pourtant, je vous assure que ce plaisir ne m’a pas amenée à
retenir ma main ! Je peux vous assurer qu’elle a reçu une
belle et bonne fessée !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Elle a su retenir ses larmes ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Non, ni ses larmes ni ses cris. Je pense qu’elle se contenait moins
que lors de sa fessée maritale. Pour dire les choses, elle a crié
comme un goret ! Elle ne cessait de crier des « ouilles »
des « ça fait mal madame » et même des « je ne
parlerai plus….pardon madame » comme une petite fille. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
C’est peut-être aussi cela qui vous a tant animée, vous ne pensez
pas ? De jouer en quelque sorte le rôle de la maman sévère ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Peut-être, en effet, je ne le nie pas. Il est vrai qu’elle est
plus jeune que moi, et qu’elle joue à merveille la petite fille ou
la petite peste ! D’ailleurs quand j’ai jugé qu’elle en
avait assez reçu, je l’ai mise au coin !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Non, vous vous moquez de moi !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Non, pas du tout. Pourquoi le ferai-je ? Quand elle s’est
levée, elle avait le visage couvert de larmes qui avaient fait
couler son maquillage. Elle reniflait en se frottant les fesses et en
piétinant sur place. Je lui ai montré le mur en disant d’une voix
ferme : « Nez au mur, ma petite, et mains sur la tête »
Elle n’a pas tenté de discuter, elle y est allée, traversant la
pièce sans même remonter son slip !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et
voilà, ma chère, comment cette Juliette m’a avoué sans la
moindre hésitation le trouble qui a été le sien en fessant la
petite peste. Dois-je vous dire que, moi aussi, j’étais …émue
en entendant cette confession. Jusque là, jamais l’idée de
recevoir une fessée d’une femme ne m’avait effleurée. Je ne
l’envisage en aucune manière. Mais vous savez qu’on ne maîtrise
pas toujours ses fantasmes. Aussi, le soir même …. Mais je vous
raconterai une autre fois.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Portez
vous bien …</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Soyez
sage …</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Sinon
j’appelle mon amie Juliette !</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre,
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C..</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1904_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 17 : <br />
Lettre de
Mme A à son amie Mme De V** </span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc247_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« La
canne »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Caroline
et Anne – Charlotte, amies d’enfance toutes deux mariées,
entretiennent une correspondance régulière et confidentielle. L’une
et l’autre ont en effet en commun de recevoir régulièrement la
fessée de leurs époux respectifs. Elles prennent un véritable
plaisir à lire les récits des séances subies par l’autre, comme
à raconter celles qu’elles reçoivent. Anne – Charlotte n’a
d’ailleurs pas caché à son amie qu’il lui était arrivé de se
caresser en lisant ses lettres, et elle sait aujourd’hui que c’est
réciproque. De plus, par les confidences de deux autres femmes,
elle s’est rendu compte que son amie et elle n’étaient pas les
seules épouses à connaître la sévérité maritale. Deux de ses
amies lui ont en effet avoué non seulement être elles aussi
régulièrement fessées, mais aussi l’avoir déjà été devant
témoins. L’une d’elle a de plus elle-même flanqué une fessée
à une autre femme, et cela ne lui a pas été indifférent. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Quelques
mois après leurs premières confidences sur ce sujet, Caroline, qui
était novice en la matière au début alors que son amie la recevait
depuis longtemps, a elle aussi découvert le martinet, et son mari
est aussi devenu plus sévère. Son amie lui a même suggéré que
son intérêt pour les histoires de fessées chez les autres l’avait
peut-être amenée à avoir des attitudes qui « appelaient la
fessée ». Bien qu’elle s’en défende, la nouvelle qu’elle
annonce à Anne – Charlotte dans cette nouvelle lettre va tout à
fait dans ce sens.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère et tendre amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il
vous est arrivé de faire plus que sous entendre que je serais, par
mon attitude, à l’origine du regain de sévérité de mon époux,
ou tout du moins de son goût de plus en plus affirmé pour la
manifestation de celle si sur mon postérieur. Pourtant, si je ne
vous ai jamais caché – même si j’en avais tellement honte au
début de nos échanges – que ces séances si douloureuses
soient-elles n’étaient pas sans effet sur mes sens, je vous assure
que leur fréquence est telle depuis quelques mois que je n’ai
vraiment nul besoin de les provoquer. D’autant que Monsieur semble
avoir pris goût aux innovations et qu’après m’avoir fait
découvrir, dans les conditions que je vous ai racontées, le
martinet des enfants, il a cru bon de révéler d’autres
instruments à mes fesses qui n’en demandaient pas tant. Ainsi, aux
alentours de Noël, ai-je découvert un soir, dépassant du porte
parapluie de notre entrée, la poignée de cuir noir tressée de la
cravache qui traînait dans le bric–à -brac du garage depuis des
années, mon cher mari n’ayant pas poursuivi la pratique de
l’équitation de sa jeunesse. J’avais même été presque plus
flattée que choquée le soir où, après qu’il m’ait besognée
par l’arrière il s’était écrié « C’est quand même
meilleur de monter sa chérie qu’un cheval ! » Remarque
qui ne brille certes pas par son élégance ni par son respect pour
l’épouse que je suis mais qui, dans ces circonstances, m’avait
semblé une sorte de compliment gaillard. L’analogie entre l’art
équestre et l’érotisme conjugal ne s’est d’ailleurs pas
arrêtée là, et à plusieurs reprises, alors que nos cabrioles
amoureuses m’amenaient à lui présenter mes arrières, il s’est
mis à me tirer les cheveux, comme s’il s’agissait de la crinière
d’un cheval, tout en me bourrant de grands coups de reins comme au
rythme d’une chevauchée furieuse. Et pour compléter le tableau,
il claquait mes fesses comme un cavalier cravache sa monture. Je ne
dirais certainement que se faire ainsi malmener la chevelure soit
jouissif. Par contre, comment ne pas reconnaître que cette
possession furieuse ne m’a pas laissée indifférente ? Pour
autant, et c’est la preuve que malgré les étapes que mon maître
et mari m’a fait parcourir dans la perversion, je suis encore
naïve, je n’ai pas compris tout de suite pourquoi cet objet
insolite se trouvait là. Je ne l’ai compris que le soir, quand le
susdit maître a décidé, pour une raison dont je n’ai gardé
aucun souvenir, de s’occuper de me fesses avant que nous n’ayons
rejoint la chambre conjugale. Quand je me suis retrouvée « à
poil » selon l’expression sans ambiguïté de mon mari,
debout, les mains posées sur le manteau de la cheminée et sommée
« d’écarter les jambes et de bien présenter mon cul »
je m’attendais à ce qu’il aille chercher le fameux « Marcel »
voire que, comme il l’avait déjà fait une fois ou deux, il fasse
coulisser sa ceinture pour m’en flatter les fesses. Mais non, c’est
une douleur à laquelle je ne m’attendais pas qui m’a fait
littéralement sauter en l’air. C’était comme si toute l’énergie
d’une fessée s’était concentrée sur un point précis,
minuscule, de mes fesses. Et quand je me suis retournée, j’ai vu
mon mari, souriant, qui faisait doucement claquer l’extrémité de
la fameuse cravache dans la paume de sa main gauche en disant :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">-
«</span><span style="font-size: medium;"><i> Mon petit
cheval va reprendre sa place, et cesser de ruer ! Et il va
prendre sa douzaine sans bouger les mains.</i></span><span style="font-size: medium;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">J’avais
déjà compris la règle du jeu. Depuis un moment déjà mon
tourmenteur conjugal avait la manie de scander ses fessées par
douzaine. Douze claques sur chaque fesse, douze coups de martinet sur
les cuisses, ou ce qu’il appelait « la grosse » :
douze fois douze claques. J’aurai donc à supporter le claquement
de cette petite languette de cuir douze fois sans lâcher le manteau
de la cheminée, faute de quoi il reprendrait du début. Au moins,
puisque monsieur jouait à cingler la croupe d’un cheval, celui-ci
n’aurait pas à compter les coups à voix haute ! J’ai fait
en sorte que la punition ne soit pas allongée, sans pousser quand
même le jeu jusqu’à hennir, mais pas sans crier cependant. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mais
visiblement, cette nouveauté n’a pas suffi à Monsieur. La semaine
dernière, un livreur a déposé à la maison un colis à l’adresse
du maître de maison. Je n’y ai pas fait plus attention que cela,
me contentant de le laisser dans l’entrée, là où il l’a trouvé
en revenant à la maison. Ce n’est que plus tard que je me suis
souvenu qu’il avait emmené le paquet dans son bureau sans m’en
parler. Et c’est dans ce même bureau qu’il m’a demandé de le
rejoindre avant le dîner. Quand je suis entrée, j’ai vu sur son
bureau une bouteille de champagne, deux verres, et une sorte de boîte
longue et étroite en bois verni.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Ma
chérie, nous allons fêter l’arrivée d’un cadeau pour nous »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Un
cadeau ? Mais pourquoi ? Qu’est ce que c’est ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« C’est
une surprise … buvons d’abord à notre amour, ma chérie »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il
verse deux verres, nous trinquons, nous buvons une ou deux gorgées,
et la curiosité me pousse à lui demander :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais,
c’est quoi ce cadeau ? C’est ça ? » en désignant
la boite de bois.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Regarde
toi-même, ma chérie. Je pense vraiment que maintenant tu es prête
pour cela. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Sans
comprendre je m’approche et je vois l’étiquette de cuivre sur la
boite, marquée « English Canne and Stick Tradition »
tandis qu’il m’encourage : </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Ouvre-la
… »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
fais jouer la fermeture et je soulève le couvercle, découvrant une
sorte de boîte capitonnée d’un tissu soyeux violet sur lequel
repose une sorte de tige en bois clair. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
…qu’est-ce que c’est ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu
ne vois pas ? Je pense que tes fesses peuvent découvrir cela
maintenant »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
sors le morceau de bois, le prends en main, et immédiatement je le
lui tends, il le saisit et le fait se plier un peu, comme pour
l’éprouver puis le fait siffler en l’air. Bien sûr, j’ai
quand même compris, et je suis terrorisée. Il s’agit d’une
tige de bois d’un peu moins d’un mètre de long, large d’à peu
près un centimètre et épaisse de la moitié. Au toucher le bois
semble un peu satiné. Elle est un peu plus épaisse à un bout,
comme pour être prise en main par une sorte de poignée.. Une canne,
c’est une canne, cet instrument terrible utilisé pour les
punitions en Grande Bretagne. Il fait passer lentement l’objet
dans le creux de sa main, comme pour en constater la douceur. Et pour
l’avoir moi-même touché, je sais qu’en effet le bois est très
doux. Ce qui n’empêchera évidemment pas l’objet d’être
terriblement blessant s’il est utilisé avec vigueur. Or, sans rien
cacher de ses intentions, il agite cet objet dans l’air, vérifiant
ainsi sa flexibilité et faisant siffler l’air.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu
ne vas pas …. Tu ne veux pas … ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
si, ma chérie, il est temps que tu vives cette étape, je suis sûr
que je vais être fier de toi »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
c’est … c’est … »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Oui,
c’est une canne, ma chérie. A strik comme disent nos amis anglais.
Un grand moment de tradition. Je sais que tu le mérites, je
sais que tu ne me décevras pas»</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu…tu
veux vraiment me frapper avec cela ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Te
frapper ? Tu sais bien que non, mon amour. Je ne t’ai jamais
frappée, ma chérie. Mais, oui, je vais te cingler les fesses, je
vais te marquer le cul mon amour. Je veux que ton cul porte les
zébrures de mon amour. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
…pourquoi ? Qu’est ce que j’ai fait ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
rien, ma chérie. Je ne veux pas te punir, je veux te montrer combien
je t’aime. Je veux t’accompagner dans une grande découverte.
Allez, va te mettre en place. »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il
ne me demandait pas si je voulais, et en même temps il n’ordonnait
pas vraiment. Sa voix n’avait pas la sévérité qu’il sait lui
donner quand il veut me tanner les fesses pour ce qu’il estime ou
feint d’estimer une bonne raison. J’aurais peut-être pu refuser,
discuter, le faire changer d’avis. Mais est-ce vraiment cela que je
voulais ? A vrai dire, à la réflexion, il me semble que dès
que j’ai eu compris ce qu’était cet objet et ce à quoi il
devait servir, j’avais déjà admis ce qui allait suivre. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Retire
ta robe, ma chérie, et penche toi sur le dossier du fauteuil, pose
tes mains sur l’assise, tu seras mieux ainsi »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">J’ai
à peine hésité une fraction de seconde. Il me regardait avec des
yeux brillants, amoureux je pense, tout en appréciant la flexibilité
de la canne. En le regardant bien en face, j’ai fait passer ma robe
par la tête, et je me suis retrouvée en soutien gorge et culotte. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Laisse
tes bas, retire tes chaussures et installe toi, tu es parfaite
ainsi »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
me suis positionnée comme il me l’avait demandé, le souffle un
peu court, le cœur battant. Il s’est positionné près de moi, et
il a posé la baguette de bois sur mes fesses. Il a juste tapoté un
petit coup, comme pour découvrir le terrain. Puis je l’ai entendu
dire, d’une voix un peu étranglée :</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Baisse
ta culotte, s’il te plaît, jusqu’aux genoux, et écarte un peu
plus les jambes. »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">J’ai
fait comme il le demandait, me retrouvant ainsi les jambes entravées
par mon slip tendu entre mes genoux. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i>« Pour
la première fois, ce sera seulement six coups ma chérie »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Une
nouvelle fois, il a posé la tige de bois, mais directement sur mes
fesses cette fois. Curieusement le bois n’était pas froid, il
était même plutôt doux, comme presque velouté. Il a encore tapoté
trois ou quatre coups, très légers. Puis j’ai entendu un
sifflement bref, interrompu par un bruit sec, et j’ai su que la
canne s’abattait sur mon derrière. Mais curieusement je n’ai pas
senti la douleur comme lors d’une claque à la main ou d’un coup
de martinet. J’ai senti l’impact sur ma peau, j’ai senti mes
fesses se contracter, mais ce n’est qu’une fraction de seconde
plus tard que la douleur a véritablement explosé. Je sais que j’ai
alors rugi, un cri tripal. J’ai vraiment eu le sentiment que ma
peau avait été déchirée, lacérée. J’en ai eu le souffle
coupé. Je sais que tout en psalmodiant une plainte continue
j’ouvrais la bouche comme un poisson hors de l’eau. J’ai porté
les mains à mes fesses, et j’ai presque été étonnée qu’elles
ne soient pas en sang. J’ai juste effleuré l’endroit où la
canne avait cinglé mon cul, ravivant encore, si c’est possible,
l’intolérable douleur. J’ai encore sautillé quelques instants,
les mains plaquées sur mon cul, sans que mon mari ne m’en fasse le
reproche. L’impact de la canne sur mes fesses provoquait une
souffrance totalement différente de toutes celles causées par la
main ou par d’autres instruments. Ici la douleur était comme
concentrée, ramassée sur ce mince trait qui me coupait le derrière.
Elle ne se diffusait pas sur toute la surface comme la claque d’une
main l’averse des lanières d’un martinet. Même quand c’était
une ceinture, à peine plus large en fait que cette canne, qui
m’avait lacéré les fesses, la douleur s’était en quelque sorte
diffusée depuis l’impact vers l’extérieur. Un peu comme quand
une goutte d’eau tombe sur un sol sec qui l’absorbe en étendant
la tâche autour. Ici rien de tout cela, je peux même dire au
contraire. Il me semble que la sensation de déchirure se réfractait,
non en violence mais en surface concernée. Cette ligne nette de
douleur absolue absorbait, avalait, non seulement toute la surface de
mon cul mais en quelque sorte toute ma personne. J’étais toute
entière réduite à ce trait rectiligne. Mais malgré la sensation
de déchirure qui commençait à peine à s’estomper, c’est sans
que mon mari ait eu besoin de m’en donner l’ordre que je me suis
remise en position. Est-ce de ma part obéissance ou fierté ?
Il m’en avait annoncé six, je n’ai pas vraiment envisagé
la possibilité que je ne les reçoive pas. A posteriori, je pense
que si j’avais demandé à en rester là, mon mari qui est tout
sauf une brute, aurait aussitôt cessé. Je n’y ai pas pensé un
seul instant. Autant il m’est arrivé, lors de fessées manuelles,
d’implorer son pardon, de lui demander de cesser – tout en
sachant qu’il n’en ferait rien – autant, ici, et peut-être
parce que je savais inconsciemment qu’il le ferait si je le lui
demandais, la tentation de lui demander d’arrêter ne m’a pas
effleurée. Je me suis donc repositionnée exactement comme pour la
première frappe. Le buste penché par-dessus le dossier du fauteuil,
les hanches contre celui-ci. Je pense que je ne serais pas parvenu à
garder la position si je n’avais pas eu ce support. Les mains
posées sur les accoudoirs. Je n’ai pas prononcé un mot, à part
bien sur ce cri qui venait plus de mon ventre que de ma tête. Mon
mari non plus. Le silence était redevenu total, compact. Et c’est
donc encore à cinq reprises que le cycle a repris. Canne posée sur
le derrière, tapotements légers, comme s’il cherchait à définir
précisément l’impact du prochain coup, puis ce sifflement de
serpent qui va mordre, ce « shlcak » très bref, qu’à
chaque fois j’ai entendu à l’ultime fraction de seconde avant de
sentir la peau exploser. Avec à chaque fois cette même sensation de
déchirure. Un fin trait de douleur absolue, qui semble hésiter un
instant avant de pénétrer au plus profond de moi-même, comme si
l’instrument n’était pas resté à la surface de la peau mais
était véritablement entré en moi. Puis la barre de fer portée au
rouge revient du plus profond de moi jusqu’à exploser une seconde
fois, comme une mine qui fait se soulever la terre. Et à chaque fois
ce cri, au-delà de la conscience, incontrôlable. Un hurlement venu
des tripes, qui se prolonge par une longue plainte, par de multiples
jappements, tandis que mes mains tentent d’atténuer la cuisson, ne
faisant en fait que la raviver quand elles touchent la ligne
incandescente marquée par l’instrument. A chaque impact, mon corps
s’est redressé comme un ressort qu’on lâche. Après chaque
coup j’ai entamé cette sorte de danse sur place, d’un pied sur
l’autre, sautillements et piétinements mélangés. A chaque fois
j’ai eu le sentiment que, cette fois, ma peau avait vraiment
éclatée, comme celle d’une tomate quand on la plonge dans l’eau
bouillante. A chaque fois j’ai porté le bout des doigts sur mes
fesses, persuadée qu’elles étaient en sang. Et à chaque fois ils
n’ont rencontré qu’une nouvelle boursouflure, parallèle à la
précédente. A chaque fois la douleur est allée au-delà du
mesurable. A chaque fois j’ai eu le sentiment que mon cœur s’était
arrêté lors de l’impact, pour repartir follement quand la
souffrance pénétrait tout mon corps. A chaque fois j’ai hurlé,
haleté, aspiré l’air comme si j’allais me noyer. Et à chaque
fois j’ai repris la position pour attendre la frappe suivante. La
première m’avait atteinte juste au milieu des fesses, comme une
sorte d’équateur, parfaitement perpendiculaire à la raie des
fesses. Pour la deuxième, j’ai senti qu’il positionnait la canne
un peu au dessus, et elle s’est abattue très précisément là où
il l’avait prévu. Et chaque frappe suivante a ainsi été
parfaitement parallèle à la précédente. L’une d’entre elles,
peut-être la plus terrible à supporter, frappant mon derrière à
l’ultime limite d’avec les cuisses. Ai-je vraiment compté les
coups ? A vrai dire je n’en sais rien. Je pense que j’ai
compris que la séance était terminée quand la canne a fait un
doublon. Le même sifflement, mais suivi de deux morsures
consécutives, la seconde venant frapper avant même que la
meurtrissure de la première n’ait atteint son paroxysme. Cette
fois, mes jambes ont lâché. Le ressort s’est cassé. Je me suis
retrouvée à terre, roulée en boule, en position fœtale, n’ayant
presque plus la force de crier, mais seulement de pousser une sorte
de long hululement continu et sanglotant. Il m’a fallu un long
moment avant d’être capable, avec l’aide me mon mari, de me
traîner jusqu’au divan pour m’y allonger, sur le ventre, le
visage caché dans le pli de mon coude. Je n’ai même pas eu la
force de chercher à voir dans quel état était mon pauvre cul. Je
peux pourtant vous dire que plusieurs heures plus tard, quand j’ai
pu le regarder dans le miroir de ma salle de bain, il était dans un
état à faire peur. Je n’oserais en définir la couleur, qui
devait osciller entre le bleu – noir et le jaune sale. Mais surtout
il était traversé de part en part par six affreuses lignes, des
boursouflures violacées parfaitement parallèles. La première
presque au niveau de mes reins, juste en dessous en fait (mon homme
m’a expliqué par la suite qu’il lui fallait faire très
attention, justement, à ce que les coups tombent bien sur les fesses
et non pas sur le bas du dos où ils pourraient blesser) et la
dernière presque en dessous du globe fessier. Pendant la séance, et
même après, j’avais eu vraiment la sensation que ma peau avait
réellement éclaté, que mon cul n’était qu’un champ de plaies
béantes. Et je suis tout à fait convaincue qu’en maniant cet
engin on peut tout à fait, en effet, lacérer la peau jusqu’à la
faire saigner. Mais,mon mari avait dosé ses coups pour justement ne
pas aller à cette extrémité qui le révulse. Je vous avoue que je
ne sais toujours pas comment il s’est « entraîné » de
la sorte. Mais si mon derrière n’était pas vraiment en sang, ces
traces boursouflées étaient hypersensibles. Le moindre effleurement
me faisait crier de douleur, une sorte de courant électrique
traversant tout mon corps. Vous ne serez pas étonnée que je sois
restée trois jours sans pouvoir m’asseoir. Chaque fois que j’ai
tenté de le faire, c’était comme si je le faisais sur une plaque
chauffée à blanc. J’ai donc dormi sur le ventre presque huit
jours, mais pendant les trois premiers jours j’ai même mangé à
genoux sur ma chaise ! Et vous devinez la torture que c’était
chaque fois que je devais passer une culotte. Du reste, étant en
plus dans l’incapacité de sortir, je suis restée plusieurs jours
sans même envisager cette possibilité ! Je dois dire que mon
mari en était ravi. Il ne se passait pas une demi-journée sans
qu’il ne vienne me demander de relever ma chemise de nuit (c’est
dans cette tenue que j’ai passé les trois jours qui ont suivi
cette « initiation » pour reprendre les mots de mon cher
mari) pour constater l’état de mon fessier. Vous ne serez pas
étonnée si je vous dis qu’à chaque fois, cette vue entraînait
chez lui la conséquence que vous devinez, et vous comprendrez qu’en
épouse obéissante, je ne laissais pas mon maître et seigneur sans
le soulager… Il était pourtant hors de question, vous le
comprenez, que celui-ci puisse m’honorer dans la position classique
du missionnaire. Du reste, le jour même de la séance, il était
hors de question que j’adopte quelque position que ce soit. Mon
tortionnaire a eu du reste la délicatesse de ne pas même me le
suggérer. Mon fondement était tellement dévasté que je n’aurais
pas supporté la moindre caresse. Il fallait d’abord qu’on
apporte à ce fessier déchiqueté les soins qu’il appelait. Le
soir, mon tortionnaire se muait en infirmier pour appliquer sur mes
pauvres fesses une crème apaisante et cicatrisante. Mais juste après
la séance, c’est d’une autre crème qu’il aspergea mon cul.
Autant vous le dire, au cas où pareille aventure vous arriverait, ce
qu’à Votre Mari ne plaise, cette liqueur qui nous fait tant
plaisir parfois n’a pas les vertus thérapeutiques qu’on pouvait
espérer. Au contraire même, le contact de cette pommade tiède a
plutôt ravivé la brûlure. Mais comment ne pas être en même temps
flattée en entendant celui qui, pourtant, vient de vous mettre le
cul à vif dire, la voix étranglée : «</span><span style="font-size: medium;"><i> Ne
bouge pas ma chérie, je vais baptiser ton cul »</i></span><span style="font-size: medium;">
et de comprendre qu’il a sorti son sexe et est entrain de se
branler jusqu’à ce qu’il gémisse «</span><span style="font-size: medium;"><i> oui !
Putain qu’il est beau ! je vais venir, je vais l’arroser ma
salope ! Tiens, prends ça ! </i></span><span style="font-size: medium;">»
et de sentir en effet sa jouissance jaillir et venir s’écraser sur
ce champ de bataille labouré qu’était mon cul. Peut-être est-ce
un effet de l’état émotif dans lequel je me trouvais, mais j’ai
eu l’impression qu’il jutait plus abondamment que d’ordinaire.
Son foutre m’a semblé inonder mes fesses, et je le sentais qui
coulait lentement sur elles et jusque dans la raie, venant ainsi
humidifier mon petit trou. Les sanglots et les plaintes n’étaient
pas encore taris, et pourtant il a suffi que mon index vienne à
peine titiller mon bouton pour que les cris de la jouissance viennent
les remplacer, alors que je m’écroulais, usée de douleur et de
plaisir. Je me suis un moment endormie sur ce sofa, les fesses
toujours à l’air. Et plus tard, l’Homme est revenu, m’a
tendrement embrassé, et a susurré à mon oreille combien il était
fier de moi. Les mots crus se mêlaient aux mots tendres : «</span><span style="font-size: medium;"><i> Tu
as été merveilleuse de courage et de force mon amour. La canne a
révélé combien ton cul est fait pour être meurtri de coups
d’amour. Jamais il n’a été plus beau qu’aujourd’hui. Jamais
je n’avais vu plus beau que ton cul creusé à chaque coup</i></span><span style="font-size: medium;">.
</span><span style="font-size: medium;"><i>Chaque trace sur tes
fesses est comme une preuve d’amour, de mon amour. J’ai failli
jouir rien qu’en voyant ton cul réagir quand la canne venait le
cingler. Tu sais, mon amour, j’ai dû prendre sur moi pour aller au
bout des six coups que je t’avais promis, tant j’avais envie de
me jeter sur toi pour t’enculer. D’ailleurs, je vais le faire
maintenant ! Ouvre tes fesses ma chérie, montre moi bien ton
petit trou.</i></span><span style="font-size: medium;"> »
Malgré la douleur qui transformait encore mon cul en volcan, je me
suis exécutée. Aussi délicatement que j’ai pu, en faisant bien
attention à ne pas toucher aux boursouflures qui les défiguraient,
j’ai écarté les fesses de mes deux mains. Je grimaçais de
douleur mais en même temps j’entendais l’Homme qui haletait
« </span><span style="font-size: medium;"><i>oui …vas-y,
écarte, ouvre ton cul ! oui, je vois ton œillet, je vois ton
trou du cul ma salope. Je vais le défoncer, je vais t’enculer
comme jamais ! </i></span><span style="font-size: medium;">»
Et il tint sa promesse, et de belle manière ! La simultanéité
entre le frottement presque insupportable de son ventre sur mes
fesses à vif et la dilatation de mon petit trou taraudé par une
bite qui m’a semblé avoir des dimensions nouvelles a entraîné
une véritable explosion. Mon cri était celui de la souffrance
intolérable, de la peau écorchée griffée par la sienne et de
celle de mon pauvre petit trou forcé d’un coup de reins puissant,
qui semblait devoir le faire exploser., Mais c’était aussi le cri
d’une jouissance je ne dirais pas plus forte mais en tout cas
différente de toutes celles que j’avais connues jusque là. Mon
mari profite souvent de ces moments où son dard est planté bien
profond dans mon fondement pour ponctuer ses va-et-vient de grandes
claques sur mes fesses. Il s’en est heureusement abstenu, mais, une
fois sa bite enfoncée jusqu’aux couilles, il s’est redressé à
demi, et a saisi mes seins à pleines mains . «</span><span style="font-size: medium;"><i> Oui !
Je vais jouir en toi, salope ! Je t’encule à fond, ma
chienne ! Je vais venir mon amour ! Je vais jouir en toi ma
reine ! Je vais te défoncer la rondelle ma putain ! Je
…</i></span><span style="font-size: medium;">. » Le
reste a été recouvert par nos deux cris de jouissance. Par trois ou
quatre fois au cours des deux jours qui ont suivi, il m’a ainsi
honorée par les voies détournées. Avec moins de manifestations
orales de son plaisir,mais, me semble-t-il, avec toujours autant de
virilité. Il me semblait que sa bite était infatigable, et que le
sperme se régénérait aussi vite qu’il jaillissait. D’autant
qu’en plus de ces visites de ma porte secrète, le Monsieur avait
tenu, à plusieurs reprises, à se branler sans me toucher mais en
arrosant tantôt mes seins, tantôt mon visage, de l’expression de
son admiration. Jusqu’à ce que soit moi qui, le surlendemain,
prenne l’initiative en lui demandant, presque humblement,
l’autorisation de le sucer. Je suis restée sur le ventre, il est
venu s’agenouiller sur l’accoudoir du canapé, me présentant sa
bite comme une offrande. Je l’ai absorbée goulûment, et je me
suis mise à le pomper de toutes mes forces, tout en massant ses
couilles d’une main et en introduisant l’index de l’autre entre
ses fesses. Une fois encore, il n’a pas pu ne pas me faire partager
la montée de son plaisir. « </span><span style="font-size: medium;"><i>Vas-y,
suce moi, suce moi à fond ! Bouffe ma bite ! Nom de Dieu,
je vois ton cul ! Je t’ai marqué le cul ma salope, je t’ai
zébré ton cul, et maintenant je vais …</i></span><span style="font-size: medium;"> »
il n’a pas pu aller plus loin, j’avais enfoncé d’un coup mon
doigt dans son cul, déclenchant chez lui un coup de reins à me
décrocher la mâchoire. Sa bite est venue au fond de ma gorge, je me
suis juste reculée à temps pour sentir son jus en jaillir, inonder
ma bouche, recouvrir mes gencives et déborder par la commissure des
lèvres tandis qu’il avait lâché mes seins pour me saisir par les
cheveux et m’enfoncer son dard encore plus profond en beuglant « </span><span style="font-size: medium;"><i>je
t’emplis ! Avale mon amour ! Bois ma salope ! »</i></span><span style="font-size: medium;">
Pour finir par ces mots dont vous comprendrez qu’ils justifieraient
à eux seulz l’épreuve que j’ai vécue : « </span><span style="font-size: medium;"><i>Argh !!
Putain je t’aime ! </i></span><span style="font-size: medium;">»
Mais est-ce vraiment pour cela que j’ai supporté cette douleur à
proprement parler insupportable ? Que j’ai accepté qu’à
six reprises mon cul soit véritablement déchiré ? Que j’ai
pu souffrir plus que jamais je n’avais souffert ? Que les
larmes ont coulé de mes yeux dés la première frappe, que j’ai
crié ma douleur à pleine voix, que j’ai trépigné, sautillé,
hululé de douleur ? A vrai dire, je n’en suis pas sûre. .
Alors est-ce par devoir d’obéissance à mon époux ?
Certainement pas. Vous êtes bien placée pour savoir que celui qui
obéit le plus n’est pas toujours celle qu’on pense dans ce genre
de moments. Rien n’est plus loin de moi que la femme soumise,
n’osant rien refuser à un homme. Et pour tout dire rien n’est
plus loin de mon mari que l’époux brutal jouissant de l’obéissance
servile de sa femme. Même si vous savez aussi que ces moments ne
sont en rien des jeux, des simulacres. J’ai été flagellée à
coups de canne, ma peau a été blessée, meurtrie au-delà de
l’imaginable. Mon homme n’a pas « fait comme si » il
me tannait les fesses à la canne. Il l’a fait. Vraiment.
Sérieusement. Violemment. En ai-je ressenti une sorte de plaisir
masochiste ? En aucune manière. J’ai peur de la souffrance,
je la hais, je l’évite autant que je peux. Je n’aime pas
souffrir. Et pourtant je l’ai accepté, consciemment, presque
sereinement. Par fierté ? Pour me prouver que je pouvais le
faire ? Pour le lui prouver, à lui ? Je n’en sais rien.
Ai-je accepté ces moments si difficiles pour faire plaisir à mon
homme ? Je ne pense pas. Pour qu’il m’en aime plus ?
Qui peut le dire ? Je n’ai pas joui d’être battue. Tout au
contraire j’ai souffert au-delà de ce que je peux exprimer. Et
pourtant, comment nier que j’ai aussi joui, peut-être pas plus,
mais en tout cas différemment que jamais auparavant. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous
ne serez pas étonnée si je vous dis qu’en écrivant ces mots, et
bien que mon cul soit encore défiguré et douloureux, la mouille me
dégouline de la foufoune. Je vous aime trop pour souhaiter que vous
subissiez un jour un tel traitement. Et je vous aime trop pour ne pas
vous souhaiter de le découvrir.</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Votre
amie qui s’enfonce dans le vice avec délectation </span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Caro</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western" style="page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1906_579450151"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre 18:<br />
<b> </b><b>Lettre
Mme De V** à son amie de Mme A </b></span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc249_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Les
scurpules d’Anne - Charlotte »</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Depuis
des mois Anne Charlotte et Caroline s’échangent une correspondance
des plus intimes, où l’une et l’autre exposent les manières
sévères de leurs maris réciproques. Caroline a ainsi révélé à
son amie qu’elle avait reçu une correction à la canne. Ce n’est
que trois semaines plus tard qu’Anne Charlotte répond à cette
lettre.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma
si chère amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
vous implore de me pardonner d’avoir tant tardé à répondre à
votre dernière lettre, mais c’est, justement, parce qu’elle m’a
ébranlée (ne sourirez pas !) plus qu’aucune des précédentes.
J’en ai été vraiment effrayée, le mot n’est pas exagéré.
Vous étiez allée si loin ! La canne, mon Dieu ! Vous
décriviez la chose avec tellement de réalisme ! Une telle
souffrance, oui vraiment, j’ai eu peur. Et honte. Oui, honte. Après
tout, n’était-ce pas moi qui, par mes confidences, voire même mes
conseils, vous avais amené eà aller si loin, trop loin ? Ne
vous avais-je pas entraînée plus loin que raisonnable ?
Devais-je vous demander de me pardonner ? Devais-je tenter de
vous faire revenir en arrière ? J’ai vite compris que non
seulement je n’en avais pas le droit, sauf à m’immiscer plus
encore dans votre vie privée, mais qu’en plus, rien de ce que je
pourrais vous dire ne changerait quoi que se soit à ce qui vous ait
arrivé. Et puis, à la réflexion, je me suis dit que, même si je
continue à me sentir responsable, rien ne vous obligeait à me faire
partager cette dernière étape de votre parcours. Mais, en même
temps, que pourrais-je répondre à votre dernier aveu ?
Jusqu’ici, nous échangions, d’un ton léger, des confidences
elles aussi, finalement, légères. Là, vous étiez dans un autre
registre, dans une autre dimension. Le choix, dès lors, m’est
apparu comme incontournable. Soit je cessais nos échanges, vous
laissant poursuivre – ou non – votre parcours dans un monde où
je ne voulais pas aller, dont je ne voulais rien savoir ni rien
connaître. Cela aurait été pour moi une déchirure, une rupture,
une fin honteuse. Soit j’assumais mes responsabilités. Et je l’ai
fait. Dans votre lettre, vous m’aviez indiqué le nom de la firme
auprès de laquelle votre mari a fait l’acquisition de ce terrible
instrument. Ma première surprise a été de découvrir qu’il
n’était même pas nécessaire de traverser la Manche pour faire ce
genre d’emplette. Qui, dans le monde des gens ordinaires, penserait
qu’en plein Paris, existe une telle boutique ? Une façade
assez ordinaire, en vitrine des cannes – je veux dire des cannes
qui servent à marcher – mais aussi des instruments en cuir, et en
particulier des cravaches. Mais assez mêlées à des objets
« ordinaires » pour qu’on n’établisse pas d’emblée
le lien entre celles-ci et ce présentoir, assez discret, où trônent
des objets dont, je pense, la plupart des passants qui s’arrêtent
devant ce magasin n’imaginent pas une seconde à quoi ils peuvent
servir. Toute une série de longues baguettes, les unes noires,
d’autres plus claires, d’épaisseurs différentes. Les unes
droites, les autres munies d’une extrémité recourbée. Dans une
de nos premières lettres, je vous ai raconté combien l’achat de
mon premier martinet avait été une épreuve. L’angoisse en
entrant dans le magasin, ma gêne pour oser dire ce que je venais
acheter. Mon honte quand la vendeuse m’avait fait choisir
l’instrument. Rien de tel quand j’ai poussé la porte de cette
boutique obscure de la rue Saint-Père. J’étais déterminée.
Presque tranquille, presque sereine. Dix minutes plus tard, je
sortais du magasin, l’objet enveloppé dans un papier kraft. Et le
soir même, mon homme le trouvait sur son bureau. Pour le reste, il
vous suffit de savoir que je vous écris la présente à genoux sur
mon siège.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Que
puis-je vous dire de plus que merci de m’avoir emmenée là où je
ne pensais pas être en mesure d’aller.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: large;">A.C.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><i><br />
<br />
</i></span><br />
<br /></div>
<h1 align="center" class="western" style="page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc265_805917996"></a>
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Postface </span>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc312_805917996"></a><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Ta
sœur en fessées.</span></h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Mamy
Caroline » Je ne sais rien de toi. Sauf … Je ne sais pas non
plus, bien sûr, si tes enfants, et tes petits enfants, ont connu,
comme toi, les punitions enfantines. Et encore moins si les autres
femmes de la famille ont connu les fessées maritales. Mais je me
sens tellement proche de toi, ma lointaine aïeule !</span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><i>T</i><span style="color: black;"><span style="font-size: x-small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">u
étais une femme de ton temps, de ton époque, si différente de la
mienne. Et pourtant, finalement, tu étais quand même une femme
libre. Une femme fessée, certes. Mais tellement digne, tellement
fière. Je suis, moi, une femme du XXI </span></span></span></span><span style="color: black;"><sup><span style="font-size: x-small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">ème</span></span></span></sup></span><span style="color: black;"><span style="font-size: x-small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">
siècle. Revendiquant la liberté, l’égalité, le respect. Et
pourtant, sache-le, bon sang ne saurait mentir. Ton arrière –
arrière petite fille est aussi fière d’être, elle aussi, une
femme fessée. Et, chaque fois que mon postérieur rougit sous la
main d’un homme, c’est à toi que je pense, mon ancêtre, mais
aussi, comme ton amie Anne – Charlotte, quelque part, ta sœur. Ta
sœur en fessées. </span></span></span></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br /></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid; page-break-before: always;">
<span style="font-family: "calibri" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b>Table
des matières</b></span></span></div>
<div dir="ltr" id="Table des matières1">
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc255_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Préambule 2</span></a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc257_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Un
grenier et des souvenirs 2</span></a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc259_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« A
l’insu de mon plein gré » 2</span></a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc261_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Une
grosse malle et des papiers jaunis 3</span></a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc263_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Une
tradition familiale. 3</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1782_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Les
personnages 4</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1614_1560952596"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
1 : La lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 5</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc213_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Une
découverte pour Caroline » 5</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1874_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
2 : Réponse de Mme De V*à son amie Mme A* 9</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc215_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Mais
moi aussi ! » 9</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1876_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
3 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 16</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc217_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">«Soeurs
en fessées » 16</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc219_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Des
questions » 20</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1878_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
4 : Lettre de Mme De V*à Mme A* 22</span></a></div>
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plaisirs solitaires » 22</span></a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1880_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
5 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 28</span></a></div>
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des confessions » 28</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1882_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
6 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 32</span></a></div>
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Lucie … aussi ! » 32</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1884_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
7 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 37</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1886_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
8 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 40</span></a></div>
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public ! » 40</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1888_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
9 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 46</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc231_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Découverte
du martinet » 46</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1890_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
10 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 51</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc233_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Lucie,
suites » 51</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1892_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
11 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 55</span></a></div>
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si moi aussi … ? » 55</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1894_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
12 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 58</span></a></div>
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13 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 63</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc239_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Encore
des secrets révélés » 63</span></a></div>
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14 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 68</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc241_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Juliette,
suite » 68</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1900_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
15 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 76</span></a></div>
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tout le monde ! » 76</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1902_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
16 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 79</span></a></div>
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encore » 79</span></a></div>
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17 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 84</span></a></div>
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canne » 84</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1906_579450151"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Chapitre
18: Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 93</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc249_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">« Les
scurpules d’Anne - Charlotte » 93</span></a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc265_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Postface 95</span></a></div>
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<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc312_805917996"><span style="font-family: "calibri" , sans-serif;">Ta
sœur en fessées. 95</span></a></div>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br /></div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-61117403191118827432019-05-09T10:45:00.000-07:002019-05-09T10:45:06.054-07:00La maman et l'institutrice<!--[if gte mso 9]><xml>
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<br />
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; mso-bidi-font-family: "Lucida Sans";">Alain
Eloge</span></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<span style="font-family: "Lucida Bright","serif"; font-size: 32.0pt;">La maman et
l’institutrice</span></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div class="ContentsHeading" style="page-break-before: always; tab-stops: right dotted 470.3pt;">
Table des matières</div>
<div class="Contents1">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1174_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Une
conversation, une révélation<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.......................................................................................................... </span>3</span></a></div>
<div class="Contents7">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1176_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Les
bavardages de Mathilde<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">..................................................................................... </span>3</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1036_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Une
convocation<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.............................................................................................................................. </span>3</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1178_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Préambules<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.................................................................................................................................. </span>3</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1038_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">La
fessée ?<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................................................... </span>5</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1042_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Confidences<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">..................................................................................................................................... </span>8</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1180_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Moi aussi ...<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................................................. </span>8</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1182_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Et toi ?<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">......................................................................................................................................... </span>9</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1184_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">L’achat<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">....................................................................................................................................... </span>10</span></a></div>
<div class="Contents7">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1044_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Découverte<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.............................................................................................................. </span>11</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1186_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Fière !<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................................ </span>13</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1188_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Mouillée<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">......................................................................................................................................... </span>14</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1190_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Troublée ?<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.................................................................................................................................. </span>14</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1192_703343552"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">Le
meilleur ?<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.............................................................................................................................. </span>15</span></a></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div class="Heading1" style="page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1174_703343552">Une conversation, une révélation</a></div>
<div class="Heading7">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1176_703343552">Les bavardages de
Mathilde</a></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Mathilde, l’agent d’entretien de l’école où travaille Hélène,
est une bavarde incorrigible. Alors qu’elle nettoie les tables de la classe
tandis que la maîtresse de la « section des grands » prépare<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>le tableau pour la classe du lendemain, elle
parle presque sans arrêt, et Hélène l’écoute d’une oreille distraite.</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
« <i>Ah, vous savez, on en voit des choses quand on va
chez les gens.Si on disait tout ce qu’on sait, eh ben, il y en a qui feraient
moins les fiers. Mais moi, vous me connaissez, hein, madame Georges, c’est pas
moi qui irait raconter des histoires. Enfin, comme on dit, on sait ce qu’on
sait et on voit ce qu’on voit. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Hélène se contente de montrer qu’elle écoute par de vagues
« <i>hà cà .. » </i>ou <i>« ho, sûrement » </i>alors que
Mathilde lui révèle, ce qu’elle sait depuis longtemps, qu’en dehors de l’école,
elle fait le ménage dans quelques maisons du village. Bien qu’elle affecte de
ne citer personne, la maîtresse n’aurait aucun mal à deviner qui sont ceux dont
« <i>la cuisine est<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dans un état
que vous n’imagineriez même pas » </i><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ou ceux <i>« qui doivent changer leurs
draps tous les trois mois ... » </i>Mais elle se contente de sourire
intérieurement, sans vraiment chercher à identifier ceux dont la femme de
ménage met ainsi l’intimité à jour. Et celle-ci continue son bavardage :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i>« Quand on voit des enfants aussi mignons qu’Eric et
Jeanne, hein qu’ils sont sages comme des images, madame Georges, eh ben j’peux
vous dire que chez eux, ça marche à la baguette. Quand vous pensez que le
martinet est pendu à un clou ! Comme chez moi quand j’étais petite. Enfin,
j’espère pour eux qu’il sert moins souvent qu’à mon époque. Ha là là, en
c’temps là les parents nous faisaient marcher droit. Enfin, chacun fait comme
il veut, mais quand on voit des enfants qui font la loi chez eux, c’est triste,
hein, madame Georges. Mais est-ce qu’il faut en arriver à ça ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Une fois encore, Hélène ne réponds que par un <i>« Ha ça
c’est sûr » </i>qui n’engage à rien. Mais la remarque de Mathilde a quand
même retenue son attention. Eric, ce mignon bambin qu’elle a dans sa classe et
sa sœur, Jeanne, qui est en CP à l’école d’à côté, seraient-ils élevés « à
l’ancienne » ? Cela l’étonne, d’abord parce qu’en effet, ce sont tous
les deux des enfants plutôt sages et calmes, ensuite parce que leurs parents,
monsieur et madame Lefranc, lui apparaissent comme des gens modernes, ouverts,
impliqués dans la vie de l’école, et en rien comme des nostalgiques du temps
passé. Et, tandis que Mathilde continue son<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>babillage qu’elle n’écoute plus, elle se dit qu’elle aurait du mal à
imaginer les deux enfants victimes de châtiments corporels d’un autre temps.</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Heading2">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1036_703343552">Une convocation</a></div>
<div class="Heading3">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1178_703343552">Préambules</a></div>
<div class="Standard">
Pourtant, dés le lendemain, Hélène met un petit mot dans le
cahier de liaison d’Eric :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i>«</i><i><span style="font-size: 10.0pt;"> </span></i><i><span style="font-family: "Lucida Console"; font-size: 10.0pt;">Madame, je souhaiterais
vous rencontrer quand cela vous est possible. Je suis disponible tous les soirs
de 16h30 à 17h30 ou le samedi à 11h30 à l’école. Cordialement, Mme
Georges »</span></i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Quand Karine, la maman des deux enfants, prend connaissance
de ce mot, elle s’inquiète de savoir quelle bêtise a pu faire Eric, mais devant
ses dénégations, elle préfère ne pas insister, et dés le surlendemain, après
s’être arrangée pour quitter son travail plus tôt que d’habitude, elle est dans
le couloir de l’école. Hélène l’accueille avec le sourire et la fait entrer
dans le bureau du directeur, le temps de surveiller la sortie des enfants.
Tandis qu’elle l’attends, Karine se dit que la maîtresse a vraiment la tête de
l’emploi. Hélène est une femme plutôt jolie, grand et élancée, mais elle semble
tout faire pour se donner l’allure sérieuse sinon sévère d’une institutrice.
Les cheveux toujours réunis en queue de cheval, des vêtements toujours plutôt
stricts, mais jamais de pantalon, et les inévitables lunettes d’écaille sur le
nez. Tous les parents, que Karine rencontre lors des réunions de parents
d’élèves, s’accordent pour la considérer comme une enseignante compétente et
dévouée, très impliquée dans son métier, ouverte au dialogue avec eux, mais
restant toujours un peu sur sa réserve. « <i>Après tout, </i>ce dit
Karine, <i>moi aussi je respecte une sorte de « dress-code » quand je
vais au travail » </i>Ce soir là, elle porte en effet la tenue presque
caricaturale de « l’exécutive women » qu’elle est dans une grande
société d’assurance. Jupe droite, chemisier sage, et maquillage léger. Quand la
maîtresse la rejoint elle s’assoit de l’autre côté du bureau et engage aussitôt
la conversation :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Je
vous remercie d’être venue aussi vite, Madame Lefranc, mais il n’y avait pas
urgence, vous savez, cela pouvait attendre samedi »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ho,
j’ai préféré en avoir le cœur net le plus vite possible, et savoir ce qu’Eric a
bien pu faire pour justifier cette convocation. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
non, ne vous inquiétez pas, Eric n’a rien fait de mal, c’est un enfant
adorable. Et je suis sûr qu’il est aussi sage à la maison qu’à l’école,
non ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Vous
me rassurez, madame. En effet, Eric ne nous pose pas trop de problèmes à la
maison, mais c’est un enfant, pas un ange ! Il lui arrive aussi de
faire des bêtises, comme sa sœur.»</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Certes,
mais quel enfant ne fait jamais de bêtise ? A vrai dire, ce serait presque
inquiétant. Mais dites moi, si je peux me permettre, madame Lefranc, quand Eric
ou Jeanne font ce que vous appelez<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>des
bêtises, comment réagissez-vous ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Hé
bien, comme tous les parents, je suppose, je les gronde bien sûr. Mais …
pourquoi cette question, madame ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Je
vous prie de m’excuser, madame, de cette question, mais comprenez-moi bien,
cela fait partie de nos obligations professionnelles, vous savez. L’Inspection
Académique nous rappelle souvent qu’il nous appartiens de faire ce que nous
appelons un signalement quand nous avons des craintes. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
La maman fronce les sourcils et réplique, d’une voix
brutalement plus sèche :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Mais
de quelles craintes parlez-vous, madame ? Je ne vous suit pas bien. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
L’institutrice a bien remarqué que son interlocutrice a changé
d’attitude, et elle s’empresse de la rassurer :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Je
ne me permet pas de m’immiscer dans les méthodes éducatives des parents, vous
savez, madame. Mais vous savez aussi que la loi interdit aujourd’hui les
châtiments corporels, même à la maison »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Oui,
et alors ? Ils sont aussi interdits à l’école, non ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Le ton de Karine est maintenant vraiment sec, trahissant
visiblement l’irritation de la maman. Et Hélène réponds sur le même ton :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Bien
sûr, et nous respectons strictement cette règle, je pense que vous n’en doutez
pas, madame ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Je
n’ai jamais dit le contraire, madame, mais je ne pense pas que c’est pour cela
que vous m’avez convoquée ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Si Hélène fait preuve d’une grande patience avec les enfants,
elle a plutôt la tête près du bonnet dans la vie courante, et le ton presque
agressif de la maman l’amène a lui répondre sur le même ton :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Je
ne vous ai pas convoquée, madame Lefranc, je vous ai juste invitée à me
rencontrer, cela fait partie de mon métier, voilà tout. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Sans que ni l’une ni l’autre ne l’ai vraiment choisi, le
dialogue entre les deux femmes est devenu une sorte d’échanges de balles de
tennis.</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Je
l’entends bien ainsi, je je suis là, madame, mais je ne comprends toujours pas
pourquoi. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
j’y viens, madame, j’y viens. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Eh
bien venez-y, je vous écoute, madame »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Heading3">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1038_703343552">La fessée ?</a></div>
<div class="Textbody">
Le dialogue se poursuit, de plus en plus tendu :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Comme
je vous le disais, madame, la loi interdit les châtiments corporels, même en
famille »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Oui,
vous me l’avez en effet déjà dit, et alors, en quoi suis-je
concernée ? »</i></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></i>« <i>C’est
moi qui suis concernée, madame, la loi m’oblige à vous poser la question sans
détour, veuillez m’en excuser .. »</i></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></i></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
quelle question donc ? Je ne comprends rien à vos
circonvolutions ! »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>«Alors,
je vais être plus directe, madame. Je suis au regret d’avoir à vous demander si
vos enfants reçoivent la fessée à la maison. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
de quel droit …. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Je
vous l’ai dit, madame, j’ai le devoir de signaler si des éléments m’amènent à
supposer ... »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
je vous interdit de supposer quoi que se soit, madame ! Ni mon mari ni moi
n’avons de comptes à vous rendre, et je ne vois d’ailleurs pas ce qui vous
permet de supposer que je ... »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Je
ne vous ai pas mise en cause, madame, je vous demande seulement si vous, votre
mari ou qui que se soit ... »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Ni l’une ni l’autre ne laisse celle qui est devenue son
adversaire finir ses phrases. Ainsi Karine reprend-elle, d’une voix plus
aiguë :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Mais
encore une fois, je vous interdit ... »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Vous
n’avez rien à ‘interdire, madame ! »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
si, madame ! Vous portez des accusations sans le moindre fondement !
Mes enfants se sont-ils plaints auprès de vous ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Non,
absolument pas, mais .. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Auriez-vous
remarqué des traces </i><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><i>de
coups ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
non, bien sûr ! Sinon ... »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Alors ?
Qu’est ce qui vous permet de colporter de telles rumeurs ? Vous savez que
cela relève de la diffamation ? En tout cas, soyez sûre que j’en
référerait à votre hiérarchie ! »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i> </i>Cette fois, Hélène sort de ses gonds. La menace
ne lui fait pas vraiment peur, mais elle ne la supporte pas, et la réplique
part comme une balle, avant même qu’elle n’ait vraiment réfléchie :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Ho !
Ça suffit, madame ! Il me semble que quand on exhibe un martinet chez soi
... »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Immédiatement, elle comprend que sa réplique a touchée juste.
La maman se redresse, les yeux furieux, elle ouvre la bouche, mais pas un son
n’en sort. Puis elle se tasse sur sa chaise, comme un pantin dont on aurait
coupé les ficelles et elle balbutie :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Mais
comment savez vous ... ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Il
me semble que ce n’est pas la question, madame.<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>Nieriez-vous qu’un tel instrument soit présent chez vous, à la vue de
tous ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Déstabilisée Karine réponds, avec une franchise qui amène
Hélène à devoir se mordre la joue pour ne pas sourire :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>«Mais non
...il est dans notre chambre ! »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Etse rendant compte qu’elle vient de confirmer ce que lui
reproche l’institutrice, elle portes ses deux mains devant sa bouche et
bredouille, presque à voix basse :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« ..et
...ce n’est pas ...enfin...ce n’est pas pour les enfants…je vous assure, jamais
mon mari .... »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Hélène se contente de la regarder, le sourcil levé,
interrogatif. Et Karine comprend qu’elle en a déjà dit trop, ou pas assez. Elle
relève ses yeux, embués de larmes, et murmure :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Il
ne l’a jamais employé que … que pour moi...madame. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Et elle enfoui son visage dans ses mains, en pleurant
maintenant sans retenue.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>A travers ses
sanglots, elle parvient cependant à bredouiller :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Je
vous jure, madame, il n’a jamais levé la main et encore moins le martinet sur
les enfants…. Je vous en supplie, ne l’accusez pas. Je vous jure, il n’y
a que moi qui …. »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Et, brusquement, elle se lève, se tourne à demi et, sans
hésiter, relève le bas de sa jupe en lançant :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« La
preuve ... »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
Et Hélène découvre le haut des cuisses de la maman de son
élève et le bas de ses fesses, moulées dans une culotte échancrée. Des cuisses
et des fesses marquées de traces violettes … Karine laisse retomber sa robe,
s’appuie des deux mains sur le bureau et en s’asseyant elle reprend :</div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Ne
vous moquez pas, madame, s’il vous plaît. Ne me jugez pas ...j’ai tellement
honte ! »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1040_703343552">Aussitôt que la
maman d’élève a lâché son aveu, la colère d’Hélène s’est évanouie. Et s’est
même immédiatement chanée en empathie. D’autant que le geste spontané mais
stupéfiant qu’elle vient d’accomplir l’a tout autant troublée qu’étonnée. Cette
dame, l’instant d’avant si fière et presque agressive, ne vient-elle pas de se
trousser devant elle et de lui montrer sans barguigner ses fesses ?Elle n’a
pas le cœur à laisser plus longtemps la femme sangloter devant elle. Elle se
lève, fait le tour du bureau pour s’approcher d’elle, pose la main sur son
épaule et dit doucement :</a></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Mais
honte de quoi, grands dieux ? »</i></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Textbody">
Et comme Karine ne réponds rien, continuant à cacher son
visage dans ses mains ouvertes, elle poursuit :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Votre
mari vous flanque parfois la fessée, et alors ? Je ne pense pas que vous
êtes pour autant une victime de violences conjugales ... »</i></div>
<div class="Textbody">
Cette fois Karine relève la tête et réponds, presque
fièrement :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Ho
non, je ne prétends pas cela ...ne jugez pas mon mari, madame. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
de quel droit jugerai-je ou vous ou votre mari, madame. C’est votre vie, c’est
votre liberté. »</i></div>
<div class="Textbody">
Et alors que son interlocutrice plante son regard mouillé dans
le sien, elle ajoute, plus bas :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Et
puis, qui vous dit que vous êtes la seule à connaître cela,
Karine ? »</i></div>
<div class="Textbody">
Celle-ci ne réagit pas au fait que la maîtresse vient
d’abandonner le « madame » officiel pour l’appeler par son prénom,
mais comme elle semble pas comprendre où elle veut en venir Hélène
poursuit :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« La
fessée dans le couple, ou même une volée de martinet<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de temps en temps,si les deux y trouvent leur
compte, qui pourrait trouver à y redire ? »</i></div>
<div class="Textbody">
Elle retourne alors vers son bureau, y prends une boite de
mouchoirs en papier et la tends à Karine. Alors que celle-ci s’essuie les yeux
et se mouche, elle s’assoit et dit :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Et
non, ma chère Karine, que cela vous rassure ou vous déçoive, vous n’êtes pas la
seule à connaître de temps en temps le pan pan cucu marital ... »</i></div>
<div class="Textbody">
Et comme Karine lève les épaules en disant, la voix encore
troublée par les pleurs :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Quand
même … vous vous moquez de moi... »</i></div>
<div class="Textbody">
Elle secoue la tête négativement et lâche :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Certainement
pas, Karine, et croyez-moi, je sais de quoi je parle ... »</i></div>
<div class="Heading2">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1042_703343552">Confidences</a></div>
<div class="Heading3">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1180_703343552">Moi aussi ...</a></div>
<div class="Textbody">
Karine relève la tête et la regarde, les yeux écarquillés
d’étonnement. Hélène poursuit alors, d’une voix devenue un peu plus
rauque :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Ben
oui, quoi … moi aussi ...et je n’en suis pas morte ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Non
… vous ne voulez pas dire que ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
si ! Et croyez-moi, Karine, je n’ai pas honte d’être régulièrement
déculottée ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Vous,
madame Georges ? Je ne vous crois pas ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et
pourtant … mais je ne peux pas vous faire constater de visu, Karine… la
dernière remonte déjà à plusieurs jours, et il n’y en a plus de souvenirs
... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ho !
Ça, je ne l’aurais jamais cru, vous, une institutrice ! »</i></div>
<div class="Textbody">
Cette fois, Hélène éclare franchement de rire :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Mais
pourquoi voudrais-tu que les institutrices soient dispensées ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ben,
je sais pas ...vous avez, enfin tu as l’air si sévère ... enfin non, je
veux dire si sérieuse...»</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
je suis sérieuse ! Et tu es bien placée pour savoir que la fessée est une
affaire sérieuse, non ? Mais, tu sais, ce n’est pas l’institutrice qui est
déculottée, c’est l’épouse ! »</i></div>
<div class="Textbody">
Et, souriant franchement cette fois elle ajoute,
mutine :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Je
suppose que chez vous aussi … »</i></div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Que
chez nous aussi quoi ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Eh
bien, que vous aussi … c’est ….comment dire … enfin c’est cul nu,
non ? »</i></div>
<div class="Textbody">
Pour la première fois, Karine ébauche un sourire et
convient :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Oui
… bien sûr ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et
c’est monsieur le mari qui ... ?»</i></div>
<div class="Textbody">
Cette fois, Karine comprend, et elle répond
franchement :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Oui
...il y tient ! »</i></div>
<div class="Textbody">
Et Hélène, en riant franchement cette fois rétorque :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Ils
sont tous pareils ! »</i></div>
<div class="Heading3">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1182_703343552">Et toi ?</a></div>
<div class="Textbody">
Et, comme si elles avaient toutes les deux oublié le début de
leur conversation, comme si elles n’étaient plus « madame
l’institutrice » et « madame la maman d’élève » mais deux
copines, la conversation se poursuit, et elles passent spontanément au
tutoiement, comme si leurs aveux réciproques les avaient subitement
rapprochées :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Ça
fait longtemps, pour toi ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Ben
… on est mariés depuis onze ans ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et
… il a commencé dés votre mariage ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Oui
… le soir de nos noces si tu veux savoir ! Il m’a affirmé que
c’était une tradition dans sa famille !»</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ha
… drôle de nuit de noce quand même … enfin je suppose qu’elle ne s’est pas
limitée à cela ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ho
non, heureusement ! »*</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« C’était
la première fois, pour toi ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« La
première fois ? AH oui, je comprends. Oui ..enfin pour la fessée, pour le
reste ...non ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Moi,
j’ai été fessée avant d’être mariée!Au moins, je ne peux pas dire qu’il m’a
prise en traître, je savais à quoi m’en tenir ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et
comme moi, ça ne t’a pas empêchée de l’épouser. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« C’est
bien ce que je disais … c’est que, comme le dirait le psychologue scolaire,
« on y trouve notre compte ...quelque part »</i></div>
<div class="Textbody">
Cette allusion aux tics de langage de Monsieur Heuteau, le
psychologue qui intervient dans l’école et organise de temps en temps des
conférences à l’intention des parents et des enseignants, les fait rire de bon
cœur toutes les deux.</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Et,
dis moi, chez vous … c’est souvent ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Je
sais pas … pas tous les jours ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Heureusement
pour tes fesses ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Oui
… tu vois, la dernière fois, c’était avant-hier, et elles auraient du mal à en
recevoir une autre avant quelques jours ... »</i></div>
<div class="Textbody">
Hélène approuve de la tête :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« <i>Çà,
je n’en doute pas ...il n’y ai pas allée de main morte ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Oh
… non … mais c’est surtout que la ceinture, ça laisse plus de marques que le
martinet ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« La
ceinture ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ben
oui … tu vois il aime « varier les plaisirs » comme il dit !</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et
ça fait plus mal ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« C’est
différent, tu sais bien ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span> « Ben,
non. Tu sais, mon mari, c’est seulement à la main ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
tu me disais ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Je
te disais seulement que, main ou martinet, ça ne change rien au fait … Et, tu
sais, je suis sûre que mon mari a très envie d’en acheter un … »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et
il ne l’a pas fait ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Non
… il m’a seulement dit plusieurs fois qu’au super marché de la place Jeanne
d’Arc, il y en a au rayon animalerie… »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Peut-être
attend-t-il que tu fasses l’achat toi-même ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ha
ben ça, il peut attendre longtemps ! Je ne vais quand même pas lui apporter
ça en cadeau ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ho,
tu sais, il ne faut jamais dire « fontaine ... »</i></div>
<div class="Heading3">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1184_703343552">L’achat</a></div>
<div class="Textbody">
Comme elle se rend bien compte qu’Hélène n’a pas l’air de
comprendre ce qu’elle veut dire, elle s’explique :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Tu
sais, au début, chez nous … enfin..c’était comme chez toi. Alain, mon mari,
savait bien que … comment dire … que j’étais novice en la matière. Je conçois
bien que cela va te sembler ridicule, mais d’une certaine manière, il m’a
amenée, je ne dirais pas à espérer qu’il passe ...à autre chose, mais à le considérer
comme une sorte presque de récompense. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Une
récompense ? Avoir le cul flagellé ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Comment<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>te dire ? Il ne m’a jamais menacé
d’utiliser autre chose que sa main, mais, un peu comme le tien si je comprends
bien, il m’a parlé du martinet. De ce que représente cet instrument …. des
traditions … Peu à peu, il m’a présenté le fait de recevoir le martinet comme
une marque de respect, oui, on peut dire une récompense. Il a fini par me
convaincre que je « méritais » de le recevoir, mais pas parce ce que
je ne sais quelle faute aurait nécessité une sévérité plus grande. Mais parce
que je « pouvais » le supporter … tu comprends ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Franchement,
je ne suis pas sûre ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Je
ne cherche pas à te convaincre, tu sais. Je pense que ça vient quand ça doit venir,
c’est tout. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et,
pour toi, c’est venu quand ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Deux
ans après notre mariage à peu prés ... »</i></div>
<div class="Heading7">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1044_703343552">Découverte</a></div>
<div class="Textbody">
Karine ne s’adresse plus vraiment à Hélène, elle semble
parler pour elle-même, les yeux dans le vague :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Non,
vraiment, il ne m’a rien imposé. Je ne peux même pas dire qu’il m’a suggéré de
le faire ...et pourtant je l’ai fait ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Tu
as fait quoi ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Eh
bien ...je l’ai acheté ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Attends
.. tu veux dire que tu as acheté toi-même un ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Oui !
Nous nous promenions dans une rue de Rouen et nous nous étions arrêtés devant
une vieille boutique de droguiste, très typique. Et, dans la vitrine, il y
avait un martinet, exposé comme ça. Alain ne m’a rien dit, ne m’a même pas fait
remarquer la présence pourtant incongrue de cet instrument au milieu des
ustensiles ménagers. Et pourtant, sans rien expliquer, je suis entrée. Le
propriétaire était un vieux monsieur, avec une blouse grise. Il m’a demandé ce
qu’il pouvait faire pour moi, et je lui ai dit tout simplement « je
voudrais un martinet, s’il vous plaît » C’est incroyable, je sais bien,
mais le mot est sorti comme ça, comme si j’avais demandé un entonnoir à
confitures ! Il a été décroché une sorte de grappe de martinets qui
pendait du plafond, et m’a demandé, sans la moindre trace d’ironie, si j’avais
une préférence pour la couleur du manche. Et, comme j’ai haussé les épaules
sans répondre, il a choisi lui même un manche jaune en marmonnant entre ses
dents « c’est vrai que c’est pas la couleur qui fait ... » J’ai payé,
et il m’a encore demandé « je vous l’emballe ou c’est pour utiliser tout
de suite ? » Cette fois j’ai bien compris qu’il se moquait de moi et
j’ai rétorqué un peu vivement je le reconnaît, « ben oui, donnez moi un
sachet ! » Il s’est exécuté, m’a tendu le paquet, et quand j’étais à
la porte je l’ai entendu encore grommeler « ben au moins, ça lui apprendra
peut-être la politesse ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et
tu es sortie comme ça, le martinet sous le bras ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ben
oui … Alain ne m’a même pas demandé ce qu’il y avait dans le paquet. Il m’a
seulement dit « je pense qu’on va rentrer, hein ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Il
avait deviné ? Et il voulait ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Bien
sûr ! Il voulait l’utiliser tout de suite ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais
… il n’avait pas de raison, tu n’avais rien fait ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Non,
bien sûr. Mais j’aurais eu mauvaise grâce à lui refuser. Après tout,si je
l’avais acheté, c’est bien pour qu’il serve, non ? Je devais bien savoir à
quoi je devais m’attendre ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Il
ne t’as même pas donné de raison ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Non,
ce n’était pas la peine ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et
il l’a vraiment, comme tu dis « utilisé tout de suite » ?</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ha
ça oui, ça n’a pas traîné ! A peine étions nous rentrés à la maison qu’il
m’a dit « je vais dans mon bureau ma chérie, tu me rejoins ? »
ça suffisait pour que je comprenne ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Pourquoi ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Parce
que, vois-tu, c’est souvent dans son bureau que « ça » se passe,
surtout quand c’est prévu d’avance. Bien sûr il m’arrive de « la »
recevoir ailleurs dans la maison, dans la cuisine, dans la salle à manger, ou
même dans la salle de bain, et bien sûr parfois dans notre chambre … tu sais
pourquoi ! Mais il aime aussi que je me rende de moi-même dans son bureau,
en sachant fort bien pourquoi. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et
tu y es allée tout de suite ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Pas
vraiment, j’ai pris le temps de prendre une douche … je savais bien que cela
lui fournirait un prétexte pour justifier une fessée pour l’avoir fait
attendre, mais je me sentais moite et en sueur et tant qu’à se mettre à poil
autant qu’on sente bon, et qu’on porte une petite culotte sèche et propre, même
si c’est pour la retirer ! Je me suis donc douchée, puis j’ai mis une
petite jupe qui se trousse facilement,une petite culotte toute fraîche, et un
petit haut. Puis je l’ai rejoint comme il me l’avait demandé. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Tu
.. tu avais apporté ..ce que tu venais d’acheter ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Oui,
bien sûr, il n’aurait servi à rien de faire comme si je n’avais pas compris
... J’ai sorti le martinet de son sachet, et c’est seulement à ce moment
là que je me suis rendu compte de ce que j’avais fait ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Tu
veux dire que tu as eu peur ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Une
trouille folle ! J’ai soupesé l’instrument,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>j’ai fait glisser les lanières sur ma paume
de main, je les ai agitées en l’air et je me suis rendu compte qu’elles
allaient bientôt me cingler les fesses ! J’en avais des frissons et je sentais
le sueur recommencer à couler entre mes omoplates. Pourtant, il était trop tard
pour reculer … alors je suis entrée... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Avec
le martinet à la main ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Oui,
en fait, tu vois, je te jure que je ne sais pas de où ça m’est venu, mais j’ai
spontanément adopté l’attitude qu’il attendait de moi. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Qu’est
ce que tu veux dire ? »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Je
trouvais qu’arriver dans son bureau avec ce machin à bout de bras, ça aurait
l’air bête. Alors, j’ai choisi de porter le martinet sur mes deux mains
ouvertes, bras tendus. Tu vois , Un peu comme si j’apportais, je sais pas, moi,
une sorte d’offrande. Alain était assis sur le fauteuil, celui dans lequel il
s’installe régulièrement quand .. enfin tu comprends. Je me suis approchée, je
me souviens que je sentais mes jambes flageoler, et je lui ai tendu l’instrument.
Il l’a pris, a caressé les lanières, a pris le manche en main et m’a dit :
« c’est un bel instrument, ma chérie, tu as fait un bon choix » Je
sais que tu vas trouver cela bête, mais j’ai été vraiment fière de ces
mots. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Non,
je ne trouve pas cela bête, tu sais, je crois que je comprends ... »</i></div>
<div class="Heading3">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1186_703343552">Fière !</a></div>
<div class="Textbody">
Karine remercie Hélène d’un sourire, puis elle poursuit son
récit :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« <i>Il
s’est levé, le martinet à la main, s’est approché de moi, et il m’a embrassé en
disant « je savais que ce moment arriverait un jour .. » Puis il a
ajouté, en me désignant le fauteuil, « mets toi en place, tu te penches
par dessus le dossier et tu mets tes mains sur les accoudoirs. »J’ai fait
ce qu’il me demandait, et je me suis donc retrouvé le corps plié en deux, le ventre
contre le dossier, et la tête plus bas que … que les fesses. Il a reprit :
« tu retrousses, s’il te plaît » Je me suis relevée, j’ai relevé ma
jupe au dessus de ma taille, et je l’ai coincée entre mon ventre et le fauteuil
pour qu’elle ne retombe pas. Et là, à ma grande surprise il m’a demandé, je dis
bien demandé, et pas ordonné : « tu baisses ta culotte, s’il te
plaît » et il a ajouté : « elle ne doit pas tomber ... »
J’avais bie sûr compris où il voulait en venir. Comme quand il me donne la
fessée à la main, il me voulait « déculottée », pas toute nue. Sans
me relever cette fois, j’ai passé mes mains dans mon dos, j’ai glissé mes
pouces sous l’élastique de ma culotte et je n’ai fait glisser sous mes fesses,
juste au pli entre elles et les cuisses. Et pour quelle ne glisse pas plus bas,
j’ai un peu écarté les jambes, en étant consciente que j’exposais ainsi … mais
il n’était plus temps de jouer les prudes. C’était comme si le temps s’était
arrêté. J’avais l’impression qu’on entendait<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>mon cœur battre. Et en même temps, dans le silence de la pièce,
j’entendais le tic-tac de la pendule de bureau. Et puis ...ça a commencé !
J’ai entendu une sorte de chuintement, et les lanières se sont abattues sur mes
fesses. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ça
doit faire<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>atrocement mal ! »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Ah,
ça, oui, bien sûr, ça pique ! Mais, au fond, je ne dirais pas vraiment que
ça fait plus mal qu’une bonne fessée classique. Je dirais plutôt que c’est …
comment dire ...que c’est différent. D’abord parce que c’est toute la surface
des fesses qui est concernée. Les lanières se répartissent sur tout le
derrière, tu vois ? C’est comme si une multitude d’épingles se fichaient
sur ton popotin en même temps. Mais, je ne sais pas si l’expression peut
vouloir dire quelque chose pour toi,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>je
dirais que la douleur est en quelque sorte moins profonde, plus superficielle.
Mais, oui, je ne vais pas te dire le contraire, ça fait mal …. »</i></div>
<div class="Textbody">
Hélène écoute, fascinée. Elle n’interrompt plus. Elle ne pose
plus de questions. Elle laisse Karine poursuivre son récit, captivée par le
discours de cette femme qui ne laisse plus paraître la moindre marque de honte.</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Mais,
comme j’essayais de te le dire tout à l’heure, en même temps, je savais, je
sentais, que mon mari était fier de moi, et moi, eh bien j’étais fière aussi.
Oui, je l’avoue, j’étais fière d’être ainsi flagellée. Bien sûr, au bout de
quelques coups, je n’ai pu retenir mes cris. Je sais que j’ai piaillé. Que j’ai
gigoté. Mais j’étais fière de garder la position. Mes mains étaient crispées
sur les accoudoirs, mais pas une seule fois je n’ai tenté de me protéger les
fesses. Pas une seule fois je ne me suis relevée. »</i></div>
<div class="Heading2">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1188_703343552">Mouillée</a></div>
<div class="Heading3">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1190_703343552">Troublée ?</a></div>
<div class="Textbody">
Et, soudain, Hélène sent le rouge lui monter aux joues. Une
femme qu’elle ne connaissait jusque là que comme une maman d’élève est entrain
de lui raconter comment elle a été fessée au martinet, comment elle a
gémit<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sous les coups de martinet et même
crié de douleur. Et elle sent qu’elle est entrain, elle, de mouiller sa petite
culotte ! Elle en a honte, mais elle ne peut se le cacher, imaginer cette
femme entrain de crier sous les coups de martinet l’excite !<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Elle parvient cependant à cacher son trouble,
et renonce à interroger plus avant celle qui est devenue de fait sa copine, de
peur qu’elle ne devine à quel point son récit l’excite. De son côté, arrivée à
ce point de ce qui ressemble à une confession, ou tout au moins à une
révélation, Karine s’interrompt. Peut -être prend-elle conscience de ce qu’elle
vient de révéler de son intimité. Elle aussi de trouble un moment, se mord les
lèvres, évite le regard direct de l’institutrice, puis se lève en disant, d’une
voix qu’elle cherche à rendre assurée :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Bien
… je pense que ...que nous pouvons en rester là pour aujourd’hui
….madame ? »</i></div>
<div class="Textbody">
Hélène comprend qu’il lui faut elle aussi reprendre une
attitude plus conforme à leurs situations respectives. Elle acquiesce d’un
mouvement de tête, mais ajoute cependant :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>Bien sûr,
bien sûr … le … le malentendu est dissipé… mais ...je pense que nous pouvons
nous tutoyer, n’est ce pas, Karine »</i></div>
<div class="Textbody">
L’une et l’autre comprennent, sans qu’il soit besoin de
l’expliquer, que s’il convient qu’elles reprennent leurs positions
d’institutrice pour l’une et de maman d’élève pour l’autre, rien ne pourra
redevenir complètement comme « avant » entre elles. Elles sont
conscientes qu’elles partagent maintenant un secret que ni l’une ni l’autre n’a
jamais partagé avec personne d’autre. Elles savent qu’elles sont toutes deux
des épouses fessées, que l’une et l’autre sont régulièrement déculottées par
leurs époux. Et surtout elles savent que l’une comme l’autre non seulement
l’acceptent, mais, au fond font plus que s’en accommoder. Bien sûr, Karine n’a
révélé la chose que parce qu’elle y a été acculée par le cours de la
conversation avec l’institutrice, mais, après tout, rien ne l’obligeait à donner
autant de détails, autant de précisions. Et Hélène a bien compris que, si
l’aveu lui a été difficile, il s’est finalement transformé progressivement en
une sorte de revendication. Oui elle a « avoué », mais elle en est
arrivée à faire plus qu’assumer sa situation. Bien sûr, dans un premier temps,
la honte l’a submergée, jusqu’à provoquer des larmes qui n’étaient pas feintes.
Mais une fois que son interlocutrice lui a eu révélé qu’elle aussi connaissait
la fessée conjugale, elle a presque revendiquée le fait d’être une épouse
fessée. Du reste, elle n’a pas hésité à proclamer sa fierté de l’être. Quant à
Hélène, elle est bien consciente qu’elle aurait pu entendre les explications de
la maman de son élève, la rassurer, et en rester là. Or, alors que rien ne l’y
obligeait, elle lui a révélé, sans la moindre honte elle non plus, être elle
aussi une épouse fessée. Elles savent donc toutes les deux qu’elles partagent
maintenant ce qui n’est ps seulement un secret. Karine n’hésite donc pas à
accepter la proposition d’Hélène :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« <i>Bien
sûr, Hélène, je te remercie de … de ton ouverture d’esprit, et de ta franchise.
Tu sais …ça m’a fait beaucoup de bien. Pas seulement de savoir que toi aussi …
mais surtout de pouvoir partager avec toi. »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Mais,
c’est moi qui te remercie, Karine, ou plutôt qui te félicite de ta loyauté
envers ton mari. Finalement, avec toi, j’ai compris qu’il n’y a pas a avoir
honte de ce que nous sommes, de ce que nous vivons, toi et moi ... »</i></div>
<div class="Textbody">
<i><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Certainement
pas ! Tu sais, au fond, mais il n’y a sûrement que celles qui … enfin qui
sont comme nous deux, qui peuvent le comprendre, il me semble au contraire que
nous pouvons en être fières. »</i></div>
<div class="Heading3">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1192_703343552">Le meilleur ?</a></div>
<div class="Textbody">
Les deux jeunes femmes s’embrassent, puis se quittent après
que Karine ai murmuré à l’oreille de l’institutrice :</div>
<div class="Textbody">
<span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i>« Je
te souhaite le meilleur, ma chérie … je te souhaite de continuer à découvrir
notre monde ... »</i></div>
<div class="Textbody">
Hélène n’a pas demandé à Karine ce qu’elle voulait dire par
là. Elle est rentrée chez elle, les jambes un peu en coton, et l’esprit
troublé. Quand elle se réfugie dans sa chambre, elle vérifie ce qu’elle avait
ressenti lors de sa conversation : sa petite culotte est moite, et même
trempée. Elle ne peut le nier : les aveux de sa copine l’ont fait mouiller
comme rarement. Quand elle porte, selon un geste qui lui est habituel, la
petite culotte à son nez, elle perçoit la fragrance chaude et épicée qui ne
peut la tromper. Et, en même temps, elle sent que les bouts de ses seins sont
tellement tendus qu’ le frottement sur son soutien gorge en est presque
douloureux.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Elle arrache ses vêtements
plus qu’elle ne les retires, et elle se roule en position fœtale sur son lit,
les cuisses serrées, les yeux fermés. Les images surgissent, comme sur un
écran. Des images de fesses rougies, de derrière zébrés de marques violacées,
de lanières qui volent … Elle se retourne et s’allonge sur le ventre, relevant
les hanches pour glisser sa main droite sur son bas – ventre et faisant pointer
son derrière, comme si elle le présentait pour une fessée. Dés que ses doigts se
crispent sur son minou, la vague de la jouissance naît au creux de son ventre.
Elle gonfle, s’amplifie, l’emplit. Puis elle déferle, impérieuse, indomptable,
tandis qu’Hélène remue presque frénétiquement ses doigts dans sa chatte
dégoulinante. Le torrent du plaisir jaillit. Son minou se crispe, baille.
Hélène, les eux clos, la mâchoire serrée, fait pénétrer plus profondément son
index et son majeur dans son sexe, et titille son petit trou du gras du pouce,
avant de le faire lui aussi forcer l’anneau.<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>Quand le pouce pénètre profondément dans son petit trou, une douleur
fulgurante explose. Mais, loin de renoncer, elle accentue au contraire les
pénétrations, dans sa chatte comme dans son cul. Les mots que prononce son
homme quand il la prend en levrette en la tenant par les hanches lui
reviennent : « j<i>e vais te défoncer, je vais te
démonter ! » </i>Et elle jouit follement, avec, encore et toujours,
ces images de derrière flagellé.</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-80614015687487861442019-05-09T10:38:00.000-07:002019-05-09T10:38:28.746-07:00
<div align="center" style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm; page-break-after: avoid;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-family: Liberation Sans, Arial, sans-serif;"><span style="font-size: 36pt;"><span style="color: black; font-size: x-small;">Un texte déjà publié, mais revu et corrigé par les soins d'une <br />correctrice attentive.</span></span></span></span></div>
<div align="center" style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm; page-break-after: avoid;">
<br /></div>
<div align="center" style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm; page-break-after: avoid;">
<br /></div>
<div align="center" style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm; page-break-after: avoid;">
<br /></div>
<div align="center" style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm; page-break-after: avoid;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-family: Liberation Sans, Arial, sans-serif;"><span style="font-size: 36pt;">ALAIN
ELOGE</span></span></span></div>
<div align="center" class="western">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: 66pt;">Correspondance</span></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-size: large;"><i>Échange
de lettres entre Caroline et Anne – Charlotte</i></span></span></div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
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</div>
<div align="center" class="western" style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-size: large;"><i>Panpan
éditions</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western" style="page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc255_805917996"></a>
P<span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;">réambule</span></h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
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<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc257_805917996"></a>Un
grenier et des souvenirs</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;">C’est
un grenier, poussiéreux et encombré, comme tous les greniers de
vieilles maisons familiales. En l’occurrence, celle de mes parents,
et auparavant de mes grands parents, que j’ai vidée quand mon père
a dû se résoudre à la quitter. En farfouillant dans les
vieilleries, je retrouvais l’émoi connu dans mon enfance, quand,
avec mes cousins, nous jouions dans ce grenier, à l’abri des
regards et de la surveillance de nos parents. Et me revenaient les
souvenirs de jeux pas toujours complètement innocents. Comme tous
les enfants, je suppose, il nous était en effet arrivé de jouer
« au docteur » C’est donc dans ce grenier, déjà plein
de poussière et de toiles d’araignées, que j’ai découvert que
les petits garçons ne sont pas fait tout à fait comme les petites
filles. C’est là aussi qu’un de mes cousins, que j’ai depuis
perdu de vue, aimait à jouer au « Papa », ce qui,
l’autorisait à prétendre que nous (je veux dire ma cousine et
moi-même) n’avions pas été sages et devions être punies. Toutes
les deux entrions dans son jeu, et ne nous offusquions par outre
mesure qu’il nous impose de baisser nos petites culottes « Petit
Bateau » pour procéder à ce qu’il appelait le « panpan
cucu » J’avoue que ces souvenirs m’ont un instant détournée
de ma tâche, et que, dans cette lumière tamisée, je me suis
remémorée ce mélange de peur (il frappait pour de vrai, le bougre)
de honte (à cette époque nous n’étions pas habituées à montrer
notre postérieur sans barguigner) mais aussi de trouble qui
m’envahissait quand j’étais « obligée » de baisser
mon slip, et quand je voyais ma cousine faire de même. Les images
défilaient dans ma tête. Je revoyais le popotin rond et rose de
celle-ci devenir tout rouge, et aussi la bosse qui déformait le
short de mon cousin. Celui-ci n’avait d’ailleurs pas hésité à
nous montrer, tout fier, que son « zizi » était tout
raide après qu’il ait ainsi joué le rôle du papa sévère. Mais
à l’époque, je n’avait sûrement pas imaginé à quels jeux
plus solitaires il devait s’adonner ensuite. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc259_805917996"></a>« A
l’insu de mon plein gré »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;">Pourtant,
ces souvenirs lointains m’ont amenée, presque « à l’insu
de mon plein gré » comme on dit aujourd’hui, à porter la
main à ma culotte, et à constater qu’elle était quelque peu
humide. Et, comme l’âne de la fable qui profite de l’herbe
tendre, le démon m’a aussi entraînée à glisser cette main sous
la culotte et à me donner un moment de plaisir solitaire.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc261_805917996"></a>Une
grosse malle et des papiers jaunis</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;">Une
fois revenue à des activités plus avouables, j’ai repris mon
travail de rangements, en emplissant de grands sacs d’une masse de
vieux papiers jaunis. Je n’ai pas pris le temps de les lire, mais,
aimant les vieux livres, j’ai mis de côté quelques ouvrages
reliés qui feront bel effet dans ma bibliothèque. Je me suis aussi
arrêtée devant le contenu d’une grande malle dont je ne parvenais
pas à ouvrir le couvercle. Celui-ci était fermé par une grosse
serrure, dont bien entendu je ne trouvais pas la clef. La curiosité
étant, je l’avoue, un de mes plus tendres défauts, je me suis
armée d’un tournevis pour forcer la fermeture. La malle était
emplie de vêtements visiblement fort anciens, que j’ajoutais au
tas de ceux que j’allais jeter, mais j’y découvrit aussi une
sorte de cartable en cuir brun contenant un paquet de feuilles
jaunies et racornies, couvertes d’écritures à l’encre violette.
</span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;">Quand
j’ai réussi à lire ces feuilles, ce fut la découverte. Je
compris vite qu’il s’agissait de lettres entre deux amies
d’enfance. Les prénoms ne me disaient rien, et il m’a fallu
faire quelques recherches dans les archives de la famille pour
découvrir que l’une des deux femmes qui avait écrit ces lettres
devait être la grand-mère de ma grand-mère. Malgré mes
recherches, je ne sais rien d’elle, ni de son mari. Sauf … ce
que, je pense, personne n’a jamais su, sauf sa confidente.</span></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc263_805917996"></a>Une
tradition familiale.</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;">Mais,
après avoir, laborieusement, déchiffré ces écrits souvent presque
illisibles, j’ai compris que, quand nous pratiquions nos jeux
enfantins dans ce grenier, nous ne faisions, finalement, que
poursuivre une sorte de tradition familiale.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1782_579450151"></a>
Les personnages</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<b>Caroline
Asnière (Mme A*)</b> : Amie d’enfance de Anne-Charlotte,
vingt-huit ans, récemment mariée à
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Étienne
Asnières<i> </i>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<b>Anne
– Charlotte</b> <b>de Valette (Mme De V*)</b> : Amie
d’enfance de Caroline, trente ans, marié depuis quelques années à
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Louis de Valette</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<b>Lucie</b>
Laville : Dix-neuf ans,récemment mariée à :</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Pierre Laville, ami de Louis</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<b>Eliane</b>
Legoulle : cinquante ans, amie de Juliette, épouse de
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Georges
Legoulle</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<i>Son
mari lui a donné une fessée après que Lucie ait reçu la sienne,
en présence des deux autres couples.</i></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
J<b>uliette
</b> Faisan : Quarante - sept ans, amie de Lucie et d’Anne -
Charlotte, épouse de
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Émile
Faisan
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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</div>
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<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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</div>
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<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
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</div>
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<br />
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</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
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<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1614_1560952596"></a>
Chapitre 1 :<br />
La lettre de Mme A* à son amie Mme De V*</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc213_805917996"></a>« Une
découverte pour Caroline »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Mme
A* est une jeune femme d’un peu moins de trente ans, mariée depuis
moins d’un an avec un homme un peu plus âgé qu’elle. Mariage
largement organisé par les familles, comme il est de tradition dans
cette société bourgeoise de la fin du XIX <sup>ème</sup> siècle,
mais aussi mariage d’amour. Monsieur A* est un homme charmant, bel
homme, sérieux mais qui plaît aux femmes. Et la jeune demoiselle
qu’on lui a présentée un jour lui a semblé jolie. Un peu ronde,
avec des formes pleines et gracieuses, et un regard espiègle qui l’a
séduit. Si la jeune fille était pure et virginale comme il
convenait en ces temps, le marié avait quelque peu jeté sa gourme
dans sa jeunesse auprès de quelques servantes accortes voire dans
ces cafés de la vieille ville où les messieurs sont accueillis par
des dames qui savent les recevoir. Depuis le mariage le couple vit
dans la maison de famille des A*, et la jeune mariée s’est trouvée
séparée de son amie d’enfance, mariée quelques années avant
elle, avec qui elle entretient une correspondance quasiment
hebdomadaire. Ce lundi elle est à son secrétaire et son écriture
tremble un peu plus que d’habitude :</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère amie, </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Depuis
tant d’années que nous échangeons cette correspondance, jamais je
n’ai tant hésité à vous écrire qu’aujourd’hui ; Et
pourtant vous savez que j’ai assez confiance en cous pour ne jamais
avoir hésité à vous dire tout de mes pensées les plus secrètes,
et même des événements les plus … intimes de ma vie. C’est
bien ainsi que je n’ai pas trouvé déplacé de vous faire part de
la cour que m’a faite – en son temps – celui qui est devenu mon
mari. D’autant que, auparavant, vous m’aviez compté la carte du
tendre qui a précédé votre propre union. Et comme vous aviez pu
évoquer sans détours les suites de celui-ci, ce dont je vous suis
vous ne pouvez savoir combien reconnaissante, j’ai osé en faire de
même à votre égard sans rougir. Mais cette fois, j’ai vraiment
failli renoncer à poursuivre cette sorte de mise à nu – le terme
vous parait-il choisi ? – et ne c’est que la crainte de
manquer d’honnêteté envers vous qui m’a résolu à prendre la
plume malgré mon honte, ou tout au moins ma gêne. Pour vous narrer
quoi en fait ? Et bien, quoi qu’il m’en coûte de l’écrire,
que mon mari a osé lever la main sur moi. Ho, ne vous mettez pas
dans l’inquiétude, je n’ai pas le visage tuméfié. D’ailleurs
le visage n’a en rien été concerné par l’affaire ! Et
pourtant j’ai bien été battue, punie, comme je ne l’avais plus
été depuis les années de notre déjà presque lointaine jeunesse.
Je sais qu’en lisant ces mots vous devez avoir deviné de quelle
punition il s’agit. Il me semble me souvenir que, chez vous comme
chez moi, nos maman aimaient à être obéies et respectées, et que
quand ce n’était pas le cas certaines parties de nos anatomie
d’enfants en faisaient les frais. Il me semble même que chez vous,
à la différence de chez moi, la Demoiselle qui se chargeait de
l’éducation de vos frères et sœurs était aussi habilitée à
faire usage des mêmes arguments en cas de désobéissance. Mais il
s’agissait bien de ces punitions enfantines qui font, ou tout de
moins qui faisaient alors, partie de l’éducation de toutes les
fillettes et même des garçons pré pubères. Le rouge me monte au
front, après avoir coloré une autre partie de moi-même, en
m’imaginant ce que vous penserez de nous en comprenant que mon mari
ait pu en user de la même manière avec son épouse. Pouvez-vous un
seul instant imaginer que cet homme, que vous avez rencontré, si
délicat, si bien élevé, si correct en toutes circonstances, ait pu
s’autoriser à administrer à son épouse ce que jusque là je
n’imaginais possible que pour des enfants ? Et même encore le
pourriez vous croire, comment pourriez vous comprendre que votre
amie, dont on se plaît souvent à souligner le caractère entier et
l’exigence de liberté ait pu le tolérer ? Me croiriez-vous
si je vous dis qu’il n’a même pas eu à utiliser la force ?
Que tout simplement, au détour d’une discussion un peu vive,
disons le mot d’une querelle comme il en survient, je le suppose,
dans tous les couples, il m’a dit sans même élever la voix :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Cela
suffit, Caroline, je pense qu’une fessée te fera le plus grand
bien »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
suis sure que vous m’imaginez déjà hurlant ma colère et mon
indignation à cette seule pensée ? Eh bien pas du tout !
J’ai été si surprise, si décontenancée, que je n’ai rien
trouvé à répondre. J’en suis resté les bras ballants et, je le
crains, la bouche bée. Et quand il m’a pris la main pour me faire
approcher, je me suis laissé tirer comme un agneau qu’on emmène à
l’abattoir. Sans réaction aucune. En un clin d’œil, je me suis
trouvé basculée au travers de ses genoux après qu’il se soit
assis sur le divan du salon. Mais il n’a même pas cherché à
profiter de ce moment d’étonnement. Tout au contraire, il a prit
tout son temps, comme s’il tenait à ce que je me rende pleinement
compte de ma situation. Et comme si cela ne suffisait pas, il a
annoncé, de cette même vois étonnamment tranquille :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Ma
chérie, tu va prendre la fessée que j’aurais du t’administrer
depuis longtemps. Mais n’ai crainte, tu n’auras rien perdu pour
attendre, ton derrière s’en souviendras, je te le promets »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Dés
cet instant il me semble avoir été un peu comme spectatrice de ce
qui m’arrivait. J’ai senti qu’il relevait le vas de ma robe, et
qu’il emmenait mon jupon de tulle dans le même mouvement. Il me
semble même, à ma grande honte, que j’ai légèrement soulevé
les reins pour lui faciliter la tâche. Il a du considérer que
l’imminence de ce qui allait suivre me rendait idiote puisqu’il a
tenu à préciser :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Comme
une fessée se reçoit c** nu, il va nous falloir baisser cette
ravissante culotte, ma chérie »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Peut-être
faut-il que je vous précise que depuis quelques mois déjà j’ai
renoncé à nos bonnes vielles culottes ouvertes et j’ai adopté ce
que, parait-il, les anglais nomment des « slips » qui
doivent, eux, être baissés pour laisser libre l'accès au plus
secret de nous – même. A peine a-t-il joint le geste à la parole
qu’une formidable claque venait incendier ma fesse gauche. Avant
tout, même si cela parait stupide, c’est le bruit qui m’a le
plus étonné. Je ne me souvenais pas qu’une fessée faisait un tel
vacarme. Il m’a semblé que le bruit se répandait dans toute la
maison, où nous étions heureusement seuls cet après-midi. Je n’ai
pas eu le temps de poursuivre ma réflexion sur la sonorité de la
chose, une deuxième claque venant s’écraser sur l’autre fesse,
suivie d’une cascade d’autres, m’amenant surtout à me souvenir
qu’une fessée fait mal. Est-ce l’âge qui a attendri mes fesses
ou mon mari qui a la main plus lourde que celles qui en ont usé
avant sur mon postérieur ? En tout cas dire que cette fessée a
été douloureuse serait en deçà de la réalité. En un mot comme
en mille, j’ai eu un mal de chien ! Et malgré mes efforts
pour rester digne – vous savez combien je suis orgueilleuse – je
sais que je n’ai pas pu empêcher mes jambes de gigoter et que je
n’ai pas tardé à ponctuer les nouveaux assauts de la dextre
maritale de cris perçants. Je serais bien incapable de dire combien
de claques a reçu mon pauvre derrière. J’avais en tout cas le
sentiment qu’il m’avait positivement enlevé la peau des fesses.
Et je n’aurais pas été étonné de le retrouver sanguinolent
quand il a enfin cessé la valse de sa main sur mes rotondités
Pourtant, quand j’ai pu le regarder dans le miroir de ma chambre,
où je me suis réfugiée dés qu’il a lâché son étreinte, je
l’ai découvert certes cramoisi, mais certainement pas tuméfié.
D’ailleurs le lendemain matin il avait retrouvé pratiquement son
aspect antérieur. En ce qui concerne la douleur, j’ai bien eu le
besoin de me frotter les fesses pour faire baisser la cuisson pendant
un moment, et le soir j’avais encore un peu de mal à m’asseoir
sans grimacer. Mais au total, là aussi, tout est rentré dans
l’ordre assez rapidement. Voilà, ma chère amie. Comprendrez-vous
l’effort sur moi-même pour oser vous raconter tout cela ? Je
vous en ai dit beaucoup, peut-être trop. Mais au point où j’en
suis, la pudeur serait quasiment ridicule. Quoiqu’il m’en coûte,
j’irais donc jusqu’au bout de mes aveux. Tandis qu’il me
tannait les fesses, j’ai eu mal à un point qu’il est difficile
d’expliquer. Et pourtant – mon dieu que j’ai honte de vous
écrie ces mots ! – au milieu de cette étendue de souffrance,
je sais que « quelque chose» s’est passé au creux de mon
ventre. Une sensation que je n’ai pas vraiment identifiée, mais
qui, je le crains, m’a plus amené à lever les fesses vers la main
qui les fustigeaient qu’à chercher à les mettre à l’abri. Mais
je ne peux nier ce « quelque chose » puisque, quelques
instants après que je sois montée me réfugier dans ma chambre,
celui qui m’avait mis le derrière en cet état est venu me
rejoindre. Je suis resté interdite, les yeux baissés, ne sachant
s’il avait l’intention de reprendre son manège. Mais j’ai
seulement entendu sa voix chaude qui disait :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Montre-moi »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
n’a pas eu besoin d’expliquer. Je me suis tournée, j’ai relevé
ma jupe au dessus de ma taille. Je n’ai pas eu à retirer la
culotte, elle était restée au salon. Positivement, je lui ai montré
mon derrière. Je me suis troussée comme on m’imagine d’une
fille d’auberge. Et pourtant, je vous l’avoue, j’ai été
submergée d’une vague de fierté quand je l’ai entendu sire,
d’une vois un peu étranglée :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Il
est très beau comme cela, ton c** tu sais. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
ne puis aller plus loin. Je suis aussi rouge aux joues que je ne
l’étais au séant ce jour là en devinant que vous avez déjà
compris ce qui a suivi. Pardonnez moi mon impudeur, ma tendre amie,
mais j’ai tellement besoin de votre amitié pour comprendre ce qui
m’arrive »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre
amie désemparée</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">C.
A. </span></span>
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
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</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
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</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1874_579450151"></a>
Chapitre 2 :<br />
Réponse de Mme De V*à son amie Mme A*</h1>
<div align="center" class="western">
<br />
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc215_805917996"></a>« Mais
moi aussi ! »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Dés
qu’elle eut pris connaissance de la lettre de son amie de toujours,
Mme De V* s’est mise en devoir de lui répondre :</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
douce amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ne
vous fâchez pas en lisant les premiers lignes de cette lettre, mais
mon Dieu que la votre m’a amusée ! Non que je me réjouisse
de la meurtrissure de vos fesses, qui sont bien jolies s’il me
souvient de nos baignades d’il n’y a pas si longtemps après
tout. Que je me gausse en quoi que se soit de ce qui vous est arrivé.
Je compatis, croyez le bien. Mais c’est votre étonnement qui m’a
amusé, et avant tout … étonnée. Oserai-je vous l’avouer, ce
qui m’a surpris, ce n’est pas tant que votre mari en ai usé de
cette manière à votre endroit – encore qu’en l’occurrence
l’envers serait mieux adapté – mais bien plutôt qu’il ne
l’ait pas fait plus tôt. Enfin quoi, bientôt 8 mois de mariage,
et votre mari ne s’était jamais montré …autoritaire ?
C’est donc que vous seriez devenue bien sage – ce qui m’étonne
quelque peu vous connaissant – ou qu’il soit fort patient. Et
votre stupéfaction devant sa décision et son comportement me laisse
moi-même interdite. Êtes-vous vraiment si naïve que vous ignoriez
que ces manières sont le lot de la plupart des maris ? Seriez
vous si étonnée de savoir que la plupart de celles que vous
fréquentez ont ainsi plus ou moins régulièrement affaire avec la
main de leurs époux ? Et s’il est une chose qui, encore une
fois, m’étonne fort, c’est que votre mari n’ait pas agit ainsi
plus vite. Car s’il est un point sur lequel je partage entièrement
son avis, ma tendre, c’est que vous avez un postérieur tout à
fait adapté à ce genre de privauté. Eh oui ma chère, comme il
parait que certaines d’entre nous ont « des têtes à
chapeau », certaines ont des « derrières à fessée ».
Et c’est votre cas ! Ne le prenez pas comme une critique, bien
au contraire. Mon propre mari a usé de cette expression à mon
intention, et je suis bien sûre que, dans son esprit, c’était un
compliment. Mais voilà, il en a usé avant même de le découvrir,
comment dire ? Intégralement. En quelque sorte il n’ pas
attendu que nous soyons mariés pour m’informer de ses intentions.
Je m’en souviens comme si c’était hier. Quelques mois avant que
nous passions devant Monsieur le curé et monsieur le Maire, nous
étions déjà fiancés et pouvions donc nous écarter quelque peu du
cercle familial les dimanches après-midi, en tout bien tout
honneur, bien sûr. Il ne se serait pas permis ce qu’il est convenu
d’appeler « un geste déplacé » et notre intimité se
limitait encore à une main dans la sienne, un bras autour de mes
hanches et un chaste baiser au moment de nous quitter. Ce qui ne
l’empêcha pas de me dire un jour tout à trac :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« J’espère
que vous ne serez pas toujours aussi sage quand nous serons marié,
ma douce »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
comme je m’étonnais qu’il puisse souhaiter une telle chose et
lui en demandais ingénument la raison, il me répondit en riant :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Mais
pour que je puisse vous fesser pour de bonnes raisons ma chère ! »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Vous
le voyez, il ne cachait ni ses intentions, ni le plaisir qu’il
aurait à agir de la sorte. Bien sûr j’ai été pour le moins
interloquée, mais pas un instant je n’ai envisagé de cesser notre
relation pour cela. Je venais d’apprendre que Monsieur de V*
comptait bien flanquer la fessée à son épouse, cela ne
m’empêcherait certes pas de vouloir être celle-là ! Il est
vrai que mes dernières fessées de gamines n’étaient pas si
lointaine – ma maman avait considérée que je restais dans la
catégorie concernée jusque tard dans mon adolescence – et que je
n’en gardais, finalement, pas un souvenir si terrifiant. Même si
pourtant maman avait la main </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">leste
et savait faire rougir mes rondeurs de belle façon. Mais comme elle
le disait avec une gouaille qui détonnait chez cette grande
bourgeoise distinguée :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Il
ne sera pas plus fendu après qu’avant, ma fille. Et comme on dit,
c’est par là que la sagesse vient aux filles ! »Par
ailleurs, pour tout vous dire, la continuation de ce type d’activités
claquantes chez les couples mariés ne m’était pas tout à fait
inconnue. Il m’était arrivé, quand j’avais une dizaine
d’années, de passer quelques jours chez ma sœur aînée qui avait
convolée en justes noces quelques mois auparavant. J’étais bien
entendu encore innocente, mais je n’ignorais quand même pas tout à
fait les choses de la vie. Et ma chambre étant assez proche de celle
des jeunes mariés, il m’était arrivé d’entendre des soupirs et
des grognements dont j’avais fort bien deviné l’origine Un soir
il m’avait semblé que les deux tourtereaux étaient un peu tendus.
Et à un moment, sans que j’en aie vraiment compris la raison, mon
beau-frère a lancé à l’intention de son épouse :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Dînons
toujours dans le calme, nous réglerons nos petits problèmes plus
tard »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
sœur avait brusquement rougie, et n’avait presque plus desserré
les dents de la soirée. Je suis monté me coucher avant eux, mais je
l’avoue, un peu après qu’ils aient regagné leur chambre
nuptiale, la curiosité m’a poussée à sortir dans le couloir et –
je sais c’est très mal et j’aurais bien mérité d’être punie
pour cela, mais c’est la vérité, je ne peux la nier – j’ai
été collé mon oreille à la porte de leur chambre. Je me revois
encore, en chemise de nuit, pieds nus, grelottant de froid dans ce
grand couloir glacé. Je n’ai entendu d’abord que les classiques
bruits d’étoffes froissées et d’ablutions, et j’allais
regagner mon lit quand j’entendis ma sœur qui soufflait à voix si
basse que je l’ai à peine entendu :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Non,
pas ce soir, tu sais bien que la petite … »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
la voix de son mari, qui lui ne semblait pas chercher à murmurer,
qui répliquait :</span></span></div>
<ul>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Allons,
tu sais bien que je ne remet jamais ce genre de choses au lendemain.
Viens vite te mettre en place. »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Non,
je t’en prie, elle pourrait entendre tu sais. »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Mais
non, d’abord elle est couchée, et de toutes manières, je suis
chez moi et je n’ai pas l’intention de renoncer pour une gamine.
Après tout, il ne tient qu’à toi d’être silencieuse ma
chérie. Et plus vite tu seras prête, moins tu auras de mal à le
rester. Et plus tu me fais traîner, plus cela durera, et plus tu
risques de t’exprimer, tu le sais bien. »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Mais
même si je ne dis rien… le bruit…dans la maison, ça résonne
tu sais… »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Oh,
mais si ce n’est que cela tu n’as rien à craindre ma chérie,
j’ai pensé à tout. Tu crains le bruit de ma main ? Elle
n’en fera aucun, je te le promets. J’ai justement préparé pour
toi un joli petit bouquet … »</span></span></div>
</li>
</ul>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Pour
vous dire si j’étais peu au fait, sur l’instant j’ai pensé
que le mari avait vraiment préparé un bouquet de fleurs pour sa
femme pour se faire pardonner leur querelle. Je n’ai donc pas tout
de suite saisi le sens de la suite de leur dialogue :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Non…s’il
te plaît...demain quand nous serons seuls, si tu veux
… »<br />
« Maintenant les enfantillages, ça suffit !
En position, tout de suite, et relève moi tout cela ! »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A
partir de cet instant je n’ai plus entendu qu’une sorte de
bruissement presque imperceptible à travers la porte de bois. Avec
aussi quelques plaintes étouffées de la voix de ma sœur. Des
sortes de « umff » « oumm » puis,
brusquement un bref cri beaucoup plus fort « aille ! »
lancé d’une voix cassée par les larmes. C’est alors que je me
suis enfuie à toutes jambes et réfugiée dans mon lit. Ce n’est
que le lendemain, pendant qu’ils étaient sortis, qu’en furetant
dans leurs appartements – oui je sais, c’est encore mal et
j’aurais mérité une deuxième sanction pour ma curiosité – que
j’ai compris que le bouquet n’était pas de roses. Dans le petit
boudoir attenant à la chambre, là où ma sœur se changeait, j’ai
découvert, pendu au mur, un faisceau de brindilles souples reliées
entre elles par un fort ruban rose. Je n’avais bien entendu jamais
goûté de ce genre d’instrument, mais j’ai su beaucoup plus tard
combien ils pouvaient être mordants et cruels pour la peau de celles
qui le reçoivent. J’ai su aussi qu’il laisse des marques plus
durables et qui rappellent parfois plusieurs jours la séance qui les
a provoquées. <br />
Ma sœur ne m’a fait aucune confidence, et
bien entendu ne ne lui ai pas posé de question. En tout cas, le
lendemain, son visage ne m’a pas semblé refléter une nuit de
douleur, mais au contraire une sorte de tranquillité sereine.
J’étais trop ignorante des choses du mariage pour en tirer des
conclusions. Pourtant ma propre expérience d’auditrice aurait pu
me faire comprendre qu’être actrice ne pouvait pas laisser les
sens endormis. Puisque vous avez été franche et directe avec moi,
je vais l’être aussi, ma toute douce. Ce soir là, bien
qu’effrayée, réfugiée dans ma chambre, avec dans les oreilles le
bruissement cadencé par les petits cris de ma sœur … je ne me
suis pas endormie tout de suite. Bien sur, ce souvenir est trop
lointain pour que je sache si je me suis consciemment référée à
ce que je venais d’entendre pour alimenter mon imaginaire. Il me
semble pourtant – mais peut-être est-ce en référence à des
expériences plus récentes – que les doigts ne se sont pas limités
à fouiller mon buisson adolescent mais ont du aussi s’égarer vers
les rondeurs postérieures et le petit chemin secret qu’elles
cachent.<br />
</span></span><br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma toute douce, vous n’êtes pas si extraordinaire, et en tout cas
pas anormale d’avoir eu du mal à distinguer entre douleur cuisante
et plaisir fulgurant. Et c’est là mon second sujet d’étonnement,
et un peu de sourire. Enfant que vous êtes ! Vous ne comprenez
pas que l’un et l’autre peuvent se conjuguer ? Vous vous
étonnez qu’une fessée qui fouette les sangs puisse aussi fouetter
le désir et les sens ? Mais pourquoi diantre pensez-vous que
tant de femmes la tolèrent s’il en était autrement ? Bien sur la
sévérité claquante d’un mari peut être le moyen pour lui
d’établir son autorité dans la maison. Mais vous savez aussi que
pour la plupart ils n’ont pas besoin de l’imposer de cette
manière. Et d’ailleurs que bien souvent cette autorité que nos
mères et nos confesseurs nous rappellent d’avoir à respecter est
bien souvent illusoire. Et puis, que diable, nous sommes des êtres
civilisés ! Nous avons lu Voltaire, Rousseau et même Diderot,
même si nos prêtres nous l’interdisaient. Et si la fessée
maritale n’était qu’un acte d’autorité, elle ne serait, me
semble-t-il, pas de notre siècle. Mais vous devez savoir, ma petite,
que le corps a ses raisons que la Raison, justement, ne connaît pas.
Et si votre corps s’enflamme plus vite à l’issue d’une bonne
fessée, vous n’avez pas à en rougir. En tout cas pas du visage !
En tout cas vous n’êtes pas la seule à découvrir cet étrange
résultat, celle qui vous l’écrit peut en témoigner. Pour tout
dire, il me semble que si ces séances nous mettent dans cet état
c’est peut-être aussi parce qu’elles ont le même résultat sur
nos maris. Vous l’avez, je pense, constaté vous-même. Pour ma
part j’en ai eu témoignage le soir même de mes noces. Je vous
arrête tout de suite, non, ma chère, je n’ai rien fait ce jour là
qui me la fasse mériter. Cela n’a pas empêché celui qui était
mon époux depuis quelques heures seulement de m’annoncer dés que
nous nous sommes retrouvés dans la chambre nuptiale :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Ma
chère, je vais vous coller votre fessée d’épouse »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
comme je lui faisais remarquer, respectueusement, que rien ne la
motivait, il a souri et admis, beau joueur :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« En
effet, je vous l’accorde. Mais j’en ai trop envie. La refuser
serait une raison pour la mériter, alors vous voyez … »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Est-ce
le souvenir de cette soirée chez ma sœur, la curiosité ou
simplement l’acceptation de ce que je sentais inéluctable ?
En tout cas je n’ai pas prolongé la discussion. Et puisqu’il
m’avait voussoyé alors que d’habitude il n’utilisait pas ce
langage d’un autre temps, je suis entrée d’instinct dans son
jeu :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Bien,
monsieur, je suis prête «<br />
« C’est bien.
Relevez votre robe et votre jupon, bien haut s’il vous
plaît »<br />
« Bien, monsieur. Est-ce suffisant comme
cela ? »<br />
« Oui, madame. Maintenant penchez
vous sur le montant du lit et laissez-y vos mains quoi qu’il
arrive »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
devais être une élève douée, voyez-vous, puisque j’avais de
moi-même ramené les grands volants de mon ample robe de mariée
devant pour les coincer entre mon ventre et le lit. Je dois dire
franchement que pour cette première il y a été avec beaucoup de
modération. Il a commencé par quelques claques sur ma jolie culotte
soyeuse de mariée. C’était, bien sur, une culotte à l’ancienne.
Pas une de ses prisons que les femmes portent aujourd’hui. Mais
bien une jolie pièce de soie rosée, nouée à l’arrière, et que
mon cher époux s’est mis en demeure de dénouer un peu comme on
retire les nœuds d’un cadeau avant de l’ouvrir. Il m’a donc
déculottée avec délicatesse, puis a continué la cavalcade des
claques sur ma peau nue. Bien sur cela m’a semblé fort douloureux,
même si en comparant avec ce que la vie conjugale m’a réservé
par la suite je sais aujourd’hui qu’il s’agissait presque d’un
simulacre. Mais, comme vous, j’ai senti naître cette boule de
chaleur qui, partie du séant et se diffuse dans le ventre jusqu’à
venir incendier le plus secret de nous même. La position qu’il
m’avait imposée m’a aussi évité, pour ce premier soir, la
découverte, parfois traumatisante parait-il pour les jeunes oies
blanches, de la virilité érigée de mon époux. Quand l’averse de
claques s’est tarie, j’ai gardé la même position, essuyant mes
yeux au pli de mon coude, et cherchant à calmer la brûlure en
caressant mes globes. Un instant après il était derrière moi,
passant les mains sous ma robe pour passer devant et faire jaillir
mes seins du corset qui les emprisonnait. Je ne vais pas aller plus
loin dans ce récit, ma toute douce. Mais je peux vous dire, sans
choquer votre pudeur, que j’ai constaté depuis que jamais, quelles
que soient les caresses que nous échangions, la virilité de mon
mari n’est aussi triomphante que lorsque mon postérieur a été
tanné en première partie. Et puisque nous sommes entre femmes, et
que dans ce domaine là aussi l’excès peut nuire, laissez moi vous
dire que, dés ce premier jour, quand il a décidé de s’introduire
en moi sans même me retourner – j’ai appris plus tard qu’il
appelait cela du joli nom de « levrette » - la dimension
pourtant respectable de son membre ne m’a pas fait vraiment
souffrir. Preuve, s’il en fallait, que la fessée m’avait moi
aussi rendue perméable au plaisir. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma tendre amie, que vous m’avez entraîné sur des terrains que je
ne fréquente plus guère. J’espère sincèrement vous avoir
rassurée. Mais, je dois le dire, ces souvenirs m’ont étrangement
troublés. Je ne peux chasser de mon esprit l’image charmante de
votre personne le bas du dos dénudé sur les genoux de votre
séduisant mari. Cette image me bouleverse tant que, tandis que ma
main droite s’active sur cette feuille, sa consœur est partie
d’elle – même vers d’autres voyages, et que je sens mon jardin
secret s’humecter de rosée. Voilà, vilaine, que vous avez poussé
une femme – presque – honnête à reprendre ces pratiques que la
morale réprouve. Je vous souhaite qu’une telle faute, avouée ou
non, vous vaille dés que possible une mémorable fessée. Et c’est
en imaginant celle-ci et en me laissant couler vers le plaisir que je
vous embrasse.</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre
bien tendre et presque envieuse<br />
A-C de V*</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1876_579450151"></a>
Chapitre 3 :<br />
Lettre de Mme A* à son amie Mme De V*</h1>
<div align="center" class="western">
<br />
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc217_805917996"></a>«Soeurs
en fessées »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Jeune
mariée, Caroline a reçu une fessée de son mari, et elle est
troublée d’en avoir été troublée sensuellement. Elle s’en
ouvre par une lettre auprès de son amie d’enfance, ne Charlotte de
V* qui la rassure en lui avouant qu’elle aussi la reçoit
régulièrement de son mari qui en est plus vigoureux au lit.
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Ma
bonne amie,</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Vous
écrire ma dernière lettre avait été, je peux vous l’assurer,
une vraie épreuve. Attendre votre réaction a été encore plus
difficile encore. Cent fois je me suis reprochée d’avoir eu
l’impudeur de coucher – oh ce mot ! – de telles choses sur
papier. Cent fois j’ai tremblé de peur que vous renonciez à tout
jamais à avoir pour amie une telle dévergondée. Et puis, ce matin,
dans le courrier, l’enveloppe mauve avec votre belle écriture à
l’encre violette. Mon Dieu quel bonheur ! Mais aussi quelle
stupeur en la lisant ! Ainsi vous aussi ? Moi qui croyais
vous connaître, jamais je n’avais imaginé que vous puissiez
partager aussi cela avec moi. Si vous saviez comme j’en suis fière
que nous soyons en quelque sorte encore plus proche que nous ne le
pensions. « Sœurs de cœur, sœurs d’enfance, mais aussi
sœurs en fessées ! » Pourrait-on dire. Mais il me
semble qu’en me répondant vous avez aussi encore joué avec moi,
et avec ma curiosité que vous appelez ma naïveté. Vous en avez
trop dit, ou pas assez, ma chère. Maintenant il vous faudra répondre
à tout, sinon je vous dénonce à votre mari, et je ne doute pas
qu’avoir fait de telles confidences vous vaudra de sa part l’envie
de se surpasser sur votre postérieur. Je vous taquine, ma douce, et
je sais bien que vous avez fait exprès de ne me dire les choses que
partiellement pour exacerber ma curiosité que vous connaissez bien.
D’abord j’ai cru comprendre que non seulement « cela »
vous est arrivé, mais que « cela » vous arrive souvent.
Si souvent que cela ? Depuis cette fessée inaugurale de votre
nuit de noces, vous en recevez donc si régulièrement ? Vous
faites aussi allusion à la meurtrissure des verges, cela veut-il
dire que votre mari ne se contente pas de vous chauffer le derrière
à la main ? Mon Dieu, je n’ose imaginer les ravages que doit
faire un instrument conçu spécialement pour cet usage. Alors vite,
ma belle, asseyez vous à votre écritoire – sauf bien sûr si
l’état de votre fondement ne le permettait pas – et racontez moi
tout. Et dites moi aussi ce que je dois comprendre des dernières
lignes de votre lettre. J’ai cru y déceler une sorte de nostalgie
ou de déception. Votre mari vous délaisserait-il ? J’avais
auparavant pourtant cru comprendre qu’il était fort entreprenant
et fort gaillard de ce point de vue. J’espère qu’il n’est pas
souffrant. Je suis pourtant certaine que vos appâts ne peuvent le
laisser indifférent. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>De
mon coté, je vous l’assure, je ne vous cacherai rien. D’abord
vous sembliez souhaiter à demi-mot que cette fessée ne soit pas une
expérience unique. Eh bien ma douce, votre souhait a été exaucé.
C’était d’ailleurs quelques jours seulement après que je vous
aie écrit. Et je dois avouer que, cette fois, il n’a pas eu à
chercher un prétexte, je pourrais presque dire que je l’avais bien
mérité. Vous connaissez mon incapacité à respecter un horaire, et
mes retards presque systématiques. Depuis notre mariage, et même
avant, c’est un de mes défauts – et Dieu sait que j’en ai
quelques autres – qui exaspère le plus mon mari. Or, ce soir là,
je suis rentrée à la maison à presque vingt heures, en ayant
oublié que nous devions sortir pour un dîner où nous étions
attendus à dix neuf heures. A mon grand étonnement mon mari n’a
pas élevé la voix, et ne m’a pas vraiment fait de reproches, se
contentant de dire d’une voix un peu froide :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Nous
n’allons pas encore perdre du temps, nous sommes déjà assez en
retard. Nous en reparlerons plus tard »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Nous
nous sommes bien sûr excusés auprès de nos hôtes, et mon mari a
eu l’élégance de ne pas me mettre mal à l’aise en m’en
rendant responsable. Il n’a pas fait une allusion à ce retard
durant la soirée, et je dois même dire qu’au retour à la maison
il s’est montré charmant et pour tout dire … empressé. En
quelque sorte nous nous sommes réconciliés sur l’oreiller avant
même de nous être disputés. Mais le lendemain, au moment où il
quittait la maison, il a lancé à mon intention :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« A
ce soir. Je t’attends à dix huit heures dans mon bureau. Ne sois
pas en retard. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Il
n’en a pas dit plus. Le ton n’était ni en colère ni menaçant.
Et pourtant l’objet de ce rendez-vous m’a paru immédiatement
évident. Finalement je pourrais presque dire que la journée
d’attente a été presque plus difficile à vivre que la punition
elle-même. Et pourtant c’en fut-une, et une vraie. Durant toute la
journée, impossible de penser à autre chose. Les mains moites, le
cœur qui bat la chamade, l’estomac tordu. Et ces questions
incessantes. Que va-t-il faire ? Comment cela va-t-il se
passer ? Mais, curieusement, pas une seconde je n’ai pensé ni
qu’il puisse y renoncer, ni que, de mon coté, je puisse m’y
soustraire. Je n’ai même pas cherché ce que je pourrais dire ou
faire pour y échapper. J’ai du mal à l’admettre moi-même, mais
en quelque sorte j’avais déjà intériorisé le fait que quoi
qu’il arrive, j’allais être fessée. Et, en effet, je l’ai
été ! Cet après-midi là, je devais aller prendre le thé
chez Madame H* qui reçoit tous les mardis. Pour être sûre d’être
rentrée à l’heure dite, je me suis fait excuser par un billet
indiquant qu’une « obligation impérieuse » m’empêchait
d’être présente. J’ai donc passé la plus grande partie de
l’après-midi dans mon boudoir. Je m’y suis fait servir le thé
et je me suis habillée. J’avoue que j’ai choisi mes vêtements
et surtout ceux de dessous avec un soin particulier. Tant qu’à
devoir les montrer à son époux, autant qu’ils soient jolis
n’est-ce pas ? . Un quart d’heure avant dix huit heures
j’étais plantée devant la pendule. Pour rien au monde je n’aurais
voulu me présenter à son bureau avant l’heure imposée. Et
quelque chose me disait qu’il ne me fallait surtout pas être une
fois encore en retard. Mais juste au moment de quitter mon refuge,
j’ai été prise d’une irrésistible envie … de faire pipi. Je
me suis donc présentée à la porte de son bureau alors que les six
coups venaient de sonner. J’ai frappé un coup léger à la
porte, et il m’a invitée à entrer. Il était assis à son bureau,
il a levé les yeux et posé sa plume pour me dire de cette même
voix tranquille et chaude :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Bien,
allons y tout de suite, prépare – toi vite »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Et
comme je restais les bras ballants au milieu du bureau, ne sachant
pas vraiment ce qu’il attendait de moi, il a précisé :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu
relèves ta robe, bien haut, et je ne veux pas qu’elle retombe. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Je
me suis exécutée, me plaçant de coté, n’ayant pas réussi à
estimer s’il était plus humiliant d’exposer mes fesses ou le
devant à sa vue. Je me suis arrangée pour retenir ma robe d’une
main, et me souvenant de la première expérience j’allais dégager
mon derrière de la culotte quand il m’a arrêtée :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Non,
laisse cela, c’est pour moi. Baisse-toi, les mains sur les
genoux »<br />
Une fois que j’ai eu pris la position demandée,
il s’est approché de moi, il a fait glisser ma culotte jusqu’au
dessous des fesses, et il m’a saisie aux épaules de la main gauche
pour me maintenir. Il avait toujours sa voix tellement tranquille
quand il m’a annoncé :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Je
pense que je n’ai pas besoin de te rappeler la raison de cette
fessée n’est-ce pas ma chérie ? L’impolitesse vis-à-vis
de moi mais aussi de nos amis, mais surtout l’inquiétude qui a été
la mienne quand je t’ai attendue, il te faut les apprendre par les
fesses. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Et
immédiatement, il s’est mis à me les claquer à toute volée.
Peut-être ne frappait-il pas vraiment plus fort que la première
fois, mais il frappait plus vite. Les claques se succédaient comme
une averse d’orage. Non seulement je me suis mise vite à piailler,
mais aussi à piétiner sur place, comme si cette danse de Saint Guy
pouvait m’éviter les claques. Celles-ci ont couvert toute la
surface disponible. Et vous savez qu’elle n’est pas si
négligeable n’est – ce pas. De la ceinture jusqu’à la limite
des cuisses, tout mon derrière n’était qu’un champ labouré.
J’étais en larmes, et dès que la succession des coups a cessé,
je me suis redressée comme un ressort et j’ai continué à
sautiller sur place en me frottant les fesses pour calmer tant soit
peu la souffrance. Mais une fois encore, celle-ci se conjuguait avec
une effervescence des sens. Et, visiblement, ceux de mon cher époux
n’étaient pas restés non plus insensibles. Mais cette fois, et
pourtant je n’avais pas encore lu votre si édifiante lettre, je ne
me suis plus vraiment posé de questions, et je me suis laissé aller
au plaisir. Nous n’avons même pas pris le temps de rejoindre notre
chambre. C’est dans ce bureau, renversée sur le fauteuil de cuir,
les fesses frottant douloureusement contre lui, troussée comme une
fille, que j’ai reçu les hommages de mon mari qui n’a pas eu la
patience d’ôter son habit. C’était la première fois que nous
succombions aux plaisirs de la chair autrement que dans notre chambre
et dans nos tenues de nuit. Dois-je oser vous l’avouer ? Ces
circonstances ont rendu la chose plus satisfaisante pour moi que
d’ordinaire. Il faut dire que la vigueur de mon mari n’y était
peut-être pas pour rien, puisqu’il a pu me montrer par deux fois
que je ne lui étais pas indifférente…Mais après tout, ce n’était
que mérité. N’est-il pas que justice que cette épreuve, et c’en
est une, soit, d’une certaine manière récompensée ?
D’autant que cette séance avait été singulièrement plus
violente que la première. Et mon séant en a gardé les traces. Le
lendemain matin il n’était plus rouge mais véritablement violacé.
Est-ce péché d’orgueil ? Je vous avoue que j’en étais
presque fière. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Je
dois ajouter que mon cher mari a eu l’élégance de ne plus faire
la moindre allusion ni à la cause, ni à la réalisation de cette
punition. Et que, depuis cette séance, j’ai fait attention à ne
plus être en retard. Dans les jours qui ont suivi, en effet, je
pense que mon pauvre derrière n’aurait pas supporté une nouvelle
correction. Depuis, je vous rassure, il est revenu à sa couleur
d’origine. Mais quelque chose dans les yeux de mon homme quand il
me regarde par instant, et la lecture de votre propre expérience, me
dit qu’elles ne le resteront pas si longtemps…</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Je
vos remercie encore de votre attention et je vous embrasse bien
tendrement.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre
Caroline, qui découvre la vie, et qui aime ça !</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>C.A.
</i></span></span>
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc219_805917996"></a>« Des
questions »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">La
découverte que son amie était, elle aussi, fessée par son mari, et
le fait qu’elle lui ait écrit que beaucoup d’autres épouses
l’étaient elles aussi, ont amené Caroline à s’interroger sur
chacune de ses amies. Quand elle rencontre ne peut s’empêcher
de se demander si elle, cette grande femme aux formes pleines et
généreuses « la »reçoit de son mari, ce petit monsieur
plutôt chétif. Et l’idée la fait rire. Même question à propos
de Marie – Anne, cette petite boulotte dont les rondeurs
pourraient, pense-t-elle, tout à fait attirer la main d’un mari
sévère. Bien sûr, elle n’ose pas aborder tout à trac cette
question. Même si elle imagine parfois la tête de ses amies si, au
beau milieu des papotages, elle interrogeait à la cantonade :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-size: x-small;">« </span><span style="font-size: x-small;"><i>Dites
moi, chères amies, vos maris vous donnent-ils souvent la fessée sur
vos popotins déculottés ?</i></span><span style="font-size: x-small;"> »</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">Pourtant,
chez Mme F*, une des dames, maman de trois enfants, expliquait à une
autre jeune maman ses conceptions de l’éducation des enfants.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-size: x-small;">« B</span><span style="font-size: x-small;"><i>ien
sur Adèle, leur bonne nounou est parfaite pour les petites. Mais
elle les aime tellement qu’elle leur passe tout ou presque. Alors,
parfois, il me faut bien mettre la main à la pâte. Et je vous
assure que pour rappeler les enfants à leur devoir, je n’ai encore
rien trouvé de mieux qu’une bonne fessée ! Il est bien rare
qu’il se passe une semaine sans que l’une d’elles se retrouve
sur mes genoux les fesses à l’air. Et après non seulement elle,
mais aussi les sœurs qui assistent à la punition se tiennent à
carreau. »</i></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">Une
des dames présentes surenchérit :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-size: x-small;">« </span><span style="font-size: x-small;"><i>C’est
certain. Je pratique de même avec les miens. Et croyez moi, mon
Élisabeth file doux : »</i></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">Une
autre s’étonna : </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-size: x-small;"><i>« Votre Élisabeth ?
Mais elle va sur ses douze ans non ? »<br />
« Oui,
elle les aura à la saint Jean. Et alors ? Il n’est pas
question de modifier mes habitudes pour cela «<br />
« Pourtant,
quand elles grandissent… cela devient délicat non ? »<br />
« Pas
pour moi en tout cas ma chère. Bien sûr la chose se passe hors de
la présence des hommes, et donc rien n’interdit que cette
demoiselle ne reçoive le salaire de ses errements sur les fesses
dénudées ! »</i></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">Madame
G*, plus âgée n’était pas intervenue jusque là, mais elle
affirma tranquillement :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;"> « </span><span style="font-size: x-small;"><i>Vous
savez, chez nous, mes deux filles y ont eu droit jusqu’à la veille
de leur mariage</i></span><span style="font-size: x-small;"> »</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">Et
Madame de B*, qui connaît l’une des filles de Madame G* a ajouté
dans un sourire :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;"> « </span><span style="font-size: x-small;"><i>Et
après leurs maris ont pris le relais </i></span><span style="font-size: x-small;">? »</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">Le
rire de toutes a évité à la maman concernée de répondre, et il a
repris de plus belle quand la belle Madame J* a lancé en riant de
toutes ses jolies dents :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;"> « </span><span style="font-size: x-small;"><i>Oh,
c’est pour cela comme pour l’équitation, il faut poursuivre
l’entraînement pour le pas perdre la main ! »</i></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">La
conversation a ensuite roulé sur d’autres sujets. Mais Caroline
s’est mise en tête d’inviter bientôt cette dame dont le
brillant des yeux durant cette conversation lui a mis la puce à
l’oreille. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1878_579450151"></a>
Chapitre 4 :<br />
Lettre de Mme De V*à Mme A*</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">Depuis
qu’Anne Charlotte sait que son amie d’enfance, la belle Caroline,
connaît aussi les affres et les plaisirs de la fessée conjugale,
elle ne cesse d’imaginer les belles rondeurs de sa sœur de lait
rudement mises au vif par la dextre de son mari. Et comme celui-ci
est plutôt bel homme, il est arrivé que, dans sa rêverie, ce ne
soit plus les fesses de l’épouse qui subissent ce traitement, mais
bien les siennes. Bien sûr elle ne fera pas partager cette vision à
l’épouse légitime. Pourtant elle s’empresse de répondre à
cette nouvelle missive, en ne cachant que ce qu’il convient de
cacher.</span></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc221_805917996"></a>« Des
plaisirs solitaires »</h2>
<div class="western">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
toute belle, </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
suis bien forcée de vous faire un aveu qui devrait me faire rougir
le visage autant que la main de votre époux vous fait rougir les
fesses. Votre seconde lettre a eu sur mes sens le même effet que vos
premiers aveux. Et me voilà replongée dans les dérives sataniques
du plaisir solitaire, moi qui étais devenue presque sage. Encore
que, pour tout vous dire, je n’y ai jamais vraiment complètement
renoncé. Sauf peut-être durant les toutes premières années de mon
mariage, quand la virilité toujours en éveil de mon cher mari était
si exigeante que j’avais bien peu de motifs, et même d’occasions
de chercher à me procurer à moi-même ce qu’il me prodiguait si
généreusement. Il est vrai qu’alors il n’était pratiquement
pas de soir qu’il ne vienne partager ma couche, et il lui arrivait
de surcroît de me rendre parfois une visite matinale avant que
d’aller chasser. Mais, vous l’avez compris ma chère, les années
passant l’intensité des choses à tendance à s’amoindrir. Je
vous rassure, mon mari n’est en rien souffrant, et il est encore
fort capable de procurer à une femme les hommages qu’elle attend
d’un homme. Il me l’a encore prouvé hier au soir, et de fort
belle manière ma foi. Mais quoi, vous le verrez vous-même bien
assez tôt, l’âge n’épargne personne. Ce qui était quotidien
devient peu à peu plus proche de l’hebdomadaire. Et, dans ces
tournois de l’amour, le chevalier à moins souvent l’initiative
de redoubler l’assaut. Que cela m’ait quelquefois affligée, et
que j’eusse parfois espéré une fréquence plus grande dans ses
assiduités, je le confesse. Encore qu’en ce domaine, l’âge
permet de comprendre qu’il faut parfois préférer la qualité à
la quantité, quand toutefois on est contrainte de choisir. Et quand
la nature titille un peu trop mes propres besoins, eh bien oui, je
vous l’avoue, ma douce, j’ai en effet recours aux pratiques de
nos jeunes années. Je sais, selon nos confesseurs et les moralistes,
c’est très mal. Mais selon nos sens, mon Dieu que c’est bon.
Après tout, qui connaît mieux les attentes de nos sens que
nous-mêmes ? Bien sûr, je n’ai en rien renoncé aux assauts
vigoureux d’une belle virilité et au travail profond d’un soc
vigoureux en son champ. Mais cela empêche-t-il d’apprécier aussi
la douceur de ses propres doigts ? Je ne jurerais du reste pas
que mon maître et seigneur soit totalement dupe. Mais, en ce domaine
comme dans d’autres, il convient me semble-t-il que chacun fasse
comme s’il ignorait que l’autre le sache. Mais une certaine lueur
dans son regard quand il me demande, pour ne pas dire quand il exige,
de faire devant ses yeux ce qu’à d’autres moments je pratique
dans le secret de mon boudoir m’incite à penser qu’il n’en
ignore pas tout. Jamais au grand jamais, je n’aurais imaginé en
arriver un jour à exposer à quiconque ces épisodes de ma vie
d’épouse. Mais votre candeur et votre franchise m’amènent à
considérer qu’avec vous, rien ne doit être caché. Et je gage
bien sur que vous prenez toutes les précautions nécessaires pour
jeter aux flammes ces épîtres aussitôt que vous les aurez lues.
J’avoue par ailleurs que je ressens un étrange plaisir à vous
faire de telles confessions impudiques. A tel point que je sens déjà
sourdre en moi une humidité qui en est le témoignage. Je m’impose
pourtant de ne pas céder à l’envie qui me taraude de poser la
plume pour utiliser autrement la main qui la tient. Je ne doute pas
que vous mesurez l’effort que je fais pour vous être agréable. Et
je prends aussi le risque, si mon mari rentrait au bercail avant que
je n’ai pu changer de tenue, et qu’il lui prenne l’envie de
quelque caresse un peu appuyée, que l’humidité de ma culotte me
vaille une de ces fessées impromptues qu’il lui arrive encore –
Dieu merci – de me flanquer. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà
donc la première réponse à vos questions, ma chère curieuse. Eh
bien oui, je prends encore, et souvent, et de belle manière, de ces
fessées qui me laissent le derrière en feu, les joues mouillées de
larmes, et d’autres parties de moi-même d’autre façon. Je dois
même dire, qu’en ce domaine il n’y a eu ni pause ni même baisse
de fréquence. Peut-être même au contraire. Au fil des années, mon
cher mari a toujours autant de vivacité pour trouver de bons motifs
à me caresser rudement les fesses. Et quand il n’en trouve pas, et
bien ma foi il s’en passe ! Encore qu’il aime, me
semble-t-il à ce que les fessées soient à ses yeux ou aux miens
justifiées. Dans les premières années de notre union, il a
considéré que les sanctions appliquées au hasard des fautes ou des
manquements de ma part ne suffisaient pas, au motif que touts ne
pouvaient pas être sanctionnés sur le champ. Aussi a-t-il pris
l’habitude, selon sa propre expression de « mettre les
pendules à l’heure » chaque premier vendredi du mois. Pour
qu’aucun motif ne soit oublié, il m’a imposé d’en tenir
moi-même la liste. Il m’appartient donc parfois d’y inscrire de
moi-même ce qui me semble mériter sa sévérité, encore ne
l’aurait-il pas su. D’autres fois cependant c’est lui qui
m’indique d’un « vous le noterez s’il vous plaît »
que tel ou tel de mes actes ou de mes attitudes lui a déplu. Et le
jour dit, rituellement après le dîner, je me présente devant lui
avec à la main la liste que je dois lui lire à haute voix. Le
croirez-vous, chère amie, même après tant d’années, il me
semble que cette lecture d’aveux est peut-être plus difficile pour
moi que la punition qui s’en suivra. Voyez ainsi vendredi dernier,
votre amie, que vous avez connue si fière parfois, tenant son cahier
à la main et lisant à l’intention de son mari carré dans son
fauteuil :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Le
4 du mois, une insolence à votre égard, le 9 du mois un retard, le
16 et de nouveau le 17 du mois une grande négligence dans la
surveillance du service et le 26 du mois un refus d’obéissance
méritent d’être sanctionnés, Monsieur »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Cela
fait beaucoup pour ce mois, ma chère. Vous m’apporterez
l’instrument s’il vous plaît, et vous compterez vingt. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Il
n’a pas besoin d’en dire plus. Je sais qu’il a décidé
d’épargner sa paume et d’utiliser le martinet dont il a fait
l’acquisition pour notre première année de mariage. Je sais
surtout qu’il m’appartient d’aller le chercher dans l’armoire
et de le lui apporter respectueusement. Puis de me tourner vers le
grand bureau qui orne le coin de la pièce, de relever moi-même mes
vêtements – que j’ai bien sûr choisis en fonction de ce que je
sais alors inéluctable – et de me pencher sur le meuble de bois
d’ébène, dans la position que j’ai compris que vous connaissez,
présentant ainsi à leur bourreau les hémisphères qu’il va
flageller. Il me semble que nos maris ont en commun l’exigence
d’ôter eux-mêmes le dernier rempart qui protège nos lunes. En
effet, il tient à baisser lui-même ma culotte, jouant, selon son
caprice, à la retirer entièrement où à la laisser en haut des
cuisses ou à la pliure des genoux. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Vous
avez donc une deuxième réponse à vos questions, oui mes fesses
connaissent la morsure des lanières. Si je vous disais qu’elles ne
sont pas plus douloureuses que la main maritale, vous ne me croiriez
pas, et vous auriez raison. Même si une fessée manuelle peut faire
mal, à en pleurer, la douleur n’est jamais tout à fait comparable
à celle d’une poignée de lanières de cuir flagellant la peau.
Quand on la subit, on comprend mieux l’expression triviale « avoir
la peau des fesses enlevée ». C’est en effet tout à fait la
sensation que l’on éprouve. Même si, là aussi, après quelques
jours, les longues traces bleuâtres et parfois boursouflées
laissées par la chevelure cinglante disparaissent. Et pourtant, ma
toute belle, tout en vous aimant, et peut-être justement parce que
je vous aime, je souhaite qu’un jour votre mari fasse un jour cet
achat. Alors seulement vous comprendrez que si je me contente de dire
que cela fait « plus » mal, je ne suis ni exacte ni
complète. Il n’est pas vraiment possible d’établir une telle
hiérarchie entre les sortes de fessées. La main, le martinet, la
ceinture de cuir ou la cravache du cavalier, sont à mes yeux – je
devrais dire à mes fesses – autant de voyages, de découvertes,
différents. Des voyages qui vous feront pleurer, crier, peut-être
même plus, je le sais, mais des voyages qui vous feront découvrir
des espaces qui, sinon, vous resteraient ignorés.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Pour
en revenir à ce dernier vendredi, oui, il m’a fait mal, très mal.
D’autant qu’avant de se saisir du fatal instrument, il a tenu, je
reprends ses paroles à « préparer le terrain » par une
vigoureuse fessée manuelle. C’est donc sur un cul déjà fort
rouge que se sont abattus les vingt cinglements qu’il m’a fallu
compter à haute voix. Il y tient en effet absolument. Même si je ne
sais pas ce qu’il ferait si j’interrompais le compte avant
l’échéance annoncée. Peut-être continuerait-il quand même ?
Peut-être jugerait-il que je ne puis en subir plus ? Je ne le
saurai probablement jamais. Vous me savez têtue et trop fière pour
céder en implorant une fin anticipée. Par contre, il m’est arrivé
un jour de refuser de compter. Il avait décidé de m’imposer
quinze coups. Je les ai reçus sans desserrer les dents, tout en
comptant dans ma tête. Et après le quinzième … la fouettée a
continué. Je vous laisse imaginer Au dix-septième, j’ai compris
que lui non plus ne céderait pas, et j’ai lâché le fatal « un »
… suivi des quatorze autres annonces, les dernières émises entre
des sanglots. Je vous laisse imaginer l’état de mes pauvres
fesses. Elles étaient littéralement proches d’être en sang.
Trois jours après elles restaient bleues et boursouflées, et il
m’était pratiquement impossible de m’asseoir sans grimacer de
douleur. Je n’ai jamais réitéré cette rébellion. Mais j’étais
immensément fière d’avoir prouvé que j’étais capable de
résister. Et lui avait prouvé qu’il savait ne pas céder, et je
lui en étais d’une certaine manière reconnaissante. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Pour
le reste, si je suis assez persuadée que nous ne ne sommes pas les
seules, et de très loin, à connaître de ces séances claquantes
sur nos postérieurs, je dois vous avouer que je n’en sais pas
beaucoup plus. Avant de le faire à votre intention, jamais il ne
m’étais venu à l’idée de raconter à qui que ce soit les
pratiques de notre couple. Et aucune de mes amies ne m’a non plus
fait de confidence en la matière. Pourtant, j’ai dans l’idée
que la jeune Madame L*, mariée depuis peu à une relation de mon
mari pourrait bien être des nôtres. Non qu’elle m’ait fait
quelques confidences que ce soit, nous ne sommes pas assez intimes
pour cela. Mais lors d’une soirée chez des amis communs, la belle
s’est montrée particulièrement désagréable, et surtout envers
son mari qui n’a pas semblé prêter attention au comportement de
sa moitié, jusqu’à ce qu’il lui lance d’une voix glacée à
la suite de je ne sais plus quelle insolence de sa part :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Nous
en reparlerons plus tard n’est ce pas »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Phrase
anodine, certes, mais lancée avec un regard subitement dur, et qui a
fait qu’ensuite la jolie peste s’est transformée en petite fille
silencieuse et effacée, cherchant à se faire oublier. La lecture de
votre lettre m’a remis cette soirée en mémoire et j’ai cherché
un prétexte pour rendre visite à cette jeune dame et en ai profité
pour lui lancer :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Nous
avons passé une soirée délicieuse n’est – ce pas ? »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Oui..Charmante,
en effet »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Et
j’espère qu’elle s’est bien terminée ? »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
là, son visage s’est empourpré, et elle a bredouillé quelque
chose comme :*</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Oui..
enfin… bien sûr… »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Eh
bien tant mieux …. Avec ces drôles de personnages que sont les
hommes, on ne sait jamais… Profitez bien de la tendresse du vôtre
ma petite. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
n’ai pas voulu la mettre plus dans l’embarras, et je l’ai
quittée en l’embrassant.Je n’en sais donc pas plus. Mais depuis
j’ai reçu de sa part une invitation à un thé la semaine
prochaine. Peut-être la belle sera-t-elle en veine de confidences ?</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">En
attendant je vous embrasse,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Soyez
sage, il ne faut abuser de rien.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre
</span></span>
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A
C de V</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1880_579450151"></a>
Chapitre 5 :<br />
Lettre de Mme A* à son amie Mme De V*</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Caroline
A* a confié par écrit à son amie d’enfance, Anne Charlotte de V*
que son mari l’avait fessée, et qu’elle en avait été fort
troublée. A son grand étonnement, son amie lui a répondu qu’elle
connaissait aussi ces séances claquantes sur son postérieur, et ce
depuis le premier jour de son mariage. Il s’en suit un échange de
correspondance où les deux amies se dévoilent sans fard, et dans
laquelle les fessées qu’elles reçoivent l’une et l’autre sont
souvent évoquées. Dans une dernière lettre, Anne - Charlotte a
raconté à son amie qu’elle se demande si une autre de ses
connaissances, la belle Lucie L* ne subit pas le même traitement
qu’elles de la part de son mari, et qu’elle compte bien tout
faire pour lui tirer les vers du nez. En réponse, Caroline poursuit
des confessions …</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc223_805917996"></a>« Poursuite
des confessions »</h2>
<div class="western">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
très chère,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Autant
j’ai hésité longtemps et je me suis reproché parfois d’avoir
osé vous dévoiler ce qui aurait pu rester un secret de couple,
autant je m’en félicite après la lecture de votre dernière
lettre. Je vous avoue que j’ai presque eu les larmes aux yeux
d’émotion en découvrant votre intimité, et la confiance avec
laquelle vous me la présentez. Et puis aussi, quel bonheur que de
constater que nous sommes si proches par certains cotés !
Allons au fait tout de suite, ma douce, je n’ai pas plus que vous
vraiment renoncé aux plaisirs solitaires. Il est vrai que, dans ma
jeunesse, j’y avais recours quasiment chaque jour, ou plutôt
chaque soir. Pour trouver le sommeil il me fallait d’abord m’être
quelque peu caressé l’abricot et la cerise. Même quand il m’est
arrivé de partager ma chambre avec une amie – vous souvenez vous
que vous fûtes de celles-là ma douce ? – je ne renonçais
pas pour autant à mes coupables penchants. Simplement, avec le
temps, j’ai appris à me procurer du plaisir sans bruit et sans
trop de mouvements. A vrai dire, mais je crains d’expliquer à une
plus expérimentée que moi, il m’arrivait même d’aboutir au but
recherché sans avoir à y mettre la main. La seule crispation des
cuisses m’amenait parfois, sans que personne autour de moi ne
puisse y voir quoi que se soit, à une explosion toute intérieure.
Depuis mon mariage, les assiduités de mon époux et peut-être aussi
l’âge m’amènent bien sûr à un rythme moins soutenu. Mais à
l’occasion de la toilette, ou d’une difficulté à trouver le
sommeil, mes mains s’égarent encore parfois sur mes seins, aiment
à en agacer les petits bouts avant de descendre plus bas, rejoindre
le buisson frisé d’où sourd le nectar qui leur permettra de mieux
glisser. Il me faut alors composer entre l’envie d’aboutir vite
là où je sais vouloir aller et celui de faire durer l’attente qui
rend l’aboutissement encore plus délicieux. Il s’agit donc de
retarder autant que faire ce peut le moment de m’occuper du petit
bouton, de ce perce neige impatient que le moindre effleurement un
peu appuyé portera à l’incandescence. <br />
Mais, pour ma part,
ces moments ne sont pas à proprement parler un moyen de compenser un
manque d’ardeur de mon mari. Certes, nous sommes mariés depuis
moins longtemps que vous, et peut-être découvrirai-je avec le temps
que celle-ci s’émousse au fil des ans. Mais pour aujourd’hui,
mon époux est plus que régulier dans ses visites vespérales. Oh
bien sur, celles-ci ne sont pas tout à fait aussi régulières que
le chant du coq le matin. Il est des soirs où la fatigue, une
préoccupation, une obligation mondaine, que sais-je, amènent à une
pause. Il en est d’autre où une indisposition de ma part me pousse
à lui faire comprendre que j’aurais besoin d’un vrai repos. Et
il est assez attentif et galant pour le comprendre. A condition
toutefois, il faut le dire, que cela ne se reproduise pas plusieurs
soirs de suites. Et quand la nature et le retour de la lune m’amènent
à solliciter d’être dispensé des devoirs conjugaux trois ou
quatre jours de suite, j’ai la fierté de voir monsieur mon mari
devenir d’humeur maussade. Du reste il ne manque pas, dans ces cas
là, de rattraper les soirs qu’il considère comme perdus dans les
jours qui suivent. Et ses ardeurs ne sont alors plus seulement
vespérales mais peuvent être matinales ou impromptues. Encore que
depuis quelques temps, et vous allez voir que nous en revenons
toujours au sujet qui a entraîné cette correspondance, il a pris
l’initiative, les jours où la voie ordinaire ne peut être
utilisée, d’en choisir une autre, qui lui donne l’occasion de
rendre hommage à mon verso. Il faut vous dire que, assez tôt après
notre mariage, et bien avant qu’il ne se mue en époux fesseur
comme le votre, il m’avait fait découvrir la position que vous
utilisâtes lors de votre première fessée et qui porte ce joli nom
inspiré du rongeur bondissant. Je n’ai donc pas été plus étonnée
que cela le soir où il ma amené à prendre cette position, certes
un peu inconfortable, mais qui met tellement en valeur nos attributs
postérieurs, à genoux, la tête entre les mains et le dos incurvé
pour mieux faire pointer ce qui, dans ce cas, ne mérite peut-être
pas d’autre mot que celui de c**. Par contre c’est avec stupeur
que j’ai senti que sa virilité, après s’être comportée avec
mon antre d’amour comme une mouillette avec un œuf à la coque, a
quittée ce nid douillet sans pousser plus loin son avantage et s’est
glissée un peu plus haut, vers une autre entrée plus secrète, et
pour tout dire plus étroite. Dire que cette découverte fut un grand
moment de plaisir serait mentir. La différence de taille entre
l’objet et son étui suffit à expliquer que l’introduction de
l’un dans l’autre impose à ce dernier une déformation difficile
à supporter. Pourtant, mais vous savez combien je suis bonne et
j’aime à faire plaisir autour de moi, les râles de bonheur de mon
tendre bourreau tandis que son épée pénétrait mes entrailles ont
rendu cet instant moins difficile à supporter. J’ai en tout cas eu
le sentiment d’avoir, ce soir là, passé, moi aussi, une sorte de
porte, pour aboutir dans un monde que j’ignorais jusque là. Et
prenant mon acceptation pour définitive, mon cher époux me propose
régulièrement cette alternative quand je lui oppose le calendrier
pour refuser une étreinte plus conventionnelle. Mais peut-être
suis-je entrain de … prêcher à une convertie ? Si tel est le
cas, peut-être me comprendrez vous si je vous dis que du strict
point de vue du plaisir physique cette voie m’apparaît comme moins
efficace que l’autre, mais qu’elle déclenche aussi des
sensations presque plus mentales oserai-je dire. Peut-être parce
que, fruit de notre éducation, elle reste marquée par l’interdit,
donc par le goût délicieux du péché ? Peut-être aussi parce
que, du fait de la position prise, nous ne voyons pas le partenaire,
et que cela permet à notre imaginaire des égarements que nous nous
interdirions dans d’autres situations. Ou tout simplement parce
que, dans le cas de mon époux, cette pratique semble lui procurer un
tel plaisir que ma fierté en est comblée. Du reste, et peut-être
cela participe-t-il aussi de ce plaisir un peu trouble que me procure
ces moments différents, il ne se prive pas de me faire partager son
bonheur qu’il exprime sans retenue. Et là aussi, lui qui est, vous
le savez, la correction voire la distinction même, en arrive à
l’oublier et à utiliser des termes que je ne suis pas encore
capable d’écrire, alors que je suis plus que troublée de les
entendre ! Tout cela pour vous dire – mais vous savez combien
je suis bavarde et comme j’ai tendance à oublier le fil de mes
récits parfois – que, jusqu’à présent, il se passe rarement
plus de trois jours sans que mon époux ne me rende hommage, que se
soit le soir quand nous gagnons le lit en même temps, ou le matin
quand il décide de me réveiller de galante manière. Pour en
revenir au sujet que nous abordions dans nos courriers précédents,
et fort heureusement, ces moments de tendresses conjugales ne sont
pas tous assortis de fessées. Si tel était le cas je pense que
j’aurais du renoncer depuis longtemps à la position assise. Par
contre, et fort heureusement, l’inverse est toujours vrai. Et si
depuis que j’en ai fait la découverte, et que je m’en suis
ouverte à vous, j’ai du repasser par ces moments brûlants quatre
ou cinq fois, ils furent toujours suivis, peut-être faudrait-il dire
récompensés, ou conclus, par de grands moments de frissons. Je dois
même vous avouer que, la dernière fois que mon séant a été
fustigé, et de la belle manière, par mon mari, j’avais presque
sciemment provoqué la chose. Une fois encore il m’attendait pour
sortir et m’avais recommandé de ne pas être en retard. J’aurais
tout à fait pu être à la maison à l’heure dite mais je ne sais
– ou je sais trop – quel démon m’a poussé à traîner
consciemment de manière à n’y arriver qu’avec une bonne
demi-heure de retard. Bien entendu il était dans l’entrée, déjà
habillé et prêt à partir. Je savais intérieurement que ce retard
me vaudrait une fessée. Et je m’attendais à ce que je paye en
monnaie claquante ma dette le lendemain. Mais il n’en fut rien.
Cette fois, en effet, il me fallu payer comptant – sinon contente-.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, et sans qu’il
n’ait pris la peine de justifier quoi que se soit ou même de me
réprimander, je me suis retrouvée pliée en deux sur sa jambe, les
mains posées sur une marche de l’escalier, la jupe troussée et la
culotte plus arrachée que baissée. Quelle averse mon Dieu ! Je
me suis débattue, j’ai crié, j’ai pleuré, rien n’y a fait.
Il ne m’a lâchée, que quand il a eu trop mal à la main, je
pense. Ensuite il ne m’a pas laissé le temps de me rafraîchir, il
était vraiment temps que nous partions. Il m’a juste lancé « tu
la laisses là ! » quand j’ai voulu remonter ma culotte,
et je n’ai pas pris le risque de lui faire répéter. J’ai passé
la soirée à me tortiller sur la chaise, les fesses brûlantes. Et
cette fois, ce n’est qu’au retour à la maison, fort tard, que
mon mari m’a dispensé la partie la plus agréable de la chose.
Mais, est-ce parce qu’elle avait été retardée, elle fut
vraiment renversante ! J’ose le dire, quelque douloureuse ait été
le premier acte, la qualité du second le valait bien. N’en tirez
pas pour autant la conclusion que je joue régulièrement les
provocatrices. Mon cher et tendre époux trouve bien assez souvent
lui-même les raisons d’honorer mon popotin pour que je n’aie pas
besoin de lui en trouver. Et comme, même en dehors de ces moments
d’autorité conjugale, il reste assez empressé à remplir ses
devoirs conjugaux, il n’est pas nécessaire que mon inconduite ne
l’y pousse. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
vous laisse sur ces bonnes paroles, ma toute douce, en formant le vœu
que votre propre époux découvre quelques une de vos vilenies qui
vous vaudront une séance cuisante … puis apaisante !</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre
tendre et attentive amie</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Caroline.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1882_579450151"></a>
Chapitre 6 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de
Mme A </b>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc225_805917996"></a>« Et
Lucie … aussi ! »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Lors
d’une soirée chez elle, Anne Charlotte, épouse régulièrement
fessée par son époux, et qui est loin de s’en plaindre, a
remarqué le ton sévère du mari de la belle Lucie L*. Quelques
temps plus tard, celle-ci, qui l’avait invitée à prendre le thé
n’a pas caché qu’en effet, elle faisait elle aussi partie de ces
épouses dont les maris rougissent parfois le postérieur. Troublée
par ces confidences directes, et surtout par le récit d’une fessée
reçue par Lucie devant deux autres couples, elle s’empresse d’en
rendre compte à son amie d’enfance, Caroline, qui, elle, a
découvert plus récemment les affres mais aussi les plaisirs de ces
pratiques.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
toute douce,<br />
Quel bonheur encore une fois de lire votre lettre,
que vous m’avez fait attendre, vilaine que vous êtes. Mais je
comprends bien qu’avec un époux tellement empressé auprès de
vous, vous n’ayez pas trop de loisir pour écrire à votre vielle
amie qui en est réduite trop souvent à relire vos courriers
précédents et à imaginer, avec les conséquences que vous devinez,
vos moment de tendresse et de passion. Encore qu’il ne faut rien
exagérer, et si, en effet, mon mari n’est plus aussi vigoureux
qu’au début de notre relation, ni que je le voudrais parfois, il
reste, j’ose dire le mot, un amant tout à fait empressé et même,
je le pense bien que je n’ai pas vraiment d’élément pour
comparer, talentueux. Je ne sais d’ailleurs si le hasard des
rencontres nous a amené, vous et moi, à trouver des maris faits sur
le même modèle ou si tout les hommes se ressemblent, mais il me
semble qu’en effet, votre mari et le mien ont plus d’un point
commun. Et en particulier cette attirance curieuse pour le verso de
nos anatomies, et pas seulement pour les fustiger. Peut-être est-ce
parce que je suis un peu plus avancée en âge et en expérience que
vous, ma petite, mais moi j’ose écrire le mot que vous ne parvenez
pas à tracer sur le papier : oui mon mari aime m’enculer. Voilà,
c’est dit. Et, comme le vôtre si j’ai bien compris, il aime à
me faire partager verbalement son enthousiasme dans ces moments de
pénétration arrières. Il est vrai que ce cher homme, plutôt
silencieux dans la vie ordinaire, est assez expansif dans ces moments
là. Et il aime, en effet, à commenter ce qu’il est entrain de
faire, et que pourtant je en peux pas ne pas savoir ! Peut-être
vais-je vous choquer (encore que je doute de la chose, vous
connaissant un tout petit peu mieux maintenant) mais je suis assez
troublée moi aussi par ces mots qui, en effet, ne font pas partie du
langage convenu des salons. Mais quoi, pourquoi nierai-je être
quelque peu bouleversée par ces annonces faites d’une voix
rauque : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« je
vais t’enculer bien à fond ! Je vais te bourrer le cul ma
petite salope ! </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
Voire ces ordres impérieux : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« présente
bien ton cul que je le bourre »</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
ou ces questions presque naïves : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« tu
la sens bien là ?»</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
(Comment pourrais-je ne pas sentir cette tige épaisse qui me dilate
le fondement ?) ou encore ces promesses, heureusement suivies de
concrétisations : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« je
vais venir …je vais jouir…je vais tout t’envoyer dans le cul !,
je vais t’emplir …</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Eh oui, ma chère petite, ce Monsieur de V*, si bien élevé, qui
sait pratiquer le baise main quand il convient, qui emploi un langage
châtié si ce n’est parfois même recherché, sait fort
opportunément oublier ces conventions de langage au moment qui
convient. Et pour tout vous dire, même si l’habitude ne m’est
venue qu’au cours des ans, il m’arrive de perdre aussi assez le
contrôle de moi-même pour l’encourager sans plus de retenue par
de grands </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« bourre
moi, met le moi, baise moi, donne moi tout mon amour ! </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
qui contribuent, je pense, pour beaucoup à ragaillardir le monsieur.
Et pour en finir sur ce chapitre, je dois vous avouer que la
conjugaison de ces manières d’exprimer nos enthousiasmes
réciproques, ajoutés aux soupirs et aux feulements causés par le
plaisir, quand ce n’est pas aux claquements de la main de l’un
sur les fesses de l’autre, m’ont amenés parfois à rougir
quelque peu en débarquant dans la salle du petit déjeuner d’hôtel
où nous avions passé une soirée épicée. <br />
Mais je vous
raconterai cela une autre fois. Il me faut pour aujourd’hui ne pas
oublier de poursuivre ma narration des aventures supposées – et
vous allez le voir confirmées – de ma nouvelle amie, Lucie L* dont
je vous ai déjà parlé. Vous vous souvenez peut-être que, à la
manière dont son mari s’était adressé à elle, et à l’effet
que cette voix avait eu sur son comportement, je m’étais demandé
si Monsieur L *, un homme assez séduisant, plus vieux qu’elle,
mais portant beau, avec un regard bleu acier assez troublant ma foi,
ne faisait pas parfois preuve d’autorité sur son épouse, une
jolie petite bécasse, un peu rondouillette mais tout à fait
adorable au demeurant. Quand j’avais fait allusion à la manière
dont s’était terminée cette soirée chez nos amis, il m’avait
semblé qu’elle s’était un peu troublée. Pourtant, c’est elle
qui a pris l’initiative de m’inviter à un thé chez elle, et
bien entendu j’ai répondu à son invitation. Première surprise
pour moi – agréable vous allez comprendre en quoi – il ne
s’agissait pas d’une sempiternelle réunion de dames par laquelle
il nous arrive de nous débarrasser en une seule fois d’une tripoté
d’invitations à rendre et où personne n’écoute vraiment
quiconque. J’étais la seule invitée, et la jolie Lucie m’a dit
dés mon arrivée :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Nous
ne serons que vous deux, madame, ainsi nous pourrons parler
tranquilles</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Pourtant,
bien sur, rien n’indiquait qu’elle avait en tête d’aborder le
sujet qui m’intriguait. Aussi ne me suis-je pas lancée d’emblée
sur ce terrain, persuadée qu’il me faudrait développer des
trésors d’ingéniosité et d’allusions pour espérer amener ma
belle sur le terrain qui me convenait. Et bien pas du tout. Dés
que, au détour d’une phrase et comme par inadvertance, j’ai
abordé la question des maris parfois autoritaires, elle s’est
lâchée sans la moindre réticence, me répondant tout de go :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« Ah
bien sûr, en épousant Pierre, je savais à quoi m’en tenir en
matière de discipline. Mais comme mes parents pratiquaient de même
depuis toujours, j’avais si j’ose dire les fesses entraînées ! »
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
je vous assure que cela était dit avec le plus grand naturel, sans
la moindre rougeur aux joues, comme si, après tout, elle me
renseignait sur les goûts de son mari en matière de cuisine ou de
musique ! Et à partir de là, je n’ai pratiquement plus eu
besoin de relancer mon amie pour qu’elle me raconte par le menu son
expérience en la matière. Les fessées enfantines données par les
nounous puis ses grandes sœurs dûment chapitrées par les parents
quand elles gardaient leur cadette « et elles avaient intérêt
à ce que nous soyons sages, sinon c’est elles qui prenaient la
raclée au retour des parents. » Puis la découverte de la
large ceinture de cuir pendue dans l’entrée de la maison et dont
l’utilisation sur le derrière des filles marquait dans la famille
la sortie de l’enfance, à douze ans, juste après la première
communion. Et la belle de commenter : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« Bien
sur, c’est tellement plus douloureux que les fessées reçues
jusque là, je le savais pour avoir entendu les cris de mes sœurs
quand elles y avaient droit, mais en même temps, j’étais presque
impatiente d’être moi aussi une grande. Je sais bien que pour la
plupart des gens, aujourd’hui, cela est complètement fou, mais
chez nous cela</i></span></span><span style="font-size: medium;"><i>
</i></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>paraissait
normal. Cela arrivait à mes sœurs, à mes cousines, et même à
maman et à mes tantes – de la part de mon grand-père puis de
leurs maris bien sûr – et aucune d’elle ne s’en cachait. </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
Vous imaginez vous, ma très chère, cette jolie blonde, aux formes
généreuses (je dois dire que sa chute de reins donnerait envie à
des moins acharnés que nos propres maris tant elle est ronde et
pleine) qui me tient ce langage tout en sirotant son thé avec
distinction ? Et qui continue sur le même ton, m’expliquant
qu’après tout, le mariage n’avait eut comme conséquence que de
passer d’une autorité à une autre, elle aussi cinglante. Vous
vous doutez que je ne perdais pas une miette de ce récit, et je vous
avoue qu’il m’apparaissait tellement impudique que je sentais une
crispation au creux de mon ventre, et une rosée naître un peu plus
bas. Pourtant je me gardais bien d’interrompre mon amie, la
relançant seulement parfois d’un hochement de tête ou d’un
prudent </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« vraiment</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> ? »Et
je fis bien puisque c’est ainsi qu’elle me confia, toujours avec
son regard clair et innocent, que non seulement il lui était arrivée
de recevoir la fessée de son mari en présence de ses sœurs plus
âgées, mais aussi du mari de l’un d’entre elles, et même,
mais là, quand même, j’ai cru voir une rougeur apparaître sur
ses joues, d’avoir été fessée au cours d’un repas chez eux, en
présence de deux couples d’amis. Et comme je m’étonnais :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« mais
il ne vous a quand même pas</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
… »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Elle
me répondit presque sans ciller :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« oh
si, bien sûr j’ai bien tenté de lui demander de reporter la chose
à plus tard, et au mois de ne pas me déculotter, mais rien ne l’a
fait changer d’avis </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
elle avait donc fini par se plier à l’exigence de son mari, et
avait été fessée après avoir été déculottée devant leurs
convives. Elle m’avoua que ces instants avaient été difficiles à
vivre, mais ajouté qu’après qu’elle se soit relevée et
reculottée, l’un des maris présent avait félicité le sien pour
son caractère « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>et
vous petite madame pour votre obéissance, qualité tellement rare
aujourd’hui</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »Et
il avait ajouté qu’il ne serait pas normal qu’elle soit la seule
à en faire preuve. Il s’était alors tourné vers sa propre femme,
une dame d’une cinquantaine d’année, très « bon chic bon
genre », en disant : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« ma
chérie, comme de toutes manières tu la recevras ce soir, je pense
que se serait une belle preuve d’amitié pour Lucie que d’accepter,
comme elle, d’y passer maintenant </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
L’épouse s’était alors levée, elle s’était approchée
d’elle et avait murmuré : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« c’est
pour vous, pour vous seule, que j’accepte, vous savez. Mais vous
avez été courageuse, et surtout vous avez compris qu’il n’y a
pas d’humiliation à obéir, mais aussi de la grandeur, je veux
vous le montrer à mon tour.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Elle s’était alors dirigée d’elle-même vers son mari, avait
elle-même remonté sa robe, puis baissé sa culotte jusqu’aux
genoux avant de se pencher, mains aux genoux, présentant ses fesses
à son mari. Lucie était encore émue en me racontant ce qu’elle
appelait « le cadeau » que lui avait ainsi fait celle qui
depuis est devenue une de ses plus proches amies. Elle avait reçue,
selon les mots même de ma nouvelle amie, « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>une
volée bien plus sévère que la mienne sans presque lâcher un cri</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Mais son visage ruisselait de larmes quand son mari lui avait enfin
donné l’autorisation de se relever. Elle l’avait fait, puis
avait entamé une sorte de danse sur place en se frottant les fesses
qui étaient devenues cramoisies, avant de remonter sa culotte, de se
moucher en reniflant, puis de revenir s’asseoir au salon pour
partager le café et les liqueurs. Quand à l’autre épouse, qui
n’avait pipé mot sur le moment, elle avait tout simplement déclaré
quand ils se quittaient : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« la
prochaine fois, c’est nous qui invitons n’est ce pas ? Et …
je ne serais pas en reste.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et quelques semaines plus tard c’est au moment de l’apéritif,
chez elle, que cette femme a reçu ce que les deux autres femmes
avaient subies ajparavant. » <br />
Vous voyez, ma toute douce,
que si les hommes sont parfois de drôles d’animaux, nos consœurs
sont parfois aussi étonnante. En tout cas, je pense que je vais me
faire de cette petite Lucie une vraie amie. Je vous avoue qu’elle
m’avait d’abord semblé un peu, comment dire, bécasse. Mais,
après cette après-midi passée en sa compagnie, je suis largement
revenue sur mon jugement. Elle est peut-être seulement étonnamment
« nature ». En tout cas elle assume parfaitement sa
condition, sans honte ni forfanterie, et en tout cas sans le moindre
soupçon de perversité. Par contre il me semble qu’elle est aussi
sans une once de pudibonderie, si ce n’est même de pudeur. Ainsi,
quand elle me parlait de l’usage fait par son mari de la large
règle en bois qu’il utilise dans son métier d’architecte, elle
a tout bonnement relevé sa jupette pour me faire constater les
marques violettes. Certes, elles défiguraient un peu le joufflu de
la belle. Mais, mon dieu qu’elle a de belles fesses ! A en
être jalouse ! Je vous avoue que quand j’ai regagné ma
voiture ma petite culotte était trempée. Une fois encore, j’ai du
céder à mes coupables penchants. Si d’aventure vous y cédiez
aussi en lisant la présente, j’en serais ravie, ma belle.<br />
Votre
amie pour toujours.<br />
</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"><i>Anne
Charlotte. </i></span></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1884_579450151"></a>
Chapitre 7 :<br />
<b> </b><b>Lettre de Mme A à son amie Mme De
V**</b></h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Caroline
répond à la lettre de son amie Anne Charlotte, qui lui a fait
découvrir qu’elles n’étaient pas les seules épouses de leur
monde à avoir parfois les fesses claquées par leurs époux. Elle
brûle d’en savoir plus, mais elle expose aussi sans rien cacher le
trouble qu’elle ressent quand son mari la prive de culotte</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc227_805917996"></a>« Sans »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Ma
bonne amie, </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Si
j’en crois votre dernière lettre, nous allons bientôt pouvoir
fonder une amicale des épouses de maris sévères ! Et il me
semble bien que votre nouvelle jeune amie mériterait sans conteste
d’en prendre la présidence, si toutefois les titres sont
distribués en fonction des « mérites »Finalement, si
nous nous comparons à elle, nos maris sont presque de doux
compagnons ! Certes, je ne peux mesurer la sévérité des
fessées que reçoit cette jeune épouse à la seule lecture d’un
récit de deuxième main en quelque sorte. Mais si cuisantes que
soient celles que je reçois de mon cher époux, au moins sont elles
toujours reçues dans la stricte intimité de notre ménage et, fort
heureusement, vous êtes la seule à connaître ce coté de ma
personnalité. Et si vous ne m’avez rien caché, il en est de même
pour vous. Mais comme, de votre coté, vous semblez être la seule de
nous trois à connaître la morsure des lanières, je vous intronise
sans barguigner vice-présidente (mon Dieu que ce mot vous va bien !)
et je vous assure que je ne tiens pas à ce que les progrès
éventuels de mon mari m’amènent à revendiquer une place plus
éminente. Car il progresse, le bougre ! Pas vraiment en
sévérité, mais au moins en imagination. Je m’explique. Je vous
ai raconté comment, lors d’une fessée bien méritée et presque
provoquée, il m’avait interdit de remettre ma culotte avant de
partir à cette soirée. Tout au long de celle-ci, c’est donc à
la fois les picotements consécutifs à la manière dont il avait été
traité, et le contraste avec l’air frais arrivant directement sur
lui, qui ont fait que je ne pouvais penser à autre chose qu’à mon
pauvre derrière. Je sais que vous pouvez comprendre la difficulté
de suivre une conversation ordinaire avec les fesses encore
brûlantes. Il me fallait en plus faire attention à ne pas grimacer
quand je changeais de position. J’entends déjà votre objection,
je n’avais qu’à ne pas rester assise. C’est vrai que dans les
heures qui suivent les séances dont son tant amateurs nos époux, il
est préférable de rester debout. Sauf que je vous assure qu’aller
et venir au sein d’un groupe avec l’air tant soit peu naturel
n’est pas si facile quand il vous manque une pièce de vêtement
certes petite mais … essentielle ! Evidement j’avais une
jupe assez longue pour qu’en aucune manière l’absence de la
petite culotte ait pu avoir des conséquences sur ma pudeur. Mais
vous ne pouvez pas savoir combien cette absence est présente à
l’esprit. Chaque fois que j’ai du me lever, j’avais le
sentiment que toute l’assemblée allait savoir que j’étais nue
sous ma jupe. Et quand, au hasard d’un buffet, un ou une autre
convive m’effleurait le dos je sentais une sueur froide jusqu’au
creux de mes reins. Je dois d’ailleurs à la vérité de dire que
mon cher mari, par les quelques plus ou moins discrètes caresses
prodiguées à mon envers n’a pas contribué à ce que j’oublie
l’état de celui-ci. Et peut-être la qualité de la conclusion
dont je pense vous avoir déjà fait état, n’est elle pas sans
rapport avec le fait que Monsieur avait su pendant toute cette soirée
mondaine et pour tout dire quelque peu ennuyeuse que sa chère moitié
cachait un derrière tout rouge sous sa sage jupe grise ! Je le
pense d’autant plus que ce qui avait été, me semble-t-il, une
décision ponctuelle, motivée par le fait que j’avais été fessée
à la va-vite presque sur le seuil de notre maison, est devenu très
rapidement une habitude, pour ne pas dire une règle. Déjà
auparavant, quand il arrivait à mon mari de se montrer autoritaire
le soir à la maison, il m’était arrivé, sans même qu’il ait
besoin de m’y contraindre, de ne pas remettre ce que j’avais du
retirer pour lui laisser libre accès à son terrain d’activités.
D’autant que le plus souvent il l’avait fait dans notre chambre
alors que j’avais déjà revêtu ma tenue de nuit. Il a d’ailleurs
eu, un soir, l’élégance de me dire que s’il regrettait de ne
pas avoir à baisser cette petite culotte il me trouvait
« craquante » quand il avait à relever ma longue chemise
de nuit en pilou. Dois-je vous avouer que j’en avais été fort
fière ? Et même quand il m’était arrivé de recevoir ce
qu’il estime mon dû au rez -de-chaussée, dans son bureau le plus
souvent, alors que nous étions seuls à la maison, je ne m’imposais
pas le frottement d’un slip sur le postérieur ainsi mit au vif. En
plus cela permet à Monsieur, parfois, comme le vôtre le fait aussi
me semble-t-il, de soulever la jupe ou la robe, voire de me demander
de le faire, pour juger de l’évolution des couleurs de ce qu’il
a appelé un jour « le soleil couchant ». Mais
maintenant, c’est pour lui une conséquence quasi obligatoire de la
fessée : je suis « interdite de culotte » Ainsi il
m’arrive d’être punie un soir et de l’entendre dire, en
conclusion de la séance, « et demain tu es privée n’est-ce
pas ? » Et croyez moi, il veille à ce que son ordre soit
respecté. La première fois qu’il a lancé ce commandement, j’ai
pensé qu’il plaisantait, et en tout cas le lendemain la chose
m’était sortie de la tête. Mais quand il est rentré, le soir,
avant même de m’interroger sur ma journée, il a plaqué ses mains
au « bon endroit », a froncé les sourcils, relevé à la
volée le bas de ma robe, et découvrant la petite culotte que
j’avais enfilée, sans penser à mal, le matin, il s’est écrié
que « puisque j’avais décidé de ne pas obéir » il
allait s’expliquer plus clairement. Et j’ai pris derechef une
fessée mémorable qui m’a enlevé toute envie de remettre un slip
non seulement le soir même mais à chaque fois qu’il me
l’interdirait. C’est ainsi des jours entiers qu’il me faut me
passer de ce petit morceau de tissus fin dont on ne comprend
l’importance … que quand on en est privée. Quand je reste à la
maison, ma fois, c’est de peu d’importance. Mais quand nous
sortons le soir, c’est arrivé plusieurs fois, ou quand il lui
prend la fantaisie de se montrer sévère à l’heure du déjeuner
alors que je visite des amies l’après-midi, je revis ces heures
d’angoisse au cours desquelles je ne cesse de me demander si « ça »
ne pourrait pas se voir ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Mais
j’ai assez parlé de moi ! parlez moi donc de vous, ma chère,
et surtout, parlez moi encore de cette petite Lucie . Je vous
avoue que je brûle d’en savoir plus sur cette fessée reçue
devant autrui. Et plus encore sur celle reçue par une autre épouse,
jusque là épargnée si j’ai bien compris. Vous en a –t-elle dit
plus ? J’attends votre prochaine lettre avec l’impatience
que vous devinez, et je vous embrasse en vous suggérant d’embrasser
en mon nom cette gentille Lucie !</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre
tendre</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: large;"><i>Caroline</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1886_579450151"></a>
Chapitre 8 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de
Mme A </b>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc229_805917996"></a>« En
public ! »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Anne
Charlotte, épouse régulièrement fessée par son mari, poursuit sa
correspondance avec son amie d’enfance, Caroline. En réponse aux
questions insistantes de celle-ci, elle revient sur les confidences
d’une troisième femme, Lucie, qui, elle, a été fessée par son
mari en présence de deux autres couples.
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mon
Dieu que j’aime votre fraîcheur ! Que j’aime votre
explication sur la fraîcheur de l’air sur les rondeurs privées de
slip ! Eh oui, on « ne pense qu’à cela », je
sais ! Et pourtant, en effet, en principe personne ne s’en
aperçoit. Sauf que nos hommes, eux, le savent. Et que, je constate
par votre récit que le mien n’est pas le seul, cela les met en
appétit ! Mais oui, ma belle, je vous taquine ! Bien sûr
qu’il m’est arrivé, moi aussi, de ne rien porter sous mes jupes
ou sous mes robes. La différence avec vous c’est que cela ne
m’arrive pas seulement après les séances autoritaires de mon
mari. Pour tout dire, il lui arrive assez souvent de me « demander »
(mais vous savez qu’avec nos hommes, leurs « demandes »
sont comme des ordres) d’oublier de mettre ma culotte, surtout
quand nous sortons en soirée. Et, tout comme vous, sa main rencontre
alors plus souvent que nécessaire le tissu qui moule mes fesses sans
autre protection. Je ne vous cacherai pas qu’il m’est arrivé
parfois de frôler l’incident. Par exemple quand, fort détendue,
et peut-être ayant un tout petit peu profité du champagne servi
sans limitation, je me suis mise à danser en oubliant que quand ma
jupe voletait par trop … Ou encore quand il m’est arrivé, chez
des collègues de mon mari, d’être assise dans un fauteuil très
bas et de surprendre tout à coup le regard d’un des hommes présent
et qui semblait se perdre en haut de mes cuisses. Mais au total,
après tout, rien ne me prouve que qui que ce soit ne s’en soit
jamais vraiment rendu compte. Encore qu’avec le temps, le regard de
mon cher mari est devenu fort acéré. Même sous un vêtement ample,
je ne sais pas comment il fait mais il est capable de savoir si j’en
ai une ou pas au premier coup d’œil. Ce qui m’a valu quelques
belles fessées les fois où j’en avais enfilé une malgré ses
ordres, et quelques caresses fort tendres quand, au contraire,
j’avais pris de moi-même l’initiative de ne pas en mettre. Tout
cela pour vous dire, ma toute belle, qu’il n’est même plus
nécessaire que j’en sois privée pour m’en priver ! </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Venons-en
à ma chère Lucie et à ses confidences tellement émoustillantes.
Je vous ai raconté dans ma dernière lettre comment son mari l’avait
punie en présence de deux autres couples, et comment une autre
épouse avait accepté de faire de même. Visiblement cette soirée
est restée, et on le comprend, gravée dans la mémoire de ma jolie
amie, et elle y est revenue plusieurs fois lors de nos conversations.
Il faut vous dire que je fais tout pour ramener « la question »
sur le tapis et que je n’ai pas caché à cette jeune femme que
moi, qui suis plus âgée qu’elle, subis souvent et depuis
longtemps le même traitement de mon mari. J’ai même ajouté, vous
me le pardonnerez j’espère, qu’une autre de mes amies,vous ma
tout belle, avez découvert plus récemment cette drôle d’habitude
qu’ont les maris de nous faire rougir le popotin. Et je dois vous
dire qu’elle a été fort intéressée par le récit de votre
découverte, et qu’elle est aussi curieuse de votre expérience que
vous l’êtes de la sienne. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Elle
m’a donc raconté par le menu cette première fessée reçue « en
public » comme elle le dit de manière charmante. Son mari,
elle en convient, l’avait prévenue, après l’avoir punie comme
vous le savez pour son attitude lors de la soirée chez nous, que
« la prochaine fois je n’attendrai pas d’être rentré à
la maison » Et même si elle n’avait pas véritablement
compris qu’il la menaçait d’une fessée immédiate et devant
témoin, elle avait, dit elle, fait attention à ne plus donner de
raisons de fâcherie à son mari. Ou au moins, comme elle le précise
« je veux dire à l’extérieur, à la maison il n’a jamais
vraiment renoncé ! » Mais comme elle le dit elle-même
« c’est plus fort que moi » et lors d’une soirée
chez un autre collègue de son mari, elle a récidivé sans même
s’en rendre compte. Cette fois, outre le couple qui invitait, un
autre couple était présent. La maîtresse de maison étant fort
occupée par le service participait peu à la conversation, et
l’autre épouse, une dame d’une cinquantaine d’année plutôt
réservée, parlait très peu elle aussi. C’est donc notre belle
écervelée qui a monopolisé la parole, intervenant sans cesse,
coupant la parole à son mari et surtout lui apportant la
contradiction, ce qu’elle savait pourtant lui être insupportable.
Jusqu’à ce que le dit mari la regarde dans les yeux et lâche le
fameux </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« cette
fois nous n’attendrons pas d’être rentrés tu sais</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> ! »
avant de reprendre la conversation avec ses amis sans plus de
commentaire. Bien entendu, la belle avait compris ce qu’elle
pensait encore être une menace mais se l’était tenu pour dit et
n’avait plus dit un mot. A tel point que, quand ils étaient passés
au salon pour le café, l’hôtesse s’était inquiétée de la
voir « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>aussi
silencieuse depuis tout à l’heure</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Lucie avait bafouillé une vague explication, mais c’est son mari
qui avait tranquillement déclaré </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« Lucie
s’inquiète un peu chère amie parce qu’elle sait qu’elle va
recevoir la punition qu’elle a bien méritée par son attitude</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »Un
peu interloquée, mais en le prenant sur le ton de la plaisanterie,
la dame avait répliqué </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« vous
ne voudriez quand même pas punir une aussi charmante enfant !</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
ce à quoi le mari avait répondu </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« mais
bien sûr que si, madame. Comme vous le dites vous-même, Lucie se
comporte comme une enfant, il est donc bien normal qu’elle soit
punie comme telle, si Georges et vous-même me le permettait bien
entendu</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et avant que la dame n’ait pu répondre c’est son mari qui avait
dit « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Vous
être nos invités, vous faites comme chez vous, mon cher »</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
Il ne se l’était pas fait répéter et, en s’asseyant sur un des
fauteuils du salon avait simplement dit « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>je
vous remercie, Lucie va donc recevoir sa fessée tout de suite. Viens
te mettre en place ma chérie </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
La belle Lucie avait tenté d’échapper à son triste sort en
bafouillant « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>mais
non ..pas ici…s’il te plaît …nos amis …à la maison si tu
veux</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
avouant ainsi, mais elle ne s’en est avisée que par la suite,
qu’elle était en quelque sorte habituée à la chose. Mais son
mari l’avait coupée d’un très sec « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>cela
suffit Lucie. C’est tout autant nos amis que moi que tu as
indisposés, il est juste que tu sois punie en leur présence.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
D’un geste qu’elle connaissait fort bien, il l’avait
« invitée » à le rejoindre, l’avait fait s’allonger
au travers de ses genoux, avait tout de suite relevé sa jupe et
s’était mis à la fesser exactement comme s’ils avaient été
dans leur chambre. Comme de coutume il avait appliqué une vingtaine
de claques par-dessus la culotte, puis elle avait senti avec effroi
ses pouces se glisser sous l’élastique de celle-ci. Elle avait
bien tenté de couiner et de l’implorer </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« non..s’il
te plaît..pas la culotte, pas devant tout le monde »</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
mais une fois encore, implacable il avait répliqué « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>une
fessée se reçoit déculottée, tu le sais très bien, et nos amis
aussi, j’en suis persuadé. Ne fais pas l’enfant, sinon tu sais
que ce sera plus long !</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> ».
Lucie en convint elle-même, ce ne fut pas, et de loin, la fessée la
plus sévère qu’elle ait reçue, même si ce ne fut pas non plus,
et loin de là, un simulacre. Mais comme le dit la belle
insupportable elle-même, « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>la
situation était tellement nouvelle pour moi, tellement presque
incroyable, que je ne me souviens presque pas de la douleur. Je
m’appliquai surtout à ne pas laisser le moindre cri m’échapper.
Et ce n’est que lorsque mon mari m’a fait relever que je me suis
renduecompte que mes joues étaient trempées de larmes.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
A</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>
peine relevée, je me suis empressée de tenter de remonter ma
culotte. Mais, fidèle à ses habitudes, mon mari me l’a interdit </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
Elle s’était donc retrouvée debout, les bras ballants, le slip
tombé aux chevilles. Son mari l’avait alors autorisée à se
rasseoir, non sans lui intimer l’ordre, d’un geste de l’index,
de lui donner sa petite culotte qu’il avait glissée dans sa poche.
Lucie avait obéi, non sans s’être furtivement frotté les fesses
avant qu’elles ne touchent le canapé. Elle avait gardé les yeux
baissés, n’osant pas croiser le regard des autres. C’est alors
que le maître de maison a pris la parole :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Mon
cher, je vois avec plaisir que vous êtes de ces hommes qui
maintiennent des traditions auxquelles mon épouse et moi sommes très
attachés. Votre charmante épouse s’est conduite comme une gamine,
beaucoup de maris soi disant évolués et modernes lui en auraient
fait le reproche une fois rentrés à la maison. Et vous, chère
petite madame, vous auriez dû subir d’interminables réprimandes.
Alors qu’ici les choses ont été réglées promptement, sans cris,
sans aigreur. Et si votre mari me le permet, je vous félicite aussi,
chère Lucie. L’obéissance est une qualité rare de nos jours.
Vous avez reçu votre fessée avec beaucoup de dignité. Et je pense
que vous méritez de ne pas être la seule à témoigner ce soir de
ce qu’une épouse doit parfois subir.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Il s’était alors tourné vers son épouse et avait dit : «</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>tu
sais que nous avons des choses à régler nous aussi, et comme je
n’ai pas voulu t’empêcher de préparer notre repas j’avais
prévu que nous le ferions après le départ de nos amis ou demain.
Mais il me semble qu’il serait correct envers notre jeune amie de
nous exécuter tout de suite»</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
L’épouse avait hésité un instant, puis sans un mot s’était
levée, et s’était dirigée vers le siège où son mari était
assis. Elle ne lui avait pas répondu directement, mais s’était
arrêtée devant Lucie et avait murmuré « C</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>’est
pour vous, pour vous seule, que j’accepte, vous savez. Mais vous
avez été courageuse, et surtout vous avez compris qu’il n’y a
pas d’humiliation à obéir, mais aussi de la grandeur, je veux
vous le montrer à mon tour. Pour vous confirmer qu’il n’y a
pas de honte, mais de la fierté à être fessée par l’homme qu’on
aime.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et, sans même que son mari n’ait eu à le lui demander, elle avait
relevé sa robe pourtant plutôt longue jusqu’au dessus de sa
taille et s’était penchée, les mains posées sur la table basse
du salon, le derrière tourné vers son homme. Celui-ci s’était
alors levé, mais avant de commencer ce qui apparaissait comme
maintenant inévitable, il avait dit avec un sourire que Lucie
qualifiait elle-même de «craquant » : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« Pour
te féliciter de ta décision, et à titre tout à fait exceptionnel,
je t’autorise à la baisser toi-même ma chérie</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et son épouse de répondre, la voix quand même un peu étranglée
« </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>merci,
Monsieur</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »,
puis de s’exécuter, faisant glisser la culotte beige jusqu’à
ses pieds, puis la retirant complètement avant de, tout simplement,
la poser sur le dossier de la chaise puis de reprendre sa position,
le corps plié en deux, la robe coincée sous ses coudes contre son
corps, les deux mains tenant l’assise de la chaise. Le maître de
maison s’était alors levé, il s’était placé à coté de sa
femme, avait posé la main gauche au creux de ses reins, et de la
main droite s’était mis à la fesser méthodiquement. Il
s’appliquait, claquant alternativement chaque fesse, d’un
mouvement ample, régulier, comme un métronome. Le derrière de
madame Legoulle était moins rond et moins plein que celui de Lucie.
Même si elle restait une très belle femme, le temps avait fait son
œuvre, faisant perdre à cette paire de fesses un peu de sa fermeté
et de son insolence. Les assistants avaient pu constater que les
claques semblaient plus « s’enfoncer » dans ce derrière
que dans celui, plus ferme, plus dur, plus résistant peut-être, de
Lucie. Autant celui de celle-ci semblait une boule de granit sur
lequel les coups claquaient comme des pétards, rendant un bruit
clair de coup de fusil, autant celui de cette dame fort digne
semblait amortir chaque claque, se déformer, marquer l’impact de
la main une fraction de seconde, et rendre un bruit plus mat, comme
étouffé. Par contre, alors que Lucie avait réussi, en serrant les
dents à en avoir mal à la mâchoire, à ne pas lâcher le moindre
cri, autant l’épouse scandait chaque claque d’un petit cri,
bref, un peu étouffé. Une sorte de jappement qui alternait avec le
bruit des chocs entre la main large du mari et ce cul qui tremblotait
en rythme. « vlan » « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>aie </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
« vlan » « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>hiii </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
… Inconsciemment peut-être, Lucie avait gardé les jambes collées
l’une à l’autre, les fesses serrées, réussissant ainsi à
laisser cachée son intimité. Et quand la fessée avait été
terminée, elle avait réussi à se tourner de telle manière qu’elle
avait pu se frotter les fesses sans que les assistants ne voient
vraiment le coté pile de son individus. Seule la femme qui était
maintenant courbée et copieusement fessée et qui se trouvait alors
face à elle avait pu entrevoir brièvement son ventre et son sexe
couvert seulement d’une petite bande de duvet blond et frisé. La
belle Lucie avait en effet soin de sa petite chatte, l’épilant en
grande partie, à la seule exception de cette bande étroite que son
mari avait un jour qualifiée de « coiffure de Huron »
par référence à la manière dont, affirmait-il, les indiens de
cette tribu se coiffaient. Au contraire, quand monsieur Legoulle
avait cessé de tanner la peau des fesses de son épouse et lui avait
annoncé </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« tu
peux te relever et calmer la chaleur</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
elle s’était redressée, et sans chercher un instant à cacher la
touffe frisée qui ornait son bas ventre, s’était mise à se
frotter les fesses tout en piétinant sur place en une sorte de danse
rituelle. Lucie avoue avoir été troublée par le contraste entre la
maîtresse de maison distinguée, attentive, presque guindée qui les
avaient reçus, et cette femme nue jusqu’à la ceinture, se
frottant les fesses cramoisies, aux cuisses larges et dont l’intimité
disparaissait derrière un buisson épais et dru. . Son mari
s’était alors levé, en déclarant « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>nos
petites femmes ont été bien courageuses, nous allons boire le
champagne en leur honneur</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et la soirée s’était ainsi terminée autour des coupes de
champagne, la conversation reprenant, au moins entre les hommes,
comme si cet intermède de femmes fessées n’avait jamais existé.
Sauf qu’au moment de se séparer, la troisième femme, jusque là
fort discrète avait embrassé sur les deux joues les deux autres
puis leur avait murmuré : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« La
prochaine fois, c’est nous qui invitons, n’est-ce pas »</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
Puis elle avait ajouté, « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>et
je ne serai pas en reste </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
Et les trois couples s’étaient séparés sans que nul ne
s’inquiète de savoir ce qu’elle voulait dire par là. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma chère, je pense que je vous ai retracé assez fidèlement ce que
la belle Lucie m’a raconté finalement sans beaucoup se faire
prier. Je me demande même si elle n’y a pas pris un certain
plaisir. Après tout, peut-être que cette belle ingénue cache un
tempérament quelque peu exhibitionniste ? Pour ma part je vous
avoue qu’entendre cette belle plante décrire ainsi par le menu non
seulement comment elle avait été fessée mais aussi comment l’avait
été l’autre dame, plus âgée que moi m’a fort troublée. Je
crains d’ailleurs que ma jeune amie s’en soit douté puisque,
quand nous nous sommes séparées elle m’a glissé innocemment:
</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« merci
pour ce moment agréable ma chère. Mais j’espère que nous nous
reverrons bientôt. J’aimerais vous avoir à dîner un soir, avec
votre mari je suis sûre que nous passerions une délicieuse
soirée</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Je ne sais pas ce qu’elle avait en tête en disant cela, je ne suis
même pas crtaine qu’elle ait fait le lien avec le récit de cet
autre dîner, mais je vous avoue que, sans être en rien prête à
« passer à l’acte » il m’est venu quelques images
furtives qui ont eu sur mes sens la conséquence que vous devinerez
….</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">En
espérant que vous aussi aurez les sens allumés, je vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre
tendre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A.C.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1888_579450151"></a>
Chapitre 9 :<br />
Lettre de Mme A* à son amie Mme De
V*
</h1>
<h2 align="left" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc231_805917996"></a>
« Découverte du martinet »</h2>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-size: x-small;">Anne Charlotte et Caroline
poursuivent leurs échanges épistolaires. Caroline ne cesse de
harceler son amie pour en savoir plus sur les secrets de la belle
Lucie qu’elle n’a jamais vue mais dont elle connaît les
aventures. Elle en profite, elle aussi, pour découvrir d’autres
pratiques et s’en ouvre à sa fidèle confidente.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère et si précieuse confidente,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
vous avez gagné ! Vous l’aviez deviné, la lecture des
confidences retranscrites de cette Lucie que je n’ai jamais vue a
eu le même effet sur moi que leur audition avait eu sur vous. En un
mot comme en mille, elle m’a fait mouiller plus qu’abondamment.
Et vous êtes bien placée pour savoir que dans ces circonstances, il
faudrait être bien bête pour ne pas donner à notre corps ce qu’il
réclame. Eh bien oui, je l’avoue, que dis-je, je le proclame, je
me suis donné du plaisir Je ne vais pas vous en dire plus, je vous
sais assez experte en la matière pour deviner comment. Par contre,
depuis nos derniers échanges, je pense avoir progressé et m’être
rapprochée de votre expertise sur un autre plan. Eh oui, ma chère,
il n’est plus sûr que vous méritiez la préséance sur moi dans
notre club des femmes fessées. Vous ne l’aviez obtenue que parce
qu’étant la seule dont le fondement ait été flagellé autrement
que par la dextre maritale. Vous ne l’êtes plus ! Je connais
depuis quelques jours moi aussi cette autre dimension de la fessée.
Celle procurée par les lanières d’un bon vieux martinet bien de
chez nous. Je vous le dis tout net, et d’ailleurs vous le savez, la
douleur est sans commune mesure avec celle d’une fessée classique.
Même si, je dois le dire, mon mari, toujours attentif, a veillé à
n’user qu’avec mesure de cet instrument aussi nouveau pour lui
que pour moi. Et pourtant, je vous l’avoue, je suis presque fière
de vous avoir en quelque sorte rejointe. Et chaque fois, et c’est
de plus en plus souvent, que mon mari s’occupe ainsi de mon
postérieur, je me demande si je m’approche de ce que vous
connaissez, et aussi de ce que votre jolie amie connaît. Mais mon
Dieu, faut-il croire que toutes les épouses sont ainsi traitées par
leurs maris ? Ou bien est-ce que celles qui le sont ont une
sorte de sixième sens pour se reconnaître entre elles ? J’ai
repensé longuement à ce qu’a eu à subir votre jeune amie lors de
la soirée chez leurs amis. Je ne doute pas qu’être ainsi mise à
nue devant autrui soit une épreuve. Et pourtant, si elle vous la
raconte avec tant de facilité, n’est-ce pas qu’elle y a trouvé
aussi autre chose que de la souffrance et de la honte ? Après
tout ne m’avez-vous pas écrit qu’il vous est arrivé de « la »
recevoir à l’hôtel et de vous demander si d’autres n’en
avaient pas entendu le bruit ? A ce moment là, qu’avez-vous
ressenti ? N’y-a-t-il pas une parcelle de vous qui aimerait
que d’autres sachent que vous la recevez ? Ne vous offusquez
pas de ces questions, ma toute douce, si je vous les pose vous
comprenez bien que c’est d’abord à moi-même que je le fais. Je
ne peux me le cacher, vous décrire les fessées que je prends ne
m’est pas indifférent. Pour le dire plus crûment, cela me met les
sens en feu. Et vous savez comment je tente d’éteindre cet
incendie ! Et, tout en n‘étant certainement pas prête, comme
vous ne l’êtes pas non plus, à « passer à l’acte »
comme vous dites, je ne peux pas nier que l’idée d’être ainsi
fessée devant témoin a été pour moi une source de rêveries
éveillées et fort motivantes pour ma sensualité. A ce propos,
l’invitation chez la belle Lucie et son mari a-t-elle été
confirmée ? Si elle l’est y répondrez vous ?
Préviendrez-vous votre mari des habitudes de ce couple ? A
moins qu’il ne les connaisse déjà ? Dois-je m’attendre à
lire bientôt sous votre plume le récit de la fessée de ma chère
Caroline devant la belle Lucie ? Voilà bien des questions
auxquelles je vous somme de répondre par retour du courrier, sous
peine de mériter de « la »recevoir chaque matin jusqu’à
ce que vous vous soyez exécutée ! Mais j’en reviens à ma
« découverte ». Vous avouerez que c’est curieux, mais
depuis quelques mois maintenant, il me semble que la passion de mon
époux pour la partie charnue de mon individu et sa manie de le
porter à incandescence pour le moindre prétexte se soit subitement
accrue. Il m’arrive parfois de considérer que le rythme
hebdomadaire auquel vos fesses sont soumises à la main de votre mari
soit presque enviable, tant il devient courant que les miennes le
soient plusieurs fois dans la même semaine, et parfois à fort peu
de jours d’écart. A tel point qu’il est courant qu’elles ne se
soient pas encore totalement remises d’une tannée quand il prend à
mon cher tourmenteur l’envie de remettre le couvert. Et si je ne
vous cache pas que la peau a un peu de mal à supporter une volée
quand elle est encore marquée et fragilisée par la précédente, je
ne peux pas nier que le plaisir que prend mon maître et seigneur à
découvrir mon fondement encore marqué par les traces de son œuvre
me console largement des désagréments. D’autant qu’il ne cache
pas alors son admiration pour, si vous me permettez de citer sans
censure ses mots, « ce cul magnifique qui ferait bander un
mort » (sic) Et même si cette admiration se paye en claques
d’autant plus appuyées que leur cible rougeoie plus que le soleil
de l’épouse de Barbe Bleue, elle entraîne aussi d’autres
compensations que je vous laisse deviner. Pour prendre mon mari au
mot, même s’il n’est heureusement pas mort, la vue de mon
derrière ainsi décoré a bien la conséquence qu’il prétend sur
sa virilité. Après tout, peut-être est-ce le fait de dialoguer
avec vous à ce sujet qui m’a amenée à mieux la recevoir ?
Ou bien mon cher mari lit-il dans mes pensées ? En tout état
de cause, la semaine dernière, après une fessée « à faire
pipi par terre » qui m’avait laissé le derrière meurtri à
tel point qu’il m’a été quasiment impossible de dormir sur le
dos de toute la nuit qui a suivi, mon cher mari s’est plaint, sans
rire … d’avoir mal à la main ! Et comme je ne compatissais
pas assez à la souffrance de ce pauvre petit homme, il m’a lancé :
« nous aurions vraiment bien besoin d’un martinet tu sais ».
Phrase laissée sans réponse, et qui n’en demandait d’ailleurs
pas. Phrase qui n’était pas tombée dans l’oreille d’une
sourde, vous le pensez bien. Mais phrase sans suite le lendemain, ni
les jours suivants. Et donc phrase oubliée. Jusqu’à avant –hier,
alors que mon cher mari m’accompagnait en ville pour faire de
courses. Alors que nous passions devant le magasin « Au bonheur
de Madame » (je vous promets que je n’invente pas, c’est
bel et bien le nom de ce magasin qui tient à la fois de la droguerie
et du marchand de vaisselle) il m’a invitée, comme si cela allait
de soi : « Tiens, entre donc, je pense qu’ils en
vendent » Et comme je marquai mon incompréhension il a
précisé, sans même baisser la voix alors que nous étions sur le
trottoir assez chargé de promeneurs, « Eh bien des martinets
!. Tu vas en acheter un, je te laisse le choix s’ils ont plusieurs
modèles. Je t’attends au Café du Prince, nous prendrons le thé
avant de rentrer » J’ai tenté de le dissuader, non pas tant
par refus de l’idée qu’il s’équipe ainsi, d’une certaine
manière j’y étais prête, mais par la perspective de devoir
entrer seule et faire une telle acquisition. Mais j’ai compris que
cela faisait partie du « jeu » pour lui. Il ne l’a
d’ailleurs pas caché, continuant à m’expliquer, toujours à
haute voix pour m’empêcher de faire durer l’explication
« puisque c’est sur toi qu’il va servir, ma chérie, il est
juste que cela toi qui l’achètes non ? Et puis, une bonne
épouse n’a-t-elle pas toujours envie d’offrir à son petit mari
le cadeau dont il a envie ? Surtout si elle sait que ne pas
obéir à une telle demande aurait des conséquences sur … »
Il n’a pas eu besoin de terminer, j’avais tellement peur qu’on
l’entende que je me suis précipitée dans le magasin. Je vous le
disais, recevoir le martinet a été pour moi une vraie épreuve. Une
épreuve initiatique peut-être, mais une épreuve quand – même.
Mais aussi douloureuse qu’elle ait été, et je sais que vous savez
ce que « douloureuse » veut dire en l’occurrence, je
pense sincèrement que le recevoir a été moins difficile que de
l’acheter ! Je vous campe la scène, et vous vous imaginez
votre Caroline déboulant dans ce magasin encombré d’ustensiles
ménagers les plus divers, des balais de crin aux plus belles
assiettes en porcelaine. Et Caro de déambuler à travers les rayons,
le nez en l’air, affectant celle qui se balade sans but précis. Et
soudain, au détour du rayon « animalerie » (je vous
promets encore une fois que je ne ments pas, c’est à côté des
paniers pour chiens et des caisses pour transporter les chats que je
« les » ai trouvés) je tombe nez à nez (si tant est
qu’un martinet ait un nez ?) avec un véritable bouquet de
martinets. Oui, un bouquet. Une bonne dizaine de ces objets étaient
en effet regroupés et suspendus à un crochet. Je m’approche,
l’air de rien, faisant mine d’être passionnée par les jouets
pour chiots. Distraitement j’approche la main, et je touche la
chevelure de cuir. Dois-je l’avouer, ce contact me donne la chair
de poule. Du bout des doigts je palpe ces longues lanières,
tellement lisses d’un côté, et rugueuses de l’autre. Un frisson
glisse de ma nuque jusqu’au bas de ma colonne vertébrale. Je sens
que mon cœur bat plus vite. Je sais que je suis déjà rouge. Et
pourtant, en même temps, je sais déjà que je vais le faire, que je
vais l’acheter. Je sais déjà que je vais sortir avec cet
instrument. Non pas tant parce qu’il me l’a ordonné, parce qu’il
le veut, mais parce que je le veux ! Je le sens jusqu’au plus
secret de moi-même, il me faut cet objet. Je le veux. J’en ai
besoin. Mais auparavant il me reste la vraie épreuve. M’approcher
du comptoir où trône une grosse dame, la cinquantaine, cheveux
ramassés en un chignon très sage, et une poitrine opulente
généreusement offerte aux yeux des amateurs. <br />
« Bonjour
Madame, je voudrais ….euh vous avez des … ». Décidément
le mot ne veut pas sortir. J’indique de la main la direction du
rayon en question mais je bredouille tant que la vendeuse finit par
m’interrompre : <br />
« Vous cherchez quoi, madame ?
je peux vous aider ? » <br />
« Euh..oui..je voulais
voir un …enfin un ..Là-bas … » <br />
« un martinet ?
Mais bien sûr ! » <br />
Mon Dieu pourquoi parle-t-elle
aussi fort ? J’ai l’impression que sa voix emplit le
magasin, où déambulent d’autres clients. Veut-elle vraiment que
toute la clientèle sache que la petite madame vient acheter un
martinet ? Et pourquoi pas le crier tant qu’elle y est :
« Mesdames, Messieurs, cette jeune dame vient acheter un
martinet qui va lui cingler le cul bientôt ! » Le rouge
aux joues, j’acquiesce de la tête. La patronne sort de derrière
son comptoir et se dirige vers le rayon concerné. Elle se saisit
d’une sorte de perche dotée d’un crochet en use habilement,
comme pour décrocher un régime de bananes d’un arbre. Et la voilà
qui étale la dizaine de martinets sur le dessus d’un rayon. Tous
pareils, manche en bois d’une trentaine de centimètres, lanières
de cuir de longueur comparable. Mais en même temps tous différents,
ou presque. Des manches en bois blancs, d’autres colorés, bleus,
jaunes, verts… Des lanières noires, brillantes d’un coté,
d’autres fauves, d’autres beige clair. Et la matrone de demander,
toujours d’une voix de stentor : <br />
« Lequel vous
ferait plaisir, ma petite dame ? »<br />
Me ferait
plaisir ! mais elle le fait exprès ? J’ouvre la bouche
et il n’en sort qu’un vague borborygme. <br />
« Humme..ben…je
ne sais pas … » <br />
Puis comme je ne vais quand même pas
attendre qu’elle me propose un essayage, j’indique à la vendeuse
l’un des objets, au hasard. Manche jaune tirant sur le vert,
lanières bordeaux. Que m’importe la couleur de la chose, je ne
l’achète pas pour le regarder ni pour l’exposer, et celui qui va
l’utiliser non plus. Posément, la vendeuse raccroche le bouquet,
puis se dirige vers la caisse en demandant, presque à la cantonade,
tout en agitant l’objet quasiment au dessus de sa tête, comme s’il
importait que tous les acheteurs et tous les vendeurs du magasin
soient bien informés que « la petite dame » a acheté un
martinet : <br />
« Je vous mets un sachet ? »<br />
Ben non, je vais sortir en le tenant à bout de brs, comme un sac à
main ! Bien sûr que tu me le mets dans un sac en papier !
Dans une sorte de brouillard, je paye, j’attrape le sac, je le
fourre sous mon bras et je me dirige vers la sortie, accompagnée
d’un tonitruant : <br />
« Au revoir, madame, à bientôt
j’espère ! »<br />
Pense-t-elle que je vais l’user
aussi vite qu’il me faudra le remplacer, ou que je commence une
collection ? Me voilà dans la rue, attentive à ce que le dit
sachet se fasse aussi discret que possible, comme si celles et ceux
qui me croisent pouvaient deviner son contenu. Quelques minutes après
je retrouve mon mari attablé devant un demi de bière. Avant même
de me laisser commander mon thé et mon gâteau, il tend la main pour
se saisir du sac. Il aura l’élégance de ne pas sortir l’objet,
mais seulement d’ouvrir le sachet et, tout sourire de me dire :
<br />
« Il est très joli. On va rentrer vite, j’ai hâte de
l’essayer. »<br />
Il a eu la délicatesse de ne pas ajouter
« toi aussi ? » Mais c’était implicite. Et comme
vous pouvez le deviner, moins d’une heure plus tard, les fesses de
votre Caro faisaient connaissance avec la chevelure de l’objet. Mon
Dieu quelle rencontre ! Mais, si vous le permettez, je vous la
raconterai plus tard, pour l’heure il me faut terminer cette
lettre, mon mari m’attend, et il ne serait pas prudent pour mes
fesses de le faire patienter plus longtemps. Dans l’état où elles
se trouvent quarante huit heures après l’inauguration de
« Marcel » (c’est ainsi que mon facétieux de mari a
décidé de l’appeler !) elles ont besoin d’encore quelques
jours de repos, je pense que vous le comprendrez. Sachez juste que
votre Caro est très fière d’être, comme vous, une femme qui
connaît cet autre monde : celui du martinet.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
vous remercie de me l’avoir indirectement fait découvrir, et je
vous embrasse</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Caroline.
</span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1890_579450151"></a>
Chapitre 10 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de
Mme A </b>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc233_805917996"></a>« Lucie,
suites »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Dans
une lettre précédente, Anne – Charlotte a raconté à son amie
Caroline comment son autre amie, Lucie avait reçu une fessée de son
mari en présence de deux autres couples. De son côté, Caroline
découvre de nouvelles étapes dans sa vie de femme fessée. Ainsi,
sur consigne de son mari, elle a acheté un martinet. Elle l’a
raconté à son amie qui continue à rencontrer Lucie qui poursuit
son récit, qu’Anne Charlotte retranscrit à Caroline.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle, </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
n’ai pas besoin de vous dire combien je suis heureuse que, vous
aussi, ayez franchi ce pas ! Heureuse pour vous. Heureuse que
vous connaissiez ce sentiment si particulier. Faut-il plutôt dire
ces sensations si particulières ? Avoir la peau des fesses
flagellée par le martinet, c’est en effet, vous l’avez constaté,
des sensations physiques différentes de celles d’une fessée
manuelle. Même si, au total, une bonne et longue fessée à la main
peut faire aussi mal que quelques coups de martinet, la douleur est
d’une autre nature. Autant la main chauffe toute la surface des
fesses de manière presque uniforme, autant les lanières donnent
l’impression que la peau du cul est en quelque sorte déchiquetée,
labourée, hachée menue. Mais ce n’est peut-être pas là
l’essentiel. Il me semble, vous me direz si vous partagez ce
sentiment, que la différence tient surtout à la relation entre la
personne fessée et celui qui la fesse. En passant de la fessée
manuelle, allongée le plus souvent sur les genoux du mari, au
martinet, reçu souvent debout, penchée sur le dossier d’un siège
ou sur un meuble, il m’a semblé passer d’un statut enfantin à
une position d’adulte. Dans la fessée manuelle, on peut en quelque
sorte « jouer » à être redevenue une petite fille, et
ce « jeu » n’est pas pour rien dans le plaisir qui
accompagne les cris et les pleurs. Mais quand on reçoit le martinet
comme je l’ai reçu de mon homme, on ne peut plus se mentir. C’est
bien une femme, adulte, raisonnable, majeure, qui est ramenée à la
position d’une femme aux fesses nues et offertes, piaillant sous
les coups d’un martinet. Ce n’est plus un derrière enfantin, un
popotin, un « cucu » qui est fessé. C’est le derrière
mûr, large, affirmé, d’une femme tout aussi mûre qui est cinglé
par les lanières. Ce ne sont plus des pleurs d’enfant. Ce sont les
cris d’une femme adulte. On ne peut plus se le cacher, on est une
femme fessée, cinglée, meurtrie, et qui, puisqu’elle se laisse
faire, et même fait en sorte de l’être, aime cela. Il me semble
bien qu’en allant vous-même faire l’acquisition de votre
martinet, vous vous êtres bel et bien mise dans cette position. Non
plus celle d’une femme qu’un homme fesse presque par surprise,
mais bien celle d’une femme qui, d’une certaine manière,
revendique d’être fessée. Vous comprendrez qu’il me tarde de
lire le récit de votre découverte de ces sensations. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">De
mon côté c’est avec plaisir que je m’en vais vous faire
partager la suite des confidences de ma jeune amie. Vous vous
souvenez que lors de la soirée lors de laquelle elles avaient été
fessées, la troisième femme avait lancé une invitation chez elle
en ajoutant, quelque peu énigmatique qu’elle « ne serait
pas en reste. » Et vous allez voir qu’elle a honoré sa
promesse. En effet, moins de trois semaines plus tard, son mari et
elle ont invité leurs amis en même temps que le couple chez qui
Lucie avait reçu sa première fessée en public. Bien entendu, les
mots de l’épouse qui recevait ce soir là n’étaient pas tombés
dans l’oreille d’une sourde, et Lucie s’était arrangée dans
les jours qui avaient suivi cette soirée mémorable pour revoir la
dame qui avait partagé son sort et l’interroger sur leur consœur.
Éliane, puisque c’était là son prénom, l’avait reçue fort
gentiment, et lui avait dit très franchement que pour elle aussi,
cela avait été la première fois qu’elle était fessée autrement
que dans l’intimité de son couple. En ajoutant que le fait que
Lucie l’ait été la première avait, finalement, rendu la chose
plus facile à supporter. Elle avait même avoué à Lucie que quand
elle l’avait vue allongée sur les genoux de son mari, les fesses
rougissantes sous ses mains, et avant que son propre mari ait décidé
de faire la même chose pour elle, elle s’était imaginée dans la
même position. D’une certaine manière, elle n’avait pas
vraiment été étonnée de la demande de son mari et elle ajouta
qu’il lui aurait paru déloyal à l’égard de sa jeune invitée
de la laisser affronter seule cette épreuve. D’ailleurs,
ajoutait-elle la troisième épouse, Juliette, avait dû ressentir la
même chose, puisqu’elle avait laissé échapper ce qui pouvait
apparaître comme une promesse : « je ne serai pas en
reste ». Éliane et elle étaient amies depuis plusieurs
années, sans que leur amitié les ait vraiment amenées à une
intimité du même ordre que celle qui nous unit. Du reste, précisait
Éliane, mon amie ne lui avait jamais fait de confidences sur sa vie
intime. Et bien entendu elle n’en avait pas fait non plus sur la
sienne. Elle ne s’était jamais posé la question de savoir comment
le mari de son ami réglait les querelles conjugales. Pas plus
qu’elle n’avait eu l’occasion de faire savoir à son amie que
son mari lui rougissait assez régulièrement les fesses. Pour
autant, elle avait cru de son devoir d’appeler celle-ci au
téléphone (elle était très fière d’être une des premières
dames du canton à passéder cet isntrument) le lendemain même de
cette mémorable soirée. Pour lui dire d’abord que, malgré cet
épisode dont elle ne niait pas l’importance à ses yeux (mutine
elle avait précisé « et pas seulement à mes yeux, si vous
voyez ce que je veux dire ! ») la soirée avait été fort
agréable. Mais aussi pour lui dire, avant même qu’elle n’ait
expliqué le sens de ses mots, « qu’en aucun cas elle n’était
obligée à rien » et que « ce qui était arrivé à la
jeune Lucie et à moi, même en la présence de votre mari et de
vous-même, ne concerne que nous et nos maris ». Ce à quoi
Juliette avait répondu qu’elle l’entendait bien ainsi mais que
contrairement à ce que semblait croire Éliane, elle n’était pas
tout à fait ignorante des pratiques dont elle et leur jeune amie
avaient été les victimes lors de cette soirée. « Eh oui, ma
bonne amie, mon mari pratique avec moi, ou plutôt sur moi, à peu
près de la même manière que les vôtres. Et pour tout vous dire,
dès que le mari de cette jeune et belle écervelée s’est mis à
lui faire entendre raison de manière claquante, j’ai su qu’il
m’arriverait à coup sûr la même chose le soir même. Je ne
pouvais ignorer que la scène à laquelle il venait d’assister lui
aurait donné des idées à mon endroit, ou plutôt à mon envers !.
Pourtant, je lui ai été reconnaissante de ne pas évoquer la
possibilité de suivre l’exemple des deux autres hommes .
Visiblement, il ne voulait rien brusquer, rien m’imposer. Et c’est
justement parce qu’il m’a laissée libre que j’ai décidé,
dans l’instant, que moi aussi je devrai payer de ma personne. Quand
nous nous sommes retrouvés dans la voiture, en sortant de chez vous,
mon mari m’a interrogée sur ce que j’avais voulu dire par « je
ne serai pas en reste » et je lui ai répondu sans barguigner
que, moi aussi, j’étais capable de me montrer obéissante. Et
comme il faisait semblant de ne pas comprendre, je l’ai même
taquiné sur le mode « puisque tu as pu admirer les postérieurs
de ces dames, ne serait-il pas juste que leurs maris puissent faire
de même avec celles de ton épouse mon cher ? » Insolence
qui, bien entendu, lui a donné le motif rêvé pour m’en coller
une sévère dès notre retour à la maison, non sans la conclure en
disant « puisque c’est ton choix, ma chère, je retarderai la
prochaine jusqu’à ce que nos amis répondent à notre invitation »
Juliette avait ajouté que c’était la phrase d’Éliane sur « la
grandeur » qu’il y avait à être fessée par l’homme qu’on
aime qui l’avait décidée à s’y soumettre elle aussi. Son mari
et elle avaient donc organisé cette nouvelle réunion entre amis et,
dès l’apéritif, c’est lui qui avait annoncé que son
épouse ayant « commis quelques bêtises » durant la
quinzaine de jours écoulés depuis la précédente soirée, elle
serait punie au dessert. Éliane s’était alors permis de remarquer
que cela lui semblait bien sévère de laisser la maîtresse de
maison servir le repas avec « une épée de Damoclès »
au - dessus de la tête. Le mari en avait convenu, tout en précisant
ironiquement que ce n’était pas la tête de son épouse qui était
menacée, et, son épouse acquiesçant, elle avait reçu sa fessée
séance tenante et, selon les mots de son mari « comme nous
pratiquons d’habitude » L’épouse s’était alors placée
derrière un des fauteuils du salon, elle avait remonté sa longue
robe jusqu’à la taille, découvrant une petite culotte ivoire que
son mari avait descendue jusqu’à ses chevilles. Il s’était
alors excusé dans un sourire « d’avoir les mains fragiles »
tout en retirant sa ceinture qu’il avait pliée en deux avant de
cingler à douze reprises les fesses de son épouse. A chaque coup,
celle-ci se redressait un instant, comme un cheval qui se cabre, en
étouffant un « umpf » guttural avant de reprendre la
position. Les deux femmes se mordaient les lèvres, ressentant
presque physiquement la brûlure du cuir sur leurs propres fesses.
Celles de Juliette étaient marquées, zébrées de longues traces
rouges qui viraient déjà au violacé alors que la fessée n’était
pas terminée. Sans se retourner, l’épouse avait alors remonté sa
culotte, esquivant une grimace de douleur quand elle était venu
frotter les fesses tuméfiées, puis avait repris son service en
remarquant seulement : « vous m’excuserez de ne pas
m’asseoir avec vous tout de suite, n’est ce pas ? » La
soirée s était alors poursuivie sans que personne ne fasse
plus la moindre allusion à la manière dont elle avait commencé.
Sauf au moment du départ, quand le mari d’Éliane avait proposé
de « nous revoir tous et toutes bientôt » tandis que
celui de Lucie ajoutait « et si nos chères épouses le veulent
bien, nous mettrons tous nos comptes à jour » Personne ne
s’étant récrié, la chose fut ainsi convenue. Vous avouerai-je,
ma tendre amie, que depuis que Lucie m’a fait ce récit je ne cesse
de me demander si, d’une certaine manière, je ne l’envie pas.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
vous, imaginez vous votre tendre popotin traité ainsi devant
d’autres que votre cher et tendre époux ?<br />
Je vous
embrasse.<br />
</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>
</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre
troublée</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.</i></span></span></div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1892_579450151"></a>
Chapitre 11 : <br />
Lettre de Mme A à son amie Mme De
V**
</h1>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-size: x-small;">Dans un courrier précédent
(voir Correspondance n° 9) Caroline a raconté à son amie d’enfance
comment, sur décision de son mari, elle avait du faire l’acquisition
d’un martinet. Elle revient sur le sujet dans une nouvelle lettre,
en réponse à celle où Anne – Charlotte lui a retranscrit le
récit des fessées reçues par son amie Lucie et une autre dame lors
de soirées chez elles, en se demandant comment elle vivrait une
expérience pareille. </span>
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc235_805917996"></a>« Et
si moi aussi … ? »</h2>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
très chère,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Vous
vous doutez, j’en suis sûre, de la gourmandise avec laquelle j’ai
lu, que dis-je j’ai dégusté, votre dernière lettre. Vraiment,
vous avez du flair et de la méthode pour susciter les confidences,
ma très chère ! Mais dites - moi, pensez vous qu’il existe
autour de nous … des femmes, je, veux dire des épouses, qui ne la
reçoivent pas ? Vous, la belle Lucie, la digne Eliane et même
Juliette …. Mais oui, notre association devient une structure de
masse si on ose dire ! Mais finalement aussi que d’expériences
différente !. Évidemment, « la » recevoir
autrement que dans l’intimité du couple change tout !
Peut-être plus encore que le passage de la main maritale aux
lanières du martinet. Et on ne peut penser à ces épouses troussées
devant d’autres couples sans s’imaginer au moins furtivement à
leur place, ce qui ne veut pas dire qu’on soit prête à le faire. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">A
propos de martinet, puisque le mot vient sous ma plume, je n’ai pu
que vous conter l’achat de la chose.. Or vous vous doutez bien que
ce n’est pas pour en faire un élément de décoration de notre
intérieur que mon époux m’a fait faire cet achat. Comme vous vous
seriez douté qu’il a tenu absolument à l’étrenner dès notre
retour à la maison. Je dois reconnaître qu’il n’a pas cherché
un vain prétexte ou inventé un motif de circonstances. Il s’est
contenté de me regarder avec de regard de loup qui me trouble
toujours autant en disant : « Tu t’en es bien tirée, ma
chérie, c’est un bel achat, nous allons l’essayer tout de
suite ». Je n’ai ni essayé de retarder ce que je savais
inéluctable, ni tenté de le faire changer d’avis, ni même voulu
argumenter sur l’absence de motif, sachant fort bien que mes
tentatives en auraient constitué un parfait. C’est donc sans
tergiverser que j’ai suivi mon maître et seigneur dans la chambre
conjugale. Et c’est de moi-même que j’ai posé la question :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> -Comment
dois-je me mettre ? </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">A
laquelle il répondit sans hésiter, et avec cette pointe de
vulgarité qui elle aussi m’émeut parfois chez lui :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « A
poil et sur le lit. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
m’était déjà arrivé de recevoir une fessée dans la tenue
d’Eve, mais c’était parce que j’étais déjà ainsi quand
l’envie prenait à Monsieur. Il lui arrive assez souvent de me
demander de me mettre ainsi toute nue, et j’avoue être assez fière
du plaisir visible – vous savez bien comment on mesure ces choses
chez nos époux – qu’il prend à me regarder ainsi avant de me
rendre hommage autrement qu’avec ses yeux. Mais c’était la
première fois qu’il me voulait ainsi pour me tanner la peau des
fesses. J’ai donc obtempéré et je n’ai pas voulu jouer les
ingénues plus longtemps en lui demandant comment il convenait de
m’installer sur le lit, la position à plat ventre étant à
l’évidence ce qu’il attendait de moi. Pas tout à fait cependant
puisque, avant d’entrer en action il me demanda – mais le verbe
« demander » est-il celui qui convient en la
circonstance ? – de « présenter mes fesses mieux que
cela » Je me suis donc retrouvée agenouillée, la tête dans
les mains, les coudes sur le lit, et le popotin en effet saillant et
provoquant. J’avais fermé les yeux, mais il n’était pas
nécessaire que je le vois pour savoir qu’il avait pris en main
l’objet dont nous venions de faire l’acquisition. Je me préparai
à en subir les morsures, en repensant à ce que vous m’en aviez
dit, ce qui contribuait à la fois à me terroriser et à souhaiter
qu’il passe à l’action sans plus tarder. Mais alors que
j’essayais en quelque sorte d’imaginer la douleur que ces langues
de cuir allaient faire naître sur ma peau tendre, alors que je
cherchais à anticiper la déchirure, c’est au contraire une sorte
de douce caresse qui est venue me chatouiller la peau des épaules
avant de descendre le long de mon dos. Bien loin de la brûlure à
laquelle je tentais de me préparer, c’était comme si des dizaines
de doigts effleuraient la peau de mon dos. Comme si des serpents de
douceur se lovaient sur mes épaules, puis se glissaient doucement,
lentement, sensuellement le long de ma colonne vertébrale. Je
sentais que tout mon dos se hérissait de chair de poule, de même
que mes bras alors même que la chevelure caressante ne les avait pas
touchés. D’un instrument de punition, mon mari avait fait un outil
de douceur, de plaisir, de bonheur. Les lanières frôlaient mon dos,
jusqu’aux reins, puis remontaient, infiniment lentement, Elles
roulaient sur ma nuque, s’égaraient de nouveau sur mes épaules,
s’immisçaient sous mes aisselles, se mêlaient à mes cheveux.
Puis elles reprenaient leur lent voyage entre mes omoplates,
déviaient sur mes flancs, sur mes hanches. Je ronronnais de plaisir,
j’écartais les bras pour que les langues de plaisir puissent me
caresser mieux encore. Puis, elles s’étalèrent sur mes fesses,
toujours aussi douces, toujours aussi caressantes, toujours aussi
délicates. Elles qui auraient dû les flageller, les frapper, les
cingler, voilà qu’au contraire elles les câlinaient, les
dorlotaient, les sublimaient. Inconsciemment je tendais les fesses
vers ces dispensatrices de douceur. Ce faisant mes deux hémisphères
s’écartaient, ouvrant largement la raie fessière, impudiquement.
Alors ces coquines caressantes s’y glissaient, s’y inséraient.
J’accentuais la position pour les écarter plus encore, pour que
les lanières pénètrent plus profondément. Elles allaient et
venaient dans la vallée profonde. Elles titillaient mon petit trou,
et je haletais de plaisir. Elles coulissaient sur toute la longueur
de ma raie, et je feulais de bonheur. Elles feignaient de s’approcher
de ma chatte que je sentais ouverte, ruisselante, mais au dernier
moment elles changeaient de direction, et je grondais de dépit.
Elles visitaient alors mes cuisses, leur intérieur si tendre, le pli
de mes genoux, mes chevilles, jusqu’à venir chatouiller
délicatement la plante des pieds. J’écartais les orteils pour
qu’elles s’y emmêlent. Et la pérégrination voluptueuse
reprenait. La caresse délicieuse remontait, centimètre après
centimètre. J’écartais les cuisses autant que ma position me le
permettait dans l’espoir qu’enfin elles viennent déposer leurs
baisers délicats sur mon sexe impatient. Doucement j’incitais mon
tendre tourmenteur à les laisser aller là où mon plaisir les
demandait tellement. « Oui…vas-y.. ;oui…s’il te
plaît..plus haut.. ; »Mais il me faisait encore languir,
encore espérer, encore supplier. La chevelure infernale reprenait
ses errements. Mes flancs, mes reins, mes fesses, mon dos, mes
cuisses…. Et soudain, l’explosion. Un arc électrique me traversa
le corps. Un cri rauque monta à mes lèvres. Mon corps se tendit
comme un arc. Les lanières étaient venues frotter sur ma chatte,
griffant délicatement mes lèvres et surtout titillant presque
violemment mon petit bouton. Un summum de plaisir, mieux qu’une
langue – et pourtant mon Dieu que j’aime cette caresse au nom
sentant le latin de cuisine – mieux qu’un sexe qui pénètre.
Mieux même que le plaisir que l’on se donne à soi-même. Mon
clitoris semblait être devenu énorme, monstrueux. Ma chatte
semblait vouloir avaler ces lanières diaboliques. Mon bouton
irradiait dans tout mon corps. Je jouissais comme jamais je n’avais
joui. Je hurlais presque : « ouiii ! vas-y !
fort ! plus fort ! » Alors, lancées à toute volée,
les lanières du martinet s’abattirent sur mes globes. Déchirement.
Douleur. Ou plaisir ? Ou les deux ? Ou au-delà ? Mes
cris étaient-ils de plaisir, de jouissance, ou de douleur ? Je
n’étais plus en mesure de distinguer les uns des autres. Mon
orgasme gigantesque se mêlait intiment avec une douleur dépassant
tout ce que les fessées les plus sévères m’avaient fait
connaître. Et tandis que les lanières continuaient à me lacérer
les fesses je continuais à crier mes « Oui…. Plus fort !! »
et je me suis abattue dans un sanglot tout en tremblant de plaisir.
Et quand mon bourreau d’amour, après avoir arrêté le ballet
infernal des lanières, saisit à pleines mains mes fesses
déchiquetées pour les écarter plus encore et y glisser sa queue,
quand celle-ci s’introduisit dans mon anus dilaté mais si
sensible, quand il m’a ainsi enculée, bourrée, emplie le cul de
sa bite turgescente, alors que la douleur de cette pénétration
brutale, violente, sauvage, est venue se superposer à celle qui me
déchirait les fesses qu’il malaxait tout en me baisant le petit
trou, c’est à vous que j’ai pensé, ma chère. Comment
pourrai-je jamais vous remercier de ce moment d’extase ?</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre
Caroline, épuisée de douleur, et de plaisir, à jamais
reconnaissante que vous l’ayez amenée à ce nouveau continent du
plaisir.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1894_579450151"></a>
Chapitre 12 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de
Mme A </b>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc237_805917996"></a>« Juliette »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Anne
Charlotte a reçu une lettre dans laquelle son amie d’enfance
Caroline, qui a pourtant découvert les vertus de la fessée
conjugale bien après elle, lui fait le récit brûlant de sa
découverte du martinet. Elle lui répond sans tarder, d’autant
qu’elle tient à l’entretenir de ce qu’elle a découvert
concernant Juliette …</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle, ma toute belle,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
pensais naïvement être votre initiatrice, voilà que je me retrouve
votre élève. Ou plutôt, si vous avez été un moment mon élève
en matière de découverte de cette zone grise entre le plaisir et la
souffrance, l’élève a dépassé la maîtresse. Vous imaginez vous
dans quel état m’a mise la lecture de votre si impudique
confession ? Moi qui pensais vous faire découvrir les secrets
de la correction au martinet, moi qui vous développais les arcanes
de cette souffrance troublante, voilà que je découvre que votre
tourmenteur a su faire de cet instrument de punition si cruel un
instrument de plaisir ! Vous avouerai-je que j’ai été
jalouse de vous, ma chérie ? Mesurez vous la chance qui est la
vôtre d’avoir un mari qui sache ainsi manier cet instrument ?
Je reconnais qu’en lisant votre témoignage, j’en ai eu les
larmes aux yeux. Ainsi il est des hommes, que dis-je des maris,
capables de porter leur épouse aussi loin dans le chemin du
plaisir ? Dieu sait que je n’ai pas à me plaindre de mon
époux, toujours attentif à chercher à donner à sa femme ce
qu’elle peut espérer de son homme. Dieu sait aussi combien je lui
suis reconnaissante de m’avoir fait découvrir que l’on pouvait à
la fois crier de douleur, avoir les fesses à vif, et atteindre un
degré de plaisir jusque là inconnu. Mais, à l’évidence, votre
mari est un expert en la matière. Oui, en un mot comme en mille, ma
chérie, je vous envie ! Et, mais je suis sûre que vous vous en
seriez doutée, je n’ai pas pu résister à chercher à tester les
capacités cachées de ce martinet que je pensais vous avoir fait
découvrir. Il faut dire que la chance était avec moi, lorsque j’ai
pris connaissance de votre lettre, j’étais seule pour la journée,
mon maître et seigneur ayant à faire à l’extérieur. A la
première lecture, et presque sans l’avoir vraiment voulu, ma main
s’était crispée sur mon pubis, d’abord au travers de ma robe,
puis directement dans la culotte. J’ai ainsi accompagné votre
récit de caresses intimes de plus en plus appuyées, jusqu’à me
retrouver avec deux doigts enfoncés dans mon intimité, et à jouir
à la minute où je lisais votre propre explosion sauvage quand,
enfin, les lanières venaient parachever le si délicieux prélude au
plaisir. Mais je n’étais pas satisfaite. Vos mots m’avaient
tant échauffé les sens qu’il m’en fallait plus. Alors, presque
hagarde, j’ai couru dans la chambre nuptiale, et j’ai été
chercher l’instrument. Mon mari le range dans un des tiroirs de son
meuble, juste caché par quelques revues innocentes au cas où la
femme de ménage l’ouvrirait. Il lui arrive de m’imposer d’aller
le chercher et de le lui présenter, bien à plat sur mes deux mains,
comme une offrande. Je dois alors baisser les yeux, et tendre les
mains avec dessus le martinet que je lui tends, comme si je lui
demandais de s’en servir. Mais là, pour la première fois,
j’ouvris ce tiroir hors de sa présence. J’avais bien le
sentiment de braver un interdit, un peu comme la pauvre épouse de
Barbe Bleue quand elle ouvre la porte interdite. Mais rien n’aurait
pu m’arrêter. J’avais un besoin physique de toucher ce manche un
peu rêche et ces lanières qui vous avaient fait tant jouir. En
vous écrivant ces mots, j’ai encore dans les narines, l’odeur si
caractéristique du bureau de mon mari. En ouvrant ce tiroir, c’est
celle du tabac pour la pipe mélangée à la fragrance du cuir qui
m’a sautée au visage. J’ai pris l’objet en main, comme s’il
s’agissait d’un trophée, d’une œuvre d’art, d’un
talisman. J’en caressai le bois du manche, un peu rugueux, de la
paume de la main. Puis j’ai porté la chevelure de cuir à mes
narines. J’ai eu une crispation au niveau de mon sexe, il m’a
semblé que ces lanières sentaient le sperme, la mouille, la
jouissance. J’y ai enfoncé mon nez comme je le fais dans les poils
pubiens de mon homme avant de le sucer. J’y retrouvai les mêmes
odeurs, chaudes, sensuelles, animales. Puis je me suis enfuie du
bureau, courant à travers la maison pour me réfugier dans ma
chambre. J’étais véritablement hors de moi-même. Sans même
l’avoir explicitement décidé, j’ai arraché mes vêtements plus
que je ne me suis déshabillée. En un tour de main j’étais nue,
toute nue, à poil. Et je tenais toujours le martinet entre mes
mains. Je l’ai serré contre ma poitrine, entre mes seins. Le bout
du manche à portée de ma bouche, les lanières pendant sur mon
ventre. Je me suis mise à sucer le petit renflement à l’extrémité
du manche, comme je l’aurais fait d’un gland. J’étais trop
excitée, mes jambes flageolaient. J’allais m’écrouler. Je suis
tombée à genoux sur le parquet, les cuisses écartées. Le sexe
offert, indécente, obscène. J’abordais le paradis. Les fines
bandes de cuir reposaient juste sur ma chatte entrouverte. Ce fut
comme un contact électrique. J’avais en même temps la vision de
votre corps parcouru par les mêmes bandes de cuir maniées par votre
mari. Comme il l’a fait pour vous, j’ai retardé le moment où
elles iraient tétaniser mon bouton. J’ai fait coulisser la
chevelure sur mes cuisses, sur mon ventre, sur mes hanches, sur mes
flancs. Je sentais physiquement les frissons qui accompagnaient les
pérégrinations de cet instrument diabolique. Vos mots dictaient
mes actes. J’étais vous. J’ai fait remonter les lanières
jusqu’à mes seins. Oh mon Dieu, quelle secousse quand elles sont
venues caresser mes tétons ardents ! J’ai joui une
première fois, rien que par le contact entre les pointes de mes
seins et ce cuir un peu âpre. Je me suis laissé tomber sur le dos,
arquée, les jambes repliées sous mes fesses, les cuisses
écartelées. Alors, lentement, j’ai fait redescendre les lanières.
Entre mes seins, sur mon ventre, jusqu’aux abords de mon minou. Je
prenais le temps, je retardais l’instant que pourtant je désirais
tant. J’ai fait tourner la chevelure autour de mon sexe. Les
langues de cuir se mêlaient à ma touffe,allaient musarder sur mes
cuisses, sur mes hanches. Puis, infiniment lentement, je les ai fait
se lover sur mes lèvres ouvertes. Se glisser dans la fente béante.
Entrer en moi. Caresser mon bouton qui me semblait être devenu
énorme. Je ne pouvais plus ralentir, contrôler, attendre. J’ai
fait ressortir les lanières, puis les ai fait retourner une nouvelle
fois sur ce sexe béant, gourmand, affamé. Un cri. Une explosion. Le
paradis. Encore. Plus vite. Plus fort. Les langues de cuir fauve
entrent et sortent de ma chatte de plus en plus vite. Je me cambre au
maximum. Mes fesses se soulèvent, mon derrière est maintenant à
quelques centimètre du sol. Dans cette position les lanières du
martinet se glissent jusqu’aux abords de mon petit trou. Je sens
la divine caresse sur mon anus. Je serre un peu les fesses, pour
mieux sentir le glissement. Du bas de ma colonne vertébrale, tout le
long de la raie des fesses, dans le petit trou, puis tout le long de
me fente, jusqu’au clitoris. C’était divin, tout simplement
divin. Alors j’ai accéléré la cadence. Lançant les lanières
chaque fois un peu plus vite, un peu plus fort. Ce n’était plus la
caresse, c’était des flagellations. Oui, ma chérie, je me
fouettais la chatte. Cet endroit de toutes les douceurs, ce nid de
tendresse, cet écrin de délicatesse, voilà que je le flagellais à
grands coups. Je m’appliquais le martinet sur les fesses tendues
bien sûr, mais surtout en visant la partie la plus sensible de
moi-même. Ma chatte, mon trou du cul. Faut-il appeler douleur cette
brûlure au-delà de tout ? Non. Jouissance ultime. Explosion de
bonheur. Déchirure suprême. Je sentais mon sexe bailler, s’ouvrir
et se fermer convulsivement, tenter de se protéger, et en même
temps s’écarteler pour être mieux cinglé. C’était comme si
mon corps était ouvert en son milieu. Je ne peux vous dire combien
d’orgasmes m’ont submergée. J’ai eu le sentiment d’une
tornade de jouissance.. Je sais que j’ai crié, hurlé. Tout mon
corps était tétanisé. J’abattais les lanières à toute volée,
ravageant ma chatte, meurtrissant les chairs. C’était comme si mon
cul était pénétré par un fer rouge. Insupportable. Mais tellement
bon ! Quand, enfin, j’ai ramené la chevelure diabolique sur
mon visage, elle était poisseuse de ma liqueur, odorante, chaude,
dégoulinante. La déchirure de mon intimité était si douloureuse
que je me suis recroquevillée, les genoux au menton. Et là, roulée
en boule, je sentais la boule de feu du plaisir reprendre son
cheminement en moi. Il fallait que je jouisse encore, je devais
encore jouir. J’ai approché le manche du martinet de ma chatte
ruisselante. Il s’y est enfoncé comme dans une motte de beurre.
Cette tige de bois dur est venue ravager un sexe endolori, ultra
sensible, mis au vif. Une faux me sciait le sexe, m’ouvrait le
ventre, me déchirait les entrailles. Et pourtant je la poussais,
plus fort, plus loin. Et la déchirure fut encore plus violente quand
j’ai fait sortir le manche gluant. Je l’ai porté à l’orée de
mon cul. Juste au bord du trou. Comme mon mari le fait quand il se
prépare à m’enculer et qu’il veut que je sente son dard
congestionné et énorme sur ma rondelle avant de la forcer. Alors,
de toutes mes forces, j’ai fait pénétrer le manche au fond de mon
cul. Je me suis écroulée, au bord de l’évanouissement, à plat
ventre, le corps secoué de soubresauts. Je sais que le martinet
était resté planté au fond de moi. Je le sentais dans mon
fondement. Et je jouissais, encore et encore …Et j’ai crié votre
nom, ma chérie. Vous m’aviez fait jouir. Vous, mon amie de
toujours. Vous, ma sœur en jouissance. Comment pourrai-je jamais
vous remercier de cette découverte ? Deux jours après j’ai
encore le sexe et le cul irrités, sensibles, ravagés. Je suis
heureuse que mon mari ne revienne que dans cinq jours, je n’aurais
pas pu lui cacher l’état de son terrain de jeu. Je ne sais surtout
pas si j’aurais supporté qu’il me fasse l’amour. Il n’aurait
pas pu ne pas voir les marques de la flagellation sur mes fesses et à
l’intérieur de mes cuisses. Aurais-je supporté la moindre fessée
sans m’évanouir de douleur ? Je ne sais pas. Mais je sais
qu’il suffit que j’effleure ma chatte ou ma raie pour repartir,
immédiatement, dans un orgasme qui explose au fond de moi. Et pour
penser à vous.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Vous
vous en douteriez, même si je ne vous l’avouais pas, ma chérie,
écrire ces lignes a entraîné les conséquences que vous imaginez
sur mes sens. Je sens que mon intimité s’est couverte de rosée,
comme je sens les pointes de mes seins réclamer leur dû de
caresses. J’ai résisté jusqu’à la dernière ligne de ce
courrier que je vous devais en remerciement de ces moments d’extase.
Mais vous me savez faible. Je vais donc me laisser aller une fois
encore à la dépravation. Une fois encore à cause de vous !
Mais peut-être y-a-t-il une justice immanente ? Et peut-être
serez vous prochainement punie de m’avoir ainsi poussée sur le
chemin du vice ? C’est en tout cas tout le mal – et tout le
bien – que je vous souhaite. Certaine que, la prochaine fois que
vos fesses seront flagellées, vous penserez que c’est, aussi, pour
vous punir – ou pour vous remercier – d’avoir poussé votre
tendre amie à de telles extrémités. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse aussi fort que je me donne le plaisir que je vous
souhaite.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre
reconnaissante</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A.C.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">PS
Je reprends la plume après cet intermède ma foi bien agréable, en
m’apercevant qu’emportée par mon récit, j’ai oublié de vous
dire que, depuis ma dernière lettre, j’ai rencontré cette fameuse
Juliette dont mon amie m’a rapporté les propos. Il est trop tard
pour que je vous en fasse récit aujourd’hui, cela sera donc pour
la prochaine fois…</span></span></div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1896_579450151"></a>
Chapitre 13 :<br />
Lettre de Mme A à son amie Mme De
V**
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc239_805917996"></a>« Encore
des secrets révélés »</h2>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-size: x-small;">Alors qu’elle lit la lettre
par laquelle son amie, Mme De V** lui raconte comment elle s’est
donné du plaisir avec un martinet, Caroline se laisse aller à
exposer ses secrets intimes à Anne Charlotte. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
finis à l’instant de lire votre dernière lettre, et il me faut
vous répondre sur deux points sans tarder. Oui, comme vous
l’espériez et me le souhaitiez, le martinet a repris du service.
Et à ce rythme je crains même qu’il ne durera pas autant que les
contributions comme dit mon cher – et en l’occurrence pas si
tendre – mari. Mais comme ce vénérable instrument a été utilisé
avant que je ne lise votre confession ardente, je n’ai pas pu en
atténuer les morsures en pensant à la belle image de mon amie se
donnant à elle-même du plaisir avec le même instrument qui me tire
les larmes. Ce sera donc pour la prochaine fois, puisque prochaine
fois il y aura. Aucun doute là-dessus, mon mari ayant appris très
vite, vous allez le voir, et visiblement il a pris goût à la chose.
Et oui aussi, la lecture de vos épîtres a le même effet sur mes
sens que les miennes sur les vôtres. Et pour être sûre de pouvoir
vous écrire sans que ma main ne tremble, j’ai fait le choix de
procéder d’abord aux soins que mon corps réclamait avant d’en
venir aux choses de l’esprit. Ou, si vous préférez un langage
plus direct et moins littéraire, je me suis branlée d’importance
avant de prendre la plume. « Prendre son pied, prendre la
plume » le même verbe, et pourtant …. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Comme
j’étais encore en tenue de nuit quand j’ai découvert la petite
enveloppe mauve dans mon courrier, je n’ai pas eu comme vous à
glisser la main dans ma culotte pour accompagner la lecture, puisque
de culotte il n’y en avait pas ! J’ai donc accompagné la
lecture de vos mots – et quels mots – d’une douce et prudente
caresse d’un abricot encore chaud de la nuit, et encore un peu
marqué par la visite de la virilité de mon époux la veille au
soir. Et comme je n’avais pas encore procédé à ma toilette,
c’est un minou encore un peu irrité mais aussi encore moite qui a
reçu la douce caresse de la pulpe de mes doigt. Et dés que j’ai
eu relevé ma nuisette pour faciliter l’accès à l’endroit
convoité, la fragrance qui m’est montée au nez aurait suffit à
me rappeler la visite vespérale de mon époux si je l’avais
oubliée. Je dois avouer que les lendemains de ces visites maritales,
il me plaît assez de retarder le moment où l’eau et le savon
viendront faire disparaître cette odeur chaude et si particulière
de mon intimité quand s’y ajoute cette touche musquée qu’y
apporte la liqueur déposée dans le vase par l’Homme. Avez-vous
remarqué vous aussi ce parfum à nul autre pareil, ma chère ?
Pour moi, c’est un peu « l’odeur de l’amour » Il me
semble qu’il y à là une réminiscence de celle de la paille
chaude, pour ne pas dire, plus vulgairement, de l’étable. Il
m’arrive d’y porter le doigt pour le plaisir de humer plus
directement ce mélange de mes senteurs intimes avec celles qui
proviennent de mon cher mari. J’aime aussi goûter ce nectar du
bout de la langue, y retrouvant probablement un peu le même plaisir
trouble sinon ambiguë que celui que mon amant éprouve quand il
m’embrasse à pleine bouche, et à pleine langue, après qu’il
ait joui dans ma bouche. Même si, en épouse obéissante et pour
tout dire amatrice, je m’efforce d’avaler ce cadeau, je sais
qu’il reste dans ma bouche le goût du sperme, et que mon mari
retrouve ainsi dans sa propre bouche la saveur de ce qu’il a fait
gicler dans la mienne. Pour en finir sur ce point (mais je m’égare,
vous savez à quel point je suis bavarde) il m’est arrivé, quand
mon mari m’a fait quelques cajoleries « aux heures
ouvrables » d’éviter absolument de passer par la salle de
bain avant de sortir. Je peux ainsi, à l’occasion, retrouver
discrètement cette senteur de serre chaude. Je peux aussi sentir la
moiteur du miel en moi. Et le jour où mon mari, particulièrement en
forme et amoureux, m’a fait l’amour en rentrant d’une soirée à
laquelle je m’étais rendue sans me laver alors qu’il m’avait
renversée sur un fauteuil juste avant de partir, j’ai eu
brièvement le sentiment d’être une fille perdue, une catin, qui
se fait prendre alors que la jouissance du client précédent est
encore en elle. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Mais,
vous vous en douteriez, je ne me suis pas contentée de l’olfactif
ou même du gustatif. La lecture de vos exploits solitaires imposait
que j’en passe par le sens du toucher. Encore l’ai-je fait
d’abord avec précaution et mesure, à la fois pour pouvoir rester
en éveil à ma lecture et pour ménager un terrain quelque peu
sensible. Il faut dire que la veille au soir, celui qui règne sur
cette partie de mon individu s’était quelque peu conduit en
hussard. Peut-être est ce parce que nous n’avions pas connu de
moments d’intimité depuis cinq ou six jours, peut-être avait-il
abusé de nourritures échauffantes, peut-être étais-je
particulièrement désirable ce soir là. En tout cas dès les
premières manœuvres d’approche de sa part, j’ai pu constater,
de visu d’abord puis de manière plus manuelle, que sa virilité
était particulièrement flamboyante. Avant même que je n’y ai
posé ni main ni bouche, j’étais confrontée à une queue noueuse,
violacée, turgescente et d’où un gland rouge vif semblait
impatient de surgir. M’autoriseriez-vous, ma chère, sans en rien
« faire l’article » à vous avouer combien je trouve
cette queue émouvante quand elle est ainsi bandée, dressée, fière
et conquérante ? Vous le savez, je n’ai pas véritablement
d’éléments de comparaison pour juger de la qualité de l’organe
de mon homme. Ce que j’en ai lu ici ou là me permet seulement de
savoir que du point de vue strictement quantitatif, elle est plutôt
dans la catégorie des grandes tailles. Je soupçonne du reste mon
mari d’en être très conscient et assez fier, quand il se tient
debout, les mains aux hanches, le corps un peu penché en arrière,
pour faire mieux sortir ce bâton noueux qui lui monte jusqu’à
hauteur du nombril et dont la verticalité permet de découvrir la
majesté. Surmontée de son gland arrondi, souvent déjà à demi
découvert quand il me la présente, elle est parcourue au dos par un
bourrelet violet qui descend jusqu’aux couilles. Tandis que l’autre
face laisse voir une grosse veine bleuâtre et tout un réseau de
minuscules veines dessinant comme une carte de géographie à la
surface de la peau brune. En dessous le sac est gonflé comme une
bourse de riche de deux belles prunes, celle de gauche s’épanouissant
plus que celle de droite. Le tout sur un fond de buisson de poils
noirs et frisés du plus bel effet. Une belle bite, pour parler bref.
Et même une grosse bite. Il m’est arrivé de lire que certaines
femmes, peut-être pour rassurer leurs maris peu dotés, affirment
que « la taille ne fait rien à l’affaire ». Il m’est
arrivé d’entendre des galéjades d’hommes entre eux affirmant
avec humour, qu’il vaut mieux « une petite courageuse qu’une
grande fainéante » Peut-être. Mais je serais pour ma part
plutôt encline à croire ces femmes qui avouent leur bonheur de se
sentir « remplies » au moment fatidique. En tout cas, et
avec toujours le manque d’expérience permettant de comparer, il me
semble que je n’aurais pas les mêmes sensations si la chose qui me
pénètre était de plus petite dimension. Mais, comme le disaient
nos maîtres quand nous étions écolières, « la perfection
n’est pas de ce monde » ou, plus prosaïquement, « toute
médaille à son revers ». En l’occurrence, quand Monsieur
tient à ce que ma bouche soit le havre où s’épanouira cette
tige turgescente, il arrive que son diamètre me cause de véritables
crampes à la mâchoire. Et comme si j’interromps mon service alors
que son bénéficiaire en attend encore du bonheur se sont mes fesses
qui paieront pour cette insolence, il me faut parfois choisir entre
la souffrance au derrière et la douleur à la mâchoire. Et que dire
quand, emporté par l’enthousiasme qui me ravit, mon homme pousse à
la fois son avantage et sa bite dans ma bouche, si ce n’est que je
suis à la limite de l’étouffement ? Mais, hier soir, ce
n’est pas à mon orifice buccal qu’en voulait mon époux. A vrai
dire il avait visiblement envie de la chose la plus simple, mais la
plus immédiate. Autrement dit, je n’ai même pas eu le temps
d’entamer quelque préliminaire que ce soit, pas même d’humecter
la chose de ma salive pour faciliter l’introduction qui devait
suivre, que déjà il me voulait retournée et offerte, et qu’il
profitait du cadeau. Et c’est donc un vase encore sec, sans la
moindre préparation, qui dut supporter l’intromission directe et
brutale d’une tige dure et qui m’a paru encore plus volumineuse
qu’à l’ordinaire. D’un geste il m’avait placée comme il
l’entendait : agenouillée sur le lit, les fesses bien hautes,
l’orifice bien présenté au pieu qui allait le pénétrer. Tout
juste mon cher époux a-t-il eu le temps de me gratifier d’un
laudatif « Ah ! j’aime ton cul comme ça tu sais ? »
qu’il m’avait déjà saisie aux hanches et qu’une barre à mine
fourrageait mon intimité, se frayait un passage de force, et venait
buter tout au fond. J’en ai eu le souffle coupé, mais avant que je
n’aie pu lui faire savoir que son entrée me semblait un peu trop
violente que déjà le soc s’était reculé… pour mieux sauter si
je puis dire. Je ne sais s’il me faut choisir l’allégorie du
laboureur faisant pénétrer toujours plus profond sa charrue dans le
sillon, ou celle du bûcheron accompagnant de grands « han »
ses coups de cognée, en l’occurrence de reins. Mais j’avais le
sentiment d’être plus dans un jeu de foire ou dans un tonneau au
milieu d’un océan déchaîné que dans un lit. Bien entendu, avec
une telle fougue, le canon ne tarda pas à envoyer son boulet, et un
grand cri de jouissance suivi d’un profond soupir de contentement
me fit savoir que mon seigneur et maître avait atteint le plaisir.
Quand à moi, il n’en était hélas rien. La chose s’était faite
trop vite pour que j’en ressentisse les bienfaits. Pas contre je ne
puis pas dire qu’elle ait été sans sensation. En effet, et cela
explique pourquoi je dois prendre aujourd’hui des précautions
avant de me laisser aller aux plaisirs solitaires, les coups de
boutoir du mandrin marital ont au sens propre du terme commotionné
mon abricot. Un peu comme si on l’avait visité avec un manche à
balai. Je n’ai pas eu l’outrecuidance et la grossièreté de m’en
plaindre. Mais mon mari a assez de délicatesse, même si en la
matière il n’en avait pas fait la preuve, pour comprendre que sa
précipitation même m’avait privée de la part à laquelle j’avais
droit. Il ne s’en est pas excusé, cela aurait été inconvenant.
Il s’est contenté de murmurer, et cela m’a fait fondre « tu
n’as qu’à ne pas avoir un cul aussi affolant, ma chérie »
Et pour me prouver à quel point c’était vrai, et ayant retrouvé
sa vigueur avec une rapidité que je ne m’explique pas encore, il
entreprit sans attendre de visiter avec à peine plus de précaution
le second orifice que ma position, que je n’avais pas quittée,
mettait à sa disposition. Tout juste eut-il la patience d’attendre
que je détende les défenses de ce second trou, laissant sa queue
juste posée sur la rondelle, sans la forcer. Et comme il a eu la
bonne idée de porter le doigt sur mon petit bouton, je ne tardai pas
à m’ouvrir et à laisser son sexe prendre position dans mes
arrières comme il l’avait fait dans mon devant. Fort heureusement,
le second assaut fit naître cette explosion que nous attendons dans
ces circonstances. Si l’étui était plus étroit encore – la
nature est ainsi faite – il était aussi plus préparé à ce qui
allait lui arriver, et paradoxalement j’ai eu moins le sentiment
d’un passage forcé lors de la pénétration dans ce couloir étroit
que lors de la première visite. Ou peut-être est-ce aussi la
sensation d’un conduit que l’on force qui participa à l’arrivée
de la vague de bonheur ? Peut-être aussi la force de la caresse
des doigts sur mon clitoris n’y a-t-elle pas été pour rien. Mais
elle a eu aussi comme conséquence de me ravager une seconde fois la
foufoune. Sensation agréable cette fois, certes, mais qui laissa
quand même mon bonbon irrité et à vif. Ceci pour vous expliquer
que j’ai fait le choix d’effleurements ce matin plutôt que de
pénétration. Il n’en reste pas moins qu’ils furent fort
agréables, et m’amenèrent à un honnête plaisir. Je ne vous en
dirais pas plus, d’abord parce que j’ai déjà été bien trop
longue et ensuite parce que je ne vous dirais plus rien … tant que
vous ne m’aurai pas gratifiée d’une longue lettre pour me dire
tout ce que vous savez sur cette Juliette qui me semble ne pas
manquer d’intérêt. Pour ma part je vous narrerai la prochaine
fois comment mon cher mari a repris la main sur le martinet… mais
cette fois en l’utilisant dans sa fonction première, celle de
punir plus que de faire jouir…</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">A
bientôt donc ma douce</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Caro </i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1898_579450151"></a>
Chapitre 14 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de
Mme A </b>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc241_805917996"></a>« Juliette,
suite »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
En
répétant à son amie Caroline ce que son autre amie, Lucie, lui a
raconté de la fessée qu’elle a reçue en compagnie d’une autre
femme lors d’une soirée, Anne Charlotte a fait aussi allusion à
Juliette de F* qui avait d’elle-même pris l’initiative de
convier les deux femmes précédemment punies et leurs époux chez
elle pour qu’elle la reçoive à son tour. Dans une précédente
lettre (cf Correspondance n° 12) elle a indiqué à Caroline qu’elle
avait elle-même rencontré Juliette.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
jolie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
sais, je suis coupable d’avoir fait naître la curiosité chez vous
sans la satisfaire tout de suite. La prochaine fois que mon mari me
tannera le cuir des fesses, je vous dédierai la punition, je la
recevrai en paiement de ma faute, c’est promis. Mais, franchement,
ma précédente lettre était déjà fort longue, et il ne faut
abuser de rien. Comme je vous l’écrivais alors, ce n’est plus à
travers les confidences de Lucie que je découvre la fameuse Juliette
de F* mais bel et bien en direct. Je ne vais pas vous lasser avec le
récit des circonstances dans lesquelles nous nous sommes
rencontrées, il vous suffit de savoir qu’elle savait fort bien, en
me recevant, qui j’étais, et ce que je savais d’elle et de notre
amie commune. Du reste elle a mis les choses au point dès le début
de notre entrevue :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ainsi, madame, vous êtes amie avec cette charmante et tellement
ingénue Lucie ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais oui, j’ai ce plaisir, et je trouve que l’adjectif charmante
lui va vraiment comme un gant.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Et celui d’ingénue ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Ingénue, je ne saurais dire. Peut-être naïve ? En tout cas
d’un naturel et d’une franchise vraiment attendrissante.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ah certainement ! Je ne pense pas que sa naïveté soit feinte.
Elle se raconte sans fard, sans rien cacher. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais elle le fait avec un tel naturel qu’il n’y a rien de gênant
à cela me semble-t-il.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Certainement. Même si parfois elle a quelque peu tendance à
dévoiler aussi l’intimité de ses amies …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous voulez dire que …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oh ne vous sentez pas mal à l’aise madame, il n’y a pas de quoi
fouetter un chat …si j’ose dire (rire franc)</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
le terme est en effet tout à fait celui qui convient !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Je vous avoue que j’ai essayé de dire à notre charmante Lucie
qu’elle devrait être parfois plus discrète. Mais, à vrai dire,
je ne suis pas vraiment fâchée qu’elle vous ait dévoilé ainsi
les petites habitudes de notre couple. Dés lors que j’ai cru
comprendre que ce sont aussi les vôtres. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
(hésitante) Euh.. enfin …Je veux dire …Lucie vous a dit ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette
(souriante) Eh oui ma chère. Elle n’a pas été plus discrète
pour vous que pour moi ! Comme vous le disiez, c’est tout son
charme. Mais ne vous alarmez pas, je ne suis pas, moi, du genre à
répéter les choses à tout va. N’ayez crainte, votre petit
secret, si secret il y a, restera entre nous… Je veux dire entre
vous, moi …et Lucie !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Un secret … je ne sais pas… Il est vrai qu’il n’est pas
habituel de parler de ces choses, mais notre ingénue le fait avec un
tel naturel que je n’ai pas cru devoir entendre ses confidences si
troublantes sans m’ouvrir à elle avec la même franchise.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
C’est bien ce que j’avais compris. Et finalement, vous avez réagi
comme moi, en considérant qu’il vous fallait en quelque sorte être
aussi transparente à l’égard de notre jeune amie qu’elle
l’avait été avec vous.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Eh bien oui, je pense qu’en effet je me suis sentie en quelque
sorte obligée de ne rien lui cacher, dés lors qu’elle-même …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Je vous comprends d’autant mieux que j’ai fait de même … sauf
que pour moi cela ne s’est pas limité à des mots !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Comment …ah oui, excusez moi, je comprends. Vous voulez dire que
vous vous êtes sentie en quelque sorte obligée de subir ce qu’elle
avait enduré?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Obligée, je ne dirais pas cela. Après tout ni moi ni mon mari
n’étions pour rien dans le fait que la jolie Lucie soit déculottée
par son époux, même si l’un et l’autre avions apprécié le
spectacle de son joli postérieur rougi par la dextre maritale. Et ce
n’est pas non plus de notre fait si notre hôte avait en quelque
sorte proposé à son épouse d’y passer elle aussi. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Si j’en crois ce que m’a raconté notre amie ce sont même les
mots d’Éliane qui vous ont amenée à ..</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oui, c’est vrai. J’ai trouvé Éliane très digne. Je sais
qu’elle n’avait jamais été fessée autrement que dans la
stricte intimité de leur couple. D’ailleurs, comme vous le dites,
son mari ne lui a pas vraiment imposé d’être punie devant nous,
il lui a suggéré. Et sa femme s’est alors levée, un peu pâle,
et a dit, en regardant notre petite Lucie qui reniflait encore un peu
que c’était pour elle qu’elle acceptait, en ajoutant ces mots
qui, en effet m’ont touchée : « il y a de la grandeur à
être fessée par l’homme qu’on aime »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Et vous avez pensé alors vous aussi « passer à la casserole »
sur le champ ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, pas vraiment. Je savais bien sûr que la vision de ces deux
derrières fessés n’avait pas pu laisser mon mari insensible.
J’avais bien compris qu’il avait déjà fantasmé sur l’idée
de me la flanquer en public, cela m’était d’ailleurs presque
déjà arrivé, mais je savais aussi que jamais il ne m’aurait mise
en situation ni d’accepter contrainte et forcée, ni de le
ridiculiser en étant la seule à refuser.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Cela vous était « presque » arrivé dites – vous ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oui, je sais, on ne peut pas être « presque » fessée en
public … on l’est ou on ne l’est pas ! Mais je veux dire
par là qu’à plusieurs reprises mon cher mari avait décidé de me
claquer les fesses dans des circonstances où d’autres pouvaient
sinon voir tout au moins entendre …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Ah mon dieu mais que tout ces hommes se ressemblent !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Comment cela ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Eh bien …le mien aussi a eu bien souvent la main qui le démangeait
quand, « comme par hasard » il y avait d’autres
oreilles pour entendre le bruit si caractéristique …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Vraiment, cela vous est arrivé aussi ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Oh oui … pour ma plus grande honte parfois, et oserai-je dire aussi
pour mon plus grand trouble ? Il nous arrive, mon époux et moi,
de voyager et de loger à l’hôtel, où parfois les cloisons entre
les chambres sont tout sauf épaisses. Et j’ai tout lieu de penser
qu’il est arrivé à plusieurs reprises que les occupants des
chambres voisines n’aient rien ignoré de ce que la dame de la
chambre d’à côté subissait. Certes, je m’efforçais de rester
aussi stoïque que possible et de ne laisser échapper ni cri ni
râle, mais les rafales de la paume maritale sur la peau de mon
revers ne pouvaient pas ne pas être entendues du voisinage. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette
(souriant) : Eh bien en effet, ma chère, nos maris ont
visiblement des habitudes communes, et nous des hontes, mais, je
confirme, des troubles, communs ! Pour tout vous dire, c’est
d’ailleurs parce que, lors d’un séjour à Paris, je protestais
du bruit occasionné par une séance un peu rude que mon cher mari me
laissa le choix, continuer ainsi à informer le voisinage de mon
infortune ou faire, selon ses mots « moins de bruit » en
remplaçant sa main par ce qu’il avait sous elle…</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. : « Sous
elle » … ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
En l’occurrence la ceinture de cuir fauve qui retenait son
pantalon !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Et vous avez donc, de vous même, choisi d’être flagellée ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Eh oui …A l’époque il me semblait moins cruel d’avoir le
fondement meurtri à coup de ceinture que d’entendre, dans le
silence de cet après-midi si calme, le bruit des claques résonner
dans les couloirs déserts. Il faut dire qu’alors, je n’avais pas
l’expérience de ce qu’une lanière de cuir peut faire sur la
peau tendre de notre fondement !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Pour ma part, mon mari n’a jamais utilisé ce genre d’instrument
… mais il a très vite exigé que nous fassions l’acquisition de
l’instrument que mes fesses avaient connus dans mon enfance …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ah … votre mari est donc adepte du martinet enfantin ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Eh oui … vous avez dû, vous aussi en subir les morsures ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, jamais. Il faut vous dire que, jusqu’à mon mariage, jamais
mes fesses n’avaient été fustigées. Cela a d’ailleurs bien
fait rire mon époux quand il a appris que, enfant, je n’avais
jamais été fessée. Et il me semble qu’il s’est donné la
mission de rattraper le temps perdu ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Et donc il vous a fait découvrir la meurtrissure de la ceinture dans
cet hôtel ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Tout à fait. Il me semble que c’était hier ! Quand je lui ai
demandé d’arrêter parce que j’avais trop honte du bruit il m’a
mis le marché en main : « tu sais bien que je
n’arrêterais pas en cours de route. Mais si tu me le demandes, je
veux bien remplacer ma main par ma ceinture, mais je te préviens,
elle sera plus silencieuse, mais je ne suis pas sûr que tu ne le
regrettes pas » Et il m’a donc fallu lui demander
« explicitement » selon ses termes. Et pour que je
choisisse « en connaissance de cause » il m’a précisé
que si je faisais ce choix, et comme j’étais « novice »
ce serait « une douzaine »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Il voulait dire douze coups de ceinture ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Exactement. J’ai donc dû, toute honte bue, lui demander à voix
haute « une douzaine sur les fesses, s’il vous plaît,
monsieur » J’ai alors dû me relever, me mettre nue alors que
jusque là il n’avait fait que relever ma robe et baisser ma
culotte, et me tenir debout, juste les mains appuyées sur le rebord
de la fenêtre. Je me souviens que je voyais la Sacré Cœur
par-dessus les toits de Paris pendant que les douze coups me
lacéraient le derrière.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais au moins êtes vous parvenue à ne pas crier ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oui, mais à quel prix ! Je me suis mordu les lèvres au sang,
mais en effet pas un bruit ne m’a échappé. A tel point qu’après
mon mari, devenu tendre, m’a félicitée en ajoutant « Désormais
j’épargnerai mes mains, ma chérie … » Et depuis il est en
effet très rare qu’il me punisse autrement que par cette fameuse
ceinture qu’il a appelée par jeu, et je ne sais pourquoi « la
Simone » </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
(en riant) Encore un point commun, le mien appelle le martinet
« Marcel » !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette
(riant elle aussi) Et « Marcel » vous accompagne donc
dans vos déplacements ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Oui, bien souvent ! Mais cela n’empêche pas mon mari de
préférer parfois la traditionnelle fessée manuelle et bruyante.
Surtout quand il pense – et moi avec – que des voisins ou le
personnel de l’hôtel peuvent entendre. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Et vous pensez que c’est parfois le cas ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Hélas oui ! J’en suis même sûre ! Une fois, à peine
ma fessée terminée, nous avons même entendu, sans aucun doute
possible, qu’une autre fessée était administrée dans la chambre
voisine !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Vraiment ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Tout à fait ! Alors que mon mari était devenu tendre et que
nous en étions à des jeux un peu moins douloureux, et même
franchement agréables, nous avons entendu la pétarade tout à fait
caractéristique d’une fessée crépitante. Laquelle a du reste
donné à mon mari une nouvelle vigueur ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Et vous avez pu savoir qui en était la victime ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Tout à fait ! Le jour de notre départ, j’ai descendu
l’escalier avec une dame, plutôt bon chic bon genre, qui au moment
où je la saluais en ajoutant « peut-être à une autre
fois ? » puisque nous fréquentons régulièrement cet
hôtel quand nous séjournons à Paris, a répliqué avec un charmant
sourire : « j’espère bien que non, votre mari donne
trop d’idée au mien ! » Et comme, sur le moment, je ne
comprenais pas ce qu’elle voulait dire, elle a ajouté en tapotant
sans équivoque son derrière « j’ai encore du mal à
m’asseoir, pas vous ? » </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Cela a dû être un moment de complicité rare !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Certainement ! Et curieusement, j’ai trouvé moins pénible le
fait de savoir que cette dame connaissait mon infortune que de
devoir, comme c’est généralement le cas, affronter les regards
lors du repas du soir ou lors du petit-déjeuner sans savoir qui « a
entendu »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Je vous comprends tout à fait. Mais en même temps, je dois avouer
qu’il est extrêmement troublant dans ces circonstances, de voir
les autres convives et de se demander, en effet, « qui ».
Et puis, soyons franches ma chère, au fond, si nous nous laissons
ainsi traiter, ne croyez vous pas que, « quelque part »
c’est parce que nous trouvons un certain plaisir à cette idée que
d’autres partagent ces moments ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous voulez dire qu’au fond de nous nous souhaiterions être …
vues dans ces moments là ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Peut-être pas explicitement. Mais si je veux être honnête avec
moi-même, je suis bien obligée de reconnaître que, bien avant
cette fameuse soirée chez Éliane, je savais en quelque sorte que je
serais un jour confrontée à la même situation.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous le souhaitiez ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, … encore que, c’est peut-être plus compliqué que cela …
En tout cas, quand j’ai vu notre chère Lucie ainsi fessée, puis
quand j’ai compris que mon amie Éliane faisait le choix de l’être
elle aussi, j’ai su, immédiatement, qu’il me faudrait en faire
de même. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Et pourtant vous n’avez pas suivi l’exemple d’Éliane en
revendiquant de l’être sur le champ. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, en effet. Mais peut-être est-ce surtout parce que mon mari n’en
a pas pris l’initiative. Je ne me voyais quand même pas le lui
demander ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais en glissant que « vous ne seriez pas en reste » vous
vous y engagiez pourtant de manière presque explicite.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
C’est vrai. D’ailleurs ni mes deux amies ni mon mari ne s’y
sont trompés. Même si il a fait semblant de ne pas avoir compris.
J’ai donc dû lui dire clairement que j’étais prête, moi aussi,
à me montrer obéissante. Je dois dire qu’il a eu l’élégance
de ne pas faire mine de se faire prier. Nous avons donc décidé,
presque tout de suite, d’organiser ce repas chez nous. Je pense que
notre amie commune vous a expliqué que nous avions prévu,
peut-être en référence à ce que nous avions vécu chez Éliane,
que je franchirais le pas en fin de repas. Eh bien je peux vous dire
aussi que quand elle a en quelque sorte proposé à mon mari de
procéder à la chose dés l’apéritif, j’ai été presque
soulagée. Peut-être en quelque sorte l’attente était-elle plus
difficile à affronter que la chose elle- même.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
J’imagine cependant que ces instants ont dû être difficiles à
vivre. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
A vrai dire, dès l’instant où j’ai su que les dés étaient
jetés tout c’est passé comme si d’une certaine manière j’étais
moi-même spectatrice de ce qui arrivait. En tout cas, je peux vous
jurer que je n’ai pas vraiment eu honte. Pourtant, croyez moi si
vous voulez, je suis plutôt prude de nature. Et jamais je n’ai
imaginé un instant pratiquer le naturisme qui est parait-il à la
mode chez nos voisins d’outre Rhin. Mais là, il ne s’agissait
pas de me montrer nue, comprenez vous ? Il s’agissait d’être
fessée, et pour cela, eh bien il faut être cul nu, voilà tout !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
(en riant) Je ne suis pas sûre de voir la différence ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette (plantant
son regard gris dans les yeux d’Anne – Charlotte) : Je suis
sûre que vous verrez très bien quand cela vous arrivera, ma chère.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma toute belle. J’interromps là le récit de ce dialogue qui, vous
vous en doutez, ne m’a pas laissée insensible. J’avoue avoir été
très impressionnée par la force de caractère de Juliette, et sa
capacité à s’analyser sans rien se cacher à elle-même.
Obligeant ainsi l’autre – en l’occurrence moi – à faire de
même. Vous comprendrez que sa dernière phrase avec ce « quand
cela vous arrivera » m’ait longuement trotté dans la tête.
Elle a eu l’élégance de changer très vite de conversation,
m’évitant ainsi d’y revenir. Je n’ai donc eu ni à m’offusquer
d’un « jamais de la vie » ni à sembler attendre que
cela effectivement m’arrive. Et je vous avoue qu’aujourd’hui
encore je ne suis pas certaine de mes sentiments. Être fessée
devant d’autres. Imaginez-vous cela ? En ai-je peur, ou, tout
au fond de moi, là où vous seule avez accès, en ai-je envie ?
En tout cas, pour reprendre les termes du début de cette lettre, la
prochaine fois que mon mari sévira à mon égard, je vous dédierai
d’autant plus ma fessée que je vais vous donner une autre raison
de me maudire, ou en tout cas d’attendre avec plus d’impatience
ma prochaine lettre. Mais vous savez que je ne vous l’écrirai que
quand vous m’en aurez dit plus sur la manière dont Monsieur votre
mari use désormais de ce que le mien appelle « son Marcel »
Pour l’instant qu’il vous suffise de savoir qu’avant que je la
quitte, et alors que nous en revenions à notre belle ingénue et son
absence de discrétion, celle qui est devenue maintenant mon amie a
glissé en riant : « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>En
tout cas après la fessée que je lui ai flanquée pour lui apprendre
à ne pas parler à tort et à travers, peut-être sera-t-elle plus
discrète</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A
très bientôt ma toute belle …</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Anne
Charlotte qui découvre chaque jour un peu plus ce continent qui lui
était inconnu.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1900_579450151"></a>
Chapitre 15 : <br />
Lettre de Mme A* à son amie Mme De
V*
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc243_805917996"></a>« Devant
tout le monde ! »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Caroline
a raconté à son amie comment son mari lui avait fait découvrir le
martinet comme un outil à donner du plaisir. Mais elle a aussi
laissé entendre qu’il l’utilisait dans sa fonction plus
traditionnelle, et elle s’en ouvre à son amie Anne-Charlotte qui
lui raconte par le menu les confidences de ses deux nouvelles amies,
Julie et Juliette qui, elles, ont découvert la fessée hors du cadre
du couple.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle perverse,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ainsi
vous osez encore jouer à exciter ma curiosité, après avoir excité
d’autres sentiments ! Et même conditionner vos récits qui me
mettent dans un tel état à ce que je poursuive les miens. Mais qui
vous a jamais dit que j’envisageais de les cesser ? Je pense
que j’ai autant de plaisir à les écrire qu’à lire les vôtres,
ma belle. En tout cas je compte bien qu’à peine aurez vous lu
cette lettre, vous posterez la suite de la vôtre. Je suis sûre que
vous l’avez déjà écrite et je meurs d’impatience de découvrir
ce que la si digne Juliette a fait vivre à l’écervelée Julie !</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">A
propos « d’écervelée » c’est juste le mot qu’a
employé mon mari à mon égard. Je vous fais grâce de la raison
d’un tel qualificatif, qu’il vous suffise de savoir qu’il
n’était pas totalement immérité. Et en tout cas qu’il a fourni
à mon époux un excellent prétexte pour me faire découvrir que le
martinet n’est pas seulement l’outil de plaisir dont il m’avait
fait cadeau la première fois. Eh bien, comme vous le savez je pense,
le martinet est bien tel qu’est la langue selon notre bon Ésope.
Il peut être aussi insupportablement douloureux qu’il sait être
divinement délicieux. Cette fois encore c’est « à poil »,
pour utiliser les mots de mon cher mari, que j’ai dansé sous les
lanières de cet instrument qu’il n’a pas encore baptisé comme
l’a fait le vôtre. Et quand je dis « dansé » c’est
bien le mot qui convient. Il m’avait été interdit de me pencher
sur un meuble ou même d’y appuyer les mains. L’ordre était de
rester, toute nue, debout, les mains sur la tête. Il m’avait été
précisé d’entrée que chaque fois que mes mains quitteraient ma
tête, le coup ne compterait pas. Et pour que j’intègre bien les
règles de son jeu, il m’a laissée un long moment ainsi, toute
nue, mains sur la tête, frissonnante. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
a lentement tourné autour de moi, un peu comme s’il voulait
découvrir son terrain de jeu, comme s’il ne le connaissait pas.
J’avais auparavant déposé l’instrument dont il comptait bien
se servir sur la table du salon. Il s’en est emparé, il a fait
glisser les lanières sur sa paume, comme pour les tester, comme pour
vérifier leur velouté. Il m’a demandé ; presque tendrement
je vous assure : « prête, madame ? » et je me
suis entendu répondre, la voix quand même un peu voilée :
« oui, monsieur » Il a encore précisé : « vingt
coups, et je veux les entendre compter ». Puis, tout de suite,
le premier coup m’a déchiré les fesses. Vous le savez, elles ne
sont pas vierges de coups ni de meurtrissures. Et elles ne sont donc
pas douillettes. De plus, même si cela avait commencé par un moment
de pure douceur et de pur bonheur, ma première séance s’était
terminée par de grandes volées cruelles, et délicieuses. Pourtant
la douleur qui m’incendia les fesses m’arracha un cri que je ne
tentai même pas de ravaler. Immédiatement, sans même que j’en
aie conscience, mes deux mains sont venues se plaquer sur mes fesses
meurtries et j’entamai une sorte de piétinement sur place. Il ne
disait rien, il se contentait de me regarder, les bras croisés, avec
cet insupportable sourire, mi railleur, mi pervers. Et quand mes yeux
rencontrèrent les siens, il se contenta d’un signe négatif de la
tête. Il savait que j’avais déjà compris. Sans même qu’il
n’eut à le répéter, j’ai remis mes mains sur la tête, et je
me suis redressée. Je n’avais reçu qu’un coup, mais déjà les
larmes me montaient aux yeux. De la même voix à la fois calme et,
une fois encore, presque tendre, il reprit : « vingt
coups, madame, et je vous écoute » Et vlan, une nouvelle
déchirure. Cette fois j’ai eu la présence d’esprit de lancer
« un !» et la force de laisser mes mains où elles
étaient, esquissant juste un piétinement sur place puis reprenant
ma position. </span></span><span style="color: maroon;"><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Mais
la voix reprit, implacable,:</span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">
« un, Monsieur, s’il vous plaît madame » Et il avait
bien appuyé sur le « monsieur ». Une fois encore j’avais
compris et quand les lanières me lacérèrent une nouvelle fois le
derrière je ne cherchai pas à biaiser en comptant « deux »,
je savais déjà que le coup précédant ne compterait pas non plus.
Alors, vaincue, j’articulai « un, Monsieur ». Je
parvins à ne plus faire d’erreur, et c’est donc au total par
vingt deux fois que la chevelure de cuir s’abattit sur ma peau. Des
coups espacés, comme pour laisser le temps à la victime de sentir
la brûlure se diffuser. Puis, parfois, trois ou quatre cinglées à
la suite, en rafale. Et il me fallait pourtant parvenir à crier
presque « huit, monsieur, neuf, monsieur, dix, monsieur ! »
Mes doigts étaient croisés sur ma tête, pour les empêcher de se
séparer. A tel point que quand la punition fut terminée, j’eus
presque de la difficulté à baisser mes mains. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
sautillais sur place, d’une jambe sur l’autre, incapable de
rester immobile. Je sais que mon comptage se mêlait à mes
piaillements. J’ai continué un moment mon piétinement, puis j’ai
demandé humblement : « je peux » ? Il a
compris et a hoché la tête, m’autorisant ainsi à me frotter
doucement les fesses pour atténuer la douleur. La suite fut, vous
vous en doutez, plus tendre. Et celui qui venait d’être mon
bourreau – le terme est à peine exagéré – su se montrer, je
l’avoue, le plus fougueux des amants. Il me fit même l’aveu
d’avoir beaucoup apprécié de me voir ainsi, nue et offerte,
sautillant sur place ce qui amenait mes seins à se balancer en
cadence. Et peut-être était-ce pour les remercier de leur ballet
érotique qu’il choisit de fourrer son sexe tendu entre eux, en les
agitant de telles manières qu’ils le branlaient jusqu’à ce que
plaisir s’en suive et qu’ils fussent largement arrosés d’une
crème de beauté épaisse et odorante. Il me pria – mais vous
savez qu’en ces circonstances prière vaut ordre – de « ne
pas me laver » avant de sortir. Et comme il était hors de
question que j’impose à mes pauvres fesses meurtries le frottement
d’une culotte, c’est littéralement « le cul nu » et
les seins maculés de traces blanchâtres que je suis sortie ce soir
là. Vous ne serez pas étonnée que mon mari fut fort attentionné
au cours de cette soirée, par ailleurs assez ennuyeuse, ni qu’à
notre retour il sut comment se faire pardonner, s’il en était
besoin, de sa sévérité de l’après-midi. A propos de sévérité,
il me semble que vous avez encore quelques histoires dont vous avez
le secret avec la complicité de vos amies à me raconter …non ?</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><br />
Je
vous embrasse</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Caro</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1902_579450151"></a>
Chapitre 16 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de
Mme A </b>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc245_805917996"></a>« Juliette,
encore »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Dans
une précédente lettre à son amie Caroline, Anne Charlotte a
reproduit, presque mot à mot, la conversation qu’elle a eue avec
Juliette à propos des habitudes de leurs maris réciproques. Cette
dernière lui a appris que leur amie commune, la belle Lucie avait
raconté que Caroline elle aussi recevait la fessée de son mari.
Elle poursuit aujourd’hui le récit des confidences de Juliette.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
toute belle,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">C’est
avec toujours le même plaisir que je lis le récit des exploits de
votre mari sur vos fesses. Et je vois que le bougre a vite appris en
la matière. Visiblement, vous êtes tombée sur un esthète de la
chose, ma chère. Et vous comprendrez combien je suis émue en vous
imaginant nue, debout, les mains sur la tête, et sautillant sur
place à chaque fois que les lanières viennent vous mordre le
derrière. Pour tout vous dire, les pointes de mes seins se
durcissent quand j’imagine comment votre belle poitrine doit
balancer quand vous dansez ainsi. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mais
je ne serai pas en reste vis-à-vis de vous, ma belle. Comme vous
l’écrivez, j’ai en effet une suite à apporter aux confidences
de mon amie Juliette. Mais cette fois il ne s’agit pas des fessées
que cette bonne amie reçoit de son époux, mais bien de celle
qu’elle a flanquée à la petite Lucie. Bien sur je n’ai, quand
même, pas pris de notes quand elle m’en a fait le récit. Pourtant
je vais essayer de vous répéter aussi exactement que possible notre
conversation.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous savez, ma chère, que vous m’avez intriguée l’autre fois en
me parlant de la manière dont vous auriez tenté e faire perdre à
notre chère ingénue son habitude d’être trop bavarde ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
Je me doutais bien que mes paroles auraient excitées votre
curiosité ! Et je savais bien aussi que vous conviendriez que
la belle Lucie pêche trop souvent par son bavardage impénitent.
D’ailleurs, si vous vous en souvenez, c’était déjà la raison
de la bonne fessée que son mari lui a flanquée lors de cette
fameuse soirée.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Je sais. Mais, jusqu’à ce que vous m’en parliez, je n’imaginais
pas qu’elle aurait été jusqu’à vous faire part de ce que je
lui avais innocemment confié.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
« Innocemment » ? Comme vous y allez, ma chère !
Croyez vous vraiment que nous agissions, vous, elle et moi, aussi
innocemment ? En tout cas, je peux vous assurer que notre jeune
amie a très bien compris à quoi je faisais allusion quand, au
détour d’une conversation, je lui ai lancé tout à trac :
« Malgré la sévérité de votre époux, il me semble que vous
ne vous êtes pas vraiment amendée côté excès de papotages, ma
petite » Elle a juste un peu rougi, et a murmuré : «
c’est vrai que j’ai du mal à tenir ma langue, mon mari m’en
fait souvent le reproche » Et comme je remarquais qu’elle en
payait le prix sur les fesses, elle a acquiescé avec un petit
sourire, mi désolé mi amusé. J’en ai profité pour ajouter que
je n’osais imaginer ce qu’elles subiraient si son mari apprenait
comment elle « colportait », c’est le terme que j’ai
utilisé à dessein, les histoires de couples de ses amis. Et elle a</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>reconnu
sans ambages : « Ca c’est sûr qu’il serait furieux,
je n’ose même pas imaginer la trempe que je recevrais ! »
en ajoutant, avec ce sourire qui lui éclaire si bien le visage :
« heureusement qu’il n’en saura rien » Mais son
sourire s’est figé quand j’ai répondu : « en êtes
vous si assurée ma petite ? Croyez vous que vous pouvez ainsi
jaser sur les unes et sur les autres, répéter à l’envi ce que
vos amies vous confient en secret, mettre à nu l’intimité des
amis de votre mari sans qu’un jour l’une d’elles ne le lui
rapporte ? » Le sourire avait complètement disparu et la
belle a bredouillé « Oh…vous ne feriez pas ça, vous, mon
amie ? » J’ai profité de son trouble pour enfoncer le
clou en m’écriant : « mais pourquoi pas ? Vous
voudriez que je me rende complice de vos turpitudes, ma petite ?
Et vous pensez qu’on peut ainsi bavasser sans jamais en payer les
conséquences ? Se serait trop facile, vous ne croyez pas ? »
Cette fois notre petite Lucie commençait vraiment à perdre
contenance. Elle m’a presque supplié : « Je vous en
prie, mon bonne amie, ne faite pas cela, ne me trahissez pas, je vous
promets de me corriger » Le mot était trop beau pour que je le
laisse passer, j’ai planté mon regard dans ses yeux et j’ai
décrété : « Je ne pense pas que vous puissiez vous
corriger seule, ma petite. Je crois vraiment que vous avez besoin
d’une vraie correction ! » Son regard s’est vraiment
affolé, les larmes commençaient à perler aux coins de ses jolis
yeux et elle a pleurniché : « S’il vous plaît, non, ne
lui dites rien. Tout mais pas ça ! Ce n’est pas seulement la
fessée qu’il me donnerait qui me fait peur, vous savez, j’en ai
connu d’autres, mais j’aurais trop honte ! » </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
</span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Ainsi elle commençait à presque reconnaître ses torts ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
Tout à fait ! Elle ne discutait déjà plus la raison de la
punition. Je le lui ai fait remarquer, et elle a acquiescé en
reniflant « oui, c’est vrai, mais je ne veux pas que vous lui
racontiez, je ne veux pas » Elle était redevenue la petite
fille têtue, elle tapait presque du pied. Je me suis alors levée
brusquement et j’ai changé de ton : « Vous nele voulez
pas ! Voilà qui est nouveau, ma petite. Pensez vous vraiment
que vous ayez à décider ? » Elle est restée
interloquée, bouche bée, et j’ai profité de mon avantage pour la
prendre par l’oreille, comme une sale gamine, en m’écriant :
« Eh bien, ma petite, vous allez être comblée, vous n’aurez
pas à être punie par votre mari, je vais m’en charger ici et tout
de suite » C’était comme si on avait coupé les fils d’une
marionnette. Elle s’est laissé traîner jusqu’au canapé que je
venais de quitter sans même tenter de résister. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Elle avait compris que vous vouliez ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Ah ça, elle ne se faisait plus d’illusions ! Elle allait même
s’allonger d’elle-même au travers de mes genoux quand je me suis
assise avant même que je ne le lui ordonne. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais, vous, Juliette, vous aviez, comment dire, prémédité tout
cela ? Vous aviez décidé de la …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Non, vraiment pas ! Les mots nous ont entraînées, voilà tout.
Et quand j’ai senti la belle prête à subir ce qu’en effet je
n’avais pas planifié, je dois avouer que cela m’est apparu comme
évident. C’était comme si j’avais fait cela toute ma vie. J’ai
même corsé la chose en l’arrêtant d’un geste pour lui dire :
« Pas de cachotteries entre nous, ma petite. Je ne vais quand
même pas devoir vous apprendre comment on est punie quand on fait
des bêtises ! Allez, hop ; mettez vous en tenue ! »
Elle n’a pas fait celle qui ne comprends pas, je vous assure. En un
clin d’œil elle a soulevé su jupette au dessus de sa taille.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.(riant)
ah, elle était en jupe, cela facilite les choses !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Oui, d’ailleurs je ne l’ai jamais vu habillée autrement, il faut
croire qu’en mari avisé le sien l’exige, pour qu’elle soit
toujours disponible ! Et je n’ai même pas eu besoin
d’insister pour que, d’elle-même, elle baisse sa petite culotte
rouge jusqu’à ses pieds avant de venir bien sagement s’allonger.
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Ho ! Elle s’est déculottée ? Elle vous a montré son ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
(riant) Hé oui, elle m’a montré son cul, appelons la chose par
son noms! Cul qu’elle a d’ailleurs fort joli ! Bien sur ce
n’était pas vraiment une découverte pour moi, puisque j’avais
déjà eu l’occasion de voir le popotin de la gamine chez nos amis.
Mais je ne m’étais pas rendu compte alors qu’il était aussi
mignon ! Deux petites fesses bien rondes, charnues, rebondies
sans être grosses, avec deux adorables fossettes au creux des reins.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Mais … vous en parlez comme un homme parle des fesses d’une
femme ! En tout cas vous ne semblez pas être resté
indifférente.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Eh bien oui, je le confesse, ma chère, la vision de ce beau petit
cul m’a troublée! Avant même que la première claque ne tombe,
j’ai senti cette crispation là où vous savez qui annonce …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Mais ..vous voulez dire … ??</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Eh oui, ma chère. Ne faites pas l’effarouchée ou la mijaurée,
nous sommes entre femmes, que diable ! Quel mal y aurait-il à
vous avouer que voir ce derrière si charmant m’a fait mouiller ma
culotte ? Et vous-même, ma chère Anne Charlotte, pourriez
vous m’affirmer qu’en ce moment la vôtre est … si aride ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Vous
imaginez, ma chère, ma stupéfaction devant autant de naturel chez
cette femme d’allure si stricte par ailleurs. J’avoue que j’ai
senti le rouge me monter aux joues, d’autant plus qu’en effet….
J’ai balbutié une vague réponse et Juliette s’est écrié en
riant à belles dents :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
Vous voyez que nous sommes toutes faites pareil ! D’ailleurs
pourquoi aurions-nous ces conversations si, quelque part, cela ne
nous donnait pas un peu de bonheur ? Pourquoi faudrait-il qu’il
n’y ait qu’en présence de ces messieurs que nos corps puissent
s’exprimer ? Faudrait-il que j’ai honte de dire que quand
j’ai commencé à claquer ce popotin adorable les soubresauts de la
belle sur mon bas ventre ont amené celui-ci à couler comme une
fontaine, jusqu’à ce que je ressente cette explosion qui conclut
nos moments les plus agréables ? Je vous choque, ma chère ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Non … non,…ainsi vous avez …pris du plaisir à la fesser ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
En un mot comme en cent : oui ! Pour le dire sans plus de
circonvolutions, j’ai joui de voir ses fesses devenir cramoisies,
de les voir ballotter au rythme de mes claques, de voir la belle
agiter ses jambes en découvrant largement son intimité. Oui, ma
chère, j’ai pris mon pied en voyant ses fesses s’ouvrir et
laisser voir son petit œillet Voilà, c’est dit ! Et
pourtant, je vous assure que ce plaisir ne m’a pas amenée à
retenir ma main ! Je peux vous assurer qu’elle a reçu une
belle et bonne fessée !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Elle a su retenir ses larmes ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Non, ni ses larmes ni ses cris. Je pense qu’elle se contenait moins
que lors de sa fessée maritale. Pour dire les choses, elle a crié
comme un goret ! Elle ne cessait de crier des « ouilles »
des « ça fait mal madame » et même des « je ne
parlerai plus….pardon madame » comme une petite fille. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
C’est peut-être aussi cela qui vous a tant animée, vous ne pensez
pas ? De jouer en quelque sorte le rôle de la maman sévère ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Peut-être, en effet, je ne le nie pas. Il est vrai qu’elle est
plus jeune que moi, et qu’elle joue à merveille la petite fille ou
la petite peste ! D’ailleurs quand j’ai jugé qu’elle en
avait assez reçu, je l’ai mise au coin !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Non, vous vous moquez de moi !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Non, pas du tout. Pourquoi le ferai-je ? Quand elle s’est
levée, elle avait le visage couvert de larmes qui avaient fait
couler son maquillage. Elle reniflait en se frottant les fesses et en
piétinant sur place. Je lui ai montré le mur en disant d’une voix
ferme : « Nez au mur, ma petite, et mains sur la tête »
Elle n’a pas tenté de discuter, elle y est allée, traversant la
pièce sans même remonter son slip !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
voilà, ma chère, comment cette Juliette m’a avoué sans la
moindre hésitation le trouble qui a été le sien en fessant la
petite peste. Dois-je vous dire que, moi aussi, j’étais …émue
en entendant cette confession. Jusque là, jamais l’idée de
recevoir une fessée d’une femme ne m’avait effleurée. Je ne
l’envisage en aucune manière. Mais vous savez qu’on ne maîtrise
pas toujours ses fantasmes. Aussi, le soir même …. Mais je vous
raconterai une autre fois.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Portez
vous bien …</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Soyez
sage …</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Sinon
j’appelle mon amie Juliette !</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre,
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C..</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1904_579450151"></a>
Chapitre 17 : <br />
Lettre de Mme A à son amie Mme De
V**
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc247_805917996"></a>« La
canne »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Caroline
et Anne – Charlotte, amies d’enfance toutes deux mariées,
entretiennent une correspondance régulière et confidentielle. L’une
et l’autre ont en effet en commun de recevoir régulièrement la
fessée de leurs époux respectifs. Elles prennent un véritable
plaisir à lire les récits des séances subies par l’autre, comme
à raconter celles qu’elles reçoivent. Anne – Charlotte n’a
d’ailleurs pas caché à son amie qu’il lui était arrivé de se
caresser en lisant ses lettres, et elle sait aujourd’hui que c’est
réciproque. De plus, par les confidences de deux autres femmes,
elle s’est rendu compte que son amie et elle n’étaient pas les
seules épouses à connaître la sévérité maritale. Deux de ses
amies lui ont en effet avoué non seulement être elles aussi
régulièrement fessées, mais aussi l’avoir déjà été devant
témoins. L’une d’elle a de plus elle-même flanqué une fessée
à une autre femme, et cela ne lui a pas été indifférent.
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Quelques
mois après leurs premières confidences sur ce sujet, Caroline, qui
était novice en la matière au début alors que son amie la recevait
depuis longtemps, a elle aussi découvert le martinet, et son mari
est aussi devenu plus sévère. Son amie lui a même suggéré que
son intérêt pour les histoires de fessées chez les autres l’avait
peut-être amenée à avoir des attitudes qui « appelaient la
fessée ». Bien qu’elle s’en défende, la nouvelle qu’elle
annonce à Anne – Charlotte dans cette nouvelle lettre va tout à
fait dans ce sens.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère et tendre amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
vous est arrivé de faire plus que sous entendre que je serais, par
mon attitude, à l’origine du regain de sévérité de mon époux,
ou tout du moins de son goût de plus en plus affirmé pour la
manifestation de celle si sur mon postérieur. Pourtant, si je ne
vous ai jamais caché – même si j’en avais tellement honte au
début de nos échanges – que ces séances si douloureuses
soient-elles n’étaient pas sans effet sur mes sens, je vous assure
que leur fréquence est telle depuis quelques mois que je n’ai
vraiment nul besoin de les provoquer. D’autant que Monsieur semble
avoir pris goût aux innovations et qu’après m’avoir fait
découvrir, dans les conditions que je vous ai racontées, le
martinet des enfants, il a cru bon de révéler d’autres
instruments à mes fesses qui n’en demandaient pas tant. Ainsi, aux
alentours de Noël, ai-je découvert un soir, dépassant du porte
parapluie de notre entrée, la poignée de cuir noir tressée de la
cravache qui traînait dans le bric–à -brac du garage depuis des
années, mon cher mari n’ayant pas poursuivi la pratique de
l’équitation de sa jeunesse. J’avais même été presque plus
flattée que choquée le soir où, après qu’il m’ait besognée
par l’arrière il s’était écrié « C’est quand même
meilleur de monter sa chérie qu’un cheval ! » Remarque
qui ne brille certes pas par son élégance ni par son respect pour
l’épouse que je suis mais qui, dans ces circonstances, m’avait
semblé une sorte de compliment gaillard. L’analogie entre l’art
équestre et l’érotisme conjugal ne s’est d’ailleurs pas
arrêtée là, et à plusieurs reprises, alors que nos cabrioles
amoureuses m’amenaient à lui présenter mes arrières, il s’est
mis à me tirer les cheveux, comme s’il s’agissait de la crinière
d’un cheval, tout en me bourrant de grands coups de reins comme au
rythme d’une chevauchée furieuse. Et pour compléter le tableau,
il claquait mes fesses comme un cavalier cravache sa monture. Je ne
dirais certainement que se faire ainsi malmener la chevelure soit
jouissif. Par contre, comment ne pas reconnaître que cette
possession furieuse ne m’a pas laissée indifférente ? Pour
autant, et c’est la preuve que malgré les étapes que mon maître
et mari m’a fait parcourir dans la perversion, je suis encore
naïve, je n’ai pas compris tout de suite pourquoi cet objet
insolite se trouvait là. Je ne l’ai compris que le soir, quand le
susdit maître a décidé, pour une raison dont je n’ai gardé
aucun souvenir, de s’occuper de me fesses avant que nous n’ayons
rejoint la chambre conjugale. Quand je me suis retrouvée « à
poil » selon l’expression sans ambiguïté de mon mari,
debout, les mains posées sur le manteau de la cheminée et sommée
« d’écarter les jambes et de bien présenter mon cul »
je m’attendais à ce qu’il aille chercher le fameux « Marcel »
voire que, comme il l’avait déjà fait une fois ou deux, il fasse
coulisser sa ceinture pour m’en flatter les fesses. Mais non, c’est
une douleur à laquelle je ne m’attendais pas qui m’a fait
littéralement sauter en l’air. C’était comme si toute l’énergie
d’une fessée s’était concentrée sur un point précis,
minuscule, de mes fesses. Et quand je me suis retournée, j’ai vu
mon mari, souriant, qui faisait doucement claquer l’extrémité de
la fameuse cravache dans la paume de sa main gauche en disant :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">-
«</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> Mon
petit cheval va reprendre sa place, et cesser de ruer ! Et il va
prendre sa douzaine sans bouger les mains.</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">J’avais
déjà compris la règle du jeu. Depuis un moment déjà mon
tourmenteur conjugal avait la manie de scander ses fessées par
douzaine. Douze claques sur chaque fesse, douze coups de martinet sur
les cuisses, ou ce qu’il appelait « la grosse » :
douze fois douze claques. J’aurai donc à supporter le claquement
de cette petite languette de cuir douze fois sans lâcher le manteau
de la cheminée, faute de quoi il reprendrait du début. Au moins,
puisque monsieur jouait à cingler la croupe d’un cheval, celui-ci
n’aurait pas à compter les coups à voix haute ! J’ai fait
en sorte que la punition ne soit pas allongée, sans pousser quand
même le jeu jusqu’à hennir, mais pas sans crier cependant. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Mais
visiblement, cette nouveauté n’a pas suffi à Monsieur. La semaine
dernière, un livreur a déposé à la maison un colis à l’adresse
du maître de maison. Je n’y ai pas fait plus attention que cela,
me contentant de le laisser dans l’entrée, là où il l’a trouvé
en revenant à la maison. Ce n’est que plus tard que je me suis
souvenu qu’il avait emmené le paquet dans son bureau sans m’en
parler. Et c’est dans ce même bureau qu’il m’a demandé de le
rejoindre avant le dîner. Quand je suis entrée, j’ai vu sur son
bureau une bouteille de champagne, deux verres, et une sorte de boîte
longue et étroite en bois verni.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Ma
chérie, nous allons fêter l’arrivée d’un cadeau pour nous »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Un
cadeau ? Mais pourquoi ? Qu’est ce que c’est ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« C’est
une surprise … buvons d’abord à notre amour, ma chérie »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
verse deux verres, nous trinquons, nous buvons une ou deux gorgées,
et la curiosité me pousse à lui demander :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais,
c’est quoi ce cadeau ? C’est ça ? » en désignant
la boite de bois.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Regarde
toi-même, ma chérie. Je pense vraiment que maintenant tu es prête
pour cela. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Sans
comprendre je m’approche et je vois l’étiquette de cuivre sur la
boite, marquée « English Canne and Stick Tradition »
tandis qu’il m’encourage : </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Ouvre-la
… »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
fais jouer la fermeture et je soulève le couvercle, découvrant une
sorte de boîte capitonnée d’un tissu soyeux violet sur lequel
repose une sorte de tige en bois clair. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
…qu’est-ce que c’est ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu
ne vois pas ? Je pense que tes fesses peuvent découvrir cela
maintenant »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
sors le morceau de bois, le prends en main, et immédiatement je le
lui tends, il le saisit et le fait se plier un peu, comme pour
l’éprouver puis le fait siffler en l’air. Bien sûr, j’ai
quand même compris, et je suis terrorisée. Il s’agit d’une
tige de bois d’un peu moins d’un mètre de long, large d’à peu
près un centimètre et épaisse de la moitié. Au toucher le bois
semble un peu satiné. Elle est un peu plus épaisse à un bout,
comme pour être prise en main par une sorte de poignée.. Une canne,
c’est une canne, cet instrument terrible utilisé pour les
punitions en Grande Bretagne. Il fait passer lentement l’objet
dans le creux de sa main, comme pour en constater la douceur. Et pour
l’avoir moi-même touché, je sais qu’en effet le bois est très
doux. Ce qui n’empêchera évidemment pas l’objet d’être
terriblement blessant s’il est utilisé avec vigueur. Or, sans rien
cacher de ses intentions, il agite cet objet dans l’air, vérifiant
ainsi sa flexibilité et faisant siffler l’air.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu
ne vas pas …. Tu ne veux pas … ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
si, ma chérie, il est temps que tu vives cette étape, je suis sûr
que je vais être fier de toi »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
c’est … c’est … »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Oui,
c’est une canne, ma chérie. A strik comme disent nos amis anglais.
Un grand moment de tradition. Je sais que tu le mérites, je
sais que tu ne me décevras pas»</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu…tu
veux vraiment me frapper avec cela ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Te
frapper ? Tu sais bien que non, mon amour. Je ne t’ai jamais
frappée, ma chérie. Mais, oui, je vais te cingler les fesses, je
vais te marquer le cul mon amour. Je veux que ton cul porte les
zébrures de mon amour. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
…pourquoi ? Qu’est ce que j’ai fait ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
rien, ma chérie. Je ne veux pas te punir, je veux te montrer combien
je t’aime. Je veux t’accompagner dans une grande découverte.
Allez, va te mettre en place. »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
ne me demandait pas si je voulais, et en même temps il n’ordonnait
pas vraiment. Sa voix n’avait pas la sévérité qu’il sait lui
donner quand il veut me tanner les fesses pour ce qu’il estime ou
feint d’estimer une bonne raison. J’aurais peut-être pu refuser,
discuter, le faire changer d’avis. Mais est-ce vraiment cela que je
voulais ? A vrai dire, à la réflexion, il me semble que dès
que j’ai eu compris ce qu’était cet objet et ce à quoi il
devait servir, j’avais déjà admis ce qui allait suivre. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Retire
ta robe, ma chérie, et penche toi sur le dossier du fauteuil, pose
tes mains sur l’assise, tu seras mieux ainsi »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">J’ai
à peine hésité une fraction de seconde. Il me regardait avec des
yeux brillants, amoureux je pense, tout en appréciant la flexibilité
de la canne. En le regardant bien en face, j’ai fait passer ma robe
par la tête, et je me suis retrouvée en soutien gorge et culotte. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Laisse
tes bas, retire tes chaussures et installe toi, tu es parfaite
ainsi »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
me suis positionnée comme il me l’avait demandé, le souffle un
peu court, le cœur battant. Il s’est positionné près de moi, et
il a posé la baguette de bois sur mes fesses. Il a juste tapoté un
petit coup, comme pour découvrir le terrain. Puis je l’ai entendu
dire, d’une voix un peu étranglée :</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Baisse
ta culotte, s’il te plaît, jusqu’aux genoux, et écarte un peu
plus les jambes. »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">J’ai
fait comme il le demandait, me retrouvant ainsi les jambes entravées
par mon slip tendu entre mes genoux. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Pour
la première fois, ce sera seulement six coups ma chérie »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Une
nouvelle fois, il a posé la tige de bois, mais directement sur mes
fesses cette fois. Curieusement le bois n’était pas froid, il
était même plutôt doux, comme presque velouté. Il a encore tapoté
trois ou quatre coups, très légers. Puis j’ai entendu un
sifflement bref, interrompu par un bruit sec, et j’ai su que la
canne s’abattait sur mon derrière. Mais curieusement je n’ai pas
senti la douleur comme lors d’une claque à la main ou d’un coup
de martinet. J’ai senti l’impact sur ma peau, j’ai senti mes
fesses se contracter, mais ce n’est qu’une fraction de seconde
plus tard que la douleur a véritablement explosé. Je sais que j’ai
alors rugi, un cri tripal. J’ai vraiment eu le sentiment que ma
peau avait été déchirée, lacérée. J’en ai eu le souffle
coupé. Je sais que tout en psalmodiant une plainte continue
j’ouvrais la bouche comme un poisson hors de l’eau. J’ai porté
les mains à mes fesses, et j’ai presque été étonnée qu’elles
ne soient pas en sang. J’ai juste effleuré l’endroit où la
canne avait cinglé mon cul, ravivant encore, si c’est possible,
l’intolérable douleur. J’ai encore sautillé quelques instants,
les mains plaquées sur mon cul, sans que mon mari ne m’en fasse le
reproche. L’impact de la canne sur mes fesses provoquait une
souffrance totalement différente de toutes celles causées par la
main ou par d’autres instruments. Ici la douleur était comme
concentrée, ramassée sur ce mince trait qui me coupait le derrière.
Elle ne se diffusait pas sur toute la surface comme la claque d’une
main l’averse des lanières d’un martinet. Même quand c’était
une ceinture, à peine plus large en fait que cette canne, qui
m’avait lacéré les fesses, la douleur s’était en quelque sorte
diffusée depuis l’impact vers l’extérieur. Un peu comme quand
une goutte d’eau tombe sur un sol sec qui l’absorbe en étendant
la tâche autour. Ici rien de tout cela, je peux même dire au
contraire. Il me semble que la sensation de déchirure se réfractait,
non en violence mais en surface concernée. Cette ligne nette de
douleur absolue absorbait, avalait, non seulement toute la surface de
mon cul mais en quelque sorte toute ma personne. J’étais toute
entière réduite à ce trait rectiligne. Mais malgré la sensation
de déchirure qui commençait à peine à s’estomper, c’est sans
que mon mari ait eu besoin de m’en donner l’ordre que je me suis
remise en position. Est-ce de ma part obéissance ou fierté ?
Il m’en avait annoncé six, je n’ai pas vraiment envisagé
la possibilité que je ne les reçoive pas. A posteriori, je pense
que si j’avais demandé à en rester là, mon mari qui est tout
sauf une brute, aurait aussitôt cessé. Je n’y ai pas pensé un
seul instant. Autant il m’est arrivé, lors de fessées manuelles,
d’implorer son pardon, de lui demander de cesser – tout en
sachant qu’il n’en ferait rien – autant, ici, et peut-être
parce que je savais inconsciemment qu’il le ferait si je le lui
demandais, la tentation de lui demander d’arrêter ne m’a pas
effleurée. Je me suis donc repositionnée exactement comme pour la
première frappe. Le buste penché par-dessus le dossier du fauteuil,
les hanches contre celui-ci. Je pense que je ne serais pas parvenu à
garder la position si je n’avais pas eu ce support. Les mains
posées sur les accoudoirs. Je n’ai pas prononcé un mot, à part
bien sur ce cri qui venait plus de mon ventre que de ma tête. Mon
mari non plus. Le silence était redevenu total, compact. Et c’est
donc encore à cinq reprises que le cycle a repris. Canne posée sur
le derrière, tapotements légers, comme s’il cherchait à définir
précisément l’impact du prochain coup, puis ce sifflement de
serpent qui va mordre, ce « shlcak » très bref, qu’à
chaque fois j’ai entendu à l’ultime fraction de seconde avant de
sentir la peau exploser. Avec à chaque fois cette même sensation de
déchirure. Un fin trait de douleur absolue, qui semble hésiter un
instant avant de pénétrer au plus profond de moi-même, comme si
l’instrument n’était pas resté à la surface de la peau mais
était véritablement entré en moi. Puis la barre de fer portée au
rouge revient du plus profond de moi jusqu’à exploser une seconde
fois, comme une mine qui fait se soulever la terre. Et à chaque fois
ce cri, au-delà de la conscience, incontrôlable. Un hurlement venu
des tripes, qui se prolonge par une longue plainte, par de multiples
jappements, tandis que mes mains tentent d’atténuer la cuisson, ne
faisant en fait que la raviver quand elles touchent la ligne
incandescente marquée par l’instrument. A chaque impact, mon corps
s’est redressé comme un ressort qu’on lâche. Après chaque
coup j’ai entamé cette sorte de danse sur place, d’un pied sur
l’autre, sautillements et piétinements mélangés. A chaque fois
j’ai eu le sentiment que, cette fois, ma peau avait vraiment
éclatée, comme celle d’une tomate quand on la plonge dans l’eau
bouillante. A chaque fois j’ai porté le bout des doigts sur mes
fesses, persuadée qu’elles étaient en sang. Et à chaque fois ils
n’ont rencontré qu’une nouvelle boursouflure, parallèle à la
précédente. A chaque fois la douleur est allée au-delà du
mesurable. A chaque fois j’ai eu le sentiment que mon cœur s’était
arrêté lors de l’impact, pour repartir follement quand la
souffrance pénétrait tout mon corps. A chaque fois j’ai hurlé,
haleté, aspiré l’air comme si j’allais me noyer. Et à chaque
fois j’ai repris la position pour attendre la frappe suivante. La
première m’avait atteinte juste au milieu des fesses, comme une
sorte d’équateur, parfaitement perpendiculaire à la raie des
fesses. Pour la deuxième, j’ai senti qu’il positionnait la canne
un peu au dessus, et elle s’est abattue très précisément là où
il l’avait prévu. Et chaque frappe suivante a ainsi été
parfaitement parallèle à la précédente. L’une d’entre elles,
peut-être la plus terrible à supporter, frappant mon derrière à
l’ultime limite d’avec les cuisses. Ai-je vraiment compté les
coups ? A vrai dire je n’en sais rien. Je pense que j’ai
compris que la séance était terminée quand la canne a fait un
doublon. Le même sifflement, mais suivi de deux morsures
consécutives, la seconde venant frapper avant même que la
meurtrissure de la première n’ait atteint son paroxysme. Cette
fois, mes jambes ont lâché. Le ressort s’est cassé. Je me suis
retrouvée à terre, roulée en boule, en position fœtale, n’ayant
presque plus la force de crier, mais seulement de pousser une sorte
de long hululement continu et sanglotant. Il m’a fallu un long
moment avant d’être capable, avec l’aide me mon mari, de me
traîner jusqu’au divan pour m’y allonger, sur le ventre, le
visage caché dans le pli de mon coude. Je n’ai même pas eu la
force de chercher à voir dans quel état était mon pauvre cul. Je
peux pourtant vous dire que plusieurs heures plus tard, quand j’ai
pu le regarder dans le miroir de ma salle de bain, il était dans un
état à faire peur. Je n’oserais en définir la couleur, qui
devait osciller entre le bleu – noir et le jaune sale. Mais surtout
il était traversé de part en part par six affreuses lignes, des
boursouflures violacées parfaitement parallèles. La première
presque au niveau de mes reins, juste en dessous en fait (mon homme
m’a expliqué par la suite qu’il lui fallait faire très
attention, justement, à ce que les coups tombent bien sur les fesses
et non pas sur le bas du dos où ils pourraient blesser) et la
dernière presque en dessous du globe fessier. Pendant la séance, et
même après, j’avais eu vraiment la sensation que ma peau avait
réellement éclaté, que mon cul n’était qu’un champ de plaies
béantes. Et je suis tout à fait convaincue qu’en maniant cet
engin on peut tout à fait, en effet, lacérer la peau jusqu’à la
faire saigner. Mais,mon mari avait dosé ses coups pour justement ne
pas aller à cette extrémité qui le révulse. Je vous avoue que je
ne sais toujours pas comment il s’est « entraîné » de
la sorte. Mais si mon derrière n’était pas vraiment en sang, ces
traces boursouflées étaient hypersensibles. Le moindre effleurement
me faisait crier de douleur, une sorte de courant électrique
traversant tout mon corps. Vous ne serez pas étonnée que je sois
restée trois jours sans pouvoir m’asseoir. Chaque fois que j’ai
tenté de le faire, c’était comme si je le faisais sur une plaque
chauffée à blanc. J’ai donc dormi sur le ventre presque huit
jours, mais pendant les trois premiers jours j’ai même mangé à
genoux sur ma chaise ! Et vous devinez la torture que c’était
chaque fois que je devais passer une culotte. Du reste, étant en
plus dans l’incapacité de sortir, je suis restée plusieurs jours
sans même envisager cette possibilité ! Je dois dire que mon
mari en était ravi. Il ne se passait pas une demi-journée sans
qu’il ne vienne me demander de relever ma chemise de nuit (c’est
dans cette tenue que j’ai passé les trois jours qui ont suivi
cette « initiation » pour reprendre les mots de mon cher
mari) pour constater l’état de mon fessier. Vous ne serez pas
étonnée si je vous dis qu’à chaque fois, cette vue entraînait
chez lui la conséquence que vous devinez, et vous comprendrez qu’en
épouse obéissante, je ne laissais pas mon maître et seigneur sans
le soulager… Il était pourtant hors de question, vous le
comprenez, que celui-ci puisse m’honorer dans la position classique
du missionnaire. Du reste, le jour même de la séance, il était
hors de question que j’adopte quelque position que ce soit. Mon
tortionnaire a eu du reste la délicatesse de ne pas même me le
suggérer. Mon fondement était tellement dévasté que je n’aurais
pas supporté la moindre caresse. Il fallait d’abord qu’on
apporte à ce fessier déchiqueté les soins qu’il appelait. Le
soir, mon tortionnaire se muait en infirmier pour appliquer sur mes
pauvres fesses une crème apaisante et cicatrisante. Mais juste après
la séance, c’est d’une autre crème qu’il aspergea mon cul.
Autant vous le dire, au cas où pareille aventure vous arriverait, ce
qu’à Votre Mari ne plaise, cette liqueur qui nous fait tant
plaisir parfois n’a pas les vertus thérapeutiques qu’on pouvait
espérer. Au contraire même, le contact de cette pommade tiède a
plutôt ravivé la brûlure. Mais comment ne pas être en même temps
flattée en entendant celui qui, pourtant, vient de vous mettre le
cul à vif dire, la voix étranglée : «</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> Ne
bouge pas ma chérie, je vais baptiser ton cul »</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">
et de comprendre qu’il a sorti son sexe et est entrain de se
branler jusqu’à ce qu’il gémisse «</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> oui !
Putain qu’il est beau ! je vais venir, je vais l’arroser ma
salope ! Tiens, prends ça ! </i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">»
et de sentir en effet sa jouissance jaillir et venir s’écraser sur
ce champ de bataille labouré qu’était mon cul. Peut-être est-ce
un effet de l’état émotif dans lequel je me trouvais, mais j’ai
eu l’impression qu’il jutait plus abondamment que d’ordinaire.
Son foutre m’a semblé inonder mes fesses, et je le sentais qui
coulait lentement sur elles et jusque dans la raie, venant ainsi
humidifier mon petit trou. Les sanglots et les plaintes n’étaient
pas encore taris, et pourtant il a suffi que mon index vienne à
peine titiller mon bouton pour que les cris de la jouissance viennent
les remplacer, alors que je m’écroulais, usée de douleur et de
plaisir. Je me suis un moment endormie sur ce sofa, les fesses
toujours à l’air. Et plus tard, l’Homme est revenu, m’a
tendrement embrassé, et a susurré à mon oreille combien il était
fier de moi. Les mots crus se mêlaient aux mots tendres : «</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> Tu
as été merveilleuse de courage et de force mon amour. La canne a
révélé combien ton cul est fait pour être meurtri de coups
d’amour. Jamais il n’a été plus beau qu’aujourd’hui. Jamais
je n’avais vu plus beau que ton cul creusé à chaque coup</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">.
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Chaque
trace sur tes fesses est comme une preuve d’amour, de mon amour.
J’ai failli jouir rien qu’en voyant ton cul réagir quand la
canne venait le cingler. Tu sais, mon amour, j’ai dû prendre sur
moi pour aller au bout des six coups que je t’avais promis, tant
j’avais envie de me jeter sur toi pour t’enculer. D’ailleurs,
je vais le faire maintenant ! Ouvre tes fesses ma chérie,
montre moi bien ton petit trou.</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> »
Malgré la douleur qui transformait encore mon cul en volcan, je me
suis exécutée. Aussi délicatement que j’ai pu, en faisant bien
attention à ne pas toucher aux boursouflures qui les défiguraient,
j’ai écarté les fesses de mes deux mains. Je grimaçais de
douleur mais en même temps j’entendais l’Homme qui haletait
« </span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>oui
…vas-y, écarte, ouvre ton cul ! oui, je vois ton œillet, je
vois ton trou du cul ma salope. Je vais le défoncer, je vais
t’enculer comme jamais ! </i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">»
Et il tint sa promesse, et de belle manière ! La simultanéité
entre le frottement presque insupportable de son ventre sur mes
fesses à vif et la dilatation de mon petit trou taraudé par une
bite qui m’a semblé avoir des dimensions nouvelles a entraîné
une véritable explosion. Mon cri était celui de la souffrance
intolérable, de la peau écorchée griffée par la sienne et de
celle de mon pauvre petit trou forcé d’un coup de reins puissant,
qui semblait devoir le faire exploser., Mais c’était aussi le cri
d’une jouissance je ne dirais pas plus forte mais en tout cas
différente de toutes celles que j’avais connues jusque là. Mon
mari profite souvent de ces moments où son dard est planté bien
profond dans mon fondement pour ponctuer ses va-et-vient de grandes
claques sur mes fesses. Il s’en est heureusement abstenu, mais, une
fois sa bite enfoncée jusqu’aux couilles, il s’est redressé à
demi, et a saisi mes seins à pleines mains . «</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> Oui !
Je vais jouir en toi, salope ! Je t’encule à fond, ma
chienne ! Je vais venir mon amour ! Je vais jouir en toi ma
reine ! Je vais te défoncer la rondelle ma putain ! Je
…</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">. »
Le reste a été recouvert par nos deux cris de jouissance. Par trois
ou quatre fois au cours des deux jours qui ont suivi, il m’a ainsi
honorée par les voies détournées. Avec moins de manifestations
orales de son plaisir,mais, me semble-t-il, avec toujours autant de
virilité. Il me semblait que sa bite était infatigable, et que le
sperme se régénérait aussi vite qu’il jaillissait. D’autant
qu’en plus de ces visites de ma porte secrète, le Monsieur avait
tenu, à plusieurs reprises, à se branler sans me toucher mais en
arrosant tantôt mes seins, tantôt mon visage, de l’expression de
son admiration. Jusqu’à ce que soit moi qui, le surlendemain,
prenne l’initiative en lui demandant, presque humblement,
l’autorisation de le sucer. Je suis restée sur le ventre, il est
venu s’agenouiller sur l’accoudoir du canapé, me présentant sa
bite comme une offrande. Je l’ai absorbée goulûment, et je me
suis mise à le pomper de toutes mes forces, tout en massant ses
couilles d’une main et en introduisant l’index de l’autre entre
ses fesses. Une fois encore, il n’a pas pu ne pas me faire partager
la montée de son plaisir. « </span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Vas-y,
suce moi, suce moi à fond ! Bouffe ma bite ! Nom de Dieu,
je vois ton cul ! Je t’ai marqué le cul ma salope, je t’ai
zébré ton cul, et maintenant je vais …</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> »
il n’a pas pu aller plus loin, j’avais enfoncé d’un coup mon
doigt dans son cul, déclenchant chez lui un coup de reins à me
décrocher la mâchoire. Sa bite est venue au fond de ma gorge, je me
suis juste reculée à temps pour sentir son jus en jaillir, inonder
ma bouche, recouvrir mes gencives et déborder par la commissure des
lèvres tandis qu’il avait lâché mes seins pour me saisir par les
cheveux et m’enfoncer son dard encore plus profond en beuglant « </span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>je
t’emplis ! Avale mon amour ! Bois ma salope ! »</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">
Pour finir par ces mots dont vous comprendrez qu’ils justifieraient
à eux seulz l’épreuve que j’ai vécue : « </span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Argh !!
Putain je t’aime ! </i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">»
Mais est-ce vraiment pour cela que j’ai supporté cette douleur à
proprement parler insupportable ? Que j’ai accepté qu’à
six reprises mon cul soit véritablement déchiré ? Que j’ai
pu souffrir plus que jamais je n’avais souffert ? Que les
larmes ont coulé de mes yeux dés la première frappe, que j’ai
crié ma douleur à pleine voix, que j’ai trépigné, sautillé,
hululé de douleur ? A vrai dire, je n’en suis pas sûre. .
Alors est-ce par devoir d’obéissance à mon époux ?
Certainement pas. Vous êtes bien placée pour savoir que celui qui
obéit le plus n’est pas toujours celle qu’on pense dans ce genre
de moments. Rien n’est plus loin de moi que la femme soumise,
n’osant rien refuser à un homme. Et pour tout dire rien n’est
plus loin de mon mari que l’époux brutal jouissant de l’obéissance
servile de sa femme. Même si vous savez aussi que ces moments ne
sont en rien des jeux, des simulacres. J’ai été flagellée à
coups de canne, ma peau a été blessée, meurtrie au-delà de
l’imaginable. Mon homme n’a pas « fait comme si » il
me tannait les fesses à la canne. Il l’a fait. Vraiment.
Sérieusement. Violemment. En ai-je ressenti une sorte de plaisir
masochiste ? En aucune manière. J’ai peur de la souffrance,
je la hais, je l’évite autant que je peux. Je n’aime pas
souffrir. Et pourtant je l’ai accepté, consciemment, presque
sereinement. Par fierté ? Pour me prouver que je pouvais le
faire ? Pour le lui prouver, à lui ? Je n’en sais rien.
Ai-je accepté ces moments si difficiles pour faire plaisir à mon
homme ? Je ne pense pas. Pour qu’il m’en aime plus ?
Qui peut le dire ? Je n’ai pas joui d’être battue. Tout au
contraire j’ai souffert au-delà de ce que je peux exprimer. Et
pourtant, comment nier que j’ai aussi joui, peut-être pas plus,
mais en tout cas différemment que jamais auparavant. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Vous
ne serez pas étonnée si je vous dis qu’en écrivant ces mots, et
bien que mon cul soit encore défiguré et douloureux, la mouille me
dégouline de la foufoune. Je vous aime trop pour souhaiter que vous
subissiez un jour un tel traitement. Et je vous aime trop pour ne pas
vous souhaiter de le découvrir.</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre
amie qui s’enfonce dans le vice avec délectation </span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Caro</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western" style="page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1906_579450151"></a>
Chapitre 18:<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de Mme A </b>
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc249_805917996"></a>« Les
scurpules d’Anne - Charlotte »</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Depuis
des mois Anne Charlotte et Caroline s’échangent une correspondance
des plus intimes, où l’une et l’autre exposent les manières
sévères de leurs maris réciproques. Caroline a ainsi révélé à
son amie qu’elle avait reçu une correction à la canne. Ce n’est
que trois semaines plus tard qu’Anne Charlotte répond à cette
lettre.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
si chère amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
vous implore de me pardonner d’avoir tant tardé à répondre à
votre dernière lettre, mais c’est, justement, parce qu’elle m’a
ébranlée (ne sourirez pas !) plus qu’aucune des précédentes.
J’en ai été vraiment effrayée, le mot n’est pas exagéré.
Vous étiez allée si loin ! La canne, mon Dieu ! Vous
décriviez la chose avec tellement de réalisme ! Une telle
souffrance, oui vraiment, j’ai eu peur. Et honte. Oui, honte. Après
tout, n’était-ce pas moi qui, par mes confidences, voire même mes
conseils, vous avais amené eà aller si loin, trop loin ? Ne
vous avais-je pas entraînée plus loin que raisonnable ?
Devais-je vous demander de me pardonner ? Devais-je tenter de
vous faire revenir en arrière ? J’ai vite compris que non
seulement je n’en avais pas le droit, sauf à m’immiscer plus
encore dans votre vie privée, mais qu’en plus, rien de ce que je
pourrais vous dire ne changerait quoi que se soit à ce qui vous ait
arrivé. Et puis, à la réflexion, je me suis dit que, même si je
continue à me sentir responsable, rien ne vous obligeait à me faire
partager cette dernière étape de votre parcours. Mais, en même
temps, que pourrais-je répondre à votre dernier aveu ?
Jusqu’ici, nous échangions, d’un ton léger, des confidences
elles aussi, finalement, légères. Là, vous étiez dans un autre
registre, dans une autre dimension. Le choix, dès lors, m’est
apparu comme incontournable. Soit je cessais nos échanges, vous
laissant poursuivre – ou non – votre parcours dans un monde où
je ne voulais pas aller, dont je ne voulais rien savoir ni rien
connaître. Cela aurait été pour moi une déchirure, une rupture,
une fin honteuse. Soit j’assumais mes responsabilités. Et je l’ai
fait. Dans votre lettre, vous m’aviez indiqué le nom de la firme
auprès de laquelle votre mari a fait l’acquisition de ce terrible
instrument. Ma première surprise a été de découvrir qu’il
n’était même pas nécessaire de traverser la Manche pour faire ce
genre d’emplette. Qui, dans le monde des gens ordinaires, penserait
qu’en plein Paris, existe une telle boutique ? Une façade
assez ordinaire, en vitrine des cannes – je veux dire des cannes
qui servent à marcher – mais aussi des instruments en cuir, et en
particulier des cravaches. Mais assez mêlées à des objets
« ordinaires » pour qu’on n’établisse pas d’emblée
le lien entre celles-ci et ce présentoir, assez discret, où trônent
des objets dont, je pense, la plupart des passants qui s’arrêtent
devant ce magasin n’imaginent pas une seconde à quoi ils peuvent
servir. Toute une série de longues baguettes, les unes noires,
d’autres plus claires, d’épaisseurs différentes. Les unes
droites, les autres munies d’une extrémité recourbée. Dans une
de nos premières lettres, je vous ai raconté combien l’achat de
mon premier martinet avait été une épreuve. L’angoisse en
entrant dans le magasin, ma gêne pour oser dire ce que je venais
acheter. Mon honte quand la vendeuse m’avait fait choisir
l’instrument. Rien de tel quand j’ai poussé la porte de cette
boutique obscure de la rue Saint-Père. J’étais déterminée.
Presque tranquille, presque sereine. Dix minutes plus tard, je
sortais du magasin, l’objet enveloppé dans un papier kraft. Et le
soir même, mon homme le trouvait sur son bureau. Pour le reste, il
vous suffit de savoir que je vous écris la présente à genoux sur
mon siège.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Que
puis-je vous dire de plus que merci de m’avoir emmenée là où je
ne pensais pas être en mesure d’aller.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: large;">A.C.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<i><br />
<br />
</i><br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western" style="page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc265_805917996"></a>
Postface
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc312_805917996"></a>Ta
sœur en fessées.</h2>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;">« Mamy
Caroline » Je ne sais rien de toi. Sauf … Je ne sais pas non
plus, bien sûr, si tes enfants, et tes petits enfants, ont connu,
comme toi, les punitions enfantines. Et encore moins si les autres
femmes de la famille ont connu les fessées maritales. Mais je me
sens tellement proche de toi, ma lointaine aïeule !</span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;"><i>T</i></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">u
étais une femme de ton temps, de ton époque, si différente de la
mienne. Et pourtant, finalement, tu étais quand même une femme
libre. Une femme fessée, certes. Mais tellement digne, tellement
fière. Je suis, moi, une femme du XXI </span></span></span></span></span><span style="color: black;"><sup><span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">ème</span></span></span></span></sup></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Lucida Sans Typewriter, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">
siècle. Revendiquant la liberté, l’égalité, le respect. Et
pourtant, sache-le, bon sang ne saurait mentir. Ton arrière –
arrière petite fille est aussi fière d’être, elle aussi, une
femme fessée. Et, chaque fois que mon postérieur rougit sous la
main d’un homme, c’est à toi que je pense, mon ancêtre, mais
aussi, comme ton amie Anne – Charlotte, quelque part, ta sœur. Ta
sœur en fessées. </span></span></span></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid; page-break-before: always;">
<span style="font-family: Liberation Sans, Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b>Table
des matières</b></span></span></div>
<div dir="ltr" id="Table des matières1">
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc255_805917996">Préambule 2</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc257_805917996">Un grenier et des
souvenirs 2</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc259_805917996">« A l’insu de mon
plein gré » 2</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc261_805917996">Une grosse malle et des
papiers jaunis 3</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc263_805917996">Une tradition
familiale. 3</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1782_579450151">Les
personnages 4</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1614_1560952596">Chapitre
1 : La lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 5</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc213_805917996">« Une découverte
pour Caroline » 5</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1874_579450151">Chapitre
2 : Réponse de Mme De V*à son amie Mme A* 9</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc215_805917996">« Mais moi
aussi ! » 9</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1876_579450151">Chapitre
3 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 16</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc217_805917996">«Soeurs en fessées » 16</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc219_805917996">« Des
questions » 20</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1878_579450151">Chapitre
4 : Lettre de Mme De V*à Mme A* 22</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc221_805917996">« Des plaisirs
solitaires » 22</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1880_579450151">Chapitre
5 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 28</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc223_805917996">« Poursuite des
confessions » 28</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1882_579450151">Chapitre
6 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 32</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc225_805917996">« Et Lucie …
aussi ! » 32</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1884_579450151">Chapitre
7 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 37</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc227_805917996">« Sans » 37</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1886_579450151">Chapitre
8 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 40</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc229_805917996">« En public ! » 40</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1888_579450151">Chapitre
9 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 46</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc231_805917996">« Découverte du
martinet » 46</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1890_579450151">Chapitre
10 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 51</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc233_805917996">« Lucie,
suites » 51</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1892_579450151">Chapitre
11 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 55</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc235_805917996">« Et si moi aussi
… ? » 55</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1894_579450151">Chapitre
12 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 58</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc237_805917996">« Juliette » 58</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1896_579450151">Chapitre
13 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 63</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc239_805917996">« Encore des
secrets révélés » 63</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1898_579450151">Chapitre
14 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 68</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc241_805917996">« Juliette,
suite » 68</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1900_579450151">Chapitre
15 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 76</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc243_805917996">« Devant tout le
monde ! » 76</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1902_579450151">Chapitre
16 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 79</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc245_805917996">« Juliette,
encore » 79</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1904_579450151">Chapitre
17 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 84</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc247_805917996">« La canne » 84</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1906_579450151">Chapitre
18: Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 93</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc249_805917996">« Les scurpules
d’Anne - Charlotte » 93</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc265_805917996">Postface 95</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc312_805917996">Ta sœur en fessées. 95</a></div>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-26056803981066343962018-12-13T23:01:00.000-08:002018-12-13T23:01:25.702-08:00La légende des fesses (corrigé)
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><b>La
légende des fesses</b></i></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>A
la manière de <br />
« la légende des siècles »</i><br />
<br />
(<i>Hugo, prince des poètes,<br />
et cochon obsédé.</i><i>)</i></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ma
langue sur ta chatte, ma bite dans ton cul<br />
Des pinces sur tes
seins, Et j’en veux toujours plus.<br />
Je veux te voir souffrir,
je veux te voir jouir,<br />
Voir tes yeux qui se ferment, entendre
tes soupirs,<br />
Voir les tétons dressés, voir ton sexe
mouillé<br />
Tes fesses qui tressaillent, et tes lèvres gonflées.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Te
prendre sur mes genoux, après t’avoir troussée,<br />
Caresser
cette lune, et te déculotter.<br />
Baisser cette culotte, découvrir
ton derrière<br />
Pas la première fessée, pas non plus la
dernière.<br />
Fesser pour te punir, fesser pour mon plaisir,<br />
Fesser
à la volée, fesser sans coup férir.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Fesser
jusqu’à plus soif, mais je suis assoiffé,<br />
Fesser dés ton
lever, et jusqu’à ton coucher.<br />
Claquer, frapper encore, et
les cuisses et les fesses<br />
Longuement, patiemment, et avec
allégresse.<br />
Ça fait mal, je le sais, et tu le sais aussi,<br />
Mais
ce n’est pas le but, et nul ne s’en soucie.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Souffrir
n’est pas souffrir, quand c’est pour le plaisir<br />
De celle qui
reçoit, et qui va s’alanguir.<br />
De celui qui te frappe, non pas
pour te faire mal,<br />
Mais parce qu’il joue là le rôle d’un
vrai mâle.<br />
Un homme, un mec, un vrai, à l’instinct
animal,<br />
Un maître, dominant, aux allures impériales.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Un
homme des cavernes, un primate, .sauvage.<br />
Et toi, femme,
femelle, si pleine de courage.<br />
Toi, fragile, délicate, et qui
pourtant accepte,<br />
Ou même réclame, que bien qu’on la
respecte,<br />
Ou parce qu’on la respecte, doit subir ce
calvaire.<br />
Et montrer ce qu’elle est, en offrant son derrière.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Un
derrière ou un cul, ou bien un postérieur.<br />
Un popotin, un
derche, et par bonheur,<br />
Les mots, pour ce joyau, on en trouve à
foison.<br />
Fondement, croupe ou fesses, arrière-train, ou croupion
<br />
Et on pourrait ainsi, continuer sans fin,</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette
liste de mots, gouleyants comme le vin.
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; page-break-before: always;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Une
lune, un soleil, qu’on découvre, ravi.<br />
Que l’on fait
apparaître, et qui presque sourie,<br />
Alors qu’il sait pourtant
qu’on va le fustiger,<br />
Le frapper, le meurtrir, mais aussi
l’honorer.<br />
Car pour ce joyaux la, la fessée est hommage.<br />
Venu
du passé, de loin, du fond des âges.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cro-Magon
fessait-il, dans le lointain passé,<br />
Ses compagnes aux reins et
aux fesses tannées ?<br />
Dans les sombres cavernes, entendait
on parfois<br />
Les éclats des fessées, là bas au fond des
bois ?<br />
Baissait-il les pagnes dont se ceignaient les
reins<br />
Les Lucy dont on voit les formes et les seins ?</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Y
aurait-il un âge des femelles fessées,</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Comme
il y a celui des pierres qu’on a taillées ?<br />
Allait il
cueillir, en même temps que des baies,<br />
Quelques longues
brindilles dont il fustigerait<br />
Les rondeurs fessières de nos
lointains ancêtres ?<br />
Branches de noisetier, de saules ou
bien de hêtres ?</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ce
n’est que bien plus tard, et c’est bien le progrès,<br />
Que
l’homme inventera, enfin, le martinet.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
L’homme
saura alors utiliser l’outil<br />
Les fesses de sa femme en
paieront le prix.<br />
Mais il sera ainsi devenu être
humain,<br />
Fessant sans plus jamais, ne s’abîmer la main.
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La
fessée, le progrès,et c’est l’humanité<br />
En marche vers
l’avenir, et qui a commencé<br />
L’évolution humaine, la
civilisation,<br />
Fusse au prix, c’est vrai, de dommages pour le
fion<br />
De sa compagne enfin devenu une femme<br />
Qui possède un
cul, et est dotée d’une âme.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Dieu,
dans son Eden, en décida ainsi,<br />
Il vit Eve coupable, et alors
lui dit :<br />
Vers ton homme, pour toujours, ton désir
portera,<br />
Mais, pour toujours aussi, il te dominera.<br />
Dieu
dit aussi, dit on, « frappe, et on t’ouvrira »<br />
Les
descendant d’Adam, pour sûr n’oublieront pas.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« L’œil
était dans la tombe, et regardait Caïn »<br />
Mais Eve, dans
la caverne, elle voyait la main.<br />
La main qui se soulève, et qui
bientôt s’abat<br />
Sur les fesses offertes, et avec quel
éclat !<br />
Pan pan préhistorique, dés avant le déluge<br />
Pour
le derrière des femmes, il n’ait pas de refuge. <br />
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; page-break-before: always;">
Caïn, sa descendance, et Noé dans son arche<br />
On ainsi ponctués
des hommes la marche,<br />
A grands coups de paluches sur les culs de
leurs femmes<br />
Qui ont ainsi gagnées, le droit d’avoir une
âme.<br />
Et les sages diraient, en leur grande sagesse,<br />
Que la
femme, par son cul seulement, progresse.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Fessées
d’antiquité, fessées grecques ou romaines,<br />
Fessées sur
l’Acropole, et du Tibre à la Seine.<br />
Romains ou Visigoths,
Huns et autres barbares,<br />
Ont ainsi bien fessés leurs femmes
sans crier gare.<br />
Et les fiers Gaulois, qui n’étaient pas de
bois,<br />
Retroussaient leurs gauloises, le soir au fond des bois.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Les
serpes de leurs druides coupaient bien sur le gui,<br />
Mais aussi,
j’en suis sur, quand ils avaient envie,<br />
De bonnes et fines
badines, sifflantes et bien souples<br />
Pour le plus grand bonheur
et la joie de leurs couples.<br />
Et les Francs eux-même, comme le
fier Clovis,<br />
Cinglaient allégrement, et les culs et les
cuisses.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et
leurs femmes conquises, dans leurs combats ardents,<br />
Se
retrouvaient ainsi le cul ni bien souvent.<br />
Dagobert, dit-on,
avait mis à l’envers,<br />
Sa culotte royale. Mais il était
pervers,<br />
Et s’il la retournait, il en faisait de même<br />
Avec
sa digne épouse, fallait-il qu’il l’aime !<br />
<br />
Quand
au grand Charlemagne, à la barbe fleurie,<br />
Il inventa l’école,
où l’on fessait beaucoup.<br />
Il usa trois épouses. La première,
Hilmitrude, <br />
Promptement répudiée, et peut-être trop
prude.<br />
La seconde s’appelait, nous dit-on, Désirée<br />
Tout
laisse croire qu’elle fut régulièrement fessée.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Selon
les historien, elle fut fille de Lombard.<br />
Est-ce imaginer qu’il
aimait ses nibards ?<br />
La mère de Pépin, s’appelait
Hildegarde.<br />
Son mari, bien souvent, lui disait « prend
bien garde ! »<br />
Mère de huit enfants, elle fut donc
féconde,<br />
L’histoire nous apprend, qu’elle fut aussi
gironde.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Ce
qui n’empêchait pas son impérial époux<br />
De la faire passer,
souvent, sur ses genoux.<br />
Elle se plaignait alors, à son neveu
Roland<br />
D’avoir bien souvent le derrière brûlant. <br />
Mais
ce neveu coquin, en embouchant son cor,<br />
Disait bien au contraire
« Allez, Tonton, encore ! »</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; page-break-before: always;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il
eut bien d’autre rois, dont deux s’appelait Philippe,<br />
L’Auguste,
et le Bel, qui baissèrent les slips<br />
De leurs royales épouses.
Comme le bon Léon,<br />
Roi de la Castille, baissait les
caleçons.<br />
Et sous la main experte, du onzième Louis,<br />
On
dit que la reine, bien souvent a jouit.
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Aucun
roi de la France, ne s’appela roi Serge,<br />
Mais ça n’empêche
pas qu’ils manièrent les verges.<br />
Et les fouets de cuir ne
frappaient pas seulement<br />
Les manant et les gueux, mais aussi les
séants<br />
Des reines, des favorites, et des nombreuses
maîtresses<br />
Égales, tout au moins, à propos de leurs
fesses.<br />
<br />
Mais la Révolution, avec la République,</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Fit
prendre aux souverains, et leurs claques et leurs cliques.<br />
Pour
les épouses, elles, ne restèrent que les claques<br />
Même quand
elles tentaient, de se dire patraques.<br />
Avec la Liberté, Avec
l’Egalité<br />
Et la Fraternité, il restait la fessée.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Celles
des tricoteuses, ces révolutionnaires,<br />
Qui les nobles dames,
sans pitié, fessèrent. <br />
Après tout il vaut mieux, plutôt que
l’échafaud,<br />
Avoir, de temps en temps, le derrière bien
chaud.<br />
Et même les religieux, dans leurs sombres
couvents,<br />
Avaient eu, eux aussi, le cul frappé, souvent.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La
fessée est ainsi, même si on l’ignore,<br />
Une longue tradition,
dont la France s’honore.<br />
Il n’est donc pas vrai que se soit
outre Manche<br />
Que, du martinet, on sache manier le manche.<br />
C’est
dans toute l’Europe, j’en suis bien convaincu,<br />
Que les
femmes, souvent, en prennent sur le cul.</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-89956690033468847182018-12-12T00:10:00.002-08:002018-12-12T00:10:23.671-08:00La légende des fesses
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><b>La
légende des fesses</b></i></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>A
la manière de <br />
« la légende des siècles »</i><br />
<br />
(<i>Hugo, prince des poètes,<br />
et cochon obsédé.</i><i>)</i></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ma
langue sur ta chatte, ma bite dans ton cul<br />
Des pinces sur tes
seins, Et j’en veux toujours plus.<br />
Je veux te voir souffrir,
je veux te voir jouir,<br />
Voir tes yeux qui se ferment, entendre
tes soupirs,<br />
Voir les tétons dressés, voir ton sexe
mouillé<br />
Tes fesses qui tressaillent, et tes lèvres gonflées.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Te
prendre sur mes genoux, après t’avoir troussée,<br />
Caresser
cette lune, et te déculotter.<br />
Baisser cette culotte, découvrir
ton derrière<br />
Pas la première fessée, pas non plus la
dernière.<br />
Fesser pour te punir, fesser pour mon plaisir,<br />
Fesser
à la volée, fesser sans coup férir.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Fesser
jusqu’à plus soif, mais je suis assoiffé,<br />
Fesser dés ton
lever, et jusqu’à ton coucher.<br />
Claquer, frapper encore, et
les cuisses et les fesses<br />
Longuement, patiemment, et avec
allégresse.<br />
Ça fait mal, je le sais, et tu le sais aussi,<br />
Mais
ce n’est pas le but, et nul ne s’en soucie.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Souffrir
n’est pas souffrir, quand c’est pour le plaisir<br />
De celle qui
reçoit, et qui va s’alanguir.<br />
De celui qui te frappe, non pas
pour te faire mal,<br />
Mais parce qu’il joue là le rôle d’un
vrai mâle.<br />
Un homme, un mec, un vrai, à l’instinct
animal,<br />
Un maître, dominant, aux allures impériales.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Un
homme des cavernes, un primate, .sauvage.<br />
Et toi, femme,
femelle, si pleine de courage.<br />
Toi, fragile, délicate, et qui
pourtant accepte,<br />
Ou même réclame, que bien qu’on la
respecte,<br />
Ou parce qu’on la respecte, doit subir ce
calvaire.<br />
Et montrer ce qu’elle est, en offrant son derrière.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Un
derrière ou un cul, ou bien un postérieur.<br />
Un popotin, un
derche, et par bonheur,<br />
Les mots, pour ce joyau, on en trouve à
foison.<br />
Fondement, croupe ou fesses, arrière-train, ou croupion
<br />
Et on pourrait ainsi, continuer sans fin,</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette
liste de mots, gouleyants comme le vin.
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; page-break-before: always;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Une
lune, un soleil, qu’on découvre, ravi.<br />
Que l’on fait
apparaître, et qui presque sourie,<br />
Alors qu’il sait pourtant
qu’on va le fustiger,<br />
Le frapper, le meurtrir, mais aussi
l’honorer.<br />
Car pour ce joyaux la, la fessée est hommage.<br />
Venu
du passé, de loin, du fond des âges.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cro-Magon
fessait-il, dans le lointain passé,<br />
Ses compagnes aux reins et
aux fesses tannées ?<br />
Dans les sombres cavernes, entendait
on parfois<br />
Les éclats des fessées, là bas au fond des
bois ?<br />
Baissait-il les pagnes dont se ceignaient les
reins<br />
Les Lucy dont on voit les formes et les seins ?</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Y
aurait-il un âge des femelles fessées,</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Comme
il y a celui des pierres qu’on a taillées ?<br />
Allait il
cueillir, en même temps que des baies,<br />
Quelques longues
brindilles dont il fustigerait<br />
Les rondeurs fessières de nos
lointains ancêtres ?<br />
Branches de noisetier, de saules ou
bien de hêtres ?</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ce
n’est que bien plus tard, et c’est bien le progrès,<br />
Que
l’homme inventera, enfin, le martinet.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
L’homme
saura alors utiliser l’outil<br />
Les fesses de sa femme en
paieront le prix.<br />
Mais il sera ainsi devenu être
humain,<br />
Fessant sans plus jamais, ne s’abîmer la main.
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La
fessée, le progrès,et c’est l’humanité<br />
En marche vers
l’avenir, et qui a commencé<br />
L’évolution humaine, la
civilisation,<br />
Fusse au prix, c’est vrai, de dommages pour le
fion<br />
De sa compagne enfin devenu une femme<br />
Qui possède un
cul, et est dotée d’une âme.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Dieu,
dans son Eden, en décida ainsi,<br />
Il vit Eve coupable, et alors
lui dit :<br />
Vers ton homme, pour toujours, ton désir
portera,<br />
Mais, pour toujours aussi, il te dominera.<br />
Dieu
dit aussi, dit on, « frappe, et on t’ouvrira »<br />
Les
descendant d’Adam, pour sûr n’oublieront pas.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« L’œil
était dans la tombe, et regardait Caïn »<br />
Mais Eve, dans
la caverne, elle voyait la main.<br />
La main qui se soulève, et qui
bientôt s’abat<br />
Sur les fesses offertes, et avec quel
éclat !<br />
Pan pan préhistorique, dés avant le déluge<br />
Pour
le derrière des femmes, il n’ait pas de refuge. <br />
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; page-break-before: always;">
Caïn, sa descendance, et Noé dans son arche<br />
On ainsi ponctués
des hommes la marche,<br />
A grands coups de paluches sur les culs de
leurs femmes<br />
Qui ont ainsi gagnées, le droit d’avoir une
âme.<br />
Et les sages diraient, en leur grande sagesse,<br />
Que la
femme, par son cul seulement, progresse.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Fessées
d’antiquité, fessées grecques ou romaines,<br />
Fessées sur
l’Acropole, et du Tibre à la Seine.<br />
Romains ou Visigoths,
Huns et autres barbares,<br />
Ont ainsi bien fessés leurs femmes
sans crier gare.<br />
Et les fiers Gaulois, qui n’étaient pas de
bois,<br />
Retroussaient leurs gauloises, le soir au fond des bois.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Les
serpes de leurs druides coupaient bien sur le gui,<br />
Mais aussi,
j’en suis sur, quand ils avaient envie,<br />
De bonnes et fines
badines, sifflantes et bien souples<br />
Pour le plus grand bonheur
et la joie de leurs couples.<br />
Et les Francs eux-même, comme le
fier Clovis,<br />
Cinglaient allégrement, et les culs et les
cuisses.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et
leurs femmes conquises, dans leurs combats ardents,<br />
Se
retrouvaient ainsi le cul ni bien souvent.<br />
Dagobert, dit-on,
avait mis à l’envers,<br />
Sa culotte royale. Mais il était
pervers,<br />
Et s’il la retournait, il en faisait de même<br />
Avec
sa digne épouse, fallait-il qu’il l’aime !<br />
<br />
Quand
au grand Charlemagne, à la barbe fleurie,<br />
Il inventa l’école,
où l’on fessait beaucoup.<br />
Il usa trois épouses. La première,
Hilmitrude, <br />
Promptement répudiée, et peut-être trop
prude.<br />
La seconde s’appelait, nous dit-on, Désirée<br />
Tout
laisse croire qu’elle fut régulièrement fessée.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Selon
les historien, elle fut fille de Lombard.<br />
Est-ce imaginer qu’il
aimait ses nibards ?<br />
La mère de Pépin, s’appelait
Hildegarde.<br />
Son mari, bien souvent, lui disait « prend
bien garde ! »<br />
Mère de huit enfants, elle fut donc
féconde,<br />
L’histoire nous apprend, qu’elle fut aussi
gironde.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
Ce
qui n’empêchait pas son impérial époux<br />
De la faire passer,
souvent, sur ses genoux.<br />
Elle se plaignait alors, à son neveu
Roland<br />
D’avoir bien souvent le derrière brûlant. <br />
Mais
ce neveu coquin, en embouchant son cor,<br />
Disait bien au contraire
« Allez, Tonton, encore ! »</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; page-break-before: always;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il
eut bien d’autre rois, dont deux s’appelait Philippe,<br />
L’Auguste,
et le Bel, qui baissèrent les slips<br />
De leurs royales épouses.
Comme le bon Léon,<br />
Roi de la Castille, baissait les
caleçons.<br />
Et sous la main experte, du onzième Louis,<br />
On
dit que la reine, bien souvent a jouit.
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Aucun
roi de la France, ne s’appela roi Serge,<br />
Mais ça n’empêche
pas qu’ils manièrent les verges.<br />
Et les fouets de cuir ne
frappaient pas seulement<br />
Les manant et les gueux, mais aussi les
séants<br />
Des reines, des favorites, et des nombreuses
maîtresses<br />
Égales, tout au moins, à propos de leurs
fesses.<br />
<br />
Mais la Révolution, avec la République,</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Fit
prendre aux souverains, et leurs claques et leurs cliques.<br />
Pour
les épouses, elles, ne restèrent que les claques<br />
Même quand
elles tentaient, de se dire patraques.<br />
Avec la Liberté, Avec
l’Egalité<br />
Et la Fraternité, il restait la fessée.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Celles
des tricoteuses, ces révolutionnaires,<br />
Qui les nobles dames,
sans pitié, fessèrent. <br />
Après tout il vaut mieux, plutôt que
l’échafaud,<br />
Avoir, de temps en temps, le derrière bien
chaud.<br />
Et même les religieux, dans leurs sombres
couvents,<br />
Avaient eu, eux aussi, le cul frappé, souvent.</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La
fessée est ainsi, même si on l’ignore,<br />
Une longue tradition,
dont la France s’honore.<br />
Il n’est donc pas vrai que se soit
outre Manche<br />
Que, du martinet, on sache manier le manche.<br />
C’est
dans toute l’Europe, j’en suis bien convaincu,<br />
Que les
femmes, souvent, en prennent sur le cul.</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-30528213704647254312018-11-28T11:06:00.004-08:002018-11-28T11:07:32.687-08:00Jeanne, épouse soumise<!--[if gte mso 9]><xml>
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<br />
<h1 align="center" style="text-align: center;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997633">Jeanne,
épouse soumise</a></h1>
<div style="border-bottom: solid windowtext 1.5pt; border: none; mso-element: para-border-div; padding: 0cm 0cm 1.0pt 0cm;">
<h1 align="center" style="border: none; mso-border-bottom-alt: solid windowtext 1.5pt; mso-padding-alt: 0cm 0cm 1.0pt 0cm; padding: 0cm; text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;">FICTION</span></h1>
</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-language: EN-US;">Pour « Eloge
des sens »Marie – Caroline <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>a
rencontré Jeanne, femme d’une quarantaine d’année, et son mari.</span></i></span></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-language: EN-US;">Elle nous présente
aujourd’hui le mode de vie de ce couple, nous donne connaissance des
« règles de vie » du couple, puis s’entretien avec Jeanne et son
mari, Paul.</span></i></span></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;"><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-language: EN-US;">Sommaire :</span></i></b></span></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-language: EN-US;">« Soumission
assumée » (p2)<br />
Présentation du mode de vie du couple de Jeanne</span></i></span></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-language: EN-US;">« Règles de
vie » (p7)<br />
Copie des « règles de vie » du couple<br />
<br />
« Entretien avec Jeanne » (p16)<br />
Avec Marie – Caroline</span></i></span></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-language: EN-US;">« Entretien
avec Paul » (p20)<br />
Avec Marie-Caroline</span></i></span></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-language: EN-US;">« Les
sentiments de marie-Caroline »(p 23)<br />
Entretien avec A.E.</span></i></span></div>
<span style="font-family: "liberation serif" , "serif"; font-size: 12.0pt;"><br clear="all" style="mso-special-character: line-break; page-break-before: always;" />
</span>
<br />
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<br /></div>
<h1 align="center" style="text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;"> </span></h1>
<h1 align="center" style="text-align: center;">
<span style="mso-bookmark: _Toc530997633;">Soumission
assumée</span></h1>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<h2 style="margin-left: 18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo2; text-indent: -18.0pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997634"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">1.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Madame
Jeanne</a></h2>
<div class="MsoNormal">
Les collègues de travail de Madame Jeanne pensent sûrement
bien la connaître. Pour beaucoup d’entre eux, c’est une cadre, sérieuse, voire
austère. Une femme que ses subordonnés considèrent plutôt comme autoritaire,
même s’ils emploient des mots moins politiquement corrects. En tout cas une
femme qui ne s’en laisse pas compter et dont le caractère correspond bien,
pensent-ils, à ses fonctions de direction. On pense ainsi souvent connaître ses
relations de travail, et, inconsciemment, on imagine souvent qu’ils sont, chez
eux, les mêmes que dans leur cadre professionnel. Et, même si les collègues de
Madame Jeanne n’ont jamais eu l’occasion de rencontrer le mari de celle-ci, l’entreprise
n’organisant que très rarement des événements où sont invités les conjoints,
ils ne sont pas loin de le plaindre. Aucun d’entre eux, à coup sûr ne pourrait
imaginer la vie privée de madame Jeanne.</div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l2 level2 lfo3; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997635"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">1.1.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Des
règles</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Comment pourraient-ils en effet croire un seul instant que
cette directrice des relations humaines plus crainte qu’aimée, puisse se
transformer, comme la Cendrillon du conte, en épouse obéissante et
soumise ? Qu’elle respecte à la lettre des obligations vestimentaires et,
par exemple, ne porte jamais de culotte sous ses tailleurs chics et
stricts ? Qu’à la maison, et plus généralement en présence de son mari,
elle ne croise jamais les jambes et, s‘il lui arrive de le faire par
inadvertance, un simple regard de son mari suffit non seulement à lui faire
rectifier la position, mais aussi pour qu’elle sache que ce manquement à la
règle sera sanctionné sans retard. </div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l2 level2 lfo3; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997636"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">1.2.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Des
punitions</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Et la sanction, en l’occurrence, sera inévitablement de se
retrouver les fesses à l’air pour recevoir une vigoureuse fessée des mains
puissantes de son homme. Dans ces circonstances, il n’aura même pas ni à lui
annoncer sa décision, dont elle ne doute pas un instant, ni à lui rappeler la
raison de la punition, qu’elle ne peut ignorer. Il lui suffira, de retour à la
maison si l’incident est survenu à l’extérieur, ou dés le départ des visiteurs
si c’est chez eux, de lui lancer :</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Tu m’attends
dans mon bureau »</i></div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l2 level2 lfo3; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997637"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">1.3.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Au
coin</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Pour que, docilement, elle monte l’escalier et rejoigne la
pièce dans laquelle elle n’entre que dans ces circonstances. Une grande pièce
au centre de laquelle trône un bureau devant lequel sont placés deux fauteuils
en cuir et dont un des murs est couvert d’une bibliothèque aux portes vitrées.
Immédiatement, elle se dirige vers un des coins de la pièce et se place debout,
les mains sur la tête, le visage à quelques centimètres du mur. Cette
« mise au coin » est un de leurs rituels immuables. Selon l’humeur de
Monsieur, elle restera ainsi immobile quelques minutes ou beaucoup plus
longtemps. Mais en aucun cas elle ne s’autorisera ni à baisser les mains, ni à
bouger, alors même qu’elle sait pourtant qu’il ne pourrait pas le savoir. Elle
n’obéit pas à cette règle par peur qu’il s’en rende compte mais seulement parce
que, justement, c’est une règle. Et même si elle ressent une envie
irrépressible de faire pipi, elle restera là, quitte à piétiner sur place et à
espérer que son homme ne la fera pas attendre trop longtemps. Dans ce cas,
quand après avoir entendu le pas du mari dans l’escalier, elle entendra le
fatidique :</div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l2 level2 lfo3; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997638"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">1.4.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>En
place</a></h3>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« En
place ! »</i></div>
<div class="MsoNormal">
Peut-être osera-t-elle demander :</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Je peux aller
faire pipi avant, s’il vous plait ? »</i></div>
<div class="MsoNormal">
Puisque, dans ces circonstances, le voussoiement est aussi
de règle. Elle sait trop que l’expression <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« une
fessée à faire pipi par terre » </i>qu’elle a lue un jour dans le
témoignage d’une femme qui la recevait elle aussi de son mari recouvre une
réalité pour prendre le risque de la recevoir la vessie pleine. Même si elle
pourrait sans peine deviner la réponse à sa requête :</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Mais bien sûr,
jeune dame, mais tu sais que ça te vaudra un petit supplément »</i></div>
<div class="MsoNormal">
Elle ne tentera même pas de l’en dissuader. Retarder la
fessée, c’est inexorablement recevoir, en plus de ce que son homme aura décidé
pour la faute originelle, une douzaine de coups de martinet. C’est aussi une
règle, il ne servirait à rien d’essayer d’y échapper. Elle fera donc en sorte
que cette pause pipi soit aussi rapide que possible. En application d’une autre
règle absolue, elle le fera sans fermer la porte des toilettes. Chez eux, et
dans toutes les circonstances où ils sont seuls, le passage aux toilettes se
fait porte ouverte. Même si, avec le temps, son mari n’estime plus nécessaire,
comme c’était le cas au début de leur mariage, de venir le constater de visu.
C’est pourtant une des marques d’obéissance qu’elle a eu le plus de mal à
respecter. En effet, il a toujours été plus difficile pour elle de faire pipi
sous son regard goguenard que de subir les fessées de son homme. </div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l2 level2 lfo3; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997639"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">1.5.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>En
position</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Une fois ce passage terminé, Jeanne retournera dans le bureau,
et, cette fois, ira se présenter debout, en remettant les mains sur la
tête,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>devant le fauteuil dans lequel se
sera installé son mari, les yeux baissés. </div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Tu
retrousses ! »</i></div>
<div class="MsoNormal">
Elle s’exécute, relève sa jupe au dessus de sa taille, et
reprend la position. </div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« En
position ! »</i></div>
<div class="MsoNormal">
Elle fait un pas en avant, et s’allonge au travers des
genoux de son mari, en posant les mains sur la moquette. Si, lors des premières
fessées qu’elle a reçues, celles-ci avaient commencées par-dessus la jupe, il y
a belle lurette que cette étape <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« bonne
pour les débutantes »</i> selon l’expression de son homme, n’est plus de
mise. Il y a bien longtemps qu’elle a intégré la sentence maritale : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« la fessée, c’est cul nu »I </i>Et
comme il y a fort longtemps qu’i lui est formellement interdit de porter une
culotte, il n’y aura évidemment pas de déculottage. Dés qu’elle aura fait
remonter la jupe, elle découvrira donc aux yeux de son mari son bas ventre
glabre. Puisque l’épilation soigneuse de la foufoune fait aussi partie des
règles quotidiennes. </div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l2 level2 lfo3; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997640"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">1.6.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Fessée</a></h3>
<div class="MsoNormal">
La fessée peut alors commencer. La main se lève et
s’abaisse, frappant alternativement une fesse puis l’autre. Mécaniquement. Le
bruit des claques emplit la pièce. Et si c’est l’été et que la fenêtre est
ouverte, elle ne peut ignorer qu’il peut tout à fait être entendu par des
voisins s’ils sont dans leur jardin. Chaque fois que Jeanne croise l’un de ses
voisins dans le rue ou chez les commerçants où elle fait ses courses, alors
qu’ils la saluent, elle se demande si « il » ou « elle » a
entendu, si « il » ou « elle » sait. Si ce vieux monsieur
très digne, un peu « vieux beau » se doute qu’elle est régulièrement
le cul nu claqué par la main de son mari. Si cette jeune femme qui amène son
enfant au square peut imaginer qu’elle, plus âgée, visiblement plus installée
dans la vie, peut imaginer qu’elle couine sous l’averse des claques ou sous les
lanières du martinet.</div>
<div class="MsoNormal">
Et ce sera le cas ce soir, retard du au pipi oblige. Une
fois que le derrière aura été longuement frappé, qu’il sera uniformément rouge,
le mari l’autorisera à se relever. Elle le fera en prenant soin que sa jupe ne
retombe pas, afin que celui qui l’a ainsi coloré puisse constater la couleur
cramoisie de son postérieur. D’elle-même, elle ira se remettre au coin, dans la
même position qu’avant la séance. Peut-être, magnanime,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>son mari lui donnera-t-il l’autorisation de
« frotter » Elle en profitera alors pour essayer de calmer un peu la
brûlure de ses fesses en les caressant de la paume des mains, avant de les
remettre sur la tête, dans cette position qu’il nomme « de punition »
Pendant ce temps, il fumera un cigare,<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>ou se servira un whisky. Mais, en aucun cas, il ne renoncera à annoncer,
quand il le jugera bon :</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« En place pour
la suite ! »</i></div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l2 level2 lfo3; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997641"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">1.7.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Martinet</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Elle ira alors se placer derrière l’un des deux fauteuils,
se penchera par-dessus le dossier, en appuyant les mains sur l’assise du siège.
Mais, avant, elle aura du « apporter Marcel » C’est ainsi que son
mari désigne « le » martinet. Celui qu’il a acheté avant même leur
mariage. Celui qui est rangé, avec d’autres instruments dont il a fait
l’acquisition depuis, dans l’une des vitrines de la bibliothèque. Jeanne ira
donc le chercher, et l’apportera à son mari, en le présentant en respectant ce
qu’il appelle la position de « présentation » Elle se sera d’abord
débarrassée de sa robe et de son soutien-gorge, en ne gardant que ses bas. Elle
posera alors le martinet sur ses deux mains ouvertes, puis s’agenouillera
devant le bureau, les yeux baissés, les cuisses largement écartées. Quand son
mari se sera emparée de l’instrument, elle se placera derrière le fauteuil,
exposant ainsi une nouvelle fois son derrière. Et il prendra « sa
douzaine » Un chiffre un peu rituel pour lui. Douze fois, les lanières de
cuir fauve s’abattront avec un chuintement sur les fesses déjà rouges de la
fessée précédente. En y laissant de longues traces rougeâtres, qui vireront
très vite au violacé. Autant Jeanne parvient à subir la fessée sans broncher,
ou presque, autant il lui est impossible de ne pas sursauter chaque fois que la
chevelure de cuir vient frapper ses fesses. Tout en gardant scrupuleusement la
position, elle sautille, piétine, agite frénétiquement les fesses. A plusieurs
reprises, les lanières s’égarent sur le haut des cuisses, amenant Jeanne à
sauter comme un cabri tout en lançant un « aiiiile » aigu. Et quand
ces mêmes lanières frappent, pour le dernier coup de bas en haut sur l’entre
jambe, c’est presque un hurlement qui jaillit de sa poitrine. Et elle retombe
comme une marionnette<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dont on aurait
subitement coupé les fils.</div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l2 level2 lfo3; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997642"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">1.8.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>After</a></h3>
<div class="MsoNormal">
<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Il lui laisse le
temps de se reprendre, de retrouver sa respiration normale, puis, tendrement,
il la fait se relever. Tout son corps est encore agité de petits tremblements.
Il lui prend le visage dans ses mains, essuie du pouce les larmes qui coulent
sur ses joues, et lui murmure, tout en la serrant dans ses bras et en
l’embrassant dans le cou :</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Tu sais que
c’était nécessaire n’est ce pas ? »</i></div>
<div class="MsoNormal">
Et elle répond, la voix encore entrecoupée de sanglots
brefs :</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Bien sûr,
Monsieur »</i></div>
<h2 style="margin-left: 18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo2; text-indent: -18.0pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997643"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Monsieur
et la « jeune dame »</a></h2>
<div class="MsoNormal">
En effet, c’est une autre de leurs règles de vie
intangibles, quand elle est en situation de soumission, elle utilise ce mot
pour s’adresser à celui que, dans toutes autres circonstances, elle appelle par
son prénom.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>De même, comme quand elle a
sollicité l’autorisation de passer faire pipi avant la fessée, il ne s’adresse
à elle qu’en l’appelant « jeune dame » Ce code verbal leur permet de
s’annoncer mutuellement qu’ils entrent dans ces moments si centraux pour leur
vie de couple.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>C’est d’autant plus
nécessaire, à leurs yeux, quand ils sont en présence de tiers. Ceux-ci ne le
remarquent certainement pas, mais quand, au détour d’une conversation banale,
il utilise cette expression pour s’adresser à Jeanne, celle-ci comprend
immédiatement qu’il a l’intention de la punir.</div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l0 level2 lfo2; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997644"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.1.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Motifs</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Elle n’est en effet jamais punie sans raison, et son homme
n’est en rien un tyran brutal, un sadique pervers. Mais ils sont basé leur vie
commune sur des règles intangibles, si contraignantes qu’il lui est impossible
de ne pas parfois les transgresser, tout en sachant que cela lui vaudra une
séance claquante pour ses fesses si la faute est jugée vénielle, des moments
plus douloureux si elle est jugée plus grave. Et puis, comme tous les couples,
il leur arrive d’avoir des moments de tension. Des sujets de désaccords. De ces
moments qui gâchent souvent la vie des couples, par des « prises de
bec », des mots qui blessent, des bouderies sans fin. Or, dés avant leur
mariage, il lui a expliqué, sans le présenter comme une condition, mais comme
une évidence, sa conception de la vie de couple :</div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l0 level2 lfo2; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997645"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.2.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Vie
conjugale</a></h3>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Si nous devons
vivre ensemble, ce que je souhaite plus que tout au monde, ma chérie, il faut
que tu saches qu’il te faudra être une épouse obéissante. C’est ma conception
de la vie, et je ne saurais envisager celle-ci autrement. Les règles seront
immuables, et intégralement respectées. Et s’il en est autrement, je
considérerais comme un devoir de te punir comme il me semble qu’il est du
devoir d’un mari aimant de le faire. »</i></div>
<div class="MsoNormal">
Si, la veille du jour où il lui tint ce langage, Jeanne
avait une seule seconde imaginé un tel discours, nul doute que cette jeune
femme émancipée, moderne, dynamique et active, aurait immédiatement cessé toute
relation avec ce qui lui apparaissait alors comme un homme de Néandertal.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Pourtant, elle avait écouté celui qui n’était
alors pas encore son mari sans l’interrompre. Brusquement, sans qu’elle ne
puisse jamais se l’expliquer, ce qu’il lui annonçait comme une évidence lui
était apparue comme tel. Non seulement elle l’avait accepté, mais il lui était
brutalement apparu que c’était ce que sans jamais se l’être avoué, elle
souhaitait au plus profond d’elle-même. Oui, elle voulait être cette femme
soumise, obéissante, cadrée, dirigée dans sa vie conjugale. Oui, elle
resterait, aux yeux du monde, une femme libre et indépendante, une sorte
« d’exécutive woman » Mais, dans sa vie de couple, elle serait cette
femme qu’un homme, son homme, dirigerait, cadrerait, et punirait quand bon lui
semblerait.</div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l0 level2 lfo2; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997646"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.3.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Soumise</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Pas la moindre trace de masochisme dans cette acceptation,
pas la moindre trace de volonté d’humiliation subie ou de haine de soi. Mais la
certitude d’être prise en main, d’être déchargée des soucis des décisions de la
vie. Monsieur serait là, dirigerait sa vie et leur vie, et elle serait là pour
se plier à ses volontés. Les mille et un incidents qui, souvent, polluent la
vie quotidienne seraient éradiqués. Elle aurait à obéir, à appliquer des règles
claires, et à assumer ses éventuels manquements sans jamais avoir à s’en
excuser. Or, à ses yeux, s’excuser d’une faute, d’une erreur, d’un manquement,
était une humiliation. Mais être punie – ce mot faisait voleter des papillons
dans son ventre quand son futur mari le prononçait – la rassurait, en la
mettant dans la position qu’elle considérerait désormais comme celle qui devait
être la sienne. Et de cette position psychologique, elle était passée sans
heurt, avec bonheur, à ce que son homme lui avait présenté comme « les
positions de la femme »</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l0 level2 lfo2; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997647"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.4.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Positons</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Des positions au sens propre du terme, corporelles. Celle de
l’attente de la punition, nez au mur, mains sur la tête, jambes légèrement
écartées. Celle de la « présentation », à genoux, cuisses largement
ouvertes, laissant apparaître sa chatte, mains ouvertes paumes vers le ciel,
tête baissée. Position « d’attente », debout, nue, jambes écartées,
mains dans le dos. Position « d’offrande des fesses », pliée en deux,
mains sur les genoux, attendant que l’instrument choisi par son mari vienne lui
flageller les fesses. Position de « repos », assise en tailleur, bras
ramenés devant la poitrine. Mais aussi « au mur », jambes écartées,
mains posées sur le mur, légèrement penchée en avant. </div>
<div class="MsoNormal">
L’apprentissage de ses positions avait été pour elle une
sorte d’initiation. Les exécuter le plus parfaitement possible, une sorte de
challenge. Les réussir et s’en voir féliciter une véritable fierté, et une
jouissance. Pédagogue, son homme lui avait imposé de les retenir et de les
exécuter à l’instant quand il lui en donnait l’ordre. Et la cravache, qu’il
maniait avec dextérité, avait beaucoup contribué à sa réussite. Des cuisses pas
assez écartées retrouvaient l’écartement souhaité quand elle claquait sur leur
intérieur, là où la peau est fine et tendre. Un corps pas assez droit, et un
coup sec sur la plante des pieds, accompagné d’un « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">redressez-vous, jeune dame</i> » l’amenait à rectifier la
position. Un regard trop direct, considéré comme une insolence, et la cravache
meurtrissait les seins, lui faisant grimacer sous la douleur, et immédiatement
baisser les yeux. </div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l0 level2 lfo2; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997648"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.5.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Habitudes</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Ainsi, sous les instructions de son mari, mais aussi parfois
à son initiative propre, Jeanne a-t-elle pris l’habitude, chaque matin, de se
présenter devant son mari, à son réveil, en position de
« présentation ». Ce n’est qu’après son autorisation qu’elle va se
doucher et s’habiller. Bien entendu, il est exclu qu’elle ne soit pas
constamment visible s’il le souhaite. Donc, pas de prote fermée, ni pour la
douche ni pour l’habillage.</div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l0 level2 lfo2; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997649"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.6.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Tenues</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Quand Jeanne doit sortir, et aller travailler en
particulier, il est bien sûr nécessaire que sa tenue soit en cohérence avec ses
obligations professionnelles. Le plus souvent chemisier, tailleur avec jupe au
dessus du genou, ou robe de même longueur et chaussures à talons. Le pantalon est
strictement exclu de sa garde robe. Comme Jeanne est dotée d’une poitrine qu’on
qualifie de « généreuse », son mari n’a pas jugé possible de lui
proscrire le port du soutien-gorge quand elle va travailler. Mais il a été
décidé depuis longtemps que la culotte serait définitivement abandonnée. De
même que les collants ou tout ce qui mettrait son intimité à l’abri. En saison
froide, elle est donc autorisée à porte des bas. Ceux qui « tiennent
seuls » sont tolérés, mais elle sait bien que la préférence de son mari va
aux portes jarretelles et au serre-taille. Ainsi vit- elle quotidiennement le
contraste entre les vêtements plutôt stricts et des dessous qui ne le sont pas.
</div>
<div class="MsoNormal">
Mais, dés le retour à la maison, le soutien-gorge doit
disparaître. Comme la plupart des femmes déposent leur chapeau et retirent
leurs chaussures dans l’entrée, Jeanne fait de même, mais y retire aussi son
soutif. Qu’elle a pris l’habitude de déposer sur une console dans l’entrée de
la maison, même si son mari n’est pas encore rentré. Ce geste est devenu si
machinal pour elle qu’il lui arrive souvent de laisser le sous-vêtement sur
cette console. Et il est arrivé à plusieurs reprises que des visiteurs, ou des
livreurs, découvrent ainsi un soutien-gorge laissé en évidence. Jeanne s’en est
parfois troublée, surtout qu’elle n’a pas été sans remarquer le regard des
hommes vers ses seins ballotant librement sous le chemisier. </div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l0 level2 lfo2; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997650"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.7.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>A
la maison</a> </h3>
<div class="MsoNormal">
Comme beaucoup de femmes aussi, Jeanne se change quand elle
reste à la maison. Là aussi, la tenue est réglementée. Nuisette ultra courte,
s’arrêtant au bas des fesses, et nudité absolue en dessous. Ainsi, son derrière
comme son intimité sont ils toujours <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« à
portée de main » </i>selon l’expression de son mari. Et celui-ci ne manque
pas d’en profiter, pour sanctionner immédiatement un quelconque manquement aux
règles par une fessée immédiate, la victime prestement pliée sous son bras ou
invitée à se pencher sur le plan de travail de la cuisine, pièce où son homme
ne manquera pas d’instruments contondants détournés de leur fonction première,
comme des cuillères en bois par exemple. Ou pour des attouchements, voire des
pénétrations plus douces et plus sensuelles, qu’il est bien sûr inenvisageable
qu’elle refuse. </div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l0 level2 lfo2; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997651"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.8.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Et
en dehors</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Et s’il leur arrive, comme c’est fréquent, de sortir, pour
des courses, un spectacle, ou pour aller rendre visite à des amis, elle portera
des tenues moins strictes, mais l’absence de dessous – de tous dessous – sera
confirmée. Selon les circonstances, son mari choisira alors le type de tenue
qu’elle portera, en fonction du type de femme qu’il aura décidé qu’elle soit.
L’épouse modèle, ou la dévergondée, la maman, ou la p … Robe légère et
pudique, ou jupe « ras de la touffe » et chemisier transparent.
Jeanne a, en ce domaine comme dans les autres, une confiance absolue en son
mari. Et jamais elle ne discute ni ne remet en cause ses décisions, sachant
bien qu’il n’imposera jamais que ce qui reste dans le domaine du possible.</div>
<h3 style="margin-left: 39.6pt; mso-list: l0 level2 lfo2; text-indent: -21.6pt;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997652"><span style="mso-bidi-font-family: "Calibri Light"; mso-fareast-font-family: "Calibri Light";"><span style="mso-list: Ignore;">2.9.<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Des
limites</a></h3>
<div class="MsoNormal">
Mais ces limites elles mêmes ne sont pas immuables, à la
différence des règles de vie évoquées précédemment. Avec le temps, Jeanne a
donc été confrontée à des situations plus périlleuses pour sa pudeur, qui est
réelle. Si ses relations professionnelles n’ont jamais pu remarquer quoi que ce
soit, elle sait bien que les membres de ses autres cercles relationnels, eux,
n’ont pas pu ne pas, parfois, s’interroger sur son mode de vie. Et si la
soumission, au sens complet du mot, c’est-à-dire celui d’une relation dont les
tenues vestimentaires ne sont que la partie émergée de l’iceberg, reste une
affaire d’abord privée, son mari lui a, peu à peu, imposé qu’elle ne soit pas
pour autant confidentielle.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A suivre :</div>
<h2>
<a href="https://www.blogger.com/null" name="_Toc530997653">Les autres …</a></h2>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div style="border-bottom: solid windowtext 1.5pt; border: none; mso-element: para-border-div; padding: 0cm 0cm 1.0pt 0cm;">
<div class="MsoNormal" style="border: none; mso-border-bottom-alt: solid windowtext 1.5pt; mso-padding-alt: 0cm 0cm 1.0pt 0cm; padding: 0cm;">
<br /></div>
</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoTocHeading">
Sommaire</div>
<div class="MsoToc1" style="tab-stops: right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997633">Soumission
assumée<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">1</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc2" style="tab-stops: 33.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997634">1.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Madame
Jeanne<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">1</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997635">1.1.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Des
règles<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">1</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997636">1.2.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Des
punitions<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">1</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997637">1.3.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Au
coin<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">1</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997638">1.4.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>En
place<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">2</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997639">1.5.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>En
position<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">2</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997640">1.6.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Fessée<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">2</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997641">1.7.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Martinet<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">3</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997642">1.8.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>After<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">3</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc2" style="tab-stops: 33.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997643">2.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Monsieur
et la « jeune dame »<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">3</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997644">2.1.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Motifs<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">4</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997645">2.2.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Vie
conjugale<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">4</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997646">2.3.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Soumise<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">4</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997647">2.4.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Positons<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">5</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997648">2.5.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Habitudes<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">5</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997649">2.6.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Tenues<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">5</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997650">2.7.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>A
la maison<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">5</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997651">2.8.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Et
en dehors<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">6</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc3" style="tab-stops: 55.0pt right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997652">2.9.<span style="color: windowtext; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span></span>Des
limites<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">6</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoToc2" style="tab-stops: right dotted 453.1pt;">
<span class="MsoHyperlink"><span style="mso-no-proof: yes;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#_Toc530997653">Les
autres …<span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"><span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.. </span></span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;">6</span><span style="color: windowtext; display: none; mso-hide: screen; text-decoration: none; text-underline: none;"></span></a></span></span><span style="mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR; mso-no-proof: yes;"></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<span style="font-family: "liberation serif" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 107%;"><br clear="all" style="mso-special-character: line-break; page-break-before: always;" />
</span>
<br />
<div class="MsoNormal" style="line-height: 107%; margin-bottom: 8.0pt; mso-hyphenate: auto; mso-vertical-align-alt: auto; text-autospace: ideograph-numeric ideograph-other;">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avec l’accord de son mari, Jeanne a bien voulu montrer à Marie Caroline
les « règles de vie » qui régissent leur vie de couple.</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div align="center" class="Standard" style="text-align: center;">
<b><span style="font-family: "lucida bright" , "serif"; font-size: 40.0pt;">REGLES DE VIE</span></b></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Standard">
<br /></div>
<div class="Heading1" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc649_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Généralités</a></div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc651_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">1.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Notre couple</a></div>
<div class="Textbody">
D’un commun accord, nous choisissons de vivre notre vie de
couple sous le signe de l’obéissance de l’épouse à l’époux. Dieu n’a-t-il pas
dit « L’homme te dominera » ?</div>
<div class="Textbody">
L’époux exercera donc toutes les responsabilités d’un chef de
famille, et l’épouse toutes les obligations d’une femme mariée, respectueuse et
soumise à l’autorité de son époux.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc653_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">1.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Des engagements réciproques</a></div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc655_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">1.2.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Pour
l’époux</a></div>
<div class="Textbody">
L’époux s’engage à être attentif au bien-être de son épouse
dans toutes les situations de la vie.</div>
<div class="Textbody">
Il assumera ses devoirs de protection, d’attention, mais
aussi de surveillance et de cadrage.</div>
<div class="Textbody">
En sa qualité de chef de famille, il lui appartient de
définir les règles de vie qui seront respectées strictement. Il s’engage
cependant à n’imposer que des règles raisonnables et applicables sans dommage
pour l’épouse.</div>
<div class="Textbody">
Il s’engage aussi à ne modifier ces règles qu’après en avoir
informé son épouse, et avoir obtenu son accord sur ces modifications.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc657_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">1.2.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Pour
l’épouse</a></div>
<div class="Textbody">
L’épouse s’engage à être attentive au bien-être de son époux
dans toutes les situations de la vie.</div>
<div class="Textbody">
Elle assumera ses devoirs d’épouse par des soins attentifs,
une attention de tous les instants, mais aussi une stricte obéissance à son
époux et aux règles qu’ils auront ensemble décidées.</div>
<div class="Textbody">
En tant qu’épouse, elle s’attachera à respecter la place qui
est la sienne. Elle sera pourtant consultée sur la définition de ces règles.</div>
<div class="Textbody">
Elle s’engage à adapter son comportement aux modifications
des règles que l’époux pourra être amené à suggérer.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc659_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">1.3<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Notre famille</a></div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc661_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">1.3.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>La
discrétion</a></div>
<div class="Textbody">
Les règles ci-dessous édictées ne concernent que la vie
familiale. En dehors de celle-ci, la position de l’épouse n’a pas à être connue
des tiers, sauf dans les cas spécifiés par l’époux et acceptés par l’épouse.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc663_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">1.3.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>La
continuité</a></div>
<div class="Textbody">
Cependant, l’épouse sera tenue de respecter l’esprit de sa
position, même hors de la présence de l’époux. Les règles qui s’appliqueront
ainsi hors du foyer conjugal seront spécifiées dans les paragraphes ci-dessous.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc665_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">1.4<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Du code familial</a></div>
<div class="Textbody">
Il est entendu que, quand l’époux voudra signifier à son
épouse qu’il convient qu’elle adopte, quelles que soient les circonstances ou
les personnes présentes, une attitude plus conforme à ses engagements, il
s’adressera à elle par l’expression « <i>jeune dame »</i></div>
<div class="Textbody">
Dés lors, l’épouse s’adressera à son époux par l’expression <i>« Monsieur »</i></div>
<div class="Heading1" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc667_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>De<u style="text-underline: double;"> </u>l’obéissance</a></div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc669_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">2.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Immédiateté</a></div>
<div class="Textbody">
L’épouse obéira sans délais ni discussion aux ordres de son
époux. Elle s’abstiendra de toute récrimination ou controverse à leur sujet.
Sauf impossibilité évidente et sous réserves que l’époux en convienne, les
décisions seront exécutés immédiatement ou dans les délais indiqués par
l’époux.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc671_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">2.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Volonté</a></div>
<div class="Textbody">
Les ordres et consignes seront exécutés sans trace de
mauvaise humeur ou de réticence. Quels qu’ils soient, ils seront exécutés avec
le sourire et bonne volonté.</div>
<div class="Heading1" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc673_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Les règles pérennes</a></div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc675_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Des règles permanentes</a></div>
<div class="Textbody">
Les règles énoncées ci-dessous s’appliquent chaque jour, sans
exception, sauf décision explicite de l’époux. Aucune circonstance ne peut
amener l’épouse à s’y soustraire sans l’accord préalable de l’époux.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc677_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>De l’attitude de l’épouse</a></div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc679_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.2.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Du<u style="text-underline: double;"> </u>respect</a></div>
<div class="Textbody">
En toutes circonstances, l’épouse adoptera vis à vis de son
époux une attitude respectueuse, polie et soumise. Elle s’abstiendra
strictement de toute parole ou attitude contraire à cette règle.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc681_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.2.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>De
la voix et des mots</a></div>
<div class="Textbody">
L’épouse s’abstiendra en toutes circonstances d’élever la
voix et ne s’adressera à son époux que sur un ton conforme à sa position. Aucun
mot vulgaire ou contraire aux bonne mœurs ne sera toéléré de sa part.</div>
<div class="Textbody">
Pour sa part, l’époux s’abstiendra lui aussi d’élever la
voix, ou d’utiliser toute expression qui pourrait humilier son épouse, sauf
dans des circonstances dont il est seul juge. Les ordres étant exécutés aucun
éclat de voix n’est nécessaire.</div>
<div class="Textbody">
EN aucun cas, l’épouse ne s’autorisera à couper la parole à
son mari. Elle écoutera respectueusement celui-ci, et ne s’adressera à lui que
dans la mesure où celui-ci lui aura autorisé.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc683_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.2.3<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>De
l’attitude corporelle</a></div>
<div class="Textbody">
En toutes circonstances, l’épouse veillera à ce que son
attitude corporelle soit digne et fasse honneur à son mari. Le corps sera tenu
droit, et aucun relâchement ne sera toléré.</div>
<div class="Textbody">
Quand l’épouse sera assise, elle veillera à ce que ses jambes
ne soient jamais ni croisées ni excessivement serrées. Sauf circonstances
exceptionnelles, et qui seront décidées par l’époux, elle veillera à ce que ses
fesses soient en contact direct avec le siège sur lequel elle est assise.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc685_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.2.4<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Du
regard</a></div>
<div class="Textbody">
Dans les échanges de la vie courante, l’épouse veillera à ce
que son regard n’exprime jamais ni insolence ni défi. Son regard ne croisera
celui de l’époux qu’autant qu’il est nécessaire à la compréhension mutuelle.</div>
<div class="Textbody">
Quand l’époux s’exprimera pour donner des consignes, et plus
encore s’il lui arrivait de devoir faire quelque reproche que ce soit à
l’épouse, celle -ci veillera à garder les yeux baissés, et ne regardera
directement l’époux que sur son autorisation expresse.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc687_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.3<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Dû corps de l’épouse</a></div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc689_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.3.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Des
soins corporels</a></div>
<div class="Textbody">
L’épouse veillera à ce que son corps soit, en toutes
circonstances, parfaitement propre et soigné.</div>
<div class="Textbody">
En particulier il sera entièrement<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>et soigneusement épilé.</div>
<div class="Textbody">
L’époux se réservera le droit, en toutes circonstances où il
l’estimera nécessaire, de vérifier la propreté du corps de l’épouse, y compris
de ses orifices intimes.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc691_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.3.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>De
l’hygiène de vie</a></div>
<div class="Textbody">
Le respect de son époux passant par le respect de son propre
corps, l’épouse s’abstiendra de tout comportement néfaste pour lui. Elle
veillera ainsi à se nourrir de manière correcte, à éviter tout excès de
boisson, ou tout usage de substances néfastes à sa santé.</div>
<div class="Textbody">
Sauf décision ou autorisation explicite de l’époux, elle
veillera à respecter un temps de sommeil nécessaire à sa santé.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc693_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.3.3<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>De
la pudeur</a></div>
<div class="Textbody">
En aucun cas, et sous aucun prétexte, il ne pourrait y avoir
de pudeur entre l’épouse et son époux. Il est donc exclu qu’elle puisse se
soustraire à son regard, quelles que soient les circonstances. Ni la toilette,
ni l’habillage, ni les passages aux toilettes ne pourront faire exception à
cette règle. Si elle pourra être adaptée à la demande le de l’épouse, il est
incontournable que les pipis se fassent porte des toilettes ouvertes, de même
que les soins de toilette, douche ou lavabos.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc695_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.4<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Des vêtements</a></div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc697_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.4.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Du
choix des vêtements de jour</a></div>
<div class="Textbody">
En toutes circonstances, sans aucune exception, l’épouse
veillera à ce que sa vêture soit élégante et soignée. Aucun laisser-aller ne
sera toléré en ce domaine. Ni vulgarité, ni excès de pudibonderie ne sera
accepté. En cas d’hésitation, l’épouse sollicitera l’avis de son époux avant de
revêtir une tenue sur laquelle elle s’interroge.</div>
<div class="Textbody">
Le pantalon ou tout autre vêtement du même genre sera exclu,
sans aucune exception. Seule les jupes, dont la longueur sera entre les genoux
et la mi-cuisse, et à la rigueur les robes avec les mêmes exigences seront
acceptées. Sauf nécessité dictée par le climat, et reconnue comme tel par
l’époux, l’épouse veillera à ce que ses vêtements soient assez décolletés pour
laisser voir les rondeurs de sa poitrine.</div>
<div class="Textbody">
Les chaussures à talon hauts seront privilégiées dans la
mesure du possible.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc699_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.4.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Des
sous-vêtements</a></div>
<div class="Textbody">
Sauf nécessité absolue liée aux contraintes de la féminité,
l’épouse renoncera définitivement et sans exception au port de la culotte,
slip, string ou autres. En toutes circonstances, il est incontournable qu’elle
soit les fesses et le sexe nu sous ses vêtements. Elle ne pourra sous aucun
prétexte ni déroger à cette règle, ni s’opposer à ce que l’époux en vérifie le
respect.</div>
<div class="Textbody">
Il sera possible de porter un soutien-gorge, encore qu’il
soit préférable que l’épouse s’en dispense aussi souvent que possible.</div>
<div class="Textbody">
Le port de collants est strictement exclu. Si le climat le
nécessite, l’épouse pourra cependant porter des bas. Ceux qui tiennent par une
partie élastique au niveau de la cuisse seront tolérés, mais il est préférable
qu’ils s’agissent de bas retenus par une serre-taille ou un porte-jarretelles.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc701_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">3.4.3<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Des
vêtements à la maison</a></div>
<div class="Textbody">
Quand l’épouse sera au domicile, et en toute autre
circonstances où l’époux en décidera, même pour sortir, le port du
soutien-gorge sera proscrit.</div>
<div class="Textbody">
Sauf en cas de présence probable de visiteurs, l’épouse
revêtira, dés qu’elle se trouve au domicile sa « tenue de maison »
Une nuisette courte, ne couvrant que les fesses et sans rien dessous sera
privilégiée. L’épouse portera alors des mules sans talon.</div>
<div class="Textbody">
Si l’époux en exprime le souhait, l’épouse évoluera nue dans
la maison.</div>
<div class="Heading1" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc703_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">4<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Des manquements aux règles</a></div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc705_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">4.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Des punitions</a></div>
<div class="Textbody">
Toute attitude que l’époux estimera en contradiction avec les
règles édictées ci-dessus, ou tout comportement qu’il estimera comme tel
entraînera une sanction. Celle-ci ne sera en aucun cas et sous aucun prétexte
ni refusée ni même discutée par l’épouse.</div>
<div class="Textbody">
A l’annonce de la punition, quelle qu’elle soit, l’épouse se
mettra en demeure de l’exécuter soit immédiatement soit dans le délais décidé
par l’époux. Elle prendra connaissance de la décision de l’époux sans
commentaire ni mouvement de mauvaise humeur.</div>
<div class="Textbody">
Si l’époux en exprime le souhait, l’épouse sollicitera son
pardon en adoptant la position a adéquate (voir ci-dessous § 5;2 La punition
annoncée sera cependant exécutée sans délais ni modification.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc707_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">4.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>De la variété</a></div>
<div class="Textbody">
L’époux décidera seul et sans aucune limite autre que celles
qu’il estimera nécessaire des punitions méritées par l’épouse. Selon les cas,
il pourra s’agir de punitions infantiles, lignes ou copie, de privations de
sortie, d’isolement, de consignes vestimentaires,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de mise « au coin » ou de postures
imposées.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc709_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">4.3<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Des
punitions corporelles</a></div>
<div class="Textbody">
Les punitions corporelles étant le fondement et la marque de
la position de soumise de l’épouse, elles ne pourront être évitées. Elles
seront acceptées et reçues sans récrimination. Selon la décision de l’époux,
elles pourront être appliquées séance tenante après leur annonce, ou reportées
à un moment dont l’époux sera seul juge.</div>
<div class="Textbody">
La fessée sera la punition des fautes vénielles. Les
manquements jugés plus grave pourront entraîner l’utilisation d’instruments
punitifs, martinet, lanières, strap, brosse à cheveux et.</div>
<div class="Textbody">
Selon la décision du mari, l’intensité et la durée de la
punition seront annoncées à l’avance ou laissées à l’appréciation du mari.</div>
<div class="Textbody">
En règle générale, les punitions corporelles seront
appliquées au domicile, dans la pièce jugée la plus adaptée par l’époux, et
dans l’intimité du couple. Pourtant, les circonstances pourront amener à ce
qu’elles soient appliquées en dehors du domicile. L’éventuelle présence de
tiers amènera l’époux à adapter son comportement à ces circonstances, mais elle
ne saurait en aucune manière être un obstacle à ce qu’une punition soit
appliquée si l’époux le juge nécessaire.</div>
<div class="Textbody">
Si l’intensité de la fessée amène l’épouse à exprimer sa
douleur, elle veillera à le faire sans excès, et sans exagération.</div>
<div class="Textbody">
A l’issue de la fessée, l’épouse remerciera son époux de sa
bienveillance, quelle qu’ait été la sévérité de la punition. Elle adoptera
alors la position prévue dans ces circonstances. Elle ne sera autorisée à se
frotter la partie fustigée et à se rhabiller que sur autorisation expresse de
l’époux.</div>
<div class="Heading1" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc711_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">5<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Des positions</a></div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc713_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">5.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>De leur utilité</a></div>
<div class="Textbody">
En respectant les contraintes physiques et les capacités de
l’épouse, il est important qu’elle soit en mesure, si l’époux en décide ainsi,
d’adopter les positions qui illustrent sa situation.</div>
<div class="Textbody">
L’épouse devra donc adopter ces positions aussitôt que son
mari en aura exprimé le souhait. Il est primordial qu’elle les connaisse
parfaitement et sans hésitation. Tout manquement à cette règle entraînerait une
sanction immédiate.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc715_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">5.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>De leur diversité</a></div>
<div class="Textbody">
Les positions pourront être définies par l’époux, après
consultation de l’épouse. Elles pourront donc évoluer dans le temps en fonction
de l’évolution de celle-ci.</div>
<div class="Textbody">
Dans un premier temps, l’épouse devra être en mesure
d’adopter, sur simple sollicitation de son mari les positions ci-dessous :</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc717_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">5.2.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>L’attente :</a></div>
<div class="Textbody">
Nue, debout, les jambes légèrement écartés, les mains sur la
tête, doigts entrecroisés.</div>
<div class="Textbody">
Cette position sera adoptée lors des mises « au
coin »</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc719_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">5.2.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>La
présentation :</a></div>
<div class="Textbody">
Nue, à genoux, cuisses écartées, le derrière sur les talons,
bras tendu, mains ouvertes, paumes vers le ciel, tête baissée.</div>
<div class="Textbody">
Cette position sera adoptée pour la demande de pardon, et
après la punition corporelle.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc721_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">5.2.3<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Le
repos :</a></div>
<div class="Textbody">
Nue, assise au sol, « en tailleur », bras croisés
devant la poitrine, tête baissée.</div>
<div class="Heading3" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc723_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">5.2.4<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span>Agenouillée :</a></div>
<div class="Textbody">
Identique à la présentation, mais bras croisés derrière le
dos.</div>
<div class="Heading1" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc725_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">6<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Des autres pratiques :</a></div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc727_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">6.1<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>De la présence de tiers</a></div>
<div class="Textbody">
Quand l’époux estimera que son épouse en est capable, il
pourra envisager que certaines des pratiques de leur couple, et en particulier
les punitions corporelles, ne soient pas limitées à l’intimité du couple.
L’époux veillera à respecter les réticences de l’épouse, mais celle-ci
s’efforcera de les dépasser pour plaire à son mari et le rendre fier d’elle.</div>
<div class="Heading2" style="margin-left: 0cm; text-indent: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc729_1511297592"><span style="mso-bidi-font-family: "Liberation Sans"; mso-fareast-font-family: "Liberation Sans";"><span style="mso-list: Ignore;">6.2<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span>Des autres pratiques</a></div>
<div class="Textbody">
De la même manière, et en respectant le rythme compatible
avec les progrès de l’épouse, le mari pourra envisager de lui faire connaître
d’autres contraintes physiques ou psychiques. En ce domaine aussi, il veillera
à ne pas imposer à son épouse des pratiques qu’elle ressentirait comme
excessive ou attentatoires à sa dignité.</div>
<div class="Textbody">
De son côté, l’épouse s’évertuera là aussi de dépasser ses
réticences, ses peurs et ses limites pour faire honneur à son mari.</div>
<div class="Textbody">
Les présentes règles pourront donc, le moment venu, faire
l’objet de compléments.</div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Textbody" style="page-break-before: always;">
<br /></div>
<div class="Heading2" style="mso-list: none;">
<br /></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="Textbody">
<br /></div>
<div class="ContentsHeading" style="tab-stops: right dotted 470.3pt;">
Table des matières</div>
<div class="Contents1">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc649_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">1Généralités<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.......................................................................................................................................... </span>1</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc651_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">1.1Notre
couple<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................................................ </span>1</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc653_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">1.2Des
engagements réciproques<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">..................................................................................................... </span>1</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc655_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">1.2.1Pour
l’époux<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................ </span>1</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc657_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">1.2.2Pour
l’épouse<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">....................................................................................................................... </span>1</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc659_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">1.3Notre
famille<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................................... </span>1</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc661_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">1.3.1La
discrétion<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................ </span>1</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc663_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">1.3.2La
continuité<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................ </span>2</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc665_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">1.4Du code
familial<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.......................................................................................................................... </span>2</span></a></div>
<div class="Contents1">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc667_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">2De
l’obéissance<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................................................... </span>2</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc669_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">2.1Immédiateté<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................................................. </span>2</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc671_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">2.2Volonté<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................................ </span>2</span></a></div>
<div class="Contents1">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc673_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3Les règles
pérennes<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................................. </span>2</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc675_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.1Des règles
permanentes<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................... </span>2</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc677_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.2De
l’attitude de l’épouse<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.............................................................................................................. </span>2</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc679_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.2.1Du
respect<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................... </span>2</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc681_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.2.2De la
voix et des mots<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">......................................................................................................... </span>2</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc683_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.2.3De
l’attitude corporelle<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................ </span>3</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc685_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.2.4Du
regard<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................................ </span>3</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc687_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.3Dû corps
de l’épouse<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................................... </span>3</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc689_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.3.1Des
soins corporels<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.............................................................................................................. </span>3</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc691_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.3.2De
l’hygiène de vie<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................. </span>3</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc693_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.3.3De la
pudeur<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................................ </span>3</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc695_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.4Des
vêtements<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................................. </span>4</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc697_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.4.1Du choix
des vêtements de jour<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................... </span>4</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc699_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.4.2Des
sous-vêtements<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................. </span>4</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc701_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">3.4.3Des
vêtements à la maison<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................... </span>4</span></a></div>
<div class="Contents1">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc703_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">4Des
manquements aux règles<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.............................................................................................................. </span>5</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc705_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">4.1Des
punitions<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.............................................................................................................................. </span>5</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc707_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">4.2De la variété<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................................................ </span>5</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc709_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">4.3 Des
punitions corporelles<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">........................................................................................................... </span>5</span></a></div>
<div class="Contents1">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc711_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">5Des
positions<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">....................................................................................................................................... </span>6</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc713_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">5.1De leur
utilité<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................................... </span>6</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc715_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">5.2De leur
diversité<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.......................................................................................................................... </span>6</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc717_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">5.2.1L’attente :<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................................. </span>6</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc719_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">5.2.2La
présentation :<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.................................................................................................................. </span>6</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc721_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">5.2.3Le repos :<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">............................................................................................................................. </span>6</span></a></div>
<div class="Contents3">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc723_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">5.2.4Agenouillée :<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">....................................................................................................................... </span>6</span></a></div>
<div class="Contents1">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc725_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">6Des autres
pratiques :<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.......................................................................................................................... </span>6</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc727_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">6.1De la
présence de tiers<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">................................................................................................................. </span>6</span></a></div>
<div class="Contents2">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc729_1511297592"><span style="color: windowtext; text-decoration: none; text-underline: none;">6.2Des autres
pratiques<span style="mso-tab-count: 1 dotted;">.................................................................................................................... </span>7</span></a></div>
<span style="font-family: "liberation serif" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 107%;"><br clear="all" style="mso-special-character: line-break; page-break-before: always;" />
</span>
<br />
<div class="MsoNormal" style="line-height: 107%; margin-bottom: 8.0pt; mso-hyphenate: auto; mso-vertical-align-alt: auto; text-autospace: ideograph-numeric ideograph-other;">
<br /></div>
<div align="center" class="Textbody" style="text-align: center;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Marie-Caroline s’est entretenu avec Jeanne.</i></div>
<div align="center" class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">ENTRETIEN AVEC JEANNE</b></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i>Jeanne, vous avez accepté de
me montrer les « règles de vie » établies dans votre couple,
accepteriez vous de m’en dire plus à ce sujet ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Si vous le souhaitez, pourquoi
pas ? J’assume tout à fait le style de vie qui est le mien vous savez.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i>Quand ont été établies ces
« règles » ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Avant mon mariage, mais mon futur
mari m’avait déjà fait part de sa conception de la vie conjugale avant.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i>Et cela ne vous avais pas fait
...hésiter à vous engager ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Aussi étonnant que cela puisse
vous paraître, non, pas du tout. Je dirais presque, paradoxalement, au
contraire !</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i>Comment ça ? Vous …
souhaitiez vivre sous ce genre de règles ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Souhaiter n’est pas le bon mot. A
vrai dire, je n’avais jamais imaginé que cela soit possible. Mais ce que je
veux dire c’est que le fait que celui qui allait devenir mon mari exprime aussi
directement les choses m’a presque rassurée. Il y a tellement d’hommes qui n’en
disent rien mais qui n’en pensent pas moins ! Là au moins, les choses
étaient claires, je savais à quoi m’en tenir.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i>Ainsi, vous n’avez jamais
hésité à vous engager ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Franchement, non. Quand mon
fiancé m’a ainsi expliqué sa conception de la vie, ça a été pour moi une sorte
de révélation, c’était comme une évidence.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i>De révélation ? Que
voulez vous dire ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Que j’ai compris, presque dans la
seconde, que cette place qu’il voulait m’assigner, eh bien c’était celle qu’au
fond de moi je voulais occuper. Celle qui était la mienne.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i>Cette place ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Oui, tout à fait. Ma place de
femme. Une femme soumise, puisque c’est le terme qui convient. Mais une femme
libre, en même temps, puisque cette soumission ne m’est pas imposée. Elle n’a
jamais été présentée comme ne condition, un chantage.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vous considérez donc que vous l’avez acceptée en toute
conscience ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Plus que cela, je dirais plutôt
que je l’ai revendiquée ! Ou plutôt peut-être que j’ai reçu cette
proposition comme un cadeau.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Et, depuis vous n’avez jamais regretté ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Ah certainement pas ! Je
pense bien au contraire que ça été la chance de ma vie.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mais, perdre ainsi toute liberté ne vous a vraiment jamais pesé ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Mais je n’ai perdu aucune
liberté, puisque ce style de vie, ces règles, je les ai non seulement acceptées,
mais voulues.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mais elles vous ont quand même étaient imposées ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Non ! Encore ne fois, non.
Du reste, quand mon mari les a rédigé, j’ai été associée à cette rédaction.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Accepteriez-vous que nous revenions sur certaines de ces règles ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
Bien sûr, du moment où j’ai
accepté que vous en preniez connaissance, et dans la mesure où mon mari l’a
autorisé, il n’y a aucune raison de cacher quoi que se soit.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Est-ce que cela veut dire que d’autres personnes, de votre entourage,
connaissent aussi ces règles ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Non, pas
vraiment. Vous savez, nous ne sommes pas prosélytes. Mais, bien sûr, nos plus
proches amis se rendent bien compte que nous ne vivons pas une vie de couple
tout à fait comme la leur. Et ils ont l’élégance de ne pas poser de questions.
C’est différent pour vous, bien sûr.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’un des premiers articles précise que ces
règles doivent être respectées « hors du foyer conjugal » …</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Certaines
d’entre elles, pas toutes. Il a toujours été entendu que je devais pouvoir
mener ma vie sociale et professionnelle. En matière d’habillement, par exemple,
vous remarquerez que le soutien-gorge est interdit à la maison, mais j’en porte
tous les jours au travail. Par contre, l’absence de culotte ne se remarque pas,
donc …</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Donc vous ne portez vraiment jamais de
slip ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Jamais, depuis
plus de quinze ans. Sauf bien sûr certains jours du mois pour des raisons
évidentes.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Et personne ne l’a jamais remarqué ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
(rire) En tous
cas personne ne m’en a jamais rien dit ! Mais, vous-même, vous pensez que
beaucoup de vos collègues ont déjà vu votre culotte ? Donc ils n’auraient
pas non plus vu s’il n’y en avait pas !</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Votre mari continue à vous appeler
« jeune dame » et vous de l’appeler « Monsieur » ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
(nouveau rire)
oui ! Dans certaines circonstances seulement. Oh je sais bien que l’adjectif
« jeune » se justifie de moins en moins. Mais l’habitude est prise,
alors …</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Parlons des règles concernant l’attitude
corporelle, si vous le voulez bien. Vous parvenez à toujours les
respecter ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Il me semble
que oui. M’asseoir en me tenant droite et sans m’affaler est devenu naturel, et
en plus c’es très bon pour le dos ! Et si, parfois, il arrive que je serre
trop les jambes au gout de mon mari, il lui suffit d’un petit geste de deux
doigts qui s’écartent pour que je rectifie la position.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">En ce qi concerne votre corps … être épilée,
c’est finalement assez courant, mais cette possibilité, écrite noir sur blanc,
pour votre mari de « vérifier » la propreté même de vos
« orifices intimes » … c’est très humiliant, non ? </i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
A vrai dire,
mon mari n’a jamais vraiment usé de ce droit qu’il s’est arrogé, avec mon
accord. Et puis, qu’un homme glisse parfois un doigt dans ces endroits, ce
n’est pas si désagréable ! (éclat de rire)</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Certes ! Mais, par exemple, faire …
pipi sans pouvoir fermer la porte des toilettes …</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
C’est
pareil ! J’avoue qu’au début c’est une des règles que j’aieu le plus de
mal à appliquer sans réticences. Mais une fois quele pli est prit, cela devient
assez banal finalement. </div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mais pourquoi cette règle ? Pourquoi
votre mari tenait-il à voir ce moment si … intime ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Pourquoi ?
Je pense qu’il n’y a pas de raison. Mon mari n’est pas ondiniste,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>si c’est à cela que vous pensez. Mais c’est
une règle, comment dirai-je, arbitraire. Qui doit être respectée uniquement
parce que c’est une règle, vous comprenez ?</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le chapitre qui m’a le plus … étonné, c’est
celui des punitions…</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Ah oui !
Je vous rassure tout de suite, je ne suis en aucune manière victime de
violences conjugales, et mon mari n’est en rien un tyran violent.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pourtant, il vous arrive …</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
De prendre des
volées ? Ca oui, je le concède. </div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">(sourire) Donc vous n’êtes pas toujours
obéissante et soumise ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Oh, comme on
dit, la perfection n’est pas de ce monde. Alors, oui, il m’arrive d’être
grognon, de mauvaise humeur, ou d’élever la voix parce que je suis énervée, que
la journée a été difficile …</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Et alors ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Eh bien … je
passe sur les genoux de Monsieur, je prend une fessée carabinée, et voilà
tout !</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">C’est aussi simple que ça ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Oui ! La
semaine dernière, je cherchais un document que j’avais égaré dans la maison. Je
me suis obstinée à retourner toute la maison en grognant et j’ai même juré tant
cela me rendait furieuse. Mon mari n’a rien dit, nous avons dîné comme
d’habitude, j’ai essayé de retrouver le sourire … Mais ça n’a pas suffit. Après
d le dîner mon mari m’a « invitée » à monter dans son bureau…. Je
suis restée un bon quart d’heure « au coin »et alors, j’ai eu tout le
temps de me calmer, de me rendre compte qu’après tout si je en retrouvais pas
ce fameux document le soir même le monde n’allait pas s’écrouler. Ce qui ne
pas<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>empêché de prendre une bonne volée
de martinet. Fin de l’incident.</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Et … vous trouvez…normal ce genre de
punition ? </i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Dans beaucoup
de couples, un incident aussi banal aurait entraîné des échanges aigre-doux,
des reproches, voir une bouderie. Chez nous, rien de tout çà. Une bonne fessée,
et on n’en parle plus !</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mais … une fessée, le martinet …çà fait
mal !</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
Ah, çà, oui, je
vous le confirme ! Cà fait très mal aux fesses. Mais on n’a rien sans rien
comme on dit ! Mais en même temps, si une fessée ne faisait pas mal, ce ne
serait pas une fessée !</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Et après, vous remerciez vraiment votre
mari, à genoux …Cà doit être terriblement humiliant ?</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
De mon point de
vue, absolument pas. Je n’ai jamais eu le sentiment d’être humiliée. EN tous
cas infiniment moins que ces épouses que leur mari couvrent de noms d’oiseaux
et de reproches. Ces « positions » ne sont pas, pour nous, une forme
d’humiliation. C’est, comment dire, une sorte de communication ne verbale,
voilà tout !</div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le texte des règles de vie se termine sur
l’allusion à « d’autres pratiques » …</i></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
<br /></div>
<div class="Standard" style="margin-left: 76.55pt; tab-stops: 399.4pt;">
En effet. Mais
là, nous sortons de la discipline conjugale proprement dit. Ces
« pratiques » relèvent de notre intimité de couple, et si vous le
voulez bien elles vont le rester…</div>
<span style="font-family: "liberation serif" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 107%;"><br clear="all" style="mso-special-character: line-break; page-break-before: always;" />
</span>
<br />
<div class="MsoNormal" style="line-height: 107%; margin-bottom: 8.0pt; mso-hyphenate: auto; mso-vertical-align-alt: auto; text-autospace: ideograph-numeric ideograph-other;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Après s’être
entretenu, entre femmes, avec Jeanne, Marie-Caroline a rencontré son mari,
Paul.</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">ENTRETIENT AVEC PAUL</b></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Paul, vous êtes le
mari de Jeanne, vous avez accepté que celle-ci réponde à mes questions et donc
dévoile une partie au moins de votre mode de vie. Accepteriez-vous de nous
donner votre point de vue ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Dés lors que j’ai autorisé Jeanne à vous faire ces
révélations, je n’ai plus grand-chose à cacher (sourire)</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vous considérez vous
comme un « machiste » ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Certainement pas ! Même si cela peut vous sembler
contradictoire, je suis tout à fait partisan de l’égalité des sexes dans la
société.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Et pourtant, c’est peu
dire que vous ne la<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pratiquez pas dans
votre couple !</i></div>
<div class="MsoNormal">
Mais justement, notre couple, ce n’est pas la société. Nous
nous sommes donnés à nous-mêmes le droit d’établir nos règles, elles ne
concernent que nous et nous n’avons jamais prétendu qu’elles devraient
s’appliquer en dehors de notre couple.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quand même, dans
l’introduction des « règles de vie » vous les fondez bien sur un
principe religieux !</i></div>
<div class="MsoNormal">
Vous avez bien compris<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>que cette référence à la Genèse était de l’ordre du sourire ! Du
reste, étant parfaitement athée, cette référence ne doit pas être prise au pied
de la lettre. Elle veut seulement dire que, chez nous, j’insiste sur ces mots,
il sera établi, une fois pour toutes, qu’en effet l’Homme – donc le mari –
dominera la Femme –donc l’épouse. </div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Celle-ci a vraiment
été associée à la rédaction de ces règles de vie ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Oui, bien sûr, elles lui ont été présentées avant leur
adoption. </div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Elle a donc pu les modifier ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Plus exactement elle <i style="mso-bidi-font-style: normal;">aurait
</i>tout à fait pu, en effet. Mais, justement, elle n’a pas émis de réserves.
Preuve, vous en conviendrez, qu’elle était déjà dans cette position de soumise
qui allait devenir la sienne.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Je ne suis pas sûr
d’avoir vraiment compris … ces « règles » elles s’appliquent vraiment
au quotidien, je veux dire vraiment de manière continue ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Bien sûr. Vous comprenez bien que si nous passions sans
cesse d’un mode de relations classique à ce mode de soumission conjugale,
Jeanne serait constamment en insécurité. Il est donc primordial qu’elle soit
dans cette position de manière naturelle, continue. Ce qui n’empêche pas, comme
vous l’avez lu, que parfois notre code de vocabulaire peut le lui rappeler.
Mais nous n’en usons que si des tiers sont présents. Dans la vie quotidienne,
Jeanne sait où est sa place, et donc comment elle doit se comporter.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pouvez- vous nous
donner un exemple de ces comportements.</i></div>
<div class="MsoNormal">
Certainement. Vous savez, finalement, c’est assez simple,
assez ordinaire. Je suppose que dans tous les couples, il y a des habitudes,
même si elles ne sont pas codifiées. Celui qui se lève le premier, qu parfois
apporte le café à l’autre, le bisou du matin, que sais-je ? Chez nous, le
rituel, c’est que le matin, Jeanne, le matin, avant toute chose, me
« présente ses hommages », selon l’expression que nous utilisons.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">C’est-à-dire ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Il est vrai que ce rituel n’est pas explicitement énoncé
dans les règles, il s’est en fait institué au cours du temps. Il consiste tout
simplement à ce que, au réveil, Jeanne se présente devant moi dans la position
dite « agenouillée » C’est sa manière de me dire bonjour. Et vous
pouvez facilement imaginé ce qui peut s’en suivre certains matins …(sourire)</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Imaginer ? Je ne
vois pas …</i></div>
<div class="MsoNormal">
(éclat de rire) Alors là, je ne peux rien pour vous !
Si vous n’imaginez pas ce qu’un homme, au réveil, peut attendre d’une femme
nue, agenouillée devant lui…</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vous voulez dire
qu’elle ….</i></div>
<div class="MsoNormal">
N’ayez pas peur des mots, mademoiselle, eh bien oui, vous
savez qu’au réveil les hommes sont souvent en érection … et Jeanne a une bouche
gourmande et délicieuse ! Vous voyez, il n’y a là rien de bien sulfureux.
Qu’un homme aime se faire sucer le matin, c’est très banal, non ?</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">(Hésitante) Oui, …
enfin…je ne sais pas ….mais … vous me permettez d’être indiscrète ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Il me semble que vous l’avez déjà été un peu, non ?
Alors … vous pouvez continuer. N’ayez crainte, je ne suis sévère qu’avec
Jeanne ! (éclat de rire)</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lors de ces fellations
matinales, vous … enfin …vous allez …jusqu’au bout ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Si vous voulez des réponses précises, il faut oser poser les
questions, mademoiselle ! Vous pensez bien que si Jeanne me suce (eh oui,
n’ayez pas peur des mots !) ce n’est pas pour que je reparte avec la bite
sous le bras, si vous me permettez cette expression !</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Donc elle doit …</i></div>
<div class="MsoNormal">
Oui ! Elle avale, si c’est cela qui vous
préoccupe ! Ca aussi c’est une règle qui s’est ajoutée sans que nous ayons
eu besoin de l’écrire. Et puisque les références bibliques vous intéressent,
pensez au péché d’Onan, qui répandait sa semence par terre. Chez nous, elle se
répand dans le gosier de ma Jeanne, pour mon plus grand bonheur, et j’ose le
croire, pour le sien. Encore qu’il y ait des jours, quand cet hommage est rendu
alors qu’elle ne s’est pas encore douchée, où il me prend<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>la fantaisie de baptiser son visage et ses
seins. Vous voyez, là aussi, rien que de très ordinaire pour un couple
amoureux. La seule différence, peut-être, est que, si j’ai fait le choix de
jouir dans la bouche de Jeanne, une autre règle non écrite veux qu’elle … mais
je vois que je vous scandalise, mademoiselle, vous allez défaillir !</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">(Balbutiante) Non …
non, allez-y, continuez …</i></div>
<div class="MsoNormal">
Vous l’aurez voulu ! Eh bien dans ces cas là, il est
exclu qu’elle aille se laver les dents après … comme cela, pour le reste de la
journée, elle garde le souvenir de ce moment d’intimité.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Oh ! Mais quand
…quand c’est … sur son visage …</i></div>
<div class="MsoNormal">
(Eclat de rire) Elle passe bien sûr à la salle de
bain ! Elle ne va pas au travail le visage maculé de sperme ! </div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">(Rougissante) Mais
quand même, c’est … c’est très humiliant, non ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Humiliant ? Mais pas du tout ! Et du reste, cela
ne relève pas vraiment de ce que nous avons coutume d’appeler la
« discipline conjugale » </div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ah … si vous le dites
…Par contre, ces punitions, elles …</i></div>
<div class="MsoNormal">
C’est tout différent, bien sûr.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Donc, là, vous ne
prenez pas de plaisir ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Comment répondre à<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>une telle question ? Quand il m’arrive de punir Jeanne, ce n’est en
effet pas « pour mon plaisir » Les punitions sont toujours
justifiées, motivées. Elles<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>nous
permettent, je pense que Jeanne vous l’a expliqué, d’éviter les tensions, les
bouderies, qui gâchent la vie des couples ordinaires. Mais je ne vais pas vous
dire non plus que c’est une épreuve pour moi. Bien sûr que je prends aussi du
plaisir à la fesser.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Et … elle ? </i></div>
<div class="MsoNormal">
Vous lui poserez la question ! Mais il vous faudra
comprendre que les choses sont un peu plus complexes que vous ne semblez le
croire. Quand le flanque une volée à mon épouse, je suis bien conscient que
cela lui fait mal. Ce n’est pas un jeu sexuel. Ce n’est pas le « panpan
cucu » en préliminaire amoureux. </div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Donc il y a bien une
césure entre vos pratiques amoureuses et cette « discipline »</i></div>
<div class="MsoNormal">
Oui … et non ! Elle n’est pas fessée pour mon plaisir,
ce serait une perversion, ni pour le sien. Elle prend une vraie trempe, qui
fait mal, il serait ridicule de le nier. Mais, s’il faut mettre les points sur
les « i », mademoiselle, eh bien oui, quand le fesse ma femme, je
bande ! Voilà. C’est dit. Et pour être encore plus complet, quand elle
reçoit ces punitions (et vous avez compris qu’elles ne sont pas seulement
corporelles) cela lui fait mal, bien sûr, mais en même temps …</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">En même temps ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Elle mouille, abondamment. Voilà. Est-ce assez clair ?</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Euh… oui, en effet
…vous voulez dire qu’elle … qu’elle y prend aussi du plaisir ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Mais enfin, vous avez rencontré Jeanne ! Pensez vous
vraiment que si nos pratiques comme vous dites, lui étaient insupportables,
elle serait resté avec moi depuis plus de quinze ans ? Si vous voulez
vraiment comprendre notre monde, il vous faut renoncer à une vision en noir et<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>blanc. Il n’y a pas le a douleur d’une part
et le plaisir de l’autre. Les deux notions sont imbriquées,
comprenez-vous ?</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Je ne sais pas …
j’essaye !</i></div>
<div class="MsoNormal">
C’est tout à votre honneur ! </div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Donc, on pourrait dire
que vous êtes aussi ce que l’on appelle des « SM » ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
SI vous voulez mettre des étiquettes, pourquoi pas. Mais, en
effet, les deux choses sont à la fois liée, et différentes.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Je ne suis pas sûre de
comprendre …</i></div>
<div class="MsoNormal">
La discipline conjugale est une chose. Un style de vie. Une
organisation de la vie conjugale. Après, je vous le concède, il y a ce que
j’appellerais des « jeux » … qui sont d’une autre nature.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vous voulez dire … des
jeux sexuels ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Oui, bien sûr. La confrontation à la douleur n’est plus
alors comprise comme une punition. Mais bien comme une sorte d’épreuve, pour elle
mais aussi pour moi.</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">A la douleur ?
Comme dans les fessées ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
Oui … mais non ! (rire) Mais là nous entrons dans une
part de notre vie qui sort du cadre de votre enquête, mademoiselle. Je ne
m’autorise pas à vous en dire plus sans l’accord de Jeanne, vous me
comprenez ?</div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Oui, bien entendu, je
vais arrêter là mes questions … indiscrètes.</i></div>
<div class="MsoNormal">
Je vais quand même essayer de vous mettre sur la voie.
(Sourire) Si Jeanne le veut, elle vous en dira plus. Surtout si elle comprend
qu’un refus de sa part lui vaudra une raclée (Eclat de rire) Quand Jeanne prend
une fessée, quand elle a le derrière zébré par le martinet ou les verges, cela
peut être parce qu’elle a été « punie » Elle sait alors pourquoi, et
cela se passe chez nous, elle vous a parlé de notre rituel du bureau. Alors que
quand elle reçoit peut-être les mêmes « mauvais traitements », mais
aussi qu’elle supporte d’autres pratiques, que ses seins sont malmenés, ses
tétons pincés, que sais-je encore, et qui plus est en présence d’autres
participants, nous sommes dans un autre univers…. </div>
<div class="MsoNormal">
Dont nous parlerons peut-être une autre fois.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<span style="font-family: "liberation serif" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 107%;"><br clear="all" style="mso-special-character: line-break; page-break-before: always;" />
</span>
<br />
<div class="MsoNormal" style="line-height: 107%; margin-bottom: 8.0pt; mso-hyphenate: auto; mso-vertical-align-alt: auto; text-autospace: ideograph-numeric ideograph-other;">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">LES SENTIMENTS DE MARIE-CAROLINE</b></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Marie-Caroline s’entretien avec le rédacteur en chef de « Eloge
des sens »</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Marie Caroline, peux tu nous expliquer comment
tu as obtenu ces témoignages pour le moins … surprenants</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : J’ai
commencé une série d’articles sur les modes de vie des couples d’aujourd’hui.
J’ai ainsi rencontré des couples mariés, des couples de concubins, mais aussi
des couples plus originaux …</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Comme celui de Jeanne et Paul ! Comment as
– tu pris contact avec ce couple ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : C’est un
ami de ce couple qui m’as mise en relation avec eux, mais vous comprendrez que,
comme tous journaliste digne de ce nom, je ne révèle pas mes sources.</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Comment es tu parvenue à rencontrer Jeanne et
son mari ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Finalement
assez facilement. J’ai échangé d’abord avec Paul par mail, je lui ai demandé
s’il acceptait que son épouse me rencontre, et il ma donné son accord, sous la
seule condition que leur anonymat soit bien sûr protégé.</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Tu as donc rencontré d’abord Jeanne ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.A. : Oui, nous
en avions convenu avec Paul.</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Comment s’est passé cet entretien ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : D’une
manière étonnamment détendue. Jeanne m’a proposé de la rencontrer à son
domicile. Elle m’a reçue très gentiment, sans la moindre gêne, perceptible en
tous cas.</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Quelle impression t’a fait Jeanne ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Elle m’a
semblé très forte, très sure d’elle. Elle m’a parlé de sa vie intime d’une
manière totalement naturelle, sans gêne, sans tabous, mais aussi sans le
moindre exhibitionnisme.</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Donc, finalement, une interview assez facile ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : (après une
hésitation) Je ne dirais pas ça. Jeanne était d’un abord facile, ça oui. Mais …
entendre ces confidences c’était …</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Gênant ? </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Non. Mais …
je dirais plutôt troublant …</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Troublant ? Comment cela ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : C’est … c’est
un peu difficile à dire, tu sais …</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Oh, Marie-Caroline, tu participe à ce blog …
donc tu acceptes toi aussi les règles de … transparence, non ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Oui … bien
sûr… Eh bien, si tu veux tout savoir, durant notre entretien, quand Jeanne me
parlait avec un parfait naturel de ses fessées, j’étais … émue.</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : « Emue » . ? Ça veut sire quoi ça ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Oh !
tu es impossible ! Eh bien oui, je l’avoue, j’ai … j’ai mouillé ma petite
culotte ! Voilà, tu es content ?</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Ca prouve au moins que, toi, tu en portais une !</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : (en riant)
Oui ! Jeanne n’a pas essayé de me convaincre de m’en passer. </i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Et comment expliques-tu cette « émotion »
comme tu dis ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Je ne sais
pas … je n’avais jamais pensé à … à des choses comme cela …L’image de cette
femme tellement digne … les fesses à l’air …. Ou au coin ….Eh bien oui, je l’avoue,
ça me mettait les sens en feu …. Mais bon, tu n’en sauras pas plus. Le reste c’est
ma vie privée !</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Soit. Et l’entretien avec Paul, quel effet cela
t’a fait ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Très
différent, bien sûr. J’étais beaucoup plus mal à l’aise, même si, lui aussi, a
été très sympathique. Mais, tu comprends, l’idée que cet homme, qui me parlait
de tout cela comme s’il avait parlé, je ne sais pas moi, de ses goûts en
cuisine, pouvait infliger le martinet à sa femme …</i></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il a été très correct,
il n’a pas eu un mot ou un geste ambigu, mais, c’est vrai, j’avais le sentiment
que son regard<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>… me déshabillait !</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Et … cela a eu aussi des conséquences sur …ta
petite culotte ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Tu ne
renonceras pas, hein ? Eh bien soit, oui, j’étais à la fois gênée, parfois
presque choquée, mais en même temps, oui, je sentais les pointes de mes seins
se durcir et …oui, après notre entretien, mon slip était très humide !</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Lui non plus ne t’a pas incité à … les imiter ?
</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : (en
bredouillant un peu) Non, je t’ai dit, pas un mot de travers. Mais … en dehors
de l’entretien proprement dit, il a fait allusion à des « sorties »
ave Jeanne, lors desquelles il rencontre d’autres couples qui ont … enfin les mêmes
habitudes.</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : Et alors ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Eh bien …
il m’a proposé de les accompagner pour compléter mon article …mais en ajoutant,
juste au moment où nous prenions congé : « quand vous voulez … jeune
dame » et je suis bien sûre qu’il n’a pas employé ces mots à la légère …</i></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
A.E. : En effet … Et tu comptes …profiter de l’invitation ?
</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M.C. : Ca … nous
en reparlerons, peut-être !</i></div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-58666608705395518072018-09-27T02:11:00.000-07:002018-09-27T02:11:03.352-07:00Libres contraintes 2ème partie
<h1 align="center" class="western">
Libres contraintes<br />
<span style="font-size: medium;">Deuxième</span><span style="font-size: medium;">
partie : « </span><span style="font-size: medium;">Notre
place »</span></h1>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Luc a convaincu
Aurélie, sa compagne, de passer une soirée au « LibertéS »,
un bar coquin. Ils y rencontrent Bernard et Marie, un couple
d’habitués, et leurs amis Jean et Lucie. Ils apprennent que marie
ne porte jamais de culotte, et Lucie retire la sienne aux toilettes
et tente de convaincre Aurélie de faire de même.</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc8982_820446686"></a>Explications</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc8984_820446686"></a>« Fais
moi confiance »</h2>
<br />
<br />
<br />
<div align="left">
J’avais bien compris que Lucie me proposait tout
simplement – si on peut dire – de faire comme elle. Proposition
qui, bien sûr, était pour le moins déstabilisante. Certes, il
m’était déjà arrivé, une fois ou deux, de sortir sans slip, une
fois au retour de la plage alors que je n’avais pas de
sous-vêtement sec, une autre fois pour répondre à un « pas
chiche » de Luc lors d’un repas au restaurant. Mais, les deux
fois, je portais des robes longues, genre djellaba, ce qui explique
ma remarque à propos de celle de Marie. Faire la même chose avec la
jupe droite et largement au-dessus du genoux que j’avais choisie
pour cette soirée était autrement plus risqué. Comme si elle
avait entendu mes craintes sans même que le les exprime, Lucie
argumenta :</div>
<div align="left">
<i>« Personne ne le verra, tu sais.Après
tout, personne ne voit ta culotte, alors pourquoi verrait-on que tu
n’en as pas ? »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
Je dois reconnaître que
le raisonnement était imparable, même s’il ne me convainquait pas
vraiment. Alors mon amie poursuivit :</div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Pour
Marie, c’est différent, tu l’as vu Bernard est … comment
dire...autoritaire, mais tu as bien vu aussi qu’elle l’accepte
volontiers. Je sais bien que Jean ne me demanderais jamais de faire
la même chose, je n’y suis pas prête. Il lui suffira de
comprendre que je n’ai fait, et que c’est pour lui faire plaisir.
Pas pour les autres »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
Je ne voulais surtout pas
sembler juger la décision de Lucie, aussi je tentais de le lui
dire :</div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
<i>« Oui, je
comprends. Mais moi … enfin ...c’est différent ...Luc ... »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
J’avais du mal à
m’exprimer normalement dans une situation qui, d’évidence, ne
l’était pas. Cela fit sourire Lucie qui me taquina :</div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
<i>« Tu est sûre
que Luc ne serait pas émoustillé de savoir que sa chérie, elle
aussi, a adopté le « dress code » d’ici ?
Laisse moi te dire que je suis persuadée du contraire !»</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
Je dois bien avouer
qu’elle n’avait pas tort. Si Luc avait pris l’initiative de
m’amener dans ce lieu, s’il m’avait amenée à traverser la
salle le corsage largement ouvert, et enfin s’il avait accepté
l’invitation de ce couple, c’est manifestement que l’ambiance
du lieu correspondait à des envies d’exhibition de ma part. Et le
souvenir de ce repas lors duquel j’avais omis de mettre un slip
sous ma longue robe me confirmait que l’idée le titillait, même
si, à l’époque, il n’y avait que lui qui l’ait su. Par
ailleurs, je devais bien convenir qu’en effet, même avec ma jupe
relativement courte, il n’y avait pas vraiment de risque que
l’absence de culotte soit visible, à moins, bien sûr, de faire
comme Marie, ce qui était évidemment impensable pour moi. En fait,
le seul fait que je me fasse ces réflexions montre que, si je
n’avais pas encore décidé de suivre la proposition de Lucie,
j’acceptais déjà au moins de me poser la question. Pour me
convaincre, Lucie ajouta :</div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Tu peux
me faire confiance, et tu peux faire confiance aussi à mon mari et à
Bernard. Je le connais depuis longtemps, je t’assure qu’il
respectera tes limites. </i></div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
Comme je ne répondais
pas, et le seul fait que je ne refuse pas explicitement et sans
discussion possible montre bien que je m’étais déjà engagée,
sans en être consciente, sur un chemin nouveau, elle poursuivit :</div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
<i>« Franchement,
si tu as suivi ton mari ici, c’est bien pour découvrir, non ?
Alors, crois moi, c’est le moment ...nele laisse pas passer »</i></div>
<div align="left">
<span style="font-style: normal;">Je ne peux pas dire
qu’elle m’ait vraiment convaincue. Mais quelque chose avait bel
et bien cédé en moi. Je me suis plutôt dit « après tout …
advienne que pourra » et, sans répondre avec des mots, je me
suis retournée, comme si le fait de ne plus voir ma nouvelle amie me
protégeais. </span><span style="font-style: normal;">J’ai
farfouillé un instant sous ma jupette, et j’ai bel et bien retiré
ma culotte que j’ai immédiatement fourrée dans mon sac à main.
Lucie m’a embrassée sur la joue en murmurant :</span></div>
<div align="left">
<span style="font-style: normal;"> </span><i>« Tu
as fait le bon choix, tu verras »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
J’ai pris le temps de me
laver les mains, de remettre mes cheveux en ordre et de tirer
machinalement sur ma jupe, ce qui a amené ce commentaire de Lucie :</div>
<div align="left">
<span style="font-style: normal;"> </span><i>« Voilà
… il ni a que toi et moi qui le sachions, nous pouvons rejoindre
les autres je pense »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal;">
Et c’est ce que nous
avons fait.
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc8986_820446686"></a>Sans !</h2>
J’ai donc à nouveau traversé les quelques mètres qui
séparaient les toilettes de la table de nos amis. Avec une sorte de
creux à l’estomac, bien que je sois tout à fait consciente que
rien n’indiquait l’absence de sous-vêtement. Et quand je me suis
assise à côté de Luc, je sais que, toujours d’un geste presque
machinal, j’ai tiré sur le bas de ma jupe. Galamment, Bernard a
salué notre retour :<br />
<i>« Ah ! Vous voilà revenues, chères amies, vous
nous manquiez ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Gentiment, il tendit un verre à Lucie
et à moi, et après que nous ayons trinqué, il leva son verre en
disant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« A la santé de nos
nouveaux amis, en espérant qu’ils nous feront l’honneur de nous
laisser leur faire découvrir notre monde »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Personne ne s’avisa de lui demander
ce qu’il entendait par là. Il prit alors l’initiative de
préciser, en s’adressant directement à moi :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Vous voyez, chère
amie, ici, la seule règle, c’est la liberté. La liberté pour
tous, et pour toutes. Celle, pour nous, messieurs, de suggérer, de
demander, voire d’ordonner, mais aussi celle des dames de décider »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Ce n’était pas une question, je
n’avais donC rien à répondre, et je me contentais de hocher la
tête en signe d’acquiescement. Manifestement, il tenait à être
sûr que j’avais bien compris ce qu’il voulait dire, aussi
précis-t-il :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Ainsi, il
appartient à Lucie, et à elle seule, de nous faire partager vos
petits secrets – ou en tous cas les siens – si elle le
souhaite. »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et, se tournant cette fois vers elle il
demanda, mais était-ce vraiment une question :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Vous me comprenez bien,
Lucie ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
En effet, celle-ci avait parfaitement
compris, puisqu’elle omit de répondre directement mais, après
m’avoir adressé un sourire et une sorte de clin d’œil à peine
esquissé, elle sortit tranquillement le slip qu’elle avait ôté
dans les toilettes et le tendis, sans rien faire pour dissimuler de
quoi il s’agissait, à son mari. Celui-ci en pris possession, le
tripota un instant entre ses doigts comme pour en apprécier le
toucher, puis le mis dans sa poche en disant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Parfait, ma chérie, tu es
allée au devant de mes souhaits ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Personne ne m’avait rien demandé.
Mais je sentais bien que tous attendaient que je fasse ou dise
quelque chose. Bien sûr, j’aurais tout à fait pu faire celle qui
ne comprenait pas, et je suis persuadée, aujourd’hui, que Bernard
n’aurait pas insisté. Quant à mon Luc, il restait silencieux,
visiblement un peu dépassé par le cours des événements. Seule
Lucie, qui s’était rapprochée de son homme, s’en détacha pour
me prendre la main, comme pour m’encourager. Alors, un peu dans le
même état d’esprit que celui qui m’avait amenée à retirer ma
culotte sur sa suggestion, j’ouvris moi aussi mon sac à main, et
j’en retirais le slip. Contrairement à Lucie, je le roulais en
boule au creux de ma main, mais je la tendis vers Luc et, sans
regarder personne, je le déposais sur ses genoux. Je pense qu’il
était plus suffoqué et plus rouge que moi ! Pourtant, il
parvint à garder contenance, et, imitant les gestes de Jean, il
fourra lui aussi la petite culotte dans sa poche.
</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Je vois que vous
avez bien compris nos rituels, chère Aurélie, et je vous en
félicite. Croyez-moi, je sais que, la première fois, ce n’est pas
si facile. Mais, comme on dit, « il n’y a que le premier pas
qui compte », n’est-ce pas ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Cette fois je pris le parti de
répondre, d’un ton aussi naturel que possible :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Je … je suppose que oui,
monsieur »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Une nouvelle fois, Bernard remplit nos
verres et leva le sien en disant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Mes amis, buvons à ce
premier pas, et gageons qu’il sera suivis d’autres, pour notre
plus grand plaisir à tous, mais d’abord à notre nouvelle amie »</i></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc8988_820446686"></a>Conversation
entre filles</h2>
Jean, qui jusque là était resté muet, comme s’il était
évident qu’il appartenait à Bernard de mener le jeu, reposa son
verre en disant :<br />
<i>« Messieurs, si nous allions fumer un cigare pour fêter
dignement ce moment ? Je suis sûr que ces dames nous y
autoriseront, et qu’elles apprécierons de rester un instant entre
elles »</i><br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc8990_820446686"></a><i>« Vos
désirs sont des ordres »</i></h3>
<div style="font-style: normal;">
C’est Marie qui lui répondit avec un
charmant sourire :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Si vous le souhaitez
ainsi, faites donc, messieurs, vous savez que vos désirs sont des
ordres pour nous toutes »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Ainsi, non seulement elle permettait
aux hommes de nous laisser seules, mais encore, sans avoir l’air
d’y toucher, elle m’associer à sa décision de ‘obtempérer
aux « désirs » de Jean, et d’affirmer clairement que
nous les considérions comme des « ordres »</div>
<div style="font-style: normal;">
Une fois nos trois compagnons partis,
Marie s’adressa une nouvelle fois à moi :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« J’espère que vous ne
m’en voulez pas de vous avoir considéré comme étant déjà des
nôtres, ma petite Aurélie ? « </i></div>
<div style="font-style: normal;">
Sur le moment, je n’ai pas vraiment
compris ce qu’elle voulait dire par là, et je me suis contenté de
répondre, un peu bêtement :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>«Heu.. mais non, Madame ...pas du
tout »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Spontanément, j’avais utilisé le
mot de « madame » pour m’adresser à elle, comme
j’avais appelé son mari « monsieur » alors que l’un
et l’autre m’appelaient par mon prénom. Lucie prit alors le
relais de son amie en suggérant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Peut-être faudrait-il que
tu expliques à notre nouvelle amie ce que tu entends par là,
Marie ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et celle-ci en convint :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu as raison, Lucie.
Voyez-vous, ma petite, vous êtes entrée, peut-être à votre corps
défendant, dans – comment dirais-je ? – notre petite
communauté, vous comprenez ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« A vrai dire … pas
vraiment, madame .. »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
<i> « Soit, alors je vais être
plus claire. Voyez-vous, ma chère, Lucie comme moi </i><i>avons fait
le choix, au moins quand nous sommes ici, d’être ce que l’on
pourrait qualifier de femmes obéissantes. Je veux dire par là
toutes dévouées aux désirs de nos hommes. Et il me semble que
votre attitude ce soir nous montre que vous avez toutes les qualités
pour nous rejoindre dans cette attitude »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Un peu décontenancée par ce mot de
« obéissantes » je bredouillais un vague :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ben … je ne sais pas
vraiment si ...enfin ...vous voulez dire … ? »</i></div>
<i> « Je veux dire qu’il me semble que vous êtes, me
semble-t-il, prête à être vous aussi, « obéissante »,
même si je comprend bien que le mot peut vous étonner. Et je suis
sûre que vous découvrirez que cette attitude, bien loin d’être
un renoncement à la liberté, est au contraire le moyen de vous
réaliser pleinement en tant que femme »</i><br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc8992_820446686"></a>« A
notre place »</h3>
<div style="font-style: normal;">
Comme je restais muette, Lucie vint à
la rescousse de son amie :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Marie veut dire qu’il y a
de la grandeur,et j’ose dire de la dignité, à choisir – car
c’est bien un choix, vous l’avez prouvée par votre attitude ma
p</i><i>etite</i><i> – de revendiquer d’être à notre place de
femme en accédant aux désirs de nos hommes, quand bien même ils
ne les e</i><i>x</i><i>priment pas directement, ce qui est le cas du
votre »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Je suppose que l’expression « à
notre place de femme » m’a amenée une grimace de surprise,
puisque Marie voulu s’expliquer :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tout à fait </i><i>!
Je comprends bien que ces termes puissent vous étonner, mais je vous
prie de ne pas en rester aux mots, justement. Ne vous méprenez pas,
Aurélie, ni Julie ni moi-même ne sommes retournées au dix neuvième
siècle, je vous assure. Pour ma part, je travaille, j’ai, comme on
dit, une vie sociale, des relations. Et même au sein de mon couple,
certains pourraient dire que ... »je porte la culotte »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
L’expression, dans la bouche de celle
qui nous avait révélé ne jamais porter de slip, amena Julie et
moi-même à éclater de rire. Marie elle-même rit de bon cœur en
précisant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Oui, bien sûr, je parle
au sens figuré ! »</i>
</div>
<div style="font-style: normal;">
J’en profitais pour demander :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« A ce propos, madame, vous …
vous n’en portez vraiment .. jamais ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
La question la fit une nouvelle fois
rire franchement :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Eh non, jamais,
depuis plus de dix ans ! Et je ne m’en porte pas plus mal, je
vous assure. Ceci dit, à part ici ou lors de rencontres dans ce que
l’on pourrait appeler « notre petit monde » je ne le
proclame pas sur tous les toits. Je n’ai pas jugé utile d’en
informer mes collègues de travail, par exemple. Mais je suppose que
vous ne dites pas aux vôtres si vous portez un string ou une culotte
tanga, n’est-ce-pas ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
J’en convint volontiers, et Marie <i>
</i>poursuivit ses explications vestimentaires :</div>
<i> « Pour tout vous dire, au début, c’était – et
nous en revenons à notre sujet de conversation de départ, seulement
dans … disons dans certaines circonstances, et sur décision de mon
mari. Puis, j’avoue que je ne me souviens plus vraiment pourquoi,
la consigne devint permanente. D’abord la culotte , et le
soutien-gorge- furent interdits à la maison, puis l’interdiction
fut généralisée. Et aujourd’hui, franchement, même si elle
était levée, je pense que je resterait tout à fait volontairement
une « sans culotte » »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Avec ces jeux de mots, la conversation
était devenue légère et détendue. Pourtant, Marie ne voulait
visiblement éluder aucune question, puisqu’elle précisa :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Bien sûr, pour ne rien
cacher, il y avait bien, naguère, certains jours du mois où il me
fallait bien … vous me comprenez...mais à mon âge, ce souci est
derrière moi »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Bien sûr, je comprenais, et il ne me
semblait pas correct d’insister plus sur cet aspect des choses. Par
contre je me permis de revenir sur les propos de Marie :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Si vous me permettez,
madame … quand vous disiez qu’au début, c’était seulement
« dans certaines circonstances » … que vouliez vous
dire ? »</i></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc10770_820446686"></a>Circonstances</h3>
<div style="font-style: normal;">
Pour la première fois, j’ai eu
l’impression que la question posait problème à Marie, qui
échangea un regard avec Julie. Et c’est celle-ci qui vint en
quelque sorte à son secours :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Je ne connais pas
tout des … habitudes de Bernard, bien sûr. Mais si j’en juge par
celles de Jean, il est vrai qu’il y a des « circonstances »
pur reprendre le terme de Marie, où nos chers et tendres – encore
que le terme n’est peut-être pas le bon ! - tiennent
absolument à l’absence, ou au contraire à la présence de cette
fameuse petite culotte qui joue un si grand rôle dans leur
imaginaire ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Mon incompréhension devant ce discours
pour le moins abscons dû être visible, puisque Julie reprit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Oui … je ne suis
peut-être pas assez explicite. Mais … je ne voudrais pas vous
donner de notre petit monde une idée qui vous rebuterait, ou vous
choquerait, chère Aurélie. Ou vous sembler, comment dire,
prosélytes» </i>
</div>
<div style="font-style: normal;">
Cette fois, je comprenais bien qu’elle
hésitait à en dire plus. Je ne cachais pas ma curiosité en
l’invitant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>«Oh, vous avez … si j’avais dû
être</i> <i>choquée</i> ... »</div>
<div style="font-style: normal;">
Je n’eus pas besoin d’en dire plus
pour que les deux femmes éclatent de rire. Et que Julie réplique :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Je reconnais que vous
n’avez pas appelé police secours, que vous ne vous êtes pas
enfuie, ni évanouie. Mais êtes vous sûre de vouloir … en savoir
plus </i><i>sur nos ...perversions</i><i> ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Puisqu’elle adoptait ce ton léger, à
la limite de la plaisanterie, je la suivis sur ce terrain :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Perversions … le mot est
… tentant, non ? Et, oui, je suis sûre que ma curiosité est
plus forte que mes craintes ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Le mot ne tomba pas dans l’oreille de
sourdes. Marie le reprit au vol :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ah ah ! Vous êtes
curieuse, jeune fille ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et Julie en remit une couche :</div>
<span style="font-style: normal;"> </span><i>« Et la
curiosité est un vilain défaut ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
L’une et l’autre fronçaient les
sourcils de manière caricaturale. Pour ma part, restant dans cette
sorte de jeu de rôle qui se mettait en place sans que nous ne
l’ayons explicitement décidé, je baissais les yeux comme une
gamine prise en faute en bredouillant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Oui … je l’avoue,
mesdames »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Elles échangèrent un nouveau coup
d’œil complice, comprenant bien que mon attitude allait leur
permettre d’exprimer les choses de manière plus facile. Marie fit
mine d’interroger son amie :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Si Jean te surprenait en
flagrant défaut de curiosité, qu’arriverait-il chez vous ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Julie répondit sur le même ton :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Oh, tu le sais bien !
Il arriverait la même chose que chez toi ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Mais son amie insista :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu ne vas pas me mettre
toi aussi à parler par périphrases ! A moins que tu en aie
honte ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Ici Julie sembla se raidir, comme si
son amie l’avait insultée. Et c’est beaucoup plus sérieusement,
qu’elle répondit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ah mais certainement pas !
Il n’y a à mes yeux aucune honte à dire que, dans ce cas là,
j’en prendrais une bonne ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Mais Marie, intraitable, voulait lui en
faire dire plus. Et elle insista :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Une ? Mais … une
quoi »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Julie explosa alors, et d’une voix
tellement assurée que je pense que nos voisins ont pu entendre :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Une bonne fessée!Voilà,
ça vous va ? »</i></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc9273_1884839453"></a>Avant
… et après</h3>
En effet, « voilà » Le mot avait éclaté comme un
pétard. (Ce n’est qu’en écrivant ces lignes que je me rend
compte du double sens du mot) Marie voulu détendre l’atmosphère:<br />
<i>« Vous voyez, Aurélie, le plafond n’est pas tombé !
Eh oui, pour en revenir à notre conversation de tout à l’heure,
s’il y a bien une circonstance » où ces messieurs, en tout
cas le mien, tiennent à ce que nous portions une petite culotte,
c’est bien celle-là. Je veux dire quand l’idée leur vient de
nous coller une fessée »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Curieusement, et même si, sincèrement,
je n’avais en rien anticipé cette révélation – car s’en
était bien une – sur la vie de couple de mes nouvelles amies, le
mot ne me stupéfia pas vraiment. Pourtant, Julie voulu aller plus
loin dans les explications :</div>
<span style="font-style: normal;"> </span><i>« Eh bien oui !
Au risque de vous faire fuir, ma petite, il nous faut dire les choses
sans tourner autour du pot. Non seulement nos maîtres et seigneurs
comme on dit aiment nous imposer de laisser voir ce que, d’habitude,
on cache, mais en plus il leur arrive de se montrer ...autoritaires »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Marie prit le relais :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et leur autorité, ce sont
nos fesses qui en font les frais ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
C’était, maintenant, comme une sorte
de ping-pong entre elles, chacune rebondissant sur les révélations
de l’autre :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Autrement dit, nous nous
retrouvons l’une et l’autre assez régulièrement ... »</i></div>
<i> « Les fesses à l’air, mais surtout les fesses
rouges ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
<i> « </i><i>Et voilà ...le
panpan cucu ! »</i></div>
<i> « Et comme le disent nos chers compagnons ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Marie articula en séparant bien les
syllabes, d’une manière si drôle que Julie et moi éclatâmes de
rire :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>La fessée –
c’est – cul – nu ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et Julie poursuivit, mais cette fois
plus sérieusement :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et justement, c’est le
seul cas où ils aiment assez que … nous portions une culotte ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Marie acquiesça d’un mouvement de
tête, et, se tournant vers moi :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Vous comprenez pourquoi
… ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
La question était, pour le moins,
inattendue. Je venais de comprendre que mes deux nouvelles amies
recevaient parfois la fessée, que celle-ci se recevait « cul
nu » mais en même temps que leurs hommes voulaient qu’elles
portent un slip.C’était, pour le moins, paradoxal. Bêtement je
répondis :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ben ...non ...pour ...vous
protéger ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Avec le recul, je comprend que ma
sortie les ait fait rires aux éclats. Julie hoqueta :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ah ça non ! Ce n’est
pas leur souci ! Bien au contraire ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hilare aussi, Marie poursuivit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ne nos en veuillez pas de
rire, ma petite. Nous ne nous moquons pas. Mais il faut vous dire que
ces messieurs considèrent qu’une fessée nécessite </i><i>que
celle qui va la recevoir soit</i><i> déculottée. Voilà »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Sentencieuse, Julie énonça
l’évidence :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et pour être déculottée,
eh bien il faut bien qu’on ait une culotte ...CQFD »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Bien sûr, je commençais à
comprendre. Mais Marie poursuivit les explications :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Voilà les
« circonstances » auxquelles nous faisions allusion. Pour
ma part, Bernard est tellement habitué à ma tenue qu’il a fini
par renoncer à ce déculottage , et ça fait déjà un bon
moment qu’il se contente de découvrir en retroussant »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tandis que Jean, peut-être
plus traditionaliste, tient absolument à baisser le slip, il
considère que c’est une condition incontournable pour une vraie
fessée »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Compléta Julie en poursuivant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Par contre Bernard et Jean
ont au moins un point commun sur ce plan ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Marie confirmant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« C’est qu’après …
culotte interdite ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Je pense qu’elle allait poursuivre,
mais elle interrompit, voyant que les trois hommes nous rejoignaient.
</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-2431502448582283532018-09-27T02:09:00.004-07:002018-09-27T02:09:48.842-07:00Libres contraintes 1er parteie
<h1 align="center" class="western">
Libres contraintes</h1>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc5988_820446686"></a>
<span style="font-size: medium;">Première partie :
Découvertes</span><br />
<br />
<br />
</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1033_1119608229"></a>Découverte
du « LibertéS »</h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc462_335204136"></a>Le
« LibertéS</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
De l’extérieur,
le « LibertéS » ne paye pas vraiment de mine. Une porte
vitrée mais obscurcie par un rideau, ouvre sur une sorte d’entré
d’hôtel, avec un comptoir derrière lequel trône une dame d’une
cinquantaine d’année, en robe noire plutôt stricte et qui demande
à Luc, mon compagnon :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Vous
êtes parrainé, monsieur dame ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La
question ne m’étonne pas, Luc m’a expliqué que, pour entrer
dans ce club qui a le statut de « club privé » il faut,
en effet, être inscrit, et pour ce faire être proposé par un
membre du club. Cela fait plusieurs semaines que Luc me parle de cet
endroit que fréquente un de ses collègues de travail, qui lui a
proposé de l’y introduire. Quand il m’en a parlé pour la
première fois, j’avoue que j’ai réagit assez vigoureusement.
L’idée qu’il me propose out de go de fréquenter un club
libertin ou échangiste m’avait mise en colère. Mais il est revenu
sur la question en m’affirmant que son ami lui avait garanti que
cet endroit n’était pas ce que j’imaginais et que si, en effet,
certains membres passaient « derrière » beaucoup
d’autres se limitaient à boire un cocktail dans une salle
confortable et où, quand même, les serveuses étaient un peu moins
habillées que ans les bistro ordinaires. J’avais alors choisi de
plutôt prendre les choses à la rigolade en l’accusant de surtout
vouloir se « rincer l’œil » en matant les serveuses.
Beau joueur il avait admis qu’en effet « il n’y a pas de
mal à regarder ce qui est beau » mais avait aussi mis en avant
ce que son ami lui avait présenté comme « une ambiance »
Après de longs échanges à ce propos, j’ai fini par accepter
l’idée de l’accompagner dans ce club, mais en lui faisant
promettre qu’en aucun cas il ne serait question de passer
« derrière » En effet, l’ami habitué des lieux lui
avait dit que les couples qui voulaient découvrir un univers plus
libertin passaient dans les salles dédiées à ce genre de relation,
« derrière » une porte dissimulé par un rideau. Luc
m’avait assuré qu’il n’était pas question pour nous de faire
de même, ce qui m’avait amené à me retrouver, ce vendredi soir,
dans cette entrée assez quelconque.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
A
la question de la dame, Luc réponds :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui,
</i><i>nous venons</i><i> de la part de Henri-Pol »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Visiblement,
le nom de ce collègue joue le rôle de Sésame, puisse qu’aussitôt
la dame s’écrit :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ah,
mais bien sûr ! Henri-Pol m’a dit qu’il vous avait proposé
de nous rendre visite. Il n’est pas là, ce soir, mais je suis
toujours heureuse de recevoir ses amis »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle
nous invite alors à déposer nos manteaux au vestiaire, nous sommes
en hiver, et nous invite à entrer.</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1035_1119608229"></a>Servantes
accortes</h3>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je
découvre les lieux, assez conformes à ce que l’ami de Luc lui en
avait dit. Une salle plongée dans une demi pénombre, seulement
éclairée par des petites lampes sur pieds posées sur des petites
tables, un grand comptoir orné de barres de cuivres comme dans
n’importe quel bar un peu cossu, et quelques coins plus « salon »
avec des canapés en velours rouge et des tables basses. Comme il le
lui avait dit aussi, un pianiste tapote une musique plutôt de bonne
qualité.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La
dame de l’accueil, qui nous a demandé de « l’appeler
Jeanne comme tout le monde ici » nous accompagne, et
elle appelle une des serveuses en lui demandant :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ingrid,
tu veux bien installer nos amis ? Ce sont des amis de Monsieur
Henri-Pol »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je
découvre aussi que la-dite Ingrid, une fille plutôt grande, blonde
aux cheveux courts, porte la tenue traditionnelle des « servantes
accortes » Une robe noire assez courte, très décolletée, et
un petit tablier blanc sur le devant. Elle nous sourie, puis nous
invite à nous installer à une table en nous proposant de consulter
la carte. Tandis que Luc choisit son cocktail, mes yeux s’habituent
peu à peu à la pénombre, et je distingue les autres consommateurs.
Il me semble que la plupart sont plus âgés que nous, et rien dans
leurs attitudes ne pourrait laisser penser que nous sommes dans un
club libertin. A peine certains sont-ils un peu proches l’un de
l’autre, mais aucun geste ne m’apparaît comme ambigu, et il me
semble que les dames ne portent pas des tenues particulièrement
suggestives. Par contre, quand Ingrid nous amène nos verres, et
qu’elle se penche vers la table, on ne peut pas ignorer que sa
poitrine, du reste plutôt menue, est nue sous sa robe, et bien
entendu il me suffit d’un coup d’œil à Luc pour être sûre que
cela ne lui a pas échappé.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Dans
d’autres circonstances, voir ainsi mon compagnon laisser traîner
ses yeux dans un corsage m’aurait probablement horripilé. Mais là,
curieusement, je ne ressent pas une once de jalousie, et même je
m’en amuse en taquinant Luc :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Eh
ben … tu as de bons yeux on dirait ! Le spectacle vous plaît,
monsieur ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Visiblement,
il se demande si « c’est du lard ou du cochon » et,
prudemment, il bredouille :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Heu
.. en effet … mais ... »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il
a l’air si piteux qu’il me fait pitié et je renonce à continuer
à le titiller :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>«Cool,
chéri … pas de problème … si on est venu ici … j’avais bien
compris qu’on ne serait pas au repas annuel du patronage !
Profite ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Pourtant je en
renonce pas à ajouter perfidement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« ...je ne
te savais pas amateur de micro - nénés ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette
fois, il comprends que je plaisante, et aussitôt, il entre lui aussi
dans le jeu :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Tu
sais bien que j’aime mieux les lolos généreux, ma chérie …
mais je suis bien obligé de faire avec … ce qu’on veut bien me
laisser voir ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1037_1119608229"></a>Prise
à mon propre jeu</h3>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je
dois bien avouer que, sur ce coup là, il me prend à mon propre jeu.
Mais, puisqu’il veut jouer, jouons ! Pour cette sortie, il m’a
semblé qu’il convenait que ma tenue soit assez élégante pour
être en accord avec les lieux, tout en ne risquant pas de passer
pour provocante. J’ai donc choisi une jupe noire droite, moulante
sans excès, qui m’arrive un peu au dessus du genoux, et un
chemisier écru par dessus lequel j’ai un châle ramené sur ma
poitrine. En regardant Luc droit dans les yeux, j’écarte les pans
du châle et, en laissant dépasser le bout de ma langue, je défais
le deuxième bouton du chemisier en murmurant sensuellement :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Cela
vous convient … monsieur ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il
a bien compris le jeu et il se contente d’une petite grimace
d’insatisfaction, puis d’une moue dont la signification est
d’autant plus évidente qu’il l’appui par un geste discret en
écartant le pouce et l’index. Ainsi celui que j’ai, sans savoir
vraiment pourquoi cette idée m’est venue, d’appeler
cérémonieusement « monsieur » en veut … un peu plus.
Avant d’obtempérer, je jette un coup d’œil à la ronde,
histoire de vérifier si les autres consommateurs risquent de voir
mon manège. Je suis vite rassurée, en constatant qu’aucun d’entre
eux n’a l’air de regarder vers nous, d’autant que la lumière
tamisée de la lampe n’éclaire que faiblement. Alors, mes yeux
reviennent vers ceux de Luc, et j’ouvre un troisième bouton,en
ayant même soin d’écarter un peu le vêtement, très consciente
qu’ainsi je découvre le haut de mon soutien-gorge gris perle.
</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Beau joueur, Luc manifeste sa satisfaction par un sourire complice et
me prends les mains par dessus la table. Il se penche un peu vers moi
et souffle :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Cela me convient parfaitement ...pour l’instant »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je ne relève pas les derniers mots, mais, moitié restant dans le
jeu, moitié sincère, je réponds :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« J’en suis ravie … mais que cela ne t’empêche pas
de … découvrir les autres richesses de l’endroit. Les miens …
tu peux les voir tous les jours »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1039_1119608229"></a>Laisser
voir</h3>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il faut croire que l’ambiance du lieu a eu de l’influence sur mon
humeur. Non seulement je viens de jouer les allumeuses en montrant
presque le moitié de mes seins dans un lieu public, mais voilà que
j’invite directement mon homme à regarder ceux d’autres femmes.
Luc comprends bien la situation puisqu’il rétorque, en souriant :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais … c’est bien mon intention »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mais en ajoutant aussitôt :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Encore que découvrir les tiens comme ça ... »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Tu
aimes ? »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Tu
en doutes ? »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Même
si ... »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Même
si quoi, ma chérie ? »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Même
si d’autres pourraient ... »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Pourraient
voir aussi ? Mais … bien sûr ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Redevenu soudain plus sérieux, il ajoute :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Tu sais, ceux qui viennent ici ne le font pas seulement
pour voir, mais aussi pour laisser voir ... »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Tu
veux dire … laisser voir ...leurs femmes ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Luc ne cherche pas à tergiverser :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais … oui. »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc464_335204136"></a>La
femme en noir</h3>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et il continue plus bas, en me désignant d’un mouvement de tête
un point derrière moi :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Regarde la femme brune en noir près du bar … tu
penses que c’est par inadvertance … ? »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Pour me donner une raison valable de me retourner, je fais tomber mon
châle, tout en sachant que cela dévoile encore un peu plus mon
décolleté, et, en le ramassant, je regarde dans la direction
indiquée. La femme que Luc me désigne est une grande brune, qui me
semble avoir une bonne cinquantaine d’années, assise sur une des
banquettes d’un coin salon, à côté d’un homme visiblement
plus vieux qu’elle qui la tient serrée contre lui. Malgré le
manque de lumière, je constate que sa robe noire plutôt sage est
remontée très haut sur ses cuisses. Bien que je me retourne
rapidement, mon regard a eu le temps de croiser furtivement celui de
la dame et, en un éclair, je suis sûre qu’elle s’est rendu
compte que je la regardais et elle a surtout, tout aussi furtivement
mais sans le moindre doute, écarté un peu plus les jambes.
Mouvement qui n’a pas échappé à Luc qui me le confirme en
disant :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Tu vois … visiblement cela n’a pas choqué
celui qui l’accompagne … »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
en poursuivant plus bas, mais les yeux toujours fixés sur ce
couple :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« puisqu’il vient de pose la main sur … ce que la dame
propose si généreusement »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je ne me retourne pas pour vérifier, mais je prends sa remarque
comme un défi. Et comme je n’ai jamais pu résister à un défi,
je recule un peu ma chaise de la table, et je croise délibérément
les jambes, laissant ainsi ma jupe remonter un peu plus. Cette fois,
les yeux de Luc reviennent bien vers ce que je lui montre et, les
yeux brillants il me félicite :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui … c’est bien comme ça, ma chérie. »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il me prouve aussi que la demi pénombre ne l’empêche pas de voir
clair en ajoutant :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Surtout que … tu as mis des bas ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
En effet, alors que, dans la vie courante, je portes le plus souvent
de collants, pour ce soir, j’ai fait le choix de bas « qui
tiennent seuls » Et la remarque de Luc me montre que ma posture
suffit à découvrir ceux-ci au moins jusqu’à hauteur de la
jarretelle en dentelles. Je sais que Luc est un fana des bas. Il m’a
même convaincue d’acheter un porte-jarretelles qu’il m’ait
arrivé de porter pour des sorties en amoureux. Je réponds donc en
souriant :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Mais c’est pour te plaire, mon chéri. »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1041_1119608229"></a><i>« </i><i>Seul
à profiter »</i></h3>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
ll manifeste sa satisfaction par une mimique sans ambiguïté, mais
en rétorquant :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« J’en suis ravi … mais ... »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Comme il ne termine pas sa phrase, je l’invite à poursuivre :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais … ? »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il plante son regard dans mes yeux et lâche tout de go :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je suis bien le seul à profiter de toutes ces belles
choses ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette fois, je comprends que mon Luc a fait un pas de plus. Certes,
je veux croire que nous sommes toujours dans le jeu. Mais en même
temps, je comprends bien que, constatant que, jusque là, j’ai
répondu à ces invitations, même justes suggérées, il me pousse à
aller plus loin. Il vient, tout simplement, de regretter que personne
d’autre que lui ne puisse « profiter », selon sa propre
expression, de ce que je lui montre. En acceptant de l’accompagner
dans ce bar, je savais évidemment qu’il ne s’agissait pas « tout
à fait » d’un établissement ordinaire. Prudente, j’avais
bien établi les limites, et Luc s’était engagé à ne pas
envisager d’aller plus loin que cette salle, apparemment, assez
semblable à l’importe quelle salle de bar un peu « cosy »
Or, lui et moi, venons de constater que, même ici, certains – ou
en l’occurrence certaines- adoptent des postures pour le moins
équivoques, à moins qu’il faille dire au contraire « sans
équivoque » J’ai bien évidemment très bien compris ce que
Luc a derrière la tête, si l’on peut dire. En même temps, il l’a
suggéré de manière assez allusive pour que je sache que je peux
tout à fait faire celle qui ne comprend pas. Je connais assez Luc
pour être à peu près sûr que, si je faisais ce choix, il aurait
l’élégance de ne pas insister. Pourtant, après un instant
d’hésitation, je ne le fais pas. Je ne réponds pourtant pas
directement à sa remarque. Je n’ai pas envie – ou pas le culot –
d’exprimer verbalement mon accord. Je choisis donc de faire plutôt
que de dire. Je me contente d’un discret signe d’acquiescement de
la tête, et je me lève.
</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1043_1119608229"></a>Le
regard de l’homme</h3>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
D’un geste plus machinal que volontaire, je tapote ma jupe pour la
remettre en place. Je n’allais quand même pas la laisser ainsi
retroussée. Mais je ne rectifie rien à l’ouverture de mon
chemisier et, quand je quitte la table pour me diriger vers le fond
de la salle où se trouvent les toilettes, je sais fort bien que
celui-ci est largement ouvert et laisse voir très directement
l’arrondi de ma poitrine et le soutien gorge qui la maintient.
Curieusement, je ne ressent ni gêne ni angoisse. Et c’est d’un
pas tranquille, assuré, que je traverse la salle. Quand j’arrive à
quelques pas de la table de la dame en noir, une nouvelle fois, mon
regard croise le sien. Il me semble y voir une sorte de sourire
encourageant, et je constate que, tout en caressant franchement la
cuisse de sa voisine, son compagnon, lui aussi, me regarde tout aussi
franchement. Je sens autant que je ne vois ce regard qui se fixe sur
mon décolleté. Pourtant, je ne fais rien pour ramener les pans du
chemisier pour les cacher. J’assume. Et, une fois dépassé leur
table, je sens aussi, je dirais presque physiquement, ce regard, mais
cette fois sur mon derrière qui tend ma jupe. Une fois dans les
toilettes, et un peu pour ne pas y être venue pour rien, un peu
aussi pour y rester un temps raisonnable, j’en profite pour un
petit pipi. En baissant ma culotte, je suis presque étonné de
remarquer qu’elle … est un peu moite. Je ne cède pourtant pas au
mythe, ou à la caricature de la femme qui se touche dans les
chiottes, et je remonte prestement mon slip avant de sortir de la
cabine et de me laver les mains. Puis je sors et retraverse la salle
pour rejoindre la table où m’attends Luc.
</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je dois donc, bien sûr, une nouvelle fois repasser près de la table
de « la femme en noir » et de son compagnon au regard …
insistant. Mais ils sont cette fois debout, et un autre couple les a
rejoints. Un homme rondouillard, et une femme elle aussi fort ronde,
un peu boudinée dans une robe moulant ses formes opulentes. Au
moment où j’arrive près de leur table, une nouvelle fois, l’homme
me regarde avec une sorte de sourire, et je vois que l’autre
couple se dirige vers l’autre côté du bar, et disparaît derrière
un rideau de velours grenat, tandis que la dame en noir et l’autre
homme les saluent mais restent sur place.. D’emblée, je comprends
que c’est par là que certains clients passent « derrière »
Et, si je ne l’avais pas remarqué, Luc m’ouvrirait les yeux,
puisqu’il me fait remarquer, mi-figue, mi-raisin :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Tu vois, visiblement ce sont des habitués …
peut-être que ton passage va donner un peu de peps au monsieur ? »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1045_1119608229"></a><i>« </i><i>Mon
mari aimerait »</i></h3>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je ne tiens pas à répondre autrement que par un léger haussement
d’épaules, et je plonge le nez dans mon verre de cocktail. Et
c’est à ce moment qu’une femme s’approche de notre table. Je
l’ai vu se lever d’une table à laquelle elle était installée
avec un homme en costume gris anthracite. Vêtue d’une longue robe
écrue qui tombe jusqu’à ses cheville, elle a les cheveux gris
coupés très courts, presque en brosse. Quand elle est prés de
notre table, je remarque des yeux gris eux aussi, et les rides en
griffe qui les entourent. Elle se penche vers nous, et s’adresse
directement à Luc :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Bonsoir, monsieur, mon mari aimerait que vous vous
joigniez à nous, si vous n’attendez personne, bien sûr »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je vois bien que Luc est un peu étonné par cette intrusion, et de
mon côté je suis un peu interloquée par le fait que cette grande
dame,, semble superbement ignorer ma présence. Comme Luc semble
hésiter, la dame insiste, allant au-devant de ce qu’elle pense
probablement être sa réticence :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« En tout bien tout honneur, bien sûr. Mon mari serait
heureux de </i><i>vous faire découvrir ce lieu où vous semblez
venir pour la première fois »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Esquivant l’invitation, Luc réponds cependant à ce qui est bel et
bien une question :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« En effet, </i><i>Aurélie et moi n’étions jamais
venus ... »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je lui sais gré de faire remarquer ma présence, mais la dame ne
semble pas, elle, le remarquer, elle continue à ne s’adresser qu’à
Luc, comme si celui-ci avait déjà accepté sa proposition :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Alors, accompagnez moi, mon mari nous attends au petit
salon là-bas »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Un instant, je me demande pourquoi elle fait toujours précéder ses
phrases de cette référence à son mari. Mais surtout je croise le
regard interrogatif de Luc. Je comprends qu’il ne veut pas
accepter l’invitation sans mon accord. Même si je suis pour le
moins exaspérée par le fait qu’elle ne se soit adressée qu’à
Luc comme si je n’existait pas, je comprends que refuser la
proposition serait presque impoli. Et, par ailleurs, je dois bien
avouer que la proposition de « nous faire découvrir les
lieux » me séduit.Depuis que nous sommes arrivés dans cette
salle, son ambiance m’intrigue. A la fois confortable, correcte,
presque élégante et distinguée, et puis ces gestes, ces attitudes,
les cuisses largement dénudées de « la dame en noir »,
la main de son compagnon sur celles-ci, mais aussi ces regards que
j’ai affronté et qui, l’état de mon slip en atteste, ne m’ont
pas laissée indifférente. Alors, d’un bref mouvement de tête
assorti d ‘un haussement d’épaules signifiant « après
tout pourquoi pas » je lui fait part de mon accord. Il comprend
aussitôt et réponds :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Avec plaisir, madame. »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> </i>« <i>Marie, si vous voulez bien »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Indique-t-elle en souriant à Luc.</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il me tends la main, et nous emboîtons le pas à cette longue
silhouette, moulée dans cette robe écrue qui balance au gré de sa
marche en liane, après que j’ai ramené les pans de mon chemisier
sur ma poitrine. Comme elle nous l’a annoncé, elle nous amène
jusqu’au « petit salon », deux banquettes en angle
encadrant une table basse sur laquelle trône déjà une bouteille de
champagne dans un sceau et des flûtes.
</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc466_335204136"></a>Découverte
des habitudes</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc468_335204136"></a>Pas
d’équivoques</h3>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mais l’homme qui accompagne celle qui vient de nous amener à lui,
un monsieur élégant, n’est pas seul. La « femme en noir »
et l’homme « au regard » sont là, . Marie s’adresse
à lui :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Aurélie et ... »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Peut-être, en effet, ne se rend-elle compte qu’à cet instant,
elle ne connaît pas le prénom de l’homme à qui elle s’est
adressée. Le comprenant, Luc va au-devant de sa question en
s’inclinant en disant :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Luc »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
L’homme qui accompagne Marie s’incline de la même manière en se
présentant lui-même :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Bernard »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
et il continue les présentations en désignant d’un geste de la
main :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Marie, mon épouse ; Jean et Lucie, son amie »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Sur l’invitation de Bernard, les trois couples prennent place
autour de la table basse. Luc et moi sur un des canapés, Bernard et
Marie sur l’autre, tandis que Jean approche un fauteuil et s’y
assoit, en prenant tout simplement son amie sur ses genoux, et en
remontant derechef sa robe pour poser une nouvelle fois la main sur
sa cuisse. Bernard continue à faire les présentations, en
s’adressant Luc :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Nos amis Jean et Lucie sont, comme nous, des habitués
de ces lieux, nous avions prévus de nous retrouver ici ce soir. Mais
plutôt que de passer « derrière », j’ai souhaité
vous proposer de vous accueillir, mon cher Luc »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ainsi, il confirme sans barguigner ce que nous avait laissé entendre
son épouse, c’est bien lui qui a prit l’initiative de nous
inviter à les rejoindre. Poliment, Luc le remercie :</div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Et
… c’est très gentil à vous, monsieur. »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Comme s’il avait perçu l’hésitation dans la voix de Luc et
compris mes réticences, Bernard explique :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je parle bien du bar, seulement du bar, il ne faut pas
brûler les étapes, et vous verrez que l’on peut déjà y faire
d’intéressantes découvertes »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
D’une part, ces propos me rassurent, Bernard a bien compris que
nous n’envisagions pas d’aller au-delà de la salle où nous nous
trouvons et où je suis bien placée pour avoir déjà compris qu’en
effet, on pouvait y faire ce qu’il appelle presque drôlement « des
découvertes » Et, sur le moment, je n’accorde pas vraiment
d’importance à son « il ne faut pas brûler les étapes »
Il continue ensuite, en vantant les qualités esthétiques des
serveuses, mais en soulignant aussi qu’aucun des client ne se
permet le moindre « geste équivoque à leur endroit » Ce
mot me fait sourire, car je pense immédiatement in-petto que, si
gestes il y avaient, il est probable qu’ils auraient plutôt
concerné leurs… envers ! Mais, bien sûr, je ne partage pas
cette remarque ironique avec qui que se soit, tout en étant sûre,
au plissement de ces yeux, que Luc s’est fait la même réflexion.
Ceci dit, je dois bien reconnaître qu’en effet, les serveuses,
aussi affriolantes que soient leurs tenues, ne semblent pas être en
quoi que se soit importunées par les clients. Je dirais même que
ceux-ci se comportent plutôt de façon plus correcte que dans bien
des bars ordinaires.
</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc470_335204136"></a>Pas
les clientes.</h3>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Comme s’il avait suivi mes pensées, Bernard explique :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Bien sûr, leur tenue n’est pas tout à fait,
comment dirai-je, classique. Et je mentirais en disant que les
messieurs qui fréquentent ces lieux ferments les yeux ou s’écrient
comme Tartuffe «</i><i>cachez ce sein que je ne saurais voir »</i><i>
Mais qui pourrait nous reprocher </i><i>de regarder les belles
choses ? Regarder seulement, « avec les yeux » comme
on dit aux enfants. De toutes manières, madame Ingrid veille au
grain. Vous savez, elle a des principes très stricts : « on
ne touche pas » et « elles gardent la culotte »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Alors que Bernard nous tenait ce discours pour le moins paradoxal,
présentant presque la tenancière des lieux comme une militante
d’une ligue de vertu, Jean interromps en rigolant ouvertement :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Pour ces demoiselles, en tout cas ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et Bernard confirme, sur le même ton :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Heureusement, que les règles ne s’imposent pas aussi
aux clientes, sinon je serais contraint de venir seul ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
L’incompréhension doit se voir sur le visage de Luc et sur le
mien, alors, fort simplement, Marie se penche vers nous en disant :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mon mari </i><i>tient à faire savoir aux nouveau qu’en
effet, pour ma part, je n’en porte jamais ...et que personne ne
m’en tient rigueur »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Incapable de résister à ce que, sur le moment, je prend pour un bon
mot, je réplique du tac au tac :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Il est vrai que ce serait plus facile avec une robe comme
la votre que pour moi ou pour madame ... »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Marie ne réponds pas, se contentant de sourire d’un air un peu
énigmatique, mais Bernard, lui réagit immédiatement :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Que voulez vois dire par là, Aurélie ? »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je me mord les lèvres, consciente de m’engager sur un terrain
miné, mais je suis bien obligé de répondre :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="text-decoration: none;">« Je veux dire ...enfin
..qu’avec une jupe longue ...je suppose que c’est plus facile
...non ? »</span></i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Bernard continue à me regarder et poursuit :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Et
… pourquoi cela, Aurélie ? »</span></i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Je sens que je m’enfonce, mais je ne peux pas m’esquiver :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Eh
bien … parce qu’elle cache plus ...je veux dire...qu’on ne peut
pas savoir ... »</span></i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Il se réjouit visiblement de mon embarras, mais il me laisse
bredouiller avant de se tourner vers Marie et de lui dire :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Ma
chérie, je pense que notre nouvelle amie doute ... »</span></i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc472_335204136"></a>Montre !</h3>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Puis il lance d’un ton bref :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="text-decoration: none;"> </span><i><span style="text-decoration: none;">« Montre ! »</span></i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Marie le regarde, il confirme ce qui est bien un ordre par un bref
signe de la tête. Sans un mot elle se lève, avance d’un pas pour
être devant les deux banquettes, et soulève le pan de sa jupe
fendue. Faisant apparaître sous nos yeux, mais aussi, inévitablement
à ceux des autres consommateurs s’ils tournent leurs regard vers
nous, ses fesses nues. Personne ne parle ni ne bouge, sauf Bernard
qui reprends :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Tourne ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et docilement, Marie s’exécute. Elle tourne sur elle-même,
faisant ainsi profiter les clients situés de l’autre côté du
spectacle. Puis, sur un signe de tête de son mari, elle laisse
retomber la jupe et, tranquillement se rassoit. Alors, comme si ce
qui vient de de passer était presque banal, son mari continue :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oh, mais </i><i>Marie n’est certainement pas la seule
à se passer de … ce détail vestimentaire. Ce n’est pas une
règle … mais je dirais presque … une sorte de « dress-code »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il saute alors du coq à l’âne en interrogeant Luc :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ainsi donc, c’est notre ami Henri-Pol qui vous a fait
découvrir notre repaire ? C’est un homme de goût, et bon
bons conseils »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Tandis que Luc le lui confirme et explique dans quelles circonstances
il a rencontré leur ami commun, Lucie, qui était restée
silencieuse jusque là, se penche vers moi et me glisse :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je vais … me rafraîchir, vous m’accompagnez,
mademoiselle ? »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1280_1470282585"></a>La
retirer ?</h3>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je comprend qu’elle veut justifier qu’elle va nous quitter pour
passer aux toilettes, et comme pour ma part je l’ai fait quelques
instants plus tôt, je m’apprête à décliner son invitation, mais
avant que j’ai pu le faire elle insiste :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je sais que vous y êtes passée tout à l’heure …
cela n’a pas échappé à Jean d’ailleurs, mais venez quand même
... »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
L’allusion à mon passage devant eux le chemisier ouvert, et au
regard insistant de son mari, me fait curieusement plus rougir que
quand ce regard était effectivement braqué sur mes seins. Et, un
peu pour éviter qu’elle ne partage sa réflexion avec les autres,
je cède à se demande, et je la suis. <br />
Une fois arrivée dans
les toilettes, Lucie me lance, avec un sourire mutin :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Bon, c’est pas de tout ça … mais j’ai aussi
vraiment envie de faire pipi moi ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et elle entre dans une des cabines prévue en effet à cet effet, me
laissant seule devant les lavabos.Dans le silence de ces lieux,
j’entends clairement le bruit cristallin qui ne laisse aucun doute
sur le fait qu’il était en effet nécessaire qu’elle vide sa
vessie. Curieusement, je ne trouve ce bruit intime ni inconvenant, ni
gênant. Il me fait même sourire au point que, quand Lucie me
rejoint, je m’exclame :</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Eh
bien … ça fait du bien hein ? </i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et elle réponds sans la moindre gêne :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Tu peux le dire ...ça commençait à me monter aux
gencives ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Nous rions un moment comme deux gamines, mais alors que, un peu pour
me donner une contenance, je me lave les mains tandis qu’elle remet
un peu de rouge sur ses lèvres, elle me demande tout à trac :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Et toi … tu en as une, ce soir ? »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je comprends qu’on aura peut-être du mal à me croire, mais,
sincèrement, sur le moment, je n’ai vraiment pas compris de quoi
elle parlait</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Une quoi ? »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Une
culotte ! Tu portes un slip ? Un string ? »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La question était si directe que j’y ai répondu spontanément :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ben … oui, bien sûr »</i></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Oh
… bien sûr … tu as pu constater qu’ici … c’est pas aussi
évident ! »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je ne pouvais pas nier que sa réflexion soit frappée au coin du
bons sens après ce que Marie nous avait montré et ce que Bernard,
dont les derniers mots me revenaient à l’esprit, avait laissé
entendre.</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Alors toi ...tu ...non plus ? »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Ah, si, ce soir, </i><i>mon Jean avait choisi la tenue
« avec » tu vois »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et avec la même simplicité que Marie quelques instants plus tôt,
elle relève le devant de sa robe au dessus de sa taille, découvrant
son bas ventre décoré (c’est le mot qui m’est venu
spontanément) par un porte jarretelles noir retenant ses bas et, en
effet, une culotte couvrante en dentelles de même couleur. Et elle
explique benoîtement :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Il y a comme ça des soirs où il aime ce qu’il
appelle « le ge</i><i>n</i><i>re pute » ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Certes, le mot est
fort, mais il est dit avec une telle simplicité qu’il semble en
effet bien adapté aux sous-vêtements de cette femme si digne en
apparence. Qui continue, en joignant le geste à la parole :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais
après ce que vient de dire Bernard, je pense qu’il ne nous reste
qu’à la retirer ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Qu’elle
ait bel et bien dit « nous » ne m’a, bien sûr pas
échappé. Et je suis restée un peu interdite tandis qu’elle,
tranquillement, retirait en effet sa culotte sans autre forme de
procès. Et elle restait là, la culotte noire à la main, à me
regarder, attendant visiblement que je fasse de même. Elle comprit
cependant que la chose me semblait hors de ma portée. Alors, elle
m’encouragea :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Tu
sais, ma petite, ce n’est pas si terrible … Je connais bien
Bernard, tu sais, il ne t’en demandera pas plus que ce que tu peux
faire, crois-moi. Et puis, après tout, si tu es venue ici, c’est
bien pour … aller là où tu n’es encore jamais allée, non ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il
faut bien reconnaître qu’elle n’avait pas tort. Même si j’avais
mis très clairement mes conditions avant d’accepter, et je dois
bien reconnaître que Luc les avait jusque là tout à fait
respecter, je savais bien, au fond de moi, que cette virée au
« LibertéS » ne serait pas une soirée tout à fait
comme les autres. Du reste, en acceptant d’ouvrir largement mon
chemisier, puis de traverser la salle sans me rajuster, j’étais
déjà, en fait, allée, <i>« là o</i><i>ù</i><i> je n’étais
jamais allée » </i>comme le disait Lucie. Comme si elle
suivait mes hésitations, elle reprit :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>«</i><i>Tu
ne vas quand même pas … me laisser toute seule. Fais moi
confiance, Aurélie, je te promet que tu n’as rien à craindre. »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-36174748236993931652018-09-24T12:07:00.002-07:002018-09-24T12:07:19.490-07:00La fessée du Père Castor
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1549_898298065"><span style="background: transparent;">Les
fessée du Père Castor 1</span></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1549_898298065"><sup><span style="background: transparent;">er</span></sup></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1549_898298065"><span style="background: transparent;">
Episode : La Pomme et la Framboise 3</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1471_898298065"><span style="background: transparent;">
Chapitre 1 : « </span></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1471_898298065"><i><span style="background: transparent;">Tu
me racontes une histoire, Père Castor ? </span></i></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1471_898298065"><span style="background: transparent;">» 3</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1473_898298065"><span style="background: transparent;">Une
« fessérotique » 3</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1475_898298065"><span style="background: transparent;">Seulement
pour les grandes 4</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1477_898298065"><span style="background: transparent;">Un
secret 5</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1479_898298065"><span style="background: transparent;">Chapitre
2 : Souvenirs 6</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1481_898298065"><span style="background: transparent;">La
grange 6</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1483_898298065"><span style="background: transparent;">Le
tablier 7</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1485_898298065"><span style="background: transparent;">Cucu
nu ! 8</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1487_898298065"><span style="background: transparent;">En
place ! 8</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1489_898298065"><span style="background: transparent;">L’affûtoir 9</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1491_898298065"><span style="background: transparent;">Cris
et chuchotements 10</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1493_898298065"><span style="background: transparent;">Fessées
d’amour 10</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1495_898298065"><span style="background: transparent;">Les
fessées du Père Castor 2 ème Episode « La maman de
Framboise » 1</span></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1495_898298065"><sup><span style="background: transparent;">er</span></sup></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1495_898298065"><span style="background: transparent;">
Partie 12</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1497_898298065"><span style="background: transparent;">
Chapitre 1 Souvenirs encore 12</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1499_898298065"><span style="background: transparent;">Un
mari sévère 12</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1501_898298065"><span style="background: transparent;">Punition
et plaisir 12</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1503_898298065"><span style="background: transparent;">Pas
dupe 12</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1505_898298065"><span style="background: transparent;">Chapitre
2 Une conversation 13</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1507_898298065"><span style="background: transparent;">Pas
pour les enfants 13</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1509_898298065"><span style="background: transparent;">Framboise ? 13</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1511_898298065"><span style="background: transparent;">Et
toi ? 14</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1513_898298065"><span style="background: transparent;">A
leur place ... 15</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1515_898298065"><span style="background: transparent;">Le
mot ! 16</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1517_898298065"><span style="background: transparent;">Chapitre
3 Une rencontre ? 17</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1519_898298065"><span style="background: transparent;">Pour
qui la fessée ? 17</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1521_898298065"><span style="background: transparent;">Images
subliminales 17</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1523_898298065"><span style="background: transparent;">Tempête
...sous un crâne 17</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1525_898298065"><span style="background: transparent;">Anthologie 18</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1527_898298065">Les
fessées du Père Castor 2 ème Episode « La maman de
Framboise » </a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1527_898298065">2</a></span><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1527_898298065"><sup><span style="background: transparent;">ème</span></sup></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1527_898298065"><span style="background: transparent;">
Partie 19</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1529_898298065"><span style="background: transparent;">Chapitre
1 : « je suis venue ... » 19</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1531_898298065"><span style="background: transparent;">Résistance 19</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1533_898298065"><span style="background: transparent;">Et
au matin ... 19</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1535_898298065"><span style="background: transparent;">Je
suis venue pour ... 20</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1537_898298065"><span style="background: transparent;">Chapitre
2 :Les actes après les mots 21</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1539_898298065"><span style="background: transparent;">Dire
les mots 21</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1541_898298065"><span style="background: transparent;">Mise
en place 21</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1543_898298065"><span style="background: transparent;">Etapes 22</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1545_898298065"><span style="background: transparent;">Introduction 22</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1547_898298065"><span style="background: transparent;">Le
mot juste 22</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1783_898298065"><span style="background: transparent;">Troussée ! 23</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1785_898298065"><span style="background: transparent;">La
« vraie » fessée 23</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1742_1792811937"><span style="background: transparent;">Mainteant
... 23</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 2cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1744_1792811937"><span style="background: transparent;">Dé-cu-lo-tée 24</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1746_1792811937"><span style="background: transparent;">Découvertes 25</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2085_1503698273">Les
fessées du Père Castor 2 ème Episode « La maman de
Framboise » </a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2085_1503698273">3</a></span><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2085_1503698273"><sup><span style="background: transparent;">ème</span></sup></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2085_1503698273"><span style="background: transparent;">
Partie 26</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2087_1503698273"><span style="background: transparent;">Chapitre
1</span></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2087_1503698273"><sup><span style="background: transparent;">er </span></sup></a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2087_1503698273"><span style="background: transparent;">:
Découvertes 26</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2089_1503698273"><span style="background: transparent;">De
la variété 26</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2091_1503698273"><span style="background: transparent;">Comme
un soleil 27</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2093_1503698273"><span style="background: transparent;">Progression 27</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2095_1503698273"><span style="background: transparent;">Limites 28</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1917_794805926"><span style="background: transparent;">Finir ? 29</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1975_794805926"><span style="background: transparent;">Chapitre
2 : … et suites. 29</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1977_794805926"><span style="background: transparent;">Vérification 29</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1979_794805926"><span style="background: transparent;">Au
coin ! 30</span></a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1981_794805926"><span style="background: transparent;">Poursuivre
... 30</span></a></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" style="page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1549_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b><span style="background: transparent;">Les
fessée du Père Castor<br />
1<sup>er</sup> Episode : La Pomme
et la Framboise</span></b></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.25cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1471_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b><span style="background: transparent;"><br />
Chapitre
1 :<br />
« <i>Tu me racontes une histoire, Père
Castor ? </i>»</span></b></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1473_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Une
« fessérotique »</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">La
petite Pomme , une gamine qu’on surnommait ainsi à cause de
ses pommettes rouges, était sur les genoux du Père Castor. Comme
souvent, elle lui demanda, de sa petite voix de fillette :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Dis,
Père Castor, tu me racon</i><span style="color: maroon;"><i>te</i></span><span style="color: maroon;"><i>s</i></span><i>
une histoire ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Bien
sûr, ma petite Pomme. Tu veux une histoire de quoi aujourd’hui ?
Une histoire de loup ? Une histoire de princesse ? »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Non,
Père Castor, je voudrais une histoire de « fessérotique »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i> « De
« fesserotique » mais c’est quoi ç</i><i>a</i><i> ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Je
sais pas, Père Castor, j’ai entendu la maman de ma copine
Clémentine qui parlait avec sa sœur. Elle disait qu’elle devrait
essayer la « fessérotique », que c’était très
intéressant »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
Père Castor toussota, le temps de reprendre ses esprits. Il voyait
bien qui était la maman de cette petite Clémentine. Et l’idée
que cette jeune dame qu’il croisait souvent à la porte de l’école
connaissait ce que, lui aussi, avait naguère pratiqué faisait
naître chez lui des idées interlopes. D’autant plus que cette
maman avait des rondeurs qui, de l’avis du Père Castor qui les
avait remarqué de son œil expert, étaient tout à fait aptes à
« remplir la main d’un honnête homme » Et l’idée
que les rotondités fessières de la dame puissent être fustigées
par la main de son mari – ou d’un autre – faisait briller ses
yeux. Mais la voix de la petite Pomme vint le sortir de sa rêverie :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Alors,
Père Castor, tu me racont</i><i>es </i><i>cette histoire ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Il
connaissait bien la petite Pomme, et il savait que, jamais au grand
jamais, elle ne renonçait à une histoire, et encore moins à une
question. D’ailleurs, elle insistait déjà, en se trémoussant sur
les genoux du Père Castor :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Dis,
c’est quoi une « fessérotique » ? Dis-moi le ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Père
Castor avait des idées bien arrêtées en matière d’éducation de
sa petite fille. Jamais il n’avait refusé de répondre à ses
questions par le traditionnel « <i>tu comprendras quand tu
seras plus grande</i> »<i> </i>Il avait été instituteur toute
sa vie, et il considérait que les enfants sont capables de tout
comprendre, dés lors qu’on leur explique correctement. De plus,
si, à son âge avancé, il n’avait plus souvent – à son grand
dam – l’occasion se se livrer à son activité favorite du temps
où il était marié et où il lui arrivait aussi d’honorer les
postérieurs de dames de rencontre, le mot amenait à son esprit de
bien agréables souvenirs. Aussi, il résolut de répondre avec ses
mots à la question de la petite fille :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1475_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Seulement
pour les grandes</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Et
bien, ma petite Pomme, tu sais ce que c’est qu’une fessée
n’est-ce-pas ? »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Ben
oui, Père Castor, c’est … quand on fait panpan cucu aux enfants
pas sages ! »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">La
réponse lui fit s’interroger à haute voix :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i>« </i><i>Çà</i><i>
t’es déjà arrivé, à toi, d’avoir panpan cucu ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Ho
non ! Tu sais bien que je suis toujours sage, moi ! »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Il
ne releva pas qu’elle se donnait peut-être un peu vite un brevet
de petite fille modèle, mais la réponse le rassura. Rien n’était
plus odieux, à ses yeux, que de frapper un enfant, quelle que soit
son attitude. Mais la petite fille continuait déjà :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Mais
ma copine Framboise, elle, c’est souvent tu sais. Une fois que
j’étais chez elle sa maman lui a dit que si elle continuait à
s’agiter elle lui baisserait sa culotte devant tout le monde »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Bien
que cette révélation ait amené un sourire sur les lèvres du Père
Castor qui pensa qu’alors les fesses de cette pauvre enfant
devaient avoir la couleur de son prénom, il était scandalisé
qu’une maman puisse agir ainsi. D’autant que la maman de la
petite était une de ses anciennes élèves, qu’il rencontrait
régulièrement au sein de l’association des parents de l’école
dont il continuait à s’occuper. Aussi trancha-t-il sans hésiter :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Et
bien elle a tort, la maman de Framboise, tu sais, la fessée, ce
n’est pas pour les petites filles. »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i> « Ha
ben heureusement ! J’aimerais pas ça, çadoit faire drôlement
mal ! Et puis, j’aimerais pas baisser ma culotte comme ça.
D’abord, quand les garçons voulait quand on jouait au docteur, eh
ben j’ai pas voulu ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
Père Castor sentit le sueur couler entre ses omoplates. Et il se
réjouissait que sa petite fille ait eu la bonne réaction, tout en
se disant qu’au fil des ans, les jeux de enfants ne variaient
guère. Mais déjà, elle reprenait ses questions :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Mais
alors, Père Castor, c’est pour qui la fessée ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Une
nouvelle fois, la question déstabilisa un peu le vieil homme. Mais,
fidèle à ses principes, il ne se déroba pas. Comme il le faisait
chaque fois qu’il lui fallait réfléchir à la manière de
répondre aux curiosités de la petite fille, il bourra lentement sa
pipe pour se donner le temps de la réflexion, puis il l’alluma et
commença :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i> «La
fessée, vois-tu ma petite, c’est ex-c</i><i>lu</i><i>-si-ve-ment
réservé aux grandes »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Comme
le maquillage ou les cigarettes ? »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Oui,
si tu veux. Ce n’est que pour les adultes »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Les
adultes comme maman ? Elle, elle peut la recevoir ?»</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Euh
… oui ...elle pourrait ...mais ..je sais pas... »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Pourquoi
tu sais pas, puisque tu sais tout, toi ? »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Une
nouvelle fois, la naïveté de la question de la petite fille fit
sourire le vieil homme. Mais, jamais il ne se moquait d’une
question, aussi choisit-il de répondre :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Je
ne sais pas parce que … quand une maman reçoit la fessée … eh
bien .ça ne regarde qu’elle, elle n’a pas besoin de le dire à
personne, tu comprends ? »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « C’est
comme un secret ? »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Oui,
voilà, c’est comme un secret, tu as bien compris. »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i> « Mais
alors … comment tu sais, puisque tu n’es pas une maman toi ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1477_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Un
secret</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
père Castor se rendait bien compte qu’il s’était engagé dans
un chemin compliqué. Mais, selon une expression qu’il avait
expliquée à la petite fille, il considéra que « quand le vin
est tiré il faut le boire » Et comme il était bien conscient
que Pomme ne renoncerait pas à ses questions, et qu’il avait pour
principe de ne jamais lui mentir, il se jeta à l’eau.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Je
vais te dire moi aussi un secret, ma petite Pomme. Un secret entre
toi et moi. »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Comme
tous les enfants, Pomme adorait les secrets, surtout quand c’est
son grand – père qui les lui confiait. Aussi s’écria-t-elle
tout de suite :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i> « Ho
oui, Père Castor. Je le dirai à personne, promis juré, croix
de bois croix de fer si je ... »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Il
l’interrompit :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i> « Non
non, Pomme, ne jure pas, tu sais que je n’aime pas ça ; Et
puis, tu sais, l’enfer, et bien ça n’existe pas »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et
il ajouta mais pour lui-même, et si bas que la petite ne l’entendit
pas :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « En
tout cas, pas comme les curetons le prétendent ... »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais
il savait que quand la petite fille faisait une promesse, elle la
tenait. Aussi, prenant son courage à deux mains il se lançat :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Ma
petite Pomme, tu n’a pas connu la maman de ta maman, celle que te
cousins appelaient Mamylyse. C’était une femme très gentille,
très belle aussi, et … eh bien il lui arrivait … de recevoir une
bonne fessée. »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">La
petite fille interrompit :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Ho !
Pourquoi ? Elle n’était pas sage ? »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i> « On
peut sûrement le dire comme </i><i>ça</i><i> .. en tout cas elle
pensait ne pas avoir été sage »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Elle ? »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Oui,
elle. Parfois, elle avait besoin d’une bonne fessée ... »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
mot besoin étonna bien sûr la petite fille, qui avait du mal à
imaginer comment on pourrait avoir besoin de se faire frapper les
fesses :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« C’est
… c’est elle qui voulait ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
regard de Père Castor se voilait un peu, il regarda la petite fille
en lui caressant les cheveux et dit, un peu plus bas :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Oui,
je pense qu’on peut dire cela. Mais on aurait pu lui arracher la
peau des fesses avant de le lui faire avouer. »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et
comme il voyait bien que Pomme ne comprenait pas ce qu’il voulait
dire, il expliqua :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Tu
sais, ma petite, il y a des fois où les grands veulent des choses
qu’ils ne peuvent pas dire… Peut-être comprendras-tu cela plus
tard, quand toi aussi tu seras grande, mais au fond, une fessée,
c’est toujours celle qui le reçoit qui la décide ... »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Cette
fois, Pomme ne lui demanda pas d’explication. Elle voyait bien que
le vieil homme poursuivait son idée, et qu’il parlait peut-être
autant pour lui-même que pour elle :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Bien
sûr, elle-même pense que c’est celui qui la donne qui mène le
jeu. Mais c’est faux. S’il l’aime vraiment, il ne fait que
comprendre ce dont elle a besoin, même si elle ne le sait pas. Et je
suis bien sûr que Lyse n’a jamais pris une fessée autrement. Tu
sais, il arrive aussi aux grands de faire des bêtises, de dire des
choses qu’ils ne devraient pas dire, de se mettre en colère,
d’être injuste. Quand cela arrivait à Lyse, je lui demandais de
me rejoindre le soir dans la grange, tu sais, là où maintenant on
met les pommes sur les clayettes.</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.25cm; page-break-after: avoid;">
<br />
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.25cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1479_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b><span style="background: transparent;">Chapitre
2 : Souvenirs</span></b></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1481_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">La
grange</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
vieil homme n’attendit pas la réponse de la petite fille, il
savait combien elle aimait aller parfois jouer ou lire dans cette
petite grange, isolée de la maison, toute parfumée de l’odeur
aigrelette des pommes récoltées sur la grand arbre du jardin. Quand
leurs propres enfants étaient petits, et pour ne pas leur faire
partager le bruit qu’il savait bien caractéristique, le Père
Castor – qui ne s’appelait pas encore comme cela à l’époque –
avait prit l’habitude de s’y rendre quand il estimait nécessaire
que sa femme reçoive la fessée. Ainsi quand, après qu’elle ait
élevé le ton, ou qu’elle lui ai répondu avec insolence, ou
encore après qu’elle ait fait une bêtise quelconque dont elle
s’en voulait peut-être plus que lui, son mari lui lançait :
<i>«Ce soir, après avoir mis les enfants au lit, nous irons dans la
grange » </i>elle savait fort bien ce que cela signifiait. Elle
allait prendre sa fessée. Il n’avait jamais ni à répéter son
injonction, ni à justifier de sa décision. Elle savait fort bien
que jamais il ne la fessait sans une raison qu’elle même estimait
comme valable. Le plus troublant pour elle était quand il lui
annonçait ainsi la chose le matin, et qu’elle savait qu’elle
attendrait le soir pour qu’il mette sa décision en application.
Jamais il n’y faisait la moindre allusion au cours de la
journée.Mais elle passait toute la journée avec en tête cette
idée : «<i>ce soir je vais prendre une raclée </i>»
Quoi qu’elle fasse, l’image de ses fesses dénudées et claquées
s’imposait à elle, lancinante. La journée lui semblait
interminable. Paradoxalement, elle avait en même temps une vraie
crainte de ce qu’elle savait bien être fort douloureux pour son
postérieur, et presque envie que elle moment arrive vite, pour faire
cesser cette attente énervante et angoissante.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et
le soir venu, il n’avait pas besoin de lui rappeler sa décision.
Comme chaque soir, ils partageaient leur repas, puis elle se
chargeait d’aller mettre les enfants au lit. Les autres soirs,
après avoir embrassé les petits, son mari s’installait dans la
salle à manger pour corriger les cahiers des ses élèves. Mais ces
soirs là, dés le repas terminé, sans rien dire, il quittait la
pièce. De son côté elle s’efforçait de ne rien changer à ses
habitudes. Elle s’occupait des enfants, veillait à ce qu’ils se
soient brossé les dents, leur lisait une histoire comme chaque soir,
puis revenait dans la cuisine pour finir de la ranger. Elle le
faisait sans hâte, ne voulant pas donner l’impression qu’elle se
dépêchait comme pour être plus vite punie, mais aussi sans
traîner, sachant fort bien que s’il estimait qu’elle avait prit
trop de temps, ses fesses n’en seraient que plus durement traitées.
Pourtant, coquette, elle ne manquait jamais de se rafraîchir au
robinet de la cuisine – en ces temps lointains ils ne disposaient
pas d’une salle de bain – et, avec le temps, il avait compris
qu’elle avait besoin d’un moment de solitude avant de le
rejoindre. Elle se passait un gant de toilette sur le visage, mais
aussi sur les fesses, considérant qu’il convenait qu’elles
soient propres et parfumées avant d’être traitées comme elle
savait qu’elles allaient l’être. Quand elle sentait l’eau
fraîche sur son derrière, elle ne pouvait réprimer un frisson, pas
tellement à cause du froid mais parce qu’elle imaginait déjà
combien la température de son popotin allait varier. Puis elle
enfilait une culotte propre sous son éternel tablier et, enfin,
traversait la courette pour gagner la grange. Malgré elle, elle
sentait sa démarche moins assurée que d’ordinaire, et ses jambes
flageoler un peu. Quand elle entrait dans la grange, faiblement
éclairée par une maigre loupiote, elle trouvait invariablement son
mari assis sur un tabouret à trois pieds qui servait naguère pour
traire les vaches.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1483_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Le
tablier</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Sans
qu’il eut besoin de dire un mot, elle s’approchait de lui et, sur
un simple signe de tête de sa part, elle relevait son tablier et sa
combinaison au-dessus de ses reins. Elle veillait à ce qu’ils
restent coincés par la ceinture, sachant aussi, d’expérience, que
s’il arrivait que les vêtements retombent et recouvrent ce qui
devait être dénudé, elle l’entendrait prononcer, de sa voix
toujours paisible mais implacable, la sentence : <i>« Ha …
alors on recommence du début ! » </i>Et quelque soit le
nombre de claques qu’elle aurait alors déjà reçus, elle en
recevrait autant avant qu’il ne dise, toujours comme une évidence :
<i>« Et maintenant on reprend où nous en étions restés »
</i>En remontant ainsi son tablier et sa combinaison, elle découvrait
son large postérieur, moulé dans ces grandes culottes blanches en
coton que les femmes portaient alors. Sur laquelle s’accrochaient
les jarretelles des bas, en ces temps où ces pièces de vêtement
étaient habituelles et sans le moindre aspect de coquetterie. Ce
n’est que plus tard qu’elle se convertirait à l’habitude des
collants, et qu’elle ne porterait plus de porte-jarretelles que les
soirs où son mari l’emmènerait au restaurant avec quelques idées
coquines en tête. De même, avec l’évolution de la mode, et du
mode de vie, Lyse avait, dans le courant des années soixante, peu à
peu abandonné l’habitude de ne porter qu’un tablier par dessus
sa combinaison. Il lui était donc arrivé, alors que le départ des
enfants permettait au couple de moins se soucier de discrétion, de
prendre parfois une fessée impromptue alors qu’elle était en jupe
ou en robe. Celles-ci étaient alors prestement retroussées, et elle
recevait la fessée là où ils se trouvaient quand l’idée en
venait à son mari. Parfois dans la cuisine, d’autres fois dans
leur chambre, ou même parfois dans l’entrée de la maison, alors
qu’elle posait les mains sur les premières marches de l’escalier.
Mais, en ce domaine tout au moins, son mari restait attaché aux
traditions, et, pour ce qu’il dénommait lui-même de « vraies
fessées » (encore qu’elle estima de son côté que celles
qu’elle avait reçues dans d’autres circonstances n’étaient
pas des simulacres) il tenait beaucoup à ce qu’elle se présente
vêtue seulement du fameux tablier de nylon que portaient toutes les
ménagères au temps de leur mariage. Du reste, il suffisait qu’il
lui dise : <i>« Ce soir tu mets ton tablier, Lynette »
</i>pour qu’elle comprenne qu’elle irait faire un tour dans la
grange et sur ses genoux le soir venu. Jusqu’au moment où elle se
troussait ainsi, le cérémonial de la fessée conjugale était
immuable. La suite, elle, était à chaque fois une sorte de
découverte. Avec cependant un invariant : elle serait
déculottée.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1485_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Cucu
nu !</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">C’était
en effet aussi un point sur lequel il n’avait jamais transigé, et
qu’il énonçait comme une règle intangible : <i>« La
fessée, c’est cul nu »</i> Du reste, elle n’avait jamais
imaginé qu’il puisse en être autrement. Elle n’était
d’ailleurs pas dupe, et savait fort bien que cette exigence
satisfaisait aussi son mari pour le seul plaisir de contempler son
derrière. Il lui était arrivé de lancer, mi moqueur, mi
admiratif : <i>« Je ne connais rien de plus beau que ton
cul quand il va recevoir sa fessée, ma chérie ...sauf ton cul après
l’avoir reçu ! » </i>Et même si, quand elle entendait
ses mots, elle était souvent en pleurs et le derrière dévasté par
une trempe caractérisée, elle l’entendait bien comme une sorte de
compliment, et elle en était flattée.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
Père Castor revoyait, avec une sorte de tension, le derrière
somptueux qu’il découvrait à chaque fois. Un postérieur large,
rebondi, plantureux. Deux fesses puissantes, galbées, « en
forme de goutte d’huie » lui était-il arrivé de dire,
séparées par une large vallée. Selon son humeur du jour, il
procédait lui-même à la « mise à l’air » selon
l’expression consacrée, en baissant la culotte alors qu’elle
était encore debout devant lui ou seulement après qu’elle se soit
allongée au travers de ses cuisses, ou il lui lançait :
<i>« Allez, tu baisses ta culotte et tu te mets en place »
</i>Il lui fallait alors faire descendre sa culotte sous ses fesses
avant de prendre position. Quand il lui fallait ainsi le faire
elle-même, c’était en quelque sorte une épreuve de plus. Bien
entendu, dans un couple, il n’était pas si extraordinaire qu’elle
soit les fesses nues devant son mari. Mais, en l’occurrence, elle
avait le sentiment qu’il ne s’agissait pas seulement de se
dénuder. Elle devait se déculotter. Mettre son derrière à l’air.
Lui présenter son cul. Comme pour exprimer ainsi qu’elle
acceptait, voire qu’elle demandait, la fessée qu’elle allait
recevoir.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Quand,
au contraire, c’est lui qui se chargeait de la déculotter alors
qu’elle se tenait debout face à lui qui restait assis sur son
tabouret, il exigeait qu’elle le regarde dans les yeux alors qu’il
faisait descendre lentement le sous-vêtement sous les fesses, au
milieu des cuisses, ou aux genoux. En précisant chaque fois, d’un
ton un peu goguenard : <i>« Elle reste là hein ?
Sinon ... » </i>Il n’avait pas besoin d’en dire plus, elle
connaissait la règle instituée au fil de leurs passages dans la
grange. Si, au cours de la fessée, la culotte tombait à terre, cela
lui valait une nouvelle fessée, et souvent plus sévère que celle
qu’elle avait reçues auparavant. Et comme, bien entendu, il lui
était strictement interdit de retenir sa culotte avec les mains,
qu’elle devait, selon son humeur, tenir derrière son dos ou mettre
sur la tête, elle était contrainte, pour empêcher la culotte de
tomber, d’écarter légèrement les jambes. Elle n’ignorait pas
qu’ainsi, non seulement elle mettait à portée des mains de son
mari l’intérieur des cuisses, là où la peau est plus sensible,
et où les coups sont bien plus douloureux, mais aussi elle laissait
voir impudiquement le plus secret d’elle-même. Une fois allongée
au travers des genoux de son mari, ou debout et penchée sur une
meule de foin où elle poserait les mains, son intimité serait
inévitablement visible. Son homme se régalerait de voir ainsi sa
foufoune s’entrouvrir, et il lui arriverait de se réjouir de la
voir luisante et humide. Comme elle ne pourrait non plus empêcher
ses fesses de, parfois, s’écarter, jusqu’à laisser entrevoir
son petit trou.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1487_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">En
place !</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Au
fil du temps, une sorte de langage codé s’était établi entre les
époux. Quand il se contentait de l’inviter à se mettre « en
place » , elle savait qu’il commencerait pas une fessée
traditionnelle.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">
Elle allongée au travers de ses cuisses, les mains posées par terre
ou accrochées aux pieds du tabouret, les jambes relevées, libre de
gigoter et de s’agiter au rythme des claques. Il pouvait ainsi
s’appliquer à fesser avec soin, presque avec méthode. Les coups
se succédant, alternativement, sur une fesse puis sur l’autre. En
laissant parfois un temps entre chaque claque, comme pour laisser à
l’impact de la main le temps de s’étaler, comme les ronds faits
par une pierre jetée dans l’eau. Ou, au contraire, il choisissait
de la fesser en rafale, en grêle, en averse. Les claques se
succédant à un rythme effréné, en rafales. Si, au début, elle
s’efforçait de rester aussi stoïque que possible, elle savait
qu’inévitablement, elle finirait par perdre le contrôle. Les
claques se succédant sur toute la surface de son plantureux
postérieur, elle ne pourrait plus se préparer psychiquement à
l’impact de la main. Celle-ci claquerait sur une fesse, sur
l’autre, sur les deux en même temps, la main recouvrant la raie
fessière, sur le bas des fesses, en remontant et en faisant ainsi
trembloter la masse de son derrière, en haut, sur les côtés …
Très vite, elle renonçait à lutter. Ses fesses, d’abord crispées
et serrées, finissaient inévitablement par s’abandonner.
Devenaient une masse soumise, parcourues de vaguelettes, valsant de
droite à gauche et de haut en bas.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais,
souvent, cette fessée, si cuisante fut-elle, n’était, selon
l’expression moqueuse de son mari, que « le préambule »
Une fois celui-ci terminé, il lui faudrait, toujours à l’injonction
de son homme se mettre cette fois « en position » Cela
pouvait signifier rester debout, mains sur la tête, avec
l’interdiction de bouger les pieds, sous peine de voir la fessée
reprendre. Ou se pencher par dessus un ballot de paille, le derrière
relevé, présenté, offert. Ou encore saisir un madrier qui
soutenait le toit de la grange, ce qui l’obligeait à se soulever
sur la pointe des pieds, et à se concentrer pour éviter de lâcher
la poutre pour éviter, là aussi, que la séance ne reprenne du
début.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1489_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">L’affûtoir</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Lyne
craignait d’autant plus cette position qu’en plus de la douleur
que devaient supporter ses fesses, elle sentait alors
l’engourdissement de ses bras tendus et la difficulté de rester
sur la pointe des pieds. D’autant que, quand elle était dans cette
situation, son mari ne se contentait jamais de la traditionnelle et
presque enfantine fessée à la main. Son postérieur devait
supporter parfois les lanières d’un martinet dont elle avait du,
quelques temps après leur mariage faire elle-même l’acquisition
dans le bazar d’un village voisin. Comme ils ne pouvaient laisser
cet instrument traîner dans la grange où les enfant allaient
parfois jouer, ils l’avaient rangé dans la garde robe de leur
chambre, et, quand il avait en tête de l’utiliser, son mari l’en
avertissait en disant : <i>« tu n’oublies pas d’apporter
Marcel, n’est-ce-pas » </i>Elle savait alors qu’elle aurait
à lui apporter elle-même l’instrument qui lui cinglerait
cruellement les fesses et, pis encore, les cuisses. Il était même
arrivé que, n’ayant pas pensé à le lui faire apporter, il lui
impose d’aller le chercher au milieu d’une séance. Bien que les
enfants soient endormis, il l’avait autorisée à laisser retomber
son tablier pour faire l’aller et retour jusqu’à la maison, mais
elle s’était longtemps souvenu de ce chemin de croix, quand elle
avait traversé la cour les fesses déjà douloureuses, avec en main
le martinet qui allait poursuivre la séance.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais
ce qu’elle craignait par dessus tout, c’était quand son mari
décrochait « l’affûtoir » C’était une large et
épaisse bande de cuir, pendue à un clou dans la grange, et qui
servait à affûter les outils tranchants. Pour tous ceux qui
entraient dans la grange, c’était un innocent ustensile de
travail. Mais , chaque fois que Lyse le voyait, suspendu au mur à
côté des outils, elle ne pouvait réprimer un frisson en repensant
aux dégâts qu’il causait à son fondement. Cette épaisse masse
de cuir claquait à toute volée sur ses fesses, lui faisant à
chaque fois pousser un cri de douleur. Comparé à cette sensation
d’avoir le derrière explosé par elle, le martinet ou la ceinture
que son mari retirait parfois pour lui cingler les fesses lui
semblaient des jouets pour enfant. D’ailleurs, autant la fessée
manuelle lui laissait les fesses rouges quelques heures et
douloureuses jusqu’au lendemain, autant le martinet laissait
parfois quelques lignes rougeâtres sur son postérieur pendant un
jour ou deux, autant son derrière était véritablement marqué
quand son mari y avait appliqué ce terrible instrument. Son cul
était alors barré de larges traces qui, très vite, viraient au
violet. Et qui restaient tellement douloureuses qu’il lui était
arrivé d’être incapable de s’asseoir le lendemain.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1491_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Cris
et chuchotements</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Ce
n’est d’ailleurs que quand son mari utilisait cet affûtoir que
Lyse ne pouvait s’empêcher de crier franchement sa douleur.
Habituée à la vie difficile, elle n’était pas délicate ni
douillette. Et, peut-être inconsciemment, elle avait une sorte de
fierté à supporter les fessées les plus sévères sans desserrer
les lèvres, si ce n’est pour laisser échapper, quand les lanières
du martinet atteignaient l’intérieur des cuisses ou s’infiltraient
dans la raie des fesses jusqu’à venir frapper aux abords du petit
trou, une sorte de petit cri bref que son mari, ironique, comparait à
ceux des souris prises aux pièges.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Elle
subissait donc ces fessées les dents serrées, ne réagissant aux
coups que par des sortes de ruades, quand elle rejetait la tête en
arrière comme un cheval qui se cabre, et par des « umpf »
étouffés. Sauf, bien sûr, quand il prenait à son mari la
fantaisie d’annoncer, que se soit en utilisant le martinet ou le
fameux affûtoir : <i>« Allons y pour une douzaine, et je
veux t’entendre les compter » </i>Elle savait alors que si
elle se trompait dans le décompte des coups reçus, fusse au
onzième, elle en recevrait une nouvelle série de douze. Têtue, et
parfois même provocante, il lui était arrivé de se lancer à
elle-même le défi de ne pas compter. Elle avait reçu ainsi, un
soir, jusqu’à vingt coups de martinet sans un mot. Ce soir là,
devant l’image de son cul rouge cramoisi, et craignant même qu’il
n’en vienne à saigner tant la peau semblait hachée par les
lanières, son mari avait été tenté d’arrêter. Pourtant, il lui
avait semblé non que cela aurait été une victoire pour elle, mais
que cela aurait été une lâcheté de sa part. Il avait donc
continué à lancer la chevelure de cuirs sur ce cul vermillon.
Jusqu’à ce qu’enfin, vaincue mais immensément fière, elle
consente à lancer, d’une voix cassée par la douleur et les larmes
qui coulaient à flot sur ses joues : <i>« Un ! »
</i>Et elle était parvenue ainsi à égrener les douze coups, avant
de s’effondrer et de venir se blottir, tremblante et sanglotante,
dans les bras de son homme. Et c’est ce soir là que, pour la
première fois, alors qu’elle geignait encore de douleur, elle
avait murmuré à l’oreille de son mari : <i>« merci »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Il
avait eu l’élégance de ne pas lui demander d’expliquer pourquoi
elle le remerciait ainsi alors qu’elle venait de subir la plus
terrible des fessées qu’il lui ait été donné de recevoir. Il
avait bien compris qu’il était inenvisageable qu’elle commente
les fessées qu’elle recevait et qu’en fait elle provoquait. Sans
que jamais ils n’aient eu besoin de se concerter, une sorte de
règle s’était établie entre eux. La fessée faisait partie de
leur vie, mais ce n’était pas un sujet de conversation !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Du
reste, pour Lyse, la fessée était toujours restée un moment
difficile, et oh combien douloureux. Jamais elle n’avait ressenti
le moindre plaisir à se faire ainsi déchiqueter la peau des fesses.
Et, après bien des années, et donc bien des fessées, jamais elle
ne se présentait dans la grange sans angoisse. En même temps, elle
était assez femme pour ne pas ignorer que, si son mari la fessait
toujours pour des motifs qui, bien qu’ils soient souvent des
peccadilles, cela n’était pas sans conséquence sur sa libido.
Ainsi, aussi sévère qu’ait été la fessée, elle était toujours
suivie d’un moment plus sensuel encore. Et quand il arrivait à
Lyse de s’auto-analyser, en une époque où on ne consultait pas un
psy comme on va boire un café au bistro du coin, elle ne pouvait
disconvenir que ces fessées, bien que – ou parce que ? -
douloureuses, mettaient aussi ses sens en feu. Ce n’est en tout cas
en rien par obligation, encore moins par devoir, qu’elle cédait
alors à ce que l’on appelait encore parfois « le devoir
conjugal » Elle admettait même, in petto, que si, ce qui
n’était jamais arrivé, son mari ne<span style="color: maroon;"> l’a</span>vait
pas sollicitée, elle aurait été prête à se jeter sur lui. Alors
qu’elle avait à peine fini de piétiner dans cette sorte de danse
sur place qu’elle entamait en se frottant les fesses dans l’espoir,
qu’elle savait vain, d’atténuer la brûlure de ses fesses, elle
s’offrait aux ardeurs viriles de son homme. Qu’elle soit prise
debout, dos à une poutre, ou allongée, le derrière râpé par la
paille qui ravivait la douleur, ou en levrette, elle savait bien que
jamais son corps n’était plus prêt à recevoir le mâle qu’en
ces moments. Du reste, la trace luisante qui sourdait de sa foufoune
en était la preuve irréfutable. Ainsi les soirs dans la grange se
terminaient toujours par des râles de plaisir.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1493_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Fessées
d’amour</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Bien
entendu, le Père Castor n’avait pas raconté ainsi les choses à
Pomme. Il s’était limité, quand il lui avait indiqué qu’il
demandait à son épouse de le rejoindre dans la grange, de lui
dire :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Et
là, elle prenait une bonne fessée »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">En
ajoutant, sûr que Pomme le comprendrait :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Une
bonne fessée d’amour »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Il
avait d’ailleurs eu la conviction que la petite avait en effet
compris la nuance quand, quelques jours plus tard, il l’avait
entendu, alors qu’elle jouait à la poupée, dire à celle-ci, avec
le léger zézaiement qui la rendait si craquante:</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Ah
mais z’en ai assez tu sais ! S</i><i>i</i><i> ça continue, je
vais te coller une fessée. Et ce zera pas une fessérotique tu
sais ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
Père Castor avait souri dans sa moustache, attendri. Mais les propos
de Pomme lui étaient restés en tête, et il se promit de parler
avec la maman de Framboise…</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais,
ça, c’est une autre « histoire du Père Castor »</span></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid; page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1495_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b><span style="background: transparent;">Les
fessées du Père Castor<br />
2 ème Episode <br />
« La maman
de Framboise »<br />
1<sup>er</sup> Partie</span></b></span></span></div>
<div align="center" style="margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm;">
<br />
<br />
</div>
<br />
<br />
<br />
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.25cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1497_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b><span style="background: transparent;"><br />
Chapitre
1 <br />
Souvenirs encore</span></b></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1499_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Un
mari sévère</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">A
l’occasion d’une conversation avec la petite Pomme, celle-ci
avait révélé au Père Castor qu’une de ses copines, la petite
Framboise, avait été menacée par sa maman d’être déculottée
et fessée. L’information n’était pas tombée dans l’oreille
d’un sourd, bien qu’à son âge le Père Castor l’ait été un
peu. Mais il suffisait que l’on prononce devant lui le mot de
« fessée » pour qu’il retrouve subitement une audition
de jeune homme. Il faut dire que ce vieux monsieur si digne et sage,
avait en quelque sorte une face cachée. Si gentil et doux qu’il
ait été, il avait en même temps été, pendant des décennies, un
mari sévère, ou plutôt un mari fesseur. Comme il l’avait
expliqué sans rien cacher de la vérité à la petite fille, il lui
arrivait en effet régulièrement de convoquer son épouse dans la
grange de leur maison pour lui administrer de cuisantes fessées
déculottées. Et l’évocation de ces souvenirs avait ramené à la
mémoire du Père Castor ces moments, certes fort douloureux pour le
derrière de l’épouse, mais qui restaient des moment forts, et
même, il en était persuadé, des moments d’amour partagé.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1501_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Punition
et plaisir</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><br />
D’abord
parce que ces fessées conjugales leur avait évité bien des
disputes interminables qui pourrissent la vie de nombreux couples.
Plutôt que de s’affronter pendant des heures pour les motifs
souvent futiles des querelles conjugales, de se lancer des mots que
souvent les époux regrettent après, madame était prestement
déculottée et recevait ce qu’il faut bien appeler une trempe. Le
Père Castor était parfaitement conscient que son épouse n’était
pas toujours responsable des désaccords qui se réglaient par de
telles volées sur ses fesses. En son for intérieur, il admettait
tout à fait que, parfois, c’était bien sa propre mauvaise humeur
qui amenait une tension dans leur couple. Comme il reconnaissait que
si ces fessées étaient toujours motivées, il n’en est pas moins
vrai qu’il en tirait un plaisir qu’il ne pouvait nier. Bien sûr,
il n’avait pas abordé cet aspect là de la question avec l’enfant,
mais le seul fait d’évoquer ces fessées conjugales avait suffit à
redonner à sa virilité une tension qui, à son âge, était presque
inespérée. Et qui lui rappelait celles qu’il connaissait quand il
fessait sa femme. Du reste, et là encore le souvenir lui était
doux, les fessées, aussi sévères qu’elles aient été, étaient
toujours suivies de moments plus tendre, le deux tourtereaux n’ayant
pas toujours la patience d’avoir regagné leur chambre pour y
céder. Si les petites souris qui pullulaient dans la grange avaient
souvent vu le popotin de la dame danser et rougir, ils avaient su
aussi rougir en voyant à quelles activités se livraient les époux
une fois la fessée terminée.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1503_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Pas
dupe</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
Père Castor était aussi persuadé que sa femme, même si elle ne
lui en avait jamais rien dit, n’avait pas non plus été dupe. Elle
acceptait sans jamais barguigner les volées que lui imposait son
mari, mais elle était tout à fait consciente qu’elles étaient
parfois autant motivées par l’envie de son mari que par de
véritables fautes de sa part. Mais elle avait eu le bon goût, et le
Père Castor lui en était reconnaissant, de toujours faire comme si
la fessée était méritée. Et le Père Castor se souvenait aussi,
avec un sourire, que l’état plus proche des mangroves équatoriales
que du désert de Gobi, comme aimait à le dire ce vieux professeur
de géographie, de l’intimité de la dame trahissait son émoi. En
un mot comme en mille, après une bonne fessée, la belle couinait,
pleurnichait, voire pleurait à chaudes larmes, dansait sur place en
se frottant les fesses, mais aussi … mouillait !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.25cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1505_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b><span style="background: transparent;">Chapitre
2<br />
Une conversation</span></b></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1507_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Pas
pour les enfants</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais
ces souvenirs, aussi agréables fussent-ils pour l’esprit … et le
reste du Père Castor, ne lui avaient pas fait oublier les
confidences de la petite Pomme sur ce que vivait, selon elle, sa
copine Framboise. L’idée qu’une enfant puisse être fessée,
qu’on puisse la menacer de la déculotter devant tout le monde le
révulsait positivement. Pourtant, il était loin, fort loin, d’être
un militant anti-fessée ! Tout au contraire, non seulement il
avait pratiqué toute sa vie, mais même il avait rédigé, sous un
pseudo bien sûr, de fort sérieuses théories sur les bienfaits de
la fessée pour les femmes en général, et pour les couples tout
particulièrement. Mais, comme il avait tenu à l’expliquer à
Pomme, elle était réservée aux femmes, aux adultes, en aucun cas,
et sous aucun prétexte elle ne devait concerner les enfants. Bien
sûr, déjà quand il était marié, et surtout depuis qu’il vivait
seul, il avait fessé de très nombreux derrières féminins. Mais
jamais au grand jamais celui d’une enfant. Il citait volontiers une
phrase de son livre de chevet, « Eloge de la fessée » de
Jacques Serguine, selon laquelle la première raison pour ne pas
fesser un enfant, c’est qu’il n’y a pas la place. Il convenait
d’ailleurs qu’en la matière, il avait plutôt un faible pour les
postérieurs confortables.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1509_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Framboise ?</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et
quand, quelques jours après cette histoire racontée à Pomme, le
hasard lui fit se trouver face à face avec la maman de Framboise (à
vrai dire le Père Castor avait un peu forcé la main au hasard en
traînant ses guêtres aux abords de l’école à l’heure de la
sortie des élèves) il ne tarda pas à remarquer que les rondeurs
arrières de son ancienne élève avaient, justement, pris quelque
ampleur. L’œil allumé comme celui d’un tigre en chasse, le Père
Castor aborda la jeune femme, lui demanda innocemment de ses
nouvelles, s’inquiéta de la santé des enfants et du mari, et
finit par faire un brin de conduite à la maman qui avait récupéré
ses enfants. Tant et si bien qu’il finit par l’accompagner
jusqu’à la porte de chez elle. Et comme elle était une femme bien
élevée, et qui avait gardé un bon souvenir de sa scolarité avec
ce professeur, elle se sentit obligée de lui proposer de prendre un
café, sans savoir, évidemment, qu’elle faisait ainsi entrer le
loup dans la bergerie. Et qu’elle allait jouer le rôle de
l’agneau. <br />
Elle ne s’étonna pas non plus du fait qu’en
bon enseignant retraité qu’il était, le Père Castor en vint très
vite à la faire parler de sa petite fille, que la maman avait
opportunément envoyé jouer dans sa chambre :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Elle
est bien mignonne, et elle à l’air bien sage, cette petite
Framboise »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Oh
… vous savez, ils ont toujours l’air sage chez les autres, mais
au quotidien ... »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Serait-elle
parfois turbulente ? « </span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i> « Ah
ça oui, il y a des jours où elle me ferait damner, </i><i>malgré</i><i>
ses airs d’ange vous savez »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Ça
y était, l’agneau venait d’offrir sans le savoir son cou aux
dents du loup, qui ne manqua pas de surenchérir :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>«Mais,
énergique comme je te connais, tu dois avoir les moyens de te faire
obéir, n’est-ce pas ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Il
faut bien … mais vous savez, Pè .. je veux dire ...monsieur ...je
l’élève seule, et ce n’est pas tous les jours facile de
se faire respecter ...vous comprenez, une femme, ça n’a pas la
même autorité ...</i> »</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Bien
entendu, le Père Castor avait bien remarqué que la jeune dame avait
failli l’appeler par son surnom et qu’elle s’était reprise en
rougissant pour lui donner le « monsieur » qui était de
mise quand il était son enseignant. Et il avait aussi enregistré
que le papa de la petite fille ne faisait plus partie du paysage. Et,
avant même d’aller plus loin au sujet des méthodes d’éducation,
il se dit in-petto <i>« Toi, ma petite, j’ai bien
l’impression que c’est aussi à toi qu’il manque un peu
d’autorité » </i>Mais il en revint à son idée de départ
et insista, prêchant le faux pour savoir le vrai :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Je
comprends, mais je suis bien sûr que tu connais les bonnes méthodes
pour faire régner l’ordre dans la maison »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Hélas,
monsieur, j’aimerais bien ...mais franchement je crains que non, et
je me demande comment font les mamans qui y arrivent »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Habilement,
croyait-il, le Père Castor poursuivit sa méthode pour tirer les
vers du nez de la jeune maman en lançant, comme une évidence :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Eh
bien je suppose qu’elles ont recours au bon vieux traditionnel
panpan cucu, c’est radical pour remettre les gamines dans le bon
chemin, non ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Je
ne sais pas … de nos jours...ça ne sa fait plus, . En tout
cas, jamais je ne me résoudrais à faire ça à ma fille.
D’ailleurs, je pense même que cela va être interdit, et c’est
très bien comme ça,»</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1511_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Et
toi ?</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Bien
que vieillissant, le Père Castor avait encore assez de vivacité
d’esprit pour adapter sa stratégie aux réactions de l’adversaire.
Aussi embraya-t-il aussitôt sur la dernière réponse, en prêchant
le faux pour savoir le vrai et en se réjouissant intérieurement que
les informations délivrées par Pomme étaient pour le moins
exagérées :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« De
quoi se mêlent-ils avec leurs lois qui voudraient contrôler comment
les parents élèvent leurs enfants ? Des générations de
gamins ont été élevés avec le martinet dans la cuisine, et ils ne
s’en portaient pas plus mal ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et
avant même que son interlocutrice n’ait répondu il ajouta, avec
un bon sourire :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« « Et
je serais bien étonné qu’il en ait été autrement chez tes
parents, et que tu n’ai pas connu cela quand tu étais petite »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais
à son grand étonnement, elle le détrompa avec véhémence :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Oh
non ! Jamais mes parents n’ont levé la main sur moi, et
pourtant, je sais bien que j’étais loin d’être un modèle de
sagesse. Mais papa et maman étaient comme moi … il menaçaient
souvent ...mais ce n’était que des mots »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Voulant
s’assurer qu’il avait bien compris, et bien que comprenant qu’il
s’engageait sur un terrain mouvant, le Père Castor insista :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Tu
ne veux quand même pas dire que tu n’a jamais reçu la fessée
quand tu étais petite ? </i>»</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Il
remarqua que la jeune maman rougissait, et qu’elle portait les
mains devant son visage comme pour se cacher en répondant, en
bafouillant un peu :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Ben
… si ...je vous assure ...jamais ...Oh, bien sûr il leur arrivait
de me promettre une raclée. Mais c’était comme la menace de me
mettre en pension, je n’y ai jamais cru. »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et
elle lâcha alors les mots qui déclenchèrent ce qui allait lui
advenir en ajoutant, avec un rire cristallin:</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Après
tout, ça m’a peut-être manqué ! J’aurais peut-être fait
moins de bêtises quand j’ai été ado »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">L’agneau
venait encore une fois de s’offrir de lui même aux dents du loup.
Qui rebondit sur les mots qu’il venait d’entendre, mais en
prenant maintenant un ton moins léger :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Dois-je
comprendre que tu t’es mal comportée alors ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Ben
… oui...enfin ...un peu ...quand je me suis retrouvée seule en fac
...sans les parents pour contrôler ... </i>»</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Cette
fois la voix du Père Castor se fit vraiment sèche :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Tu
peux éviter de bredouiller ? C’est exaspérant ces « ben
.. » ! Et tu peux aussi être plus claire ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">La
maman se sentit immédiatement revenir une petite fille grondée.
Instinctivement, elle baissa les yeux et se mit à croiser les
doigts. Elle ébaucha cependant un <i>« be... » </i>mais
se reprit d’elle-même et énonça à peu près distinctement :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« B..
je...je veux dire que...je n’allais pas toujours aux cours le
matin... »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « T<i>iens
donc ! Et pour quelles raisons, jeune dame ?</i> »</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Elle
ne réagit pas à cette nouvelle dénomination mais répondit, d’une
voix devenue plus étranglée :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Parce
que je me couchais souvent tard le soir , Monsieur »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Une
lueur féline brilla dans les yeux du Père Castor quand il entendit
que, sans qu’il ait eu à le lui demander, elle finissait la phrase
par ce « Monsieur » qui lui semblait de bon augure pour
ce qu’il avait déjà en tête.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Et
à quoi consacrai</i><i>s</i><i>-tu tes soirées ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « .<i>..je
sortais souvent, avec des copains. C’était à Lille, il y a plein
de ba</i><i>r</i><i>s sympas et de soirées étudiantes... »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Ben
voyons ! C’est sûrement la faute à la ville de Lille si
mademoiselle traînait le soir et séchait les cours le matin ! »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Non
… bien sûr, je ne dis pas cela, Monsieur. Je sais bien que c’est
ma faute si j’ai redoublé ma première année »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Ah
mais c’est de mieux en mieux ! Les parents de mademoiselle
l’envoient à l’université et elle se permet de baguenauder et
de rater ses études ! Et ils ont réagi comment, tes
parents ? </i>»</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
mot « baguenauder », que la jeune femme ne connaissait
pas l’avait fait sourire, elle se souvenait comment les élèves
se moquait de leur enseignant quand il lui arrivait de sortir des
mots dont ils ne connaissaient pas le sens. Et c’est donc un peu
plus légèrement qu’elle répondit à la question :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Oh,
ils ont été fâchés, bien sûr … mais voilà tout »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1513_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">A
leur place ...</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Voilà
tout ! Mais c’est incroyable, on dirait que même aujourd’hui
tu n’as pas pris la mesure des conséquences de ton attitude !
Ah, crois moi, j’estime beaucoup tes parents qui sont des gens très
respectables, mais à leur place </i>... »</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Cette
fois la manière dont son interlocuteur semblait juger ses parents
fit réagir la jeune femme qui répliqua, presque brusquement :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« A
leur place ? Vous auriez fait quoi ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
regard clair du Père Castor se fixa brusquement dans les yeux de
celle qui venait de parler sur ce ton irrité, et les mots tombèrent,
aussi durs qu’une lame :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« A
leur place, ma chère enfant, tu en aurais pris une bonne ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Ah
mais si … ils m’ont engueulé</i><i>e</i><i>, et pas qu’un
peu ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Les
yeux toujours plantés dans les siens, le Père Castor s’écria en
détachant bien les syllabes :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « <i>Une
en-gue-la-de ? Mais comment tu parles ! Qu’est ce que
c’est que ce langage ? Et en plus tu te permets de lever les
épaules ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
ton était devenu tellement irrité qu’une nouvelle fois, elle
perdit son assurance et tenta de se rattraper :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Euh
… non ..excusez-moi, Monsieur. Je voulais seulement dire qu’ils
...qu’ils avaient été fâchés quoi ... »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « Fâchés
… et puis c’est tout ? »</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> « En
fait … non ...je me souviens, j’ai même été privée de sorties
pendant deux week-ends »</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">La
réplique du Père Castor fut cinglante, mais cette fois sur un ton
presque amusé :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Oh !
Quelle punition sévère ! Mademoiselle avait planté son année
d’études par ses inconséquences et elle est condamné</i><i>e</i><i>
à rester deux samedis soirs à la maison. Mais quelle sévérité,
mon Dieu ! Tu aurais dû te plaindre pour violences
parentales ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Une
nouvelle fois le mot un peu précieux employé par son ancien prof et
l’exagération de son indignation firent sourire la jeune femme.
Mais avant qu’elle ait pu répondre, son interlocuteur lança :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Crois-moi,
jeune fille, si ça avait été moi ce n’est pas de sortir que tu
aurais été privée ...mais de t’asseoir ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Bien
après cette conversation, la jeune femme se rendit compte de sa
stupidité de n’avoir pas immédiatement compris ce que voulait
dire l’ancien professeur, et d’avoir, pour ainsi dire, donné des
verges pour se faire battre en répondant ingénument :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« J’aurais
été privée de chaise ? »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
Père Castor eut toutes les peines du monde à réprimer un éclat de
rire devant l’innocence que révélait la réponse. Mais il parvint
à retrouver son sérieux et son ton courroucé pour énoncer d’une
voix devenue tranchante comme un rasoir :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Et
en plus mademoiselle se permet d’être ironique et insolente !
Tu n’aurais pas pu t’asseoir pendant un bon bout de temps après
la fessée d’anthologie que tu aurais prise, ma petite. Et qui, je
le constate, t’a bien manqué ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et
ce n’est que quand il fut parti que la maman se demanda si elle
l’avait bien entendu marmonner si bas qu’elle aurait pu ne pas
l’entendre :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Mais
il n’est jamais trop tard ... »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1515_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Le
mot !</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
mot était enfin sorti. Il fut suivi d’un long et pesant silence.
La jeune dame n’avait pas réagi, pas répondu. Elle restait
muette. Immobile. Silencieuse. Spontanément, elle avait baissé les
yeux et ses doigts trituraient le tissu de sa robe. Mais comme le
Père Castor restait lui aussi silencieux, elle finit par rompre le
silence Elle bredouilla :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Vous
… mais … vous voulez dire que ... »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Implacable,
le Père Castor se contentait de la regarder avec ses yeux de loup
affamé. Puis, tranquillement, il se leva, remit son chapeau et salua
la maman de Framboise d’une phrase qu’il savait bien ambiguë :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Bon,
je vais te laisser t’occuper de ta petite fille. J’ai été
content de bavarder avec toi, ma petite. Et, si tu as besoin d’autres
avis sur l’éducation des filles, petites ou grandes … tu sais où
</i><i>m</i><i>e trouver.</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; page-break-before: always;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.25cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1517_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b><span style="background: transparent;">Chapitre
3<br />
Une rencontre ?</span></b></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1519_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Pour
qui la fessée ?</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Quand
le Père Castor fut parti, la maman de Framboise retrouva, pour un
moment, sa vie ordinaire de mère de famille. Elle s’occupa de sa
fille, bain, repas, câlin et histoire avant le dodo. Elle ne pu
s’empêcher de remarquer que, ce soir là, la petite Framboise, qui
était souvent quelque peu turbulente et coquine, fut
particulièrement sage. Et cela ne fit qu’accentuer l’irritation
de sa maman en repensant aux propos du vieil homme. Comment ce vieux
machin osait-il même penser qu’elle pourrait avoir ne serait-ce
que l’idée de frapper son enfant ? Mais il était détraqué
ce mec ! Et en plus il avait le culot de lui suggérer qu’il
pourrait lui donner … comment avait-il dit ? Des «avis sur
l’éducation » ! Quelle outrecuidance, comme il dirait
avec sa manie d’utiliser des mots précieux !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Qu’elle
aille le voir ? Eh ben, il pouvait toujours courir, le vieux !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Pourtant,
quand la petite fille fut couchée et que sa maman se retrouva seule
sous la douche puis dans le canapé, devant un film qu’elle ne
suivait pas vraiment, les mots du vieux professeur lui revenaient en
boucle. Et, plus elle se remémorait ces mots, plus elle sentait son
indignation fondre comme neige au soleil. Après tout, il ne lui
avait pas conseillé de donner la fessée à Framboise. Pourtant …
le mot avait bien été prononcé. Mais pas en parlant de la gamine.
C’est bien à son propos à elle qu’il avait envisagé … Une
fois encore la colère remontait. Comment avait-il osé ? Elle
n’était plus une gamine quand même ! Elle n’était plus
son élève ! Mais, justement, elle se souvenait, jamais, quand
elle l’était, elle n’avait entendu son professeur menacer
quiconque d’une telle punition. Bien au contraire, il était un des
enseignants les moins sévères qu’elle n’ait rencontré.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais
alors, la jeune femme ne pouvait se le cacher, c’est bien elle, la
femme adulte, la maman, qu’il avait presque ouvertement menacé
d’une fessée ! Mais enfin, cela n’avait pas de sens !
Cela n’était pas possible ! Une fessée pour une femme
adulte, mais ça n’existe pas !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1521_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Images
subliminales</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Ça
n’existe pas, ça n’est pas possible, et pourtant, comme des
images subliminales, Framboise, les yeux dans le vague, « voyait »
cette scène « impossible » Une femme adulte, respectable
… mais la jupe relevée. Une culotte qu’une main inconnue baisse.
Inconnue ? Peut-être pas … Un derrière qui est dénudé, ou
plutôt, les mots venaient d’eux – même à l’esprit de la
jeune dame, « mis à l’air » Et d’autres mots se
bousculaient dans sa tête, sans qu’elle puisse les contrôler.
« Fessée », « déculottée » « punie »
« cul nu » ...Et des images encore, comme dans un
kaléidoscope. Des fesses nues. Les siennes ? Une culotte non
pas retirée, mais baissée, juste à la hauteur des genoux. Un
derrière exposé, impudique. Laissant … tout voir ! Comment
connaissait-elle ces images, elle qui n’avait jamais ni reçu ni vu
une fessée ? Une main qui se lève, une main qui frappe. …<br />
La
jeune dame sursauta elle avait presque concrètement « entendu »
le bruit de la claque. Instinctivement, elle ramena le plaid sur
elle, comme pour se protéger. Elle sentait son cœur battre plus
vite que la normale. Elle sentait surtout la sueur lui couler dans le
creux des reins. Et surtout, et bien que seule dans ce salon le
constat la fit rougir, elle sentait une moiteur dont elle ne pouvait
ignorer l’origine. A sa grande honte, elle était bien obligé de
l’admettre, la jeune dame mouillait son slip !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1523_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Tempête
...sous un crâne</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Elle
était furieuse contre elle-même maintenant. Comment pouvait-elle
être dépravée à ce point ? Comment son corps pouvait-il
s’émouvoir à l’idée d’un tel traitement ? Oh, bien sûr,
elle était une jeune femme de son temps, libérée et assumant sa
condition. Depuis qu’elle était seule, et que les relations avec
des hommes étaient devenues très épisodiques, elle avait pris le
parti de les remplacer, ou de tenter de le faire, par des activités
solitaires. Mais l’idée qu’elle puisse être « émue »
par une fessée lui était difficile à admettre. Eh quoi, elle
n’était pas maso tout de même ! Enfin, bien sûr, avec
certains de ceux qui avaient partagé des moments intimes, il avait
pu lui arriver d’être troublée par des geste un peu plus virils
qu’avec d’autres. Avec lucidité, elle se l’avouait, quand un
de ces amants était insensiblement (encore que le mot la fit
sourire) passé des caresses à des pétrissages plus profonds, et
même à quelques claques quand la position adoptée l’y avait
incité, elle avait été loin de se formaliser. Et quand un autre
avait trituré ses tétons jusqu’à lui faire mal, elle avait bien
constaté, mais sans analyser la chose, ayant alors autre chose à
penser que de théoriser ses plaisirs, que la limite entre le plaisir
et la douleur était parfois bien ténue et bien poreuse. Mais, se
révoltait-elle, cela n’avait rien à voir avec la fessée !
Ils faisaient l’amour, voilà tout. Et si l’un de ses partenaires
avait osé la traiter comme … elle l’aurait viré sans préavis !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Alors
que ce vieux machin puisse une seule seconde imaginer que lui … non
mais ça va pas sa tête !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Dans
l’esprit de la jeune femme, c’était un peu comme dans les bulles
au dessus de Milou dans la BD. Un petit personnage, aux ailes d’ange
lui disait : <br />
«<i>Oublie vite ce vieux cochon, il
dégouline de vices </i>! »<br />
Mais un autre, rouge et
diabolique lui répliquait :<br />
«<i> Mais il n’a
jamais émit l’idée d’être ton amant ma petite ...il n’a même
pas eu un mot ni un geste déplacé à ton égard ! </i>»
<br />
«<i> Ah bon ! Mais il voulait quoi alors ?
Jouer aux cartes peut-être ? » <br />
« Non … il
envisage juste de te coller une fessée cul nu ! »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Mais
c’est affreux ! Dégradant ! Scandaleux ! Tu ne peux
pas imaginer ça ! »</span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i>« En
es tu sûre ? Es tu sûre de ne pas parfois la mériter, en
avoir besoin de cette fessée ?</i> »</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Là,
la jeune dame se fâchait une nouvelle fois. En avoir besoin !
Non mais ça va pas ? Et la « mériter » quelle
bêtise ! Comment une femme comme elle pourrait-elle mériter
une punition qu’elle n’envisageait même pas pour une gamine ?
Et pourtant, comme Milou choisit finalement toujours de suivre les
conseils du petit démon, la jeune femme sentait sa détermination
s’étioler …</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Après
tout, n’était-ce pas elle qui avait confessé ses bêtises quand
elle était étudiante ? Et, même maintenant, ne lui
arrivait-il pas d’être en colère contre elle-même, de s’en
vouloir de manquer parfois de volonté, de procrastiner, de se
négliger, de ne pas veiller à sa santé comme elle devrait le
faire ? Et si, effectivement, elle avait besoin que quelqu’un
la ramène dans le bon chemin ? La jeune dame était passionné
de lecture, et les leçons de celui qui n’était alors pas encore
le Père Castor n’y étaient pas pour rien. Alors que les idées se
bousculaient ainsi dans sa tête, le fameux chapitre des Misérables
« tempête sous un crâne » lui revint en mémoire.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.21cm; page-break-after: avoid;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1525_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><i><b><span style="background: transparent;">Anthologie</span></b></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais
ce n’est pas seulement dans sa tête que la tempête se déchaîna.
Comme si elle vivait sa propre vie, sans obéir à son cerveau, et
presque « à l’insu du plein gré » sa main droite
s’était glissée vers la source moite … Et, de là, le maître
doigt s’aventura plus loin. Les images passaient maintenant sur
l’écran de ses yeux fermés en rythme accéléré. Mains qui
claquent, fesses qui rougissent, qui s’écartent, s’exhibent, se
crispent ..Et, juste avant que n’éclate l’orage, l’idée lui
traversa l’esprit comme un éclair : Si le Père Castor savait
comment elle se comportait en pensant à lui, il lui en collerait une
d’anthologie comme il avait dit!</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid; page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1527_898298065"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b><span style="background: transparent;">Les
fessées du Père Castor<br />
2 ème Episode <br />
« La maman
de Framboise »<br />
2<sup>ème</sup> Partie</span></b></span></span></div>
<div align="center">
<br />
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1529_898298065"></a><span style="background: transparent;">Chapitre
1 : « je suis venue ... »</span></h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1531_898298065"></a><span style="background: transparent;">Résistance</span></h4>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Même
si elle avait du mal à l’admettre, la conversation qu’elle avait
eu avec le Père Castor au sujet des méthodes disciplinaires, et
plus particulièrement de la fessée, avait profondément troublée
la maman de Framboise. Jusqu’à l’amener à ce que des images de
fessées l’assaillent alors qu’elle cédait à son besoin de se
donner du plaisir en solitaire. Et, au fil des jours, cette idée
d’une fessée, d’une fessée qu’elle recevrait, d’une fessée
donnée par le Père Castor, lui était revenue comme une antienne.
Pourtant, tout son être, toute sa raison se révoltait à l’idée
qu’une telle chose soit possible. Qu’une jeune femme comme elle,
moderne, émancipée, puisse être punie comme même les gamines ne
l’étaient plus, lui apparaissait comme évidemment impossible. Et
plus encore qu’une femme adulte puisse accepter de l’être, voire
même le souhaiter. Et quand elle sentait son intimité s’humidifier
alors que cette idée revenait inexorablement comme le vagues qui
fouettent la grève, elle était à la fois honteuse et furieuse
contre elle-même. Tellement furieuse qu’elle en venait à se dire
qu’elle mériterait bien d’être punie pour ces pensées
interlopes. Oh, certes, elle résistait à cette tentation. Mais,
elle à qui le Père Castor, entre autres enseignants, avait donné
le goût de la littérature, se rendait compte qu’elle le faisait
comme la petite chèvre de Monsieur Seguin ...</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1533_898298065"></a><span style="background: transparent;">Et
au matin ...</span></h4>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et,
en effet, comme la petite chèvre de la fable, au matin, le loup la
mangeât. Puisque ce fut bien un matin, et que c’est la Père
Castor qui jouât le rôle du loup. Un loup qui, sans rien en laisser
paraître, se lécha les babines quand, sur le coup de neuf heures
moins le quart, un jeudi, il découvrit la maman de Framboise devant
la porte de son pavillon. Évidemment, il se souvenant parfaitement
des derniers mots qu’il avait adressé à la jeune femme. Mais, à
vrai dire, il n’avait pas vraiment pensé qu’elle puisse le
prendre au mot, justement. Bien sûr la jeune dame lui avait laissé
entendre qu’elle était parfois en difficulté avec sa petite
fille. Mais, en même temps, elle avait assez clairement énoncé son
refus d’envisager les punitions corporelles à son encontre pour
que le Père Castor soit rassuré sur le sort de la petite Framboise.
Il lui semblait donc tout à fait exclu que sa maman vienne vraiment
lui demander conseil alors qu’il n’avait, lui, pas caché son
prétendu attachement au « panpapn cucu » familial. Quant
à imaginer qu’elle puisse avoir pris au sérieux son allusion au
« grandes filles » cela lui paraissait totalement
impossible. A vrai dire, il se reprochait même d’être peut-être
allé trop loin et d’avoir effarouché la jeune femme. Et pourtant,
depuis la fenêtre de son bureau, c’est bien elle qu’il aperçut
au portillon du jardin. Immédiatement, le Père Castor remarqua que
ce n’était plus tout à fait la même femme que celle qu’il
avait rencontré chez elle. En effet, comme souvent les femmes de sa
génération, la maman de Framboise, lors de leur rencontre chez
elle, portait un pantalon (qui, la vieil homme l’avait bien entendu
remarqué, moulait un derrière qu’il avait silencieusement
qualifié de « confortable ») Mais ce matin là, le Père
Castor le constata immédiatement, même de loin, elle était en
jupe. Une petite jupe écossaise surmonté d’un gilet bleu marine
qui recouvrait un strict chemisier blanc. « <i>Tout à fait une
tenue de collégienne</i> » se dit perversement le vieux
monsieur. Mais, peut-être plus encore que la tenue vestimentaire,
c’est l’attitude de la jeune femme qui interpellât le Père
Castor. En effet, bien qu’il admettre, en son for intérieur, ses
penchants pervers, il n’avait jamais été vraiment attiré par le
fantasme des écolières. Et s’il lui était arrivé, même quand
il était marié, et plus encore après, de fesser des demoiselles ou
des femmes mariées plus jeunes que lui, tout ce qui ressemblait à
des fessées infantiles le faisait reculer. </span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais,
justement, la maman de Framboise n’avait pas du tout une attitude
de petite fille. C’était bel et bien une femme adulte qui venait
de sonner à sa porte, et il le constata plus encore quand il la lui
ouvrit. Mais quelque chose qu’il aurait eu du mal à expliquer lui
apparaissait pourtant comme une sorte de signe dans l’attitude de
cette femme. Ainsi, bien qu’il ait prit son temps avant de
descendre et de la faire entrer dans le jardinet, elle était restée
plantée devant le portillon, mais sans jamais lever les yeux vers la
maison, alors que, pourtant, elle ne pouvait pas savoir qu’il la
regardait. Et quand il traversa le petit jardin, elle continua à
rester immobile, les yeux baissés, les mains ramenées devant son
ventre. Le Père Castor ouvrit la porte, et il l’entendit juste
bredouiller d’une voix mal assurée mais pourtant audible, même
pour les oreilles un peu défaillantes du vieil homme :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i>« </i><i>Bonjour,
Monsieur … je suis venue... »</i></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1535_898298065"></a><span style="background: transparent;">Je
suis venue pour ... </span>
</h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Ainsi,
elle était, en effet, venue. Elle était là, et bien entendu le
Père Castor en était ravi, mais il veillait à garder autant que
faire se peut un visage impassible. Il ouvrit le portillon grinçant
du jardin, et, presque cérémonieusement, l’invita à entrer en
s’effaçant pour la laisser passer. De telle manière que le vieux
pervers put se régaler du balancement rythmé du popotin de la
jeune femme tandis qu’elle se dirigeait vers la maison. Il la
dépassa cependant pour la faire entrer dans la maison, en lui
indiquant le salon où il lui indiqua un des grands fauteuils de cuir
fauve dans lequel elle s’installa tout en tirant sur sa jupe tandis
que lui prenait place de l’autre côté de la table basse encombrée
de livres et où traînaient deux pipes.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le
silence était pesant, seulement troublé par le tic-tac régulier de
la grande horloge comtoise. La jeune femme restait immobile,
silencieuse, mais ne pouvant s’empêcher de croiser et décroiser
ses doigts nerveusement. Lui se contentait de la regarder de son air
tranquille de félin sûr de sa proie. Tout juste, après un temps
qui sembla infini à la jeune dame, souleva-t-il les sourcils d’un
air interrogateur en glissant de sa voix de basse :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Je
t’écoute .. »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Si le silence lui était
pénible, cette invitation à s’exprimer le lui fut plus encore.
Pourtant elle trouva la force de lever les yeux vers lui et de se
lancer :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Je
suis venue … pour ...enfin ...vous avez dit ... »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Elle ne parvenait pas à sortir
autre chose que ce bredouillement informe. Sans pitié, il se
contenta de continuer à la regarder en lâchant seulement un </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Oui
... »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Qui ne fit que la troubler plus
encore, l’amenant à bafouiller encore plus :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Ben
… enfin ..je suis venue pour ...mais ... »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">La gêne de la jeune femme qui
semblait s’embourber de plus en plus failli faire éclater de rire
le Père Castor. Mais en même temps, il finit par avoir pitié
d’elle et changea de stratégie en fronçant franchement les
sourcils pour lancer, comme il l’avait fait lors de leur première
rencontre :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Tu
peux t’exprimer en français correct, s’il te plaît ? C’est
exaspérant à la fin ! »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Paradoxalement, ce ton sévère
libéra en quelque sorte les inhibition de la maman de Framboise.
Comme si elle se lançait à l’eau, elle lâcha brusquement la
bonde :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Je
suis venue pour la fessée, voilà, Monsieur »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">La franchise de cet aveu étonna
presque le père Castor qui n’osait en espérer tant. Il était
sincèrement ému par cette sorte de candeur. Mais il se reprit très
vite :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « C’est
très bien, ma petite, je suis content que tu ais pris conscience que
tu en avais besoin. Mais tu comprends bien qu’il faut que je sois
sûr que c’est ce que tu veux vraiment »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Cette fois, elle trouva le
courage de le regarder droit dans les yeux et de répondre, sans une
hésitation :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Oui,
Monsieur, je comprends. Oui, Monsieur, je pense que j’ai mérité
une fessée . Une fessée de vous »</span></i></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Et,
tu sais comment ça se reçoit, une fessée, ma petite ? »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Une nouvelle fois, la question
déstabilisa la jeune femme qui se reprit à hésiter :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Euh
… oui, Monsieur, enfin ...je crois ... »</span></i></div>
<div align="left" class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le Père Castor comprit
aussitôt qu’il lui fallait obtenir tout de suite ce qu’il
attendait d’elle :</span></div>
<div align="left" class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Et tu crois quoi,
ma petite ? Il faut me le dire, tu le sais »</i></span></div>
<div align="left" class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et en effet, elle comprenait
très bien qu’il lui fallait, quoi qu’il lui en coûte, dire les
choses sans barguigner. Au prix d’un effort dont elle ne se serait
pas crue capable, elle parvint à lancer, d’une traite :</span></div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Je sais qu’il faut
que je reçoive la fessée … cul nu, Monsieur »</span></i></div>
<div align="left" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1537_898298065"></a><span style="background: transparent;">Chapitre
2 :Les actes après les mots</span></h3>
<div class="western">
<br />
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1539_898298065"></a><span style="background: transparent;">Dire
les mots</span></h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Curieusement,
le fait d’avoir été capable de dire ces mots si crus, si directs,
avait presque soulagé la maman de Framboise. Comme si dire les
choses avait été, à ses yeux, plus difficile que d’envisager de
les vivre. Oser dire ce mot tabou, ce mot qui lui tournait dans la
tête comme une obsession. Oser non pas accepter, mais bien demander,
presque revendiquer une fessée. Depuis des jours et des jours, elle
savait, au fond d’elle-même qu’elle voulait cette fessée,
qu’elle en avait besoin. Au point d’avoir été capable de le
dire, franchement, directement. En employant ce mot, ce mot magique :
la fessée. Comme elle avait été capable de sortir ce mot de
« cul » que jamais elle n’employait dans d’autres
circonstances. Il y a tellement de mots pour désigner cette partie
d’elle -même, de toutes les femmes. Popotin, derrière, derche,
postérieur … Mais, en l’occurrence, elle savait qu’un seul mot
convenait. Et elle l’avait dit. Une fessée, ça se prend sur le
cul. Sur le cul nu. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1541_898298065"></a><span style="background: transparent;">Mise
en place</span></h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">De
son côté, le Père Castor avait compris que le moment des mots
était passé. La jeune dame avait fait sa part, il lui fallait faire
la sienne. Il n’allait pas y manquer. La laisser plus longtemps
dans cette position indécise aurait été une sorte de perversion
qu’il s’interdisait. De même, s’il avait bien compris que la
jeune dame considérait cette fessée comme « méritée »
il aurait été sûrement trop difficile pour elle d’en dire plus.
Par contre, il estimait de son devoir non pas de commenter, mais
plutôt d’expliquer la fessée qu’il allait lui flanquer. Il
s’avança un peu sur son siège, releva tranquillement les manches
de sa chemise, et d’une voix ferme mais en même temps calme il
annonça :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Alors,
allons-y, jeune dame!Viens te mettre en position ... »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Docilement, elle se leva, tira
nerveusement sur sa jupe pour couvrir ses cuisses, ce qui fit sourire
intérieurement le Père Castor, puis s’avança à petits pas vers
lui. Quand elle fut près de lui, il poursuivit son explication, sur
le même ton qu’il aurait employé pour donner le mode d’emploi
d’un quelconque ustensile :</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Tu vas t’allonger
sur mes genoux, pour une débutante, c’est la position la plus
adaptée »</i></span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et en même temps, il tapotait
sur sa cuisse, comme pour mieux lui indiquer l’endroit.</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Quand la jeune femme prit la
position demandée, le Père Castor constata qu’elle ne pouvait
réprimer un léger tremblement, mais qu’elle obéissait sans
rechigner à la consigne. En effet, elle s’allongeât comme il le
lui avait indiqué, les hanches sur ses cuisses, les bras croisés
posés sur l’accoudoir, et mis son visage dans le creux de ceux-ci,
comme si le fait de ne pas voir la rassurait. Une nouvelle fois, le
Père Castor constata avec un sourire carnassier la parfaite rondeur
du postérieur de la jeune femme. De la même voix calme mais ferme
il reprit son explication :</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Nous allons
commencer comme cela, jeune dame, si vous être prête »</i></span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Elle souleva légèrement la
tête et murmura, comme si elle avait compris qu’il lui fallait
dire les choses :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Je
suis prête, Monsieur »</span></i></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1543_898298065"></a><span style="background: transparent;">Etapes</span></h4>
<h5 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1545_898298065"></a><span style="background: transparent;">Introduction</span></h5>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le Père Castor lissa le tissu
de la jupe de manière à ce qu’il moule le mieux possible les
rondeurs offertes à sa vue, puis il leva la main, et l’abattit sur
celles-ci. Tous le corps de la jeune femme se raidit, mais pas un
son ne sortit de sa bouche. Tranquillement, il attendit que le corps
de détende pour appliquer une seconde claque, sur l’autre fesse.
Cette fois, le derrière resta souple sous la claque, ce qui l’amena
a enchaîner les claques à un rythme d’abord lent puis de plus en
plus soutenu. Il compta mentalement vingt-cinq claques. La jeune
femme restait toujours silencieuse, mais sa tête avait commencé à
se balancer de droite et de gauche, et ses jambes à s’agiter,
battant l’air comme si elle cherchait à nager,et faisant ainsi
remonter plus haut la jupe sur les cuisses fermes. La main du Père
Castor s’égara deux ou trois fois sur le haut des cuisses nues
quand il commença une nouvelle série de vingt cinq. Cette fois, à
chaque fois que la main claquait sur la peau blanche des l’arrière
des cuisses, elle lâchait un petit cri de souris prise au piège.
Comme pour lui signifier la fin d’une première étape, les cinq
dernières claques furent plus appuyées, amenant les jambes à
s’agiter plus frénétiquement, et aussi quelques « humpf »
étouffés.</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h5 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1547_898298065"></a><span style="background: transparent;">Le
mot juste</span></h5>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le Père Castor attendit que la
respiration de la jeune femme soit redevenue plus régulière avant
d’annoncer :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Maintenant,
nous allons poursuivre. Tu sais que c’est nécessaire n’est-ce-
pas ? »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et une nouvelle fois, elle
répondit d’une voix un peu plus étranglée mais audible :</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Oui, Monsieur, je
le sais »</i></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Et
tu sais ce que je vais faire maintenant ? »</span></i></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;"> « Oui,
Monsieur, vous allez ... »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Une nouvelle fois, les mots
avaient du mal à sortir, mais il attendit sereinement qu’elle
réussisse à surmonter sa difficulté en disant :</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Vous ..vous allez
..</i><i>relever la jupe ? »</i></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Oui,
en effet ...mais ...ce n’est pas le mot juste ... »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Malgré sa position, son
émotion, et la sensation chaude sur ses fesses la maman de Framboise
ébaucha un sourire en constatant que le vieil homme n’avait pas
perdu sa manie d’exiger de ses élèves qu’ils renoncent à ce
qu’il appelait les « mots passe partout » pour choisir
les expressions les plus précises possible. Elle avait d’ailleurs
gardé de ses années d’école le goût des mots, et elle convint
in-petto que le verbe « relever » pouvait faire partie de
ces mots par trop générique. Après un instant de réflexion, elle
reprit donc, en corrigeant :</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Vous allez …
retrousser la jupe, Monsieur ? </i></span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Il voulait un mot précis, eh
bien elle l’avait trouvé. « Relever » pouvait, en
effet, s’appliquer à beaucoup de choses, alors que le verbe
« retrousser » se limitait bel et bien aux vêtements.
Elle était assez fière d’avoir répondu à ce qu’elle supposait
être l’attente de l’ancien enseignant. Mais, à sa grande
surprise il n’en était rien et il le lui indiqua sur un ton
quelque peu goguenard :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« C’est
mieux … mais ce n’est pas encore cela ... »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Cette fois, la jeune femme ne
comprenait plus. Un vêtement, une jupe, une robe, ça se retrousse,
non ? Elle avait beau se creuser la cervelle, elle ne voyait pas
où il voulait en venir. De son côté, le Père Castor attendait
patiemment, se contentant de battre du bout des doigts sur le
derrière toujours gracieusement offert à sa vue et à ses mains. Et
soudain, ce fut comme une révélation, et elle lança le mot, mais
cette fois d’une voix presque joyeuse, presque triomphante :</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Vous allez me
trousser, Monsieur :! »</i></span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Ce n’était plus une
question, c’était une affirmation, comme une évidence. Et le Père
Castor s’en réjouit ouvertement :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Très
bien ! Ça, c’est le mot juste ! »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Elle allait être
« troussée » ! Bien sûr ! On retrousse un
vêtement pour passer dans une flaque d’eau, ou pour essayer des
chaussures. Alors que le verbe « trousser », lui, ne
pouvait s’appliquer qu’à ce que subit une fille qui va être
fessée … ou pire. Et le verbe ne s’applique pas au vêtement,
mais bien à la personne qui le porte. « Troussée »,
comme une soubrette, comme une gamine. Troussée pour découvrir son
derrière, son postérieur, son popotin, son cul ! Là aussi le
champs lexical, comme l’aurait sit le professeur en son temps,
était vaste et varié. Et la maman fut troussée ! !</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h5 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1783_898298065"></a><span style="background: transparent;">Troussée !</span></h5>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le cœur battant, le Père
Castor saisit le bas de la jupe, qui du reste était déjà assez
largement remontée sur les cuisses, et, d’un geste précis, la
releva jusqu’à la taille de la jeune femme. Sans qu’il ait eut à
le lui en donner l’ordre, elle souleva légèrement les hanches
pour faciliter le mouvement, comme si, d’elle-même, elle avait
intégré la nécessité de permettre que son derrière soit
correctement exposé. Et le Père Castor dut convenir qu’il l’était
en effet. Il découvrait avec délectation un derrière aussi rond
qu’il l’avait supposé quand il était encore caché par la jupe.
Un délicieux derrière moulé dans une mignonne petite culotte bleu
ciel, constellée de petites fleurs et ornée d’un joli petit nœud
derrière. Une culotte presque sage, une culotte de jeune maman. Ni
un sous-vêtement d’enfant, ni celui d’une gourgandine. Une
petite culotte qui ne couvrait que partiellement le postérieur
confortable. Pas un de ces strings que le Père Castor avait en
horreur, et qui lui faisait dire qu’il préférait « écarter
la culotte pour découvrir les fesses qu’écarter les fesses pour
découvrir la culotte ». Mais pas non plus un boxer cachant
totalement ce que, justement, il voulait découvrir. Un slip, tout
simplement. Laissant apparaître de chaque côté un large croissant
de peau nue. </span>
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Après un court instant de
contemplation, le Père Castor entra en action. Une claque par dessus
la culotte sur la fesse droite, une autre sur la fesse gauche, puis
une claque sur la partie de la droite laissée directement
accessible, et une autre sur l’équivalent de la partie gauche, et
pour finir, comme en apothéose, une grande claque de bas en haut,
atteignant le postérieur par en dessous et le faisant littéralement
bondir vers le haut. Cette fois, la jeune femme ne resta pas coite.
Si la jupe avait constituée une protection suffisante pour que les
coups soient réellement amortis, la petite culotte, elle, n’était
qu’une protection symbolique. Et l’impact de la large main était
aussi douloureux quand elle frappait sur ce fin tissu soyeux que
quand elle s’abattait sur la peau nue. Dés cette première série,
la jeune femme se mit à battre des jambes comme si elle nageait, à
gigoter, à s’agiter, à secouer les fesses de droite à gauche,
comme si ces mouvements avaient eu la moindre chance de leur épargner
la prochaine claque. En même temps, les cris étouffés avaient
laissés place à des « Aie ! », des « Oh ! »,
des « Ouille ! » qu’elle ne chercait même pas à
retenir. Ce qui n’empêcha pas le Père Castor de reprendre, à dix
reprise, la série. Bien au contraire, il en accentuait le rythme,
passant de claques bien espacées à une sorte de roulement presque
continu. Mais, à aucun moment, elle ne tenta de protéger ses
arrières de ses mains, comme si, là aussi, sans qu’il ait eu
besoin de le lui expliquer, elle avait intégré la règle
interdisant absolument de tenter d’interposer ses mains entre
celles du fesseur et les fesses de sa victime consentante. </span>
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Bien entendu, la jeune femme
aurait été bien incapable de compter combien de claques son
derrière ravagé reçu de claques. Mais celui qui les appliquait,
lui, toujours méthodique, tenait à ce qu’elle en reçu par dessus
la culotte autant qu’elle en avait reçu sur la jupe. Il ne cessa
donc de frapper le derrière devenu chaud qu’après la cinquantième
claque.</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1785_898298065"></a><span style="background: transparent;">La
« vraie » fessée</span></h4>
<h5 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1742_1792811937"></a><span style="background: transparent;">Mainteant
...</span></h5>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">La vigueur de cette deuxième
partie avait été telle qu’après même qu’elle se soit
interrompue, le corps de la maman de Framboise continua un moment à
être agité de soubresauts, et que la sorte de mélopée qu’étaient
devenus ses plaintes se poursuivit un moment. Conscient de ce que
devait ressentir la jeune femme, le Père Castor lui laisse la temps
de reprendre ses esprits, mais ne lui laissa pour autant aucune
illusion, énonçant, comme une évidence :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">«
maintenant, commence la vraie fessée ! »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Si son postérieur avait été
moins douloureux, la maman de Framboise aurait peut-être eut la
tentation d’ironiser, tant l’idée que ce qu’elle avait subi
n’aurait été qu’une « fausse » fessée lui aurait
paru singulier. Elle ne fit pourtant aucun commentaire, mais elle
comprit immédiatement ce que voulait dire son tortionnaire par cette
phrase sibylline. Elle le savait, elle l’imaginait, cela lui
apparaissait comme une évidence : une « vraie »
fessée, c’était une fessée « cul nu » Aussi quand le
Père Castor reprit son questionnement :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« tu
sais ce que je vais faire maintenant, n’est ce pas ? »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">elle ne tenta même pas
d’esquiver, répondant, presque sans hésiter, mais d’une voix
plus blanche :</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"> <i>« Oui, Monsieur, vous
allez me déculotter »</i></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h5 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1744_1792811937"></a><span style="background: transparent;">Dé-cu-lo-tée</span></h5>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Le mot, cette fois, lui était
venu naturellement à l’esprit. Elle avait accepté, elle avait
voulu, elle avait provoquée cette fessée. Elle savait qu’elle la
recevrait sur le derrière dénudé. « Cul nu », le mot
résonnait dans sa tête. Avoir le derrière mis à nu, mis à l’air,
exposé, c’était l’aboutissement, inexorable, de ce dans quoi
elle s’était engagée. Il fallait qu’elle soit déculottée.
Elle l’avait compris, intégré, voulu. Tout comme, bien sûr,
celui qui s’apprêtait à le faire. Dans l’esprit de celui-ci, ce
déculottage restait un moment fondamental dans le processus d’une
fessée, quelque soit son contexte et la personne concernée.
Déculotter une femme était à ses yeux très différent de la
déshabiller. Il considérait qu’il y avait un gouffre entre une
femme nue et une femme déculottée. On peut – et c’était le cas
de ce vieux tendrement pervers et perversement tendre – se régaler
de la vue d’un corps de femme dénudée. Aimer regarder une femme
« dans le plus simple appareil » pour els uns, « à
poil » pour les autres. On peut – et c’était aussi son cas
– apprécier le déshabillage en lui-même. Qu’il soit effectué
par l’homme, dans le style du fameux « Déshabillez-moi »
de Juliette Gréco, ou que la femme concernée s’en charge
elle-même. Dans le premier cas, on peut, selon les circonstances et
l’humeur du moment, aimer la rapidité, voire même la
précipitation. Les vêtements que l’on soulève, que l’on
baisse, que l’on arrache presque pour qu’en un tour de main la
femme digne se retrouve nue, ses vêtements jonchant le sol comme
après une bataille. Ou au contraire faire durer le plaisir,
découvrir le corps par petits bouts, comme un cadeau que l’on
déballe précautionneusement. On peut même renoncer à cette mise à
nue et se contenter de retirer, presque d’arracher, la culotte pour
prendre celle à qui on vient de la retirer « à la hussarde »
Comme on peut aimer que la femme joue avec perversité les « 9
semaines et demi » et procède à un lent effeuillage sensuel.
Ou au contraire, qu’elle se désape à tout vitesse, qu’elle se
mette nue comme si elle ressentait l’urgence de se départir de ces
accoutrements sociaux pour se montrer à l’état de nature. </span>
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais, pour le Père Castor,
déculotter une femme, la femme que l’on va fesser, était un
moment d’une toute autre nature. Que la fessée soit suivie de
moments sensuels, comme c’était le cas avec feue son épouse ou
avec beaucoup de ses partenaires d’un jour, ou que la fessée soit
le seul motif de cette mise à nue du derrière, ce déculottage
devait, à ses yeux, être surtout l’acte paradigmatique de la
fessée. Celui par lequel celle qui va être fessée est en quelque
sorte mise devant l’évidence. Et par lequel celui qui procède à
cette mise à nue annonce en quelque sorte ses intentions, quand bien
même, et c’était le cas en l’occurrence, la fessée aurait-elle
commencée par dessus les vêtements. </span>
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Pour le vieux fesseur qu’il
était, il n’y avait jamais deux fessées semblables, même quand
les deux protagonistes étaient les mêmes et les fessées nombreuses
et régulières. Ainsi il lui semblait que, même quand il fessait
son épouse plusieurs fois par semaines, et ce pendant des années,
elle n’avait jamais reçue deux fois « la même fessée »
L’intensité des claques, leur rythme, leur répartition sur la
surface offerte, l’alternance des « adaggios » et des
« vivaces », des « fortissimos » et des
claques flirtant avec les caresses, faisaient de chaque fessée une
œuvre particulière, jamais répétée. De même, aucun déculottage
n’était identique à un autre. Selon les circonstances, les
envies, la partenaires, le contexte, la culotte pouvait être
enlevée, retirées, arrachée, ou juste baissée, écartée,
effacée. Elle pouvait être baissée lentement, centimètre par
centimètre, laissant apparaître les fesses comme un soleil qui se
lève sur l’océan. Ou au contraire, baissée brusquement, d’un
seul geste, laissant le postérieur exploser en majesté. Elle
pouvait être descendue jusqu’aux mollets, imposant à celle qui la
portait ainsi des pas entravés si, d’aventure, elle devait se
déplacer, pour aller « au coin » ou pour aller quérir
l’instrument qui allait fustiger ce que le culotte venait de
découvrir. Mais elle pouvait aussi être laissée au niveau des
genoux, avec l’interdiction absolue de la laisser descendre plus
bas ou tomber par terre. Ce qui imposait d’écarter assez les
jambes pour la maintenir en place, au risque, et au plaisir pour
celui qui en décidait, de laisser ainsi voir le plus secret de la
personne concernée. Ou encore elle pouvait être juste baissée sous
les fesses, à la limite des cuisses, soulignant ainsi mieux encore
que le seul but était de mettre le derrière à l’air pour mieux
le fesses. Elle pouvait même n’être que ramené dans la raie des
fesses, transformée en string …</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1746_1792811937"></a><span style="background: transparent;">Découvertes</span></h4>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">La maman de Framboise le
savait, elle allait être déculottée. Le Père Castor le savait, il
allait la déculotter. Elle avait compris, sans qu’il ait eu à le
lui expliquer avec des mots, que tout ce qu’elle venait de vivre
n’était qu’un prélude, une introduction. Elle savait que ce
n’était qu’à partir du moment où elle aurait été enfin
déculottée que la fessée commencerait. </span>
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Cette fessée « cul nu »
elle l’avait vécue en rêve tant de fois ! Pourtant, elle
sentait, intimement, que la réalité serait une découverte. Elle
allait être fessée, elle le savait, elle le voulait, elle
l’attendait, elle le craignait, mais elle ne savait pas encore ce
qu’était une fessée. Elle allait le découvrir, enfin !</span></div>
<div class="western">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid; page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2085_1503698273"></a>
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b><span style="background: transparent;">Les
fessées du Père Castor<br />
2 ème Episode <br />
« La maman
de Framboise »<br />
3<sup>ème</sup> Partie</span></b></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2087_1503698273"></a><span style="background: transparent;">Chapitre
1<sup>er </sup>: Découvertes</span></h2>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2089_1503698273"></a><span style="background: transparent;">De
la variété</span></h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">En
effet, pour la maman de Framboise, ce fût une découverte. Une vraie
découverte. Mais ce le fût aussi pour le Père Castor. La
découverte d’un postérieur parfait. Oh, bien sûr, ceux qui ne
partagent pas la passion du vieil homme diront, trivialement, qu’un
« cul est toujours un cul » Mais pour lui, chaque paire
de fesse qu’il mettait à nu était une nouvelle découverte, un
nouveau continent. Et, à cette aune, on pouvait dire que le Père
Castor avait beaucoup voyage ! Il avait fessé des derrières de
toutes tailles, de toutes les variétés pourrait-on dire. Des culs
confortables, fessus, moelleux. Qui semblaient parfois absorber les
coups comme des oreillers de plumes. De ces popotins généreux, aux
fesses amples, aux collines rondes comme les ballons vosgiens,
séparées par des vallées profondes où le doigt se glissait avec
délice. Mais aussi des fessiers musculeux, qui s’apparentaient
plus, eux, à des ballons de football, et qui en avaient la rondeur
parfaite, et aussi la dureté. Sur lesquels la main frappait à toute
volée sans qu’is ne tremblent ni de s’agitent. Où les claques
résonnaient comme des coups de feu dans un matin d’hiver. Et pour
lesquels la raie fessière n’était qu’une sorte de coup de lame
dans une pomme. <br />
Mais la variété ne tiens pas qu’au volume.
Il se souvenait avec émotion aussi de la diversité des formes. Lui
qui avait la passion du mot juste ne détestait rien autant que de
n’être capable que de qualifier un derrière féminin de « rond »
« Encore heureux qu’il ne soit pas cubique ! »
avait-il l’habitude de maugréer quand il tombait, au hasar de ses
lectures interlopes, sur cet adjectif utilisé pour décrire si
pauvrement le postérieur d’une héroïne. Rond, certes, mais
encore ? Certains sont, en effet, rond comme des pommes, presque
parfaitement sphériques. D’autres fesses s’apparentent plus à
de gracieuses gouttes d’huile, s’élargissant vers le bas.
D’autres encore semblent tout au contraire remontés vers les
reins, et on s’étonne presque qu’ils ne s’effondrent pas quand
on leur retire la cuirasse qu’est la culotte. <br />
Et la
consistance donc ! Des culs qui ballottent au rythme des claques
reçues, qui valsent, qui gigotent, balançant de droite à gauche,
se trémoussant, écartant généreusement les fesses pour donner à
voir l’intimité la plus secrète, quand ce n’est pas le petit
trou qui l’est encore plus. Mais aussi des culs si ferme que la
fessée la plus drue ne parvient pas à faire tressaillir. Sur
lesquels la main semble rebondir. De ces derrières qui semblent se
durcir au cours de la volée, devenir plus fermes encore, se fermer,
devenir bloc de granit, alors que d’autres, au contraire, souvent
après avoir tenté un moment de résister, capitulent et
s’abandonnent, se lâchent, deviennent boule de pâte que le
boulanger va pétrir. <br />
La même paresse amène souvent ceux qui
s’essayent à décrire un postérieur recevant une volée à
constater qu’il « rougit » Eh bien oui, un cul qui
prend sa fessée rougit, réaction physique à peu près inévitable.
Mais quelle variété, là aussi dans la coloration avant, pendant et
après la fessée. Certaines peaux blanches, presque diaphanes,
virent au rouge vermillon dés les premières salves. En un rien de
temps, le globe laiteux se transforme en lanterne magique
rougeoyante. Comme si tout le sang de la donzelle remontait jusqu’à
fleur de peau, à tel point que l’on craigne parfois – mais fort
heureusement ce n’avait jamais été qu’une crainte sans
fondement, si l’on ose le terme en la circonstance – qu’il n’en
vienne à perler pour de bon. D’autre postérieurs ne rougissent
que beaucoup plus progressivement, la rougeur n’est d’abord
qu’une sorte de calotte ornant le sommet du derrière comme celle
d’un évêque la tête du prélat. Puis la tache rouge s’étale
peu à peu, comme l’eau qui se répand, jusqu’à concerner tout
le globe. Parfois, quand la fessée se poursuit, la main y laisse
alors sa marque blanche éphémère, qui disparaît comme les traces
de pas sur le sable mouillé. Certaines peaux rosissent avant de
rougir. D’autres passent en un clin d’œil du blanc neigeux au
cramoisi. Chez certaines, la partie dûment fustigée garde sa
coloration pendant quelques heures, voire même vire du rouge au
violacé, et le reste jusqu’au lendemain. Alors que pour d’autres,
même quand les fesses ont été portées au rouge vif, elles sont
comme neuves moins d’une heure après l’épreuve. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2091_1503698273"></a><span style="background: transparent;">Comme
un soleil</span></h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Pour
autant, le Père Castor était loin d’être blasé, et chaque
postérieur qu’il mettait au jour était une nouvelle découverte.
Et celle de celui de la maman de Framboise en fut une délicieuse.
Dés qu’il eut commencé à baisser la petite culotte, il lui
sembla assister à un lever de soleil. Le derrière qu’il faisait
apparaître était tout simplement délicieux. Une rondeur
alléchante, une peau veloutée, une carnation rosée qui laissait
apparaître la délicate marque du slip. Particularité qui émut au
plus au point le vieil habitué qu’il était, la peau des fesses
était constellée de minuscules tâches de rousseur. <br />
Elle
n’avait opposé aucune résistance à la translation vers le bas du
dernier rempart à sa pudeur. Tout juste, dans un mouvement
instinctif, avait-elle refermé le compas de ses jambes comme dans
l’illusoire espoir de préserver sa pudeur. Il sembla cependant au
Père Castor qu’il convenait qu’elle comprenne d’entrée de jeu
qu’une telle réaction était inappropriée. Une légère tape sur
la face interne de la cuisse suffit pour qu’elle l’admette et
que, docilement, elle écarte un peu plus les jambes, exposant ainsi
inexorablement son intimité la plus secrète aux yeux de loup de
celui qui allait l’initier. A vrai dire, pendant un très court
moment, la beauté de ce qu’il découvrait donna presque envie au
vieil homme de la flatter, de le caresser, d’en éprouver le
velouté du bout des doigts. Mais il ne céda pas à cette envie
perverse bien qu’au combien compréhensible. Aussi épicurien,
voire jouisseur qu’il fût, le Père Castor était un personnage
pétri de principes, et jamais il n’avait dérogé aux règles que
pourtant il était le seul à définir. Or, dés leur première
rencontre, il avait décidé que la fessée qu’il comptait bien
administrer à la maman de Framboise ne serait qu’une fessée.
Comme si la différence d’âges entre eux interdisait tout autre
type de relations. Il avait bien l’intention de la fesser, il ne
pouvait se cacher à lui-même combien il en avait envie, et les
effets qu’avait déjà la simple vue de ce derrière sur sa
virilité, mais il savait qu’en aucun cas il ne sortirait du rôle
qu’il s’était assigné : celui d’un fesseur.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2093_1503698273"></a><span style="background: transparent;">Progression</span></h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Et
de fait, il tint ce rôle. Avec conviction, avec sérieux, on
pourrait presque dire avec professionnalisme. Il posa sa main gauche
au creux des reins de la jeune femme, entourant en partie sa taille
pour qu’elle soit bien installée et ne risque pas de glisser hors
de ses genoux. Puis, posément, il leva la main droite et l’abattit,
sans violence mais sans non plus la retenir, sur la fesse gauche.
Comme lors de la fessée par dessus le slip, le corps de la maman de
Framboise réagit. Elle se cabra comme un cheval rétif, marquant
l’impact de la main par un « oh ! »
guttural. Il lui laissa le temps de ressentir vraiment tous les
effets de cette claque inaugurale. De laisser le temps à la douleur
de s’étaler, comme quand les premières gouttes de pluie tombent
sur un sol surchauffé en été. Mais aussi de pénétrer en
profondeur, de se répandre en elle, de voyager dans son corps. Une
fessée se donne, certes, sur le cul, mais c’est toute la personne
qui la reçoit. Elle ne concerne pas que les fesses. Elle se diffuse,
elle infuse, elle se propage. Les hanches, les cuisses, le pubis, le
ventre, les seins, la ressentent. Il lui fallait le temps de laisser
la vague déferler, s’étaler, puis revenir, se rétracter. Et ce
n’est que quand la grève serait redevenue à son état initial
qu’il lancerait la deuxième claque, sur l’autre fesse. Il claqua
ainsi alternativement une fesse puis l’autre une vingtaine de fois.
Régulièrement, implacablement, comme un métronome.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Une
fessée, pour celui qui l’applique, c’est d’abord un mouvement,
presque un ballet. Il procédait par de larges gestes, amples,
déliés. Le brasse levait, haut, puis s’abaissait, en un mouvement
circulaire. Et quand la main s’était abattue sur une fesse, le
mouvement se poursuivait sur son élan, avant que le bras ne reprenne
son envol pour frapper l’autre fesse. Mais comme il était aussi de
ceux qui pensent que l’ennui naquit au jour de l’uniformité, il
lui fallait aussi modifier à la fois le rythme et l’ampleur des
assauts. Aussi accéléra—t-il insensiblement le rythme. Aux
larges gouttes de pluie du début d’un orage estival, succéda
bientôt une averse, drue, de coups données plus rapidement. La main
veillait aussi à couvrir l’intégralité de ce qui lui était
atteignable. Et pour empêcher celle qui les recevaient d’anticiper
le ressenti des claques, il se mit à les distribuer de manière
apparemment anarchique, erratique. La main volait comme un essaim
d’abeilles. Frappait une fesse, puis l’autre, mais aussi parfois
deux, trois, quatre fois d’affilée la même hémisphère. Elle
tapait sur l’arrondi du derrière, puis sur les côtés, puis par
en-dessous. Elle s’égarait parfois sur l’arrière des cuisses,
déclenchant alors un cri plu aïgu et un mouvement convulsif qui
faisait s’agiter le popotin de la plus belle des manières. Puis,
brusquement, la volée interrompait. Mais pour mieux reprendre dés
qu’il lui semblait que le postérieur se relâchait. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2095_1503698273"></a><span style="background: transparent;">Limites
</span>
</h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">En
amateur éclairé, le Père Castor savait qu’un derrière qui
reçoit une bonne fessée ne fait pas que la recevoir, il la vie. Il
tente de résister. Il se contracte, se ferme, se solidifie. Puis
cède, se détend, semble se résigner. Avant de tenter une nouvelle
révolte, de se resserrer, de se durcir. Tout le corps de celle qui
reçoit cette volée y participe. Parfois le corps se fait lourd,
s’écrase sur les genoux de celui qui le porte, semble vouloir s’y
intégrer, s’y fondre, disparaître. Mais à d’autres moment,
paradoxalement, la cambrure du corps s’inverse, les haches se
soulèvent comme si les fesses voulaient aller à la rencontre de la
main qui les claque. Le Père Castor n’en était plus à compter
les coups qu’il assénait. Il aurait été bien en peine d’estimer
combien de fois sa grande patte été venue s’écraser sur les
fesses de la maman de Framboise. Mais, avec le temps et l’expérience,
il avait acquis une sorte de sixième sens lui permettant d’estimer
le niveau à son avis optimum pour une fessée de qualité. Il
s’établissait ainsi une sorte de dialogue ente la main et le
derrière. Il aurait presque pu dire que celui-ci s’exprimait et
lui indiquait, à sa manière, le seuil à ne pas dépasser,
au-dessus duquel la fessée deviendrait excessive au regard de la
capacité de résistance de celle qui le recevait, mais aussi en deçà
duquel elle aurait été insuffisante, et donc décevante pour les
deux protagonistes. En effet, il en était persuadé, si une raclée
dépassait ce seuil, elle devenait maltraitance. Et il n’aurait
jamais été question pour lui de prendre ce risque, surtout avec une
néophyte qu’une telle expérience aurait pu dégoûter à tout
jamais de cette activité. Mais il était aussi persuadé qu’une
fessée par trop légère aurait été une sorte de mépris à
l’égard de celle qui la subissait. Même s’il était bien
conscient que celles et ceux qui ne pratiquent pas cette activité si
particulière n’auraient pas pu le comprendre, il estimait que
poursuivre la fessée jusqu’à cette extrême limite de la
tolérance était une forme de respect à l’égard de celle qu’il
fessait. Il savait bien que la limite entre le « trop »
et le « pas assez » est différente pour chaque femme, et
pour chaque fessée. Les circonstances, l’environnement, le passé,
les raisons de la fessée, l’état de fatigue – ou d’excitation
– de la fille, et bien d’autres critères sont autant de données
qui contribuent à faire que la même personne peut être en mesure,
un jour, de subir dans dommages – autres que pour la peau de ses
fesses – une fessée carabinée, alors qu’une raclée infiniment
plus légère lui sera insupportable un autre jour. Il est donc de la
responsabilité du fesseur d’être en mesure d’estimer si cette
limite est ou non atteinte. Certes, il serait facile de penser qu’il
lui suffit d’être à l’écoute de celle qui la reçoit. Mais il
n’en est rien. s’il suffisait que celle qui le reçoit demande
sereinement «<i> maintenant s’il te plaît tu arrête de ma
</i><i>tanner</i><i> la peau du cul, j’en ai assez</i> » <span style="font-style: normal;">
les choses seraient simples.Mais la vraie vie – en l’occurrence
la vraie fessée - n’est jamais aussi simple. Poursuivre la fessée
alors que celle qui la reçoit ne la supporte plus, c’est
évidemment inacceptable. Mais arrêter dés que la femme fessée
lance un «</span><i>arrête !</i><span style="font-style: normal;"> »
ou un « </span><i>assez </i><span style="font-style: normal;">! »
serait prendre les mots au pied de la lettre. Bien sûr, il est
politiquement correct et tout à fait compréhensible que l’on
répète à l’envi que « non, c’est non » Sauf que,
parfois, justement, un « non » ne signifie pas vraiment
« non », un « arrête » ne signifie pas
qu’lle veuille vraiment qu’il arrête. Certains fesseurs tiennent
à ce que leur victime adopte un « mot d’alerte » qui
lui, et lui seul, signifia </span><span style="font-style: normal;">que
celle qui le prononce veut vraiment que tout s’arrête. Dans ce
cas, le fesseur ne devra ni argumenter, ni demander des explications,
ni faire quelque reproche que se soit, mais en effet, cesser
immédiatement. Mais établir une telle convention n’est possible
que quand la fessée a été prévue, anticipée, décidée en
commun. Ce qui, bien sûr, n’était pas le cas avec la maman de
Framboise. Et le Père Castor ne s’était pas senti en situation de
lui proposer ce mot d’alerte. Il lui appartenait donc d’estimer
le moment opportun…</span></span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1917_794805926"></a><span style="background: transparent;">Finir ?
</span>
</h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Il
le fit en se fondant sur son intuition. Sur le ton des plaintes de sa
victime, sur la coloration de ses fesses, sur la manière dont elle
les bougeaient. Et peut-être surtout sur l’alternance de ces
moments de crispation du corps, et bien entendu tout particulièrement
de fesses, et des moments de relachemdent. Pour lui, chaque derrière
cherche, on pourrait dire à l’insu même de sa propriétaire, à
refuser la fessée. En gigotant, en se crispant, ou au contraire en
semblant d’abandonner, renoncer à lutter. Mais, le Père castor en
était persuadé, il y a toujours un moment où ce postérieur
renonce vraiment. Où la corps qui reçoit la fessée lâche du lest,
renonce à lutter. Selon l’expression du Père Castor, qui avait
commis une sorte de « mémento du fesseur » c’est le
moment où le derrière « accepte » la fessée. Demande
grâce. Rend les armes. Et c’est le moment, justement, où il faut
faire comprendre à ce popotin à la fois que l’on a bien saisi le
message, et donc arrêter la fessée. Mais, et c’est toute la
difficulté de l’exercice, il faut aussi lui faire comprendre que …
ce n’est pas à lui d’en décider. Et il faut donc poursuivre la
fessée, juste ce qu’il faut pour que celle qui la reçoit n’ait
en aucune façon le sentiment qu’elle a été à l’origine de la
décision de cesser. Non par un stupide sentiment de supériorité du
fesseur. Mais parce que la fessée n’en sera vraiment une que si
celle qui l’a reçue est persuadée qu’elle a subie la volonté
de celui qui la fesse.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Quand
la Père Castor sentit, dans sa main, dans son corps, dans son cœur,
que le moment était venu, il mit donc fin à la fessée après ce
qu’il appelait lui-même le « bouquet final » Une
avalanche de claques à toute volée, puissantes, violentes, en
rafale furieuse. A en avoir mal à la main. Une volée qui amena la
maman de Framboise à abandonner toute velléité de résistance.
Enfin, elle éclata en pleurs. En sanglots. Sans rien faire pour le
cacher. Elle était arrivée à cette acmé de la fessée où voulait
l’amener le Père Castor. </span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Celui-ci
la laissa encore quelques instants allongée au travers de ses
genoux, haletante, agitée de brefs sanglots. Il savait qu’elle
avait besoin de temps avant de revenir dans le monde « normal » </span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1975_794805926"></a><span style="background: transparent;">Chapitre
2 : … et suites.</span></h2>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1977_794805926"></a><span style="background: transparent;">Vérification</span></h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Mais
aussi, avant de laisser la maman de Framboise se relever, le Père
Castor approcha sa bouche de l’oreille de la jeune femme et
murmura, d’une voix cette fois douce et chaude :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">«<i> Je
dois … constater ...tu comprends ? »</i></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Elle
ne répondit pas à la question. Mais, tranquillement, elle écarta
légèrement les cuisses qu’elle avait resserré durant la volée
finale. Doucement, le Père Castor glissa son doigt … et constata.
Il constata l’état d’humidité de l’intimité de celle qui
venait de prendre une raclée d’anthologie. Elle ruisselait. Mais
le geste impudique et intrusif du Père Castor se limita strictement
à cette constatation. Il ne pouvait, bien sûr, nier, et encore
moins se cacher à lui-même que cette fessée lui avait, lui aussi,
échauffé les sens. La vigueur de son érection en était la preuve
… tangible. Mais il n’eut même pas à lutter pour en rester là.
Pour rien au monde il n’eut tenté d’aller plus loin, même,
sinon surtout s’il avait eu le sentiment que la jeune femme était
assez troublée pour l’accepter.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1979_794805926"></a><span style="background: transparent;">Au
coin !</span></h4>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">
Il reprit donc son ton autoritaire, sans faire le moindre commentaire
sur ce qu’il venait de découvrir, pour intimer :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;"><i>« </i><i>Maintenant
=, au coin, jeune dame, mains sur la tête ! »</i></span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Sans un mot, elle glissa hors
des genoux du vieil homme, se remit debout, mais ses jambes
flageolaient un peu, et esquissa le geste pour remonter son slip.
Immédiatement, la vois sèche et sans réplique su Père Castor
l’arrêta :</span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">«Non !
Pas question ! Elle reste là où elle est. Et elle ne retombe
pas sinon ... »</span></i></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Il n’eut pas à en dire plus.
Elle avait compris. A petits pas, entravée par sa culotte, les
jambes légèrement écartées pour qu’elle reste en place, elle se
dirigea vers le mur que le Père Castor lui avait indiqué d’un
geste. Docilement, elle mit les mains, doigts croisés, sur sa tête,
et, sans même qu’il eut besoin de le lui demander, elle se pencha
légèrement en avant pour mieux approcher son visage du mur. Le Père
Castor pouvait ainsi apprécier la couleur cramoisie des fesses si
généreusement présentées à sa vue. </span>
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1981_794805926"></a><span style="background: transparent;">Poursuivre
...</span></h4>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Pourtant, si agréable que fut
cette vision, il se retourna, bourra aussi tranquillement qu’il le
pouvait sa pipe, malgré ses mains qui tremblaient un peu, et,
toujours le dos tourné, se mit à parler :</span></div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><span style="background: transparent;">« Voilà,
ma petite, c’est fini … en tout cas pour aujourd’hui.Maintenant,
tu va déposer ta petite culotte sur la table de salon. C’est une
règle incontournable, vois-tu, après la fessée, c’est sans
culotte jusqu’au soir. Du reste, c’est mieux pour ton confort, je
t’assures. Le frottement d’un slip ne ferait que … raviver …
Puis tu vas rentrer chez toi, petite. Sans rien me dire. Surtout sans
rien me promettre. Et puis, tu reviendras, ou pas. Mais tu sais que
si tu reviens, ce sera pour … poursuivre….</span></i></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="background: transparent;">Quand le Père Castor se
retourna, la jeune dame était partie. Et la petite culotte était,
bien en évidence, sur la table basse. Il la prit délicatement entre
deux doigts et alla la glisser dans le tiroir de son bureau, celui de
sa collection. Aurait-il l’occasion d’y mettre d’autres petites
culottes de la maman de Framboise ? L’avenir le dirait. Mais
ce serait … un autre épisode des histoires du Père Castor !</span></div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-8347491688585199672018-09-24T12:05:00.001-07:002018-09-24T12:05:09.856-07:00Jeu de dé, jeu de fessées
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Jeu de dés, jeu de
fessée !</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<u>Règles du jeu :</u></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Les joueurs
préparent 5 instruments qu’ils déposent sur une table.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La chipie lance un
premier dé : il indiquera la partie du corps concernée :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
1 : les fesses</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
2 : l’arrière
des cuisses</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
3 : le devant
des cuisses</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
4:les seins</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
5 : la
« pussy »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
6 : la paume
des mains.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La chipie lance un
second dé : il indiquera l’instrument, par exemple :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
1 : main nues</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
2 : cravache</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
3 : martinet</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
4 : ceinture</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
5:brosse à cheveux</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
6 : règle en
bois.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La chipie lance
alors les deux dés ensemble : la somme des deux indiquera le
nombre de coups.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<u>Variantes :</u></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
1) La chipie lance 6 fois les dés.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
2) La chipie continue à lancer les dés tant que :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
a) Tous les instruments n’ont pas été utilisés (mais le même
peut être utilisé plusieurs fois)</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
b) Toutes les parties du corps n’ont pas été concernées (idem)</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-65218046883696527682018-09-24T11:47:00.002-07:002018-09-24T11:47:41.730-07:00Une journée à Paris Une femme de province passe une curieuse journée à Paris ...<br />
Un texte inspiré par le témoignage d'I.<br />
<br />
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><b>Une
journée particulière à Paris</b></span></span></div>
<div align="center" class="western">
<br />
<br />
</div>
<div dir="ltr" id="Table des matières1">
<div dir="ltr" id="Table des matières1_Head">
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b>Table
des matières</b></span></span></div>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc582_793075774">Station les Halles 3</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc584_793075774">Début
de journée 3</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc586_793075774">Visions 3</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc588_793075774">Un
voyeur 4</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc590_793075774">Rue Rambuteau 4</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc592_793075774">Provocation 4</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc594_793075774">Paix
des ménages. 5</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc600_793075774">Pipi 6</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc602_793075774">Un
numéro 6</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc604_793075774">Écarte ! 7</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc606_793075774">Dialogue 7</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc608_793075774">Un
ordre 7</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc610_793075774">Soliloque 8</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc612_793075774">Retire le ! 9</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc614_793075774">Exhibition 9</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc616_793075774">Acceptation 9</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc618_793075774">Là ! 10</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc620_793075774">Advienne
que pourra ! 10</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc622_793075774">Encore
pipi ! 11</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1709_793075774">Dialogue 12</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1711_793075774">Le
bon choix 12</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1713_793075774">Prouvez-le ! 12</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1715_793075774">Pourquoi ? 13</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1719_793075774">Votre
Père Fouettard 14</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1721_793075774">A
midi 14</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1723_793075774">Découvertes 15</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1725_793075774">Un
lieu 15</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1727_793075774">Des
produits 15</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1729_793075774">Des
questions 16</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1731_793075774">Fuir ! 17</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1733_793075774">Monsieur ! 17</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1685_1544937126">Conséquences
inévitables 17</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1687_1544937126">Pipi
une nouvelle fois ! 18</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1689_1544937126">Annonce. 18</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1691_1544937126">En
tenue ! 19</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1715_1544937126">Retournée 19</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1717_1544937126">Troussée 20</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1719_1544937126">Culotte baissée 20</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1693_1544937126">Action ! 21</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc3203_1544937126">En
position ! 21</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc3205_1544937126">Progression
mathématique 21</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc3207_1544937126">Fessées
plurielles 22</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc3209_1544937126">Pleurs 22</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc3211_1544937126">Coin 23</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc3213_1544937126">Reprise 24</a></div>
</div>
<div align="center" class="western">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" class="western">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" class="western" style="page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h2 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc582_793075774"></a>
Station les Halles</h2>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc584_793075774"></a>
Début de journée</h3>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle
sort du métro à la station Les Halles. Un peu perdue dans la foule,
cherche le chemin de la sortie vers le forum des Halles. Il est à
peine dix heures, et elle a une longue journée devant elle, seule.
Son Monsieur ne sera là que demain, et elle est partagée entre la
tristesse d’être seule et la colère envers lui.Provocatrice comme
elle l’est souvent, elle l’a menacé de « faire des
bêtises » durant cette journée seule dans la capitale. En
sachant très bien que, demain, il ne manquera pas de l’interroger
et de « <i>lui faire tirer les conséquences de son
comportement </i>» selon son expression. Qu’elle a traduit
immédiatement en « <i>lui flanquer une méga fessée pour lui
apprendre à être sage même quand elle est seule </i>» De
toutes manières, elle sait que, même si elle était en effet sage
comme une image, le seul fait de l’avoir menacé, d’avoir
envisagé l’hypothèse de « bêtises » lui vaudrait
quand même une raclée carabinée. En ce domaine, son Monsieur n’est
jamais à court d’idée et de motifs pour la fesser. Mais recevoir
une fessée pour un « vrai » motif est, à ses yeux –
ou plutôt à ses fesses comme dirait Monsieur – une sensation
différente de la fessée reçue pour le seul plaisir de celui qui
l’applique. Aussi, elle ne se fait aucune illusion, quoi qu’elle
fasse durant cette journée, elle passera, demain, un long moment sur
les genoux de son Monsieur. Et la seule perspective des reproches
qu’il lui adressera pour justifier de la volée de claques que
prendra son derrière suffit à faire naître, au creux de son
ventre, cette crispation qu’elle connaît bien. A la fois la peur
-réelle- parce que son Monsieur ne fait jamais semblant et que ces
fessées lui mettent les fesses en feu, et excitation qui se traduit
immanquablement par cette humidité qui suinte du plus secret
d’elle-même.</div>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc586_793075774"></a>
Visions</h3>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle s’engage dans le grand escalier mécanique qui monte vers le
soleil. Quand elle lève le regard, elle découvre les jambes des
voyageurs qui la précèdent. Et elle constate avec un sourire
qu’elle a une vue assez coquine sur les jambes d’une fille court
vêtue qui se tient à quelques marches d’elle. Bien que la vue
soit gênée par les jambes d’autres voyageurs, elle peut voir les
jambes fuselées, les mollets ronds, mais aussi l’arrière de
cuisses musculeuses. Et immédiatement, elle se pose la question :
cette fille aux longues jambes, que porte-t-elle sous sa robe qui
virevolte au gré du courant d’air qui saisit les passagers quand
l’escalier débouche sur l’esplanade battue par le vent du
matin ? Bien entendu, la robe ne s’envole pas suffisamment
pour qu’elle puisse le savoir, mais l’image de Marylin sur sa
bouche de métro s’impose à son esprit et la fait sourire. En même
temps, elle a a alors bien conscience qu’avec sa jupe courte, elle
offre elle aussi généreusement la vue sur jambes à celles et ceux
qui sont derrière elle. En tournant la tête vers l’arrière, elle
croise furtivement le regard d’un homme en costume, la tête levée
et un sourire carnassier sur les lèvres. Un frisson de plaisir
pervers lui parcourt les reins. Oh, bien sûr, rien n’indique que
le regard de ce quidam ait été se perdre sur ses jambes, et son
sourire a peut-être de toutes autres raisons. Mais elle est bien
certaine pourtant que ses yeux pétillaient. Alors, subitement, elle
décide de jouer.</div>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le
monsieur veut voir, eh bien donnons lui à voir ! Et elle se
penche comme pour mieux fouiller dans son grand sac de toile. Elle
sait qu’ainsi sa jupe va se relever un peu, découvrant plus
largement l’arrière de ses cuisses sans que, pour autant,
quiconque puisse s’insurger de ce mouvement en avant bien innocent.
Quand elle se redresse, à quelques mètres du haut de l’escalier,
elle ne peut résister à l’envie de se retourner une nouvelle fois
et, de nouveau, croise le regard de l’inconnu. Cette fois, elle en
est sûre, il avait bel et bien les yeux dardés sur elle.
</div>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc588_793075774"></a>
Un voyeur</h3>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle
sort sur la place inondée de soleil et cligne un peu des yeux dans
la lumière crue qui contraste avec l’ambiance grisâtre de la
station de métro. Pour trouver son chemin, elle sort son téléphone
portable, mais le reflet l’empêche de voir l’icône de « google
map » dont elle a besoin. Elle se dirige alors vers un muret à
l’ombre et s’y assoit. Une fois qu’elle s’est connectée sur
le site recherché, elle indique sa destination : «rue Pierre
Lescot ». Avant qu’elle parte pour Paris, son Monsieur lui a
dit qu’un jour il lui donnerait rendez-vous dans un bistro de cette
rue. Il avait ajouté en riant : «<i> Je n’aurai pas
besoin de t’indiquer l’établissement, je suis sûr qu’une fois
dans la rue tu le trouveras toute seule ». </i>Ce qui lui a
donné l’envie de découvrir ce lieu et d’éventer ainsi la
surprise qu’il semble vouloir lui concocter. . Et puisque Monsieur
n’est pas disponible aujourd’hui, et bien tant pis lui, elle ira
musarder seule dans cette rue où, semble-t-il, il a ses habitudes.
Avant de se relever, elle lève machinalement les yeux. A quelques
mètres d’elle, l’homme de l’escalier s’est, lui aussi, assis
sur un banc et semble consulter fébrilement son téléphone
portable. Mais elle remarque qu’il tient celui-ci à hauteur de son
visage. Pas de doute, l’homme n’est pas entrain de consulter un
site, il est bel et bien entrain d’utiliser la fonction appareil
photo ! En un clin d’œil sa décision est prise. Si ce
monsieur veut jouer les voyeurs et en garder des souvenirs, ne le
décevons pas. Tranquillement, elle fait mine de continuer à lire
l’écran mais, en même temps, elle croise les jambes, découvrant
ainsi de nouveau ses cuisses. Puis, les yeux toujours baissés vers
l’écran, elle décroise les jambes et, comme par inadvertance, les
écarte largement. Si l’homme cherche à découvrir sa petite
culotte, il ne devrait pas être déçu ! Et comme il serait
dommage qu’il découvre le recto sans faire de même pour le verso,
elle fait mine de laisser malencontreusement tomber son téléphone
derrière le muret. Pour le récupérer, il lui faut se pencher par
dessus . Elle sent presque physiquement le regard de l’inconnu se
fixer sur le haut de ses cuisses et sur les fesses moulées dans la
petite culotte jaune paille. Une fois le téléphone récupéré,
elle suit le chemin indiqué par la carte, sans se retourner.</div>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h2 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc590_793075774"></a>
Rue Rambuteau</h2>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc592_793075774"></a>
Provocation</h3>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle
s’est donnée à elle-même un défi : elle ne se retournera
pas avant d’être arrivée rue Rambuteau. Ce n’est qu’alors
qu’elle cherchera à voir si l’inconnu à laisser tomber
l’affaire ou s’il l’a suivie. Elle respecte l’engagement pris
envers elle-même, et quand elle tourne dans la rue Rambuteau, elle
pratique comme elle l’a vu si souvent dans des films policiers.
Elle traverse brusquement la rue, provoquant un coup de klaxon
furieux d’un automobiliste qui l’interpelle d’un « <i>tu
vois pas clair, pétasse !</i> » bien parisien auquel elle
répond par un doigt haut levé, certes peu délicat mais pour le
moins expressif. Et arrivé sur l’autre trottoir, elle constate
avec un petit sentiment de victoire que l’inconnu l’a bien
suivie. Elle ne croise pas son regard, mais, mutine, elle tourne sur
elle-même, sachant très bien qu’ainsi sa jupe vole autours de ses
reins et permet ainsi au quidam de découvrir une nouvelle fois ses
jambes. Puis elle repart d’un pas léger, un sourire aux lèvres,
et s’amusant à dévisager les hommes qu’elle croise. Plusieurs
d’entre eux, répondent à son sourire et se retournent après
l’avoir croisée Il est vrai qu’il faudrait être ou mal voyant
ou fort indifférent à la beauté féminine pour ne pas remarquer ce
regard fier, ce décolleté largement ouvert, et surtout ces tétons
qui pointent insolemment sous le chemisier. Par contre, elle ne peut
pas ne pas remarquer les regards courroucés de femmes croisées et
qui, sûrement inconsciemment, ont flairé en elle une concurrente.
</div>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle
n’a plus besoin de se retourner, elle est sûre que l’inconnu de
la station des Halles continue à la suivre. Et ce petit jeu fait
naître une délicieuse tension en elle. Elle sent les pointes de ses
seins durcir, et donc devenir encore plus visibles. Et un délicieux
picotement au creux de ses reins et dans sa chatte.</div>
<div align="justify" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc594_793075774"></a>
Paix des ménages.</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ce n’est pas la
première fois qu’elle joue ainsi, seule, à planter son regard
pétillant dans les yeux des mâles qu’elle croise. Avec ce
sentiment de victoire quand elle constate que leurs regards se font
subitement plus brillants, et la déshabillent sans vergogne. Presque
à chaque fois, elle sait, sans même avoir besoin de se retourner
pour le vérifier, que les hommes qu’elle vient de croiser vont se
retourner pour la découvrir de dos. Ou plus explicitement pour mieux
mater son cul. Il lui sufffit alors d’accentuer un peu son
balancement des reins pour le faire danser et attirer les yeux aussi
sûrement qu’un pot de miel attire les mouches. Perversement, elle
se réjouit plus encore quand l’homme qu’elle croise est
accompagné d’une femme. Par une sorte d’instinct ancestral,
celles-ci ne sont pas dupes. Quels que soient les efforts des mecs
pour faire comme si de rien n’était, leurs compagnes ressentent
presque physiquement l’attrait de la concurrente. Elle est
persuadée que ces femmes ne vont pas manquer de tancer leurs
compagnons pour ces regards défendus. Il y aura de l’orage dans
l’air dans les ménages, et elle s’en réjouit perversement. En
imaginant l’homme qui nie l’évidence, qui affirme contre toute
évidence « ne même pas avoir remarqué » accentuant
encore la colère et la jalousie de sa compagne. Dans le meilleur des
cas le monsieur passera la nuit suivant « à l’hôtel du cul
tourné », voire sur le canapé. A moins que l’épouse ait
instauré d’autres moyens de rétorsion pour punir les infidélités,
même seulement virtuelles, de leurs époux. Peut-être – et l’idée
fait vibrer quelque chose au creux de son sexe – certains de ces
messieurs aux yeux trop mobiles passeront-ils sur les genoux de leurs
épouses pour une fessée sensée leur faire passer l’envie de
liasser leurs yeux traîner ? A moins qu’à l’inverse, les
habitudes familiales amènent l’époux à ne pas accepter les
reproches de madame, et que se soit elle qui passe sur les genoux de
son mari. En tout état de cause, l’idée qu’elle puisse ainsi
provoquer ce qu’elle subit de son plein gré la réjouit.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc596_793075774"></a>
Rue Pierre Lescot</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc598_793075774"></a>
L’enseigne</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Quand elle arrive
rue Pierre Lescot, elle constate que la rue est presque une place,
bordée de restaurants. L’envie de faire pipi, et la soif, la
décident à se précipiter vers la première terrasse qui s’offre
à elle. Mais ce n’est qu’une fois assise qu’elle se souvient
de la remarque de son Monsieur. En commandant son verre de vin blanc
elle remarque à peine le nom du bistro : « Le père
tranquille » Elle a juste un sourire en se disant que son
Monsieur ne serait sûrement pas si tranquille s’il la voyait ainsi
siroter un verre de vin en plein après-midi. Mais alors qu’elle se
lève pour aller aux toilettes elle éclate de rire en découvrant
l’enseigne de l’établissement de l’autre côté de la rue :
« Le Père fouettard » En effet, elle aurait deviné sans
peine elle-même dans quel café il lui aurait donné rendez-vous.
Elle reconnaît bien là l’humour caustique de son Monsieur. Bien
sûr, cela la fait rire, mais elle sait aussi que le choix d’un tel
nom constitue à ses yeux – à lui – et donc pour ses fesses –
à elle – une sorte de message subliminal. Certes, au débuts de
leurs échanges, il s’était présenté comme un passionné de la
fessée, du « panpan cucu » familial, en l’occurrence
familial et conjugal. Mais, dés leur première rencontre, il ne
s’était pas contenté de sa main pour fustiger ses fesses. Et elle
avait subit à la fois le cinglant martinet et l’impact mordant de
la brosse à cheveux maniée avec force et vigueur par son Monsieur.
Celui-ci n’était donc pas seulement adepte de la fessée manuelle,
celle qui fait rougir si facilement les fesses. Il aimait aussi,
peut-être son côté professoral, aire découvrir à ses victimes
consentantes d’autres ressentis. Certes, en passionné des fesses
féminines, c’es sur cette partie de son individus qu’il avait
concentré l’essentiel des mauvais traitements qu’il lui avait
fait subir. Mais il n’avait pas tardé à ouvrir la mallette das
laquelle était rangés les autres instruments qu’il avait utilisé
sur son derrière et sur ses cuisses, lui faisant découvrir combien
la peau de celles-ci était plus fragile quand elle recevait les
lanières mordantes ou le dos brutal de la brosse. Si elle avait plus
ou moins deviné à l’avance qu’il ne viendrait pas les mains
vides, elle avait cependant frémît en découvrant dans cette
fameuse mallette un bandeau noir pour les yeux et surtout des pinces
à linge. Ce n’avait donc été, même s’il affectait de la
prendre pour une novice, seulement une séance claquante pour son
postérieur, mais bel et bien une entrée sans préavis dans un monde
plus explicitement masochiste, puisque les dites pinces n’avaient
pas tardé à mordre sévèrement ses tétons. Elle ne se fait donc
aucune illusion, lors de leurs rochaines rencontres, son Monsieur
aura à cœur de lui faire découvrir d’autres sensations, et donc
d’autres instruments. La seule évocation du fouet à travers
l’enseigne de l’établissement d’en face la fait frisonner. Les
images d’une femme nue, les yeux bandés, installée dans la
position que son Monsieur lui a indiqué par une photo, à genoux,
les cuisses écartées, les mains sur la tête, attendant avec
terreur d’être flagellée s’imposent à elle. Pourtant le nom
inquiétant de l’établissement l’attire comme un aimant.
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc600_793075774"></a>
Pipi</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle laisse quelques
pièces de monnaie sur la table et, immédiatement, elle traverse la
place pour s’installer sur l’autre terrasse. Le pare soleil qui
protège celle-ci est sans ambiguïté. Divers instruments
contondants y sont représentés, ne laissant aucun doute sur le sens
du nom de l’établissement. Bien sûr, il s’agit aussi
d’instruments culinaires, une cuillère en bois, une sorte de
palette, mais il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que
ceux-ci ne demandent qu’à être détournés de leur utilisation
initiale, et que le fouet n’est pas seulement l’ustensile
nécessaire à faire monter les œufs en neige. Le garçon de café
qui vient prendre sa commande doit la prendre pour une demi folle
quand elle a de la peine à réprimer son fou rire pour demander un
autre verre de blanc en se disant in-petto que son Monsieur aurait
ainsi une deuxième raison d’être fâché. Elle n’attend pas que
le verre lui soit apporté pour aller aux toilettes. Quand elle est
assise sur la cuvette, elle soupire du bonheur de se soulager enfin,
tout en pensant à ce jeu pervers que lui impose son Monsieur quand
il exige d’elle qu’elle fasse son pipi alors qu’il la regarde
avec son sourire satisfait. Autre marque de la perversité de son
Monsieur qui la ramène ainsi au statu de petite fille, de gamine, de
pisseuse. Épreuve finalement peut-être plus difficile pour elle que
la fessée et les autres tourments physiques qu’elle avait eu à
subir. Toujours pédagogue, son Monsieur lui avait pourtant expliqué
qu’à ses yeux, il ne s’agissait nullement de l’humilier ou de
la rabaisser, mais seulement de lui faire respecter une règle, aussi
inconvenante soit elle. Du reste, l’interdiction édictée par son
Monsieur de faire pipi dans les deux heures qui précédaient leur
rencontre n’avait pas d’autre objectif.
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc602_793075774"></a>
Un numéro</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Quand elle rejoint
sa table, elle découvre, à côté du verre et de la soucoupe de la
note, un carton comme ceux que les serveurs mettent sous les verres
de bière, avec, inscrit au stylo bille, un numéro de téléphone.
Comment ce carton est-il arrivé là ? Est-ce le serveur qui l’a
déposé ? Elle pense un instant le lui demander, mais elle
n’ose pas. Elle tient le morceau de carton dans sa main, le tourne
et le retourne. Que signifie ce numéro griffonné ?Elle lève
les yeux, scrute la terrasse, la rue, mais elle ne voit personne qui
la regarde. En tout cas, son inconnu a disparu. La découverte du
bistro<span style="color: red;"> </span>au nom si particulier lui a fait
oublier de s’enquérir de sa présence. Nerveusement, elle lève
les épaules et se morigène elle-même. Est-elle bête ! Après
tout elle se fait sûrement un film, le carton était peut-être sur
la table avant son arrivée, seulement elle ne l’avait pas
remarqué. C’est tout simplement un consommateur qui a ainsi noté
à la hâte un numéro. Tant pis pour lui – ou pour elle- si il a
été oublié, cela ne la concerne pas. Mais non, elle en est sûre,
la table était vide quand elle s’y est assise. Elle ne peut
s’empêcher de lire et de relire cette série de chiffres qui lui
semble la narguer.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc604_793075774"></a>Écarte !</h2>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc606_793075774"></a>
Dialogue</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Alors, brusquement,
comme on se jette à l’eau, Isa sai<span style="color: red;">si</span>
son propre téléphone, compose le numéro inscrit sur le carton et
envoit un SMS :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
?</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Nerveusement, elle
finit son verre et s’apprête à partir, comme si elle devait
s’enfuir. Mais au moment où elle va se lever, le tintement du
téléphone annonce l’arrivée d’un message :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Lucida Console, monospace;"><span lang="fr-FR"> Tu
as f</span></span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span lang="fr-FR">a</span></span><span style="font-family: Lucida Console, monospace;"><span lang="fr-FR">it
le bon choix !</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Un choix ? Quel
choix ? Qui lui répond ainsi sans même ni se présenter ni lui
demander qui est elle est ? Et que répondre d’autre qu’un
nouveau :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
??</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;">Presque
aussitôt le même tintement et elle découvre cette fois une photo.
La sienne ! Ou plus exactement celle de ses jambes. Aucun doute,
elle a été prise tout à l’heure, à la sortie de la station de
métro. </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">Elle</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">
sent le rouge lui monter au front. Ce qu’elle avait soupçonné est
donc vrai. L’inconnu dont elle avait croisé le regard jouait bien
les voyeurs. Heureusement, on ne voit pas son visage. Et bien que les
jambes soient plus écartées que la décence le voudrait, on ne
distingue, finalement, que des genoux et une jupette un peu courte.
</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">Elle</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">
hésite. Que faire ? Il n’y a rien à répondre. Un inconnu,
pervers, s’est amusé à la prendre en photo puis à la suivre.
Sans qu’elle comprenne comment il s’y est pris, il est parvenu à
lui indiquer son numéro de téléphone. Et elle, bécasse, en lui
envoyant son « ? » elle lui a communiqué le sien. Elle
fr</span><span style="color: red;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">is</span></span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">onne.
Elle a donné, et malgré la vraie peur qui la saisit l’expression
qui lui vient à l’esprit la fait sourire « des verges pour
se faire battre » Que va faire cet inconnu, ce pervers ?
Va-t-il la harceler?A-t-il les moyens de découvrir à qui appartient
ce numéro ? </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">Elle</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">
se rend bien compte qu’elle a été inconséquente et imprudente.
Et, immédiatement, l’idée lui vient que si son Monsieur le
savait, ses fesses en paieraient sans nul doute le prix. </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">Une
telle inconséquence lui vaudrait à coup sûr – c’est le mot qui
convient – une fessée magistrale. Une fessée « XXL »
comme le dit son Monsieur. Sans nul doute le martinet et peut-être
la brosse à cheveux seraient de sortie. Et elle n’en serait pas
quitte sans un long et humiliant séjour au coin, les fesses rouges
exposées au regard </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">narquois</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">
de Monsieur. </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">Mais elle
hausse les épaules, son Monsieur n’en saura rien ! Après
tout tant pis pour lui. Il n’avait qu’à pas la laisser seule, à</span><span style="color: red;">
</span><span style="color: black;">la </span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">merci</span></span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">
du premier monsieur qui passe ! </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">Son
Monsieur à elle n’avait qu’à respecter son devoir : être
avec elle. Après tout, comme le disent les </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">enfants</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">
« qui va à la chasse perd sa place » C’est aussi sa
faute si elle est tombée sur un autre chasseur, qui, lui, est bien
présent, même s’il reste invisible. </span>
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc608_793075774"></a>
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;">U</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">n
ordre</span></h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle en est là de
ses réflexions quand un nouveau message s’annonce. Une phrase
courte mais explicite. Ni une question, ni une constatation mais bel
et bien un ordre :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">Écarte
plu</span><span style="font-family: Arial, sans-serif;">s</span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"> !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;">Qui,
bien sûr, la déconcerte pour le moins ! Comment réagir à un
tel culot ? Curieusement, ce n’est qu’après quelques
secondes qu’elle comprend que cet ordre suppose que celui qui lui
adresse est en mesure de la voir. Pourtant, elle a beau </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">surveiller</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">
les alentours, les terrasses des autres restaurants, les passants sur
la place, aucune trace de son voyeur de tout à l’heure. Peut-être
bluffe-t-il ? La meilleure réponse ne serait-elle pas … de
couper court, de se lever et de partir. Il serait alors bien temps de
voir si le quidam ressurgissait et, éventuellement, de lui </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">dire
</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">sa façon de penser. </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">A
condition … d’être sûre de ce qu’elle pense ! Oui, elle
est offusquée qu’un inconnu, que seul le hasard a mis sur son
chemin, se permette de lui « parler » sur ce ton. Mais en
m</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">ê</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">me
temps, c’est justement ce ton qui la trouble. Cet ordre bref,
implacable, sûr de lui. C’est bien ce qui la fait frémir, mais
aussi craquer quand son Monsieur l’emploi à son égard.
D’ailleurs, les mots même du message, cet « écarte plus ! »
ce sont exactement les mots qu’utilise son Monsieur quand il a
décidé qu’elle devait abandonner toute réserve, toute pudeur, et
s’exhiber </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">i</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">mpudiquement
devant lui. «</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><i> Montre
tes seins !, Présente ton cul ! Écarte, mieux que cela !
Ouvre bien ton cul ! Montre moi ton petit trou !</i></span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"> »
Ces ordres irrévérencieux, presque grossiers ; ces mots si
déplacés dans la bouche de ce monsieur bien élevé ; ces
termes qui devraient la choquer, l’outrager, l’amener à rompre
toute relation avec un personnage capable d’un tel vocabulaire ;
ce sont justement eux qui la font fondre, se ratatiner, et obéir.
Elle, si fière, si chatouilleuse sur le respect auquel elle estime –
à juste titre – avoir droit, non seulement elle les accepte, mais
même elle les reçoit comme une forme pour le moins contradictoire
peut-être, d’hommage. Et voilà qu’un inconnu qu’elle a à
peine entrevu, et qui ne l’a croisée que de loin finalement, qui
ne sait rien d’elle comme elle ne sait rien de lui, utilise, fusse
par messagerie interposée, le même langage, les mêmes mots, le
même ton sans réplique. Alors, même si elle sait bien que la seule
chose raisonnable à faire serait de rompre cet échange sulfureux ;
</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"> son côté incapable de
renoncer à un « chiche » et surtout sa curiosité et sa
tendance à la provocation l’en dissuad</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">ent</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">.
Nerveusement, elle vide son verre d’un trait, puis tape, </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">sans
vraiment réfléchir, presque instinctivement, </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">
une réponse qui n’en est pas vraiment une :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">Pourquoi ?</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La réponse arrive
dans les secondes qui suivent :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">Pour
que je puisse voir ta culotte</span>.</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc610_793075774"></a>
Soliloque
</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ben oui ! A
quelle réponse pouvait elle s’attendre ? Un homme,
visiblement voyeur et passablement coquin, lui demande – ou plus
exactement lui ordonne – d’écarter les jambes alors qu’elle
porte une jupe qui découvre déjà largement ses cuisses, et elle,
comme une enfant de Marie demande ingénument « pourquoi ? »
S’attendait-elle à ce qu’il s’inquiète de la température
ambiante ? Un vieux – enfin pas si vieux, pas aussi vieux que
son Monsieur – lui intime l’ordre d’écarter les cuisses, après
qu’il se soit déjà régalé en les photographiant, et elle
s’étonnerait qu’il veuille mieux voir sa culotte ? Depuis
des siècles peut-être, les garçons rêvent de voir sous les jupes
des filles, et cette envie irrépressible perdure chez beaucoup
d’hommes, peut-elle s’en étonner ? Ben oui, il te demande
de montrer ta chatte, et alors ? Ne fait pas l’étonnée ni la
mijaurée. Tu as fait le choix de l’appeler, tu as accepté
d’entrer dans ce dialogue à distance. Tout à l’heure, c’est
tout à fait consciemment que tu lui a permis de découvrir ce qu’il
a photographié. Et maintenant tu t’étonnerais qu’il veuille
voir plus et plus haut ? Tu te gendarmerais qu’il te parle
comme à une fille des rues, voire comme à une pute ? Il faut
savoir ce que tu veux ma vieille ! Arrête de jouer l’innocente.
Tu sais bien à quoi tu t’engages quand tu entres dans ce genre de
dialogues. L’expérience avec ton Monsieur aura au moins eu cette
vertu. Là aussi, cela avait commencé pour toi comme un jeu sans
conséquences, comme une plaisanterie. Un correspondant, que tu ne
connaissais que par son pseudo sur un site de cul, t’avait fait
part de sa passion pour le « panpan cucu » Là aussi, tu
aurais pu ne pas répondre, et le laisser à ses fantasmes. Mais tu
as mis le doigt dans l’engrenage. De provocations – de ta part –
en menaces de fessées – de la sienne – tu t’es retrouvée un
jour sur un banal parking d’hôtel, tremblante, affolée, à
attendre qu’un inconnu vienne garer sa voiture prés de la tienne
et t’emmène dans une chambre anonyme pour te demander tout à trac
« <i>Tu sais pourquoi tu es là ?</i> » Et malgré
ta peur, malgré ta fierté, malgré tes réserves, malgré tes grand
principes, tu as bel et bien répondu ce qu’il attendait de toi :
« <i>Pour recevoir une fessée, Monsieur ». </i><span style="font-style: normal;">Dés
lors, tu ne pouvais plus t’offusquer qu’il passe à l’acte et
qu’il t’allonge au travers de ses genoux pour te coller une
raclée en bonne et due forme. Du reste, tu sais bien que tu avais
déjà accepté par le seul fait de ta présence. Et plus encore
quand tu avais respecté, à la lettre, sa consigne de ne pas faire
pipi dans les deux heures qui précédaient votre rencontre. Il
n’était plus temps de jouer les vertus outragées quand il t’a
ordonné de faire pipi sans fermer la porte, sous son regard
goguenard. Alors, cesse de te cacher les yeux. Tu en es au même
point aujourd’hui. Tu peux couper ton téléphone, abandonner ce
pervers inconnu à ses délires. Mais si tu réponds, si tu continues
le dialogue, tu sais où cela peut te mener. Et tu sais que, quand
ton Monsieur le saura, la volée que tu prendra n’aura plus rien à
voir avec les fameux « panpan cucu » de votre début de
dialogue. Tu sais fort bien que tu recevra une volée à faire pipi
par terre. </span><span style="font-style: normal;">A te faire danser
sur place, à te faire sautiller, à t’arracher la peau du cul. </span><span style="font-style: normal;">Tu
sais qu’il ta claquera les fesses avec toute sa galerie
d’instruments et que ni tes cris ni tes larmes ne le feront
renoncer. </span><span style="font-style: normal;"><br />
Elle</span><span style="font-style: normal;">
en est pleinement consciente, il est encore temps de renoncer, de
reculer, de redevenir une jeune dame, un peu aventurière, mais
raisonnable. Mais a-t-elle envie d’être raisonnable ? </span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">A</span><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">vant
qu’elle n’</span><span style="color: red;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;">ai</span></span>
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;">pu réagir, un autre message
arrive, qui la cloue sur place :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">Et
arrête de boire ! Cul sec, mais slip mouillé, non ?</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Suivi d’un
« smiley » rigolard.</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc612_793075774"></a>Retire
le !</h2>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc614_793075774"></a>
Exhibition</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;">C</span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">ette
fois, il n’y a plus de doute, celui qui </span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">envoi</span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">
ces message l’a bel et bien vu vider son verre. Et si la
délicatesse n’est visiblement pas son fort, il n’en a pas moins
le sens de la formule. Et un sacré culot. Mais, en même temps, elle
doit bien convenir qu’il n’a pas tort. L’ordre bref, impératif,
et l’idée qu’un inconnu est entrain de la mater et veut en voir
plus a bel et bien fait naître cette crispation qui annonce la
rosée. </span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">Ou,
pour parler plus cru, et bien oui, elle mouille sa culotte. </span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">.
Alors, elle bascule dans le jeu. Cet inconnu la met au défi ?
Il va voir ! Il veut voir son slip ? Eh ben on satisfaire
les envie de monsieur ! Et, tout en gardant les yeux rivés sur
l’écran du téléphone, elle pose les pieds sur la chaise en face
de la sienne, comme si elle avait besoin de repos</span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">er</span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">
ses jambes, et, obéissant à l’injonction de </span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">l’</span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">inconnu,
elle lève la jambe droite pour la poser sur le haut du dossier.
</span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">Ainsi,
les jambes bien séparées l’une de l’autre, la jupe remontée
très haut sur ses cuisses, elle en est sûre, celui ou celle qui
regardera dans sa direction pourra sans le moindre doute découvrir
la petite culotte jaune paille qu’elle a enfilée ce matin. </span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">Elle
jette un coup d’œil circulaire par dessus le téléphone. Personne
ne semble avoir remarqué son manège. Même le serveur qui continue
à aller et venir entre les tables n’a pas réag</span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">i</span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">,
trop occupé à sa tâche. Pourtant, celui qu’elle appelle in
petto « son voyeur », lui, a bien </span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">dû</span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">
voir puisqu’un nouveau message s’inscrit sur l’écran :</span></span></span></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">C’est
bien … Maintenant tu vas le retirer.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ben voyons ! Il
n’y a qu’à demander ! Il ne doute de rien, celui-là !
Il a envie de voir ton slip, tu le lui montres. Pourquoi n’irait-il
pas plus loin ? Il a vu ta culotte, il a vérifié que tu avais
une, il veut en voir plus, il te veut la chatte à l’air. Comment
pourrais tu faire semblant de t’en étonner ? Aux yeux d’un
mec, et qui plus est d’un vicieux, une culotte, n’est ce pas fait
juste pour être enlevée ? N’est-ce pas aussi ce que veut
régulièrement ton Monsieur quand vous sortez, toi les fesses
nues sous ta jupe, avec la peur au ventre qu’un courant d’air
mutin fasse voler ton cotillon ?</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le dialogue
intérieur entre la sage et la folle, la raisonnable et la
dévergondée se poursuit. Mais, en fait, elle sait déjà, sans se
l’avouer clairement, qu’elle va aussi céder à cette injonction.
Le vin est tiré, il faut le boire ! Elle a accepté de
s’exhiber – il faut appeler les choses par leur nom – il va an
vouloir plus, c’est inévitable. Alors, elle renonce à finasser, à
négocier, à retarder l’échéance. Elle est au milieu du gué,
elle va continuer.
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc616_793075774"></a>
Acceptation</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Pour se donner du
courage, et aussi pour prendre un peu son temps – et donc pour le
faire mariner un peu ! - elle repose les jambes par terre, sous
la table, et appelle le garçon pour commander un nouveau verre.
Puis, les mains quand même un peu tremblantes, elle signe son son
acceptation :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">Oui,
monsieur, j’y vais.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Spontanément, le
terme de « Monsieur », celui-là même qu’elle utilise
pour « son » Monsieur, lui est venu sous les doigts.
Terme de respect, terme qui la met « à sa place » Comme
« son » Monsieur, celui-ci s’adresse à elle en la
tutoyant, mais elle utilise le vous pour d’adresser à lui. « Son »
Monsieur n’est pas là, un autre se présente. Entrer dans son jeu,
c’est, elle le sait pertinemment, apporter sur un plateau un motif
de fessée hors norme à son Monsieur. Pas une seconde elle
n’envisage de le lui cacher, quoi qu’il arrive. Au contraire,
c’est même peut-être parce qu’elle sait qu’elle confessera
tout, sans rien nier ni travestir, à son Monsieur, qu’elle
s’engage dans ce chemin dangereux. Bordé de ronces, dirait-on. Ou
même d’orties, puisqu’elle sait que l’idée d’un jour lui
faire connaître la brûlure si caractéristique de cette plante
trotte dans la tête de son Monsieur.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Oui, bien sûr, elle
va « y aller » Oui, bien sûr, elle va retirer sa
culotte. Elle n’a pas le choix. L’ordre est explicite. Il doit
être suivi d’effet. Elle va obéir. Elle va se plier à cette
injonction. Elle sera cul nu sous sa jupe, exposée. Du reste, dans
l’état d’humidité où est déjà son slip, c’est presque une
mesure d’hygiène. Car elle mouilles, oui, énormément. Elle sent
son sexe qui palpite, qui ruisselle. Oh, cette sensation de source
vive au creux de sa chatte ! Ce suintement, ces perles qui
naissent et coulent doucement. Cette sensation délicieuse de sentir
cette mouille inonder son sexe. Cette peur de la voir couler sur le
haut de ses cuisses. Oh ces mots qu’elle entend déjà : «<i> tu
as mouillé, coquine ! Tu n’as donc aucune retenue ! Tu
sais ce qu’on fait aux sales gamines qui mouillent ainsi ?
</i><i>Regarde, ta chatte est toute moite, petite salope !</i><i>»
</i>Oh ces mots qu’elle ne supporterait dans aucune autre
circonstance, et qui, là, la font littéralement fondre d’envie.
D’envie que ses doigts s’enfonce dans cette motte de beurre
tendre. L’envie que sa langue vienne boire à cette source vive.
Que son visage se colle à cette moiteur, s’imprègne de cette
liqueur. Les mots, les images, valsent dans sa tête. Elle plnge dans
ce monde parallèle. Ce monde où une femme retire son slip
simplement parce qu’un Monsieur le lui a ordonné.
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc618_793075774"></a>
Là !</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle attend que le
serveur lui amène son verre, le troisième qu’elle va boire en
quelques minutes, pour se lever et passer une nouvelle fois aux
toilettes pour répondre à l’injonction de son inconnu. Elle
pourra ainsi se débarrasser du sous-vêtement et le glisser dans son
sac. Mais avant même que la consommation ne lui soit apporté, un
nouveau message s’inscrit sur l’écran :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">Tu
boiras quand tu seras cul nu, pas avant !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et tu ne quitte pas
la table !</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ah, là, les choses
se corsent ! Envisager de retirer son slip, elle n’y est
résignée, elle relevait même le défi avec une forme d’assurance
tranquille. Après tout, ce ne serait pas la première fois qu’elle
se baladerait dans la rue sans culotte, avec cette sensation
délicieuse et paniquante de l’air qui caresse sa foufoune. Mais la
retirer là, autant dire devant tout le monde, c’est évidemment
une autre paire de manches. Pourtant, le message qu’elle lui
adresse, même si elle ne s’en rend pas compte quand elle le fait,
est déjà un pas vers l’acceptation. En effet, elle aurait pu
écrire tout simplement « non » ou « impossible »
mais non, elle se limite à un bête :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">Ici ?
</span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et bien sûr la
réponse, prévisible, arrive immédiatement. Un seul mot,
irrévocable :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">Oui</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Suivi, quelques
secondes à peine après d’un laconique :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;">Et
avant qu’on ne t’apporte le prochain verre.Non négociable !</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Plus les ordres sont
impératifs, plus ils sont difficiles à réaliser, plus elle sait
qu’elle s’y pliera.
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc620_793075774"></a>
Advienne que pourra !</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Quand elle lit ces
phrases, elle se revoit brusquement en haut de ce rocher duquel ses
amis plongeaient dans une crique. Elle était restée pétrifiée par
la peur devant le vide, incapable de bouger. Tétanisée. Mais,
toujours cette fierté indomptable, cette incapacité à renoncer, à
accepter ses limites, elle avait fini par fermer les yeux … et elle
avait sauté. Alors, de la même manière, comme on saute à l’eau,
elle se lance. Inconsciemment, elle a fermé les yeux. Elle n’a
même pas pris la précaution, pourtant évidente, de vérifier si
les consommateurs assis autour d’elle avaient les regards tournés
vers elle. En quelques secondes, elle soulève les fesses du siège,
elle glisse les mains sous sa jupe, et, prestement, elle tire sa
culotte vers le bas et se rassoit, le slip en haut des cuisses. Alors
seulement, elle prend le temps de jeter un regard autour d’elle.
Manifestement, personne ne s’apprête à hurler « <i>Elle a
pas d’culotte </i>! » sur l’air des lampions. Personne
ne semble avoir remarqué son geste. Mais elle ne peut rester ainsi.
Elle sait que si elle se lève, le slip tombera à ses pieds. Une
nouvelle fois, elle passe les mains sous sa jupe, saisi le morceau de
tissu soyeux, et, d’un mouvement aussi preste mais contrôlé
qu’elle peut, elle le fait glisser jusqu’aux chevilles. Mais sa
nervosité et le tremblement de ses mains font qu’alors le slip
s’accroche aux lanières de ses sandales. Elle doit farfouiller,
tripoter, pour qu’il finisse par passer l’obstacle. Elle est donc
restée quelques secondes pliée en deux, les mains occupées à
détacher la culotte. Le sang lui est montée aux joues. Si quelqu’un
a regardé vers elle à cet instant, il n’est pas possible qu’il
n’ait pas compris ce qu’elle est entrain de faire. Quand elle se
relève, inondée de sueur, les mains fébriles, les yeux hagards,
elle tient son slip roulé en boule au ceux de ses mains. Elle
cherche à reprendre son souffle, mais, coup du sort, c’est
précisément à cet instant que le serveur s’approche de sa table,
y dépose le verre de vin, et s’ enquiert poliment, en bon
commerçant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« <i>Voilà,
madame, tout va bien </i>? »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
A-t-il remarqué son
trouble ? A-t-il vu ? Elle ne sait pas, elle ne comprend
pas, elle balbutie seulement un vague « Oui ..oui..merci .. »
et ajoute presque bêtement « il est bien frais ... »
Pour saisir son verre de la main, elle doit serrer le slip dans
l’autre main, au risque, mais elle ne s’en rend même pas compte,
de laisser apparaître ce chiffon de tissu. Ce n’est donc que quand
le garçon de café quittera sa table qu’elle pourra glisser le
slip dans son sac. Mais, visiblement, le loufiat a du temps à
perdre, ou il trouve la cliente à son goût. Il s’attarde, bavarde
– ou tente de le faire – commente le temps, vante la qualité de
son vin … Tant et si bien qu’avant qu’elle n’ait pu faire
disparaître le corps du délit dans sa besace, et comme si l’inconnu
avait deviné à distance son intention, il lui a envoyé un nouveau
message :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="color: black;"><span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;"> </span></span></span></span></span><span style="color: black;"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span lang="fr-FR"><span style="font-style: normal;">Tu
laisses la culotte sur la table, et tu vas faire pipi, je suis sûr
que tu en as envie.</span></span></span></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Là, elle trouve
qu’il y a du voyant chez ce voyeur ! Comment a-t-il su qu’elle
s’apprêtait à faire disparaître le sous vêtement dans son sac ?
Et surtout comment a-t-il su qu’en effet, une fois son exercice de
déshabillage fini, elle a une terrible envie de faire pipi ?
Une envie si forte qu’elle ne peut envisager de négocier l’ordre
reçu. Ou elle s’y plie, et laisse ostensiblement son slip sur
cette table de terrasse, au vu de n’importe qui, ou elle s’y
refuse et casse le lien d’obéissance que « son voyeur »
a mis en place. Elle se rend compte qu’elle est entrain de gigoter
sur place comme une gamine qui a envie de faire pipi, ce qui est du
reste tout à fait le cas. Bien sûr, elle va emmener son sac aux
toilettes, elle ne va pas le laisser là au risque de se le faire
voler. Une idée la fait subitement sourire : « il y a des
voleurs de sacs, mais y a-t-il des voleurs de slips ? »
L’idée la fait tellement rire qu’elle se lève comme un diable
qui sort d’une boite, dépose le slip sur la table, à côté du
verre, empoigne son sac et se précipite vers l’intérieur en
haussant les épaules et en murmurant « advienne que pourra ! »
</div>
<h3 align="justify" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc622_793075774"></a>
Encore pipi !</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Son besoin est si
impérieux qu’elle a presque de la peine à tenir jusqu’aux
toilettes. Heureusement, une cabine est libre et, dans la tenue qui
est la sienne – et une nouvelle fois l’idée la fait rire –
elle n’a pas à craindre que la précipitation lui fasse tremper sa
culotte. Enfin faire pipi après de telles émotions, c’est une
délivrance. Elle se souvient de cette coutume que lui expliquait sa
grand-mère quand elle était enfant, selon laquelle, quand on avait
eu une grande peur il fallait « faire pipi sur une pierre
bleue » c’est à dire sur les grandes pierres qui
constituaient le seuil des maisons de sa région. Ici point de pierre
bleue, mais une classique cuvette. Délivrance. Essuyage rapide. Et
retour vers la terrasse. Dés la porte elle voit, elle la voit, elle
le voit. La table. La tâche jaune bien visible, comme une fleur
oubliée. Mais surtout, horreur, un homme tranquillement assis, qui
lève son verre de bière à son intention …. </div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1709_793075774"></a>Dialogue</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1711_793075774"></a>Le
bon choix</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Une fois encore, il
lui faut décider dans l’instant. La raison serait évidemment de
tourner les talons et de partir en espérant que l’homme n’aurait
pas le culot de la suivre. Mais fuir, c’est au-dessus de ses
forces. Comme un automate, elle se dirige donc vers la table qu’elle
a quittée quelques minutes auparavant. Avec une galanterie un peu
affectée, l’homme se lève à son arrivée et lui tire la chaise
pour qu’elle s’assoit. Il reprend sa place, lui aussi, et,
désignant la petite culotte restée sur la table, il engage la
conversation, d’un ton badin
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Jolie,
ça aussi, c’était un bon choix ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle renonce à lui
demander quel était l’autre « bon choix » qu’il
avait constaté, et se contente de répondre un peu platement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Merci,
monsieur »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Saisissant sans
autre forme de procès le slip et le portant à son visage, il le
hume sans vergogne en commentant, avec un grand sourire :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Un
parfum délicat ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1713_793075774"></a>Prouvez-le !</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Puis, comme si
c’était un geste tout naturel, il glisse le sous-vêtement dans la
poche de sa veste e, demandant, sans hausser la voix mais pas assez
bas pour qu’elle puisse être sûre que les occupants des tables
voisines n’entendent pas :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Le
soutien-gorge est assorti, jeune dame ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
L’expression
« jeune dame » l’interpelle. Ce sont les mots
qu’utilisent souvent les hommes qui punissent celles qu’ils
appellent les « chipies » Pourtant elle ne la relève
pas, et se contente de répondre sans détour à la question posée :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Non …
monsieur »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et comme il lève un
sourcil interrogateur elle se résout à préciser :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je …
je n’en porte pas, monsieur »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Jamais ? »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Non,
jamais ... »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Dire, c’est
bien, mais il faut prouver, vous le comprenez n’est-ce pas ? »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Une nouvelle fois,
il est parvenu à la déstabiliser. Mais elle est déjà de plein
pied dans une sorte de défi. Alors, en plantant ses yeux dans les
siens, elle se penche légèrement en avant et, sans barguigner,
elle défait deux boutons de plus de son chemisier. Avec un sentiment
de victoire, elle voit le regard de son interlocuteur se baisser vers
l’échancrure du corsage. Elle sait que placée ainsi, il peut
voir sans difficulté ses seins. Presque provocatrice, et elle
lance :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Cela
vous convient, monsieur ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il en convient :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Tout à
fait, jeune dame »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
et il ajoute :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Comme
on dit parfois, « tout ce qui est petit est joli ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Restant dans le
registre de la provocation elle lève elle aussi les sourcils et
glisse :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Pourtant
en général les hommes préfèrent les gros lolos non ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il fronce les
sourcils devant cette insolence, mais il garde le sourire, se
contentant de commenter :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Il faut
de tout pour faire un monde ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
en ajoutant
aussitôt, en se penchant un peu vers elle de manière à ce que son
visage soit plus près du sien :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« D’autant
que les tétons me semblent tout à fait suffisants ... »</i></div>
<div align="justify" class="western" style="font-style: normal;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;">sa
réponse fuse avant même qu’elle n’y ait vraiment réfléchi :</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Suffisant
pour quoi ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette<i> </i>fois,
son visage s’éclaire d’un large sourire quand il réplique :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ça,
peut-être le découvrirez-vous le moment venu, jeune dame ... »</i></div>
<h3 class="western" style="font-style: normal;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1715_793075774"></a>
Pourquoi ?</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle ne juge pas
nécessaire de lui demander d’expliciter sa réponse. Mais quelque
chose dans son ton, ou dans son regard, l’amène, sans qu’elle en
soit pleinement consciente, à baisser les yeux. Bien sûr, cela
n’échappe pas à celui qui vient de l’amener en quelque sorte là
où il voulait. Bon joueur il concède :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>C’est
mieux comme ça, jeune dame. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Peut-être
n’est-elle pourtant pas encore vraiment dans la situation où il
voulait qu’elle soit, puisqu’elle demande, mi ingénue, mi une
fois encore provocante :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
«<i> Qu’est-ce
qui est mieux, monsieur ? </i>»</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il ne répond pas
directement à la question, ou plutôt il fait le choix d’y
répondre par ce qui est aussi une question :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je ne
pense pas que vous soyez sur cette terrasse par hasard »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Même si, bien sûr,
elle comprend immédiatement à quoi il fait allusion, elle reste
dans son rôle d’ingénue ou de bécasse en répondant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« J’avais
soif, monsieur et aussi …. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette fois, elle
s’est piégée elle-même, et elle bloque, incapable d’aller au
bout de sa phrase. Cette défaillance n’échappe pas à son
interlocuteur qui profite de son avantage pour insister :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Et
aussi ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Devant cette
insistance, elle cède et murmure plus qu’elle ne dit, en se
sentant pour la première fois vraiment rougir :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« De
faire pipi ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le visage de son
interlocuteur s’illumine du même sourire carnassier qu’elle
avait remarqué dans l’escalator du métro. Il a vu la faille, il
va bien entendu s’y engouffrer :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Et
il n’ a qu’ici que vous pouviez le faire ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1717_793075774"></a>
Insolence</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Fonctionnant sur un
mode alternatif, et le naturel reprenant le dessus, elle hausse les
épaules en grommelant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Bien
sûr que non ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le sourire s’est
figé, et c’est d’un ton plus dur qu’il la reprend sèchement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Le
haussement d’épaules, ça ce n’est pas une bonne idée, jeune
dame ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le changement de
ton, et d’attitude de l’homme est si visible qu’elle se prend à
bafouiller :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais …
heu … »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Puis, renonçant à
poursuivre le combat, elle cède une nouvelle fois en murmurant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je
m’excuse … je vous prie de m’excuser, monsieur »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Un hochement de tête
marque sa satisfaction, mais il n’en reprend pas moins :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« C’est
mieux ainsi, jeune dame, mais …ça ne répond pas à ma question »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Sincèrement
fragilisée, elle ne saisit pas immédiatement ce qu’il veut dire
et bredouille une nouvelle fois :</div>
<div align="justify" class="western" style="font-style: normal;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Mais
… quelle question, monsieur ? »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="font-style: normal;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;">Comprenant
qu’elle ne fait pas semblant, il répète, en la regardant dans les
yeux :</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="font-style: normal;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Qu’est-ce
qui vous a fait choisir cet établissement ? »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="font-style: normal;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;">Et
il précise, presque gouailleur et en désignant le café où
elle s’était d’abord attablée:</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="font-style: normal;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« …
</i><i>de préférence à celui d’en face ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle renonce à
finasser et bredouille :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ben ..
euh ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et, reprenant un peu
ses esprits, et tentant de sortir de l’impasse dans laquelle elle
s’est engagée, elle précise :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« ...son
nom est … rigolo ...non ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le mot n’est pas
tombé dans l’oreille d’un sourd, et il s’étonne le répétant
en détachant les syllabes :
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Ri-go-lo?Vous
trouvez cela rigolo, jeune dame ? »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Dit il en désignant
du doigt les instruments dessinés sur l’auvent. Et comme elle
reste muette il insiste :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« En
auriez vous déjà ...goûté, jeune dame ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle a suivi son
geste, et redécouvre la décoration qu’il lui désigne. Trois
instruments en formes de palettes trouées, une sorte de fouet, une
corde mais aussi ce qui ne peut pas être autre chose qu’une
cravache. Elle se mord les lèvres et concède :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Non,
monsieur, jamais... »</i></div>
<div align="justify" class="western" style="font-style: normal;">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« </i><i>C’est
peut-être une lacune, ne pensez-vous pas ? »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Je
.. je ne sais pas... »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western">
<span style="font-family: Liberation Serif, serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Vous
ne savez pas … encore ? »</i></span></span></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1719_793075774"></a>Votre
Père Fouettard</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Nouveau haussement
de sourcils interrogateur auquel il réponds en précisant, mettant
cette fois les pieds dans le plat :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Dois-je
comprendre que votre Père Fouettard n’utilise … que la main pour
vous fesser, jeune dame ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Le »
mot est sorti, comme un diable de sa boite. Ou comme Pandore. Elle en
est presque soulagée, comme si dire les choses directement levait
enfin cette chape de plomb qui l’obligeait à finasser. Maintenant
les choses sont claires. Ce monsieur, qui n’est plus tout à fait
un inconnu, à mis les choses sur la table. Il a compris. Elle ne
sait comment, puisque, après tout, il doit bien y avoir des tas de
clients qui choisissent cet établissement sans pensées perverses,
ou juste pour rigoler. Mais il est clair maintenant qu’il l’a
percée à jour. Il n’est plus nécessaire de faire semblant. Elle
peut déposer les armes. Et elle convient sans rougir cette fois :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui,
monsieur »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il n’a même pas
besoin d’insister ni de la relancer pour qu’elle poursuive
d’elle-même, utilisant aussi « le » mot comme s’il
était presque banal :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Seulement
la fessée ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il ne cache pas sa
satisfaction :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Eh bien
voilà, pourquoi tourner autour du pot ? Il me semble que celui
qui s’occupe de vous ne doit pas manquer de raisons pour sévir,
n’est-ce pas ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« C’est
vrai, monsieur »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Il ne tient
qu’à vous de découvrir une autre dimension, jeune dame »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Une autre
dimension ? »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Tout à
fait. Le panpan cucu … à votre âge et quand on se permet de boire
trois verres de vin en plein après-midi et de se conduire aussi
impudiquement … c’est manifestement insuffisant ! »</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1721_793075774"></a>A
midi</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Comme elle ne répond
rien – mais que pourrait-elle répondre à cette affirmation ?
- il poursuit :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Vous
utilisez Google Map. Je vais vous inscrire une adresse, vous voulez
bien ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Euh …
oui ...si vous voulez... »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle lui tend
l’appareil, après avoir ouvert l’application demandée. Sans
plus rien ajouter, il tapote sur l’écran puis lui rend le
téléphone .</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Si vous
y êtes encore à midi ...je vous le rendrait , sinon je la
garde en souvenir»</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et avant qu’elle
n’ait pu ni lui demander où il l’envoi ni ce qu’il attend
d’elle, il se lève et s’éloigne sans se retourner. Elle clique
une nouvelle fois sur l’écran et y découvre l’adresse que
l’homme y a inscrite : 88 rue Saint Denis. Elle connaît assez
la réputation de cette rue mythique de Paris pour deviner de quoi il
peut s’agir. Quand elle regarde sa montre, elle voit qu’il n’est
que onze heure et quart, et l’application lui indique qu’il lui
faudra moins de dix minutes pour se rendre à l’adresse indiquée.
Il lui restera donc presque une demi-heure avant l’heure fatidique.
Mais, au fond d’elle-même, elle sait déjà qu’elle y sera
encore. Et avant onze heure et demi elle découvre la façade et
l’enseigne du « Love Hotel »</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1723_793075774"></a>Découvertes</h2>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1725_793075774"></a>Un
lieu</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
A vrai dire, elle
n’est pas vraiment étonnée de découvrir que l’adresse indiquée
par son voyeur est coquine. Elle savait qu’il exsitait à Paris,
comme dans d’autres grandes viles du monde, ce genre
d’établissements dont le concept, avait-elle lu, venait du japon.
Des hôtels où des couples illégitimes peuvent se retrouver pour un
moment dans des chambres destinées spécifiquement à cet usage.
Mais elle découvre que ce lieu est d’abord une boutique, un
« sex-shop » Un de ces lieux qui pullulent dans ce
quartier. Il lui est déjà arrivé, dans d’autres quartiers de
Paris comme Montparnasse, ou en province, de passer devant ces lieux,
souvent un peu glauques. Le plus souvent, de petites boutiques avec
quelques objets ou vêtements en vitrine, et une porte souvent
protégée par un lourd rideau, qu’elle n’a jamais franchi. Ici,
l’endroit est assez différent, plus clair, plus explicite aussi.
Et quand elle franchit, intimidée mais pas vraiment effrayée, le
seuil, elle découvre ce qui ressemble plus à une supérette de
quartier qu’à ce qu’elle attendait. Une vaste salle, éclairée,
propre, avec des rayons comme dans n’importe quel super-marché,
sauf qu’ils ne présentent que des produits liés au plaisir, au
sexe.
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1727_793075774"></a>Des
produits</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il y en a, en effet,
profusion. Présentés sans fioriture, par catégories. Un rayon de
vêtements, avec quelques mannequins, présentant des robes ultra
courtes manifestement pas portable dans la rue, mais plutôt jolies.
Des chaussures aux talons vertigineux, et surtout abondance de
sous-vêtements pus coquins les uns que les autres. Des
soutient-gorge ouverts sur le devant, laissant apparaître les
tétons, qui lui font immédiatement pensé à la passion de « son »
Monsieur pour les mauvais traitements infligés à ceux-ci. Certes,
elle a déjà connu la morsure aiguë des pinces à linge, mais ici
elle se dit que les amateurs peuvent trouver des pinces qui semblent
tout aussi cruelles, mais qui, au moins, ne cachent pas leur jeu.
Certains modèles la font frisonner par l’aspect effrayant de leurs
mâchoires. D’autres sont reliées entre elles par une
chaînette, ou parfois même avec une autre pince manifestement
destinée à s’accrocher plus bas. Dans le même rayon, une
collection de culottes à faire pâlir d’envie des amateurs. Des
strings minimalistes, mais aussi, plus original, des culottes
couvrantes mais … laissant apparaître les fesses, et des culottes
ouvertes, laissant libre accès au sexe. Elle qui ne porte jamais de
soutien-gorge et dont le tiroir à sous-vêtements contient surtout
des slip plutôt sages et confortables, découvre les
porte-jarretelles, dont elle sait que « son » Monsieur
est fou, des bas résilles, des bas aux coutures apparentes, et des
collants laissant, eux aussi, les fesses nues.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Dans un autre rayon,
elle découvre une collection variée de jouets, de « sex
toys » Des godemichets de toutes tailles et de toutes couleurs.
Les uns réalistes, reproduisant jusque dans les détails, des sexes
d’hommes parfois démesurés, avec le gland bien sûr, mais aussi
ces grosses veines saillantes qui lui font penser combien il est
délicieux de les suivre du bout de la langue, des couilles jusqu’au
gland. Les autres plus frustres de présentation, mais dotés
d’accessoires, vibrants, tournoyants. Certains avec deux
protubérances, visiblement prévus pour pénétrer à la fois les
deux trous.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Très vite, elle se
prend au jeu de cette exposition particulière, et elle constate que,
si, comme elle s’y attendait, il y a beaucoup d’hommes seuls
dans la boutique, ceux-ci lui semblent particulièrement ordinaires.
Pas d’yeux exorbités, pas d’attitudes louches, pas de mains
tremblantes, et surtout aucune gêne visible. Tel jeune homme en jean
et basket examine avec soin des sex-toys pour femme, peut-être pour
faire un cadeau. Un autre, au style de cadre dynamique, attaché case
à la main, choisit avec soin un ensemble slip et soutien gorge en
latex. Mais il y a aussi plusieurs couples, déambulant dans les
allées tout à fait comme s’ils y faisaient leurs courses
ménagères. L’homme de l’un d’entre eux porte même une sorte
de panier dans lequel sa compagne met régulièrement ses emplettes.
Du reste, elle n’est pas la seule femme seule à parcourir les
rayons. Elle crois plusieurs fois ne dame visiblement plus âgée
qu’elle, habillée en style « bon chic – bon genre »
et qui manipule sans la moindre gêne les sexes d’homme en latex,
les soupesant, testant leur consistance et leur rigidité, allant
même, jusqu’à en entourer un du poue et de l’index comme pour
en vérifier la taille. Quand son regard croise le sien, la dame lui
adresse un sourire complice et chuchote, mutine : « <i>Eh
oui … faute de grive ... » </i><span style="font-style: normal;">Elles
rient toutes les deux, puis engagent la conversation :</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-style: normal;"> </span><i>« C’est
la première fois que vous venez ici ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Euh …
oui ...je découvre ! »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Croyez-moi,
c’est la meilleure boutique dans son genre. Il y a du choix, et les
prix sont raisonnables. Mais surtout, ici, on évite les lourdingues,
vous soyez ce que je veux dire ! »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et, tout en
tripotant l’énorme godemichet noir qu’elle a en main, elle
ajoute en riant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« A votre
âge et jolie comme vous êtes, vous n’avez pas vraiment besoin de
factice, mais même en couple, ça peut servir n’est-ce pas ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Puis, désignant le
fond du magasin du menton, elle continue :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Vous
savez qu’on peut aussi consommer sur place ! Et c’est
tellement plus siple qu’à l’hôtel. Au moins, ici, personne ne
vous regarde avec des yeux de merlan frit parce que vous venez vous
faire sauter en pleine journée ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
En effet, au fond de
la boutique, sous un panneau « réception », une affiche
présente les chambres proposées à la clientèle, ainsi que les
services associés. Des jouets, des massages en couple, des tenues
affriolantes à louer.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
En poursuivant sa
déambulation dans les allées, elle débouche sur un rayon qui
présente une impressionnante collection de martinets et de fouets.
Les uns visiblement ludiques, aux lanières souples et légères, les
autres véritablement effrayants. De véritables fouets, des
« paddels » de cuir épais, et sur un mur, des cannes
d’épaisseurs variées. Avec, sur des petites étiquettes, des
indications sur leurs qualités : « <i>cinglante mais sans
danger », « à réserver aux initiées » « parfaite
pour des débutantes » …</i></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1729_793075774"></a>Des
questions</h3>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Devant cette
débauche d’instruments contondants, elle sent sa respiration
s’accélérer, et son intimité s’humidifier. Après la
conversation qu’elle a eu avec son inconnu à la terrasse, nul
doute pour elle que c’est à ce rayon qu’il pensait en l’envoyant
ici. Pour lui faire découvrir cet univers très au-delà de la
fessée telle qu’elle la conçoit jusqu’à aujourd’hui. La vue
de ces instruments, de ces lanières de cuir, de ces palettes de bois
perforées, de ces entraves, de ces baillons et bandeaux font naître
en elle des sentiments contradictoires. Elle est terrorisée,
réellement. Comme si, rien que de les voir, elle sentait
physiquement leurs impacts dans sa chair. Non, ce n’est pas
possible, une femme ne peut pas accepter de subir des traitements
pareils. Non, jamais elle ne supporterait les souffrances qu’elle
imagine. Et pourtant, comme si elle subissait une sorte de
dédoublement de la personnalité, elle voit, comme en images
subliminales, ces instruments lui meurtrir la peau. Elle ressent
l’angoisse de l’attente aveuglée par un bandeau. De ne savoir ni
où vont être portés les coups, ni avec quel instrument. De
chercher à anticiper. Son derrière sera-t-il cinglé par un
martinet aux longues lanières de cuir noir ? Ou bien se sera
ses cuisses ? Ou encore ses flancs, son ventre, ses seins ?
Ceux-ci seront ils entourés de cette corde qui les fera gonfler, la
peau tendue à éclater, les tétons mordus par les mâchoires
métalliques des pinces ? Cette strappe claquera-t-elle son
cul ? Cefouet viendra-t-il s’enrouler autour de ses reins ?
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Non, c’est
impossible, elle ne peut pas, elle ne veut pas, à aucun prix. Elle a
voulu jouer, provoquer, risquer. Mais le passage à l’acte, à cet
acte là, non, elle s’y refuse. Etre fessée, elle l’a déjà
été, elle sait qu’elle le sera encore, elle l’accepte, et même
elle le veut. Mais ces instruments, ce n’est plus la fessée. Rien
à voir avec le panpan cucu qui l’émoustille.
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1731_793075774"></a>Fuir !</h3>
<div class="western">
<br />
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
L’inconnu, le
voyeur lui a dit qu’il serait là à midi. Il faut qu’elle parte,
vite. Mais un nouveau coup d’œil à sa montre la fait sursauter.
Il est midi passé. Mon Dieu, comment fuir sans risquer de se trouver
nez à nez avec lui ? Et s’il était déjà entré dans le
magasin ? Peut-elle se cacher ? Lui échapper ? Comme
un enfant qui croit qu’on ne le voit pas quand il se cache les
yeux, elle reste tournée vers le mur où sont exposées les
cravaches et les cannes. Comme si elle examinait avec soin celles-ci.
Les unes très fines, très flexibles, les autres plus épaisses et
plus rigides. En bois clair ou en rotin. Avec une poignée ou juste
un bout recourbé. Et les cravaches, celles qui semblent des jouets
avec leur bout en forme de cœur. Mais aussi les vraies cravaches,
pour chevaux. En cuir tressé, avec une extrémité rectangulaire.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Jamais un tel
instrument ne s’abattra sur elle, elle s’y refuse. Elle va
partir, fuir. Et tant pis si …</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1733_793075774"></a>Monsieur !</h3>
<div class="western">
<br />
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
A cet instant, une
cravache est brandie devant son visage. Une longue badine de cuir
noir luisant, avec un manche incrusté de petits rivets en métal. Un
instrument effrayant. Tenu par une main ferme, qui agite doucement
l’instrument terrible devant ses yeux. Et une voix qui dit :</div>
<div class="western">
<br />
<br />
</div>
<div class="western">
<i>« Celle-ci me semble parfaite ! »</i></div>
<div class="western">
<br />
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Son cœur s’arrête
de battre. Son sang se fige. Ses jambes flageolent. La tête lui
tourne. Elle va tomber. Cette voix, cette main, ce en son pas celle
de son inconnu. Elle se ratatine sur elle-même. Elle n’a pas
besoin de se retourner. Elle sait déjà que, derrière elle, la
cravache en main, le sourire narquois, le regard sévère – mais
plein d’amour – c’est « son » Monsieur qui va
s’occuper d’elle.</div>
<div class="western">
<br />
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1685_1544937126"></a>Conséquences
inévitables</h2>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1687_1544937126"></a>Pipi
une nouvelle fois !</h3>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Un Monsieur qui ne
lui fera aucun reproche. Qui n’expliquera rien. Ni pourquoi il est
là, ni ce qu’il sait de ce qu’elle vient de faire. Et elle ne
lui posera aucune question. Il dira seulement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- « <i>Allons-y ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
en se dirigeant vers
le fond de la boutique, vers le comptoir de la partie hôtelière. Il
indique un nom, elle n’entend même pas si c’est le sien ou un
pseudo choisi pour la circonstance, et un employé les invite à le
suivre. Un couloir tout à fait semblable à n’importe quel hôtel,
une porte que l’homme ouvre, et Monsieur qui lui fait signe du
menton d’entrer. Peu de mots, ils sont inutile, et elle le sait.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- « <i>Je
pense que tu ferais bien de faire pipi avant ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Docilement, elle
passe dans la petite salle de bain attenante à la chambre. Il n’est
pas nécessaire qu’il lui rappelle la règle, elle ne ferme pas la
porte. Quand elle est assise sur la cuvette, il suffit que Monsieur
écarte l’index du majeur en la regardant pour qu’elle comprenne
la consigne. Il ne se contentera pas de lui imposer de faire pipi
devant ses yeux. Il veut voir. Voir vraiment. Il la veut sans pudeur,
sans limite, sans interdit. Elle ne tergiverse pas, et elle écarte
largement les cuisses. Alors que, les autres fois, elle a toujours eu
du mal à parvenir à faire pipi sous ce regard égrillard, cette
fois elle est si émue, si apeurée, si consentante d’avance à
tout, que, presque immédiatement, elle sent la fontaine jaillir. Il
lui semble que le bruit cristallin de l’urine emplit la pièce. En
même temps, et malgré ce regard pervers qu’elle connaît si bien,
il lui semble ressentir une t de soulagement. Au moins, pense-t-elle
furtivement, elle n’aura pas à demander comme une gamine
l’autorisation d’aller faire pipi au beau milieu de la séance,
ni à prendre le risque de s’oublier piteusement sur les genoux de
son Monsieur. Une fois que l’écoulement est terminée, avant
d’oser se relever, elle demande :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« ...</i><i>je
peux ...Monsieur ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La voix,
étonnamment calme, de Monsieur réponds à la question qui est
pourtant restée en suspend :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Tu peux
t’essuyer »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette fois, une
vague de honte lui monte au visage. Elle comprend que chaque mot,
chaque geste, sera marqué de la volonté de punition. Que non
seulement il ne détournera pas le regard alors qu’elle épongera
son intimité, mais qu’il veut qu’elle reçoive cette
autorisation comme une première sanction. Oui, elle a fait pipi,
sous ses yeux, comme un bébé, mais en plus, oui, sa chatte est
souillée d’urine, et il faut qu’elle la nettoie avant de se
relever.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1689_1544937126"></a>Annonce.</h3>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Monsieur s’est
assis sur le lit. Un claquement de doigt lui fait savoir qu’il
l’attend. Elle remonte sa culotte, se lève, et vient se placer
debout devant lui, les yeux baissés, les mains dans le dos.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Tu sais
pourquoi nous sommes ici ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Oui,
Monsieur »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Je veux
quand même te l’entendre dire »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Pour …
pour que vous me punissiez, Monsieur »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Comment
vas-tu être punie ? »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Par une
fessée, Monsieur »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La première fois
qu’elle a été fessée par Monsieur, elle avait eu beaucoup de mal
à prononcer ces mots. Cette fois, ils lui paraissent si naturels, si
normaux presque, qu’elle les prononce comme une évidence. Monsieur
acquiesce et esquisse même un sourire. Et, toujours d’une voix où
ne perce pas la moindre colère, comme s’il fallait seulement
qu’elle comprenne, qu’elle sache,, qu’elle anticipe, il
expose :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oh oui,
je vais te coller une fessée. Une fessée comme tu n’en as encore
jamais reçu. Une fessée magistrale. Tu sais que c’est nécessaire
n’est-ce-pas ? « </i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Oui, elle le sait.
Nécessaire est bien le mot. Nécessaire pour lui, sûrement.
N’a-t-il pas en effet toutes les raisons de la punir comme jamais
encore elle ne l’a été ? Mais surtout nécessaire pour elle.
Bien s^pur qu’elle sait, depuis la seconde où elle a découvert
son Monsieur derrière elle, qu’elle sera fessée plus sévèrement
que jamais. Mais, paradoxalement, la pire chose que pourrait décider
con Monsieur, serait de ne pas la fesser. Cette fessée magistrale,
elle en a besoin. Physiquement comme psychiquement. Elle le
reconnaît :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui,
Monsieur, je le sais »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Il n’est
pas nécessaire que je t’explique les raisons de ta punition ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« Oh …
non, Monsieur »</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Là, il lui fait un
cadeau magnifique. Autant, quand les précédentes fessées étaient
motivées par des prétextes, des broutilles, leur exposé faisait
partie de leur jeu, autant, ici qu’elle sait être punie pour un
motif oh combien légitime, elle est reconnaissante à Monsieur de ne
pas lui imposer de l’entendre. Elle mérite cette trempe, elle va
la prendre, tout est dans l’ordre.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1691_1544937126"></a>En
tenue !</h3>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Pourtant, Monsieur
ne fait pas ce geste si habituel chez lui de montrer ses cuisses pour
qu’elle vienne s’y allonger. Il la laisse mariner, il laisse le
silence s’installer. Puis les ordres se succèdent,
impérieux.:</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Tu te
tourne</i><i>s</i><i> ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
«<i> Tu
trousse</i><i>s</i><i> »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Tu
baisses ta culotte »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1715_1544937126"></a>Retournée</h4>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Se retourner, pour
qu’il voit son cul. Elle est presque rassurée. Il a envie de voir
son derrière. Bien sûr qu’elle va le lui montrer ! Sans
espoir que cela ne le convainque de renoncer à la fesser, bien au
contraire. Mais ce besoin qu’il exprime de voir son cul la
rassure.<br />
Elle s’exécute. Se retourne, lui tourne le dos, et
surtout le cul ! En plus, maintenant, comme tout à l’heure
dans la boutique, elle ne verra plus son Monsieur, et, comme une
autruche qui se cache la tête dans le sable, elle osera plus …</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1717_1544937126"></a>Troussée</h4>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Se trousser.. Oh, ce
verbe qu’il a employé ! Se « trousser » Pas
« relever », ou « remonter », ou même
« retrousser » sa jupe. Mais bel et bien se « trousser »
Comme une fille des rues, comme une grue, comme une bonniche qu’on
va punir. Quand on se trousse, ce ne peut que pour être fessée, ou
pour être prise, sauvagement, à la hussarde. Être prise par
derrière, sans partage, sans échange, par un homme presque anonyme
qui va prendre son plaisir. Devenir femme, femelle, objet de plaisir
égoïste. <br />
Elle relève sa jupe au-dessus de ses reins. Elle la
coince de manière à l’empêcher de retomber, et, à la fois pour
qu’elle reste mieux en place et aussi pour mieux exposer son
postérieur, elle se penche légèrement en avant, faisant mieux
saillir son cul rond. Voilà, elle est exhibée. Il ne reste qu’à
déculotter.
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1719_1544937126"></a>Culotte
baissée</h4>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Baisser sa culotte. Bien sûr. Mettre son cul à l’air. Se mettre
cul nu. La lune exposée. Aucune hésitation, aucune illusion, aucune
alternative. Pour recevoir la fessée, il faut évidemment un cul nu.
D’habitude, elle est déculottée. Par Monsieur. C’est même,
elle le sait, le moment le plus émouvant pour lui, comme pour elle.
Sentir les doigts qui se glissent sous l’élastique de la petite
culotte. La sentir descendre lentement pour dévoiler le Graal peu à
peu, comme un soleil qui se lève sur l’océan, ou au contraire se
la faire baisser d’un seul coup, comme on arrache un voile. Selon
son humeur, Monsieur descend la culotte juste sous les fesses, comme
pour encadre le derrière qu’il va frapper, ou il la fait glisser
jusqu’aux genoux, ou jusqu’aux chevilles. Parfois, il la retire
complètement, ou il lui impose de faire un pas pour « enjamber
la culotte » qui restera au sol, comme la marque de sa
décision. Mais le plus souvent, il exige que la culotte reste là où
il l’a placée, avec interdiction, sous peine d’une nouvelle
raclée, de la laisser tomber au sol. Ainsi, si elle doit se
déplacer, pour le rejoindre là o il s’est installé, pour aller
au coin, ou même pour aller faire pipi si une nouvelle envie la
prend, elle devra le faire à petit pas, les jambes entravées par le
slip. Et quand la fessée aura commencée, elle devra veiller à ce
que ses mouvements ne la fassent pas tomber, fut de quoi ses fesses
en paieront le prix. <br />
En tous cas, elle est alors déculottée.
Elle se fait déculotter. Elle se fait mettre la cul à l’air, à
vu, à portée de main. C’est comme l’annonce symbolique de la
décision de Monsieur, que pourtant elle connaissait à l’avance.
« <i>Je baisse ta culotte, je vais te fesser</i> »<br />
Mais,
aujourd’hui, Monsieur innove. Il lui intime l’ordre de la baisser
elle-même. De SE déculotter. Comme s’il voulait que, par ce geste
indécent, elle exprime son acceptation, mieux sa demande, d’être
fessée. « <i>Je mets mon cul à l’air, Monsieur, pour que
vous le frappiez à votre convenance »<br />
</i>Elle passe les
mains dans son dos, saisit l’élastique de la taille, et fait
descendre le slip sous ses fesses, à la jonctin avec les cuisses.
Mais un ordre claque :</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Plus bas ! Aux genoux ! »</i></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il n’a besoin ni d’expliquer cet ordre, ni de le répéter. Elle
s’exécute et elle a compris. Quand le slip glisse le long de ses
cuisses, celles-ci se couvrent de chair de poule. Elle sait qu’elles
vont prendre leur part de la raclée. Que Monsieur va s’acharner
non seulement sur son cul, lieu évident de la fessée, mais aussi
sur ses cuisses, derrière et surtout peut-être à l’intérieur,
là où la peau est plus fine, plus sensible. Pour que le slip tienne
en place, il lui faut écarter les jambes, pour le tendre entre les
genoux. Ainsi, elle le sait, elle « montre tout » Elle
montre son abricot charnu, ses lèvres moites, et même son petit
trou. Impudique, exhibée, montrée, exposée.
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ça y est, elle est « en tenue » En tenue de fessée. En
tenue de punition. Il ne lui reste qu’à se mettre « en
position »</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1693_1544937126"></a>Action !</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3203_1544937126"></a>En
position !</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ce sont les mots
qu’utilise presque systématiquement Monsieur pour lui indiquer que
la fessée va commencer. Et qu’elle doit, tout simplement, prendre
la position qu’il attend d’elle. Le plus souvent, s’allonger
sur ses genoux, ou plus exactement sur ses cuisses, dans la position
que les amateurs qualifient de « OTK », et qui est aussi
la position traditionnelle des gamines fessées.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mais aujourd’hui,
alors qu’elle s’approche de lui, il se lève et l’arrête d’un
geste impératif de la main. Il pose le pied droit sur la table
basse, lui fait signe d’approcher plus près, et, quand elle le
fait, il la saisit brutalement par la nuque et la courbe par dessus
sa jambe.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ainsi elle n’aura
même pas le contact finalement rassurant de son ventre avec les
genoux de Monsieur. Elle ne sera pas allongée, mais debout, penchée,
le corps cassé. Elle sent que ses jambes flageolent, mais elle
s’efforce de ne pas trembler. Pour assurer son équilibre, elle
agrippe le bord de la table basse.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La fessée va
commencer, rien ne pourrait plus l’empêcher maintenant, elle le
sait. Du reste, pas un instant elle ne l’a pensé, ni même espéré.
Cette fessée qui va tomber, elle la mérite, elle l’attend, elle
l’espère presque. Non qu’elle ait envie d’avoir mal, et elle
sait qu’elle va avoir mal, très mal. Monsieur n’a jamais « fait
semblant » de donner la fessée. Le « panpan cucu »
n’est pas son genre. Pour lui, elle le sait, une fessée ça
claque, ça rougit les fesses, ça fait mal. Mais peut-être
l’attente, l’incertitude, est-elle encore plus insupportable que
la douleur de la fessée elle-même. Alors, oui, aussi paradoxal que
cela puisse paraître, elle a hâte qu’elle commence.
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3205_1544937126"></a>Progression
mathématique</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le temps s’est
arrêté. Le silence est presque palpable. Elle a le sentiment qu’on
peut entendre son cœur battre. Et soudain, l’explosion ! La
main de Monsieur vient de s’abattre à toute volée sur sa fesse
gauche. Elle a l’impression d’avoir entendu le bruit mat et clair
avant de ressentir vraiment l’impact de la main sur sa fesse. Il a
frappé comme il le fait d’habitude, fort. La douleur est
immédiate. Elle se propage comme une vague, elle s’étale comme
une goutte de pluie d’orage sur un sol chaud. Visiblement, il a
fait le choix de laisser le temps à la douleur d’ainsi s’étendre.
Lors des fessées précédentes, il a ainsi alterné les séries de
claques bien espacées les unes des autres et les séries en rafale.
Mais ici, la main ne retombe pas. Elle en est presque frustrée. Une
fessée d’une claque unique, ça ne ressemble à rien ! Et
puis, c’est comme une fourmi de vingt-cinq mètres, ça n’existe
pas ! Pourtant, les secondes s’égrènent, sans nouvel assaut.
Moitié inconsciemment, moitié provocatrice, elle gigote un peu, et
c’est seulement la pression de l’autre main de Monsieur au creux
de ses reins qui lui rappelle qu’elle ne doit pas bouger. Tout
juste Monsieur consent-il
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
à murmurer, très bas :</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Ne sois pas impatiente … la suite de la
progression va venir »</i></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle n’a pas le
temps – ni l’audace – de demander ce qu’il entend par là. La
main droite frole ses fesses, comme pour évaluer le terrain, et
« vlan - vlan » une claque, toujours aussi vigoureuse sur
chaque fesse. Sursaut, gémissement à peine ébauché, mouvement de
ruade incontrôlée, mais elle reprend d’elle-même la position.
Nouvelle pause. Étonnamment longue à ses yeux, si différente en
tous cas de ce qu’elle a connu auparavant. Puis nouvel
effleurement, et quatre claques qui se succèdent. La
« progression » ! Bien sûr ! Elle comprend.
Lors d’une séance antérieure, il avait décidé d’un jeu, d’un
test de sa résistance. Il frappait une fois, elle annonçait le
chiffre « 2 », deux fois, elle annonçait le chiffre
« 4 », doublant chaque fois le nombre de claque que son
cul recevrait. Elle avait tenue jusqu’à « 64 », puis
avait renoncé à doubler. Il lui avait alors fallu refaire le
parcours à rebours. Par la suite, par jeu, elle s’était amusée à
compter qu’elle avait reçu ainsi cent quatre vingt dix claques.
Elle comprend … qu’elle a compris, quand elle compte les huit
claques suivantes. Mais elle comprend aussi qu’aujourd’hui, ce ne
sera pas elle qui sera maître du jeu. Celui-ci continue. Seize, puis
trente-deux, puis soixante-quatre, puis cent-vingt-huit, puis ...mais
elle a depuis longtemps cessé de compter. La succession implacable
des séries a déjà porté son derrière à ébullition. A chaque
« pause », et il les respecte entre chaque nouvelle
série, elle cherche à reprendre son souffle, à reprendre pied.
Elle essaie d’évaluer si la série a vraiment été plus longue
que la précédente, ou si c’est seulement l’addition des volées
successives qui les rend plus douloureuses. Elle ne sait plus.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3207_1544937126"></a>Fessées
plurielles</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle ne reçoit pas
une fessée carabinée. Elle reçoit « des » fessées,
une succession de fessées, une avalanche de fessées. Et si, bien
sûr, plus elles se prolongent, plus elles sont douloureuses, en même
temps, chaque pause fait naître une sorte d’espoir. Ou au moins de
questions. La main va-t-elle s’abattre à nouveau ? Ou bien
Monsieur estimera-t-il qu’elle a été assez fessée pour
aujourd’hui ? Il n’a pas annoncé, comme cela lui est
parfois arrivé pour les coups de brosse ou de martinet, le nombre de
claque qu’elle subirait. Chaque reprise est donc d’autant plus
cruelle. Et aussi plus mordante, comme si la succession des coups
aboutissait à une sorte d’anesthésie de la peau, alors que la
reprise de l’averse de claques après la pause ravive au contraire
la brûlure.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle ne cherche pas
consciemment à échapper à ce qu’elle sait inéluctable. Ni à
attendrir Monsieur, ce qu’elle sait inutile. Mais le niveau de
douleur l’amène, à son corps défendant, à gigoter de plus en
plus. A agiter frénétiquement les jambes, dévoilant ainsi, mais
elle n’en a cure, son entrejambe, sa raie fessière, son abricot et
son petit trou. Le bras ferme de Monsieur la maintient, la relève
quand ses jambes fléchissent. Jusqu’à ce qu’elles ne soient
plus capables de la soutenir, et qu’elle tombe à genoux, prostrée,
presque en position fœtale. Alors, sans même un mot de reproche,
constatant simplement l’impossibilité pour elle de rester debout,
il s’agenouille prés d’elle, la reprend par la nuque, fermement,
et l’amène à se repositionner au travers de ses cuisses. Et une
nouvelle fessée reprend. Elle est dans l’incapacité de mesurer si
c’est la suite mathématique qui se poursuit, ou si sa faiblesse a
été sanctionnée par une fessée supplémentaire. Elle est au-delà
de la raison. Cassée. Brisée. Le corps secoué de hoquets. Elle a
crié quand les claques son devenues insupportables. Maintenant, elle
pousse une sorte de mélopée continue, de plainte qui se poursuit
même quand les rafales interrompent.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3209_1544937126"></a>Pleurs</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ce n’est qu’après
qu’elle se rendra compte que, pour la première fois, elle est en
pleurs. Que son visage est couvert de larmes. Qu’elle est secouée
de sanglot. Et qu’elle se souviendra d’une conversation avec
Monsieur, avant qu’ils ne se rencontrent, lors de laquelle il lui
avait expliqué que pleurer, vraiment, sous la fessée était une
étape, presque une victoire, pour celle qui est fessée bien plus
que pour celui qui la fesse. C’est, lui avait-il expliqué, la
marque que la fessée est véritablement acceptée. Que les défenses
de la vie normale on cédées. Que la « chipie » est
vraiment devenue « une femme fessée ». Du reste, elle ne
cherche pas à retenir ses pleurs. Elle est bien au-delà de la
fierté, de la compétition. Elle est même d’une certaine manière
au-delà de la douleur. Elle a mal, bien sûr. Très mal aux fesses.
Mais la douleur connaît aussi une sorte d’acmé. Et elle flotte
dans un état quasi comateux. Elle souffre, oui, vraiment. Mais, en
même temps, elle sent plus qu’elle ne sait, qu’elle a atteint un
degré nouveau, état différent.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3211_1544937126"></a>Coin</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Quand Monsieur
décide de cesser cette diabolique progression mathématique, il lui
faudra, à elle, un long moment pour comprendre que la fessée est
vraiment finie. Et Monsieur, aussi attentif et bienveillant qu’il
est sévère et intraitable, lui laisse le temps de reprendre ses
esprits. Quand elle parvient à se relever, toujours agenouillée,
elle s’accroche à son cou comme à une bouée, pose sa tête au
creux de son épaule, et sanglote librement. Il la serre contre lui,
la berce doucement. La main de fer qui la prenait par la nuque est
devenue caressante, apaisante. Il lui laisse le temps. Il laisse du
temps au temps. Quand il la sent calmée, plus sereine, il murmure à
son oreille :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Tu
sais que c’était nécessaire, hein ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et,
la voix encore un peu cassée par ses pleurs, elle réponds,
docilement mais sincèrement :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui,
Monsieur, je le sais »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Beau
joueur, et au fond assez admiratif de la manière dont elle a reçue
cette volée magistrale, il ajoute :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je
suis fier de toi, tu as été courageuse. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle
ressent une bouffée de fierté. Son Monsieur la félicite, son
Monsieur est content d’elle. Elle en frémit de bonheur. Mais elle
n’a pas le temps de répondre avant qu’il ne poursuive :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Et
je sais que tu vas l’être encore »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
L’affirmation
ne la surprend pas vraiment. Quelle que soit la longueur et la
sévérité de la raclée qu’elle vient de prendre, elle comprend
bien que sa punition n’est pas terminée. Que Monsieur a d’autres
idées derrière la tête. Elle s’y attend, sans pourtant pouvoir
anticiper ce que sera la suite. Encore que la première étape était,
elle, assez prévisible. Mais son Monsieur a l’élégance de ne pas
la lui annoncer sous forme d’un ordre, comme quand il l’a fait se
trousser et baisser son slip, mais sous la forme d’une
affirmation :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Tu
sais aussi où tu vas aller maintenant .. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Pourquoi
faire semblant de ne pas comprendre ? Elle acquiesce :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui,
Monsieur … »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Comprenant
à son silence qu’il tient à ce qu’elle le dise explicitement
elle-même, elle poursuit, dans un souffle :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Je
vais aller au coin ... </i>»</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il
n’a pas besoin de le lui confirmer. D’elle-même, en grimaçant
un peu, elle se lève, remonte la slip qui est descendu à ses
chevilles à hauteur de ses genoux, vérifie que sa jupe tient bien
et ne risque pas de retomber, puis elle se dirige vers le mur qu’il
lui indique d’un mouvement du doigt. Elle se tient droite, et, là
encore sans qu’il ait eu besoin de le lui ordonner, elle mets ses
mains sur, ou plus exactement derrière sa tête. Et Monsieur peut se
régaler de l’image de cette fille, encore un peu tremblante, nez
au mur, les fesses rouge carmin. Malgré ses efforts, elle ne
parvient cependant pas à s’empêcher de gigoter, de bouger les
mains, d’agiter les coudes, de piétiner sur place.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La
sanction est, bien sûr, immédiate. Ses cuisses sont aussitôt
cinglées par les lanières d’un martinet. Elle sursaute, sautille,
criaille, mais ne proteste pas, et reprend docilement la position.
Par trois fois, le martinet viendra ainsi la rappeler à l’ordre.
Par trois fois elle reprendra la posture exigée. Et, encore une
fois, elle en est presque à attendre qu’il décide de reprendre la
séance, tant cette immobilité lui pèse.</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3213_1544937126"></a>Reprise</h3>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Combien
de temps est-elle restée ainsi à attendre la décision de
monsieur ? Elle serait bien incapable de le dire. Elle est, ils
sont, hors du temps. Sauf qu’elle commence une nouvelle fois à
piétiner, et finit par demander, d’une toute petite voix :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« J’ai … je peux ...aller...faire pipi, Monsieur, s’il
vous plaît ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Prévoyante,
elle a pourtant pris garde à ne pas boire beaucoup depuis le matin,
et elle a bien fait pipi avant la raclée. Mais il faut croire que
l’expression « une fessée à faire pipi par terre »
n’est pas sans fondement. La réponse de Monsieur est laconique :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Bien
sûr, tu peux. En respectant les règles »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il
n’a pas besoin d’en dire plus. Les jambes toujours entravées par
le slip tendu, elle se dirige à petits pas vers la salle de bain.
Bien sûr elle ne ferme pas la porte, et bien sûr Monsieur se poste
face à elle. Il n’a même pas besoin de réitérer son mouvement
des doigts pour qu’elle écarte délibérément les cuisses, lui
laissant ainsi découvrir le ruissellement cristallin.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Quand
elle revient dans la chambre et se dirige une nouvelle fois vers le
mur, prête à reprendre sa place. Il l’arrête d’un geste. Une
nouvelle fois, il la prend dans ses bras, la serre contre son torse.
Elle fond de bonheur, et de fierté en sentant, contre son ventre, la
bosse qui s’est formée sous la pantalon de Monsieur. Celui-ci
passe ses mains dans son dos, et il caresse précautionneusement, du
bout des doigts, le derrière chaud. Le seul contact, même doux, des
doigts avec ses fesses la fait tressaillir de douleur. C’est comme
si son cul était un champs labouré. Il constate à voix basse :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Ton
cul en a pris assez pour aujourd’hui »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il
l’a fait alors pivoter sur elle-même et lance :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Maintenant,
je te veux à poil. Tout de suite. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
L’ordre
est clair, le ton indique sans équivoque que la punition va
reprendre. Elle s’exécute sans barguigner. En un tour de main,
elle retire son slip, passe les mains dans son dos pour descendre la
fermeture de sa jupe qui tombe à ses pieds, puis ôte son chemisier.
Elle ramasse ses vêtements, va les déposer sur le canapé, puis
revient à sa place, le dos tourné. Monsieur s’est déplacé, lui
aussi. Il a été farfouiller dans la mallette qu’il a déposée
sur la petite table de la chambre.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle
n’a pas tournée la tête. Pas cherché à voir ce qu’il y
prenait. Mais la réponse arrive tout de suite. Un bandeau noir lui
obscurci la vue. Et l’ordre tombe, irrémédiable :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« En
position de soumise ! »</i>
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-20740728788421676312018-05-17T05:34:00.000-07:002018-05-17T05:34:02.559-07:00Du "panpan cucu" à la D/s<!--[if gte mso 9]><xml>
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<br />
<h1 align="center" style="text-align: center;">
Du « panpan cucu » à la
D/s<br />
Etapes d’un parcours</h1>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<h2>
Pratiques conjugales et fanstasmes.</h2>
<div class="MsoNormal">
Pendant presque quatre décennies, IL avait pratiqué le
« panpan cucu » conjugal gentillet. De petites – ou de grosses –
fessées en formes de préliminaires amoureux. Même s’ils avaient pimentés
ceux-ci de jeux bien innocents. Des prétextes, compris comme tels par tous les
deux, pour justifier les fessée ; l’achat de martinets ; quelques
photos suggestives ; et aussi l’introduction d’une sorte de rituel lors de
leurs sorties en amoureux, celui d’imposer à l’Epouse d’aller retirer sa
culotte au cours du repas. Tout cela restait très éloigné des pratiques
« SM » qui lui semblaient un monde qui ne pourrait en aucun cas être
le leur, même si, au cours de leurs ébats conjugaux, elle ne refusait pas que,
parfois, il lui pince les bouts des seins jusqu’à la limite de la douleur. Mais
la fessée constituait aussi le cœur de sa vie fantasmatique. L’achat de revues
traitant de ce sujet<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>- le fameux
« Union », revue emblématique des années 70, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>puis la consultation de sites sur le
« Minitel », ancêtre de l’Internet. Des échanges télématiques, des
conversations téléphoniques, toujours centrées sur ce thème récurent. Bien sûr
l’arrivée d’Internet dans leur foyer donna une autre ampleur à ces
pérégrinations fantasmatiques. IL y découvrit, un peu étonné que ce fantasme
était plus répandu qu’il ne le croyait. Il y retrouva une correspondante de
naguère,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>il noua de nouvelles relations
virtuelles, mais surtout, et ce fut le basculement fondamental, l’une de ses
correspondantes lui permit de passer du virtuel au réel.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<h2>
Passage à l’acte</h2>
<div class="MsoNormal">
Au cours des années, il avait écrit, et parfois publié sur
des sites, des récits fantasmatiques. Il lui en envoya un, un peu comme on
lance une bouteille à la mer, persuadé qu’elle se perdra à jamais, mais avec
l’espoir que rien n’est impossible. Et, en effet, elle ne rejeta mas la
bouteille, mais en discuta le contenu, admettant donc qu’au moins une partie
était réalisable. Ils convinrent d’une rencontre, à laquelle il se rendit sans
être vraiment persuadé qu’elle y serait. Et pourtant, le jour dit, elle y
était. Dans son récit imaginaire, une femme rencontrait un
« Monsieur » inconnu dans un café, et, sur son injonction, elle
retirait sa culotte sans quitter la table. Avait-il vraiment imaginé que cette
inconnue au pseudo fruitier passerait vraiment à l’acte ? Elle le fit
pourtant, et il eut, sur le moment, le sentiment qu’elle le faisait avec un
aplomb qui le sidéra, sans comprendre que c’était pour elle aussi une première,
et une épreuve. Comme le fut aussi, même s’il ne le comprit qu’ultérieurement,
la suite de la concrétisation du récit. Dans celui-ci, la dame relevait sa jupe
dans un parc public, exhibant ainsi ses fesses sans savoir qi d’autres que
celui qui lui en avait donné l’ordre les voyait. Le moment venu, il convint que
ce n’était pas vraiment réalisable. Pourtant, improvisant comme dans un rêve,
il put, dans ce parc public, passer la main sous la jupe, découvrir un derrière
rond et velouté, et même le claquer autant que l’ampleur de la jupe le lui
permettait. Et surtout, il lui donna l’instruction de remette sa<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>culotte sur place. Ainsi dut-elle relever sa
jupe au dessus de sa taille pour enfiler la culotte, mettant ainsi au jour son
bas ventre. Il s’en réjouit, mais il ne fut pas le seul, puisqu’un quidam assis
à seulement quelques mètres ne perdit pas une miette du spectacle qu’elle lui
offrait ainsi. </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<h2>
Basculement</h2>
<div class="MsoNormal">
Avant de se quitter, ils s’embrassèrent, au milieu de ce
square. Une nouvelle fois, il put caresser les fesses, et glisser un doigt pour
constater l’humidité de l’intimité de la dame, et même l’introduire furtivement
dans l’autre petit trou, sans savoir, à cet instant, que c’était pourtant, pour
elle une épreuve. Mais surtout, il glissa la main sur la poitrine et,
d’instinct, il pinça fortement le téton d’un sein. Et ce fut, pour lui en tout
cas la révélation. Un éclat dans les yeux de sa victime, et tout bascula. Il ne
pouvait ignorer qu’il lui avait fait mal. Mais cette brillance furtive dans son
regard lui ouvrit un monde nouveau. Au cours de leurs rencontres ultérieures,
la fessée, sévère, resta le cœur de celles-ci. Mais ils y introduisirent
d’autres pratiques. La « mise au coin », les mains sur la tête, le
simulacre d’exhibition, les yeux bandés, et les « tortures » - même
s’il avait du mal à admettre le mot tout en les pratiquant sans vergogne - des
seins. D’une certaine manière, IL avait basculé dans les pratiques
« SM » avant de l’admettre en son for intérieur. </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<h2>
Paradoxe</h2>
<div class="MsoNormal">
Paradoxalement, il avait presque du mal à s’avouer à
lui-même ce basculement. A admettre qu’en effet, et en contradiction avec ce
qu’il pensait de lui-même, il prenait du plaisir non pas à simuler ces
pratiques, mais bien à les réaliser. Du plaisir à la faire souffrir. Du plaisir
à la pousser plus loin ; à la voir gigoter sous le martinet cinglant, ou
sous les coups d’une brosse appliqués sur ses fesses ; à l’entendre parfois
gémir ; à voir les larmes perler à ses yeux ; à découvrir un derrière
ou un sein marqué. Il ne pouvait pourtant pas se le cacher, il ressentait ce
plaisir qu’il ne pouvait ignorer être de l’ordre du sadisme. Mais surtout, il
découvrait que la douleur physique n’est qu’un élément, certes incontournable
mais pour autant pas unique, de leur relation. Et que c’est bien la sentir
« soumise », physiquement mais peut-être surtout psychiquement, qui
le faisait découvrir cette part de lui-même qu’il avait eu du mal à assumer.
Lui qui est un « tintinophile »il a le sentiment que, comme pour
Milou dans les albums d’Hergé, deux lutins s’opposent dans son esprit. Un ange
qui le rappelle aux conventions, à ses principes humanistes et même féministes,
au respect scrupuleux de la dignité humaine ; et un diable qui le pousse à
se complaire dans la soumission de sa partenaire, dans son obéissance, dans les
punitions qu’il lui inflige. </div>
<h2>
Révélations</h2>
<div class="MsoNormal">
Ainsi la fessée, qui était le cœur de ses fantasmes,
agit-elle aussi comme une révélation. Le « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">connais-toi toi-même </i>» de Socrate, ou une forme de
psychothérapie. Il découvre que chaque étape qu’ils franchissent ensemble les
mène plus loin dans ce monde qui lui était inconnu. Mais il comprend surtout le
paradoxe essentiel. Plus il s’assume dans son rôle de « dominant »,
plus elle se conforme aux règles que doit respecter la « soumise » et
plus c’est elle qui mène le jeu, qui en décide le règles, même et surtout quand
elle se plie à celles qu’il impose. Il sait aussi que tout cela est de l’ordre
du « jeu », mais du jeu comme le vivent les enfants, un jeu
« pour de vrai » Dont les règles ne sont jamais immuables, toujours
en évolution, toujours évoluant le long d’une frontière dont la ligne varie
sans cesse, au gré de leurs échanges, au gré de leurs besoins, au gré de leurs
envies.</div>
<h2>
Et le sien ?</h2>
<div class="MsoNormal">
IL a tenté cet exercice d’introspection. IL l’a incité à en
faire de même. Elle le fait, douloureusement parfois. IL est conscient qu’IL
lui appartient aussi de l’accompagner dans cette démarche. EN le lui imposant,
et en sachant qu’elle y consentira. Ou pas …</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-64724468163456210862018-01-22T01:51:00.001-08:002018-01-22T01:51:18.326-08:00Entretiens avec Lucie Cinquième partie
<h1 class="western">
Entetiens avec Lucie<br />
Cinquième partie</h1>
<span style="color: #663300;">En complément des entretiens, Lucie nous a
fait parvenir quelques témoignages écrits de ses découvertes. ….</span><br />
<h2 class="western">
Témoignages écrits
</h2>
<h3 class="western">
« Philippe »</h3>
Bonjour
<br />
Voici donc un chapitre que j’appellerai Philippe
<br />
<h4 class="western">
Au temps du minitel ...</h4>
Pour fêter l’anniversaire de ma première fessée par Thomas,
il y en a bien qui fête leur 1re rencontre, moi c’est celle de sa
main avec mes fesses, nous voulions quelque chose de particulier. Sur
le minitel 3614 fessées on annonçait une soirée sur Paris. Nous
avons donc décidé d’y aller. Quelle déception, il y avait 80%
d’hommes, du coup après avoir bu un verre nous sommes partis et là
sur le trottoir nous discutions de ce que nous allions faire de notre
soirée quand nous avons été abordés par un couple qui sortait
aussi du même endroit aussi déçu que nous. Cette rencontre va
changer toute la vision que nous avions de la fessée mais bien
d’autres choses également.
<br />
-<i> Excusez-nous mais vous êtes déçu aussi -<br />
Oui, nous
avions déjà assisté à ce genre de soirée mais là il aurait dû
préciser que c’était uniquement pour des hommes. <br />
- En plus
nous venons de province -<br />
Que diriez-vous de venir prendre un
verre chez moi <br />
- Après tout pourquoi pas, Thomas, ma femme
Lucie <br />
- Enchanté, Philippe, Chloé ma soumise</i><br />
<h4 class="western">
<i>« </i><i>Ma soumise »</i></h4>
Nous nous sommes regardé avec Thomas, c’était la première
fois que l’on nous présentait quelqu’un comme une soumise et a
vrai dire nous ne savions pas vraiment ce que cela voulait dire. Nous
l’avons suivi jusqu’à Neuilly où il habite un hôtel
particulier de 3 étages. À l'époque il avait une bonne quarantaine
d’années, nous n’avons jamais su son âge, très chic, costume
d’un grand couturier et elle fluette, 26 ans elle portait une
minijupe super-courte et un bustier noir Il nous a proposé du
champagne et la discussion a démarré sur le sujet qui nous
intéresse. Nous leur avons expliqué nos petits jeux de fessée,
l’achat du martinet, mon séjour en Angleterre. Nous avons ainsi
discuté pendant une heure.
<br />
<i>Je vois, évidemment nous avons dépassé ce stade, nous avons
des jeux ou plutôt je devrais dire un mode de vie autour de la
domination soumission mais ne vous affole</i><i>z</i><i> pas, Chloé
n’est pas mon esclave, elle est libre de sortir, de découcher mais
elle doit m’en informer à l’avance. Quand nous</i> <i>sommes
ensemble, elle doit m’appeler Maître et m’obéir en tout point
sous peine de punitions, n’est ce pas Chloé </i>
<br />
<i>- Oui Maître. </i>
<br />
Cela me faisait tout drôle d’entendre cela, je ne me voyais pas
vivre cela avec Thomas
<br />
- <i>Quand nous nous sommes connus, Chloé en était au même
point que vous mais cela ne veut pas dire que vous deviendrez comme
elle est dès maintenant je peux vous dire sur le peu que je sais de
vous que vous n’avez pas l’état d’esprit à devenir une
soumise, je vous vois plus comme jouissant de jeux de soumission
softs. </i>
<br />
Chloé était là mais ne disait pas un mot
<br />
<i>- Excusez-moi mais je suppose que si Chloé ne dit rien c’est
qu’elle n’en a pas le droit ?</i><br />
<i>Il lui suffit de me demander si elle peut se joindre à la
conversation et je ne m’y oppose jamais, Chloé…</i><br />
<i>- Oui Maître je serais très heureuse de pouvoir donner mon
avis car je vois bien que Madame a du mal à comprendre ce que je vis</i><br />
<i>- Tu peux expliquer </i>-<br />
<i>Merci Maître. J’ai rencontré Maître Philippe lors …
D’un accident de voiture, je rentrais d’une fête un peu arrosée
et à un feu j’ai freiné trop tard et j’ai percuté l’arrière
de son véhicule, nous sommes descendus de voiture, il m’a lancé
un regard noir, je me suis liquéfiée, j’ai commencé à m’excuser
et je suis tombée dans ses bras suite au choc et du fait que j’avais
un peu bu. Ma voiture avait le radiateur crevé, du coup il m’a
proposé de me ramener chez moi et de venir chez lui faire le constat
le lendemain ce que j’ai fait. Je lui ai dit que j’étais
étudiante, il m’a regardé me demandant si j’avais des cours
aujourd’hui, je lui ai dit que oui mais que je n’y étais pas
allée. Il a pris un air très sévère; - </i>
<br />
<i>Et je lui ai demandé ce qu’elle faisait à 2 heures du matin
dehors légèrement ivre alors qu’elle avait cours le lendemain et
qu’en plus finalement elle les avait séchés </i>
<br />
- <i>Je ne lui ai pas répondu, lui par contre m’a demandé qui
payait mes études et ma voiture, évidement je lui ai dit mes
parents, j’ai eu le droit à un sermon qu’il a terminé par si
j’étais à leurs place c’est une bonne fessée que je vous
donnerais. J’ai éludé en lui disant que mes parents avaient
beaucoup d’argent et que du moment que je leur disais que je
suivais les cours…….Il a réfléchi</i>
<br />
-<i> Bien sur en plus vous mentez à vos parents dont vous parlez
avec un air méprisant alors qu’ils vous payent tout mais c’est
leur problème, par contre la voiture c’est la mienne alors moi je
vais le faire. </i>
<br />
<i>- Je l’ai regardé ne comprenant pas ce qu’il voulait dire
et je me suis retrouvée sur ses genoux, je me suis débattue, je
l’ai insulté d’autant plus qu’il avait relevé ma jupe et
baissé ma culotte et j'ai reçu la première fessée de ma vie mais
croyez nous avons fait beaucoup de choses ensemble depuis mais
celle-là elle est gravée au fond de ma mémoire. Quand il m’a
lâchée, je l’ai insultée, il n’a rien dit, m’a mise sous son
bras et a repris la fessée </i>
<br />
- <i>Lui disant que je n’arrêterais que quand elle s’excuserait
ce qui n’a pas tardé. Dés que je l’ai lâchée, elle a pris son
sac et est partie oubliant son constat. </i>
<br />
<i>- Je suis revenue le voir une semaine après car l’assurance
me réclamait le constat. Nous avons discuté, il voulait savoir si
j’avais repris mes cours, je lui ai dit que oui et là il m’a dit
que ce que j’avais besoin c’est de quelqu’un qui l’aide aussi
bien dans ses cours que dans la vie, il m’a donc proposé d’être
cette personne et d’y réfléchir. Que je vivrais chez lui mais
qu’il serait très strict avec moi. Je me doutais de ce que cela
voulait dire mais d’un autre coté je ne me sentais pas capable de
réussir toute seule. J’ai finalement accepté et me suis installée
chez lui en tout bien tout honneur, j’avais ma chambre. Je pouvais
circuler à ma guise, il avait une splendide bibliothèque et j’adore
lire, le paradis. Un mois plus tard environ il m’a demandé de
venir le voir dans son bureau, devant lui il avait deux livres que
j’avais pris dans sa bibliothèque, un de la collection orties
blanches, la petite dactylo, l’autre histoire d’O. </i>
<br />
<i>- Je lui ai demandé si c’étais pour un de ses cours, tu te
souviens de ta réponse </i>
<br />
<i>- J’ai répondu que j’aimais bien ce genre de sujet et que
vous m’aviez dis que votre bibliothèque était disponible pour mes
cours. Je reconnais que sur le coté il y avait des livres avec une
double porte et une clef sur celle-ci et comme il ne m’avait pas
interdit d’en prendre…… J’ai baissé la tête, Monsieur je
suis désolée et si vous estimez devoir me punir je le comprendrais.
</i>
<br />
<i>- J’ai été très surpris de sa réaction et je lui ai dit
que je devais réfléchir. Le soir après le repas, je lui ai dit
qu’elle méritait effectivement une punition je n’avais pas
encore décidé laquelle, j’ai vu son visage s’éclairer, un
sourire. Je lui ai demander s’il elle avait une idée </i>
<br />
<i>- Peut être la même punition que l’autre fois </i>
<br />
<i>- Soit plus précise </i>
<br />
<i>- Une fessée monsieur </i>
<br />
-<i> Bien viens ici, Je lui ai donné sa fessée, elle s’est
relevé, à remis sa culotte, laissé tombé sa jupe, s’est essuyé
les yeux puis m’a prise dans ses bras en me disant que c’étai</i><i>t</i><i>
la première fois qu’on s’occupait vraiment d‘elle et que si je
l’en pensais digne elle voudrait essayer de ressembler à O. Il est
évident que ce n’était pas si simple. Je lui ai dit que si elle
avait sa licence nous ferions un test. Je ne sais pas si c’est
cette perspective mais elle a eu sa licence après quoi j’ai testé
sa capacité à être ma soumise. Je dois avouer que je m’étais
attaché à elle et que finalement, elle l’est devenue et depuis 6
ans nous sommes ensemble. </i>
<br />
<i>- Effectivement je ne me vois pas vivre ainsi, devoir demander
pour pouvoir parler, avoir cette contrainte.</i><br />
<h4 class="western">
Limites</h4>
<i>- Oui mais vous m’avez dit que vous aimeriez connaître vos
limites encore qu’on ne les connaît jamais et je pense que c’est
une des raisons qui vont fait venir a cette soirée </i>
<br />
<i>- La raison principale était de fêter cet anniversaire,
ensuite faire une nouvelle expérience. </i>
<br />
<i>- Vous devez donc être très déçue car finalement vous
n’avez pas été fessée. </i>
<br />
<i>- Je suis sur que quand nous serons rentrées chez nous Thomas
me fêtera mon anniversaire. </i>
<br />
<i>- Vous pensiez que ce serait Thomas ou une autre personne de la
soirée qui vous fesserait</i>
<br />
<i>- Je n’avais pas de préférence. </i>
<br />
<i>- Pourquoi voulez vous attendre d’être rentrés, la soirée
n’est pas terminée. </i>
<br />
<i>- Vous voulez dire……. </i>
<br />
<i>- Pourquoi pas </i>
<br />
<i>- Vous avez tout à fait raison, finalement ma chérie, tu vas
l’avoir ta fessée, Monsieur nous sommes chez vous donc si vous
voulez….. </i>
<br />
<i>- Ce sera avec plaisir et après cette fessée vous aurez le
droit à un cadeau puisque c’est un anniversaire. Cette fessée
étant une fessée d’anniversaire ne doit pas être une simple
fessée mais une fessée dont on se souvient bien après. Vous m’avez
raconté vos fessées en Angleterre et celles avec Thomas, j’en
déduis et vous me direz si je me trompe. Vous devez aimez les
fessées qui vous font honte, humiliantes et ce soir vous allez avoir
les deux puisque fessée par une personne que vous ne connaissiez pas
il y a quelques heures et devant une jeune femme de votre âge mais
aussi. Néanmoins je vais vous donner un privilège que même Chloé
n’a pas quand je lui donne une fessée. Vous le savez c’est le
fesseur qui décide de la durée et de la force de la fessée mais je
vais vous permettre d’employer si vous le désirez un mot code qui
si vous le dites me fera arrêter immédiatement cette fessée, ce
mot est ...</i><br />
- <i>Je vous remercie pour cette attention mais vous me faites un
peu peur </i>
<br />
<i>- La peur fait partie de la fessée, levez vous (l’ordre
avait claqué comme un coup de fouet). Enlevez votre jupe, votre
culotte aussi </i>
<br />
<i>J’ai fait ce qu’il demandait. Il m’a prise par la taille
et m’a fait asseoir sur la table et avant que je ne comprenne, il a
pris mes deux chevilles, a relevé mes jambes, a demandé à Chloé
de tenir la droite et à Thomas de tenir la gauche puis de les
écarter. </i>
<br />
<i>- Nooooon !!! je vous en prie j’ai trop honte non</i><br />
<h4 class="western">
Honte</h4>
<i>- J’espère bien, je vous avais dit que cette fessée serait
exceptionnelle, je pense que c’est une première pour vous, que
vous n’avez jamais été fessée comme cela. Je comprends votre
honte, nous montrer votre fente grande ouverte, poisseuse </i>
<br />
-<i> Taisez-vous ! fessez moi mais ne dites plus rien (Une grande
claque atterrie sur mes fesses) A partir de maintenant je vous
demande de vous taire, si vous voulez dire un mot c’est rouge et
rien d’autre, si vos avez compris faite un signe de la tête. </i>
<br />
<i>J'étais honteuse et très humiliée. Les claques commencèrent
à tomber, il allait d'une fesse à l'autre, espaçant les claques ce
qui était encore plus dur à supporter car on attend et on ne sait
pas quand elle va tomber puis il accéléra et les claques furent
bien plus fortes et surtout certaines tombaient soit à la jointure
des fesses et du haut des cuisses soit sur le bord de ma fente. Mes
fesses commençaient à chauffer, je sentais les larmes me venir mais
j’essayais de ne pas le montrer. </i>
<br />
<i>- Maintenant vous êtes prête pour votre fessée
d’anniversaire, là ce n’étais que la préparation, je vais vous
donner 30 claques </i>
<br />
<i>La première tomba sur ma fesse droite puis sur la gauche, sur
le haut des cuisses, a plat sur ma fente mais moins forte, je me
mordais la lèvre pour ne pas crier. Thomas et Chloé avait du mal à
tenir mes jambes en l’air, j’avais perdu toute pudeur, je sentais
mon sexe s’ouvrir et se fermer. Il me demanda d’arrêter de
gesticuler ou je recevrais 10 claques de plus, mais j’en étais
incapable, je pleurais à chaudes larmes, de douleur et de honte
d’être humiliée. Quand il arrêta, ils lâchèrent mes jambes, je
suis restée prostrée ainsi 5 bonne minutes, mes fesses étaient en
feu et mon sexe trempé. Je le voyais discuter avec Thomas. Ils
revinrent vers moi. </i>
<br />
<h4 class="western">
Plus loin ?</h4>
- <i>Thomas vient de me dire que vous souhaitiez aller un peu plus
loin que la fessée, est ce vrai ? </i>
<br />
<i>- Oui mais ce soir mes fesses ne pourront pas en subir plus </i>
<br />
<i>- Ai-je parlé de vos fesses, acceptez vous de disons passer un
petit test et après vous aurez votre récompense. Vous pouvez
arrêter à tout moment. </i>
<br />
<i>- Oui mais j’espère que cela ne fait pas trop mal </i>
<br />
<i>- Non non ne vous inquiétez pas … </i>
<br />
<i>- Nooooon !!! non pas ça</i>
<br />
<i>- Chut ne vous inquiétez pas </i>
<br />
<i>- - IL avait une petite boite avec des pinces plates.</i><br />
<h4 class="western">
Pinces</h4>
<i>- Regardez elles sont très spéciales, c’est moi qui les
fabrique. Il y a de la mousse au milieu, voila je vous en mets une
sur votre grande lèvre, alors avez-vous mal </i>
<br />
<i>- Non cela pince un peu mais pas trop. (Il en a mise une sur
l’autre lèvre) </i>
<br />
<i>- Toujours supportable ? </i>
<br />
<i>- Oui </i>
<br />
<i>- Bien nous allons ouvrir ce chemisier et enlevez ceci, huuum
!! vous avez de très jolis seins bien fermes, on en met une ici sur
le téton droit </i>
<br />
<i>- Ouh !! ça pince plus mais c’est supportable </i>
<br />
<i>- Vous voyez, allez l’avant dernière sur le téton gauche et
la dernière…..ici </i>
<br />
<i>- Ouille !!! là ça fait un peu mal (il l’avait mis sur mon
clito) </i>
<br />
<i>- Levez vous doucement, voila. Toujours supportable ? </i>
<br />
<i>- Oui, c’est comment dire surprenant, </i>
<br />
- <i>suivez moi, marchez doucement. </i>
<br />
<i>Il a ouvert une porte, sa salle de jeu Je dois avouer que j’ai
eu peur, il y avait une croix de saint andré, un établi, un genre
de cheval d’arçon, des chaînes qui pendaient au plafond. </i>
<br />
<h4 class="western">
Salle de jeux</h4>
<i>- Ne vous inquiétez pas Lucie, vous n’êtes pas prête pour
cela. Venez </i>
<br />
<i>il a pris mes mains et les a mises dans des menottes en cuir
puis a tiré sur une corde et mes bras se sont retrouvés au dessus
de ma tête. Il a pris des petites chaines très fines et a relié
les pinces entre elles </i>
<br />
<i>- N’ayez pas peur. Vous allez appréciez, regardez je ne vais
pas vous faire de mal, c’est une plume de paon. </i>
<br />
<i>Il à passé la plume sur mon corps. Cela chatouillait
énormément et évidement j’ai commencé à bouger, il avait relié
une pince de mon sein droit à celle du clito, des que j’ai bougé,
j’ai senti un élancement dans mon sexe et mon téton, c’était
intenable mais dans le bon sens. Plus la plume me touchait surtout le
dos et plus je bougeais et très rapidement j’ai eu un orgasme puis
un deuxième. </i>
<br />
<i>- Vous voyez Lucie, je ne vous ai pas menti, je ne vous ai pas
fait mal, Thomas voulais voir si vous pouviez jouez avec des pinces
ou s’il pouvait s’occuper de vos tétons avec ses doigts, la
réponse est oui, vous êtes très réceptive et vous avez pris du
plaisir </i>
<br />
<i>- Oui je le reconnais, Vous m’aviez parlé d’une récompense
c’était ça </i>
<br />
<i>- Non non, elle arrive mais je vais vous enlevez ces pinces et
je vais vous demander de ne pas crier si vous le pouvez </i>
<br />
<i>J’ai serré les dents mais c’est vrai que cela fait plus
mal quand on les enlève que quand on les met. </i>
<br />
<i>- Maintenant vous allez suivre Chloé, c’est encore un
souhait de Thomas, mais ce n’est qu’un souhait donc si vous ne
voulez pas vous direz non à Chloé. Elle va s’occuper de vous.</i><br />
<h4 class="western">
Salle de bain</h4>
<i>Je l’ai suivi dans une salle de bain aussi grande que ma
chambre, elle m’a fait prendre une douche puis a massé mes fesses
avec une crème apaisante après quoi elle m’a dit ce que
souhaitait Thomas. Que je me rase le pubis mais il n’osait pas me
le demander. J’ai accepté, elle a commencé aux ciseaux puis au
rasoir, elle m’a massé avec de la crème, m’a fait jouir avec
ses doigts. Elle m’a conseillé si je voulais rester ainsi de
passer le rasoir tous les jours en prenant ma douche ainsi cela ne
gratte pas. Nous sommes retournées dans le salon et là Thomas m’a
fait une minette d’enfer ce qu’il n’avait jamais voulut me
faire car j’avais vraiment une toison très développée. Après
quoi c’est Chloé qui s’est occupé de mon clito puis Philippe
mais lui avec des baguettes de restaurant chinois. C’était,
c’était…… extraordinaire. J’étais exténuée par tous ces
orgasmes successifs. Après un passage dans la salle de bain, je me
suis rhabillée, enfin sans la culotte car Thomas m’a annoncé que
quand je recevrais une fessée, je n’aurais pas le droit de mettre
de culotte et Chloé m’a conseillé de ne pas remettre le soutien
gorge car mes tétons étaient sensibles. Nous sommes allés dans le
salon pour boire un dernier verre sauf Thomas qui a préféré un
café à cause de la route </i>
<br />
<i>- Alors Lucie contente de votre soirée d’anniversaire </i>
<br />
<i>- Oui tout à fait </i>
<br />
<i>- Mieux je pense que si nous étions restés à cette soirée </i>
<br />
<i>- Oui c’est sur en plus j’ai découvert des sensations que
je n’imaginais pas possible. Je vous ai vu parlé avec Thomas et je
suis sur que vous lui avais donné des conseils pour me punir.</i><br />
<h4 class="western">
<i>Conseils</i></h4>
<i>- Je lui ai juste donné des conseils pour que vous ayez encore
plus de plaisir Je ne pense pas que vous pourriez devenir comme Chloé
une soumise à temps plein mais oui j’ai conseillé à Thomas,
c’est de ne pas hésiter à vous donner des ordres, de vous punir
même assez sévèrement car si vous dites que vous ‘aimez pas cela
vous le supportez très bien mais surtout pour que vous preniez du
plaisir même pour une simple fessée il vous faut votre part de
honte et d’humiliation car sinon c’est comme un tournedos Rossini
sans fois gras il manque un ingrédient. Votre idée de la privation
de culotte est une excellente idée, n’hésitez pas non plus à lui
annoncer une punition mais qu’elle recevra plus tard, L’attente
sera pour elle un grand plaisir. Je reçois un vendredi par mois à
diner des amis, 4 couples dont nous, il peut se passer quelque chose
ou....rien sinon un très agréable diner avec des discussions d’un
très bon niveau, seriez vous intéressés, </i>
<br />
<i>- Oui pourquoi pas, n’est ce pas Thomas </i>
<br />
<i>- Oui cela me parait très intéressant. </i>
<br />
<i>Nous sommes retournés à notre voiture, je sentais le
frottement de ma jupe et de mon chemisier sur mes fesses et mes,
c’était à la foi douloureux mais aussi agréable. </i>
<br />
<h4 class="western">
j’ai oublié de faire pipi
</h4>
<i>- Mon amour il va falloir t’arrêter sur l’autoroute, j’ai
oublié de faire pipi </i>
<br />
<i>- Tu te moques de moi, tu ne pouvais pas y aller chez Philippe </i>
<br />
<i>- Désolée </i>
<br />
<i>- Il n’en est pas question, je vais donc appliquer ce que
viens de dire Philippe, tu fais ici avant de monter dans la voiture. </i>
<br />
<i>- Tu es fou ici dans la rue, mais si quelqu’un vient </i>
<br />
<i>- A 3 heures du matin, dépêche toi il n’y a personne, ou tu
obéis ou je te fesse et là avec le bruit </i>
<br />
<i>Je ne sais pas s’il l’aurait fait mais j’ai relevé ma
jupe et j’ai fait pipi devant lui dans le caniveau entre deux
voitures, j’avais presque plus honte que pendant la fessée. Nous
sommes rentrés à la maison, mais je n’ai rien vu de la route,
j’ai dormi tout le temps, Arrivés, il m’a prise dans ses bras
m’a monté dans la chambre m’a déshabillée et s’est couché à
coté de moi. </i>
<br />
<i>Je voulais absolument vous raconter cette rencontre avec
Philippe car après celle avec Henry et Mary et deux autres qui vont
arrivées, elle m’ont permis de me réaliser sexuellement et Thomas
reconnais qu’il n’aurait jamais eu le courage de me demander
certaines choses ayant peur d’essuyer un refus. </i>
<br />
<br />
<br />
<br />
<h2 class="western">
Les confidences de ma mère
</h2>
<h3 class="western">
Souvenirs difficiles</h3>
La veille de mon mariage, le 11juillet 1982, j’étais chez mes
parents, ma mère tenait à ce que je passe ma dernière nuit avant
le mariage chez eux et sans Thomas. Nous avions fais les derniers
achats et nous étions toutes les deux dans le salon sur le canapé.
Je sentais que ma mère voulait me dire quelque chose mais n’osait
pas.
<br />
-<i> Maman, je t’écoute </i>
<br />
<i>- Quoi </i>
<br />
<i>- Tu veux me demander quelque chose alors vas y </i>
<br />
<i>- Voila j’ai entendu par hasard les enfants parler d’une
fessée que Thomas t’aurait donnée </i>
<br />
<i>- Et… </i>
<br />
<i>- Comme ça et… c’est donc vrai Thomas te bat </i>
<br />
<i>- Oulla !!!! non il ne me bat pas. Je suis tout à fait
consentante sur le principe. Quand je m’énerve, que je suis de
mauvaise foi ou un peu capricieuse, tu me connais, plutôt que l’on
se dispute il me donne une fessée et crois moi ça me calme c’est
tout. </i>
<br />
<i>- C’est sur que par moment j’aurais du en faire autant
quand tu étais gamine </i>
<br />
<i>- Pourquoi ne l’as-tu pas fais, une fois j’ai même cru que
tu ne m’aimais pas quand la voisine a fessé sa fille et moi tu
m’as envoyée réfléchir dans ma chambre </i>
<br />
-<i> La raison est j’ai vécu une expérience traumatisante
quand j’étais jeune……. Je ne t’en ai jamais parlé mais
voila. Ton grand père que tu n’as pas connu, il est mort en 1945
en Alsace. Il était dans l’armée, dans les spahis et je peux te
dire qu’il menait sa famille comme ses hommes, à la baguette et
pour nous c’étai</i><i>t</i><i> au sens propre. Il était en
Afrique et rentrait tous les 6 à 8 moi, là cela faisait deux ans
que nous ne l’avions pas vu, il avait rejoins la 1ère armée quand
ils ont débarqué en Provence, nous habitions Avignon, il a pu venir
nous voir rapidement, il n’est resté qu’une journée Pour ton
oncle Edouard, c’était un inconnu car il n’avait que 3 ans. Dans
l’après midi il nous a fait passé au rapport comme il disait.
C’était son habitude à chacun de ses retour. Maman devait lui
dire si nous avions bien travaillé à l’école et si nous avions
été sages, si oui il nous donnait un cadeau souvent de l’argent
sinon il nous punissait. Ce jour là tes oncles et tantes était
passés avant moi puisque j’étais l’ainée. Ton oncle Robert et
ta tante Adeline avait été punis. C’était mon tour, je suis
entrée mais il fait revenir les sept autres ce qu’il ne faisait
pas d’habitude. Il m’a reproché de ne pas être très bonne en
classe mais aller au lycée et aider maman, c’était très
compliqué. En plus ta tante Bernadette s’était plainte que
j’étais méchante avec elle, il m’a prise par l’épaule m’a
fait penchée sur la table, ta grand mère a relevé ma robe et
baissé ma culotte et j’ai reçu 10 coups de cravache, j’en ai
gardé les marques une semaine. Il m’a envoyée dans ma chambre
quand je suis redescendue, il était parti et je ne l’ai jamais
revu.. </i>
<br />
- <i>Ma pauvre maman </i>
<br />
<i>- Tu sais pourquoi nous ne voyons pas ta tante, je ne lui ai
jamais pardonnée. Voila pourquoi tu n’as jamais reçu de fessées
ou de gifles et pourtant dieu sait que ton père et même monsieur le
curé m’ont incité à te donner une bonne fessée car franchement
tu nous en a fait baver, tu étais vraiment capricieuse. </i>
<br />
<i>- Je suis désolé, finalement tu aurais du écouté papa et…
</i>
<br />
<i>- Pourquoi ta mère aurait du m’écouter </i>
<br />
<i>- Ho papa !! tu es rentré </i>
<br />
<i>- Oui j’en avais assez et il faut que je prenne des forces
pour demain, il faut que je t’emmène à l’autel. Alors pourquoi
ta mère aurait du m’écouter </i>
<br />
<i>- Je peux lui dire </i>
<br />
<i>- Oui, on peut lui dire il ne t’en voudra pas, en fait maman
a entendu une discussion entre Cécile et Olivier qui disait que
j’avais reçu une bonne fessée par Thomas </i>
<br />
<i>- Tu as reçu quoi ?? </i>
<br />
<i>- Comme je l’expliquais à maman, quand je suis têtue, de
mauvaise foi, enfin tu me connais, hé bien un jour Thomas en a eu
assez, il m’a donné une fessée et pendant un temps j’étais
beaucoup plus calme </i>
<br />
<i>- Tu vois maman j’avais raison, ton Thomas je l’aime bien,
il a tout compris telle mère telle fille et finalement le même
remède.</i><br />
<h3 class="western">
Par Papa</h3>
<i>- Papa tu veux dire que… </i>
<br />
<i>- Oui je suis comme Thomas quand ta mère m’énerve cela se
termine comme ça </i>
<br />
<i>J’étais stupéfaite, mon père donnait la fessée à ma
mère, je n’en revenais pas </i>
<br />
<i>- Si je m’écoutais je…je…je te donnerais là maintenant
une fessée pour toutes celles que je ne t’ai pas données et que
tu méritais et tu en as mérité un paquet. </i>
<br />
<i>- Elle à 29 ans, un père ne donne pas une fessée à sa fille
de 29 ans qui se marie le lendemain </i>
<br />
<i>- Thomas le fait bien et tu as quel âge toi hein </i>
<br />
<i>- Papa, tu as raison, je serais toujours ta petite fille alors
c’est à toi de décider </i>
<br />
<i>- Bien si tu le prends comme cela, viens </i>
<br />
<i>Je me suis mise sur ses genoux </i>
<br />
<i>- Ne sois pas trop sévère </i>
<br />
<i>- Ma chérie une fessée c’est une fessée </i>
<br />
I<i>l m’a serrée contre lui, j’étais en short, la première
claque tomba, puis la suivante, il claquait en tapant sur toute la
surface de mes fesses. J’ai tout de suite compris qu’il voulait
me donner une bonne fessée. Il se lâchait, j’avais finalement
terriblement honte de me retrouver sur les genoux de mon père. Les
claques tombaient régulièrement mais pas très fortes. On sonna à
la porte, mon père s’arrêta. C’était Thomas qui m’apportait
mes bas que j’avais oublié à la maison. Me voyant ainsi… </i>
<br />
<i>- Qu’est ce qui se passe </i>
<br />
<i>Ma mère lui expliqua, j’étais toujours dans la même
position. </i>
<br />
<i>- Vous avez bien raison Robert, avec ce qu’elle vous a fait
endurer. Mais je ne veux pas vous déranger </i>
<br />
- Pas du tout, vous pouvez rester
<br />
<i>Mon père repris sa fessée </i>
<br />
<i>- Vous savez Robert moi quand je la fesse c’est cul nu </i>
<br />
<i>- Ca me gène </i>
<br />
<i>- C’est votre fille, vous avez déjà du voir ses fesses,
vous avez changé ses couches </i>
<br />
<i>- Après tout vous avez raison </i>
<br />
<i>- Non non je ne suis pas d’accord </i>
<br />
<i>- Mais ma chérie on ne te demande rien </i>
<br />
<i>Je le senti prendre l’élastique de mon short et de ma
culotte et tout baisser. Une grêle de claques vigoureuses tombait
maintenant sur mes fesses. je recevais une bonne, une brûlante
fessée. Mes fesses se tortillaient, ondulaient, mes jambes battaient
l’air, se croisaient, s’écartaient, se tendaient et cette main
qui enserrait mes hanches. J’essayais de rester digne, mais je n’y
arrivais pas </i>
<br />
<i>- Aiie….. ouille……. Nooon…… arretes…… …ahhhhh…….
Nooooon…… Je……..t’ en ……prie……… arrrrretes …………
</i>
<br />
<i>Mes fesses brûlaient, je sentais la chaleur irradier tout mon
corps, Il me semblait qu’il n’arrêterait jamais cette fessée
cuisante. Je sanglotais maintenant lançant mes jambes dans tous les
sens, il avait du mal à me maintenir, les claques pleuvaient,
tantôt, à gauche, puis à droite, puis au centre, sur le bas des
fesses Je réagissais comme une petite fille. Puis le silence, je
prenais quelques secondes pour constater que c’est fini. Je restais
inerte allongée sur lui qui reprenait son souffle. Je me relevais
anéantie, je serrais mes fesses. Que j’avais mal, c’était
horrible, quelle punition ! ! ! ! ! Je me rendis compte à ce moment
là que j’étais face à eux et qu’ils voyaient mon pubis
entièrement épilé, j’ai mis mes mains devant mais ils avaient
vu. </i>
<br />
- <i>J’ai demandé à Lucie de se raser le pubis car comme par
moment elle se conduit comme une gamine comme cela elle en est une </i>
<br />
<i>Ma figure était aussi rouge que mes fesses. </i>
<br />
<i>- Tu t’en sors bien, si tu avais été à la maison, j’aurais
sûrement pris le martinet </i>
<br />
<i>- Si voulez j’en ai un Thomas (Là c’est ma mère qui est
devenue écarlate) </i>
<br />
<i>- Je pense que cela suffit en plus demain soir elle recevra sa
première fessée de femme mariée, n’est pas ma chérie, tu vas
pouvoir t’asseoir demain </i>
<br />
<i>- (j’ai remonté mon short et ma culotte) oui ne t’inquiète
pas. Papa, maman, je m’excuse pour tout ce que je vous ai fais
subir mais je suis bien contente maman que tu n’aie pas voulut me
fesser ni papa quand j’étais plus jeune, ouille ! ouille ! ouille,
je ne suis pas prés de l’oublier celle-là. </i>
<br />
<i>- Tu seras toujours notre petite fille </i>
<br />
<i>- Vous savez Robert, Paulette, vous aurez toujours le droit de
la fesser si vous estimez cela nécessaire </i>
<br />
<i>- Mais ce ne sera pas nécessaire, allez va t’en rentre à la
maison</i><br />
<h4 class="western">
Après la noce</h4>
L<i>e lendemain il faisait un temps magnifique, nous nous sommes
dit oui. J’ai modifié à l’église la petite phrase, je jure de
t’aimer, de t’être fidele dans le bonheur et les épreuves, te
soutenir tout au long de notre vie, j’ai rajouté t’obéir après
soutenir, il n’y a que Thomas et le curé qui l’on entendu et à
la sortie de l’église celui-ci m’a glissé, tu as intérêt à
lui obéir sinon… et il a fait un mouvement de la main que j’ai
très bien compris. </i>
<br />
<i>Le soir, j’ai reçu ma première fessée de femme mariée
après quoi nous avons fait l’amour et j’ai écouté le conseil
de Philippe. Nous faisions une pause, j’ai ouvert le tiroir de
table de nuit, je me suis mise à quatre pattes et j’ai dis à
Thomas : </i>
<br />
<i>- Mon amour une femme a trois pucelages, le premier c’est
Jürgen qui l’a eu, ta fiancée t’a donné sa bouche et
aujourd’hui car un mariage sans dépucelage ne serait pas un
mariage je te donne le dernier (J’ai tendu le petit tube de
vaseline et j’ai écarté mes fesses, Thomas a eu un grand sourire
et a fait cela avec douceur)</i><br />
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-58734624518310233912018-01-22T01:08:00.002-08:002018-01-22T01:09:17.508-08:00Entretiensavec Lucie, quatrième partie<h1 class="western">
Entretiens avec Lucie<br />
Quatrième partie.</h1>
<br />
<br />
<br />
<h2 class="western">
Avertissement de « l’éditeur »</h2>
<span style="color: #663300;">Dans ce quatrième entretien, Lucie nous
révèle comment la fessée fait partie de leur vie non seulement de
couple mais aussi de famille. </span>
<br />
<span style="color: #663300;">Il est nécessaire de préciser que ces
confidences doivent être considérées comme de la <b>fiction,</b>
même si c’est de la « <i>fiction vraie </i>» et
surtout qu’elles ne sont en a<u>ucune manière une incitation à
reproduire ces habitudes</u>. La fessée est une pratique entre
« adultes consentants » et <u>en aucune manière une
méthode d’éducation pour les enfants.</u></span><br />
<div style="text-decoration: none;">
<span style="color: #663300;">Précisions
aussi que les opinions de Lucie sur les méthodes éducatives …
n’engagent qu’elle-même.</span></div>
<h3 class="western">
Pratiques en famille</h3>
<span style="color: #663300;">Lucie, lors de nos conversations, j’ai cru
comprendre que vos enfants étaient d’une certaine manière à
l’origine de vos premières fessées par celui qui allait devenir
votre mari. Mais savent-ils que celui-ci est « sévère »
avec leur maman ?</span><br />
<span style="color: black;"><i>Je vous réponds sans la moindre
hésitation : « oui » Ma fille et le fils de Thomas
le savent. Et nous nous en sommes aperçu dans des circonstances que
je vais vous raconter :</i></span><br />
<h3 class="western">
Une conte de Noël</h3>
<i>Le matin du 24 décembre 1981 Cécile et Olivier se sont assis
devant le sapin en faisant semblant de ne pas voir que nous étions
dans la cuisine </i>
<br />
<i>- Tu sais finalement quand les parents pensaient qu’on
croyait au père noël c’était pas mal car on pouvait toujours
leur demander des choses qu’ils n’osaient pas nous refuser,
maintenant ils discutent sur ce que nous voulons, ben non c’est
trop cher, pas pour toi, tu es trop jeune ou trop vieux, on pouvait
demander des trucs pas possible, ils faisaient de efforts </i>
<br />
<i>- Oui tu as raison, ben moi cette année j’aurais demandé
qu’un truc, une maman </i>
<br />
<i>- C’est drôle, moi j’aurais fait comme toi j’aurais
demandé un papa en plus il n’aurait eu besoin de chercher loin et
même sans ses lunettes, ils les a sous ses yeux. </i>
<br />
<i>- Surtout qu’ils font comme s’ils étaient mariés, ils
font même l’amour ensemble </i>
<br />
<i>- Ben oui comme les parents, même que de temps en temps ton
père devrait lui mettre la main devant bouche, l’autre jour cela
m’a réveillé et en plus quand maman fait une bêtise, ton père
lui donne une fessée, tu as raison ils font tous comme des parents.
Vraiment dommage que le père noël n’existe pas. </i>
<br />
<i>On était là bouche bée tous les deux. Ils sont partis dans
la chambre, nous allions en parler quand ma belle mère est arrivée
pour prendre les enfants car nous devions aller faire les courses. Le
soir réveillon, messe de minuit et bien sur quand nous sommes
rentrés le père noël était passé. Tout le</i> <i>monde a fait
semblant de découvrir ses cadeaux et alors que je ramassais les
papiers déchirés, Thomas a dit « tiens il reste un cadeau et il
est venu vers moi. </i>
<br />
<i>- Il restait un paquet, le père noël est passé cet après
midi pendant que tu finissais les courses et m’a dit qu’il y
aurait un paquet supplémentaire pour toi. Un souhait fait par des
enfants qui ne croient plus en lui et il voulait leur prouver qu’il
existait. Qu’il avait trouvait ce qu’il avait demandaient. Il m’a
dit ce que c’était. Que ce cadeau n’était que provisoire car il
n’avait pas eu le temps de trouver la vraie. Odile veut tu bien
m’épouser afin que nous réalisions le vœu de ces enfants. </i>
<br />
<i>Il a ouvert la boite dans lequel il y avait une bague mais en
fait un jouet qu’il avait trouvé dans la boite à bijou de Cécile.
JE dois avouer que je ne m’y attendais pas car nous n’en avions
jamais parlé, Je voyais les enfants suspendus à ma réponse. </i>
<br />
<i>- Oui mon amour </i>
<br />
<i>Nous nous sommes embrassés et deux tornades nous ont sautées
dessus. </i>
<br />
<div style="font-style: normal;">
<span style="color: #663300;">C’est une belle
histoire ! Donc, pour vos enfants, la fessée, c’est pour
« les papas et les mamans » ? Pourtant, j’ai aussi
cru comprendre que eux aussi … ?</span></div>
<i>J’ai voulut raconter cela car même si nous sommes ce que
l’on appelle une famille recomposée, nous sommes très fusionnels
Oui nous avons donné quelques petites fessées à nos enfants mais
toujours sans violence ni brutalités, 10 claques maximum, ils ne
nous en ont jamais voulut, la preuve la petite scène suivante. Quand
elle avait 15 ans, Cécile a été grossière avec une de ses
professeurs quand je l’ai appris, je l’ai rejointe dans sa
chambre et je lui ai donné une fessée puis comme d’habitude elle
est venue dans mes bras et nous avons fait un câlin. </i>
<br />
<i>- Je suis désolée Cécile mais là tu as été trop loin, tu
te rends compte que cela faisait 3 ans que je ne t’avais pas punie
comme ça </i>
<br />
<i>- Ne t’en fais pas maman je la méritais et puis cela prouve
que tu m’aimes et tu seras toujours ma maman Toute la vie. Je suis
sur que si dans 20 ans je fais une grosse bêtise, tu n’hésiteras
à me donner une fessée je t’aimerais toujours. </i>
<br />
<i>Cela prouve que l’on peut aimer ses enfants mais également
sévir quand il le faut et qu’ils le comprennent contrairement à
ce que disent des parents adeptes de Mme Dolto, la grande prêtresse
de l’enfant roi dont on voit aujourd’hui les dégâts occasionnés
par ses préceptes</i>
<br />
<br />
<br />
<br />
<h2 class="western">
La découverte du martinet</h2>
<span style="color: #996600;">Nous allons changer de sujet, Lucie, puisque
ces entretien concerne la fessée dans le couple, et pas les méthodes
d’éducation des enfants. J’ajoute que, de mon point de vue, pour
être certains qu’il n’y ait jamais de dérapages en la matière,
il serait nécessaire que chaque fois qu’un parent donne une fessée
à un enfant, il reçoive la même punition. Et comme lui – ou elle
– sont ds adultes, il serait juste que ce soit le même nombre de
coups, mais pas à main nue … Vous voyez ce que je veux dire ?</span><br />
<span style="color: black;">O<i>ui, bien sûr, monsieur … Mais je vous
rassure, pour nos enfants, il s’est toujours s’agit de petits
« panpan cucu » Le martinet … il ne sert que pour moi !
Et, si cela vous intéresse, je vais vous raconter comment nous avons
acquis notre premier martinet :</i></span><br />
<i>Pour les vacances de Pâques, nous sommes partis tous les deux
crapahuter, notre grand plaisir. Nous sommes allés dans le désert
des Causses. Nous avions pris une chambre d’hôtes. Le premier jour
nous avons sympathisé avec Catherine la patronne Une femme d’une
cinquantaine d’année. Le deuxième soir j’étais en train
d’embêter Thomas qui préparait l’itinéraire du lendemain et il
en a eu assez, il m ‘attrapé, m’a plaqué sur le lit et m’a
donné une bonne fessée pour me calmer. </i>
<br />
<i>Le lendemain nous avons fait une belle ballade et en rentrant
le soir </i>
<br />
<i>Catherine était sur le pas de la porte en train d’éplucher
des pommes. </i>
<br />
<i>- Vos fesses ne vous pas trop fait souffrir (j’ai rougi) </i>
<br />
<i>- Non merci ça va </i>
<br />
<i>- Dites monsieur, si vous ne voulez pas vous faire mal aux
mains, je peux vous prêter ça (elle nous a montré un très beau
martinet avec un manche noir sculpté qui pendait dans la cuisine) </i>
<br />
<i>- Il est superbe </i>
<br />
<i>- Fait sur mesure, enfin mes fesses ont un peu grossie mais il
s’en sert encore </i>
<br />
<i>- Qui ça </i>
<br />
<i>- Ben mon mari quand il rentre, là il est dans la montagne
avec les moutons. </i>
<br />
<i>- Où vous l’avez trouvé </i>
<br />
<i>- C’est la Clémence qui les faits, elle est dans un hameau
avant d’arriver sur le causse noir, elle tient un genre de boutique
épicerie poste bistrot cordonnier bien qu’elle ait 80 ans. Vous
allez passer par le hameau en allant sur le causse. Si vous en voulez
un pour votre dame Elle vous le fera et c’est de la bonne qualité,
celui-là il a plus de 10 ans. Je peux vous monter jusqu’au début
du sentier parce que faire 10 kms de route ce n’est pas très
intéressant. Je vous laisse, à tout à l’heure pour le diner, une
bonne soupe, boudin aux pommes et châtaignes fromage et tarte ça
vous va. </i>
<br />
<i>Nous sommes montés dans la chambre. </i>
<br />
<i>- Tu vois je te l’ai dit elle a tout entendu </i>
<br />
<i>- Et alors, tu as honte </i>
<br />
<i>- Ben oui un peu </i>
<br />
<i>- Tant mieux cela t’apprendra à m’embêter. </i>
<br />
<i>Le lendemain Elle nous a emmené comme prévu jusqu’au chemin
qui menait au hameau et nous avons marché une heure sur une pente
assez raide </i>
<br />
<i>La boutique c’était en fait la salle à manger. </i>
<br />
<i>- Bonjour Madame, c’est Catherine qui nous a conseillé de
venir vous voir car nous voudrions vous acheter un martinet, elle
nous en a fait voir un très beau avec un manche en bois sculpté. </i>
<br />
<i>- Oui je vois avec des lanières de cuir de bœuf les plus
dures mais avec son postérieur il lui faut bien cela, c’est pour
vos enfants ? ou votre chien peut-être ? </i>
<br />
<i>- Répond Lucie la dame te pose une question (je suis devenue
écarlate) </i>
<br />
<i>- Pas la peine de répondre, votre visage a répondu pour vous,
votre monsieur va s’en servir pour épousseter vos fesses. </i>
<br />
<i>- Oui, enfin……, </i>
<br />
-<i> J’ai plusieurs sorte de martinet cela dépend si c’est
pour punir votre dame, mais elle a l’air si gentille. A moins que
ce soit pour au contraire lui donner envie mais à son âge il ne
doit pas falloir la pousser. De toute façon il va falloir que je
prenne ses mesures car chaque personne a son martinet. Il est évident
qu’un martinet pour Catherine n’irait pas pour vous. La longueur
des lanières est le paramètre le plus important car voyez vous il
ne faut pas qu'elle dépasse l'arrondi des fesses quand elles
cinglent. Je vais commencer les mesures, penchez vous largeur,
longueur hauteur bien. Maintenant pour savoir quel genre de peau je
vais prendre j’aurais besoin que vous enleviez votre short </i>
<br />
<i>- Hein mais non </i>
<br />
<i>- Lucie je te conseille d’obéir à madame sinon </i>
<br />
<i>- Ce n’est pas la peine de lui promettre une fessée parce
que de toute façon il va falloir qu’elle en reçoive une car sinon
je ne pourrais pas me rendre compte de l’élasticité et de la
fermeté de ses fesses. </i>
<br />
<i>- Je ne suis pas d’accord </i>
<br />
<i>- Lucie où tu le baisses toi-même car si c’est moi qui le
baisse, et je demanderais à madame son martinet le plus dur pour
m’’occuper de tes fesses. </i>
<br />
<i>- Non non !!! </i>
<br />
- <i>Ne vous inquiétez pas Madame, ce ne sera pas méchant, voyez
monsieur elle est obéissante </i>
<br />
<i>J’ai baissé mon short. Elle s’est assise derrière moi, à
commencer à bouger mes fesses de droite à gauche puis de haut en
bas </i>
<br />
<i>- Passons aux choses sérieuses (elle a baissé ma culotte) </i>
<br />
<i>- Non, arrêtez de bouger comme ça sinon je ne peux pas
travailler </i>
<br />
<i>- Lucie !!!!! </i>
<br />
<i>Elle a tripoté mes fesses, les pinçant légèrement, les
soupesant donnant de petites claques </i>
<br />
<i>- Vos fesses sont magnifiques, bien fermes élastiques, elles
répondent bien, j’ai l’impression que l’on doit s’en occuper
souvent. Pour être sur de la matière que je vais employer, je pense
donc vous donner une petite fessée afin que je vois comment
réagissent ces petite fesses, regardez elles ont froid, elles ont la
chaire de poule. Monsieur si vous voulez vous en occuper. </i>
<br />
-<i> Je vous laisse faire, je suppose que vous devez avoir
l’habitude </i>
<br />
<i>- Cela fait environ six mois que je n’en ai pas donné mais
ne vous inquiétez pas je connais la méthode, j’ai eu 8 enfants.
Allez venez sur mes genoux, </i>
<br />
<i>- Je vous en prie, est bien nécessaire ? </i>
<br />
<i>- Oui mais vous allez voir une fessée comme ça, vous en
redemanderez </i>
<br />
<i>Je me suis allongée sur ses genoux, elle a commercé par
caresser mes fesses donner quelques petites tapes. La fessée ne fut
pas forte mais intense et rapide, elle faisait des réflexions sur
mes fesses, sur leur coloration, leur rebond... </i>
<br />
<i>Elle s’arrêta de me fesser continua de les caresser puis me
demanda de me lever et de poser les mains sur le plat de la chaise. </i>
<br />
<i>- Monsieur, je vais faire les essais car je pense avoir plus
l'habitude que vous si c’est votre premier martinet </i>
<br />
<i>- Bien sur faites. </i>
<br />
<i>- Bon on va commencer par celui-ci </i>
<br />
<i>Elle promena les lanières sur mes fesses que je serrais puis
cingla mon petit derrière mais doucement et petit à petit les
cinglées furent plus fortes, mes fesses me cuisaient. Je gémissais,
dansait d'un pied sur l'autre à chaque cinglage qui zébrait de plus
en plus mes </i>
<br />
<i>fesses. J’avais les fesses en feu, mais en même temps je
sentais mon sexe s’ouvrir et j’espérais que personne ne verrait
que je mouillais. Elle passa sa main sur mes fesses. </i>
<br />
<i>- Elles réagissent bien et je constate que votre corps vous
trahi, petite coquine. Je pense que ce genre de martinet ira bien
pour les punitions, enfin si Monsieur estime cela nécessaire, vous
allez me dire que vous êtes toujours sage mais une femme sage, est
ce que cela existe? C’est du cuir de vache, vous voyez il y a 16
lanières et non pas 12 comme cela la douleur est identique mais les
marques restent moins longtemps. Que diriez-vous en plus d’un
martinet pour le plaisir. Il est fait en velours en peau de lapin et
en peau de chèvre</i><br />
<h4 class="western">
En peau de lapin !</h4>
-<i> Cela existe </i>
<br />
<i>- Oui ma petite dame, vous allez voir... voila. Restez dans
cette position mais écartez bien les jambes. </i>
<br />
<i>Elle se recula et lança les lanières qui atterrirent sur la
jointure de mes fesses mais aussi sur mon sexe, j’ai fermé mes
cuisses, surprise. </i>
<br />
<i>- Je vous ai fait mal </i>
<br />
<i>- Non, c’est surprenant </i>
<br />
<i>- Je vais encore plus vous surprendre, reprenez votre position </i>
<br />
<i>Elle cingla …directement mon entrejambes et mon sexe, j’ai
poussé un cri, une des lanières avait touché le haut de ma fente
et mon petit bouton. </i>
<br />
<i>- Vus avez mal </i>
<br />
<i>- Ho non c’est… recommencez ;;;; oui ou i encore encore </i>
<br />
<i>C’était incroyable je n’en revenais pas, elle me donna 5
coups de plus sur les fesses et mon sexe. Les lanières étaient
toutes luisantes </i>
<br />
<i>- Monsieur je pense que vous devriez vous occuper de votre
dame, dans l’état où elle est, il n’y a que vous qui puissiez
faire quelque chose pour elle, sinon elle va mouiller mon carrelage.
Je vais aller vous chercher un pichet de lait de chèvre, prenez
votre temps (elle est sortie, je me suis jeté sur le short de Thomas
</i>
<br />
<i>- Viens mon amour prends moi vite je n’en peux plus </i>
<br />
<i>Thomas a enfourné son membre d’une seule poussée et j’ai
senti son pubis taper mes fesses, j’ai poussé un grand cri, thomas
a mis sa main sur ma bouche. Heureusement car je pense que tout le
village serait venu tellement j’avais envie de hurler Il continuait
ses vas et viens et à chaque fois que son pubis touchait mes fesses,
une douleur irradiait tout mon postérieur Mon plaisir prenait le pas
sur la douleur et j’explosais, un orgasme énorme parcourra mon
corps et quelques secondes plus tard c’est Paul qui jouissait en
moi. Nous restions penchés sur la chaise. Je n’en revenais pas je
venais de me faire fouetter le sexe et j’avais eu un orgasme. Nous
avons repris une tenue correcte quand elle est revenue. </i>
<br />
<i>- Je pense que vous voulez les deux </i>
<br />
<i>- Oui bien sur, c’est incroyable, je ne pensais pas que
c’était possible, j’ai encore du mal à m’en remettre </i>
<br />
<i>- je vais vous mettre deux beaux manches et pour le martinet
qui vous a donné tant de plaisir je vais mettre 18 lanières car
madame est très sensible du clitoris les cinglages seront plus
lourdes mais plus douces et auront plus d'effet sur lui. </i>
<br />
<i>- Merci combien vous doit on </i>
<br />
-<i> Rien vous venez de me faire passer un très bon moment et
puis j’ai 82ans alors l’argent. Qu’en repassez-vous ? </i>
<br />
<i>- Demain en fin de matinée, nous passons la nuit au refuge du
désert. </i>
<br />
<i>- Vous allez voir c’est très impressionnant car il n’y a
que le vent s’il y en a sinon c’est encore pire on sursaute à
chaque bruit. Je vous prépare les martinets pour demain. </i>
<br />
<i>Nous sommes partis. Apres 3 heures de marche nous étions sur
le causse, nous avons vite compris pourquoi cela s’appelle le
désert. Rien pas un oiseau, pas un bruit. Nous sommes arrivés au
refuge, il y avait 4 paillasse en paille, une lampe a pétrole une
bassine pour l’eau et quelques recommandations. Pour l’eau il
fallait aller au petit lac à 1km. </i>
<br />
<i>Nous avons fait la ballade. L’eau était glacée. Pas d’autre
solution si nous voulions nous laver quand même, nous nous sommes
déshabillés et lavés à grand coup de bassine. Je grelottais. </i>
<br />
-<i> On fait la course pour rentrer, cela va nous réchauffer </i>
<br />
<i>- Avec les chaussures de marche, on se rhabille quand même </i>
<br />
<i>- Pourquoi faire, il n’y a personne, tu as peur que quelqu’un
te vois nue, tu n’es pas si pudique quand je te fesse, allez, le
dernier arrivé reçoit une fessée </i>
<br />
<i>Il m’a surprise, j’ai essayé de le rattraper mais je n’y
suis pas arrivée bien que je cours aussi vite que lui en temps
normal. Arrivée au refuge, j’ai eu le droit à ma fessée mais
elle fut courte car rien de plus compliqué de fesser une femme sous
son bras et que celle-ci se saisisse du sexe du monsieur et le
masturbe. Pour se réchauffer, faire l’amour c’est bien aussi. La
vielle dame avait raison, cette absence de bruit, uniquement le bois
du refuge qui craque c’est flippant. Le lendemain nous sommes
repartis vers le hameau. La dame était sur le pas de la porte avec
son chat. </i>
<br />
<i>- Alors les tourtereaux la ballade a été belle, vous avez
apprécié le silence, stressant n’est pas </i>
<br />
<i>- Oui mais quand le vent s’est levé ce matin, c’était
pire le hurlement du vent, l’impression que la maison va
s’écrouler. </i>
<br />
<i>- Voici vos martinets, ils vous plaisent. </i>
<br />
<i>- Ils sont vraiment superbes, c’est quoi, on dirait un L </i>
<br />
-<i> Ben oui vous ne pourrez pas dire que ce n’est pas pour
vous. Que diriez vous de partager mon déjeuner je vois tellement peu
de monde, ce sera simple omelette aux herbes, salade fromage de
brebis et pomme </i>
<br />
<i>- Avec plaisir mais on vous le paye, on y tient </i>
<br />
<i>- Vous qui êtes instituteur nous avons plus haut une chapelle
du 12ème siècle encore bien conservée, si vous voulez la voir
pendant que je prépare le déjeuner avec madame </i>
<br />
<i>- Vas-y mon amour</i><br />
<h4 class="western">
Cadeau</h4>
<i>Je suis restée avec la dame </i>
<br />
<i>- Je voulais que vous restiez car je veux vous faire un cadeau.
A une époque mon mari faisait des martinets pour un sex-shop de
Toulouse mais ça n’a pas marché car le prix de revient été trop
cher par rapport à ceux qui venaient d’Asie. Tenez voila c’est
celui-ci (Il était noir avec des lanières assez longues, plus
longue que les martinets classiques.) Les lanières cinglent un peu
plus que le deuxième que je vous ai fait car il ya 3 lanières fines
en peau de mouton. Ce qui est surtout spécial c’est le manche vous
voyez il est assez gros et caché sous ce petit sac fermé par un
bouton pression. Il est fait c’est pour une femme qui n'a pas sous
la main une personne pour la fouetter, elle a enlevé le sac </i>
<br />
<i>- Ho mais c’est…… </i>
<br />
<i>- Oui et de beau calibre, en bois sculpté, regardé, mon mari
était un artiste, il y a même les veines et il est décalotté et
il fait ….25 cms, de quoi contenter les plus difficiles </i>
<br />
<i>- D’abord vous fouettez votre sexe avec le martinet et après,
après vous connaissez mais chut c’est juste pour vous, j’ai le
même dans le tiroir de ma table de nuit </i>
<br />
<i>- Merci j’apprécie ce cadeau. </i>
<br />
<i>- Je voulais vous dire, le martinet dont je me suis servi tout
à l’heure sur votre sexe, votre mari peut s’en servir aussi sur
vos seins, les cuisses, le dos il n’y a aucun risque, cela donne
des sensations. Hum !!! </i>
<br />
<i>- Vous êtes une coquine </i>
<br />
<i>Thomas est revenu, nous avons déjeuné avec elle, nous avons
discuté puis nous sommes redescendus dans la vallée avant qu'il
fasse nuit car nous avions les 10kms de route à faire. Les vacances
étaient terminées et nous sommes rentrés chez nous. Vous vous
doutez bien que les 3 martinets ont beaucoup servi, le troisième
aussi surtout quand à une époque je suis partie travailler à Paris
et que je rentrais que le WE à la maison.</i><br />
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-8145066778085004572018-01-22T00:43:00.003-08:002018-01-22T00:43:32.841-08:00Entretiens avec Lucie, troisième partie
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Entretiens avec
Lucie<br />
Troisième partie<br />
« Will et Lizzie »</div>
<br />
<span style="color: #663300;"> Lucie, qui a déjà répondu à nos
questions sur les circonstances de sa découverte de la fessée lors
d’un séjour en Angleterre, puis celles de sa rencontre avec celui
qui allait devenir son mari, poursuit ses confidences, un peu dans le
désordre chronologique.</span><br />
<br />
<br />
<br />
<h2 class="western">
Will et Lizzie
</h2>
<span style="color: #663300;">Lucie, lors de notre dernier entretien, vous
avez cité les noms d’ autre couple anglais qui savent pour vous,
et qui, je suppose, « pratiquent » eux aussi. J’aimerais
que vous nous en disiez plus sur ces couples.</span><br />
Je vais commencer par le couple dont nous sommes restés le plus
proche, celui de Will et Lizzie.<br />
Après notre nuit de noces nous sommes partis vers Hendaye pour
notre voyage de noces dans la maison de famille de Thomas, nous nous
sommes arrêtés à Royan chez Henry et Mary qui du fait que Henry
s’était cassé la jambe n’avait pas pu venir au mariage. Nous
avons passé la soirée avec eux et un couple William et Elisabeth .
Il avait 35 et 36 ans, lui travaillant au consulat de Grande Bretagne
et elle ne travaillant pas mais œuvrant dans des organismes
caritatifs. Nous avons tout de suite accroché avec eux plus qu’avec
Henry et Mary surement, comme le dit Thomas, si le coup de foudre
entre deux couple existe, nous l'avons eu. La raison, ils sont de
notre âge et en plus nous avions d’autres points communs, il aime
la pèche et le golf comme Thomas et elle aime le tennis comme moi.
Ils se connaissaient car Mary et Lizzie étaient allées toutes les
deux à Princess Ann Collège pas en même temps car il y avait 14
ans d’écart entre elle. Nous avons discuté toute la soirée et
Mary m’a demandé si le lendemain nous pourrions emmener Will et
Lizzie à la gare de Royan pour qu’ils prennent leur train pour
Bordeaux. Thomas qui avait entendu leur a proposé de les prendre en
voiture jusqu’à Bordeaux puisque c’était notre route, ce qu’ils
ont accepté.
<br />
Nous sommes partis par la route du Blayais plus sympa que
l’autoroute.
<br />
<h3 class="western">
Les souvenirs de Lizzie</h3>
Nous avons discuté de chose puis j’ai demandé à Elisabeth :
<br />
<i>- Lizzie, excuse moi de cette question mais pendant les 15
jours que j’ai passé au collège, j’ai entendu plusieurs
réflexions, si Lizzie était la elle ferait attention, du temps de
Lizzie, elles n’auraient osé faire ça. C’est sur qu’avec
Lizzie, elle se serait retrouvé à cheval immédiatement…</i>. (je
l’ai vu rougir)
<br />
<i>- Oui elle parlaient bien de moi, j’ai été l’assistante
de Miss Clark pendant un an et demi. </i>
<br />
<i>- Tu veux dire que… </i>
<br />
-<i> Oui c’est moi qui punissait aussi les filles dans le bureau
des punitions ou au dortoir.<br />
</i>(Will a tourné la tête)
<br />
<i>- Tu as l’air intéressée, aurais tu fait du cheval
pendant ton passage au collège </i>?<br />
- <i>Non, mais j’ai assisté enfin deux élèves sont allées
dans le couloir </i>
<br />
<i>- Pour recevoir 6 coups de tawse ?</i><br />
<i>- Oui c’est ça et une a été fessée en classe sous le
bras de la professeure mais sans baisser la culotte. </i>
<br />
-<i> Oui c’est normal vous étiez en year 13, il n’y avait
que les year 7,8 et 9 qui sont fessée fesses nues en classe. Donc
pas de punitions pour toi </i>
<br />
<i>- J’ai vu le cheval le dernier jour, nous rangions et Ann
m’a fait visiter le bureau des punitions et m’a donné une petite
fessée sur le cheval mais c’était juste pour s’amuser. </i>
<br />
-<i> C’est sur que si tu étais passé par les mains de
Lizzie, tu ne te serais pas amusé, raconte leur comment cela se
passait, j’ai l’impression que Lucie n’attends que ça, par
contre Thomas il faut bien regarder la route. <br />
</i><span style="font-style: normal;">Dit
Thomas en rigolant.</span><br />
<i> - Tu veux ?<br />
</i><span style="font-style: normal;">Demanda
Lizzi, à quoi je répondis sans hésiter :</span><br />
<i>- Oui bien sur. </i>
<br />
<i>- Allons y. Je vais commencer par le début mais je tiens à
préciser qu’en 7 ans je n’ai été punie que 9 fois. Il ne faut
pas croire que l’on était punie tout le temps. La première
punition à laquelle j’ai assisté, c’est le jour de ma première
rentrée. Cela faisait une heure que nous étions en classe quand une
élève a ri bruyamment, la professeur l’a fait venir au tableau,
s’est assise, l’a basculée sur ses genoux, les fesses vers la
classe, la déculottée immédiatement, lui a donné une bonne fessée
et l’a renvoyée à sa place, je peux vous promettre que nous avons
toutes étaient calmes pendant plusieurs jours </i>
<br />
<i> - Lizzie, je suis sur que Lucie voudrait que tu lui parle de
tes punitions </i>
<br />
- <i>Oui j’y arrive. Ma première punition cette année là
c’est dans le couloir que j’ai reçu 6 coups comme tout le monde
mains contre mur, penchée, jambes écartées et culotte baissée.
Miss Clark y allait de bon cœur. Après il fallait retourner en
classe, prendre une contenance, s’ass</i><i>e</i><i>oir et
reprendre le cours et surtout ne pas se faire punir car sinon c’était
la visite de 18 heure dans le bureau des punitions. </i>
<br />
-<i> Tu n’as jamais été fessée en classe ?</i><br />
<i>- Non, enfin si mais laisse moi raconter </i>- <i>Les
punitions suivantes ont été dans le couloir. Je n’ai reçu ma
première punition dans le bureau des punitions qu’en year 9,
j’avais 14 ans et j’avais répondu un peu sèchement à ma
professeur d’histoire. Nous étions 4 élèves à être punies. Une
year 7, moi une year 10 et une year 12. Nous attendions dans le
couloir, la petite de 11 ans pleurait déjà, elle est rentrée la
première et a reçu une fessée, on l’entendait crier, cela
n’était pas rassurant. J’y suis allée ensuite. C’était la
première fois que je rentrais dans cette pièce. Il y avait un
bureau une table et le cheval, en fait un cheval d’arçon modifié
puisque la partie en cuir était penché vers le bas. Quand on était
dessus on avait les fesses en l’air et la tête en bas, il y avait
2 menottes en cuir de 15cms pour pas que cela nous blesse. Pour
monter dessus il y avait un cube en bois. Une représentante des 7
niveaux était présente ainsi que les professeurs qui avaient
demandé la punition, Miss Clark et son assistante Jane qui était en
year 13. Douze personne allaient assister à ma punition, enfin 13
car la petite qui pleurait en se massant les fesses était là, la
jupe et la culotte à ses pieds. </i>
<br />
« - <i>Mademoiselle Elisabeth, vous avez été incorrecte
avec miss Simpson, votre professeur d’histoire, veuillez présenter
vos excuses » </i>
<br />
<i>« - Miss je vous prie de bien vouloir m’excuser, cela
ne se reproduira pas </i>» (j’ai fait une petite révérence)
<br />
- « <i>J’espère bien, c’est la première fois que vous
venez ici, vous allez recevoir 12 coups de tawse après une fessée
de préparation. Jane veuillez vous en occuper</i> »
<br />
- » <i>Viens</i> ( Elle m’a fait mettre les mains sur la
tète, a dégrafé ma jupe et m’a fait monter sur le petit cube,
penchée en avant mis les menottes puis a enlever le cube, j’avais
les pieds qui ne touchaient plus le sol, elle m’a enlevée ma
culotte puis est montée sur le cube et m’a fessée. Des claques
pas trop forte mais j’ai senti mes fesses chauffer). <i>Miss, elle
est prête</i> (Miss Clark s’est mise sur le coté et le premier
coup est tombé)
<br />
- <i>Aiiiiie </i>
<br />
« - <i>Miss Elisabeth, j’attends mieux de vous rappelez
vous notre devise, Egalité, Discrétion et dignité</i> ( les coups
suivants sont tombés régulièrement, je serrais les poings au point
de m’en faire mal, je me mordais la lèvre mais plus un mot n’est
sorti de ma bouche). <i>Jane vous pouvez la détacher. « </i><br />
<i>- Je suis descendu du cheval, mes fesses me faisait un mal de
chien, même à la maison je n’avais jamais reçu une punition
comme celle-là et ce n’était pas fini car j’ai du me mettre à
coté de la petite sans pouvoir me rhabiller, mains sur la tête et
toutes les spectateurs voyaient ma toison qui a 14 ans était bien
fournie à coté de la petite pratiquement encore lisse. Les deux
autres sont venue, la première a reçu 6 coups de tawse et 6 coups
de cane, c’est la première fois que voyais quelqu’un en
recevoir, j’en ai eu des frissons, elle est venue nous rejoindre et
ce fut le tour de la dernière qui avait 18 ans et a reçu 18 coups
de tawse. Quand nous avons été toutes les 4 alignées, “ les
spectatrices“ sont sorties, Miss Clark nous a fait un sermon et
nous sommes rhabillées et nous sommes sorties. Je peux te dire que
quand tu sors du bureau tu n’as pas envie d’y revenir. </i>
<br />
- <i>Je veux bien te croire….. </i>
<br />
<i>- En fait j’ai reçu 4 punitions dans le couloir, une fessée
et deux punitions dans la salle des punitions </i>
<br />
<i>- Ben ça ne fait que 7 punitions </i>
<br />
- <i>Les deux autres, c’est un peu particulier, on verra
ensuite. Après cette punition, je me suis très bien conduite et je
n’ai pas été punie pendant deux ans mis à part deux fois dans le
couloir. J’ai donc reçu la suivante au début de l’année year
12, j’avais 17ans. Je me suis disputée avec une élève de</i> <i>ma
classe, un petit crêpage de chignon vous dites en France, nous avons
toutes les deux été envoyées chez Miss Clark. Je n’en menais pas
large et nous avons eu le droit un sermon sur notre attitude indigne
d’une futur lady après quoi Miss Clark m’a dit de la suivre et
l’autre élève devait revenir à 18 heures. Miss Clark, m’a dit
que j’étais une bonne élève et qu’elle ne comprenait pas mon
attitude, qu’elle savait que j’avais été provoquée mais que ma
réaction était elle d’une gamine. Nous avons traversé les
couloirs et nous sommes arrivées au Gymnase, elle m’a dit
d’attendre, qu’il fallait qu'elle voit la professeur de
gymnastique. Le cours s’est arrêté. Elle lui a parlé puis m’a
fait signe de venir. Je me suis approchée, Miss Heurley a pris mon
poignet</i>
<br />
<i>- Mesdemoiselles, Elisabeth qui est en year 12 se comporte
comme vous dans la cour de récréation et se bat avec ses camarades.
C’est une honte déjà pour vous mais elle qui va rentrer à
l’université dans deux ans…….. Puisque vous vous comportez
comme ces gamines je vais vous traiter comme elles (Là l’horreur,
j’ai compris immédiatement ce qu’elle voulait faire) </i>
<br />
<i>- Non Miss je vous en pris j’ai 17 ans </i>
<br />
<i>- On ne le dirait pas Cathy ma chaise </i>
<br />
<i>- Je vous en prie </i>
<br />
<i>- Arrêtez sinon je vous fais tenir par deux élèves (j’ai
compris que cela ne servait à rien de résister. Elle m’a couché
sur ses genoux les fesses vers la classe. Il y a eu des murmures des
filles en arc de cercle autours de nous. Murmures qu’elle a fait
taire. Elle a remonté ma jupe. Je me retrouvais en petite culotte
exposée à leur regard, j'étais honteuse et très humiliée alors
que cela n’avait pas commencé. La première claque tomba puis une
autre, Elle tapait par série, s’arrêtait dix secondes et
recommençait ce qui était encore plus dur à supporter car on
attend et on ne sait pas quand elle va recommencer puis elle accéléra
et les claques furent bien plus violentes et surtout certaines
tombaient sur les endroits de mon derrière où il n'y avait pas de
culotte. Je commençais à remuer les jambes pour éviter les coups,
mais la </i>
<br />
<i>pression de sa main gauche sur ma taille se fit plus intense.
Elle s’arrêta. Je sentis qu’elle dégrafait ma jupe et demanda à
une élève de me la retirer </i>
<br />
<i>- Non Miss please </i>
<br />
<i>- Taisez vous (d’un coup elle baissa ma culotte) elles sont
bien rouges mais ce n’est rien. (Mes fesses étaient brulantes,
j’avais bien reçu quelques fessée par mes parents, mais jamais
aussi fortes. Elle tapait partout, mes fesses étaient un immense
brasier, je pleurais et même au bout d’un moment je sanglotais à
chaudes larmes, j’étais redevenu la petite fille de dix ans qui
était punie. Mes fesses….c’était horrible, elle frappait de
plus en plus fort. Le crépitement des claques résonnait dans le
gymnase, je me mis à penser et si quelqu’un venait. elle continua
méthodiquement d'une fesse à l'autre s'assurant de couvrir au
complet mon derrière. Je pleurais. J'avais du mal à supporter
chacune des claques espérant toujours que ce serait la dernière.
N'en pouvant plus je me débattais mais c'était inutile, elle me
tenait solidement) Arrêtez de gigoter comme cela vous montrez à ces
gamines des choses que vous devriez cacher (Je ne pouvais pas, du
coup des claques tombaient sur mes cuisses. Enfin elle s’arrêta,
me releva, je frottais mes fesses mais elle me dit de mettre mes
mains sur la tête, j’étais à moitié nue devant ces filles, elle
me fit rester une dizaine de minutes ainsi avant de me permettre de
me rhabiller de d’aller voir Miss Clark. Je suis remonté la voir
dans son bureau </i>
<br />
- <i>Alors Elisabeth, j’espère que vous avez compris la leçon </i>
<br />
<i>- Ho ! oui miss </i>
<br />
<i>- Savez-vous pourquoi j’ai fait cela </i>
<br />
<i>- Parce ce que je me suis battu </i>
<br />
<i>- Oui mais si je vous ai fait punir par Miss Hurley, d’abord
pour vous montrer ce que c’est qu’une fessée humiliante et aussi
parce que c’est la meilleure fesseuse du collège. Montrez-moi vos
fesses </i>
<br />
<i>- Ho Miss !!! </i>
<br />
<i>- Vous voulez un supplément (je me suis tournée et lui ai
montrée) Qu’elle magnifique couleur, je pense que vous allez vous
en souvenir surtout qu’à l’heure actuelle tout le collège doit
savoir qu’une grande a été fessée cul nu devant toute une classe
de petites </i>
<br />
<i>- Ho Miss taisez vous j’ai tellement honte </i>
<br />
<i>- Elisabeth, vous êtes une très bonne élève, une de nos
meilleurs élèves, je connais votre mère, je sais que ce WE vous
allez certainement recevoir une autre fessée quand votre mère saura
pourquoi vous avez été fessée devant les petites. Je sais aussi
qu’il vous arrive de fesser vos sœurs ou votre frère à la
demande de vos parents car vous êtes l’ainée </i>
<br />
<i>- Oui c’est exacte, mais êtes vous obligé de faire un mot à
mes parents </i>
<br />
<i>- D’après vous </i>
<br />
<i>- Oui Miss Clark, c’est normal </i>
<br />
- <i>Vous me plaisez de plus en plus et je pense à vous comme
assistante pour l’année prochaine puisque Jane partira à
l’université. </i>
<br />
<i>- Moi Miss ? </i>
<br />
<i>- Oui et je pense que vous serez une très bonne assistante </i>
<br />
<i>- Allez retournez en cours mais passez vous rafraichir avant. </i>
<br />
<i>- Vous ne me donnez pas le mot </i>
<br />
<i>- Quel mot (avec un grand sourire) </i>
<br />
<i>- Ben dis donc, elle ne t’a pas raté, enfin tu n’as pas
été fessée par ta mère </i>
<br />
<i>- Non heureusement, Juste vous raconter cela j’avais
l’impression que mes fesses chauffaient</i><br />
<h4 class="western">
L’assistante</h4>
- <i>Et tu es vraiment devenu sont assistante ?</i><br />
<i>- Oui mais plus tôt que prévu car un mois plus tard aux
vacances de noël, Jane s’est cassé le bras droit et Miss Clark
m’a demandé d’être son assistante pour la fin de l’année
scolaire </i>
<br />
<i>- Tu n’as plus été punie du coup </i>
<br />
<i>- Non le fait d’être son assistance créait des jalousies,
il fallait que je sois prudente. </i>
<br />
Nous en étions là quand nous sommes arrivés sur Bordeaux, ils
nous ont proposé de manger avec eux. Avec Lizzie nous sommes allées
acheter du pain et quand nous sommes rentrées chez eux, Thomas m’a
fait venir dans le salon
<br />
-<i> Will m’a proposé de nous prêter leur maison au bord de la
plage à Hourtin, il m’a dit que comme ça tu pourrais discuter
avec Lizzie car vous avez encore beaucoup de choses à vous raconter.
Moi je suis sur qu’en plus tu n’attends qu’une seule chose
c’est de te faire fesser par Lizzie, j’ai bien vu ta tête dans
le rétroviseur quand elle racontait ses histoire, d’ailleurs je
suis sur…( il a avancé sa main et m’a passé sous ma jupe ) je
m’en doutais, tu mériterais que je te donne une fessée ou….que
je demande à Lizzie de t'en donner, c’est ce que je pensais ne me
donne pas ta réponse je te connais si bien, alors que faisons nous ?
</i>
<br />
<i>- Tu me connais si bien mon amour mais cela ne te dérange pas,
de toute façon il faut que nous soyons le 18 à Hendaye car les
enfants et mes parents arrivent, cela nous fait 10 jours ici. J’ai
peur qu’on les dérange, on va les voir </i>
<br />
<br />
<br />
<br />
-<i> Thomas vient de me dire que Will lui a proposé de nous
prêter votre maison de Hourtin, si tu es d’accord Lizzie, nous
voulons bien mais comme Will va travailler, tu restes avec nous </i>
<br />
<i>- Je ne veux pas vous déranger, des jeunes mariés…. </i>
<br />
<i>- Tu ne nous dérange pas bien au contraire et puis je pense
que Lucie a encore beaucoup de souvenir à échanger avec toi </i>
<br />
<i>- Allez on mange et on y va. </i>
<br />
Ils ont une belle maison en bord de plage, enfin à l’époque
parce qu’aujourd’hui, la maison est bien entourée mais à
l’époque la maison la plus proche était à plus de 200 mètres. 3
chambres, un grand salon et une belle terrasse avec un jacuzzi et un
hammam.
<br />
Installés, nous nous sommes mis sur la terrasse et Lizzie a
repris son récit.
<br />
-<i> Trois jours après ma nomination officielle, mais attention
ce n’était pas une sinécure car cela ne me dispensait pas de mes
cours, mes devoirs ect…, c’était du travail en plus, surveiller
l’étude, les dortoirs. Je ne pouvais pas. entrer chez moi tous les
WE car il y avait des élèves qui restaient au collège. Par contre
je pouvais mettre des culottes autres que noires et porter des bas
avec un porte jarretelle. Enfin dés le lendemain j’ai eu mes
premières punitions et trois jours plus tard, il n’y avait qu’une
punie et Miss Clark m’avait annoncé “ que c’était à moi de
décider de la punition“. J’ai tout de suite compris que c’était
un test surtout quand j’ai vu qui était la punie. C’étais
Sarah, ma meilleure amie, nous avons toujours été dans la même
classe et je peux bien le dire puisque Will est au courant, il nous
arrivais de nous retrouver la nuit même si c’était formellement
interdit </i>
<br />
<i>- Tu veux dire que vous….. </i>
<br />
-<i> Non on faisait du tricot ! elle avait des mains
tellement douce et une langue mais bon revenons à sa punition. Je
venais de lire son nom et je sentais les yeux de miss Clark dans mon
dos, elle était punie pour ne pas avoir par deux fois rendu un
devoir dans les temps. </i>
<br />
<i>- Alors Lizzie (Miss Clark à partir de ce moment là m’a
appelé Lizzie comme tout le monde, même mes professeurs) </i>
<br />
<i>- Elle est bête car je sais que ce devoir, il est fait donc je
pense que la punition n’a pas besoin d’être dur mais qu’il
faut qu’elle s’en souviennepour le prochain devoir </i>
<br />
<i>- Votre résonnement est intéressant </i>
<br />
<i>- Vous m’avez dit que quand se conduit comme une gamine on
doit être punie comme une gamine </i>
<br />
<i>- Oui comme je l’ai fait avec vous </i>
<br />
<i>- Je pense qu’une fessée à son âge sera plus productive
que la tawse ou la cane. </i>
<br />
<i>- Faite là entrer…….. </i>
<br />
<i>- Sarah c’est Miss Elisabeth qui va vous punir pour ne pas
voir rendu votre devoir </i>
<br />
<i>- Ho Lizzie tu …. </i>
<br />
<i>- Sarah à qui parlez-vous ? </i>
<br />
- <i>Excusez moi, Miss Elisabeth je </i>
<br />
<i>- Taisez vous et venez ici</i> (je l’ai basculé sur mes
genoux)
<br />
- <i>Non pas la fessée j’ai 17 ans je vous en prie, nooon ma
jupe….ma culotte ho non j’ai trop honte </i>
<br />
<i>- Je ne veux plus vous entendre sinon je prends la cane</i> (Je
lui ai donné sa fessée, ma première fessée. Je ne me suis arrêtée
que quand elle a commencé à pleurer. )<br />
- <i>Relevez-vous Sarah et rhabillez-vous, je vous préviens si
vous oubliez encore une fois, Miss Elisabeth vous refessera mais en
classe devant vos camarades, c’est bien compris </i>
<br />
<i>- Oui miss </i>
<br />
<i>- Vous pouvez repartir en étude </i>
<br />
<i>- Bien Lizzie, c’était une belle fessée, je pense que j’ai
fait un bon choix. </i>
<br />
<i>- Après cela, j’ai punie avec elle tout le reste de l’année
et ma dernière année au collège. </i>
<br />
<i>- Et toi tu devais nous parlé de tes deux autres punitions </i>
<br />
<i>- Oui, avant il faut que je vous explique que tous les
trimestres le comité nous rendait visite, c’était</i> l<i>es
représentants des donateurs car comme toutes les écoles privées,
elles ne vivaient que des dons. Le président était un Lord, nous
l’appelions Sir Edouard, il y avait un autre homme et trois femmes,
ils avaient tous entre 60 et 80ans. Quand ils venaient, ils faisaient
le tour du collège, vérifiait les comptes et assistaient aux
punitions. Ce jour là, il y avait sept punies. A la fin tout le
monde est sorti sauf Sir Edouard. </i>
<br />
<i>- Miss Clark, félicitations, les punitions ont été données
dans le respect des règles, ceci s’adresse aussi à vous Miss
Elisabeth. Une petite question, pourriez vous regarder dans le livre
des punies, combien en aviez vous hier ? </i>
<br />
<i>- Deux Sir </i>
<br />
<i>- Et avant-hier </i>
<br />
<i>- Une </i>
<br />
<i>- Et le jour d’avant </i>
<br />
<i>- Deux </i>
<br />
<i>- Bien (il a sorti un petit agenda) et le…d’avril </i>
<br />
<i>- Six </i>
<br />
<i>- Le……de janvier </i>
<br />
<i>- huit </i>
<br />
<i>- La veille </i>
<br />
- <i>Nous n’avions pas de punie, cela arrive heureusement </i>
<br />
<i>- Oui, oui bien sur, aujourd’hui qui a demandé les punitions
</i>
<br />
<i>- Trois l’on été par des professeurs et quatre par Miss
Elisabeth </i>
<br />
<i>- Rien ne vous choque Miss Clark </i>
<br />
<i>- Heeeu non </i>
<br />
<i>- Moi si, c’est que les deux dates que je vous ai données
coïncident avec nos visite, donc quand nous ne sommes pas là vous
avez entre aucune punie et trois punies et quand nous venons entre
six et huit, au niveau probabilité, ce n’est pas logique. Miss
Elisabeth, à voir la couleur de votre figure, je crois que vous avez
compris ce que je veux dire. </i>
<br />
<i>- Oui Sir je pense…. je reconnais que quand vous venez je
suis plus sévère que les autres jours, je reconnais que……. </i>
<br />
<i>- C’est inadmissible, dans notre devise, n’y a-t-il pas le
mot Egalité </i>
<br />
<i>- Si …. </i>
<br />
- <i>Je suis déçu Miss Clark que vous ne vous en soyez pas
aperçue, Miss Elisabeth pourquoi faire cela </i>
<br />
<i>- Je suis désolée, je pensais que les membres du comité
voulaient….Je vous promets que cela ne se reproduira plus ……et
si vous pensez que je mérite d’être punie je le comprendrais
(mais pourquoi ai-je dis cela, je suis folle) </i>
<br />
<i>- Je pense Miss Elisabeth que c’est en effet une bonne idée.
Je sais que vous êtes une très bonne élève et qu’en six ans
vous n’êtes venue ici qu’une fois en tant que punie, je ne me
trompe pas </i>
<br />
<i>- Non Sir Edouard </i>
<br />
- <i>Je ne vous ferais donc pas monter sur le cheval néanmoins je
vais vous punir sur cette table, veuillez vous préparer, vous
connaissez la procédure, Miss Clark, veuillez me donner la tawse</i>
(J’ai passé mes mains sous ma jupe et enlevé ma culotte, j’ai
défait mes bas et enlevé mon porte jarretelle) La<i> jupe également
</i>
<br />
<i>- Ho ! Sir </i>
<br />
<i>- Vous allez me faire regretter ma mansuétude</i> (j’ai donc
enlevé ma jupe et me suis penchée sur le table) <i>Miss Clark,
veuillez tenir ses mains que je puisse officier tranquillemen</i>t.
(Je serais les dents, le premier coup arriva et je poussais un grand
cri)<br />
<i>Mademoiselle, je vois que notre devise n’a aucun intérêt
pour vous, Egalité, vous ne respectez pas, Dignité, vous n’en
avez pas beaucoup </i>
<br />
- <i>Désolé</i><i>e</i><i> Sir, cela ne se reproduira pas</i>
(Il me donna cinq coups tout aussi violents, entre chaque coup
j’avais beaucoup de ma à reprendre ma respiration)
<br />
-<i> Bien, Miss Clark, la cane, j’avais l’intention de vous en
donner douze coups mais je pense que six of the best suffiront et
vous comptez </i>
<br />
<i>- Oui Sir Edouard</i> (je sanglotais tellement mes fesses me
faisait mal, jamais je n’avais eu aussi mal et il restait les six
coups de cane
<br />
- <i>Êtes-vous prête ? </i>
<br />
<i>- Oui Sir Edouard</i> (Heureusement que Miss Clark tenait mes
poignets)
<br />
- Slack !!!!! J’en ai eu le souffle coupé
<br />
-<i> One Thank you Sir </i>
<br />
<i>- Slack !!!!! </i>
<br />
<i>- Two Thank you Sir</i>
<br />
-<i> Mes fesses me br</i><i>û</i><i>laient je pensais même
qu’elles saignaient, jamais avant ni depuis je n’ai ressenti
cela, les quatre autres coups tombèrent aussi forts, Miss Clark m’a
relâchait les mains et je me suis relevée doucement en tenant mes
fesses, je n’arrivais pas à parler. C’est Miss Clark qui m’a
remis mon porte jarretelle, mes bas et m’a dit de me mettre mains
sur la tête. </i>
<br />
<i>- Tu veux dire que Sir Edouard voyait ton intimité</i>
<br />
- <i>Mis à part mon père, le docteur et mon petit frère mais
lui ça ne compte pas, c’était le troisième homme à me voir nue
mais honnêtement, c’était le cadet de mes soucis, la seule chose
qui comptait c’était mes fesses </i>
<br />
<i>- Je pense miss Elisabeth que vous avez compris la leçon et
que maintenant vous appliquerez la devise de notre école </i>
<br />
<i>- Oui Sir Edouard </i>
<br />
<i>- Sir Edouard </i>
<br />
<i>- Oui Miss Clark </i>
<br />
<i>- Je pense que je suis aussi responsable que mademoiselle
Elisabeth et ….. </i>
<br />
<i>- Je le pense aussi </i>
<br />
<i>- Elisabeth vous pouvez sortir </i>
<br />
<i>- Non je pense qu’il est préférable qu’elle reste aussi
bien pour vous que pour elle, la leçon lui sera profitable.
D’ailleurs, la logique veut que la punition soit la même. Judith
(quelle surprise pour moi, il l’appelait par son prénom) vous êtes
d’accord </i>
<br />
<i>- Oui Sir Edouard </i>
<br />
<i>- Elisabeth avez-vous déjà assisté à une punition de
professeur </i>
<br />
<i>- Oui Sir </i>
<br />
<i>- Alors préparez Judith </i>
<br />
<i>- Sir je pense pouvoir me préparer seule </i>
<br />
- <i>Bien alors faites le </i>(Elle a enlevé sa jupe, son porte
jarretelle ses bas, a pris le bord de sa culotte) <i>Que faites vous
Judith vous êtes professeur vous avez le priv…</i>
<br />
- <i>Sir, vous avez dit la même punition</i> (elle a baissé sa
culotte nous faisant découvrir sa toison blonde à travers de
laquelle on distinguait sa fente puis elle s’est penchée sur la
table) <i>Lizzie mes mains </i>(J’ai serré ses poignets)
<br />
- <i>Sir Edouard lui a donné la même punition que moi six coups
de tawse et six coups de cane, la différence est que mis à part
pour compter, pas un son n’est sorti de sa bouche mais des larmes
coulaient de ses yeux. Quand il a terminé, elle s’est retournée,
a essuyé ses yeux puis s’est rhabillée. </i>
<br />
<i>- Je vous laisse, le comité m’attend, personne ne saura ce
qui vient de se passer, je dois avouer que le jour où je vous ai
choisi Judith pour ce poste je ne me suis pas trompé et en
choisissant Miss Elisabeth, vous avez fait le bon choix, néanmoins,
il serait logique que vous la puissiez pour ce qui vient de se passer
mais pas aujourd’hui.(il a quitté la salle) </i>
<br />
<i>- Lizzie, dépêchez vous de mettre votre jupe, ne mettez pas
votre culotte vous ne la supporteriez pas, je n’ai pas mis la
mienne ? la cloche du diner va sonner allons à l’entrée du
réfectoire. </i>
<br />
-<i> Le Diner a été très dur assises sur une chaise en bois
mais impossible d’y échapper. A la fin de celui-ci, les élèves
avaient une heure et demie soit pour aller finir leur devoirs ou
aller à la bibliothèque. A 21 heures 30 tout le monde devait aller
au dortoir avec extinction des feux à 22 heures. </i>
<br />
<i>- Ca rigolait pas et après tu as encore été punie pour cette
histoire </i>
<br />
<i>- Lucie laisse là raconter, va y Lizzie continue, la journée
n’était pas finie </i>
<br />
<i>- Will non !!! </i>
<br />
<i>- Lizzie, tu dois tout raconter </i>
<br />
<i>- J’ai peur qu’ils soient choqués </i>
<br />
-<i> Hum je sens que ça va être intéressant</i><br />
<h4 class="western">
Après les fessées ...</h4>
- <i>Thomas ne te moque pas. Bon alors après le repas Miss Clark
m’a demandé si j’avais des devoirs à faire, je lui ai dit que
j’étais à jour, elle m’a dit de la suivre. Elle m’a emmené
dans son appartement, c’était la première fois que j’y allais. </i>
<br />
<i>- Comment vont tes fesses </i>
<br />
<i>- J’ai très très mal, ça va être très dur demain en plus
j’ai un contrôle </i>
<br />
<i>- Enlève ta jupe </i>
<br />
<i>- Ma jupe </i>
<br />
<i>- Oui ta jupe, tes bas ton porte jarretelle et allonge toi sur
le ventre </i>
<br />
<i>- Mais…. </i>
<br />
- <i>Fais ce que je te dis (j’ai obéis, elle est revenue avec
un petit pot à la main) Ca va être un peu froid il était dans le
frigidaire. </i>
<br />
<i>- Elle m’a mis de la pommade sur les fesses, c’était froid
mais agréable. Plus elle passait sa main sur mes fesses plus je
sentais une douce torpeur m’envahir. Avec ses pouces elle partait
de mes cuisses et remontait, de temps en temps l’un de ses ongle
effleurait ma fente, puis les caresses se firent plus précises, je
poussais des petits soupirs, je lui disais que ce n’étais pas bien
mais sans conviction. </i>
<br />
<i>- Si tu veux je peux arrêter </i>
<br />
<i>- Non non mis Clark continuez </i>
<br />
<i>- Appelle moi Judith mais uniquement quand nous sommes seules </i>
<br />
<i>- Oui MI..Judith continue c'est si bon c’est si bon </i>
<br />
<i>- Aussi bon qu’avec Sarah </i>
<br />
<i>- Ho mais </i>
<br />
- <i>Je sais très bien ce que tu </i><i>f</i><i>ais avec elle
mais ne t’inquiète pas. </i>
<br />
<i>- C’est meilleur </i>
<br />
<i>- Maintenant ses caresses remontaient le long de ma fente et
atteignaient mon petit bouton, elle me fit retourner délicatement et
continua puis me demanda si avec Sarah nous ne servions que de nos
mains, de la tête je fis non alors elle continua avec la langue mais
là encore entre Sarah et elle il n’y avait aucune comparaison. </i>
<br />
<i>- Tu es vraiment une petite cochonne mais je m’en doutais, ha
tu es encore vierge, c’est bien et de plus en plus rare </i>
<br />
<i>- Je l’entendais comme dans un rêve, elle m’a fait jouir
puis elle m’a demandé de lui rendre la pareil ce que j’ai fait.
Pendant les neuf mois suivant je me suis rendu plusieurs fois dans
son appartement sans que Sarah ne le sache. </i>
<br />
- <i>En fait vous êtes deux petites cochonnes, heureusement que
Sir Edouard ne l’a pas su </i>
<br />
<i>- Oui tout à fait </i>
<br />
<i>- Donc tu n’as jamais eu ta punition </i>
<br />
<i>- Si quelques jours après la fin de l’année scolaire, je
suis passée au collège pour prendre des papiers pour l’université,
je l’ai rencontré par hasard, elle m’a dit qu’elle voulait me
montrer quelque chose. Elle m’a fait rentrer dans le bureau des
punitions, a fermé la porte à clef, m’a prise par le poignet </i>
<br />
<i>- Tu n’as pas oublié quelque chose </i>
<br />
<i>- Quoi </i>
<br />
- <i>Que tu m’a fais punir, je te dois quelque chose </i>
<br />
<i>- Ho non s’il te plait (elle m’a mise sur ses genoux, je me
suis laissé faire a remonté ma jupe, baissé ma culotte et m’a
donné une fessée mais pas pour rire, une vraie) Voila maintenant on
est quitte. Je me suis relevée, rhabillée et nous nous sommes
embrassée </i>
<br />
<i>- Judith de quelle droit avez-vous fessée une personne ne
faisant plus partie du collège, ce n’est pas possible, venez ici </i>
<br />
<i>- Mais……. (je l’ai couché sur mes genoux) </i>
<br />
<i>- IL n’y a pas de mais, quand je pense que cela fait surement
des années que toutes les élèves de ce collèges rêvent en secret
le soir dans leur lit en se caressant d’allonger la redoutable Miss
Clark sur leurs genoux, de relever cette jupe noire, de baisser cette
culotte verte et de découvrir ces belles petites fesses, mais oui
elle ont la chaire de poule, elles ont raison, ce n’est pas la
peine de les serrer Judith car je vais les faire danser. Oui elles
rêvent toutes de cela et c’est moi Lizzie qui vais avoir ce
privilège. </i>
<br />
<i>Je lui appliquais une bonne claque sur la fesse droite puis une
sur la gauche, les claques tombaient régulièrement, J’y allais de
bon cœur, en plus j’étais sur que c’est ce qu’elle attendait
car elle ne faisait rien pour se défendre Ma main continuait son
œuvre, le bureau était envahi du crépitement des claques sur la
peau rougissante des fesses de Judith, maintenant je tapais de toutes
mes forces. Sous la rapide et chaude averse, elle se tortillait,
comme une gamine, gémissant, ses fesses si laiteuses de blonde avait
maintenant une couleur rubiconde, une belle couleur de tomate
écrasée. Elle lançait ses jambes en arrière et quelques claques
atterrissaient sur ses cuisses ou sa fente, lui faisant pousser
quelques cris, je finis en lui donnant une dizaine de claques très
fortes. Je la relevais, la prenais dans mes bras. </i>
<br />
<i>- Ma chérie merci, moi aussi j’ai rêvé qu’un jour une
élève fasse cela. Que ça soit toi me ravit encore plus et crois
moi tu l’as très bien fait j’ai les fesses en feu mais pas que
ça. </i>
<br />
<i>- Elle m’a fait mettre a genou devant elle et j’ai léché
sa fente jusqu’à la jouissance, voila j’ai fini </i>
<br />
<i>- Tu ne l’as jamais revu</i><br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<h4 class="western">
Rencontres d’anciennes</h4>
- <i>Bien sur que si, à la fête des anciennes du collège qui a
lieu tous les ans le samedi suivant le 26 juillet de façon à ce
qu’un maximum puisse venir, nous sommes entre 100 à 200 à venir.
Elle a 57 ans est toujours chargé de la discipline mais il n’y a
plus de punitions sauf ce jour là </i>
<br />
<i>- Elle doit trouver la vie bien morne </i>
<br />
<i>- Non pas du tout ca ne te dirait d’assister à une de nos
fêtes </i>
<br />
<i>- Si j’y ai le droit, ce serait fantastique, je voudrais bien
la revoir même si je ne l’ai pas connu aussi bien que toi </i>
<br />
<i>- J’y vais à la fin du mois, je demanderais pourquoi pas
l’année prochaine </i>
<br />
<i>- Oui, ça ne te dérangerais pas Thomas </i>
<br />
<i>- Pas du tout, dis donc Will et toi c’étais pareil </i>
<br />
<i>- Pratiquement pour les year 7 et 8 il t avait aussi la fessée
en classe et les autres punitions par contre après le slip était
mis comme pour les professeures de Lizzie, on ramenait le slip vers
la raie des fesses et on le tirait vers le haut car sinon quand on se
relevait cela aurait été gênant car beaucoup comment dites vous en
France oui ils bandaient. </i>
<br />
<i>- Et tu as été puni </i>
<br />
<i>- Plus souvent que Lizzie, moi la dernière fois c’était à
l’université, en rentrant un soir, j’avais uriné sur le
parterre de fleur de l’université et le conseil des ancien a
décidé que c’était une conduite inappropriée pour un gentleman
et j’ai reçu 6 coups de cane sur mon pantalon mais ça fait mal.</i><br />
<h4 class="western">
Le mariage de Will et Lizzie</h4>
<i>- Si ce n’est pas indiscret comment vous vous êtes connus? </i>
<br />
<i>- Dans le train, nous faisions nos étude moi à Cambridge et
elle à Londres. Nous rentrions pour les vacances d’étéNous nous
sommes retrouvés dans le même compartiment d’un train, arrivant
vers minuit. Elle s’est endormie sur mon épaule. Arrivés, j’ai
proposé de la raccompagner. Pour me remercier, elle m’a proposé
de boire un verre, j’ai accepté. Nous sommes sortis plusieurs fois
pendant les vacances et nous nous sommes revus sur Londres tout au
long de l’année scolaire suivante. Un soir pendant les vacances
l’année suivante. Nous étions dans la maison de mes parents,
seuls, allongés sur le lit. Je précise que nous n'en étions qu'aux
caresses car Lizzie voulait rester vierge. Nous écoutions de la
musique, elle était sur le ventre et ma main remontait le long de
ses jambes. J’ai mis ma main sur ses reins</i><br />
<i>- Ma petite Lizzie, je voudrais te dire que …..(j’ai
remontais sa jupe et baissais sa culotte) </i>
<br />
<i>- Mais que fais-tu ? Arrête…Will.. </i>
<br />
<i>- Je te montre (j’ai claqué ses fesses juste pour qu’elles
prennent un peu de couleur et de chaleur) je te montre ce qui
arrivera quand nous serons mariés et que tu ne seras pas sage </i>
<br />
- <i>Quoi ? </i>
<br />
<i>- C’est pourtant simple j’ai l’intention de te fesser
comme toute bonne épouse anglaise que cela te plaise ou non, je
pense que je ferais aussi l’acquisition d’une tawse et vraiment
si tu n’es pas sage d’une cane. </i>
<br />
<i>- Williams, est ce que ce serait une demande en mariage, parce
que si c’est ça, il n’est pas question que je me marie avec un
homme qui ne sait pas fesser (et là il m’a donné une bonne
fessée, croyez moi, mes fesses étaient écarlates et brulantes)
arrête je suis d’accord je veux bien t’épouser (et nous nous
sommes embrassés mais nous ne sommes pas allés plus loin) </i>
<br />
<i>- Voila comment Will m’a demandé en mariage </i>
<br />
<i>- C’est vraiment original, il a tenu sa promesse </i>
<br />
<i>- Ho oui sans problème </i>
<br />
<i>- Mary nous a raconté ta première fessée avec Thomas,
j’aurais bien voulu être à ta place </i>
<br />
<i>- Bon les filles si nous voulons manger </i>
<br />
<i>Nous sommes partis au restaurant. </i>
<br />
<i>A suivre……… </i>
<br />
<br />
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-79709780282878639012017-12-07T11:28:00.001-08:002017-12-07T11:28:38.275-08:00Entretien avac Lucie, deuxième partie
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> </i>Nous poursuivons notre entretien avec Lucie, qui a découvert la fessée lors d'un séjour en ANgleterre quand elle étiat adoloescente. </div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Lucie, vous nous
avez raconté dans quelles circonstances vous avez découvert la
fessée lors de votre séjour en Angleterre. A l’époque, avez-vous
partagé cette expérience avec quelqu’un ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Non avec personne
car j’avais trop honte d’avoir été fessée comme une gamine à
17 ans</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Ces fessées «
anglaises » étaient presque des fessées de petite fille,même si
elles vous ont fair découvrir une forme de sensualité. Quand
avez-vous reçue votre première fessée de femme adulte ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
En 1973 j’ai fais
la connaissance de Thomas c’était le directeur de l’école
primaire de ma fille. Il avait 30ans et père d’un petit garçon de
8 ans qui était dans la même classe que ma fille. Sa femme était
décédée. Nous avions inscrit nos enfants au judo et c’est comme
cela que nous avons fait connaissance en discutant pendant leurs
entrainements. On se rendait service en emmenant les deux, Olivier
avait passé la nuit chez moi et Cécile chez lui, nous étions amis.
Il a une grande passion pour le golf car son père était greenkeeper
dans un grand golf de la région. Je précise cela car Henry est lui
aussi passionné de Golf. Finalement sans le faire exprès et sans me
douter des conséquences, Henry et Mary venant passer un WE sur la
route de leur maison de Royan, j’avais invité Thomas. Il a discuté
de Golf toute la soirée et le samedi matin il est parti avec Henry
faire un parcourt.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Ainsi, vous aviez
gardé des relations avec Henry et Mary ? L’un et l’autre, quand
ils venaient chez vous, faisaient-ils allusion aux fessées que vous
aviez reçues chez eux ? Et à leurs habitudes familiales ? Autrement
dit, est-il arrivé à Henry de corriger sa femme lors de leurs
séjours chez vous ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Effectivement
j’avais gardé des relations surtout avec Mary, nous nous écrivions
régulièrement, elle m’a été d’un grand réconfort quand je
suis tombée enceinte. Ils m’ont rendu visite à plusieurs reprises
quand ils venaient en France. Quand je me retrouvais seule avec Mary,
il m’est arrivée de l’interroger et de lui demander si elle
avait du présenter des fesses à Henry, elle me répondait que
j’étais une petite curieuse et que je mériterais une fessée mais
elle ne l’a jamais fait. Je le regrette un peu. Je n’ai jamais vu
Mary à cette époque là être fessée devant moi. Je dois vous
avouer que quand je me caressais, il m’arrivait de me voir sur les
genoux de Mary ou Henry, ce qui m’excitait.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Mais jamais plus
il ne s’était montré « autoritaire » avec vous ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Une seule fois mais
c’était un jeu donc cela ne compte pas</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Savez-vous si
leur fille Ann a épousé un homme qui est aussi respectueux des
traditions britanniques en matière conjugale ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Oui tout à fait et
il a commencé dés leurs fiançailles auxquels j’ai assisté. Le
lendemain matin, j’ai vu qu’elle faisait une grimace en
s’asseyant et elle m’a voué qu’Albert lui avait donné une
fessée en lui précisant que ce n’était que la première qu’il
lui donnait en tant que futur mari</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Revenons à
Thomas, si vous voulez bien. Dans quelles circonstances a-t-il été
amené à vous fesser ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je ne vous ai pas
encore dit mais j’ai un gros défaut enfin je devrais dire deux, je
n’ai aucun sens de l’orientation mais surtout j’ai un gros
problème avec la ponctualité sauf dans mon travail. Ma fille
restait à la garderie le soir c'est-à-dire jusqu’à 18 heures
mais il m’arrivait souvent d’arriver à l’école que vers 18h15
voir plus. Quand je voyais que je débordais je téléphonais à ma
mère pour qu’elle la récupère</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le vendredi suivant
la visite de Mary et Henry, Cécile m’a donné une lettre venant de
Thomas. J’étais surprise et encore plus en la lisant</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Madame,</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je
souhaiterais vous rencontrer samedi à 11h30</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cordialement</div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mr T.
U*****</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
J’ai tout de suite
demandé à Cécile si elle a fait une bêtise mais elle ma dit que
non.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le lendemain, je
suis allé au RDV. Je me demandais ce qu’il voulait J’ai attendu
que tous les</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
élèves soient et
les instits soient puis il m’a fait venir dans son bureau.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Madame, je vous
ai….</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Je ne comprends
pas, qu’est qui se passe, on se tutoie</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Madame, je vous ai
demandé de venir car nous avons un problème …</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Ma fille a fait
une bêtise</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Ho non ! Cécile
est une très bonne élève, sage, attentive et participe à la
classe. Le</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
problème c’est
vous</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Moi !!!!!</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Oui les
instituteurs et moi n’en pouvons plus de vous attendre tous les
soirs. Il est</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
anormal que vous
arriviez pratiquement tous les jours en retard pour venir chercher
Cécile.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- C’est ma
profession qui…..</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Laissez-moi finir.
Nous comprenons que vous avez des responsabilités mais il faut que</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
vous compreniez que
nous aussi, nous avons tous une vie de famille. Il faut que vous
trouviez</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
une solution. Votre
mère m’a dit qu’elle avait tout essayé pour vous faire passer
cette</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
mauvaise habitude
mais rien n’y fait.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Je reconnais je
suis vraiment désolée. Vous voyez jeudi ma mère m’a téléphoné
pour me</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
dire qu’il était
temps de partir, j’ai dit oui mais je me suis replongé dans un
dossier.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Je comprends mais
si cela continue, nous ne pourrons plus garder Cécile le soir.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Je vous promets
que je vais faire un effort</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il a fait le tour du
bureau, je m’étais levée, pensant que l’entretien était
terminé</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Franchement je
pense que vous avez du souvent faire cette promesse.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Oui je le
reconnais mais promis (le tout avec un grand sourire)</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Ce n’est pas
drôle. Une personne m’a soufflé une bonne idée afin que vous
n’oubliiez</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
pas votre promesse.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Ha bon !!</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Avant que je ne
comprenne ce qui m’arrivait, il s’était assis et m’avait
basculé sur ses genoux</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Arrêtez, vous
êtes fou !!!!!!! qu’est ce que vous faites</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Vous savez très
bien ce que je vais faire, c’est vos amis qui m’ont conseillé
cela</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Non !! je ne veux
pas vous n’avez pas le droit</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Vous voyez que
vous savez……que vous allez recevoir une fessée comme une petite</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
fille qui fait des
bêtises.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Non !!! taisez
vous je vous l’inter…..Aie !!!! aie !!!! non stop !!!!</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il claquait
tranquillement sans brutalité mais avec suffisamment de force. Je me
démenais</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
essayant de m’en
sortir mais il me tenait fermement. Il claqua mes fesses je dirais
pas plus de</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
2 minutes.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Alors Madame
j’espère que vous comprenez le message</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Arrête je vais
porter plainte vous n’avez pas le droit.arrétez !!!!!!</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Je vois que la
leçon n’a pas encore Ses fruits.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il a pris le bas de
ma jupe et l’a relevée, j’ai poussé un grand cri tout en
essayant de rabattre</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
ma jupe.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Puisque vous ne
voulez pas comprendre je vais continuer sur ce magnifique slip en</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
dentelle qui ne va
pas vous protéger des claques</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Nooooooonnnn
!!!!!!</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Sans la protection
de ma jupe les claques faisaient plus mal, là encore la fessée ne
fut pas</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
longue mais les
claques très rapides et beaucoup plus forte. Il m’a relâchée. Je
me suis levée,</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
j’ai pris mon sac
à main et me suis dirigée vers la porte.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Madame P**** (IL
avait presque crié mon nom, je me suis arrêtée et j’ai tourné
la tête)</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La prochaine fois
que vous serez en retard, ce sera cul nu.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
J’ai claqué la
porte et je suis sortie. Ce n’est pas tant la douleur que …que..
Comment avait il</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
osé. Mon rimmel
avait coulé, je suis allée chez moi me changer et me rafraichir
avant de</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
retrouver Cécile
chez ma mère.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Vous aviez
compris alors que cette « idée » de vous fesser lui avait été
soufflée par Henry ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Après être rentrée
à la maison j’ai repensé à ce qui venait de se passer et je me
suis rappelé</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
cette phrase de
Thomas « Une personne m’a soufflé une bonne idée afin que vous
n’oubliiez</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
pas votre promesse.
» J’ai compris que c’était Henry qui lui avait dit cela. Plus
tard j’ai</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
interrogé Thomas à
ce sujet et il m’a confirmée qu’Henry lui avait expliqué que
quand il avait</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
un problème avec sa
femme il l’a couchait sur ses genoux et lui donnait une fessée.
Thomas</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
lui avait répondu
que je n’étais pas sa femme. Henry a balayé cela en lui disant
que j’avais</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
avoué à Mary que
j’étais amoureuse de lui. Henry lui avait même suggéré de ne me
donner</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
qu’une fessée sur
ma culotte en me menaçant de me déculotter la fois suivante. Il a
ajouté, je</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
vous prends le pari
que cela se passera mais là il faudra vous jeter à l’eau et le
faire. Ensuite</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
croyez-moi ensuite
elle acceptera la fessée tout à fait comme Mary l’a accepté de
ma part.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Et cette fessée
donnée par l’instituteur de votre fille, elle avait provoqué le
même « émoi »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>chez vous que
celles reçues d’Henry ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cela n’avait rien
à voir, celle d’Henry je l’avais provoqué, celle de Thomas je
ne l’avais pas</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
vu venir et en plus,
mais il ne pouvait pas le savoir, la fessée en milieu scolaire est
toujours un</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
de mes fantasmes
préférés, peut être parce que la première fessée que j’ai vu
se passait dans</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
ce milieu et m’a
beaucoup marquée, même si ce n’est pas moi qui l’ai reçue. La
première de</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Thomas m’a mis
dans un état incroyable, j’étais une femme qu’aujourd’hui on
appellerait de</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
pouvoir puisque
j’étais cadre bancaire et que j’avais plusieurs personnes sous
mes ordres et</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
pourtant, je venais
d’être fessée comme une gamine. Arrivée à la maison la première
chose</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
que j’ai faite est
de regarder mes fesses dans une glace, elles étaient bien rouges. Je
me suis</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
déshabillée, j’ai
pris un vibromasseur et j’ai joui très vite tellement j’étais
excitée</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Pourtant, si j’ai
bien compris, ce ne fut pas la seule fessée pour cause de retard ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Etait-ce cette
fessée mais pendant prés d’un mois, je suis arrivée à l’heure
pour récupérer</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cécile mais notre
relation amicale s’était arrêtée. Les enfants se demandant
pourquoi. Un</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
vendredi soir,
c’était vers le milieu du mois de juin, impossible de joindre ma
mère et</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
impossible d’être
à l’heure. Heureusement Thomas ne me voyant pas arriver était
arrivé</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
quand même à
joindre ma mère. Hé oui il n’y avait pas de portable à cette
époque là.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le lendemain,
j’étais allée faire mes courses et en rentrant vers midi, j’ai
aperçu Thomas</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
chez lui, il
habitait avec son fil dans l’école.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je me suis arrêtée,
il m’a fait monter chez lui</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Je suis vraiment
désolée pour hier, un impondérable, merci d’avoir appelé ma
mère.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Vous avez vu j’avais
fais des efforts</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Oui c’est vrai,
je ne l’ai pas dit à votre mère mais Francine (l’instit de
Cécile) voulait</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
que nous l’amenions
au commissariat comme cela s’est fait vers Lyon</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Mon dieu, merci
!!!!! Je ne vais pas vous déranger plus longtemps, je vais vous
laisser</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
profiter de votre
fils</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Il n’est pas là
il est chez ses grands parents.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Bon ben bon WE (Il
m’a prise par le poignet)</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Ma petite Lucie,
tu ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça (C’était la
première fois</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
depuis….la fessée
qu’il m’appelait Lucie et me tutoyait) Nous avons en petit compte
à régler</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Non ce n’est pas
de ma faute</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- J’ai
l’impression d’entendre un de mes élèves mais ils ont 9 ans,
c’est jamais de leur</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
faute Il a tiré une
chaise, s’est assis)</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Non Thomas s’il
te plait, pas ça je t’en prie</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mais j’étais déjà
allongée sur ses genoux et la fessée a commencé immédiatement.
Sans un</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
mot de sa part. Une
cinquantaine de claques alternant les deux fesses rapidement et sans
arrêt</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
puis il a relevé le
bas de ma robe. Je portais une robe de plage que l’on porte sans
soutien</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
gorge. j’ai essayé
de me débattre mais une énorme claque au milieu des fesses m’a
fait</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
pousser un cri et
remettre mes mains devant moi, là encore le même genre de fessée
très</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
rapide et sans
arrêt. Ouf c’était fini.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- J’espère que
cette fois-ci tu comprendras la leçon</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Oui promis</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- J’espère que tu
te rappelleras la honte d’être allongée sur mes genoux comme une
petite</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
fille</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Ho !!!! tais-toi</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Tu n’oublies
qu’une chose ma petite Lucie, je t’ai fais une promesse et je
tiens toujours</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
mes promesses.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Nooooon !!!!! pas
ça nooon (je me débâtais dans tous les sens)</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Mais si (il avait
prit mon bras droit et l’avais coincé dans mon dos) que t’avais
je</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
promis ?</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- ……………..(une
très grosse claque tomba) aiiiie !!!!</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Je t’ai posé
une question, que t’avais je promis ?</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- …….Thomas je
t’en prie, je ne suis plus une enfant, pas ça s’il….aiiiiiie
!!!!</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Pour la troisième
fois que t’avais je promis</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- ….une……fessée….</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Oui comment</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- …..déculottée</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Ce n’est pas ce
que je t’avais promis, emploies les bons termes.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Ho non !!!! j’ai
trop honte….aie !!!!! ….une fessée cul nu …ho s’il te plait</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Voila tu vois
quand tu veux (il a pris l’élastique et a baissé ma culotte
jusqu’à mes</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
chevilles. Il a
passé sa main sur mes fesses) Elles sont déjà bien chaudes mais
pas encore</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
assez</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Non non !!!!!!</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La fessée a repris
mais très courte, une dizaine de claques bien appuyée mais qui
m’ont fait</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
pleurée. Il m’a
relevée tout en passant ses mains sur mes fesses.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- J’espère que
c’est la dernière fois</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Promis mais tu as
été méchant</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Nos regards se sont
croisés, nos bouches se sont rapprochées et se sont rejointes,
c’était la</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
première fois</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Tu la méritais,
ce qui me surprend c’est que tu ais pris du plaisir à recevoir
cette fessée</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
sinon commence
explique tu cette humidité sur ma cuisse</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il a posé sa main
sur ma toison puis me l’a montée, toute luisante</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Tais toi j’ai
honte mais toi aussi tu as pris du plaisir</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
J’ai posé ma main
sur sa cuisse et suis remontée en passant ma main sous son short.
J’ai étais</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
surprise car il ne
portait pas de slip, j’ai commençais à le caresser</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Attention sinon un
accident va arriver</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il m’a prise comme
on prend une mariée et m’a emmener dans sa chambre, je me suis
laissé</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
faire, il a fait
passer ma robe par-dessus ma tête, j’ai baissé son short, et ce
que j’ai vu m’a</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
bien plu. Je vous
rappelle que ce n’étais que le deuxième homme que je connaissais.
Je me</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
suis laissé faire
et après que nous ayons pris notre plaisir, allongés sur le lit je
lui ai expliqué</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
le peu qu’il y
avait à raconter sur ma vie sexuelle antérieur. Il m’a regardé,
m’a embrassé</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Si je comprends
bien il va falloir que je te donne des cours du soir, j’espère que
tu seras</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
ponctuelle</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
- Sinon tu connais
la méthode</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Nous avons éclaté
de rire.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Voila comment j’ai
fait connaissance de Thomas. Les six mois qui ont suivi nous avons</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
partagé nos nuits
chez lui et chez moi mais en faisant attention pour les enfants. Eux
étaient</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
ravis</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Donc vos enfants
respectifs ne savaient pas comment Thomas s’occupait de vous ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
C’est ce que nous
croyions mais l’avenir allait nous détromper</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Eux, je veux dire
vos enfants, recevaient aussi parfois la fessée de votre part ou de
celle de Thomas ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Oui la fessée se
passait dans leur chambre, jamais l’un devant l’autre, 10 claques
pas une de plus</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
toujours fesses nues
et après un câlin et un bisou. IL l’ont toujours compris et ne
nous ont jamais fait de reproche</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Vous aviez
raconté à Thomas avoir été déjà fessée par Henry avant de
l’être par lui. Mais, lui, avait-ilfessé d’autres femmes avant
vous ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Non, j’étais la
première personne qu’il fessait
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>les fessées que
vous receviez de Thomas étaient toujours motivées par de vraies
bêtises de votre</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>part ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Oui, mis à part
celles qui me donnaient comme préliminaires à l’amour, mais est
ce des fessées ?</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Ces fessées sont
parfois annoncées à l’avance ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
En fait il arrive
qu’il m’annonce que je serais punie mais il ne me dit pas comment
et j’avoue que cela m’excite à chaque fois car je me fais mon
petit cinéma</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>EN dehors des
fessées, Thomas a-t-il d’autres exigences « autoritaires », en
termes de tenue</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>vestimentaire par
exemple ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Au début non et
puis cela est rentré dans nos jeux, interdiction de mettre des sous
vêtements,</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
obligation de mettre
un string pour aller à la plage après une fessée. Me connaissant
il me demande</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
parfois de mettre
une tenue scolaire pour nos jeux. Après une fessée, j’ai
interdiction de remettre</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
ma culotte.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Et il vous a
confirmé que c’est bien Henry qui l’avait invité à vous
traiter ainsi ? Vous en avez parlé</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>avec Henry et
Mary ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Oui j’ai même
remercié Henry</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>J’aimerais
mieux comprendre, Lucie. Depuis que vous vivez avec Thomas, vous
recevez des fessées</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>pour de « vraies
» bêtises, comme les premières, ou parfois pour le seul plaisir de
Thomas … et peutêtre de vous-même ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Les deux</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
A<i> part vos amis
anglais, qui, dans votre entourage, sait que vous êtes une épouse
fessée ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
IL y a Mary et
Henry, Will et Lizzie, d’autres amis Anglais, Philippe et Chloé,
Madame Paulette, la</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
concierge de l’école
de Thomas et mes parents bien sur mais pas mes beaux parents, eux ils
ne</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
comprendraient pas.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>Et dans cet
entourage, vous connaissez d’autres femmes qui sont traitées comme
vous ?</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Non mais je suis sur
que cela existe</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-18200760481650739782017-11-20T08:28:00.001-08:002017-11-20T08:28:41.730-08:00Entretien avec Lucie, ou mémoires d'une femme fessée
<h1 align="center" class="western">
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: sans-serif;"><i>Contrairement aux habitudes, le texte qui suit n'est pas une fiction inventée par Alain ELoge. Il est élaboré à partir des confidences d'une dame qui a aujourd'hui plus de 60 ans, et qui nous raconte, dans ce premier épisode, comment elle a découvert la fessée quand elle était jeune fille.<br />Si les prénoms ont été modifiés, les révélations de "Lucie" sont reproduites telles qu'elle les a faites... <br />Seules les questions ont été ajoutées. </i></span></span></h1>
<h1 align="center" class="western">
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: sans-serif;"> </span></span></h1>
<h1 align="center" class="western">
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: sans-serif;"> </span></span></h1>
<h1 align="center" class="western">
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: sans-serif;"> </span></span></h1>
<h1 align="center" class="western">
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: sans-serif;">En</span><span style="font-family: sans-serif;">tretien
avec Lucie</span></span></h1>
<h2 align="center" class="western">
1er Partie : « En Angleterre en
1969 »</h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
A l’école en Angleterre
</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Aujourd’hui,
je reçois Lucie qui m’explique ce que la fessée représente pour
elle.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Bonjour,Lucie, pouvez vous vous présenter rapidement ? J’aimerais que vous le
fassiez ... sans rien </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>nous
cacher.</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«Je
m’appelle Lucie, j’ai 63 ans mariée, une fille. . Je suis
intéressée par la fessée depuis ce séjour que je raconte et
aujourd’hui encore il m’arrive de devoir confier mes fesses à
mon mari pour leur donner un peu de couleur»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Vous
êtes concernée le sujet qui nous concerne depuis longtemps ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Effectivement j’ai découvert la fessée au cours d’un séjour
linguistique en 1969. Mes parents m’avaient envoyé pour deux mois
en Angleterre pour remonter mes notes d’anglais because, le bac
l’année suivante. Moi qui pensais passer de bonnes vacances à la
plage et me disant que finalement il y aurait plus de français que
d’anglais..... . Le problème était que mes parents avaient choisi
la formule ‘’immersion’’ et j’étais la seule française
dans ce village non loin de Plymouth en Cornouaille. J’étais chez
un '' typically english couple '' avec 2 enfants Ann 16 ans et Andrew
12 ans. Mary la mère et Henry le père. »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Et
c’est donc en Angleterre que vous avez découvert ... «
l’Education Anglaise »</u> ?</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">« Les
quinze premiers jours je suis allée au collège avec Ann car leurs
vacances ne </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">commençaient
que vers le 15 juillet. J’ai découvert l’uniforme classique
porté dans ce collège privée de jeunes filles. Je n’ai pas
découvert que ça et nous allons entrer rapidement dans le vif du
sujet. Cela faisait quatre jours que j’étais en classe et la
professeur de math a rendu un devoir et a appelé 2 élèves au
tableau.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>Vos
devoirs sont identiques, qui a copié ?</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> ...........</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> Qui
a copié ?</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> Vous
voulez aller toutes les deux chez la directrice ?</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> C’est
moi Madame</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>Bien
vous irez chez la directrice à 16h, quand à vous.…</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Elle
a pris l’autre élève, l’a penchée sous son bras, relevé sa
jupe et ramené sa culotte vers la raie </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">des
fesses et l’a fessée. Personne n’était surpris dans la
classe... mis à part moi évidement. La fessée a durée 2 à 3
minutes sans interruption et très intense, ses fesses étaient bien
rouges quand elle l’a lâchée.... Elle est retournée à sa place
sans un mot et le cours a repris. C’était la première fois que je
voyais quelqu’un recevoir une fessée, moi-même n’en ayant
jamais reçue et je dois avouer que j’ai été très troublée.»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Qu’entendez-vous
par « troublée »Lucie ?»</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">« Pour
être tout à fait franche, en regardant cette fessée, j’ai senti
une boule dans mon ventre et je me suis imaginée à la place de
cette jeune fille. J’ai également senti une humidité naissance
dans mon bas ventre »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Et
votre condisciple anglaise, comment a-t-elle réagit ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«A
la fin des cours, à 16 heures sur le chemin de la maison j’ai
demandé Ann :</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> «
<i>Ann, que va-t</i><i>-</i><i>il arrivée à la fille qui est allée
chez la directrice ? » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>- «
Elle va avoir le droit à la tawse ou la cane sur le cheval. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">J’allais
lui poser une autre question mais Mary nous attendait avec la
voiture.»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><u>J<i>e
comprends que vous n’ayez pas eu envie de parler de cela devant la
maman, mais, par la suite, </i></u></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>vous
avez eu de plus amples informations sur ce point ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«En
effet, j’ai appris que cette jeune fille avait été fessée par la
directrice et avait reçu 12 coups de tawse sur le cheval.»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">*</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Si
je comprends bien, lors de ce séjour outre Manche, c’est
uniquement à l’école que vous avez </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>découvert
les pratiques de nos voisins ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Non, pas seulement, à la maison aussi ! Ce qui était long, c’était
les soirées car nous prenions le thé à 18 heures avec des
sandwichs, après, c’était la télé ou les jeux de cartes puis
vers 20 heures de nouveau du thé avec des sandwiches, des petits
gâteaux. M Travis lisait son journal et Mary tricotait. Un soir où
les enfants faisaient leurs devoirs et je lisais....un livre en
français, j’entendis le mot spanking à la télé, je levais les
yeux de mon livre, c’était un débat sur l’éducation dans les
écoles et du maintient des châtiments corporels. Henry m’expliqua
que devant la montée de l’incivilité, certains députés
souhaitaient le maintien des châtiments corporels dans les écoles
privées. Il précisa qu’il était pour et il ajouta que dans de
nombreuses familles, les châtiments corporels étaient en vigueur
aussi bien pour les enfants que pour la femme et en disant ceci, il
fit un sourire à sa femme qui plongea sa tête dans son
tricot....... Ajoutant qu’ils faisaient parti de ces familles. Je
me suis posé la question de ce qu’il voulait dire. »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<u><span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Et,
là aussi, vous avez été « troublée » comme vous dites ?</i></span></span></u></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Quand je suis montée dans ma chambre j’étais tout aussi troublée
qu’après la punition que j’avais vue en classe. Je constatais
que ma culotte était mouillée mais j’ai cru avoir lâché
quelques gouttes de pipi. IL faut que vous sachiez que j’ai fais
toutes mes études dans une école religieuse tenue par des bonne
sœurs et j’étais tout à fait ignorante de tout ce qui touchait à
la sexualité. »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<u><span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Revenons
à l’école, si vous voulez bien, nous reparlerons de la famille
ensuite.</i></span></span></u></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
La semaine suivante, Ann a été surprise à discuter avec sa
compagne de table et ni l’une ni l’autre n’ont su répéter ce
que venait de dire la professeur. Celle-ci a écrit leur noms dans un
coin du tableau et le cours à continué. A la fin de la pause du
milieu de matinée, une femme qui tiens le rôle de surveillant
général que nous avions en France, a ouvert la porte et a appelé
Ann. Celle-ci l’a rejointe dans le couloir et nous avons entendu
quelques minutes plus tard à 6 reprises un bruit sourd, là encore
il n’y avait que moi qui ne savait pas ce qui se passait puis elle
est revenue en classe en se frottant les fesses et les yeux rougis
puis l’autre élève est sortie et a reçu la même punition »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><u><i>Vous
avez compris ce qui se passait alors dans le couloir ? Ann vous l’a
expliqué </i>?</u></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«Oui
bien sur, l’élève devait baisser sa culotte, coincer sa jupe dans
sa ceinture et se pencher en posant les mains sur le mur Et quand
nous sommes rentrées à la maison, Ann a donné à sa mère un
papier à signer.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Tu le donneras à ton père » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Ho ! Maman » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Vas dans ta chambre ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Je
l’ai rejointe et elle m’a montré ses fesses, on voyait nettement
les 6 impacts ».</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>J’aimerais
que vous précisiez, Lucie. Que voulez vous dire par « impacts » ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«On
voyait très nettement les marquessur les fesses Et d’ailleurs,
Quand M Travis est rentré, Ann est tout de suite allé le voir et
lui a donné le papier à signer. Il lui a demandé à voir ses
fesses et a considéré que la punition était suffisante. »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
Dans une famille anglaise.</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">La
fessée de Andrew</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Donc
vous avez compris que, s’il en avaitété autrement, Ann aurait pu
aussi recevoir une punition chez elle, et donc vous avez eu la
confirmation que celle-ci faisait aussi partie de la vie familiale ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Oui quelques jours plus tard, Andrew a mal répondu a sa mère et a
reçu une fessée par son père mains dans le dos et pyjama et slip
aux chevilles il a du s’excuser auprès de ses parents avant de se
mettre « in the corner » pendant 10 minutes. Punition anodine mais,
ne riez pas, pour la première fois de ma vie j’ai vu un sexe
d’homme enfin disons d’ado. Ann qui a assisté à la punition m’a
dit qu’elle était également punie de cette manière. </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">La
fessée de Ann</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Et
je pus m’en rendre compte assez rapidement et pour le même motif
que son frère. Nous venions de finir de déjeuner et M Travis dit à
Ann d’aller au salon :</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> «<i>
Come on girl ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Ann
tête baissée écoutait son père la réprimander pour avoir été
insolente avec sa mère. Andrews, Mary et moi les avions suivis au
salon. Ann essaya de se défendre mais son père lui intima l’ordre
de se taire, je la vis mettre ses mains devant ses yeux et je compris
qu’elle suppliait son père mais il ne céda pas. Je vis ses yeux
s’embuer. Elle enleva sa jupe. Elle se retourna vers son père, le
suppliant du regard puis elle prit l’élastique de son slip et
enleva celui-ci. Elle commençait à pleurer, Mary la fit mettre à
genoux sur une table basse, le front contre la table. Son père vint
derrière elle et lui fouetta les fesses avec, je l’appris ensuite,
une tawse. Elle en reçu 12 coups. Elle se releva et leur demanda
pardon et alla se mettre face au mur mains sur la tête. Une
demi-heure plus tard. Mary emmena les enfants chez leurs grands
parents mais je ne pus y aller car le grand père n’aimait pas les
français. Je n’ai pas vraiment bien compris pourquoi mais cela
datait de la guerre. »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Attendez,
Lucie, vous allez trop vite ! D’abord, si je vous comprends bien,
c’était toujours le père </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>qui
se chargeait de donner les fessées ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«Non
il arrivait que ce soit Mary, Mme Travis qui punisse Ann ou Andrew
mais le plus </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">souvent
c’était M Travis»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Et
vous parlez de « tawse » ... vous savez que, pour les lecteurs
français ... c’est chose inconnue ! </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Qu’est-ce
que c’est ? Vous l’aviez déjà vue avant que le papa ne
l’utilise sur les fesses de sa fille ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Une twase, c’est comment dire comme une ceinture d</span></span>’<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">environ
8cm de large coupée par le milieu jusqu’au ¾ le reste servant de
poignée. La longueur étant d’environ 40 à 50 cm»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Et
donc elle servait pour les enfants ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Pas seulement ... »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Comment
cela ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">La
fessée de Mary</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Pendant que Ann et Andrew étaient partie chez leurs grand parents,
j’ai décidé de faire un tour de en vélo. Je roulais quand je me
suis aperçue que j’avais oublié mon porte monnaie. J’ai fais
demi tour et arrivée à la maison, dans le jardin j’ai entendu des
éclats de voie venant de la buanderie. M Travis réprimandait sa
femme et celle-ci comme Ann tout à l’heure écoutait sagement son
mari. Il reconnaissait qu’Ann méritait la punition qu’elle avait
reçue mais qu’elle ne devait pas s’emporter quand elle parlait à
sa fille. De plus il lui reprochait de s’être énervé pour un
motif insignifiant, que ce n’était pas la première fois qu’il
lui disait. Il lui demanda si elle avait bien compris ses reproches,
elle hocha la tête. C’est à ce moment là que me revint cette
phrase qu’il avait dit quand nous regardions la télé l’autre
soir, ’’ il arrivait que le mari punisse sa femme’’. Il
n’allait quand même pas la punir. Il prit un gros billot de bois
dont il se servait pour couper du bois le fit glisser au milieu de la
pièce. Pendant ce temps-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">là
Mary déboutonna sa blouse et je la vis apparaître en
sous-vêtements. Quelle belle femme !! »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Une
maman anglaise en sous-vêtements, vous comprenez bien que cela
mérite quelques précisions, </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Lucie
surtout si en plus elle est belle ! Dites m’en plus sur cette
femme, et bien sûr sur se</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>s
dessous, je suis très intéressé par la découverte de ceux-ci,
vous vous en doutez !</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«Vous
êtes coquin, Mary était une belle femme, 1m75 et je dirais dans les
60kg. Cheveux assez longs noirs. Une belle poitrine bien ferme malgré
ses deux naissances et une magnifique paire de fesses.. Niveau sous
vêtement c’était plutôt très simple une culotte en coton style
grand mère et un soutien gorge classique également»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Il
ne faut pas être grand clerc pour deviner que cette culotte ne resta
pas en place …</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«En
effet, vous devinez juste ! Elle posa une serviette sur le billot et
se coucha dessus. Il prit la tawse dont il s'était servi pour Ann,
lui enleva sa culotte, leva la tawse, attendît quelques secondes et
frappa sèchement le derrière ainsi exposé avec petit sourire. Mary
fit un bond, la douleur devait lui brûler les fesses. Un deuxième
coup fut suivi par un troisième aussi sévère. La douleur était si
intense maintenant que Mary se tordait dans tous les sens du moins
elle envoyait ses jambes en l’air. Les larmes apparurent sur son
visage car les coups tombaient régulièrement couvrant toute la
surface du postérieur qui prenait une couleur de plus en plus rouge
vif. Maintenant Mary suppliait son mari d’arrêter mais en vain.
Des larmes coulaient sur son visage. Il fouettait plus rapidement
redoublant les pleurs, et gémissements de la punie. Je regardais la
taswe décrire des arcs de cercle et s’abattre sur les fesses sur
lesquelles des taches de couleur carmin apparaissaient.. Les cinglées
sonnaient avec un bruit clair sur les fesses nues qui tressautaient.
J'étais absolument fascinée, je n'arrivais pas à détacher mes
yeux du spectacle offert sans s’en douter par Mary. Il posa la
tawse et lui donna une dizaine de claques. Elle ne put empêcher les
mouvements spasmodiques de ses jambes qui se sont mises à ruer,
s'écarter, s'ouvrir, me faisant découvrir ses trésors » </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>« Ses
trésors ! » Quel joli mot vous employez,Lucie. Mais, encore une
fois, vous vous doutez bien </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>que
je vais vous demander ... de préciser !</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
On voyait très nettement sa fente ouverte à travers les poils ainsi
que son petit trou ridé»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Je
sais que je vous en demande beaucoup, Lucie, mais après tout, vous
avez commencé, il vous faut </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>aller
au bout ... Je suppose que l’intimité de cette adulte était,
comment dire ? plus « garnie » que la vôtre de jeune fille ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«Ho!
vous êtes vraiment coquin, effectivement sa toison était très
fournie et d’une couleur </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">noire
et bien mouillée à la fin de la punition.»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et
ses suites</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i><u><span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">C’était
la première fois que vous découvriez ainsi l</span></span>’<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">intimité
d’une femme adulte ? Il ne vous restait </span></span></u></i>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>plus
qu’à découvrir aussi celle d’un homme pour que votre éducation
soit complète !</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Justement ... »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>J<u>ustement
quoi ?Vous n’allez pas me dire que …</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Eh bien si... Anthony lâcha sa femme, recula pour admirer son œuvre.
IL fit relever sa femme lui fit poser ses mains à plat sur le
billot. Il déboutonna son pantalon, sortit son sexe. J’ai faillit
pousser un cri devant ce que je voyais, rien à voir avec celui
d’Andrew. »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Je
m’en doute ! Mais, encore une fois,vous comprenez bien que je vais
vous demander. Je me trompe ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«J’ai
un peu honte d’écrire cela. C’était la première fois que je
voyais cela, il faisait environ une bonne vingtaine de cm mais
surtout je l’ai trouvé très gros, il faut dire que je n’avais
pas à l’époque d’autre référence qu’Andrew et M Travis
....Il s’avança et pénétra sa femme d’un coup. Elle poussa des
petits cris que je prenais pour des cris de douleurs, évidement ce
n’était pas cela, encore qu’à chaque fois que son ventre
touchait ses fesses meurtries...... Il poussa un cri puis se retira.
IL sortit son mouchoir, essuya son pénis, elle se releva, tenant ses
fesses dans ses mains et j’entendis son mari lui annoncer que si
cela se reproduisait il servirait de la cane et la punition aurait
lieudevant Ann. Il se rhabilla et sortit de la buanderie. Je n’eus
que le temps de me baisser dans un buisson. Mary remis sa blouse mais
pas sa culotte et sortit à son tour en se frottant les fesses. Je
dois avouer que je n’en revenais pas de ce que je venaisde voir »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Et
... la vôtre d’intimité .., elle était en quel état devant ce
spectacle ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
La mienne était bien mouillée et je dois l’avouer, mes doigts
également.»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Ainsi,
vous avez découvert à la fois ... les choses de la vie, et la
discipline telle que la</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>c<u>onçoivent
nos amis anglais. Mais, fort heureusement, seulement « de visu »,
si je comprends bien</u>.</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Non, j’ai pu par la suite découvrir la réalité de cette
discipline ...»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Vous
voulez dire que ... vous aussi vous avez été ... ?</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<h3 class="western">
Les fessées de Lucie</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Sur
le « cheval »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Oui, J’en viens à ma première fessée (mais puis je vraiment
appeler cela une fessée ? ) qui m’a été donné par Ann. Le
dernier jour de cours, il était d’usage que les élèves rangent
et nettoient le collège. Nous passions le balais dans le couloir et
je vis sur une porte une pancarte ‘’Punishment room’’.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Ann, c’est là que... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Oui quand on est envoyé chez la directrice, on s’assoie sur ce
banc et on attend. Tu veux visiter. » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>- «
Tu crois qu’on peut ? Oui allez ,viens».</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Nous
sommes entrées mais j’ai senti une appréhension pour Ann. Il y
avait juste un bureau une chaise et au milieu de la pièce ce qu’elle
appela le cheval. Il fallait avoir beaucoup d’imagination. En fait
c’était un bloc rectangulaire en bois mais dont le haut était un
plan incliné. Il y avait a ussi une armoire, qu’elle ouvrit, avec
3 cannes de différentes grosseurs, elle m’expliqua que c’était
suivant l’âge de la punie. IL y avait aussi 3 tawse et 3 paddle.
Je n’ai pas besoin de vous expliquer à quoi tout cela sert</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Pas
vraiment, en effet ! Par contre, comme vous m’avez décrit la
tawse, j’aimerais assez que vous </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>me
décriviez ces cannes et ces paddel.</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«Le
paddle c’est un objet en bois, un peu en forme de pelle à tarte et
la cane, est un objet </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">très
flexible en bambou ou en bois, il y avait3 tailles utilisée suivant
l’âge de la punie …</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Je
comprends que vous ayez été étonnée de découvrir ces choses
...d’autant plus que vous étiez là </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>un
peu en fraude ?</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Oui et justement c’est à ce moment que la porte s’est ouverte-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> «
Je peux savoir ce que vous faite là ? »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Je montais à Odile ...... » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Cette salle que vous connaissez bien ! » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Oui Madame » (dit elle en rougissant) </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Profitez-en pour donner un coup de balais et je vérifierais si c’est
bien fait sinon votre amie pourra vraiment découvrir notre
cheval.... » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Oui Madame. »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Je
peux te dire que nous avons bien passé le balai. Elle est venue
vérifier et cela lui allait, </span></span>
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">heureusement...
On est venue la chercher. Elle est partie. Nous allions sortir de la
salle quand Ann </span></span>
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">me
prit par la main.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Tu veux l’essayer ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Quoi donc ? » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Ben le cheval » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Non tu es folle ! » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Tu en meures d’envie ! »</i><span style="font-style: normal;">
(elle n’avait pas tort) </span></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Ben ...heu » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Allez sort et va t’asseoir sur le banc »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Elle
m’a fait patienter 10 minutes puis m’a fait entrer. M’a fait
assoir sur la chaise et elle est passée derrière le bureau.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
</i><i>Lucie</i><i>, vous avez encore bavardé en classe, je vous
avais prévenue mais comme </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>c’est
la première fois vous n’aurez qu’une fessée. » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Ho je vous en prie »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>
Taisez-vous et allez vous mettre sur le cheval »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Je
me suis levée et je dois t’avouer que là ..... Je savais pourtant
que c’était un jeu mais j’ai senti une boule dans mon ventre. Il
y avait un petit cube pour se hisser dessus. Du fait du plan incliné,
j’avais la tète plus basse que mes fesses. Elle a prit mes mains
et les a mise dans des genres de menottes en cuir. Tu ne peux pas
imaginer dans quel état j’étais et en plus une idée me vint «
et si la directrice revenait »-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Bien maintenant que tu es bien installée.</i>.. »(elle a enlevé le
petit cube ce qui fait </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">que
mes jambes ne touchaient plus le sol puis a dégrafé ma jupe et l’a
enlevée) </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Non s’il te plait » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Tu ne crois pas que tu va la recevoir sur ta jupe ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">La
première claque est tombée sur ma culotte, puis une seconde et une
troisième, finalement cela ne faisait pas trop mal. Elle m’en a
donné une dizaine puis a pris l’élastique de ma culotte et j’ai
senti celle-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">ci
descendre le long de mes jambes.-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Non pas ça» </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Mais si, maintenant tu vas recevoir 20 claques sur tes fesses toutes
nues »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Ann je ne veux pas »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Vous
ne vouliez « vraiment » pas, Lucie ? Dites moi tout !</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«Franchement
j’étais partagé mais je pense que je voulais plus la recevoir que
ne pas la </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">recevoir»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Vous
avez donc enfin découvert une « vraie » fessée ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Elle a claqué mes fesses, cela faisait un peu plus mal mais c’était
très supportable. Après quoi elle a remis le petit cube et m’a
détachée. Je suis descendue du cheval et elle m’a fait mettre dos
au mur mains sur la tête »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Face
à elle ? Vous n’étiez pas « nez au mur » comme quand les
enfants allient «in the corner », donc </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>votre
amie voyait aussi ...dites moi les choses clairement, Lucie, sinon …</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Eh bien oui, elle voyait mon intimité, j’ai mis mes mains devant
mais , elle m’a dit de les mettre dans mon dos.Et elle m’avoua :</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
pour moi c’est le moment le plus dur, tu vois quand la punition est
terminée tu dois rester ici et assister aux autres punitions mais
sans avoir le droit de te rhabiller. Il vaut mieux passer dans les
dernières tu comprends pourquoi.» </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Oui tu as raison j’ai vraiment honte d’être ainsi devant toi
comme toi surement quand tes parents t’ont punie l’autre jour
devant Andrews et moi. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Oui tout à fait. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Je
me suis rhabillée et nous sommes sorties de la pièce. Etait ce
vraiment une fessée, honnêtement </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">je
ne pense pas plutôt un jeu, Mais rien que de vous l’écrire, je
suis troublée. Pour moi c’est ma première fessée.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Encore
une fois, Lucie, vous en dîtes trop ou plutôt pas assez ! Je vais
finir par croire que vous </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>cherchez
vraiment une fessée ! Comment se manifestait votre trouble ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Je venais de recevoir une fessée et j’étais surtout troublée car
si cela avait été une vraie punition 4 ou 5 personnes aurait
assisté à ma punition, rien que d’y penser...</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>C’est
mieux comme cela ! Mais vous m’avez dit « ma première fessée »,
dois-je </u></i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>comprendre
...qu’il y en a eu d’autres durant votre séjour ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A
disgusting little French</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Eh bien oui en fait j’en ai reçu deux autres qui n’avait rien à
voir avec celle d’Ann. </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Comme
Andrew et Ann, je donnais un coup de main pour les travaux de la
maison et Mary m’avait demandé d’étendre le linge de couleur
pour qu’elle puisse faire la machine de blanc. J’étais dans le
jardin quand elle m’appela. J’allais dans la buanderie. Elle
était en train de remplir la machine </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
C’est bien tes culottes Lucie ? » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Oui Mary, pourquoi ? » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Parce que tu es une dégoûtante petite française ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Mais.... » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Regarde... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Elle
me fit voir plusieurs culottes, il faut que je te dise que j’avais
pris l’habitude de me caresser mais a travers ma culotte, pourquoi
je ne sais pas.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Alors.... ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Je suis désolée... » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Mais comment fais tu cela ? » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Ben...ben... »</i>. (j’ai mis mes mains devant ma figure et je me
suis mise à pleurer) </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Chut, chut ,calmes toi, je me doute tu te caresses comme le font
toutes les filles » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Oui Mary » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Mais je ne comprends pas comment tu arrives à ce qu’elles soient
aussi tachées. Montre-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>moi
commenttu fais » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Ho !!!! non !!! j’aurais trop honte » </i><span style="font-style: normal;">(elle
m’a prise par l’oreille)</span></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Je t’ai posé une question ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Je
lui ai montrée et lui ai avoué que je le faisais plusieurs fois par
jour.-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Tu es vraiment une cochonne, demain au lieu faire du bateau tu me
feras des exercices et je ne veux plus voir des culottes dans cet
état ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Ho ! non ! Mary j’ai trop envie de faire du bateau. » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Il fallait y penser avant et puis donne moi ta culotte dans l’état
où elle est »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">J’ai
enlevé ma culotte et lui ai tendu. Je suis repartie fesses nues sous
ma jupe vers la porte du jardin, je me suis arrêtée, je suis
revenue vers elle.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Mary, viens »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Je
l’ai prise par la main, amené vers le billot de bois sur lequel
s’était assis M Travis</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Assieds toi et écoutes moi. Je suis vraiment désolée, je reconnais
que je me suis mal conduite et que je mérite d’être punie mais me
punir de la sortie en bateau c’est trop sévère et en plus il va
falloir que tu expliques à M Travis, Ann et Andrew pour quoi je ne
viens pas avec vous alors.... </i><span style="font-style: normal;">(je
me suis allongée sur ses genoux)</span><i> oui je sais mes parents
ne vous ont pas donné l’autorisation mais personne à part nous
deux ne le saura, ce sera notre secret. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Mais tu veux que..... » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Oui donne moi une fessée comme si c’était Ann ou Andrew. » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Mais tu n’as pas l’habitude, alors une petite fessée. » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Non mes parents m’ont envoyé ici pour que j’apprenne l’anglais
en mode immersion, donc je dois apprendre vos coutume, je veux la
même fessée que celle que tu aurais donné à Ann » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Bon puisque tu le veux mais tu ne viendras pas te plaindre après ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>C’était
vraiment à cause du bateau ?</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
Franchement oui car j’adore le bateau. En plus ils avaient un
bateau à voile magnifique et je vais être honnête, j’avais quand
même un peu peur. Le sort en était jeté, je serrais les fesses
attendant la première claque. Elle arriva sur ma jupe, puis une
autre et une autre. Elle les claqua très fort, La chaleur montait de
plus en plus, embrassant mes rondeurs, c’est insupportable, je
suppliais, pleurais à gros sanglots mais Mary tel un vrai métronome
claquait et claquait, je me lançais dans une danse des jambes
frénétique, celles-ci s’ouvraient et se refermaient Quelle folie
j’avais eu de forcer le destin, je m’en voulais, Elle s’arrêta,
ouf c’était fini. Elle releva ma jupe et passa sa main sur mes
fesses.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Tu voulais avoir ce que c’était qu’une fessée.... » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Oui Mary j’ai compris » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Mais non maintenant va commencer ta fessée car une fessée se donne
toujours sur les fesses nues » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Nooooon !!!!! s’il te plait j’ai compris la leçon aiiiiiiie
!!!!!!! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">S<i>oyez
f</i><i>r</i><i>anche, </i><i>Lucie</i><i>, vous espériez vraiment
qu’elle renonce à cette fessée cul nu ?</i></span></span></div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«Je
vais être franche, à ce moment là, oui j’espérais qu’elle
allait arrêter car j’avais vraiment mal aux fesses, cela n’avait
rien à voir avec les quelques claques d’Ann. La fessée repris
mais directement sur mes fesses nues. Maintenant je poussais de vrais
cris tellement j’avais mal. Malgré ceux-ci, Mary continuait et me
serrait bien contre elle pour pas que je lui échappe et elle finit
la fessée par une série très forte, donnant ses coups bien
détachés les uns des autres mais en prenant tout son élan pour
chaque claque qui me faisait pousser un cri déchirant à chaque fois
que sa main aplatissait mes fesses. Elle me faisait payer le fait de
ne pas m’avoir fessée plus tôt. Elle me relâcha et j’entrepris
de faire une danse sur place en frottant mes fesses. Elles étaient
brûlantes.-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Maintenant tu sais ce que c’est qu’une fessée et j’espère que
c’est la dernière que je te donnerais, viens</i> (elle m’a pris
dans ses bras)<i> tu regrettes ?»</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Un petit peu mais je vais pouvoir faire du bateau avec vous !</i> » </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Tes fesses te feront un peu mal mais tu verras ce sera supportable.
Viens je vais te mettre de la pommade ».</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Nous
sommes montées dans ma chambre et elle m’a mis de la pommade.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Tu es vraiment une petite cochonne, regarde moi comme tu mouilles ! »
</i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Tais toi j’ai trop honte ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> «
<i>Je te laisse,je vais finir la lessive mais surtout silence M
Travis ne doit rien savoir. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Promis ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>Et
vous avez tenu promesse ? Vous ne l’avez raconté à personne ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Ben
en fait, je ne vous dis rien vous le saurez plus tard.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Elle
est partie, je me suis caressée mais directement ce qui était
beaucoup plus agréable et le lendemain nous avons passé la journée
sur le bateau, mes fesses me faisaient encore un peu mal mais c’était
supportable.»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><u><i>Dites-moi,
Lucie, cette habitude de « petite cochonne » pour parler comme
Mary, vous ... </i>»</u></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Je
suis comme toutes les femmes il m’arrive de caresser mon petit
bouton à la main ou avec un objet vibrant encore aujourd’hui.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">»</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i><u>En
tout cas, si je comprends bien, vous avez donc reçu deux fessées
durant ce séjour vraiment très « éducatif », et les deux fois
par des femmes ?</u></i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Fessées
pour Lucie et Mary</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">«
J’ai encore reçu une autre fessée pendant mon séjour, je vais
vous la raconter...... </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Une
dizaine de jour avant mon départ, j’étais dans la cuisine avec
Mary, M Travis venait de partir travailler, je portais un long
teeshirt, je ne me rappelle plus ce que je lui disais mais elle m’a
attrapé mise sous son bras a relevé mon tee shirt.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Mais tu n’as pas de culotte, tu mériterais que je te redonne une
fessée comme l’autre jour </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>»
</i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
J’ai même pas eu mal»</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Tu vas voir! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">C’est
à ce moment là que nous avons entendu la voix de M Travis:</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Qu’est ce que ça veut dire » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Rien Darling, nous jouons » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
ne me prenez pas pour un idiot » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
mais non » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Lucie, avez</i>-vo<i>us été fessée par Mme Travis ? » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Heu ...ben....oui mais c’est moi qui l’ai voulut et je le
méritais (je n’avais qu’une peur </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>c’est
qu’il me demande la raison) j’ai même du insister en lui disant
que comme je devais découvrir vos coutumes.......» </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Ce n’est pas une raison, Mary, vous vous rende compte, si
l’organisme l’apprend, pour qui allons nous passer et surtout si
elle en parle à ses parents » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Je ne dirais rien j’aurais trop honte » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Shut up girl » « Mary je vous promets que vos fesses vont s’en
souvenir » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
M Travis je vous en prie ne lui donnez pas la cane comme vous lui
avais promis »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>I</i><span style="font-style: normal;">l
y eu un moment de silence ils se regardèrent puis M Travis s’avança
vers moi</span></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Qui vous a dit cela ? » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Mary je pense »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
no !!!!!je n’ai jamais parlé de ça avec toi !»</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Comment savez vous que j’ai promis la cane à Mme Travis?»</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">J’ai
éclaté en sanglot et j’ai expliqué ce que j’avais vu dans la
buanderie. Plus je parlais et plus M Travis devenait rouge. Quand
j’ai terminé, il m’a regardé les mains sur les hanches.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
vous êtes une dégoûtante petite française, vous devriez avoir
honte alors que nous vous </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>avons
traité comme notre fille »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Je suis désolée » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> « Vous
allez l’être encore plus, vous venez de me dire que vous vouliez
connaître nos coutumes, hé bien vous allez les apprendre à vos
dépends, je vais vous punir comme si vous étiez ma fille ainsi vous
saurez comment nous punissons en Angleterre les petites filles qui se
comportent mal »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Il
m’a prise par le bras m’a couché sur ses genoux, a relevé mon
tee shirt-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> «<i>
En plus ça se promène les fesses à l’air, ce n’est pas la
peine de les serrer, croyez moi, vous allez les ouvrir et savoir ce
que c’est qu’un good british spanking »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Il
m’a bien installée, le tee shirt tombant au niveau de ma figure.
J'étaishonteuse et très humiliée de me retrouver sur les genoux de
cet homme et j’avais peur car je me doutais que la fessée que
j’allais recevoir, j’allais m’en souvenir très très
longtemps. Les claques commencèrent à tomber, il allait d'une fesse
à l'autre, espaçant les claques ce qui était encore plus dur à
supporter car on attend et on ne sait pas quand elle va tomber puis
il accéléra et les claques furent bien plus violentes et surtout
certaines tombaient sur le haut des cuisses. Je commençais à remuer
les jambes pour éviter les coups, mais la pression de sa main gauche
sur ma taille se fit plus intense. Mes fesses me brûlaient, il
frappait de plus en plus fort, je sentais les larmes me venir mais
j’essayais de ne pas supplier puis il s’arrêta. J’essayais de
reprendre mon souffle. Le crépitement des claques repris se mêlant
à mes sanglots, il me tenait fermement pour me maintenir sur ses
genoux, car je jetais mes jambes en l’air, sans pudeur, leur
laissant voir toute mon intimité. . Une avalanche de claques
rougissaient mes fesses sans défense. J’avais l’impression que
mes fesses étaient assises sur une plaque chauffante. Il me
repositionna, ce qui eut pour effet de m’obliger à écarter les
jambes et je sentais mon clitoris frotter sur son genou et mon sexe
devenait de plus en plus mouillé, ce qui augmentait encore ma honte
car j’étais sûr qu’ils se rendaient compte de cela. Je pleurais
à chaudes larmes, de douleur et de honte d’être humiliée ainsi à
mon âge devant eux. Mais quelle fessée, jamais je n’aurais
imaginé cela. Je découvrais la différence entre la fessée d'une
femme et d'un homme Tout d’un coup, il n’y eu plus un bruit dans
le salon mis à part mes pleurs. Mon tee-shirt gisait devant moi, il
me fit lever, j’étais entièrement nue devant eux. Je sautais sur
place tellement j’avais mal. Je ne me rendais même pas compte que
j’étais nue tellement la douleur prenait le pas sur tout le
reste.Il m’a prise par le bras, m’a fait mettre à genoux sur la
table basse</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>« </i><i>Bo</i><i>ttom
up, open your legs</i> »</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">J’attendais
anxieuse, qu’allait il faire et tout d’un coup une douleur
fulgurante, je n’arrivais plus à respirer, je me suis levée d’un
bond en criant. Il tenait à la main la fameuse canne. Je frottais
mes fesses en sanglotant et en trépignant sur place.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Voila maintenant vous savez ce que c’est que la canne et dites vous
que si cela avait été </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Ann
elle en aurait reçu 6 coups. Marry take off your clothes »</i> </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Henry pas devant elle » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Si cela vous apprendra, ne m’obligez pas me répéter »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Mary
a déboutonné sa blouse, l’a pliée et posée sur une chaise, elle
a enlevé son chemisier et sa jupe qui ont rejoint la blouse, elle a
regardé son mari les yeux l’implorant de ne pas avoir à enlever
le reste. Elle a dégrafé son soutien gorge puis a enlevé sa
culotte, elle était entièrement nue. Il lui a fait prendre la même
position que moi sur la table basse. Quand je l’ai vu ainsi les
genoux écartés les fesses en l’air, je me suis imaginée dans la
même position quelques minutes plus tôt. Quelle honte, on voyait sa
fente ouverte et j’apercevais même son petit bouton. M Travis
s’est approché d’elle la cane à la main.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">-</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> <i>«
Vous les comptez et pour vous apprendre ce sera 12 coups » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Henry please » </i></span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>-</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i> «
Silence »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Mary
a attrapé le bord de la table et j’ai vu ses doigts se crisper. Le
premier coup et arrivé et une ligne rouge s’est imprimée sur ses
fesses, elle a dit d’une petite voix « un » puis onze fois la
canne s’est abattue sur ses fesses faisant 11 traits se croisant.
Elle a compté les 12 coups sans qu’un autre son sorte de sa
bouche. Je dois avouer que j’étais admirative devant tant de
stoïcisme. Elle s’est relevée et a remercié son mari puis
celui-ci a remis sa veste et est sorti de la maison, nous étions là
toutes les deux nues au milieu du salon et nous nous sommes mise à
pleurer.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Elle
a mis de la pommade sur mes fesses et moi sur les siennes, les
dernières traces de ma punition sont partie 2 jours avant mon
départ. Jamais je n’ai parlé de cette punition à mes parents.</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: Liberation Sans, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Une
autre histoire ...</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Souvent
après un séjour linguistique, on continue à correspondre avec le
jeune de son âge. Moi j’ai correspondu avec Mary jusqu’à son
décès il y a 4 ans, par lettre puis par internet au minimum une
fois par mois. Nous nous sommes revues à de très nombreuses
reprises car ils ont acheté une maison </span></span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">à
Royan et quand ils y allaient, ils passaient toujours à la maison.
Si la fessée est revenue dans ma vie plusieurs années plus tard
c’est à cause d’eux ou plutôt grâce à eux mais cela c’est
une autre histoire.</span></span></div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-21610805540040262422017-11-06T11:03:00.002-08:002017-11-06T11:03:44.719-08:00CorrespondanceLe texte complet de l'échange de lettres entre deux amies d'enfance fessées par leurs maris.<br />
<br />
<div align="center" style="border-bottom: 1.00pt solid #000000; border-left: none; border-right: none; border-top: none; line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; padding-bottom: 0.07cm; padding-left: 0cm; padding-right: 0cm; padding-top: 0cm; page-break-after: avoid;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-family: Liberation Sans, Arial, sans-serif;"><span style="font-size: 36pt;">ALAIN
ELOGE</span></span></span></div>
<div align="center" class="western">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: 66pt;">Correspondance</span></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="color: #9900ff;"><span style="font-size: large;"><i>Échange
de lettres entre Caroline et Anne - Charlotte</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<h1 align="center" class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1782_579450151"></a>
Les personnages</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<b>Caroline
Asnière</b> : Amie d’enfance de Anne-Charlotte, vingt-huit
ans, récemment mariée à
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Étienne
Asnières</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<i>Elle
reçoit la fessée de son mari après huit mois de mariage. </i>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<b>Anne
– Charlotte</b> de Valette : Amie d’enfance de Caroline,
trente ans, marié depuis quelques années à
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Louis de Valette</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<i>Elle
est fessée par son mari depuis le soir de leur mariage.</i></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<b>Lucie</b>
Laville : Dix-neuf ans,récemment mariée à :</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Pierre Laville, ami de Louis</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<i>Elle
a reçu la fessée en présence de deux autres couples, chez Éliane
et Georges.</i></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<b>Eliane</b>
Legoulle : cinquante ans, amie de Juliette, épouse de
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Georges
Legoulle</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<i>Son
mari lui a donné une fessée après que Lucie ait reçu la sienne,
en présence des deux autres couples.</i></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
J<b>uliette
</b> Faisan : Quarante - sept ans, amie de Lucie et d’Anne -
Charlotte, épouse de
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Émile
Faisan
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<i>Elle
a invité Éliane Juliette et leurs maris, et a reçu la fessée en
leur présence.</i></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1872_579450151"></a>Chapitre
1 :<br />
La lettre de Mme A* à son amie Mme De V*</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Mme
A* est une jeune femme d’un peu moins de trente ans, mariée depuis
moins d’un an avec un homme un peu plus âgé qu’elle. Mariage
largement organisé par les familles, comme il est de tradition dans
cette société bourgeoise de la fin du XIXème siècle, mais aussi
mariage d’amour. Monsieur A* est un homme charmant, bel homme,
sérieux mais qui plait aux femmes. Et la jeune demoiselle qu’on
lui a présentée un jour lui a semblé jolie. Un peu ronde, avec des
formes pleines et gracieuses, et un regard espiègle qui l’a
séduit. Si la jeune fille était pure et virginale comme il
convenait en ces temps, le marié avait quelque peu jeté sa gourme
dans sa jeunesse auprès de quelques servantes accortes voire dans
ces cafés de la vieille ville où les messieurs sont accueillis par
des dames qui savent les recevoir. Depuis le mariage le couple vit
dans la maison de famille des A*, et la jeune mariée s’est trouvée
séparée de son amie d’enfance, mariée quelques années avant
elle, avec qui elle entretient une correspondance quasiment
hebdomadaire. Ce lundi elle est à son secrétaire et son écriture
tremble un peu plus que d’habitude :</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère amie, </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Depuis
tant d’années que nous échangeons cette correspondance, jamais je
n’ai tant hésité à vous écrire qu’aujourd’hui ; Et
pourtant vous savez que j’ai assez confiance en cous pour ne jamais
avoir hésité à vous dire tout de mes pensées les plus secrètes,
et même des événements les plus … intimes de ma vie. C’est
bien ainsi que je n’ai pas trouvé déplacé de vous faire part de
la cour que m’a faite – en son temps – celui qui est devenu mon
mari. D’autant que, auparavant, vous m’aviez compté la carte du
tendre qui a précédé votre propre union. Et comme vous aviez pu
évoquer sans détours les suites de celui-ci, ce dont je vous suis
vous ne pouvez savoir combien reconnaissante, j’ai osé en faire de
même à votre égard sans rougir. Mais cette fois, j’ai vraiment
failli renoncer à poursuivre cette sorte de mise à nu – le terme
vous parait-il choisi ? – et ne c’est que la crainte de
manquer d’honnêteté envers vous qui m’a résolu à prendre la
plume malgré mon honte, ou tout au moins ma gêne. Pour vous narrer
quoi en fait ? Et bien, quoi qu’il m’en coute de l’écrire,
que mon mari a osé lever la main sur moi. Ho, ne vous mettez pas
dans l’inquiétude, je n’ai pas le visage tuméfié. D’ailleurs
le visage n’a en rien été concerné par l’affaire ! Et
pourtant j’ai bien été battue, punie, comme je ne l’avais plus
été depuis les années de notre déjà presque lointaine jeunesse.
Je sais qu’en lisant ces mots vous devez avoir deviné de quelle
punition il s’agit. Il me semble me souvenir que, chez vous comme
chez moi, nos maman aimaient à être obéies et respectées, et que
quand ce n’était pas le cas certaines parties de nos anatomie
d’enfants en faisaient les frais. Il me semble même que chez vous,
à la différence de chez moi, la dd Demoiselle qui se chargeait de
l’’éducation de vos frères et sœurs était aussi habilitée à
faire usage des mêmes arguments en cas de désobéissance. Mais il
s’agissait bien de ces punitions enfantines qui font, ou tout de
moins qui faisaient alors, partie de l’éducation de toutes les
fillettes et même des garçons pré pubères. Le rouge me monte au
front, après avoir coloré une autre partie de moi-même, en
m’imaginant ce que vous penserez de nous en comprenant que mon mari
ait pu en user de la même manière avec son épouse. Pouvez-vous un
seul instant imaginer que cet homme, que vous avez rencontré, si
délicat, si bien élevé, si correct en toutes circonstances, ait pu
s’autoriser à administrer à son épouse ce que jusque là je
n’imaginais possible que pour des enfants ? Et même encore le
pourriez vous croire, comment pourriez vous comprendre que votre
amie, dont on se plait souvent à souligner le caractère entier et
l’exigence de liberté ait pu le tolérer ? Me croiriez-vous
si je vous dis qu’il n’a même pas eu à utiliser la force ?
Que tout simplement, au détour d’une discussion un peu vive,
disons le mot d’une querelle comme il en survient, je le suppose,
dans tous les couples, il m’a dit sans même élever la voix :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Cela
suffit, Caroline, je pense qu’une fessée te fera le plus grand
bien »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
suis sure que vous m’imaginez déjà hurlant ma colère et mon
indignation à cette seule pensée ? Eh bien pas du tout !
J’ai été si surprise, si décontenancée, que je n’ai rien
trouvé à répondre. J’en suis resté les bras ballants et, je le
crains, la bouche bée. Et quand il m’a pris la main pour me faire
approcher, je me suis laissé tirer comme un agneau qu’on emmène à
l’abattoir. Sans réaction aucune. En un clin d’œil, je me suis
trouvé basculée au travers de ses genoux après qu’il se soit
assis sur le divan du salon. Mais il n’a même pas cherché à
profiter de ce moment d’étonnement. Tout au contraire, il a prit
tout son temps, comme s’il tenait à ce que je me rende pleinement
compte de ma situation. Et comme si cela ne suffisait pas, il a
annoncé, de cette même vois étonnamment tranquille :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Ma
chérie, tu va prendre la fessée que j’aurais du t’administrer
depuis longtemps. Mais n’ai crainte, tu n’auras rien perdu pour
attendre, ton derrière s’en souviendras, je te le promets »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Dés
cet instant il me semble avoir été un peu comme spectatrice de ce
qui m’arrivait. J’ai senti qu’il relevait le vas de ma robe, et
qu’il emmenait mon jupon de tulle dans le même mouvement. Il me
semble même, à ma grande honte, que j’ai légèrement soulevé
les reins pour lui faciliter la tâche. Il a du considérer que
l’imminence de ce qui allait suivre me rendait idiote puisqu’il a
tenu à préciser :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Comme
une fessée se reçoit c** nu, il va nous falloir baisser cette
ravissante culotte, ma chérie »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Peut-être
faut-il que je vous précise que depuis quelques mois déjà j’ai
renoncé à nos bonnes vielles culottes ouvertes et j’ai adopté ce
que, parait-il, les anglais nomment des « slips » qui
doivent, eux, être baissé pour laisser libre l'accès au plus
secret de nous – même. A peine a-t-il joint le geste à la parole
qu’une formidable claque venait incendier ma fesse gauche. Avant
tout, même si cela parait stupide, c’est le bruit qui m’a le
plus étonné. Je ne me souvenais pas qu’une fessée faisait un tel
vacarme. Il m’a semblé que le bruit se répandait dans toute la
maison, où nous étions heureusement seuls cet après-midi. Je n’ai
pas eu le temps de poursuivre ma réflexion sur la sonorité de la
chose, une deuxième claque venant s’écraser sur l’autre fesse,
suivie d’une cascade d’autres, m’amenant surtout à me souvenir
qu’une fessée fait mal. Est-ce l’âge qui a attendri mes fesses
ou mon mari qui a la main plus lourde que celles qui en ont usé
avant sur mon postérieur ? En tout cas dire que cette fessée a
été douloureuse serait en deçà de la réalité. En un mot comme
en mille, j’ai eu un mal de chien ! Et malgré mes efforts
pour rester digne – vous savez combien je suis orgueilleuse – je
sais que je n’ai pas pu empêcher mes jambes de gigoter et que je
n’ai pas tardé à ponctuer les nouveaux assauts de la dextre
maritale de cris perçants. Je serais bien incapable de dire combien
de claque a reçu mon pauvre derrière. J’avais en tout cas le
sentiment qu’il m’avait positivement enlevé la peau des fesses.
Et je n’aurais pas été étonné de le retrouver sanguinolent
quand il a enfin cessé la valse de sa main sur mes rotondités
Pourtant, quand j’ai pu le regarder dans le miroir de ma chambre,
où je me suis refugiée dés qu’il a lâché son étreinte, je
l’ai découvert certes cramoisi, mais certainement pas tuméfié.
D’ailleurs le lendemain matin il avait retrouvé pratiquement son
aspect antérieur. En ce qui concerne la douleur, j’ai bien eu le
besoin de me frotter les fesses pour faire baisser la cuisson pendant
un moment, et le soir j’avais encore un peu de mal à m’asseoir
sans grimacer. Mais au total, là aussi, tout est rentré dans
l’ordre assez rapidement. Voilà, ma chère amie. Comprendrez-vous
l’effort sur moi-même pour oser vous raconter tout cela ? Je
vous en ai dit beaucoup, peut-être trop. Mais au point où j’en
suis, la pudeur serait quasiment ridicule. Quoiqu’il m’en coût,
j’irais donc jusqu’au bout de mes aveux. Tandis qu’il me
tannait les fesses, j’ai eu mal à un point qu’il est difficile
d’expliquer. Et pourtant – mon dieu que j’ai honte de vous
écrie ces mots ! – au milieu de cette étendue de souffrance,
je sais que « quelque chose» s’est passé au creux de mon
ventre. Une sensation que je n’ai pas vraiment identifiée, mais
qui, je le crains, m’a plus amené à lever les fesses vers la main
qui les fustigeaient qu’à chercher à les mettre à l’abri. Mais
je ne peux nier ce « quelque chose » puisque, quelques
instants s après que je sois montée me réfugier dans ma chambre,
celui qui m’avait mis le derrière en cet état est venu me
rejoindre. Je suis resté interdite, les yeux baissés, ne sachant
s’il avait l’intention de reprendre son manège. Mais j’ai
seulement entendu sa voix chaude qui disait :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Montre-moi »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
n’a pas eu besoin d’expliquer. Je me suis tournée, j’ai relevé
ma jupe au dessus de ma taille. Je n’ai pas eu à retirer la
culotte, elle était restée au salon. Positivement, je lui ai montré
mon derrière. Je me suis troussée comme on m’imagine d’une
fille d’auberge. Et pourtant, je vous l’avoue, j’ai été
submergée d’une vague de fierté quand je l’ai entendu sire,
d’une vois un peu étranglée :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">« Il
est très beau comme cela, ton c** tu sais. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
ne puis aller plus loin. Je suis aussi rouge aux joues que je ne
l’étais au séant ce jour là en devinant que vous avez déjà
compris ce qui a suivi. Pardonnez moi mon impudeur, ma tendre amie,
mais j’ai tellement besoin de votre amitié pour comprendre ce qui
m’arrive »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre
amie désemparée</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">C.
A. </span></span>
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1874_579450151"></a>Chapitre
2 :<br />
Réponse de Mme De V*à son amie Mme A*</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Dés
qu’elle eut pris connaissance de la lettre de son amie de toujours,
Mme De V* s’est mise en devoir de lui répondre :</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
douce amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ne
vous fâchez pas en lisant les premiers lignes de cette lettre, mais
mon Dieu que la votre m’a amusée ! Non que je me réjouisse
de la meurtrissure de vos fesses – qui sont bien jolies s’il me
souvient de nos baignades d’il n’y a pas si longtemps après
tout. Que je me gausse en quoi que se soit de ce qui vous est arrivé.
Je compatis, croyez le bien. Mais c’est votre étonnement qui m’a
amusé, et avant tout … étonnée. Oserai-je vous l’avouer, ce
qui m’a surpris, ce n’est pas tant que votre mari en ai usé de
cette manière à votre endroit – encore qu’en l’occurrence
l’envers serait mieux adapté – mais bien plutôt qu’il ne
l’ait pas fait plus tôt. Enfin quoi, bientôt 8 mois de mariage,
et votre mari ne s’était jamais montré …autoritaire ?
C’est donc que vous seriez devenue bien sage – ce qui m’étonne
quelque peu vous connaissant – ou qu’il soit fort patient. Et
votre stupéfaction devant sa décision et son comportement me laisse
moi-même interdite. Êtes-vous vraiment si naïve que vous ignoriez
que ces manières sont le lot de la plupart des maris ? Seriez
vous si étonnée de savoir que la plupart de celles que vous
fréquentez ont ainsi plus ou moins régulièrement affaire avec la
main de leurs époux ? Et s’il est une chose qui, encore une
fois, m’étonne fort, c’est que votre mari n’ait pas agit ainsi
plus vite. Car s’il est un point sur lequel je partage entièrement
son avis, ma tendre, c’est que vous avez un postérieur tout à
fait adapté à ce genre de privauté. Eh oui ma chère, comme il
parait que certaines d’entre nous ont « des têtes à
chapeau », certaines ont des « derrières à fessée ».
Et c’est votre cas ! Ne le prenez pas comme une critique, bien
au contraire. Mon propre mari a usé de cette expression à mon
intention, et je suis bien sur que, dans son esprit, c’était un
compliment. Mais voilà, il en a usé avant même de le découvrir,
comment dire ? Intégralement. En quelque sorte il n’ pas
attendu que nous soyons mariés pour m’informer de ses intentions.
Je m’en souviens comme si c’était hier. Quelques mois avant que
nous passions devant Monsieur le curé et monsieur le Maire, nous
étions déjà fiancés et pouvions donc nous écarter quelque peu du
cercle familial les dimanches après-midi, en tout bien tout
honneur, bien sur. Il ne se serait pas permis ce qu’il est convenu
d’appeler « un geste déplacé » et notre intimité se
limitait encore à une main dans la sienne, un bras autour de mes
hanches et un chaste baiser au moment de nous quitter. Ce qui ne
l’empêcha pas de me dire un jour tout à trac :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« J’espère
que vous ne serez pas toujours aussi sage quand nous serons marié,
ma douce »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
comme je m’étonnais qu’il puisse souhaiter une telle chose et
lui en demandais ingénument la raison, il me répondit en riant :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Mais
pour que je puisse vous fesser pour de bonnes raisons ma chère ! »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Vous
le voyez, il ne cachait ni ses intentions, ni le plaisir qu’il
aurait à agir de la sorte. Bien sur j’ai été pour le moins
interloquée, mais pas un instant je n’ai envisagé de cesser notre
relation pour cela. Je venais d’apprendre que Monsieur de V*
comptait bien flanquer la fessée à son épouse, cela ne
m’empêcherait certes pas de vouloir être celle-là ! Il est
vrai que mes dernières fessées de gamines n’étaient pas si
lointaine – ma maman avait considérée que je restais dans la
catégorie concernée jusque tard dans mon adolescence – et que je
n’en gardais, finalement, pas un souvenir si terrifiant. Même si
pourtant maman avait la main leste et savait faire rougir mes
rondeurs de belle façon. Mais comme elle le disait avec une gouaille
qui détonnait chez cette grande bourgeoise distinguée :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Il
ne sera pas plus fendu après qu’avant, ma fille. Et comme on dit,
c’est par là que la sagesse vient aux filles ! »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Par
ailleurs, pour tout vous dire, la continuation de ce type d’activités
claquantes chez les couples mariés ne m’était pas tout à fait
inconnue. Il m’était arrivé, quand j’avais une dizaine d’année,
de passer quelques jours chez ma sœur ainée qui avait convolé en
justes noces quelques mois auparavant. J’étais bien entendu encore
innocente, mais je n’ignorais quand même pas tout à fait les
choses de la vie. Et ma chambre étant assez proche de celle des
jeunes mariés, il m’était arrivé d’entendre des soupirs et des
grognements dont j’avais fort bien deviné l’origine Un soir il
m’avait semblé que les deux tourtereaux étaient un peu tendus. Et
à un moment, sans que j’en aie vraiment compris la raison, mon
beau-frère a lancé à l’intention de son épouse :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Dînons
toujours dans le calme, nous réglerons nos petits problèmes plus
tard »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
sœur avait brusquement rougie, et n’avait presque plus desserré
les dents de la soirée. Je suis monté me coucher avant eux, mais je
l’avoue, un peu après qu’ils aient regagné leur chambre
nuptiale, la curiosité m’a poussée à sortir dans le couloir et –
je sais c’est très mal et j’aurais bien mérité d’être punie
pour cela, mais c’est la vérité, je ne peux la nier – j’ai
été collé mon oreille à la porte de leur chambre. Je me revois
encore, en chemise de nuit, pieds nus, grelottant de froid dans ce
grand couloir glacé. Je n’ai entendu d’abord que les classiques
bruits d’étoffes froissées et d’ablutions, et j’allais
regagner mon lit quand j’entendis ma sœur qui soufflait à voix si
basse que je l’ai à peine entendu :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Non,
pas ce soir, tu sais bien que la petite … »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
la voix de son mari, qui lui ne semblait pas chercher à murmurer,
qui répliquait :</span></span></div>
<ul>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Allons,
tu sais bien que je ne remet jamais ce genre de choses au lendemain.
Viens vite te mettre en place. »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Non,
je t’en pris, elle pourrait entendre tu sais. »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Mais
non, d’abord elle est couchée, et de toutes manières, je suis
chez moi et je n’ai pas l’intention de renoncer pour une gamine.
Après tout, il ne tient qu’à toi d’être silencieuse ma
chérie. Et plus vite tu seras prête, moins tu auras de mal à le
rester. Et plus tu me fais trainer, plus cela durera, et plus tu
risques de t’exprimer, tu le sais bien. »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Mais
même si je ne dis rien… le bruit…dans la maison, ça résonne
tu sais… »</span></span></div>
</li>
<li>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Ho,
mais si ce n’est que cela tu n’as rien à craindre ma chérie,
j’ai pensé à tout. Tu crains le bruit de ma main ? Elle
n’en fera aucun, je te le promets. J’ai justement préparé pour
toi un joli petit bouquet … »</span></span></div>
</li>
</ul>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Pour
vous dire si j’étais peu au fait, sur l’instant j’ai pensé
que le mari avait vraiment préparé un bouquet de fleurs pour sa
femme pour se faire pardonner leur querelle. Je n’ai donc pas tout
de suite saisi le sens de la suite de leur dialogue :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Non…s’il
te plaît...demain quand nous serons seuls, si tu veux
… »<br />
« Maintenant les enfantillages, ça suffit !
En position, tout de suite, et relève moi tout cela ! »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A
partir de cet instant je n’ai plus entendu qu’une sorte de
bruissement presque imperceptible à travers la porte de bois. Avec
aussi quelques plaintes étouffées de la voix de ma sœur. Des
sortes de « umff » « oumm » puis,
brusquement un bref cri beaucoup plus fort « aille ! »
lancé d’une voix cassée par les larmes. C’est alors que je me
suis enfuie à toutes jambes et réfugiée dans mon lit. Ce n’est
que le lendemain, pendant qu’ils étaient sortis, qu’en furetant
dans leurs appartements – oui je sais, c’est encore mal et
j’aurais mérité une deuxième sanction pour ma curiosité – que
j’ai compris que le bouquet n’était pas de roses. Dans le petit
boudoir attenant à la chambre, là où ma sœur se changeait, j’ai
découvert, pendu au mur, un faisceau de brindilles souples reliées
entre elles par un fort ruban rose. Je n’avais bien entendu jamais
goûté de ce genre d’instrument, mais j’ai su beaucoup plus tard
combien ils pouvaient être mordants et cruels pour la peau de celles
qui le reçoivent. J’ai su aussi qu’il laisse des marques plus
durables et qui rappellent parfois plusieurs jours la séance qui les
a provoquées. <br />
Ma sœur ne m’a fait aucune confidence, et
bien entendu ne ne lui ai pas posé de question. En tout cas, le
lendemain, son visage ne m’a pas semblé refléter une nuit de
douleur, mais au contraire une sorte de tranquillité sereine.
J’étais trop ignorante des choses du mariage pour en tirer des
conclusions. Pourtant ma propre expérience d’auditrice aurait pu
me faire comprendre qu’être actrice ne pouvait pas laisser les
sens endormis. Puisque vous avez été franche et directe avec moi,
je vais l’être aussi, ma toute douce. Ce soir là, bien
qu’effrayée, refugiée dans ma chambre, avec dans les oreilles le
bruissement cadencé par les petits cris de ma sœur … je ne me
suis pas endormie tout de suite. Bien sur, ce souvenir est trop
lointain pour que je sache si je me suis consciemment référée à
ce que je venais d’entendre pour alimenter mon imaginaire. Il me
semble pourtant – mais peut-être est-ce en référence à des
expériences plus récentes – que les doigts ne se sont pas limités
à fouiller mon buisson adolescent mais ont du aussi s’égarer vers
les rondeurs postérieures et le petit chemin secret qu’elles
cachent.<br />
</span></span><br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma toute douce, vous n’êtes pas si extraordinaire, et en tout cas
pas anormale d’avoir eu du mal à distinguer entre douleur cuisante
et plaisir fulgurant. Et c’est là mon second sujet d’étonnement,
et un peu de sourire. Enfant que vous êtes ! Vous ne comprenez
pas que l’un et l’autre peuvent se conjuguer ? Vous vous
étonner qu’une fessée qui fouette les sangs puisse aussi fouetter
le désir et les sens ? Mais pourquoi diantre pensez-vous que
tant de femmes la tolèrent s’il en était autrement t ? Bien
sur la sévérité claquante d’un mari peut être le moyen pour lui
d’établir son autorité dans la maison. Mais vous savez aussi que
pour la plupart ils n’ont pas besoin de l’imposer de cette
manière. Et d’ailleurs que bien souvent cette autorité que nos
mères et nos confesseurs nous rappellent d’avoir à respecter est
bien souvent illusoire. Et puis, que diable, nous sommes des êtres
civilisés ! Nous avons lu Voltaire, Rousseau et même Diderot,
même si nos prêtres nous l’interdisaient. Et si la fessée
maritale n’était qu’un acte d’autorité, elle ne serait, me
semble-t-il, pas de notre siècle. Mais vous devez savoir, ma petite,
que le corps a ses raisons que la Raison, justement, ne connaît pas.
Et si votre corps s’enflamme plus vite à l’issue d’une bonne
fessée, vous n’avez pas à en rougir. En tout cas pas du visage !
En tout cas vous n’êtes pas la seule à découvrir cet étrange
résultat, celle qui vous l’écrit peut en témoigner. Pour tout
dire, il me semble que si ces séances nous mettent dans cet état
c’est peut-être aussi parce qu’elles ont le même résultat sur
nos maris. Vous l’avez, je pense, constaté vous-même. Pour ma
part j’en ai eu témoignage le soir même de mes noces. Je vous
arrête tout de suite, non, ma chère, je n’ai rien fait ce jour là
qui me la fasse mériter. Cela n’a pas empêché celui qui était
mon époux depuis quelques heures seulement de m’annoncer dés que
nous nous sommes retrouvés dans la chambre nuptiale :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« Ma
chère, je vais vous coller votre fessée d’épouse »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
comme je lui faisais remarquer, respectueusement, que rien ne la
motivait, il a souri et admis, beau joueur :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« En
effet, je vous l’accorde. Mais j’en ai trop envie. La refuser
serait une raison pour la mériter, alors vous voyez … »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Est-ce
le souvenir de cette soirée chez ma sœur, la curiosité ou
simplement l’acceptation de ce que je sentais inéluctable ?
En tout cas je n’ai pas prolongé la discussion. Et puisqu’il
m’avait vousoyé alors que d’habitude il n’utilisait pas ce
langage d’un autre temps, je suis entrée d’instinct dans son
jeu :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Bien,
monsieur, je suis prête «<br />
« C’est bien.
Relevez votre robe et votre jupon, bien haut s’il vous
plait »<br />
« Bien, monsieur. Est-ce suffisant comme
cela ? »<br />
« Oui, madame. Maintenant penchez
vous sur le montant du lit et laissez-y vos mains quoi qu’il
arrive »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
devais être une élève douée, voyez-vous, puisque j’avais de
moi-même ramené les grands volants de mon ample robe de mariée
devant pour les coincer entre mon ventre et le lit. Je dois dire
franchement que pour cette première il y a été avec beaucoup de
modération. Il a commencé par quelques claques sur ma jolie culotte
soyeuse de mariée. C’était, bien sur, une culotte à l’ancienne.
Pas une de ses prisons que les femmes portent aujourd’hui. Mais
bien une jolie pièce de soie rosée, nouée à l’arrière, et que
mo cher époux s’est mis en demeure de dénouer un peu comme on
retire les nœuds d’un cadeau avant de l’ouvrir. Il m’a donc
déculottée avec délicatesse, puis a continué la cavalcade des
claques sur ma peau nue. Bien sur cela m’a semblé fort douloureux,
même si en comparant avec ce que la vie conjugale m’a réservé
par la suite je sais aujourd’hui qu’il s’agissait presque d’un
simulacre. Mais, comme vous, j’ai senti naitre cette boule de
chaleur qui nait sur le séant et se diffuse dans le ventre jusqu’à
venir incendier le plus secret de nous même. La position qu’il
m’avait imposée m’a aussi évité, pour ce premier soir, la
découverte, parfois traumatisante parait-il pour les jeunes oies
blanches, de la virilité érigée de mon époux. Quand l’averse de
claques s’est tarie, j’ai gardé la même position, essuyant mes
yeux au pli de mon coude, et cherchant à calmer la brûlure en
caressant mes globes. Un instant après il était derrière moi,
passant les mains sous ma robe pour passer devant et faire jaillir
mes seins du corset qui les emprisonnait. Je ne vais pas aller plus
loin dans ce récit, ma toute douce. Mais je peux vous dire, sans
choquer votre pudeur, que j’ai constaté depuis que jamais, quelles
que soient les caresses que nous échangions, la virilité de mon
mari n’est aussi triomphante que lorsque mon postérieur a été
tanné en première partie. Et puisque nous sommes entre femmes, et
que dans ce domaine là aussi l’excès peut nuire, laissez moi vous
dire que, dés ce premier jour, quand il a décidé de s’introduire
en moi sans même me retourner – j’ai appris plus tard qu’il
appelait cela du joli nom de « levrette » - la dimension
pourtant respectable de son membre ne m’a pas fait vraiment
souffrir. Preuve, s’il en fallait, que la fessée m’avait moi
aussi rendue perméable au plaisir. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma tendre amie, que vous m’avez entraîné sur des terrains que je
ne fréquente plus guère. J’espère sincèrement vous avoir
rassurée. Mais, je dois le dire, ces souvenirs m’ont étrangement
troublés. Je ne peux chasser de mon esprit l’image charmante de
votre personne le bas du dos dénudé sur les genoux de votre
séduisant mari. Cette image me bouleverse tant que, tandis que ma
main droite s’active sur cette feuille, sa consœur est partie
d’elle – même vers d’autres voyages, et que je sens mon jardin
secret s’humecter de rosée. Voilà, vilaine, que vous avez poussé
une femme – presque – honnête à reprendre ces pratiques que la
morale réprouve. Je vous souhaite qu’une telle faute, avouée ou
non, vous vaille dés que possible une mémorable fessée. Et c’est
en imaginant celle-ci et en me laissant couler vers le plaisir que je
vous embrasse.</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre
bien tendre et presque envieuse<br />
A-C de V*</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1876_579450151"></a>Chapitre
3 :<br />
Lettre de Mme A* à son amie Mme De V*</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Jeune
mariée, Caroline a reçu une fessée de son mari, et elle est
troublée d’en avoir été troublée sensuellement. Elle s’en
ouvre par une lettre auprès de son amie d’enfance, ne Charlotte de
V* qui la rassure en lui avouant qu’elle aussi la reçoit
régulièrement de son mari qui en est plus vigoureux au lit.
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Ma
bonne amie,</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Vous
écrie ma dernière lettre avait été, je peux vous l’assurer, une
vraie épreuve. Attendre votre réaction a été encore plus
difficile encore. Cent fois je me suis reproché d’avoir eu
l’impudeur de coucher – ho ce mot ! – de telles choses sur
papier. Cent fois j’ai tremblé de peur que vous renonciez à tout
jamais à avoir pour amie une telle dévergondée. Et puis, ce matin,
dans le courrier, l’enveloppe mauve avec votre belle écriture à
l’encre violette. Mon Dieu quel bonheur ! Mais aussi quelle
stupeur en la lisant ! Ainsi vous aussi ? Moi qui croyais
vous connaître, jamais je n’avais imaginé que vous puissiez
partager aussi cela avec moi. Si vous saviez comme j’en suis fière
que nous soyons en quelque sorte encore plus proche que nous ne le
pensions. « Sœurs de cœur, sœurs d’enfance, mais aussi
sœur en fessées ! » Pourrait-on dire. Mais il me semble
qu’en me répondant vous avez aussi encore joué avec moi, et avec
ma curiosité que vous appelez ma naïveté. Vous en avez trop dit,
ou pas assez, ma chère. Maintenant il vous faudra répondre à tout,
sinon je vous dénonce à votre mari, et je ne doute pas qu’avoir
fait de telles confidences vous vaudra de sa part l’envie de se
surpasser sur votre postérieur. Je vous taquine, ma douce, et je
sais bien que vous avez fait exprès de ne me dire les choses que
partiellement pour exacerber ma curiosité que vous connaissez bien.
D’abord j’ai cru comprendre que non seulement « cela »
vous est arrivé, mais que « cela » vous arrive souvent.
Si souvent que cela ? Depuis cette fessée inaugurale de votre
nuit de noce, vous en recevez donc si régulièrement ? Vous
faites aussi allusion à la meurtrissure des verges, cela veut-il
dire que votre mari ne se contente pas de vous chauffer le derrière
à la main ? Mon Dieu, je n’ose imaginer les ravages que doit
faire un instrument conçu spécialement pour cet usage. Alors vite,
ma belle, asseyez vous à votre écritoire – sauf bien sur si
l’état de votre fondement ne le permettait pas – et racontez moi
tout. Et dites moi aussi ce que je dois comprendre des dernières
lignes de votre lettre. J’ai cru y déceler une sorte de nostalgie
ou de déception. Votre mari vous délaisserait-il ? J’avais
auparavant pourtant cru comprendre qu’il était fort entreprenant
et fort gaillard de ce point de vue. J’espère qu’il n’est pas
souffrant. Je suis pourtant certaine que vos appâts ne peuvent le
laisser indifférent. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>De
mon coté, je vous l’assure, je ne vous cacherait rien. D’abord
vous sembliez souhaiter à demi-mots que cette fessée ne soit pas
une expérience unique. Eh bien ma douce, votre souhait a été
exaucé. C’était d’ailleurs quelques jours seulement après que
je vous aie écrit. Et je dois avouer que, cette fois, il n’a pas
eu à chercher un prétexte, je pourrais presque dire que je l’avais
bien mérité. Vous connaissez mon incapacité à respecter un
horaire, et mes retards presque systématiques. Depuis notre mariage,
et même avant, c’est un de mes défaut – et Dieu sait que j’en
ai quelques autres – qui exaspère le plus mon mari. Or, ce soir
là, je suis rentré à la maison à presque vingt heure, en ayant
oublié que nous devions sortir pour un dîner où nous étions
attendus à dix neuf heures. A mon grand étonnement mon mari n’a
pas élevé la voix, et ne m’a pas vraiment fait de reproches, se
contentant de dire d’une voix un peu froide :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Nous
n’allons pas encore perdre du temps, nous sommes déjà assez en
retard. Nous en reparlerons plus tard »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Nous
nous sommes bien sur excusés auprès de nos hôtes, et mon mari a eu
l’élégance de ne pas me mettre mal à l’aise en m’en rendant
responsable. Il n’a pas fait une allusion à ce retard durant la
soirée, et je dois même sire qu’au retour à la maison il s’est
montré charmant et pour tout dire … empressé. En quelque sorte
nous nous sommes réconciliés sur l’oreiller avant même de nous
être disputés. Mais le lendemain, au moment où il quittait la
maison, il a lancé à mon intention :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« A
ce soir. Je t’attends à dix huit heures dans mon bureau. Ne sois
pas en retard. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Il
n’e n a pas dit plus. Le ton n’était ni en colère ni menaçant.
Et pourtant l’objet de ce rendez-vous m’a paru immédiatement
évident. Finalement je pourrais presque dire que la journée
d’attente a été presque plus difficile à vivre que la punition
elle-même. Et pourtant c’en fut-une, et une vraie. Durant toute la
journée, impossible de penser à autre chose. Les mains moites, le
cœur qui bat la chamade, l’estomac tordu. Et ces questions
incessantes. Que va-t-il faire ? Comment cela va-t-il se
passer ? Mais, curieusement, pas une seconde je n’ai pensé ni
qu’il puisse y renoncer, ni que, de mon coté, je puisse m’y
soustraire. Je n’ai même pas cherché ce que je pourrais dire ou
faire pour y échapper. J’ai du mal à l’admettre moi-même, mais
en quelque sorte j’avais déjà intériorisé le fait que quoi
qu’il arrive, j’allais être fessée. Et, en effet, je l’ai
été ! Cet après-midi là, je devais aller prendre le thé
chez Madame H* qui reçoit tout les mardis. Pour être sure d’être
rentrée à l’heure dite, je m’y suis fait excuser par un billet
indiquant que « une obligation impérieuse » m’empêchait
d’être présente. J’ai donc passé la plus grande partie de
l’après-midi dans mon boudoir. Je m’y suis fait servir le thé
et je me suis habillée. J’avoue que j’ai choisi mes vêtements
et surtout ceux de dessous avec un soin particulier. Tant qu’à
devoir les montrer à son époux, autant qu’ils soient jolis
n’est-ce pas ? Je n’ai pas entendu mon mari rentrer, mais je
savais qu’il l’était puisque sa voiture était dans la cour. Un
quart d’heure avant dix huit heures j’étais planté devant la
pendule. Pour rien au monde je n’aurais voulu me présenter à son
bureau avant l’heure imposée. Et quelque chose me disait qu’il
ne me fallait surtout pas être une fois encore en retard. Mais juste
au moment de quitter mon refuge, j’ai été prise d’une
irrésistible envie … de faire pipi. Je me suis donc présenté à
la porte de son bureau alors que les six coups venaient de
sonner. J’ai frappé un coup léger à la porte, et il m’a
invité à entrer. Il était assis à son bureau, il a levé les yeux
et posé sa plume pour me dire de cette même vois tranquille et
chaude :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Bien,
allons y tout de suite, prépares – toi vite »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Et
comme je restais les bras ballants au milieu du bureau, ne sachant
pas vraiment ce qu’il attendait de moi, il a précisé :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu
relèves ta robe, bien haut, et je ne veux pas qu’elle retombe. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Je
me suis exécutée, me plaçant de coté, n’ayant pas réussi à
estimer s’il était plus humiliant d’exposer mes fesses ou le
devant à sa vue. Je me suis arrangée pour retenir ma robe d’une
main, et me souvenant de la première expérience j’allais dégager
mon derrière de la culotte quand il m’a arrêté :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Non,
laisses cela, c’est pour moi. Baisses-toi, les mains sur les
genoux »<br />
Une fois que j’ai eu pris la position demandée,
il s’est approché de moi, il a fait glisser ma culotte jusqu’au
dessous des fesses, et il m’a saisi aux épaules de la main gauche
pour me maintenir. Il avait toujours sa voix tellement tranquille
quand il m’a annoncé :</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Je
pense que je n’ai pas besoin de te rappeler la raison de cette
fessée n’est-ce pas ma chérie ? L’impolitesse vis-à-vis
de moi mais aussi de nos amis, mais surtout l’inquiétude qui a été
la mienne quand je t’ai attendu, il te faut les apprendre par les
fesses. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Et
immédiatement, il s’est mis à me les claquer à toute volée.
Peut-être ne frappait-il pas vraiment plus fort que la première
fois, mais il frappait plus vite. Les claques se succédaient comme
une averse d’orage. Non seulement je me suis mise vite à piailler,
mais aussi à piétiner sur place, comme si cette danse de Saint Guy
pouvait m’éviter les claques. Celles-ci ont couvert toute la
surface disponible. Et vous savez qu’elle n’est pas si
négligeable n’est – ce pas. De la ceinture jusqu’à la limite
des cuisses, tout mon derrière n’était qu’un champ labouré.
J’étais en larmes, et dés que la succession des coups a cessé,
je me suis redressée comme un ressort et j’ai continué à
sautiller sur place en me frottant les fesses pour calmer tant soit
peu la souffrance. Mais une fois encore, celle-ci se conjuguait avec
une effervescence des sens. Et, visiblement, ceux de mon cher époux
n’étaient pas restés non plus insensibles. Mais cette fois, et
pourtant je n’avais pas encore lu votre si édifiante lettre, je ne
me suis plus vraiment posé de questions, et je me suis laissé aller
au plaisir. Nous n’avons même pas pris le temps de rejoindre notre
chambre. C’est dans ce bureau, renversée sur le fauteuil de cuir,
les fesses frottant douloureusement contre lui, troussée comme une
fille, que j’ai reçu les hommages de mon mari qui n’a pas eu la
patience d’ôter son habit. C’était la première fois que nous
succombions aux plaisirs de la chair autrement que dans notre chambre
et dans nos tenues de nuit. Dois-je oser vous l’avouer ? Ces
circonstances ont rendu la chose plus satisfaisante pour moi que
d’ordinaire. Il faut dire que la vigueur de mon mari n’y était
peut-être pas pour rien, puisqu’il a pu me montrer par deux fois
que je le lui étais pas indifférente…Mais après tout, ce n’était
que mérité. N’est-il pas que justice que cette épreuve, et c’en
est une, soit, d’une certaine manière compensée ? D’autant
que cette séance avait été singulièrement plus violente que la
première. Et mon séant en a gardé les traces. Le lendemain matin
il n’était plus rouge mais véritablement violacé. Est-ce péché
d’orgueil ? Je vous avoue que j’en étais presque fière. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Je
dois ajouter que mon cher mari a eu l’élégance de ne plus faire
la moindre allusion ni à la cause, ni à la réalisation de cette
punition. Et que, depuis cette séance, j’ai fait attention à ne
plus être en retard. Dans les jours qui ont suivis, en effet, je
pense que mon pauvre derrière n’aurait pas supporté une nouvelle
correction. Depuis, je vous rassure, il est revenu à sa couleur
d’origine. Mais quelque chose dans les yeux de mon homme quand il
me regarde par instant, et la lecture de votre propre expérience, me
dit qu’elles ne le resteront pas si longtemps…</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Je
vos remercie encore de votre attention et je vous embrasse bien
tendrement.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre
Caroline, qui découvre la vie, et qui aime ça !</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>C.A.
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">La
découverte que son amie était, elle aussi, fessée par son mari, et
le fait qu’elle lui ait écrit que beaucoup d’autres épouses
l’étaient elles aussi, ont amené Caroline à s’interroger sur
chacune de ses amies. Quand elle la rencontre, elle ne peut
s’empêcher de se demander si Hortense, cette grande femme aux
formes pleines et généreuse « la »reçoit de son mari,
ce petit monsieur plutôt chétif. Et l’idée le fait rire. Même
question à propos de Marie – Anne, cette petite boulotte dont les
rondeurs pourraient, pense-t-elle, tout à fait attirer la main d’un
mari sévère. Bien sur, elle n’ose pas aborder tout à trac cette
question. Même si elle imagine parfois la tête de ses amies si, au
beau milieu des papotages, elle interrogeait à la cantonade :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">« </span></span><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Dites
moi, chères amies, vos maris vous donnent-ils souvent la fessé sur
vos popotins déculottés ?</i></span></span><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Pourtant,
chez Mme F*, une des dames, maman de trois enfants, expliquait à une
autre jeune maman ses conceptions de l’éducation des enfants.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">« B</span></span><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>ien
sur Adèle, leur bonne nounou est parfaite pour les petites. Mais
elle les aime tellement qu’elle leur passe tout ou presque. Alors,
parfois, il me faut bien mettre la main à la pâte. Et je vous
assure que pour rappeler les enfants à leur devoir, je n’ai encore
rien trouvé de mieux qu’une bonne fessée ! Il est bien rare
qu’il se passe une semaine sans que l’une d’elles se retrouve
sur mes genoux les fesses à l’air. Et après non seulement elle,
mais aussi les sœurs qui assistent à la punition se tiennent à
carreau. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Une
des dames présentes surenchérit :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">« </span></span><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>C’est
certain. Je pratique de même avec les miens. Et croyez moi, mon
Elisabeth file doux : »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Une
autre s’étonna : </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; text-indent: 1.25cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>« Votre
Elisabeth ? Mais elle va sur ses douze ans non ? »<br />
« Oui,
elle les aura à la saint Jean. Et alors ? Il n’est pas
question de modifier mes habitudes pour cela «<br />
« Pourtant,
quand elles grandissent… cela devient délicat non ? »<br />
« Pas
pour moi en tout cas ma chère. Bien sur la chose se passe hors de la
présence des hommes, et donc rien n’interdit que cette demoiselle
ne reçoive le salaire de ses errements sur les fesses dénudées ! »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Madame
G*, plus âgée n’était pas intervenue jusque là, mais elle
affirma tranquillement :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> « </span></span><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Vous
savez, chez nous, mes deux filles y ont eu droit jusqu’à la veille
de leur mariage</i></span></span><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Et
Madame de B*, qui connaît l’une des filles de Madame G* a ajouté
dans un sourire :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> « </span></span><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Et
après leurs maris ont pris le relais </i></span></span><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">? »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Le
rire de toutes a évité à la maman concernée de répondre, et il a
reprit de plus belle quand la belle Madame J* a lancé en riant de
toutes ses jolies dents :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"> « </span></span><span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Oh,
c’est pour cela comme pour l’équitation, il faut poursuivre
l’entraînement pour le pas perdre la main ! »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">La
conversation a ensuite roulée sur d’autres sujets. Mais Caroline
s’est mise en tête d’inviter bientôt cette dame dont le
brillant des yeux durant cette conversation lui a mis la puce à
l’oreille. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1878_579450151"></a>Chapitre
4 :<br />
Lettre de Mme De V*à Mme A*</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-size: x-small;">Depuis
qu’Anne Charlotte sait que son amie d’enfance, la belle Caroline,
connaît aussi les affres et les plaisirs de la fessée conjugale,
elle ne cesse d’imaginer les belles rondeurs de sa sœur de lait
rudement mise au vif par la dextre de son mari. Et comme celui-ci est
plutôt bel homme, il est arrivé que, dans sa rêverie, ce ne soient
plus les fesses de l’épouse qui subissent ce traitement, mais bien
les siennes. Bien sur elle ne fera pas partager cette vision à
l’épouse légitime. Pourtant elle s’empresse de répondre à
cette nouvelle missive, en ne cachant que. .ce qu’il convient de
cacher.</span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
toute belle, </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
suis bien forcée de vous faire un aveu qui devrait me faire rougir
le visage autant que la main de votre époux vous fait rougir les
fesses. Votre seconde lettre a eu sur mes sens le même effet que vos
premiers aveux. Et me voilà replongée dans les dérives sataniques
du plaisir solitaire, moi qui étais devenue presque sage. Encore
que, pour tout vous dire, je n’y ai jamais vraiment complètement
renoncé. Sauf peut-être durant les toutes premières années de mon
mariage, quand la virilité toujours en éveil de mon cher mari était
si exigeante que j’avais bien peu de motifs, et même d’occasion
de chercher à me procurer à moi-même ce qu’il me prodiguait si
généreusement. Il est vrai qu’alors il n’était pratiquement
pas de soir qu’il ne vienne partager ma couche, et il lui arrivait
de surcroît de me rendre parfois une visite matinale avant que
d’aller chasser. Mais, vous l’avez compris ma chère, les années
passant l’intensité des choses à tendance à s’amoindrir. Je
vous rassure, mon mari n’est en rien souffrant, et il est encore
fort capable de procurer à une femme les hommages qu’elle attend
d’un homme. Il me l’a encore prouvé hier au soir, et de fort
belle manière ma foi. Mais quoi, vous le verrez vous-même bien
assez tôt, l’âge n’épargne personne. Ce qui était quotidien
devient peu à peu plus proche de l’hebdomadaire. Et, dans ces
tournois de l’amour, le chevalier à moins souvent l’initiative
de redoubler l’assaut. Que cela m’ait quelquefois affligée, et
que j’eusse parfois espéré une fréquence plus grande dans ses
assiduités, je le confesse. Encore qu’en ce domaine, l’âge
permet de comprendre qu’il faut parfois préférer la qualité à
la quantité, quand toutefois on est contrainte de choisir. Et quand
la nature titille un peu trop mes propres besoins, eh bien oui, je
vous l’avoue, ma douce, j’ai en effet recours aux pratiques de
nos jeunes années. Je sais, selon nos confesseurs et les moralistes,
c’est très mal. Mais selon nos sens, mon Dieu que c’est bon.
Après tout, qui connait mieux les attentes de nos sens que
nous-mêmes ? Bien sur, je n’ai en rien renoncé aux assauts
vigoureux d’une belle virilité et au travail profond d’un soc
vigoureux en son champ. Mais cela empêche-t-il d’apprécier aussi
la douceur de ses propres doigts ? Je ne jurerais du reste pas
que mon maître et seigneur soit totalement dupe. Mais, en ce domaine
comme dans d’autres, il convient me semble-t-il que chacun fasse
comme s’il ignorait que l’autre sache. Mais une certaine lueur
dans ses yeux quand il me demande, pour ne pas dire quand il exige,
de faire devant ses yeux ce qu’à d’autres moments je pratique
dans le secret de mon boudoir m’incite à penser qu’il n’en
ignore pas tout. Jamais au grand jamais, je n’aurais imaginé en
arriver un jour à exposer à quiconque ces épisodes de ma vie
d’épouse. Mais votre candeur et cotre franchise m’amènent à
considérer qu’avec vous, rien ne doit être caché. Et je gage
bien sur que vous prenez toutes les précautions nécessaires pour
jeter aux flammes ces épîtres aussitôt que vous les aurez lues.
J’avoue par ailleurs que je ressens un étrange plaisir à vous
faire de telles confessions impudiques. A tel point que je sens déjà
sourdre en moi une humidité qui en est le témoignage. Je m’impose
pourtant de ne pas céder à l’envie qui me taraude de poser la
plume pour utiliser autrement la main qui la tient. Je ne doute pas
que vous mesurez l’effort que je fais pour vous être agréable. Et
je prends aussi le risque, si mon mari rentrait au bercail avant que
j’ai pu changer de tenue, et qu’il lui prenne l’envie de
quelque caresse un peu appuyée, que l’humidité de ma culotte me
vaille une de ces fessées impromptues qu’il lui arrive encore –
Dieu merci – de me flanquer. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà
donc la première réponse à vos questions, ma chère curieuse. Eh
bien oui, je prends encore, et souvent, et de belle manière, de ces
fessées qui me laissent le derrière en feu, les joues mouillées de
larmes, et d’autres partie de moi-même d’autre manière. Je dois
même dire, qu’en ce domaine il n’y a eu ni pause ni même baisse
de fréquence. Peut-être même au contraire. Au fil des années, mon
cher mari a toujours autant de vivacité pour trouver de bons motifs
à me caresser rudement les fesses. Et quand il n’en trouve pas, et
bien ma fois il s’en passe ! Encore qu’il aime, me
semble-t-il à ce que les fessées soient à ces yeux ou aux miens
justifiées. Dans les premières années de notre union, il a
considéré que les sanctions appliquées au hasard des fautes ou des
manquements de ma part ne suffisaient pas, au motif que toutes ne
pouvaient pas être sanctionnées sur le champ. Aussi a-t-il pris
l’habitude, selon sa propre expression de « mettre les
pendules à l’heure » chaque premier vendredi du mois. Pour
qu’aucun motif ne soit oublié, il m’a imposé d’en tenir
moi-même la liste. Il m’appartient donc parfois d’y inscrire de
moi-même ce qui me semble mériter sa sévérité, encore ne
l’aurait-il pas su. D’autres fois cependant c’est lui qui
m’indique d’un « vous le noterez s’il vos plaît »
que tel ou tel de mes actes ou de mes attitudes lu a déplut. Et le
jour dit, rituellement après le dîner, je me présente devant lui
avec à la main la liste que je dois lui lire à haute voix. Le
croirez-vous, chère amie, même après tant d’années, il me
semble que cette lecture d’aveux est peut-être plus difficile pour
moi que la punition qui s’ensuivra. Voyez ainsi vendredi dernier,
votre amie, que vous avez connue si fière parfois, tenant son cahier
à la main et lisant à l’intention de son mari carré dans son
fauteuil :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Le
4 du mois, une insolence à votre égard, le 9 du mois un retard, le
16 et de nouveau le 17 du mois une grande négligence dans la
surveillance du service et le 26 du mois un refus d’obéissance
méritent d’être sanctionnés, monsieur »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Cela
fait beaucoup pour ce mois, ma chère. Vous m’apporterez
l’instrument s’il vous plaît, et vous compterez vingt. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Il
n’a pas besoin d’en dire plus. Je sais qu’il a décidé
d’épargner sa paume et d’utiliser le martinet dont il a fait
l’acquisition pour notre première année de mariage. Je sais
surtout qu’il m’appartient d’aller le chercher dans l’armoire
et de le lui apporter respectueusement. Puis de me tourner vers le
grand bureau qui orne le coin de la pièce, de relever moi-même mes
vêtements – que j’ai bien sur choisis en fonction de ce que je
sais alors inéluctable – et de pencher sur le meuble de bois
d’ébène, dans la position que j’ai compris que vous connaissez,
présentant ainsi à leur bourreau les hémisphères qu’il va
flageller. Il me semble que nos maris ont en commun l’exigence
d’ôter eux-mêmes le dernier rempart qui protège nos lunes. En
effet, il tient à baisser lui-même ma culotte, jouant, selon son
caprice, à la retirer entièrement où à la laisser en haut des
cuisses ou à la pliure des genoux. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Vous
avez donc une deuxième réponse à vos questions, oui mes fesses
connaissent la morsure des lanières. Si je vous disais qu’elles ne
sont pas plus douloureuses que la main maritale, vous ne me croiriez
pas, et vous auriez raison. Même si une fessée manuelle peut faire
mal, à en pleurer, la douleur n’est jamais tout à fait comparable
à celle d’une poignée de lanières de cuir flagellant la peau.
Quand on la subit, on comprend mieux l’expression triviale « avoir
la peau des fesses enlevée ». C’est en effet tout à fait la
sensation que l’on éprouve. Même si, là aussi, après quelques
jours, les longues traces bleuâtres et parfois boursouflées
laissées par la chevelure cinglante disparaissent. Et pourtant, ma
toute belle, tout en vous aimant, et peut-être justement parce que
je vous aime, je souhaite qu’un jour votre mari fasse un jour cet
achat. Alors seulement vous comprendrez que si je me contente de dire
que cela fait « plus » mal, je ne suis ni exacte ni
complète. Il n’est pas vraiment possible d’établir une telle
hiérarchie entre les sortes des fessées. La main, le martinet, la
ceinture de cuir ou la cravache du cavalier, sont à mes yeux – je
devrais dire à mes fesses – autant de voyages, de découvertes,
différents. Des voyages qui vous feront pleurer, crier, peut-être
même plus, je le sais, mais des voyages qui vous feront découvrir
des espaces qui, sinon, vous resteraient ignorés.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Pour
en revenir à ce dernier vendredi, oui, il m’a fait mal, très mal.
D’autant qu’avant de se saisir du fatal instrument, il a tenu, je
reprends ses paroles à « préparer le terrain » par une
vigoureuse fessée manuelle. C’est donc sur un cul déjà fort
rouge que se sont abattus les vingt cinglades qu’il m’a fallu
compter à haute voix. Il y tient en effet absolument. Même si je
n’en sais pas ce qu’il ferait si j’interrompais le compte avant
l’échéance annoncée. Peut-être continuerait-il quand même ?
Peut-être jugerait-il que je ne puis en subir plus ? Je ne le
saurais probablement jamais. Vous me savez têtue et trop fière pour
céder en implorant une fin anticipée. Par contre, il m’est arrivé
un jour de refuser de compter. Il avait décidé de m’imposer
quinze coups. Je les ai reçus sans desserrer les dents, tout en
comptant dans ma tête. Et après le quinzième … la fouettée a
continuée. Je vous laisse imaginer Au dix-septième, j’ai compris
que lui non plus ne céderait pas, et j’ai lâché le fatal « un »
… suivi des quatorze autres annonces, les dernières émises entre
les sanglots. Je vous laisse imaginer l’état de mes pauvres
fesses. Elles étaient littéralement proches d’être en sang.
Trois jours après elles restaient bleues et boursouflées, et il
m’était pratiquement impossible de m’asseoir sans grimacer de
douleur. Je n’ai jamais réitéré cette rébellion. Mais j’étais
immensément fière d’avoir prouvé que j’étais capable de
résister. Et lui avait prouvé qu’il savait ne pas céder, et je
lui en étais d’une certaine manière reconnaissante. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Pour
le reste, si je suis assez persuadée que nous n e ne sommes pas les
seules, et de très loin, à connaître de ces séances claquantes
sur nos postérieurs, je dois vous avouer que je n’en sais pas
beaucoup plus. Avant de le faire à votre intention, jamais il ne
m’étais venu à l’idée de raconter à qui que se soit les
pratiques de notre couple. Et aucune de mes amies ne m’a non plus
fait de confidence en la matière. Pourtant, j’ai dans l’idée
que la jeune Madame L*, mariée depuis peu à une relation de mon
mari pourrait bien être des nôtres. Non qu’elle m’ait fait
quelque confidence que se soit, nous ne sommes pas assez intimes pour
cela. Mais lors d’une soirée chez des amis communs, la belle s’est
montrée particulièrement désagréable, et surtout envers son mari
qui n’a pas semblé prêter attention au comportement de sa moitié,
jusqu’à ce qu’il lui lance d’une voix glacée à la suite de
je ne sais plus quelle insolence de sa part :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Nous
en reparlerons plus tard n’est ce pas »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Phrase
anodine, certes, mais lancée avec un regard subitement dur, et qui a
fait qu’ensuite la jolie peste s’est transformée en petite fille
silencieuse et effacée, cherchant à se faire oublier. La lecture de
votre lettre m’a remis cette soirée en mémoire et j’ai cherché
un prétexte pour rendre visite à cette jeune dame et en ai profité
pour lui lancer :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Nous
avons passé une soirée délicieuse n’est – ce pas ? »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Oui..Charmante,
en effet »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Et
j’espère qu’elle s’est bien terminée ? »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
là, son visage s’est empourpré, et elle a bredouillé quelque
chose comme :*</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Oui..
enfin… bien sur… »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Eh
bien tant mieux …. Avec ces drôles de personnages que sont les
hommes, on ne sait jamais… Profitez bien de la tendresse du vôtre
ma petite. »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
n’ai pas voulu le mettre plus dans l’embarras, et je l’ai
quitté en l’embrassant.Je n’en sais donc pas plus. Mais depuis
j’ai reçu de sa part une invitation à un thé la semaine
prochaine. Peut-être la belle sera-t-elle en veine de confidences ?</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">En
attendant je vous embrasse,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Soyez
sage, il ne faut abuser de rien.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre
</span></span>
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A
C de V</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1880_579450151"></a>Chapitre
5 :<br />
Lettre de Mme A* à son amie Mme De V*</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Caroline
A* a confié par écrit à son amie d’enfance, Anne Charlotte de V*
que son mari l’avait fessée, et qu’elle en avait été fort
troublée. A son grand étonnement, son amie lui a répondu qu’elle
connaissait aussi ces séances claquantes sur son postérieur, et e
depuis le premier jour de son mariage. Il s’en suit un échange de
correspondance où les deux amies se dévoilent sans fard, et dans
laquelle les fessées qu’elles reçoivent l’une et l’autre sont
souvent évoquées. Dans une dernière lettre, Anne - Charlotte a
raconté à son amie qu’elle se demande si une autre de ses
connaissances, la belle Lucie L* ne subit pas le même traitement
qu’elles de la part de son mari, et qu’elle compte bien tout
faire pour lui tirer les vers du nez. En réponse, Caroline poursuit
des confessions …</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
très chère,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Autant
j’ai hésité longtemps et je me suis reproché parfois d’avoir
osé vous dévoiler ce qui aurait pu rester un secret de couple,
autant je m’en félicite après la lecture de votre dernière
lettre. Je vous avoue que j’ai presque eu les larmes aux yeux
d’émotion en découvrant votre intimité, et la confiance avec
laquelle vous me la présentez. Et puis aussi, quel bonheur que de
constater que nous sommes si proches par certains cotés !
Allons au fait tout de suite, ma douce, je n’ai pas plus que vous
vraiment renoncé aux plaisirs solitaires. Il est vrai que, dans ma
jeunesse, j’y avais recours quasiment chaque jour, ou plutôt
chaque soir. Pour trouver le sommeil il me fallait d’abord m’être
quelque peu caressé l’abricot et la cerise. Même quand il m’est
arrivé de partager ma chambre avec une amie – vous souvenez vous
que vous fûtes de celles-là ma douce ? – je ne renonçais
pas pour autant à mes coupables penchants. Simplement, avec le
temps, j’ai appris à me procurer du plaisir sans bruit et sans
trop de mouvements. A vrai dire, mais je crains d’expliquer à une
plus expérimentée que moi, il m’arrivait même d’aboutir au but
recherché sans avoir à y mettre la main. La seule crispation des
cuisses m’amenait parfois, sans que personne autour de moi ne
puisse y voir quoi que se soit, à une explosion toute intérieure.
Depuis mon mariage, les assiduités de mon époux et peut-être aussi
l’âge m’amènent bien sur à un rythme moins soutenu. Mais à
l’occasion de la toilette, ou d’une difficulté à trouver le
sommeil, mes mains s’égarent encore parfois sur mes seins, aiment
à en agacer les petits bouts avant de descendre plus bas, rejoindre
le buisson frisé d’où sourd le nectar qui leur permettra de mieux
glisser. Il me faut alors composer entre l’envie d’aboutir vite
là où je sais vouloir aller et celui de faire durer l’attente qui
rend l’aboutissement encore plus délicieux. Il s’agit donc de
retarder autant que faire ce peut le moment de m’occuper du petit
bouton, de ce perce neige impatient que le moindre effleurement un
peu appuyé portera à l’incandescence. <br />
Mais, pour ma part,
ces moments ne sont pas à proprement parler un moyen de compenser un
manque d’ardeur de mon mari. Certes, nous sommes mariés depuis
moins longtemps que vous, et peut-être découvrirai-je avec le temps
que celle-ci s’émousse au fil des ans. Mais pour aujourd’hui,
mon époux est plus que régulier dans ses visites vespérales. Oh
bien sur, celles-ci ne sont pas tout à fait aussi régulières que
le chant du coq le matin. Il est des soirs où la fatigue, une
préoccupation, une obligation mondaine, que sais-je, amène à une
pause. Il en est d’autre où une indisposition de ma part m’amène
à lui faire comprendre que j’aurais besoin d’un vrai repos. Et
il est assez attentif et galant pour le comprendre. A condition
toutefois, il faut le dire, que cela ne se reproduise pas plusieurs
soirs de suites. Et quand la nature et le retour de la lune m’amène
à solliciter d’être dispensé des devoirs conjugaux trois ou
quatre jours de suite, j’ai la fierté de voir monsieur mon mari
devenir d’humeur maussade. Du reste il ne manque pas, dans ces cas
là, de rattraper les soirs qu’il considère comme perdus dans les
jours qui suivant. Et ses ardeurs ne sont alors plus seulement
vespérales mais peuvent être matinales ou impromptues. Encore que
depuis quelques temps, et vous allez voir que nous en revenons
toujours au sujet qui a entraîné cette correspondance, il a pris
l’initiative, les jours où la voie ordinaire ne peut être
utilisée, d’en choisir une autre, qui lui donne l’occasion de
rendre hommage à mon verso. Il faut vous dire que, assez tôt après
notre mariage, et bien avant qu’il ne se mue en époux fesseur
comme le votre, il m’avait fait découvrir la position que vous
utilisâtes lors de votre première fessée et qui porte ce joli nom
inspiré du rongeur bondissant. Je n’ai donc pas été plus étonnée
que cela le soir où il ma amené à prendre cette position, certes
un peu inconfortable, mais qui met tellement en valeur nos attributs
postérieurs, à genoux, la tête entre les mains et le dos incurvé
pour mieux faire pointer ce qui, dans ce cas, ne mérite peut-être
pas d’autre mot que celui de c**. Par contre c’est avec stupeur
que j’ai senti que sa virilité, après s’être comporté avec
mon antre d’amour comme une mouillette avec un œuf à la coque, à
quitté ce nid douillet sans pousser plus loin son avantage et s’est
glissée un peu plus haut, vers une autre entrée plus secrète, et
pour tout dire plus étroite. Dire que cette découverte fut un grand
moment de plaisir serait mentir. La différence de taille entre
l’objet et son étui suffit à expliquer que l’introduction de
l’un dans l’autre impose à ce dernier une déformation difficile
à supporter. Pourtant, mais vous savez combien je suis bonne et
j’aime à faire plaisir autour de moi, les râles de bonheur de mon
tendre bourreau tandis que son épée pénétrait mes entrailles ont
rendu cet instant moins difficile à supporter. J’ai en tout cas eu
le sentiment d’avoir, ce soir là, passé, moi aussi, une sorte de
porte, pour aboutir dans un monde que j’ignorais jusque là. Et
prenant mon acceptation pour définitive, mon cher époux me propose
régulièrement cette alternative quand je lui oppose le calendrier
pour refuser une étreinte plus conventionnelle. Mais peut-être
suis-je entrain de … prêcher à une convertie ? Si tel est le
cas, peut-être me comprendrez vous si je vous dis que du strict
point de vue du plaisir physique cette voie m’apparaît comme moins
efficace que l’autre, mais qu’elle déclenche aussi des
sensations presque plus mentales oserai-je dire. Peut-être parce
que, fruit de notre éducation, elle reste marquée par l’interdit,
donc par le goût délicieux du péché ? Peut-être aussi parce
que, du fait de la position prise, nous ne voyons pas le partenaire,
et que cela permet à notre imaginaire des égarements que nous nous
interdirions dans d’autres situations. Ou tout simplement parce
que, dans le cas de mon époux, cette pratique semble lui procurer un
tel plaisir que ma fierté en est comblée. Du reste, et peut-être
cela participe-t-il aussi de ce plaisir un peu trouble que me procure
ces moments différents, il ne se prive pas de me faire partager son
bonheur qu’il exprime sans retenue. Et là aussi, lui qui est, vous
le savez, la correction voire la distinction même, en arrive à
l’oublier et à utiliser des termes que je ne suis pas encore
capable d’écrire, alors que je suis plus que troublée de les
entendre ! Tout cela pour vous dire – mais vous savez combien
je suis bavarde et comme j’ai tendance à oublier le fil de mes
récits parfois – que, jusqu’à présent, il se passe rarement
plus de trois jours sans que mon époux ne me rende hommage, que se
soit le soir quand nous gagnons le lit en même temps, ou le matin
quand il décide de me réveiller de galante manière. Pour en
revenir au sujet que nous abordions dans nos courriers précédents,
et fort heureusement, ces moments de tendresses conjugales ne sont
pas tous assortis de fessées. Si tel était le cas je pense que
j’aurais du renoncer depuis longtemps à la position assise. Par
contre, et fort heureusement, l’inverse est toujours vrai. Et si
depuis que j’en ai fait la découverte, et que je m’en suis
ouverte à vous, j’ai du repasser par ces moments brûlants quatre
ou cinq fois, ils furent toujours suivis, peut-être faudrait-il dire
compensés, ou conclus, par de grands moments de frissons. Je dois
même vous avouer que, la dernière fois que mon séant a été
fustigé, et de la belle manière, par mon mari, j’avais presque
sciemment provoqué la chose. Une fois encore il m’attendait pour
sortir et m’avais recommandé de ne pas être en retard. J’aurais
tout à fait pu être à la maison à l’heure dite mais je ne sais
– ou je sais trop – quel démon m’a poussé à traîner
consciemment de manière à n’y arriver qu’avec une bonne
demi-heure de retard. Bien entendu il était dans l’entrée, déjà
habillé et prêt à partir. Je savais intérieurement que ce retard
me vaudrait une fessée. Et je m’attendais à ce que je paye en
monnaie claquante ma dette le lendemain. Mais il n’en fut rien.
Cette fois, en effet, il me fallu payer cash. En moins de temps qu’il
n’en faut pour le dire, et sans qu’il n’ait pris la peine de
justifier quoi que se soit ou même de me réprimander, je me suis
retrouvée pliée en deux sur sa jambe, les mains posées sur une
marche de l’escalier, la jupe troussée et la culotte plus arrachée
que baissée. Quelle averse mon Dieu ! Je me suis débattue,
j’ai crié, j’ai pleuré, rien n’y a fait. Il ne m’a lâchée,
que quand il a eu trop mal à la main je pense. Ensuite il ne m’a
pas laissé le temps de me rafraîchir, il était vraiment temps que
nous partions. Il m’a juste lancé « tu la laisses là ! »
quand j’ai voulu remonter ma culotte, et je n’ai pas pris le
risque de lui faire répéter. J’ai passé la soirée à me
tortiller sur la chaise, les fesses brûlantes. Et cette fois, ce
n’est qu’au retour à la maison, fort tard, que mon mari m’a
dispensé la partie la plus agréable de la chose. Mais, est-ce parce
qu’elle avait été retardée, elle fut vraiment renversante !
J’ose le dire, quelque douloureuse ait été le premier acte, la
qualité du second le valait bien. N’en tirez pas pour autant la
conclusion que je joue régulièrement les provocatrices. Mon cher et
tendre époux trouve bien assez souvent lui-même les raisons
d’honorer mon popotin pour que je n’aie pas besoin de lui en
trouver. Et comme, même en dehors de ces moments d’autorité
conjugale, il reste assez empressé à remplir ses devoirs conjugaux,
il n’est pas nécessaire que mon inconduite ne le mette en train. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
vous laisse sur ces bonnes paroles, ma toute douce, en formant le vœu
que votre propre époux découvre quelques une de vos vilenies qui
vous vaudront une séance cuisante … puis apaisante !</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre
tendre et attentive amie</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Caroline.</i></span></span></div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1882_579450151"></a>Chapitre
6 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de Mme A </b>
</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Lors
d’une soirée chez elle, Anne Charlotte, épouse régulièrement
fessée par son époux, et qui est loin de s’en plaindre, a
remarqué le ton sévère du mari de la belle Lucie L*. Quelques
temps plus tard, celle-ci, qui l’avait invitée à prendre le thé
n’a pas caché qu’en effet, elle faisait elle aussi partie de ces
épouses dont les maris rougissent parfois le postérieur. Troublée
par ces confidences directes, et surtout par le récit d’une fessée
reçue par Lucie devant deux autres couples, elle s’empresse d’en
rendre compte à son amie d’enfance, Caroline, qui, elle, a
découvert plus récemment les affres mais aussi les plaisirs de ces
pratiques.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
toute douce,<br />
Quel bonheur encore une fois de lire votre lettre,
que vous m’avez fait attendre, vilaine que vous êtes. Mais je
comprends bien qu’avec un époux tellement empressé auprès de
vous, vous n’ayez pas trop de loisir pour écrire à votre vielle
amie qui en est réduite trop souvent à relire vos courriers
précédents et à imaginer, avec les conséquences que vous devinez,
vos moment de tendresse et de passion. Encore qu’il ne faut rien
exagérer, et si, en effet, mon mari n’est plus aussi vigoureux
qu’au début de notre relation, ni que je le voudrais parfois, il
reste, j’ose dire le mot, un amant tout à fait empressé et même,
je le pense bien que je n’ai pas vraiment d’élément pour
comparer, talentueux. Je ne sais d’ailleurs si le hasard des
rencontres nous a amené, vous et moi, à trouver des maris faits sur
le même modèle ou si tout les hommes se ressemblent à ce point,
mais il me semble qu’en effet, votre mari et le mien ont plus d’un
point commun. Et en particulier cette attirance curieuse pour le
verso de nos anatomies, et pas seulement pour les fustiger. Peut-être
est-ce parce que je suis un peu plus avancé en âge et en expérience
que vous, ma petite, mais moi j’ose écrire le mot que vous ne
parvenez pas à tracer sur le papier : oui mon mari aime m’enculer.
Voilà, c’est dit. Et, comme le votre si j’ai bien compris, il
aime à me faire partager verbalement son enthousiasme dans ces
moments de pénétration arrières. Il est vrai que ce cher homme,
plutôt silencieux dans la vie ordinaire, est assez expansif dans ces
moments là. Et il aime, en effet, à commenter ce qu’il est
entrain de faire, et que pourtant je en peux pas ne pas savoir !
Peut-être vais-je vous choquer (encore que je doute de la chose,
vous connaissant un tout petit peu mieux maintenant) mais je suis
assez troublée moi aussi par ces mots qui, en effet, ne font pas
partie du langage convenu des salons. Mais quoi, pourquoi nierai-je
être quelque peu bouleversée par ces annonces faites d’une voix
rauque : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« je
vais t’enculer bien à fond ! Je vais te bourrer le cul ma
petite salope ! </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
Voire ces ordres impérieux : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« présente
bien ton cul que je le bourre »</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
ou ces questions presque naïves : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« tu
la sens bien là ?»</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
(Comment pourrais-je ne pas sentir cette tige épaisse qui me dilate
le fondement ?) ou encore ces promesses, heureusement suivies de
concrétisations : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« je
vais venir …je vais jouir…je vais tout t’envoyer dans le cul !,
je vais t’emplir …</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Eh oui, ma chère petite, ce Monsieur de V*, si bien élevé, qui
sait pratiquer le baise main quand il convient, qui emploi un langage
châtié si ce n’est parfois même recherché, sait fort
opportunément oublier ces conventions de langage au moment qui
convient. Et pour tout vous dire, même si l’habitude ne m’est
venu qu’au cours des ans, il m’arrive de perdre aussi assez le
contrôle de moi-même pour l’encourager sans plus de retenue par
de grands </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« bourre
moi, mets le moi, baise moi, donne moi tout mon amour ! </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
qui contribuent, je pense, pour beaucoup à ragaillardir le monsieur.
Et pour en finir sur ce chapitre, je dois vous avouer que la
conjugaison de ces manières d’exprimer nos enthousiasmes
réciproques, ajoutés aux soupirs et aux feulements causés par le
plaisir, quand ce n’est pas aux claquements de la main de l’un
sur les fesses de l’autres, m’ont amenés parfois à rougir
quelque peu en débarquant dans la salle du petit déjeuner d’hôtel
où nous avions passé une soirée épicée. <br />
Mais je vous
raconterais cela une autre fois. Il me faut pour aujourd’hui ne pas
oublier de poursuivre ma narration des aventures supposées – et
vous allez le voir confirmées – de ma nouvelle amie, Lucie L* dont
je vous ai déjà parlé. Vous vous souvenez peut-être que, à la
manière dont son mari s’était adressé à elle, et à l’effet
que cette voix avait eu sur son comportement, je m’étais demandé
si Monsieur L *, un homme assez séduisant, plus vieux qu’elle,
mais portant beau, avec un regard bleu acier assez troublant ma foi,
ne faisait pas parfois preuve d’autorité sur son épouse, une
jolie petite bécasse, un peu rondouillette mais tout à fait
adorable au demeurant. Quand j’avais fait allusion à la manière
dont s’était terminée cette soirée chez nos amis, il m’avait
semblé qu’elle s’était un peu troublée. Pourtant, c’est elle
qui a pris l’initiative de m’inviter à un thé chez elle, et
bien entendu j’ai répondu à son invitation. Première surprise
pour moi – agréable vous allez comprendre en quoi – il ne
s’agissait pas d’une sempiternelle réunion de dames par laquelle
il nous arrive de nous débarrasser en une seule fois d’une
tripotée d’invitations à rendre et où personne n’écoute
vraiment quiconque. J’étais la seule invitée, et la jolie Lucie
m’a dit dés mon arrivée :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Nous
ne serons que vous deux, madame, ainsi nous pourrons parler
tranquilles</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Pourtant,
bien sur, rien n’indiquait qu’elle avait en tête d’aborder le
sujet qui m’intriguait. Aussi ne me suis-je pas lancé tout à trac
sur ce terrain, persuadée qu’il me faudrait développer des
trésors d’ingéniosité et d’allusions pour espérer amener ma
belle sur le terrain qui me convenait. Et bien pas du tout. Dés
que, au détour d’une phrase et comme par inadvertance, j’ai
abordé la question des maris parfois autoritaires, elle s’est
lâchée sans la moindre réticence, me répondant tout de go :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« Ah
bien sur, en épousant Pierre, je savais à quoi m’en tenir en
matière de discipline. Mais comme mes parents pratiquaient de même
depuis toujours, j’avais si j’ose dire les fesses entraînées ! »
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
je vous assure que cela était dit avec le plus grand naturel, sans
la moindre rougeur aux joues, comme si, après tout, elle me
renseignait sur les goûts de son mari en matière de cuisine ou de
musique ! Et à partir de là, je n’ai pratiquement plus eu
besoin de relancer mon amie pour qu’elle me raconte par le menu son
expérience en la matière. Les fessées enfantines données par les
nounous puis ses grandes sœurs dûment chapitrés par les parents
quand elles gardaient leur cadette « et elles avaient intérêt
à ce que nous soyons sages, sinon c’est elles qui prenaient la
tripotée au retour des parents. » Puis la découverte de la
large ceinture de cuir pendue dans l’entrée de la maison et dont
l’utilisation sur le derrière des filles marquait dans la famille
la sortie de l’enfance, à douze ans, juste après la première
communion. Et la belle de commenter : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« Bien
sur, c’est tellement plus douloureux que les fessées reçues
jusque là, je le savais pour avoir entendu les cris de mes sœurs
quand elles y avaient droit, mais en même temps, j’étais presque
impatiente d’être moi aussi une grande. Je sais bien que pour la
plupart des gens, aujourd’hui, cela est complètement fou, mais
chez nous cela</i></span></span><span style="font-size: medium;"><i>
</i></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>paraissait
normal. Cela arrivait à mes sœurs, à mes cousines, et même à
maman et à mes tantes – de la part de mon grand-père puis de
leurs maris bien sur – et aucune d’elle ne s’en cachait. </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
Vous imaginez vous, ma très chère, cette jolie blonde, aux formes
généreuses (je dois dire que sa chute de reins donnerait envie à
des moins acharnés que nos propres maris tant elle est ronde et
pleine) qui me tient ce langage tout en sirotant son thé avec
distinction ? Et qui continue sur le même ton, m’expliquant
qu’après tout, le mariage n’avait eu comme conséquence que de
passer d’une autorité à une autre, elle aussi cinglante. Vous
vous doutez que je ne perdais pas une miette de ce récit, et je vous
avoue qu’il m’apparaissait tellement impudique que je sentais une
crispation au creux de mon ventre, et une rosée naître un peu plus
bas. Pourtant je me gardais bien d’interrompre mon amie, la
relançant seulement parfois d’un hochement de tête ou d’un
prudent </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« vraiment</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> ? »Et
je fis bien puisque c’est ainsi qu’elle me confia, toujours avec
son regard clair et innocent, que non seulement il lui était arrivée
de recevoir la fessée de son mari en présence de ses sœurs plus
âgées, mais aussi du mari de l’un d’entre elles, et même,
mais là, quand même, j’ai cru voir une rougeur apparaître sur
ses joues, d’avoir été fessée au cours d’un repas chez eux, en
présence de deux couples d’amis. Et comme je m’étonnais :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« mais
il ne vous a quand même pas</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
… »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Elle
me répondit presque sans ciller :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« oh
si, bien sûr j’ai bien tenté de lui demander de reporter la chose
à plus tard, et au mois de ne pas me déculotter, mais rien ne l’a
fait changer d’avis </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
elle avait donc fini par se plier à l’exigence de son mari, et
avait été fessée après avoir été déculottée devant leurs
convives. Elle m’avoua que ces instants avaient été difficiles à
vivre, mais ajouté qu’après qu’elle se soit relevée et
reculottée, l’un des maris présent avait félicité le sien pour
son caractère « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>et
vous petite madame pour votre obéissance, qualité tellement rare
aujourd’hui</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »Et
il avait ajouté qu’il ne serait pas normal qu’elle soit la seule
à en faire preuve. Il s’était alors tourné vers sa propre femme,
une dame d’une cinquantaine d’année, très « bon chic bon
genre », en disant : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« ma
chérie, comme de toutes manières tu la recevras ce soir, je pense
que se serait une belle preuve d’amitié pour Lucie que d’accepter,
comme elle, d’y passer maintenant </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
L’épouse s’était alors levée, elle s’était approchée
d’elle et avait murmuré : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« c’est
pour vous, pour vous seule, que j’accepte, vous savez. Mais vous
avez été courageuse, et surtout vous avez compris qu’il n’y a
pas d’humiliation à obéir, mais aussi de la grandeur, je veux
vous le montrer à mon tour.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Elle s’était alors dirigée d’elle-même vers son mari, avait
elle-même remonté sa robe, puis baissé sa culotte jusqu’aux
genoux avant de se baisser, mains aux genoux, présentant ses fesses
à son mari. Lucie était encore émue en me racontant ce qu’elle
appelait « le cadeau » que lui avait ainsi fait celle qui
depuis est devenue une de ses plus proches amies. Elle avait reçue,
selon les mots même de ma nouvelle amie, « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>une
volée bien plus sévère que la mienne sans presque lâcher un cri</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Mais son visage ruisselait de larmes quand son mari lui avait enfin
donné l’autorisation de se relever. Elle l’avait fait, puis
avait entamé une sorte de danse sur place en se frottant les fesses
qui étaient devenues cramoisies, avant de remonter sa culotte, de se
moucher en reniflant, puis de revenir s’asseoir au salon pour
partager le café et les liqueurs. Quand à l’autre épouse, qui
n’avait pipé mot sur le moment, elle avait tout simplement déclaré
quand ils se quittaient : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« la
prochaine fois, c’est nous qui invitons n’est ce pas ? Et …
je ne serais pas en reste.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et quelques semaines plus tard c’est au moment de l’apéritif,
chez elle, que cette femme a reçu ce qui était, Lucie ne l’a
appris qu’après, la première fessée de sa vie. </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« Et
d’ailleurs, je pense que cela a été la dernière » avait
ajouté Lucie, « c’est juste qu’elle avait cru qu’elle ne
pouvait pas faire autrement. Et elle m’a avoué que son mari avait
eu presque plus de mal à passer à l’acte qu’elle</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">. »
<br />
Vous voyez, ma toute douce, que si les hommes sont parfois de
drôles d’animaux, nos consœurs sont parfois aussi étonnante. En
tout cas, je pense que je vais me faire de cette petite Lucie une
vraie amie. Je vous avoue qu’elle m’avait d’abord semblé un
peu, comment dire, bécasse. Mais, après cette après-midi passée
en sa compagnie, je suis largement revenue sur mon jugement. Elle est
peut-être seulement étonnamment « nature ». En tout cas
elle assume parfaitement sa condition, sans honte ni forfanterie, et
en tout cas sans le moindre soupçon de perversité. Par contre il me
semble qu’elle est aussi sans le moindre soupçon de pudibonderie,
si ce n’est même de pudeur. Ainsi, quand elle me parlait de
l’usage fait par son mari de la large règle en bois qu’il
utilise dans son métier d’architecte, elle a tout bonnement relevé
sa jupette pour me faire constater les marques violettes. Certes,
elles défiguraient un peu le joufflu de la belle. Mais, mon dieu
qu’elle a de belles fesses ! A en être jalouse ! Je
vous avoue que quand j’ai regagné ma voiture ma petite culotte
était trempée. Une fois encore, j’ai du céder à mes coupables
penchants. Si d’aventure vous y cédiez aussi en lisant la
présente, j’en serais ravie, ma belle.<br />
Votre amie pour
toujours.<br />
</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"><i>Anne
Charlotte. </i></span></span></span>
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1884_579450151"></a>Chapitre
7 :<br />
<b> </b><b>Lettre de Mme A à son amie Mme De V**</b></h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Caroline
réponds à la lettre de son amie Anne Charlotte, qui lui a fait
découvrir qu’elles n’étaient pas les seules épouses de leu
monde à avoir parfois les fesses claquées par leurs époux. Elle
brûle d’en savoir plus, mais elle expose aussi sans rien cacher le
trouble qu’elle ressent quand son mari la prive de culotte</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Ma
bonne amie, </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Si
j’en crois votre dernière lettre, nous allons bientôt pouvoir
fonder une amicale des épouses de maris sévères ! Et il me
semble bien que votre nouvelle jeune amie mériterait sans conteste
d’en prendre la présidence, si toutefois les titres sont
distribués en fonction des « mérites »Finalement, si
nous nous comparons à elle, nos maris sont presque de doux
compagnons ! Certes, je ne peux mesurer la sévérité des
fessées que reçoit cette jeune épouse à la seule lecture d’un
récit de deuxième main en quelque sorte. Mais si cuisantes que
soient celles que je reçois de mon cher époux, au moins le sont
elles toujours reçues dans la stricte intimité de notre ménage et,
fort heureusement, vous êtes la seule à connaître ce coté de ma
personnalité. Et si vous ne m’avez rien caché, il en est de même
pour vous ? Mais comme, de votre coté, vous semblez être la
seule de nous trois à connaître la morsure des lanières, je vous
intronise sans barguigner vice-présidente (mon Dieu que ce mot vous
va bien !) et je vous assure que je ne tiens pas à ce que les
progrès éventuels de mon mari m’amènent à revendiquer une place
plus éminente. Car il progresse, le bougre ! Pas vraiment en
sévérité, mais au moins en imagination. Je m’explique. Je vous
ai raconté comment, lors d’une fessée bien méritée et presque
provoquée, il m’avait interdit de remettre ma culotte avant de
partir à cette soirée. Tout au long de celle-ci, c’est donc à
la fois les picotements consécutifs à la manière dont il avait été
traité, et le contraste avec l’air frais arrivant directement sur
lui, qui ont fait que je ne pouvais penser à autre chose qu’à mon
pauvre derrière. Je sais que vous pouvez comprendre la difficulté
de suivre une conversation on à bâton rompus avec les fesses encore
brûlantes. Il me fallait en plus faire attention à ne pas grimacer
quand je changeais de position. J’entends déjà votre objection,
je n’avais qu’à ne pas rester assise. C’est vrai que dans les
heures qui suivent les séances dont son tant amateurs nos époux, il
est préférable de rester debout. Sauf que je vous assure qu’aller
et venir au sein d’un groupe avec l’air tant soit peu naturel
n’est pas si facile quand il vous manque une pièce de vêtement
certes petite mais … essentielle ! Bien sur j’avais une jupe
assez longue pour qu’en aucune manière l’absence de la petite
culotte ait pu avoir des conséquences sur ma pudeur. Mais vous ne
pouvez pas savoir combien cette absence est présente à l’esprit.
Chaque fois que j’ai du me lever, j’avais le sentiment que toute
l’assemblée allait savoir que j’étais nue sous ma jupe. Et
quand, au hasard d’un buffet, un ou une autre convive m’effleurait
le dos je sentais une sueur froide jusqu’au creux de mes reins. Je
dois d’ailleurs à la vérité de dire que mon cher mari, par les
quelques plus ou moins discrètes caresses prodiguées à mon envers
n’a pas contribué à ce que j’oublie l’état de celui-ci. Et
peut-être la qualité de la conclusion dont je pense vous avoir déjà
fait état, n’est elle pas sans rapport avec le fait que Monsieur
avait su pendant toute cette soirée mondaine et pour tout dire
quelque peu ennuyeuse que sa chère moitié cachait un derrière tout
rouge sous sa sage jupe grise ! Je le pense d’autant plus que
ce qui avait été, me semble-t-il, une décision ponctuelle, motivée
par le fait que j’avais été fessée à la va-vite presque sur le
seuil de notre maison, est devenu très rapidement une habitude, pour
ne pas dire une règle. Bien sur, déjà auparavant, quand il
arrivait à mon mari de se montrer autoritaire le soir à la maison,
il m’était arrivé, sans même qu’il ait besoin de m’y
contraindre, de ne pas remettre ce que j’avais du retirer pour lui
laisser libre accès à son terrain d’activités. D’autant que le
plus souvent il l’avait fait dans notre chambre alors que j’avais
déjà revêtu ma tenue de nuit. Il a d’ailleurs eu, un soir,
l’élégance de me dire que s’il regrettait de ne pas avoir à
baisser cette petite culotte il me trouvait « craquante »
quand il avait à relever ma longue chemise de nuit en pilou. Dois-je
vous avouer que j’en avais été fort fière ? Et même quand
il m’était arrivé de recevoir ce qu’il estime mon du au rez -
de -chaussée, dans son bureau le plus souvent, alors que nous
étions seuls à la maison, je ne m’imposais pas le frottement d’un
slip sur le postérieur ainsi mit au vif. D’autant que cela permet
à Monsieur, parfois, comme le votre le fait aussi me semble-t-il, de
soulever la jupe ou la robe, voire de me demander de le faire, pour
juger de l’évolution des couleurs de ce qu’il a appelé un jour
« le soleil couchant ». Mais maintenant, c’est pour
lui une conséquence quasi obligatoire de la fessée : je suis
« interdite de culotte » Ainsi il m’arrive d’être
punie un soir et de l’entendre dire, en conclusion de la séance,
« et demain tu es privée n’est-ce pas ? » Et
croyez moi, il veille à ce que son ordre soit respecté. La première
fois qu’il a lancé ce commandement, j’ai pensé qu’il
plaisantait, et en tout cas le lendemain la chose m’était sortie
de la tête. Mais quand il est rentré, le soir, avant même de
m’interroger sur ma journée, il a plaqué ses mains au « bon
endroit », a froncé les sourcils, relevé à la volée le bas
de ma robe, et découvrant la petite culotte que j’avais enfilée,
sans penser à mal, le matin, il s’est écrié que « puisque
j’avais décidé de ne pas obéir » il allait s’expliquer
plus clairement. Et j’ai pris derechef une fessée mémorable qui
m’a enlevé toute envie de remettre un slip non seulement le soir
même mais à chaque fois qu’il me l’interdirait. C’est ainsi
des jours entiers qu’il me faut me passer de ce petit morceau de
tissus fin dont on ne comprend l’importance … que quand on en est
privée. Quand je reste à la maison, ma fois, c’est de peu
d’importance. Mais quand nous sortons le soir, c’est arrivé
plusieurs fois, ou quand il lui prend la fantaisie de se montrer
sévère à l’heure du déjeuner alors que je visite des amies
l’après-midi, je revis ces heures d’angoisse au cours desquelles
je ne cesse de me demander si « ça » ne pourrait pas se
voir ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Mais
j’ai assez parlé de moi ! parlez moi donc de vous, ma chère,
et surtout, parlez moi encore de cette petite Lucie . Je vous
avoue que je brûle d’en savoir plus sur cette fessée reçue
devant autrui. Et plus encore sur celle reçue par une autre épouse,
jusque là épargnée si j’ai bien compris. Vous en a –t-elle dit
plus ? J’attends votre prochaine lettre avec l’impatience
que vous devinez, et je vous embrasse en vous suggérant d’embrasser
en mon nom cette gentille Lucie !</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre
tendre</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: large;"><i>Caroline</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1886_579450151"></a>Chapitre
8 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de Mme A </b>
</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Anne
Charlotte, épouse régulièrement fessée par son mari, poursuite sa
correspondance avec son amie d’enfance, Caroline. En réponse aux
questions insistantes de celle-ci, elle revient sur les confidences
d’une troisième femme, Lucie, qui, elle, a été fessée par son
mari en présence de deux autres couples.
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mon
Dieu que j’aime votre fraîcheur ! Que j’aime votre
explication sur la fraîcheur de l’air sur les rondeurs privées de
slip ! Eh oui, on « ne pense qu’à cela », je
sais ! Et pourtant, en effet, en principe personne ne s’en
aperçoit. Sauf que nos hommes, eux, le savent. Et que, je constate
par votre récit que le mien n’est pas le seul, cela les met en
appétit ! Mais oui, ma belle, je vous taquine ! Bien sur
qu’il m’est arrivé, moi aussi, de ne rien porter sous mes jupes
ou sous mes robes. La différence avec vous c’est que cela ne
m’arrive pas seulement après les séances autoritaires de mon
mari. Pour tout dire, il lui arrive assez souvent de me « demander »
(mais vous savez qu’avec nos hommes, leurs « demandes »
sont comme des ordres) d’oublier de mettre ma culotte, surtout
quand nous sortons en soirée. Et, tout comme vous, sa main rencontre
alors plus souvent que nécessaire le tissu qui moule mes fesses sans
autre protection. Je ne vous cacherais pas qu’il m’est arrivé
parfois de frôler l’incident. Par exemple quand, fort détendue,
et peut-être ayant un tout petit peu profité du champagne servi
sans limitation, je me suis mise à danser un rock endiablé en
oubliant que quand ma jupette voletait par trop … Ou encore quand
il m’est arrivé, chez des collègues de mon mari, d’être assise
dans un fauteuil très bas et de surprendre tout à coup le regard
d’un des hommes présent et qui semblait se perdre en haut de mes
cuisses. Mais au total, après tout, rien ne me prouve que qui que se
soit ne s’en soit jamais vraiment rendu compte. Encore qu’avec le
temps, le regard de mon cher mari est devenu fort acéré. Même sous
un vêtement ample, je ne sais pas comment il fait mais il est
capable de savoir si j’en ai une ou pas au premier coup d’œil.
Ce qui m’a valu quelques belles fessées les fois où j’en avais
enfilée une malgré ses ordres, et quelques caresses fort tendres
quand, au contraire, j’avais pris de moi-même l’initiative de ne
pas en mettre. Tout cela pour vous dire, ma toute belle, qu’il
n’est même plus nécessaire que j’en sois privée pour m’en
priver ! </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Venons-en
à ma chère Lucie et à ses confidences tellement émoustillantes.
Je vous ai raconté dans ma dernière lettre comment son mari l’avait
punie en présence de deux autres couples, et comment une autre
épouse avait accepté de faire de même. Visiblement cette soirée
est restée, et on le comprend, gravée dans la mémoire de ma jolie
amie, et elle y est revenue plusieurs fois lors de nos conversations.
Il faut vous dire que je fais tout pour ramener « la question »
sur le tapis et que je n’ai pas caché à cette jeune femme que
moi, qui suit plus âgée qu’elle, subit souvent et depuis
longtemps le même traitement de mon mari. J’ai même ajouté, vous
me le pardonnerez j’espère, qu’une autre de mes amies, vous bien
sur ma tout belle, avait découvert plus récemment cette drôle
d’habitude qu’on les maris de nous faire rougir le popotin. Et je
dois vous dire qu’elle a été fort intéressée par le récit de
votre découverte, et qu’elle est aussi curieuse de votre
expérience que vous l’êtes de la sienne. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Elle
m’a donc raconté par le menu cette première fessée reçue « en
public » comme elle le dit de manière charmante. Son mari,
elle en convient, l’avait prévenue, après l’avoir punie comme
vous le savez pour son attitude lors de la soirée chez nous, que
« la prochaine fois je n’attendrais pas d’être rentré à
la maison » Et même si elle n’avait pas véritablement
compris qu’il la menaçait d’une fessée immédiate et devant
témoin, elle avait, dit elle, fait attention à ne plus donner de
raisons de fâcherie à son mari. Ou au moins, comme elle le précise
« je veux dire à l’extérieur, à la maison il n’a jamais
vraiment renoncé ! » Mais comme elle le dit elle-même
« c’est plus fort que moi » et lors d’une soirée
chez un autre collègue de son mari, elle a récidivé sans même
s’en rendre compte. Cette fois, outre le couple qui invitait, un
autre couple était présent. La maîtresse de maison étant fort
occupée par le service participait peu à la conversation, et
l’autre épouse, une dame d’une cinquantaine d’année plutôt
réservée, parlait très peu elle aussi. C’est donc notre belle
écervelée qui a monopolisé la parole, intervenant sans cesse,
coupant la parole à son mari et surtout lui apportant la
contradiction, ce qu’elle savait pourtant lui être insupportable.
Jusqu’à ce que le dit mari la regarde dans les yeux et lâche le
fameux </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« cette
fois nous n’attendrons pas d’être rentrés tu sais</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> ! »
avant de reprendre la conversation avec ses amis sans plus de
commentaire. Bien entendu, la belle avait compris ce qu’elle
pensait encore être une menace mais se l’était tenu pour dit et
n’avait plus dit un mot. A tel point que, quand ils étaient passés
au salon pour le café, l’hôtesse s’était inquiété de la voir
« </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>aussi
silencieuse depuis tout à l’heure</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Lucie avait bafouillé une vague explication, mais c’est son mari
qui avait tranquillement déclaré </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« Lucie
s’inquiète un peu chère amie parce qu’elle sait qu’elle va
recevoir la punition qu’elle a bien méritée par son attitude</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »Un
peu interloquée, mais en le prenant sur le ton de la plaisanterie,
la dame avait répliqué </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« vous
ne voudriez quand même pas punir une aussi charmante enfant !</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
ce à quoi le mari avait répondu </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« mais
bien sur que si, madame. Comme vous le dite vous-même, Lucie se
comporte comme une enfant, il est donc bien normal qu’elle soit
punie comme telle, si Georges et vous-même me le permettait bien
entendu</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et avant que la dame ait pu répondre c’est son mari qui avait dit
« </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Vous
être nos invités, vous faite comme chez vous, mon cher »</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
Il ne se l’était pas fait répéter et, en s’asseyant sur un des
fauteuil du salon avait simplement dit « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>je
vous remercie, Lucie va donc recevoir sa fessée tout de suite. Viens
te mettre en place ma chérie </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
Bien sur la belle Lucie avait tenté d’échapper à son triste sort
en bafouillant « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>mais
non ..pas ici…s’il te plaît …nos amis …à la maison si tu
veux</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
avouant ainsi, mais elle ne s’en est avisée que par la suite,
qu’elle était en quelque sorte habituée à la chose. Mais son
mari l’avait coupé d’un très sec « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>cela
suffit Lucie. C’est tout autant nos amis que moi que tu as
indisposé, il est juste que tu sois punie en leur présence.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
D’un geste qu’elle connaissait fort bien, il l’avait
« invitée » à le rejoindre, l’avait fait s’allonger
au travers de ses genoux, avait tout de suite relevé sa jupe et
s’était mis à la fesser exactement comme s’ils avaient été
dans leur chambre. Comme de coutume il avait appliqué une vingtaine
de claques par-dessus la culotte, puis elle avait senti avec effroi
ses pouces se glisser sous l’élastique de celle-ci. Elle avait
bien tenté de couiner et de l’implorer </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« non..s’il
te plaît..pas la culotte, pas devant tout le monde »</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
mais une fois encore, implacable il avait répliqué « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>une
fessée se reçoit déculottée, tu le sais très bien, et nos amis
aussi, j’en suis sur. Ne fait pas l’enfant, sinon tu sais que ce
sera plus long !</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> ».
Lucie en convient elle-même, ce ne fut pas, et de loin, la fessée
la plus sévère qu’elle ait reçue, même si ce ne fut pas non
plus, et loin de là, un simulacre. Mais comme le dit la belle
insupportable elle-même, « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>la
situation était tellement nouvelle pour moi, tellement presque
incroyable, que je ne me souviens presque pas de la douleur. Je
m’appliquais surtout à ne pas laisser le moindre cri m’échapper.
Et ce n’est que lorsque mon mari m’a fait relever que je me suis
rendue compte que mes joues étaient trempées de larmes.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Bien
sur, à peine relevée, je me suis empressée de tenter de remonter
ma culotte. Mais, fidèle à ses habitude, mon mari me l’a
interdit </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
Elle s’était donc retrouvée debout, les bras ballants, le slip
tombé aux chevilles. Son mari l’avait alors autorisé à se
rasseoir, non sans lui intimer l’ordre, d’un geste de l’index,
de lui donner sa petite culotte qu’il avait glissée dans sa poche.
Lucie avait obéi, non sans s’être furtivement frotté les fesses
avant qu’elles ne touchent le canapé. Elle avait gardé les yeux
baissés, n’osant pas croiser le regard des autres. C’est alors
que le maître de maison a pris la parole :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">« </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Mon
cher, je vois avec plaisir que vous êtes de ces hommes qui
maintiennent des traditions auxquelles mon épouse et moi sommes très
attachés. Votre charmante épouse s’est conduite comme une gamine,
beaucoup de maris soi disant évolués et modernes lui en auraient
fait le reproche une fois rentrés à la maison. Et vous, chère
petite madame, vous auriez du subir d’interminables réprimandes.
Alors qu’ici les choses ont été réglées promptement, sans cris,
sans aigreur. Et si votre mari me le permet, je vous félicite aussi,
chère Lucie. L’obéissance est une qualité rare de nos jours.
Vous avez subie votre fessée avec beaucoup de dignité. Et je pense
que vous méritez de ne pas être la seule à témoigner ce soir de
ce qu’une épouse doit parfois subir.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Il s’était alors tourné vers son épouse et avait dit : «</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>tu
sais que nous avons des choses à régler nous aussi, et comme je
n’ai pas voulu t’empêcher de préparer notre repas j’avais
prévu que nous le ferions après le départ de nos amis ou demain.
Mais il me semble qu’il serait correct envers notre jeune amie de
nous exécuter tout de suite»</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
L’épouse avait hésité un instant, puis sans un mot s’était
levée, et s’était dirigée vers le siège où son mari était
assis. Elle ne lui avait pas répondu directement, mais s’était
arrêtée devant Lucie et avait murmuré « C</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>’est
pour vous, pour vous seule, que j’accepte, vous savez. Mais vous
avez été courageuse, et surtout vous avez compris qu’il n’y a
pas d’humiliation à obéir, mais aussi de la grandeur, je veux
vous le montrer à mon tour. Pour vous confirmer qu’il n’y a
pas de honte, mais de la grandeur à être fessée par l’homme
qu’on aime.</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et, sans même que son mari ait eu à le lui demander, elle avait
relevé sa robe pourtant plutôt longue jusqu’au dessus de sa
taille et s’était penchée, les mains posées sur la table basse
du salon, le derrière tournée vers son homme. Celui-ci s’était
alors levé, mais avant de commencer ce qui apparaissait comme
maintenant inévitable, il avait dit avec un sourire que Lucie
qualifiait elle-même de «craquant » : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« Pour
te féliciter de ta décision, et à titre tout à fait exceptionnel,
je t’autorise à la baisser toi-même ma chérie</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et son épouse de répondre, la voix quand même un peu étranglée
« </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>merci,
Monsieur</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »,
puis de s’exécuter, faisant glisser la culotte beige jusqu’à
ses pieds, puis la retirant complètement avant de, tout simplement,
la poser sur le dossier de la chaise puis de reprendre sa position,
le corps plié en deux, la robe coincée sous ses coudes contre son
corps, les deux mains tenant l’assise de la chaise. Le maître de
maison s’était alors levé, il s’était placé à coté de sa
femme, avait posé la main gauche au creux de ses reins, et de la
main droite s’était mis à la fesser méthodiquement. Il
s’appliquait, claquant alternativement chaque fesse, d’un
mouvement ample, régulier, comme un métronome. Le derrière de
madame Legoulle était moins rond et moins plein que celui de Lucie.
Même si elle restait une très belle femme, le temps avait fait son
œuvre, faisant perdre à cette paire de fesses un peu de sa fermeté
et de son insolence. Les assistants avaient pu constater que les
claques semblaient plus « s’enfoncer » dans ce derrière
que dans celui, plus ferme, plus dur, plus résistant peut-être, de
Lucie. Autant celui de celle-ci semblait une boule de granit sur
lequel les coups claquaient comme des pétards, rendant un bruit
clair de coup de fusil, autant celui de cette dame fort digne
semblait amortir chaque claque, se déformer, marquer l’impact de
la main une fraction de seconde, et rendre un bruit plus mat, comme
étouffé. Par contre, alors que Lucie avait réussi, en serrant les
dents à en avoir mal à la mâchoire, à ne pas lâcher le moindre
cri, autant l’épouse scandait chaque claque d’un petit cri,
bref, un peu étouffé. Une sorte de jappement qui alternait avec le
bruit des chocs entre la main large du mari et ce cul qui tremblotait
en rythme. « vlan » « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>aie </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
« vlan » « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>hiii </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
… Inconsciemment peut-être, Lucie avait gardé les jambes collées
l’une à l’autre, les fesses serrées, réussissant ainsi à
laisser caché son intimité. Et quand la fessée avait été
terminée, elle avait réussi à se tourner de telle manière qu’elle
avait pu se frotter les fesses sans que les assistants ne voient
vraiment le coté pile de son individus. Seule la femme qui était
maintenant courbée et copieusement fessée et qui se trouvait alors
face à elle avait pu entrevoir brièvement son ventre et son sexe
couvert seulement d’une petite bande de duvet blond et frisé. La
belle Lucie avait en effet soin de sa petite chatte, l’épilant en
grande partie, à la seule exception de cette bande étroite que son
mari avait un jour qualifiée de « coiffure de Huron »
par référence à la manière dont, affirmait-il, les indiens de
cette tribu se coiffaient. Au contraire, quand monsieur Legoulle
avait cessé de tanner la peau des fesses de son épouse et lui avait
annoncé </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« tu
peux te relever et calmer la chaleur</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
elle s’était redressée, et sans chercher un instant à cacher la
touffe frisée qui ornait son bas ventre, s’était mise à se
frotter les fesses tout en piétinant sur place en une sorte de danse
rituelle. Lucie avoue avoir été troublée par le contraste entre la
maîtresse de maison distinguée, attentive, presque guindée qui les
avaient reçus, et cette femme nue jusqu’à la ceinture, se
frottant les fesses cramoisies, aux cuisses larges et dont l’intimité
disparaissait derrière un buisson épais et dru. . Son mari
s’était alors levé, en déclarant « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>nos
petites femmes ont été bien courageuses, nous allons boire le
champagne en leur honneur</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Et la soirée s’était ainsi terminée autour des coupes de
champagne, la conversation reprenant, au moins entre les hommes,
comme si cet intermède de femmes fessées n’avait jamais existé.
Sauf qu’au moment de se séparer, la troisième femme, jusque là
fort discrète avait embrassé sur les deux joues les deux autres
puis leur avait murmuré : </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« La
prochaine fois, c’est nous qui invitons, n’est-ce pas »</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
Puis elle avait ajouté, « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>et
je ne serais pas en reste </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">»
Et les trois couples s’étaient séparés sans que nul ne
s’inquiète de savoir ce qu’elle voulait dire par là. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma chère, je pense que je vous ai retracé assez fidèlement ce que
la belle Lucie m’a raconté finalement sans beaucoup se faire
prier. Je me demande même si elle n’y a pas pris un certain
plaisir. Après tout, peut-être que cette belle ingénue cache un
tempérament quelque peu exhibitionniste ? Pour ma part je vous
avoue qu’entendre cette belle plante décrire ainsi par le menu non
seulement comment elle avait été fessée mais aussi comment l’avait
été l’autre dame, plus âgée que moi m’a fort troublée. Je
crains d’ailleurs que ma jeune amie s’en sois douté puisque,
quand nous nous sommes séparées elle ma glissé innocemment:
</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>« merci
pour ce moment agréable ma chère. Mais j’espère que nous nous
reverrons bientôt. J’aimerais vous avoir à dîner un soir, avec
votre mari bien sur, je suis sur que nous passerions une délicieuse
soirée</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »
Je ne sais pas ce qu’elle avait en tête en disant cela, je ne suis
même pas sur qu’elle ait fait le lien avec le récit de cet autre
dîner, mais je vous avoue que, sans être en rien prête à « passer
à l’acte » il m’est venu quelques images furtives qui ont
eu sur es sens la conséquence que vous devinerez ….</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">En
espérant que vous aussi aurais les sens allumés, je vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre
tendre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A.C.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1888_579450151"></a>Chapitre
9 :<br />
Lettre de Mme A à son amie Mme De V**
</h1>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Anne
Charlotte et Caroline poursuivent leurs échanges épistolaires.
Caroline ne cesse de harceler son amie pour en savoir plus sur les
secrets de la belle Lucie qu’elle n’a jamais vue mais dont elle
connaît les aventures. Elle en profite, elle aussi, pour découvrir
d’autres pratiques et s’en ouvre à sa fidèle confidente.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère et si précieuse confidente,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
vous avez gagnée ! Vous l’aviez deviné, la lecture des
confidences retranscrites de cette Lucie que je n’ai jamais vu a
eu, bien sur, le même effet sur moi que leur audition avait eu sur
vous. En un mot comme en mille, elle m’a fait mouiller plus
qu’abondamment. Et vous êtes bien placée pour savoir que dans ces
circonstances, il faudrait être bien bête pour ne pas donner à
notre corps ce qu’il réclame. Eh bien oui, je l’avoue, que
dis-je, je le proclame, je me suis donné du plaisir Je ne vais pas
vous en dire plus, je vous sais assez experte en la matière pour
devinez comment. Par contre, depuis nos derniers échanges, je pense
avoir progressé et m’être rapprochée de votre expertise sur un
autre plan. Eh oui, ma chère, il n’est plus sur que vous méritiez
la préséance sur moi dans notre club des femmes fessées. Vous ne
l’aviez obtenue que parce qu’étant la seule dont le fondement
ait été flagellé autrement que par la dextre maritale. Vous ne
l’êtes plus ! Je connais depuis quelques jours moi aussi
cette autre dimension de la fessée. Celle procurée par les lanières
d’un bon vieux martinet bien de chez nous. Je vous le dit tout net,
et d’ailleurs vous le savez, la douleur est sans commune mesure
avec celle d’une fessée classique. Même si, je dois le dire, mon
mari, toujours attentif, a veillé à n’user qu’avec mesure de
cet instrument aussi nouveau pour lui que pour moi. Et pourtant, je
vous l’avoue, je suis presque fière de vous avoir en quelque sorte
rejoint. Et chaque fois, et c’est de plus en plus souvent, que mon
mari s’occupe ainsi de mon postérieur, je me demande si je
m’approche de ce que vous connaissez, et aussi de ce que votre
jolie amie connaît. Mais mon Dieu, faut-il croire que toutes les
épouses sont ainsi traitées par leurs maris ? Ou bien est-ce
que celles qui le sont ont une sorte de sixième sens pour se
reconnaître entre elles ? J’ai repensé longuement à ce qu’a
eu à subir votre jeune amie lors de la soirée chez leurs amis. Bien
sur que d’être ainsi mise à nue devant autrui doit être une
épreuve. Et pourtant, si elle vous la raconte avec tant de facilité,
n’est-ce pas qu’elle y a trouvé aussi autre chose que de la
souffrance et de la honte ? Après tout ne m’avez-vous pas
écrit qu’il vous est arrivé de « la » recevoir à
l’hôtel et de vous demander si d’autres n’en avaient pas
entendu le bruit ? A ce moment là, qu’avez-vous ressenti ?
N’y-a-t-il pas une parcelle de vous qui aimerait que d’autres
sachent que vous la recevez ? Ne vous offusquez pas de ces
questions, ma toute douce, si je vous les pose vous comprenez bien
que c’est d’abord à moi-même que je le fais. Je ne peux me le
cacher, vous décrire les fessées que je prends ne m’est pas
indifférent. Pour le dire plus crument, cela me met les sens en feu.
Et vous savez comment je tente d’éteindre cet incendie ! Et,
tout en n‘étant certainement pas prête, comme vous ne l’êtes
pas non plus, à « passer à l’acte » comme vous dite,
je ne peux pas nier que l’idée d’être ainsi fessée devant
témoin a été pour moi une source de rêveries éveillées et fort
motivantes pour ma sensualité. A ce propos, l’invitation chez la
belle Lucie et son mari a-t-elle été confirmée ? Si elle
l’est y répondrez vous ? Préviendrez-vous votre mari des
habitudes de ce couple ? A moins qu’il ne les connaisse déjà ?
Dois-je m’attendre à lire bientôt sous votre plume le récit de
la fessée de ma chère Caroline devant la belle Lucie ? Voilà
bien des questions auxquelles je vous somme de répondre par retour
du courrier, sous peine de mériter de « la »recevoir
chaque matin jusqu’à ce que vous vous soyez exécutée ! Mais
j’en reviens à ma « découverte ». Vous avouerez que
c’est curieux, mais depuis quelques mois maintenant, il me semble
que la passion de mon époux pour la partie charnue de mon individu
et sa manie de le porter à incandescence pour le moindre prétexte
se soit subitement accrue. Il m’arrive parfois de considérer que
le rythme hebdomadaire auquel vos fesses sont soumises à la main de
votre mari soit presque enviable, tant il devient courant que les
miennes le soient plusieurs fois dans la même semaine, et parfois à
fort peu de jours d’écart. A tel point qu’il est courant
qu’elles ne se soient pas encore totalement remises d’une tannée
quand il prend à mon cher tourmenteur l’envie de remettre le
couvert. Et si je ne vous cache pas que la peau a un peu de mal à
supporter une volée quand elle est encore marquée et fragilisée
par la précédente, je ne peux pas nier que le plaisir que prend mon
maître et seigneur à découvrir mon fondement encore marqué par
les traces de son œuvre me console largement des désagréments.
D’autant qu’il ne cache pas alors son admiration pour, si vous me
permettez de citer sans censure ses mots, « ce cul magnifique
qui ferait bander un mort » (sic) Et même si cette admiration
se paye en claques d’autant plus appuyées que leur cible rougeoie
plus que le soleil de l’épouse de Barbe Bleue, elle entraîne
aussi d’autres compensations que je vous laisse deviner. Pour
prendre mon mari au mot, même s’il n’est heureusement pas mort,
la vue de mon derrière ainsi décoré a bien la conséquence qu’il
prétend sur sa virilité. Après tout, peut-être est-ce le fait de
dialoguer avec vous à ce sujet qui m’a amené à mieux la
recevoir ? Ou bien mon cher mari lit-il dans mes pensées ?
En tout état de cause, la semaine dernière, après une fessée « à
faire pipi par terre » qui m’avait laissé le derrière
meurtri à tel point qu’il m’a été quasiment impossible de
dormir sur le dos de toute la nuit qui a suivie, mon cher mari s’est
plaint, sans rire … d’avoir mal à la main ! Et comme je ne
compatissais pas assez à la souffrance de ce pauvre petit homme, il
m’a lancé : « nous aurions vraiment bien besoin d’un
martinet tu sais ». Phrase laissée sans réponse, et qui n’en
demandait d’ailleurs pas. Phrase qui n’était pas tombée dans
l’oreille d’une sourde, vous le pensez bien. Mais phrase sans
suite le lendemain, ni les jours suivants. Et donc phrase oubliée.
Jusqu’à avant –hier, alors que mon cher mari m’accompagnait en
ville pour faire de courses. Alors que nous passions devant le
magasin « Au bonheur de Madame » (je vous promets que je
n’invente pas, c’est bel et bien le nom de ce magasin qui tient à
la fois de la droguerie et du marchand de vaisselle) il m’a invité,
comme si cela allait de soi : « Tiens, entres donc, je
suis sur qu’ils en vendent » Et comme je marquais mon
incompréhension il a précisé, sans même baisser la voix alors que
nous étions sur le trottoir assez chargé de promeneurs, « Eh
bien des martinets bien sur !. Tu vas en acheter un, je te
laisse le choix s’ils ont plusieurs modèles. Je t’attends au
Café du Prince, nous prendrons le thé avant de rentrer » Bien
sur j’ai tenté de le dissuader, non pas tant par refus de l’idée
qu’il s’équipe ainsi, d’une certaine manière j’y étais
prête, mais par la perspective de devoir entrer seule et faire une
telle acquisition. Mais j’ai compris que cela faisait partie du
« jeu » pour lui. Il ne l’a d’ailleurs pas caché,
continuant à m’expliquer, toujours à haute voix pour m’empêcher
de faire durer l’explication « puisque c’est sur toi qu’il
va servir, ma chérie, il est juste que cela toi qui l’achète
non ? Et puis, une bonne épouse n’a-t-elle pas toujours envie
d’offrir à son petit mari le cadeau dont il a envie ? Surtout
si elle sait que ne pas obéir à une telle demande aurait des
conséquences sur … » Il n’a pas eu besoin de terminer,
j’avais tellement peur qu’on l’entende que je me suis
précipitée dans le magasin. Je vous le disais, recevoir le martinet
a été pour moi une vraie épreuve. Une épreuve initiatique
peut-être, mais une épreuve quand – même. Mais aussi douloureuse
ait-elle été, et je sais que vous savez ce que « douloureuse »
veut dire en l’occurrence, je pense sincèrement que le recevoir a
été moins difficile que de l’acheter ! Je vous campe la
scène, et vous vous imaginez votre Caroline déboulant dans ce
magasin encombré d’ustensiles ménagers les plus divers, des
balais de crin aux plus belles assiettes en porcelaine. Et Caro de
déambuler à travers les rayons, le nez en l’air, affectant celle
qui se balade sans but précis. Et soudain, au détour du rayon
« animalerie » (je vous promets encore une fois que je ne
mets pas, c’est à cote des paniers pour chiens et des caisses pour
transporter les chats que je « les » ai trouvé) je tombe
nez à nez (si tant est qu’un martinet ait un nez ?) avec un
véritable bouquet de martinets. Oui, un bouquet. Une bonne dizaine
de ces objets étaient en effet regroupés et suspendus à un
crochet. Je m’approche, l’air de rien, faisant mine d’être
dort passionnée par les jouets pour chiots. Distraitement j’approche
la main, et je touche la chevelure de cuir. Dois-je l’avouer, ce
contact me donne la chair de poule. Du bout des doigts je palpe ces
longues lanières, tellement lisses d’un coté, et rugueuses de
l’autre. Un frisson glisse de ma nuque jusqu’au bas de ma colonne
vertébrale. Je sens que mon cœur bat plus vite. Je sais que je suis
déjà rouge. Et pourtant, en même temps, je sais déjà que je vais
le faire, que je vais l’acheter. Je sais déjà que je vais sortir
avec cet instrument. Non pas tant parce qu’il me l’a ordonné,
parce qu’il le veut, mais parce que je le veux ! Je le sens
jusqu’au plus secret de moi-même, il me faut cet objet. Je le
veux. J’en ai besoin. Mais auparavant il me reste la vraie épreuve.
M’approcher du comptoir où trône une grosse dame, la
cinquantaine, cheveux ramassé en un chignon très sage, et une
poitrine opulente généreusement offerte aux yeux des amateurs.
<br />
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"></span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « Bonjour
Madame, je voudrais ….euh vous avez des … ». Décidément
le mot ne veut pas sortir. J’indique de la main la direction du
rayon en question mais je bredouille tant que la vendeuse finit par
m’interrompre : <br />
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"></span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « Vous
cherchez quoi, madame ? je peux vous aider ? »
<br />
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"></span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « Euh..oui..je
voulais voir un …enfin un ..Là-bas … » <br />
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"></span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « un
martinet ? Mais bien sur ! » Mon Dieu pourquoi
parle-t-elle aussi fort ? J’ai l’impression que sa voix
emplit le magasin, où déambulent d’autres clients. Veut-elle
vraiment que toute la clientèle sache que la petite madame vient
acheter un martinet ? Et pourquoi pas le crier tant qu’elle y
est : « mesdames, messieurs, cette jeune dame vient
acheter un martinet qu va lui cingler le cul bientôt ! »
Le rouge aux joues, j’acquiesce de la tête. La patronne sort de
derrière son comptoir et se dirige vers le rayon concerné. Elle se
saisit d’une sorte de perche dotée d’un crochet en use
habilement, comme pour décrocher un régime de bananes d’un arbre.
Et la voilà qui étale la dizaine de martinets sur le dessus d’un
rayon. Tous pareils, manche en bois d’une trentaine de centimètres,
lanières de cuir de longueur comparable. Mais en même temps tous
différents, ou presque. Des manches en bois blancs, d’autres
colorés, bleus, jaunes, verts… Des lanières noires, brillantes
d’un coté, d’autres fauves, d’autres beige clair. Et la
matrone de demander, toujours d’une voix de stentor :
<br />
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"></span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « lequel
vous ferais plaisir, ma petite dame ? » Me ferais
plaisir ! mais elle le fait exprès ? J’ouvre la bouche
et n’en sort qu’un vague borborygme. <br />
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"></span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « Humme..ben…je
ne sais pas … » Puis comme je ne vais quand même pas
attendre qu’elle me propose un essayage, j’indique à la vendeuse
l’un des objets, au hasard. Manche jaune tirant sur le vert,
lanières bordeaux. Que m’importe la couleur de la chose, je ne
l’achète pas pour le regarder ni pour l’exposer, et celui qui va
l’utiliser non plus. Posément, la vendeuse raccroche le bouquet,
puis se dirige vers la caisse en demandant, presque à la cantonade,
tout en agitant l’objet quasiment au dessus de sa tête, comme s’il
importait que tous les acheteurs et tous les vendeurs u magasin
soient bien informés que « la petite dame » a acheté un
martinet : <br />
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"></span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « je
vous mets un sachet ? » Ben non, je vais sortir en le
tenant à bout de bars, comme un sac à main ! Bien sur que tu
me le mets dans un sac en papier ! Dans une sorte de brouillard,
je paye, j’attrape le sac, je le fourre sous mon bras et je me
dirige vers la sortie, accompagnée d’un tonitruant : <br />
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"></span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « au
revoir, madame, à bientôt j’espère ! » Penses-t-elle
que je vais l’user aussi vite qu’il me faudra le remplacer, ou
que je commence une collection ? Me voilà dans la rue,
attentive à ce que le dit sachet se fasse aussi discret que
possible, comme si celles et ceux qui me croisent pouvaient deviner
son contenu. Quelques minutes après je retrouve mon mari attable
devant un demi de bière. Avant même de me laisser commander mon thé
et mon gâteau, il tend la main pour se saisir du sac. Il aura
l’élégance de ne pas sortir l’objet, mais seulement d’ouvrir
le sachet et, tout sourire de me dire : <br />
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><span lang="fr-FR"></span></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> « Il
est très joli. On va rentre vite, j’ai hâte de l’essayer. »
Il a eu l’élégance de ne pas ajouter « toi aussi ? »
Mais c’était implicite. Et comme vous pouvez le deviner, moins
d’une heure plus tard, les fesses de votre Caro faisaient
connaissance avec la chevelure de l’objet. Mon Dieu quelle
rencontre ! Mais, si vous le permettez, je vous la raconterais
plus tard, pour l’heure il me faut terminer cette lettre, mon mari
m’attends, et il ne serait pas prudent pour mes fesses de le faire
patienter plus longtemps. Dans l’état où elles se trouvent
quarante huit heures après l’inauguration de « Marcel »
(c’est ainsi que mon facétieux de mari a décidé de l’appeler !)
elles ont besoin d’encore quelques jours de repos, je suis sure que
vous le comprendrez. Sachez juste que votre Caro est très fière
d’être, comme vous, une femme qui connait cet autre monde :
celui du martinet.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
vous remercie de me l’avoir indirectement fait découvrir, et je
vous embrasse</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Caroline.
</span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="left" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1890_579450151"></a>Chapitre
10 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de Mme A </b>
</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Dans
une lettre précédente, Anne – Charlotte a raconté à son amie
Caroline comment son autre amie, Lucie avait reçue une fessée de
son mari en présence de deux autres couples. De son coté, Caroline
découvre de nouvelles étapes dans sa vie de femme fessée. Ainsi,
sur consigne de son mari, elle a acheté un martinet. Elle l’a
raconté à son amie qui, de son coté, continue à rencontrer Lucie
qui poursuit son récit, que Anne Charlotte retranscrit à Caroline.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle, </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
n’ai pas besoin de vous dire combien je suis heureuse que, vous
aussi, ayez franchi ce pas ! Heureuse pour vous, bien sur.
Heureuse que vous connaissiez ce sentiment si particulier. Faut-il
plutôt dire ces sensations si particulières ? Avoir la peau
des fesses flagellée par le martinet, c’est en effet, vous l’avez
constaté, des sensations physiques différentes de celles d’une
fessée manuelle. Même si, au total, une bonne et longue fessée à
la main peut faire aussi mal que quelques coups de martinet, la
douleur est d’une autre nature. Autant la main chauffe toute la
surface des fesses de manière presque uniforme, autant les lanières
donnent l’impression que la peau du cul est en quelque sorte
déchiquetée, labourée, hachée menue. Mais ce n’est peut-être
pas là l’essentiel. Il me semble, vous me direz si vous partagez
ce sentiment, que la différence tient surtout à la relation entre
la personne fessée et celui qui la fesse. En passant de la fessée
manuelle, allongée le plus souvent sur les genoux du mari, au
martinet, reçu souvent debout, penchée sur le dossier d’un siège
ou sur un meuble, il m’a semblé passer d’un statut enfantin à
une position d’adulte. Dans la fessée manuelle, on peut en quelque
sorte « jouer » à être redevenue une petite fille, et
ce « jeu » n’est pas pour rien dans le plaisir qui
accompagne les cris et les pleurs. Mais quand on reçoit le martinet
comme je l’ai reçu de mon homme, on ne peut plus (se) mentir.
C’est bien une femme, adulte, raisonnable, majeure, qui est ramenée
à la position d’une femme aux fesses nues et offertes, piaillant
sous les coups d’un martinet. Ce n’est plus un derrière
enfantin, un popotin, un « cucu » qui est fessé. C’est
le derrière mur, large, affirmé, d’une femme tout aussi mure qui
est cinglé par les lanières. Ce ne sont plus des pleurs d’enfants.
Ce sont les cris d’une femme adulte. On ne peut plus (se) le
cacher, on est une femme fessée, cinglée, meurtrie, et qui,
puisqu’elle se laisse faire, et même fait en sorte de l’être,
aime cela. Il me semble bien qu’en allant vous-même faire
l’acquisition de votre martinet, vous vous êtres bel et bien mise
dans cette position. Non plus celle d’une femme qu’un homme fesse
presque par surprise, mais bien celle d’une femme qui, d’une
certaine manière, revendique d’être fessée. Vous comprendrez
qu’il me tarde de lire le récit de votre découverte de ces
sensations. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">De
mon coté c’est avec plaisir que je m’en vais vous faire partager
la suite des confidences de ma jeune amie. Vous vous souvenez que
lors de la soirée lors de laquelle elle et l’épouse chez qui son
mari et elle dînaient avec un troisième couple avaient été
fessées, la troisième femme avait lancée une invitation chez elle
en ajoutant, quelque peu énigmatique qu’elle « ne serait
pas en reste. » Et vous allez vois qu’elle a honoré sa
promesse. En effet, moins de trois semaines plus tard, son mari et
elle ont été invités en même temps que le couple chez qui Lucie
avait reçu sa première fessée en public. Bien entendu, les mots de
l’épouse qui recevait ce soir là n’étaient pas tombés dans
l’oreille d’une sourde, et Lucie s’était arrangée dans les
jours qui avaient suivis cette soirée mémorable pour revoir la dame
qui avait partagée son sort et l’interroger sur leur consœur.
Éliane, puisque c’était là son prénom, l’avait reçue fort
gentiment, et lui avait dit très franchement que pour elle aussi,
cela avait été la première fois qu’elle était fessée autrement
que dans l’intimité de son couple. En ajoutant que le fait que
Lucie l’ait été la première avait, finalement, rendu la chose
plus facile à supporter. Elle avait même avoué à Lucie que quand
elle l’avait vue allongée sur les genoux de son mari, les fesses
rougissantes sous ses mains, et avant que son propre mari ait décidé
de faire la même chose pour elle, elle s’était imaginée dans la
même position. D’une certaine manière, elle n’avait pas
vraiment été étonnée de la demande de son mari et elle ajouta
qu’il lui aurait paru déloyal à l’égard de sa jeune invitée
de la laisser affronter seule cette épreuve. D’ailleurs,
ajoutait-elle la troisième épouse, Juliette, avait du ressentir la
même chose, puisqu’elle avait laissé échapper ce qui pouvait
apparaître comme une promesse : « je ne serais pas en
reste ». Éliane et elle étaient amies depuis plusieurs
années, sans que leur amitié les ait vraiment amenées à une
intimité du même ordre que celle qui unissait Anne Charlotte et
Caroline. Du reste, précisait Éliane, mon amie ne lui avait jamais
fait de confidences sur sa vie intime. Et bien entendu elle n’en
avait pas faite non plus sur la sienne. Elle ne s’était jamais
posé la question de savoir comment le mari de son ami réglait les
querelles conjugales. Pas plus qu’elle n’avait eu l’occasion de
faire savoir à son amie que son mari lui rougissait assez
régulièrement les fesses. Pour autant, elle avait cru de son devoir
d’appeler celle-ci au téléphone le lendemain même de cette
mémorable soirée. Pour lui dire d’abord que, malgré cet épisode
dont elle ne niait pas l’importance à ses yeux (mutine elle avait
précisé « et pas seulement à mes yeux, si vous voyez ce que
je veux dire ! ») la soirée avait été fort agréable.
Mais aussi pour lui dire, avant même qu’elle n’ait expliqué le
sens de ses mots, « qu’en aucun cas elle n’était obligée
à rien » et que « ce qui était arrivé à la jeune
Lucie et à moi, même en la présence de votre mari et de vous-même,
ne concerne que nous et nos maris ». Ce à quoi Juliette avait
répondue qu’elle l’entendait bien ainsi mais que contrairement
à ce que semblait croire Éliane, elle n’était pas tout à fait
ignorante des pratiques dont elle et leur jeune amie avaient été
les victimes lors de cette soirée. « Eh oui, ma bonne amie,
mon mari pratique avec moi, ou plutôt sur moi, à peu prés de la
même manière que les vôtres. Et pour tout vous dire, dés que le
mari de cette jeune et belle écervelée s’est mis à lui faire
entendre raison de manière claquante, j’ai su qu’il m’arriverait
à coup sur la même chose le soir même. Je ne pouvais ignorer que
la scène à laquelle il venait d’assister lui aurait donné des
idées à mon endroit, ou plutôt à mon envers !. Pourtant, je
lui ai été reconnaissante de ne pas évoquer la possibilité de
suivre l’exemple des deux autres hommes présents. Visiblement, il
ne voulait rien brusquer, rien m’imposer. Et c’est justement
parce qu’il m’a laissé libre que j’ai décidé, dans
l’instant, que je vous devais de vous permettre d’assister à ce
à quoi j’avais, moi assisté. Quand nous nous sommes retrouvé
dans la voiture, en sortant de chez vous, mon mari m’a bien sur
interrogé sur ce que j’avais voulu dire par « je ne serais
pas en reste » et je lui ai répondu sans barguigner que, moi
aussi, j’étais capable de me montrer obéissante. Et comme il
faisait semblant de ne pas comprendre, je l’ai même taquiné sur
le mode « puisque tu as pu admirer les postérieurs de ces
dames, ne serait-il pas juste que leurs maris puissent faire de même
avec celles de ton épouse mon cher ? » Insolence qui,
bien entendu, lui a donné le motif rêvé pour m’en coller une
sévère dés notre retour à la maison, non sans la conclure en
disant « puisque c’est ton choix, ma chère, je retarderais
la prochaine jusqu’à ce que nos amis répondent à notre
invitation » Juliette avait ajouté que c’était la phrase
d’Éliane sur « la grandeur » qu’il y avait à être
fessée par l’homme qu’on aime qui l’avait décidé à s’y
soumettre elle aussi. Son mari et elle avaient donc organisé cette
nouvelle réunion entre amis et, dés l’apéritif, c’est lui qui
avait annoncé que son épouse ayant « commis quelques
bêtises » durant la quinzaine de jours écoulés depuis la
précédente soirée, elle serait punie au dessert. Éliane s’était
alors permis de remarquer que cela lui semblait bien sévère de
laisser la maîtresse de maison servir le repas avec « une épée
de Damoclés » au dessus de la tête. Le mari en avait convenu
et, son épouse acquiesçant, elle avait reçu sa fessée séance
tenante et, selon les mots de son mari « comme nous pratiquons
d’habitude » L’épouse s’était alors placée derrière
un des fauteuils du salon, elle avait remonté sa longue robe jusqu’à
la taille, découvrant une petite culotte ivoire que son mari avait
descendue jusqu’à ses chevilles. Il s’était alors excusé dans
un sourire « d’avoir les mains fragiles » tout en
retirant sa ceinture qu’il avait plié en deux avant de cingler à
douze reprises les fesses de son épouse. A chaque coup, celle-ci se
redressait un instant, comme un cheval qui se cabre, en étouffant un
« umpf » guttural avant de reprendre la position. Les
deux femmes se mordaient les lèvres, ressentant presque physiquement
la brûlure du cuir sur leurs propres fesses. Celles de Juliette
étaient marquées, zébrées de longues traces rouges qui viraient
déjà au violacé alors que la fessée n’était pas terminée.
Sans se retourner, l’épouse avait alors remonté sa culotte,
esquivant une grimace de douleur quand elle était venu frotter les
fesses tuméfiées, puis avait repris son service en remarquant
seulement : « vous m’excuserez de ne pas m’asseoir
avec vous tout de suite, n’est ce pas ? » La soirée
s était alors poursuivie sans que personne ne fasse plus la
moindre allusion à la manière dont elle avait commencée. Sauf au
moment du départ, quand le mari d’Éliane avait proposé de « nous
revoir tous et toutes bientôt » tandis que celui de Lucie
ajoutait « et si nos chères épouses le veulent bien, nous
mettront tous nos comptes à jour » Personne ne s’étant
récrié, la chose fut ainsi convenue. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Vous
avouerai-je, ma tendre amie, que depuis que Lucie m’a fait ce récit
je ne cesse de me demander si, d’une certaine manière, je ne
l’envie pas.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
vous, imaginez vous votre tendre popotin traité ainsi devant
d’autres que votre cher et tendre époux ?</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre
troublée</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.</i></span></span></div>
<div align="left" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div align="left" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1892_579450151"></a>Chapitre
11 : <br />
Lettre de Mme A à son amie Mme De V**
</h1>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Dans
un courrier précédent (voir Correspondance n° 9) Caroline a
raconté à son amie d’enfance comment, sur décision de son mari,
elle avait du faire l’acquisition d’un martinet. Elle revient sur
le sujet dans une nouvelle lettre, en réponse à celle où Anne –
Charlotte lui a retranscrit le récit des fessées reçues par son
amie Lucie et une autre dame lors de soirées chez elles, en se
demandant comment elle vivrait une expérience pareille. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
très chère ;</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Vous
vous doutez, j’en suis sur, de la gourmandise avec laquelle j’ai
lu, que dis-je j’ai dégusté, votre dernière lettre. Vraiment,
vous avez du flair et de la méthode pour susciter les confidences,
ma très chère ! Mais dites moi, pensez vous qu’il existe
autour de nous … des femmes, je, veux dire des épouses, qui ne la
reçoivent pas ? Vous, la belle Lucie, la digne Eliane et même
Juliette …. Mais oui, notre association devient une structure de
masse si on ose dire ! Mais finalement aussi que d’expériences
différentes. Bien sur que « la » recevoir autrement que
dans l’intimité du couple change tout ! Peut-être plus
encore que le passage de la main maritale aux lanières du martinet.
Et bien sur qu’on ne peut imaginer ces épouses troussées devant
d’autres couples sans s’imaginer au moins furtivement à leur
place, ce qui ne veux pas dire qu’on soit prête à passer à
l’acte. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">A
propos de martinet, puisque le mot vient sous ma plume, je n’ai pu
que vous conter l’achat de la chose, une vraie épreuve, croyez
moi, sans vous conter son utilisation. Or vous vous doutez bien que
ce n’est pas pour en faire un élément de décoration de notre
intérieur que mon époux m’a fait faire cet achat. Comme vous vous
seriez doutée qu’il a tenu absolument à l’étrenner dés notre
retour à la maison. Je lui dois cette vérité qu’il n’a pas
cherché un vain prétexte ou inventé un motif de circonstances. Il
s’est contenté de me regarder avec de regard de loup qui me
trouble toujours autant en disant : « Tu t’en es bien
tirée, ma chérie, c’est un bel achat, nous allons l’essayer
tout de suite ». Je n’ai ni essayé de retarder ce que je
savais inéluctable, ni tenté de le faire changer d’avis, ni même
voulu argumenter sur l’absence de motif, sachant fort bien que mes
tentatives en auraient constituées un parfait. C’est donc sans
barguigner que j’ai suivi mon maître et seigneur dans la chambre
conjugale. Et c’est de moi-même que j’ai posée la question :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> -Comment
dois-je me mettre ? </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">A
laquelle il répondit sans hésiter, et avec cette pointe de
vulgarité qui elle aussi m’émeut parfois chez lui :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> A
poil et sur le lit.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
m’était déjà arrivé, bien sur, de recevoir une fessée dans la
tenue d’Eve, mais c’était parce que j’étais déjà ainsi
quand l’envie prenait à Monsieur. Il lui arrive assez souvent de
me demander de me mettre ainsi toute nue, et j’avoue être assez
fière du plaisir visible – vous savez bien comment on mesure ces
choses chez nos époux – qu’il prend à me regarder ainsi avant
de me rendre hommage autrement qu’avec ses yeux. Mais c’était la
première fois qu’il me voulait ainsi pour me tanner la peau des
fesses. J’ai bien sur obtempéré et je n’ai pas voulu jouer les
ingénues plus longtemps en lui demandant comment il convenait de
m’installer sur le lit, la position à plat ventre étant à
l’évidence ce qu’il attendait de moi. Pas tout à fait cependant
puisque, avant d’entrer en action il me demanda – mais le verbe
« demander » est-il celui qui convient en la
circonstance ? – de « présenter mes fesses mieux que
cela » Je me suis donc retrouvée agenouillée, la tête dans
les mains, les coudes sur le lit, et le popotin en effet saillant et
provoquant. J’avais fermé les yeux, mais il n’était pas
nécessaire que je le vois pour savoir qu’il avait pris en main
l’objet dont nous venions de faire l’acquisition. Je me préparais
à en subir les morsures, en repensant à ce que vous m’en aviez
dit, ce qui contribuait à la fois à me terroriser et à souhaiter
qu’il passe à l’action sans plus tarder. Mais alors que
j’essayais en quelque sorte d’imaginer la douleur que ces langues
de cuir allaient faire naître sur ma peau tendre, alors que je
cherchais à anticiper la déchirure, c’est au contraire une sorte
de douce caresse qui est venue me chatouiller la peau des épaules
avant de descendre le long de mon dos. Bien loin de la brûlure à
laquelle je tentais de me préparer, c’était comme si des dizaines
de doigts effleuraient la peau de mon dos. Comme si des serpents de
douceur se lovaient sur mes épaules, puis se glissaient doucement,
lentement, sensuellement le long de ma colonne vertébrale. Je
sentais que tout mon dos se hérissait de chair de poule, de même
que mes bras alors même que la chevelure caressante ne les avait pas
touchés. D’un instrument de punition, mon mari avait fait un outil
de douceur, de plaisir, de bonheur. Les lanières frôlaient mon dos,
jusqu’aux reins, puis remontaient, infiniment lentement, Elles
roulaient sur ma nuque, s’égaraient de nouveau sur mes épaules,
s’immisçaient sous mes aisselles, se mêlaient à mes cheveux.
Puis elles reprenaient leur lent voyage entre mes omoplates,
déviaient sur mes flancs, sur mes hanches. Je ronronnais de plaisir,
j’écartais les bras pour que les langues de plaisir puissent
caresser mieux encore. Puis, elles s’étalèrent sur mes fesses,
toujours aussi douces, toujours aussi caressantes, toujours aussi
délicates. Elles qui auraient du les flageller, les frapper, les
cingler, voilà qu’au contraire elles les câlinaient, les
dorlotaient, les sublimaient. Inconsciemment je tendais les fesses
vers ces dispensatrices de douceur. Ce faisant mes deux hémisphères
s’écartaient, ouvrant largement la raie fessière, impudiquement.
Alors ces coquines caressantes s’y glissaient, s’y inséraient.
J’accentuais la position pour les écarter plus encore, pour
qu’elles pénètrent plus profondément. Elles allaient et venaient
dans la vallée profonde. Elles titillaient mon petit trou, et je
haletais de plaisir. Elles coulissaient sur toute la longueur de ma
raie, et je feulais de bonheur. Elles feignaient de s’approcher de
ma chatte que je sentais ouverte, ruisselante, mais au dernier moment
elles changeaient de direction, et je grondais de dépit. Elles
visitaient alors mes cuisses, leur intérieur si tendre, le pli de
mes genoux, mes chevilles, jusqu’à venir chatouiller délicatement
la plante des pieds. J’écartais les doigts de pieds pour qu’elles
s’y emmêlent. Et la pérégrination voluptueuse reprenait. La
caresse délicieuse remontait, centimètre après centimètre.
J’écartais les cuisses autant que ma position me le permettait
dans l’espoir qu’enfin elles viennent déposer leurs baisers
délicats sur mon sexe impatient. Doucement j’incitais mon tendre
tourmenteur à les laisser aller là où mon plaisir les demandait
tellement. « Oui…vas-y.. ;oui…s’il te plaît..plus
haut.. ; »Mais il me faisait encore languir, encore
espérer, encore supplier. La chevelure infernale reprenait ses
errements. Mes flancs, mes reins, mes fesses, mon dos, mes cuisses….
Et soudain, l’explosion. Un arc électrique me traversait le corps.
Un cri rauque montait à mes lèvres. Mon corps se tendait comme un
arc. Les lanières étaient venues frotter sur ma chatte, griffant
délicatement mes lèvres et surtout titillant presque violemment mon
petit bouton. Un summum de plaisir, mieux qu’une langue – et
pourtant mon Dieu que j’aime cette caresse au nom sentant le latin
de cuisine – mieux qu’un sexe qui pénètre. Mieux même que le
plaisir que l’on se donne à soi-même. Mon clitoris semblait être
devenu énorme, monstrueux. Ma chatte semblait vouloir avaler ces
lanières diaboliques. Mon bouton irradiait dans tout mon corps. Je
jouissais comme jamais je n’avais jouis. J’hurlais presque :
« ouiii ! vas-y ! fort ! plus fort ! »
Alors, lancées à toute volée, les lanières du martinet
s’abattirent sur mes globes. Déchirement. Douleur. Ou plaisir ?
Ou les deux ? Ou au-delà ? Mes cris étaient-ils de
plaisir, de jouissance, ou de douleur ? Je n’étais plus en
mesure de distinguer les uns des autres. Mon orgasme gigantesque se
mêlait intiment avec une douleur dépassant tout ce que les fessées
les plus sévères m’avaient fait connaître. Et tandis que les
lanières continuaient à me lacérer les fesses je continuais à
crier mes « oui…. Plus fort !! » et je m’abattait
dans un sanglot tout en tremblant de plaisir. Et quand mon bourreau
d’amour, après avoir arrêté le ballet infernal des lanières,
saisi à pleines mains mes fesses déchiquetées pour les écarter
plus encore et y glisser sa queue, quand celle-ci s’introduisit
dans mon anus dilaté mais si sensible, quand il m’a ainsi enculée,
bourrée empli le cul de sa bite turgescente, alors que la douleur de
cette pénétration brutale, violente, sauvage, est venue se
superposer à celle qui me déchirait les fesses qu’il malaxait
tout en me baisant le petit trou, c’est à vous que j’ai pensé,
ma chère. Comment pourrai-je jamais vous remercier de ce moment
d’extase ?</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre
Caroline, épuisée de douleur, et de plaisir, à jamais
reconnaissante que vous l’ayez amenée à ce nouveau continent du
plaisir.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1894_579450151"></a>Chapitre
12 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de Mme A </b>
</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Anne
Charlotte a reçu une lettre dans laquelle son amie d’enfance
Caroline, qui a pourtant découvert les vertus de la fessée
conjugale bien après elle, lui fait le récit brûlant de sa
découverte du martinet. Elle lui répond sans tarder, d’autant
qu’elle tient à l’entretenir de ce qu’elle a découvert
concernant Juliette …</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle, ma toute belle,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
pensais naïvement être votre initiatrice, voilà que je me retrouve
votre élève. Ou plutôt, si vous avez été un moment mon élève
en matière de découverte de cette zone grise entre le plaisir et la
souffrance, l’élève a dépassée la maîtresse. Vous imaginez
vous dans quel état m’a mise la lecture de votre si impudique
confession ? Moi qui pensait vous faire découvrir les secrets
de la correction au martinet, moi qui vous développait les arcanes
de cette souffrance troublante, voilà que je découvre que votre
tourmenteur a su faire de cet instrument de punition si cruel un
instrument de plaisir ! Vous avouerai-je que j’ai été
jalouse de vous, ma chérie ? Mesurez vous la chance qui est la
votre d’avoir un mari qui sache ainsi manier cet instrument ?
Je vous avoue qu’en lisant votre témoignage, j’en ai eu les
larmes aux yeux. Ainsi il est des hommes, que dis-je des maris,
capable de porter leur épouse aussi loin dans le chemin du plaisir ?
Dieu sait que je n’ai pas à me plaindre de mon époux, toujours
attentif à chercher à donner à sa femme ce qu’elle peut espérer
de son homme. Dieu sait aussi combien je lui suis reconnaissant de
m’avoir fait découvrir que l’on pouvait à la fois crier de
douleur, avoir les fesses à vif, et atteindre un degré de plaisir
jusque là inconnu. Mais, à l’évidence, votre mari est un expert
en la matière. Oui, en un mot comme en mille, ma chérie, je vous
envie ! Et, mais je suis sur que vous vous en seriez doutée, je
n’ai pas pu résister à chercher à tester les capacités cachés
de ce martinet que je pensais vous avoir fait découvrir. Il faut
dire que la chance était avec moi, lorsque j’ai pris connaissance
de votre lettre, j’étais seule pour la journée, mon maître et
seigneur ayant à faire à l’extérieur. Bien sur, à la première
lecture, et presque sans l’avoir vraiment voulu, ma main s’était
crispée sur mon pubis, d’abord au travers de ma robe, puis
directement dans la culotte. J’ai ainsi accompagné votre récit de
caresses intimes de plus en plus appuyées, jusqu’à me retrouver
avec deux doigts enfoncées dans mon intimité, et à jouir à la
minute où je lisais votre propre explosion sauvage quand, enfin, les
lanières venaient parachever le si délicieux prélude au plaisir.
Mais je n’étais pas satisfaite. Vos mots m’avaient tant
échauffés le sens qu’il m’en fallait plus. Alors, presque
hagarde, j’ai couru dans la chambre nuptiale, et j’ai été
cherché l’instrument. Mon mari le range dans un des tiroirs de son
meuble, juste caché par quelques revues innocentes au cas où la
femme de ménage l’ouvrirait. Il lui arrive de m’imposer d’aller
le chercher et de le lui présenter, bien à plat sur mes deux mains,
comme une offrande. Je dois alors baisser les yeux, et tendre les
mains avec dessus le martinet que je lui tends, comme si je lui
demandais de s’en servir. Mais là, pour la première fois,
j’ouvrais ce tiroir hors de sa présence. J’avais bien le
sentiment de braver un interdit, un peu comme la pauvre épouse de
Barbe Bleue quand elle ouvre la porte interdite. Mais rien n’aurait
pu m’arrêter. J’avais un besoin physique de toucher ce manche un
peu rêche et ces lanières qui vous avaient fait tant jouir. En
vous écrivant ces mots, j’ai encore dans les narines, l’odeur si
caractéristique du bureau de mon mari. En ouvrant ce tiroir, c’est
celle du tabac pour la pipe mélangée à la fragrance du cuir qui
m’a sautée au visage. J’ai pris l’objet en main, comme s’il
s’agissait d’un trophée, d’une œuvre d’art, d’un
talisman. J’en caressais le bois du manche, un peu rugueux, de la
paume de la main. Puis j’ai porté la chevelure de cuir à mes
narines. J’ai eu une crispation au niveau de mon sexe, il m’a
semblait que ces lanières sentaient le sperme, la mouille, la
jouissance. J’y ai enfoncé mon nez comme je le fais dans les poils
pubiens de mon homme avant de le sucer. J’y retrouvais les mêmes
odeurs, chaudes, sensuelles, animales. Puis je me suis enfuie du
bureau, courant à travers la maison pour me réfugier dans ma
chambre. J’étais véritablement hors de moi-même. Sans même
l’avoir explicitement décidé, j’ai arraché mes vêtements plus
que je ne me suis déshabillée. En un tour de main j’étais nue,
toute nue, à poil. Et je tenais toujours le martinet entre mes
mains. Je l’ai serré contre ma poitrine, entre mes seins. Le bout
du manche à portée de ma bouche, les lanières pendant sur mon
ventre. Je me sus mise à sucer le petit renflement à l’extrémité
du manche, comme je l’aurais fait d’un gland. J’étais trop
excitée, mes jambes flageolaient. J’allais m’écrouler. Je suis
tombée à genoux sur le parquet, les cuisses écartées. Le sexe
offert, indécente, obscène. J’abordais le paradis. Les fines
bandes de cuirs reposaient juste sur ma chatte entrouverte. Ce fut
comme n contact électrique. J’avais en même temps la vision de
votre corps parcourus par les mêmes bandes de cuir maniées par
votre mari. Comme il l’a fait pour vous, j’ai retardé le moment
où elles iraient tétaniser mon bouton. J’ai fait coulisser la
chevelure de cuir sur mes cuisses, sur mon ventre, sur mes hanches,
sur mes flancs. Je sentais physiquement la chair de poule qui
accompagnait les pérégrinations de cet instrument diabolique. Vos
mots dictaient mes actes. J’étais vous. J’ai fait remonter les
lanières jusqu’à mes seins. Oh mon Dieu, quel secousse quand
elles sont venues caresser mes tétons ardents ! J’ai
jouis une première fois, rien que par le contact entre les pointes
de mes seins et ce cuir un peu âpre. Je me suis laissé tomber sur
le dos, arquée, les jambes repliées sous mes fesses, les cuisses
écartelées. Alors, lentement, j’ai fait redescendre les lanières.
Entre mes seins, sur mon ventre, jusqu’aux abords de mon minou. Je
prenais le temps, je retardais l’instant que pourtant je désirais
tant. J’ai fait tourner la chevelure autour de mon sexe. Les
langues de cuir se mêlaient à ma touffe. Allaient musarder sur mes
cuisses, sur mes hanches. Puis, infiniment lentement, je les ai fait
se lover sur mes lèvres ouvertes. Se glisser dans la fente béante.
Entrer en moi. Caresser mon bouton qui me semblait être devenu
énorme. Je ne pouvais plus ralentir, contrôler, attendre. J’ai
fait ressortir les lanières, puis les ai faite retourner une
nouvelle fois sur ce sexe béant, gourmand, affamé. Un cri. Une
explosion. Le paradis. Encore. Plus vite. Plus fort. Les langues de
cuir fauve entrent et sortent de ma chatte de plus en plus vite. Je
me cambre au maximum. Mes fesses quittent le sol, mon derrière est
maintenant à quelques centimètre du sol. Dans cette position les
lanières du martinet se glissent jusqu’aux abords de mon petit
trou. Je force la position et maintenant je sens la divine caresse
dans mon anus. Je serre un peu les fesses, pour mieux sentir le
glissement. Du bas de ma colonne vertébrale, tout le long de la raie
des fesses, dans le petit trou, puis tout le long de me fente,
jusqu’au clitoris. C’était divin, tout simplement divin. Alors
j’ai accéléré la cadence. Lançant les lanières chaque fois un
peu plus vite, un peu plus fort. Ce n’était plus la caresse,
c’était des flagellations. Oui, ma chérie, je me fouettais la
chatte. Cet endroit de toute les douceurs, ce nid de tendresse, cet
écrin de délicatesse, voilà que je le flagellais à grand coups.
Je m’appliquais le martinet. Sur les fesses tendues bien sur, mais
surtout en visant la partie la plus sensible de moi-même. Ma chatte,
mon trou du cul. Faut-il appeler douleur cette brûlure au-delà de
tout ? Non. Jouissance ultime. Explosion de bonheur. Déchirure
suprême. Je sentais mon sexe bailler, s’ouvrir et se fermer
convulsivement. Tenter de se protéger, et en même temps s’écarteler
pour être mieux cinglé. C’était comme si mon corps était ouvert
en son milieu. Je ne peux vous dire combien d’orgasmes m’ont
submergé. J’ai le sentiment d’une tornade de jouissance, d’un
tsunami de plaisir sauvage. Je sais que j’ai crié, hurlé. Tout
mon corps était tétanisé. J’abattais les lanières à toue
volée, ravageant ma chatte, meurtrissant les chairs, déchirant la
muqueuse. C’était comme si mon cul était pénétré par un fer
rouge. Insupportable. Mais tellement bon ! Quand, enfin, j’ai
ramené la chevelure diabolique sur mon visage, elle était poisseuse
de ma mouille, odorante, chaude, dégoulinante. La déchirure de mon
intimité était si douloureuse que je me suis recroquevillée, les
genoux au menton. Et là, roulée en boule, je sentais la boule de
feu du plaisir reprendre don cheminement en moi. Il fallait que je
jouisse encore, je devais encore jouir. J’ai approché le manche du
martinet de ma chatte ruisselante. Il s’y est enfoncé comme dans
une motte de beurre. Cette tige de bois dur est venue ravager un sexe
endolori, ultra sensible, mis au vif. Une faux me sciais le sexe,
m’ouvrait le ventre, me déchirait les entrailles. Et pourtant je
la poussais, plus fort, plus loin. Et la déchirure fut encore plus
violente quand j’ai fais sortir le manche gluant. Je l’ai porté
à l’orée de mon cul. Juste au bord du trou. Comme mon mari le
fait quand il se prépare à m’enculer et qu’il veut que je sente
son dard congestionné et énorme sur ma rondelle avant de la forcer.
Alors, de toutes mes forces, j’ai fais pénétrer le manche au fond
de mon cul. Je me suis écroulée, au bord de l’évanouissement, à
plat ventre, le corps secoué de soubresauts. Je sais que le martinet
était resté planté au fond de moi. Je le sentais dans mon
fondement. Et je jouissais, encore et encore …Et j’ai crié votre
nom, ma chérie. Vous m’aviez fait jouir. Vous, mon amie de
toujours. Vous, ma sœur en jouissance. Comment pourrai-je jamais
vous remercier de cette découverte ? Deux jours après j’ai
encore le sexe et le cul irrité, sensibles, ravagés. Je suis
heureuse que mon mari ne revienne que dans cinq jours, je n’aurais
pas pu lui cacher l’état de son terrain de jeu. Je ne sais surtout
pas si j’aurais supporté qu’il me fasse l’amour. Il n’aurait
pas pu ne pas voir les marques de la flagellation sur mes fesses et à
l’intérieur de mes cuisses. Aurai-je supporté la moindre fessée
sans m’évanouir de douleur ? Je ne sais pas. Mais je sais
qu’il suffit que j’effleure ma chatte ou ma raie pour repartir,
immédiatement, dans un orgasme qui explose au fond de moi. Et pour
penser à vous.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Vous
vous en douteriez, même si je ne vous l’avouais pas, ma chérie,
écrire ces lignes a entraîné les conséquences que vous imaginez
sur mes sens. Je sens que mon intimité s’est couverte de rosée,
comme je sens les points de mes seins réclamer leur du de caresses.
J’ai résisté jusqu’à la dernière ligne de ce courrier que je
vous devais en remerciement de ces moments d’extase. Mais vous me
savez faible. Je vais donc me laisser aller une fois encore à la
dépravation. Une fois encre à cause de vous ! Mais peut-être
y-a-t-il une justice immanente ? Et peut-être serez vous
prochainement punie de m’avoir ainsi poussée sur le chemin du
vice ? C’est en tout cas tout le mal – et tout le bien –
que je vous souhaite. Certaine que, la prochaine fois que vos fesses
seront flagellées, vous penserez que c’est, aussi, pour vous punir
– ou pour vous remercier – d’avoir poussé votre tendre amie à
de telles extrémités. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse comme je me donne le plaisir que je vous souhaite.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre
reconnaissante</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A.C.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">PS
Je reprends la plume après cet intermède ma foi bien agréable, en
m’apercevant qu’emportée par mon récit, j’ai oublié de vous
dire que, depuis ma dernière lettre, j’ai rencontré cette fameuse
Juliette don mon amie rapporté les propos. Il est trop tard pour que
je vous en fasse récit aujourd’hui, cela sera donc pour la
prochaine fois…</span></span></div>
<div align="left" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1896_579450151"></a>Chapitre
13 :<br />
Lettre de Mme A à son amie Mme De V**
</h1>
<div class="western" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0.49cm; margin-top: 0.49cm;">
<span style="font-family: Calibri, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">Alors
qu’elle lit la lettre par laquelle son amie, Mme De V** lui raconte
comment elle s’est donné du plaisir avec un martinet, Caroline se
laisse aller à exposer ses secrets intimes à Anne Charlotte. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
finis à l’instant de lire votre dernière lettre, et il me faut
vous répondre sur deux points sans tarder. Oui, comme vous
l’espériez et me le souhaitiez, le martinet a repris du service.
Et à ce rythme je crains même qu’il ne durera pas autant que les
contributions comme dit mon cher – et en l’occurrence pas si
tendre – mari. Mais comme ce vénérable instrument a été utilisé
avant que je ne lise votre confession ardente, je n’ai pas pu en
atténuer les morsures en pensant à la belle image de mon amie se
donnant à elle-même du plaisir avec le même instrument qui me tire
les larmes. Ce sera donc pour la prochaine fois, puisque prochaine
fois il y aura, aucun doute là-dessus, mon mari a appris très
vite, vous allez le voir et visiblement a prit goût à la chose. Et
oui aussi, la lecture de vos épîtres a le même effet sur mes sens
que les miennes sur les vôtres. Et pour être sure de pouvoir vous
écrire sans que ma main ne tremble, j’ai fait le choix de procéder
d’abord aux soins que mon corps réclamait avant d’en venir aux
choses de l’esprit. Ou, si vous préférez un langage plus direct
et moins littéraire, je me suis branlée d’importance avant de
prendre la plume. « Prendre son pied, prendre la plume »
le même verbe, et pourtant …. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Comme
j’étais encore en tenue de nuit quand j’ai découvert la petite
enveloppe mauve dans mon courrier, je n’ai pas eu comme vous à
glisser la main dans ma culotte pour accompagner la lecture, puisque
de culotte il n’y en avait pas ! J’ai donc accompagné la
lecture de vos mots – et quels mots – d’une douce et prudente
caresse d’un abricot encore chaud de la nuit, et encore un peu
marqué par la visite de la virilité de mon époux la veille au
soir. Et comme je n’avais pas encore procédé à ma toilette,
c’est un minou encore un peu irrité mais aussi encore moite qui a
reçu la douce caresse de la pulpe de mes doigt. Et dés que j’ai
eu relevé ma nuisette pour faciliter l’accès à l’endroit
convoité, la fragrance qui m’est montée au nez aurait suffit à
me rappeler la visite vespérale de mon époux si je l’avais
oubliée. Je dois avouer que les lendemains de ces visites maritales,
il me plaît assez de retarder le moment où l’eau et le savon
viendront faire disparaître cette odeur chaude et si particulière
de mon intimité quand s’y ajoute cette touche musquée qu’y
apporte la liqueur déposée dans le vase par l’Homme. Avez-vous
remarquée vous aussi ce parfum à nul autre pareil, ma chère ?
Pour moi, c’est un peu « l’odeur de l’amour » Il me
semble qu’il y à là une réminiscence de celle de la paille
chaude, pour ne pas dire, plus vulgairement, de l’étable. Il
m’arrive d’y porter le doigt pour le plaisir d’humer plus
directement ce mélange de mes senteurs intimes avec celles qui
proviennent de mon cher mari. J’aime aussi goûter ce nectar du
bout de la langue, y retrouvant probablement un peu le même plaisir
trouble sinon ambiguë que celui que mon amant éprouve quand il
m’embrasse à pleine bouche, et à pleine langue, après qu’il
ait jouit dans ma bouche. Même si, en épouse obéissante et pour
tout dire amatrice, je m’efforce d’avaler ce cadeau, je sais
qu’il reste dans ma bouche le goût du sperme, et que mon mari
retrouve ainsi dans sa propre bouche le goût de ce qu’il a fait
gicler dans la mienne. Pour en finir sur ce point (mais je m’égare,
vous savez à quel point je suis bavarde) il m’est arrivé, quand
mon mari m’a fait quelques cajoleries « aux heures
ouvrables » d’éviter absolument de passer par la salle de
bain avant de sortir. Je peux ainsi, à l’occasion, retrouver
discrètement cette senteur de serre chaude. Je peux aussi sentir la
moiteur du miel en moi. Et le jour où mon mari, particulièrement en
forme et amoureux, m’a fait l’amour en rentrant d’une soirée à
laquelle je m’étais rendue sans me laver alors qu’il m’avait
renversé sur un fauteuil juste avant de partir, j’ai eu brièvement
le flash d’être une fille perdue, une catin, qui se fait prendre
alors que la jouissance du client précédent est encore en elle. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Mais,
vous vous en douteriez, je ne me suis pas contenté de l’olfactif
ou même du gustatif. La lecture de vos exploits solitaires imposait
que j’en passe par le sens du toucher. Encore l’ai-je fait
d’abord avec précaution et mesure, à la fois pour pouvoir rester
en éveil à ma lecture et pour ménager un terrain quelque peu
sensible. Il faut dire que la veille au soir, celui qui règne sur
cette partie de mon individu s’était quelque peu conduit en
hussard. Peut-être est ce parce que nous n’avions pas connu de
moments d’intimité depuis cinq ou six jours, peut-être avait-il
abusé de nourritures échauffantes, peut-être étais-je
particulièrement désirable ce soir là. En tout cas dés les
premières manœuvres d’approche de sa part, j’ai pu constater,
de visu d’abord puis de manière plus manuelle, que sa virilité
était particulièrement flamboyante. Avant même que je n’y ai
posé ni main ni bouche, j’étais confrontée à une queue noueuse,
violacée, turgescente et d’où un gland rouge vif semblait
impatient de surgir. M’autoriseriez-vous, ma chère, sans en rien
« faire l’article » à vous avouer combien je trouve
cette queue émouvante quand elle est ainsi bandée, dressée, fière
et conquérante ? Vous le savez, je n’ai pas véritablement
d’éléments de comparaison pour juger de la qualité de l’organe
de mon homme. Ce que j’en ai lu ici ou là me permet seulement de
savoir que du point de vue strictement quantitatif, elle est plutôt
dans la catégorie des grandes tailles. Je soupçonne du reste mon
mari d’en être très conscient et assez fier, quand il se tient
debout, les mains aux hanches, le corps un peu penché en arrière,
pour faire mieux sortir ce bâton noueux qui lui monte jusqu’à
hauteur du nombril et dont la verticalité permet de découvrir la
majesté. Surmontée de son gland arrondi, souvent déjà à demi
découvert quand il me la présente, elle est parcourue au dos par un
bourrelet violet qui descend jusqu’aux couilles. Tandis que l’autre
face laisse voir une grosse veine bleuâtre et tout un réseau de
minuscules veines dessinant comme une carte de géographie à la
surface de la peau brune. En dessous le sac est gonflé comme une
bourse de riche de deux belles prunes, celle de gauche s’épanouissant
plus que celle de droite. Le tout sur un fond de buisson de poils
noirs et frisés du plus bel effet. Une belle bite, pour parler bref.
Et même une grosse bite. Il m’est arrivé de lire que certaines
femmes, peut-être pour rassurer leurs maris peu dotés, affirment
que « la taille ne fait rien à l’affaire ». Il m’est
arrivé d’entendre des galéjades d’hommes entre eux affirmant
avec humour, qu’il vaut mieux « une petite courageuse qu’une
grande fainéante » Peut-être. Mais je serais pour ma part
plutôt encline à croire ces femmes qui avouent leur bonheur de se
sentir « remplies » au moment fatidique. En tout cas, et
avec toujours le manque d’expérience permettant de comparer, il me
semble que je n’aurais pas les mêmes sensations si la chose qui me
pénètre était de plus petite dimension. Mais, comme le disaient
nos maîtres quand nous étions écolières, « la perfection
n’est pas de ce monde » ou, plus prosaïquement, « toute
médaille à son revers ». En l’occurrence, quand Monsieur
tient à ce que ma bouche soit le havre où s’épanouira cette
tige turgescente, il arrive que son diamètre me cause de véritables
crampes à la mâchoire. Et comme si j’interromps mon service alors
que son bénéficiaire en attend encore du bonheur se sont mes fesses
qui paieront pour cette insolence, il me faut parfois choisir entre
la souffrance au derrière et la douleur à la mâchoire. Et que dire
quand, emporté par l’enthousiasme qui me revit, mon homme pousse à
la fois son avantage et sa bite dans ma bouche, si ce n’est que je
suis à la limite de l’étouffement ? Mais, hier soir, ce
n’est pas à mon orifice buccal qu’en voulait mon époux. A vrai
dire il avait visiblement envie de la chose la plus simple, mais la
plus immédiate. Autrement dit, je n’ai même pas eu le temps
d’entamer quelque préliminaire que se soit, pas même d’humecter
la chose de ma salive pour faciliter l’introduction qui devait
suivre, que déjà il me voulait retournée et offerte, et qu’il
profitait du cadeau. Et c’est donc un vase encore sec, sans la
moindre préparation, qui du supporter l’intromission directe et
brutale d’une tige dure et qui m’a paru encore plus volumineuse
qu’à l’ordinaire. D’un geste il m’avait placée comme il
l’entendait : agenouillée sur le lit, les fesses bien hautes,
l’orifice bien présenté au pieu qui allait le pénétrer. Tout
juste mon cher époux a-t-il eu le temps de me gratifier d’un
laudatif « Ha ! j’aime ton cul comme ça tu sais ? »
qu’il m’avait déjà saisi aux hanches et qu’une barre à mine
fourrageait mon intimité, se frayait un passage de force, et venait
buter tout au fond. J’en ai eu le souffle coupé, mais avant que
j’aie pu lui faire savoir que son entrée me semblait un peu trop
violente que déjà le soc s’était reculé… pour mieux sauter si
je puis dire. Je ne sais s’il me faut choisir l’allégorie du
laboureur faisant pénétrer toujours plus profond sa charrue dans le
sillon, ou celle du bûcheron accompagnant de grands « han »
ces coups de cognée, en l’occurrence de reins. Mais j’avais le
sentiment d’être plus dans un jeu de foire ou dans un tonneau au
milieu d’un océan déchaîné que dans un lit. Bien entendu, avec
une telle fougue, le canon ne tarda pas à envoyer son boulet, et un
grand cri de jouissance suivi d’un profond soupir de contentement
me fit savoir que mon seigneur et maître avait atteint le plaisir.
Quand à moi, il n’en était hélas rien. La chose s’était faite
trop vite pour que j’en ressentisse les bienfaits. Pas contre je ne
puis pas dire qu’elle ait été sans sensation. En effet, et cela
explique pourquoi je dois prendre aujourd’hui des précautions
avant de me laisser aller aux plaisirs solitaires, les coups de
boutoir du mandrin marital ont au sens propre du terme commotionnés
mon abricot. Un peu comme si on l’avait visité avec un manche à
balais. Je n’ai bien sur pas eu l’outrecuidance et la grossièreté
de m’en plaindre. Mais mon mari a assez de délicatesse, même si
en la matière il n’en avait pas fait la preuve, pour comprendre
que sa précipitation même m’avait privée de la part à laquelle
j’avais droit. Il ne s’en est pas excusé, cela aurait été
inconvenant. Il s’est contenté de murmuré, et cela m’a fait
fondre « tu n’as qu’à ne pas avoir un cul aussi affolant,
ma chérie » Et pour me prouver à quel point c’était vrai,
et ayant retrouvé sa vigueur avec une rapidité que je ne m’explique
pas encore, il entreprit sans barguigner de visiter avec à peine
plus de précaution le second orifice que ma position, que je n’avais
pas quittée, mettait à sa disposition. Tout juste eut-il la
patience d’attendre que je détendisse les défenses de ce second
trou, laissant sa queue juste posée sur la rondelle, sans la forcer.
Et comme il a eu la bonne idée de porter le doigt sur mon petit
bouton, je ne tardais pas à m’ouvrir et à laisser son sexe
prendre position dans mes arrières comme il l’avait fait dans mon
devant. Fort heureusement, le second assaut fit naître cette
explosion qui nous est due dans ces circonstances. Si l’étui était
plus étroit encore – la nature est ainsi faite – il était aussi
plus préparé à ce qui allait lui arriver, et paradoxalement j’ai
eu moins le sentiment d’un passage forcé lors de la pénétration
dans ce couloir étroit que lors de la première visite. Ou peut-être
est-ce aussi la sensation d’un conduit que l’on force qui
participa à l’arrivée de la vague de bonheur ? Peut-être
aussi la force de la caresse des doigts sur mon clitoris n’y
a-t-elle pas été pour rien. Mais elle a eu aussi comme conséquence
de me ravager une seconde fois la foufoune. Sensation agréable cette
fois, certes, mais qui laissa quand même mon bonbon irrité et à
vif. Ceci pour vous expliquer que j’ai fait le choix
d’effleurements ce matin plutôt que de pénétration. Il n’en
reste pas moins qu’ils furent fort agréables, et m’amenèrent à
un honnête plaisir. Je ne vous en dirais pas plus, d’abord parce
que j’ai déjà été bien trop longue et ensuite parce que je ne
vous dirais plus rien … tant que vous ne m’aurais pas gratifié
d’une longue lettre pour me dire tout ce que vous savez sur cette
Juliette qui me semble ne pas manquer d’intérêts. Pour ma part je
vous narrerais la prochaine fois comment mon cher mari a repris la
main sur le martinet… mais cette fois en l’utilisant dans sa
fonction première, celle de punir plus que de faire jouir…</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">A
bientôt donc ma douce</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Caro </i></span></span></div>
<div align="right" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1898_579450151"></a>Chapitre
14 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de Mme A </b>
</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
En
répétant à son amie Caroline ce que son autre amie, Lucie, lui a
raconté de la fessée qu’elle a reçue en compagnie d’une autre
femme lors d’une soirée, Anne Charlotte a fait aussi allusion à
Juliette de F* qui avait d’elle-même pris l’initiative de
convier les deux femmes précédemment punies et leurs époux chez
elle pour qu’elle la reçoive à son tour. Dans une précédente
lettre (cf Correspondance n° 12) elle a indiqué à Caroline qu’elle
avait elle-même rencontrée Juliette.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
jolie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
sais, je suis coupable d’avoir fait naître la curiosité chez vous
sans la satisfaire tout de suite. La prochaine fois que mon mari me
tannera le cuir des fesses, je vous dédierais la punition, je la
recevrais en paiement de ma faute, c’est promis. Mais, franchement,
ma précédente lettre était déjà fort longue, et il ne faut
abuser de rien. Comme je vous l’écrivais alors, ce n’est plus à
travers les confidences de Lucie que je découvre la fameuse Juliette
de F* mais bel et bien en direct. Je ne vais pas vous lasser avec le
récit des circonstances dans lesquelles nous nous sommes
rencontrées, il vous suffit de savoir qu’elle savait fort bien, en
me recevant, qui j’étais, et ce que je savais d’elle et de notre
amie commune. Du reste elle a mis les choses au point dés le début
de notre entrevue :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ainsi, madame, vous êtes amie avec cette charmante et tellement
ingénue Lucie ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais oui, j’ai ce plaisir, et je trouve que l’adjectif charmante
lui va vraiment comme un gant.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Et celui d’ingénue ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Ingénue, je ne saurais dire. Peut-être naïve ? En tout cas
d’un naturel et d’une franchise vraiment attendrissante.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ah certainement ! Je ne pense pas que sa naïveté soit feinte.
Elle se raconte sans fard, sans rien cacher. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais elle le fait avec un tel naturel qu’il n’y a rien de gênant
à cela me semble-t-il.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Certainement. Même si parfois elle a quelque peu tendance à
dévoiler aussi l’intimité de ses amies …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous voulez dire que …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ho ne vous sentez pas mal à l’aise madame, il n’y a pas de quoi
fouetter un chat …si j’ose dire (rire franc)</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
le terme est en effet tout à fait celui qui convient !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Je vous avoue que j’ai essayé de dire à notre charmante Lucie
qu’elle devrait être parfois plus discrète. Mais, à vrai dire,
je ne suis pas vraiment fâchée qu’elle vous ait dévoilée ainsi
les petites habitudes de notre couple. Dés lors que j’ai cru
comprendre que ce sont aussi les vôtres. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
(hésitante) Euh.. enfin …Je veux dire …Lucie vous a dit ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette
(souriante) Hé oui ma chère. Elle n’a pas été plus discrète
pour vous que pour moi ! Comme vous le disiez, c’est tout son
charme. Mais ne vous alarmez pas, je ne suis pas, moi, du genre à
répéter les choses à tout va. N’ayez crainte, votre petit
secret, si secret il y a, restera entre nous… Je veux dire entre
vous, moi …et Lucie !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Un secret … je ne sais pas… Il est vrai qu’il n’est pas
habituel de parler de ces choses, mais notre ingénue le fait avec un
tel naturel que je n’ai pas cru devoir entendre ses confidences si
troublantes sans m’ouvrir à elle avec la même franchise.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
C’est bien ce que j’avais compris. Et finalement, vous avez
réagit comme moi, en considérant qu’il vous fallait en quelque
sorte être aussi transparente à l’égard de notre jeune amie
qu’elle l’avait été avec vous.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Eh bien oui, je pense qu’en effet je me suis sentie en quelque
sorte obligée de ne rien lui cacher, dés lors qu’elle-même …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Je vous comprends d’autant mieux que j’ai fait de même … sauf
que pour moi cela ne s’est pas limité à des mots !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Comment …ah oui, excusez moi, je comprends. Vous voulez dire que
vous vous êtes sentie en quelque sorte obligée de subir ce qu’elle
avait endurée ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Obligée, je ne dirais pas cela. Après tout ni moi ni mon mari
n’étions pour rien dans le fait que la jolie Lucie soit déculottée
par son époux, même si l’un et l’autre avions apprécié le
spectacle de son joli postérieur rougit par la dextre maritale. Et
ce n’est pas non plus de notre fait si notre hôte avait en quelque
sorte proposé à son épouse d’y passer elle aussi. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Si j’en crois ce que m’a raconté notre amie ce sont même les
mots d’Éliane qui vous a amené à ..</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oui, c’est vrai. J’ai trouvé Éliane très digne. Je sais
qu’elle n’avait jamais été fessée autrement que dans la
stricte intimité de leur couple. D’ailleurs, comme vous le dite,
son mari ne lui a pas vraiment imposé d’être punie devant nous,
il lui a suggéré. Et sa femme s’est alors levée, un peu pâle,
et a dit, en regardant notre petite Lucie qui reniflait encore un peu
que c’était pour elle qu’elle acceptait, en ajoutant ces mots
qui, en effet m’ont touché : « il y a de la grandeur à
être fessée par l’homme qu’on aime »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Et vous avez pensé alors vous aussi « passer à la casserole »
sur le champ ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, pas vraiment. Je savais bien sur que la vision de ces deux
derrières fessés n’avait pas pu laisser mon mari insensible.
J’avais bien compris qu’il avait déjà fantasmé sur l’idée
de me la flanquer en public, cela m’était d’ailleurs presque
déjà arrivé, mais je savais aussi que jamais il ne m’aurait mis
en situation ni de d’accepter contrainte et forcée, ni de le
ridiculiser en étant la seule à refuser.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Cela vous était « presque » arrivé dites – vous ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oui, je sais, on ne peut pas être « presque » fessée en
public … on l’est ou on ne l’est pas ! Mais je veux dire
par là qu’à plusieurs reprises mon cher mari avait décidé de me
claquer les fesses dans des circonstances où d’autres pouvaient
sinon voir tout au moins entendre …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Ah mon dieu mais que tout ces hommes se ressemblent !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Comment cela ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Eh bien …le mien aussi a eu bien souvent la main qui le démangeait
quand, « comme par hasard » il y avait d’autres
oreilles pour entendre le bruit si caractéristique …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Vraiment, cela vous est arrivé aussi ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Oh oui … pour ma plus grande honte parfois, et oserai-je dire aussi
pour mon plus grand trouble ? Il nous arrive, mon époux et
mois, de voyager et de loger à l’hôtel, où parfois les cloisons
entre les chambres sont tout sauf épaisses. Et j’ai tout lieu de
penser qu’il est arrivé à plusieurs reprises que les occupants
des chambres voisines n’aient rien ignoré de ce que la dame de la
chambre d’à coté subissait. Certes, je m’efforçais de rester
aussi stoïque que possible et de ne laisser échapper ni cri ni
râle, mais les rafales de la paume maritale sur la peau de mon
revers ne pouvaient pas ne pas être entendues du voisinage. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette
(souriant) : Eh bien en effet, ma chère, nos maris ont
visiblement des habitudes communes, et nous des hontes, mais, je
confirme, des troubles, communs ! Pour tout vous dire, c’est
d’ailleurs parce que, lors d’un séjour à Paris, je protestais
du bruit occasionné par une séance un peu rude que mon cher mari me
laissa le choix, continuer ainsi à informer le voisinage de mon
infortune ou faire, selon ses mots « moins de bruit » en
remplaçant sa main par ce qu’il avait sous elle…</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. : « Sous
elle » … ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
En l’occurrence la ceinture de cuir fauve qui retenait son
pantalon !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Et vous avez donc, de vous même, choisi d’être flagellée ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Eh oui …A l’époque il me semblait moins cruel d’avoir le
fondement meurtri à coup de ceinture que d’entendre, dans le
silence de cet après-midi si calme, le bruit des claques résonner
dans les couloirs déserts. Il faut dire qu’alors, je n’avais pas
l’expérience de ce qu’une lanière de cuir peut faire sur la
peau tendre de notre fondement !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Pour ma part, mon mari n’a jamais utilisé ce genre d’instrument
… mais il a très vite exigé que nous fassions l’acquisition de
l’instrument que mes fesses avaient connus dans mon enfance …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Ah … votre mari est donc adepte du martinet enfantin ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Eh oui … vous avez du, vous aussi en subir les morsures ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, jamais. Il faut vous dire que, jusqu’à mon mariage, jamais
mes fesses n’avaient été fustigées. Cela a d’ailleurs bien
fait rire mon époux quand il a appris que, enfant, je n’avais
jamais été fessée. Et il me semble qu’il s’est donné la
mission de rattraper le temps perdu ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Et donc il vous a fait découvrir la meurtrissure de la ceinture dans
cet hôtel ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Tout à fait. Il me semble que c’était hier ! Quand je lui ai
demandé d’arrêter parce que j’avais trop honte du bruit il m’a
mis le marché en main : « tu sais bien que je
n’arrêterais pas en cours de route. Mais si tu me le demande, je
veux bien remplacer ma main par ma ceinture, mais je te préviens,
elle sera plus silencieuse, mais je ne suis pas sur que tu ne le
regrette pas » Et il m’a donc fallu lui demander
« explicitement » selon ses termes. Et pour que je
choisisse « en connaissance de cause » il m’a précisé
que si je faisais ce choix, et comme j’étais « novice »
ce serait « une douzaine »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Il voulait dire douze coups de ceinture ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Exactement. J’ai donc du, toute honte bue, lui demander à voix
haute « une douzaine sur les fesses, s’il vous plaît,
monsieur » J’ai alors du me relever, me mettre nue alors que
jusque là il n’avait fait que relever ma robe et baisser ma
culotte, et me tenir debout, juste les mains appuyées sur le rebord
de la fenêtre. Je me souviens que je voyais la Sacré Cœur
par-dessus les toits de Paris pendant que les douze coups me
lacéraient le derrière.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais au moins êtes vous parvenue à ne pas crier ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Oui, mais à quel prix ! Je me suis mordu les lèvres au sang,
mais en effet pas un bruit ne m’a échappé. A tel point qu’après
mon mari, devenu tendre, m’a félicité en ajoutant « Désormais
j’épargnerais mes mains, ma chérie … » Et depuis il est
en effet très rare qu’il me punisse autrement que par cette
fameuse ceinture qu’il a appelé par jeu, et je ne sais pourquoi
« la Simone » </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
(en riant) Encore un point commun, le mien appelle le martinet
« Marcel » !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette
(riant elle aussi) Et « Marcel » vous accompagne donc
dans vos déplacements ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Oui, bien souvent ! Mais cela n’empêche pas mon mari de
préférer parfois la traditionnelle fessée manuelle et bruyante.
Surtout quand il pense – et moi avec – que des voisins ou le
personnel de l’hôtel peuvent entendre. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Et vous pensez que c’est parfois le cas ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Hélas oui ! J’en suis même sûre ! Une fois, à peine
ma fessée terminée, nous avons même entendu, sans aucun doute
possible, qu’une autre fessée était administrée dans la chambre
voisine !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Vraiment ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Tout à fait ! Alors que mon mari était devenu tendre et que
nous en étions à des jeux un peu moins douloureux, et même
franchement agréables, nous avons entendu la pétarade tout à fait
caractéristique d’une fessée crépitante. Laquelle a du reste
donné à mon mari une nouvelle vigueur ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Et vous avez pu savoir qui en était la victime ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Tout à fait ! Le jour de notre départ, j’ai pris l’ascenseur
avec une dame, plutôt bon chic bon genre, qui au moment où je la
saluais en ajoutant « peut-être à une autre fois ? »
puisque nous fréquentons régulièrement cet hôtel quand nous
séjournons à Paris, a répliqué avec un charmant sourire :
« j’espère bien que non, votre mari donne trop d’idée au
mien ! » Et comme, sur le moment, je ne comprenais pas ce
qu’elle voulait dire, elle a ajouté en tapotant sans équivoque
son derrière « j’ai encore du mal à m’asseoir, pas
vous ? » </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Cela a du être un moment de complicité rare !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Certainement ! Et curieusement, j’ai trouvé moins pénible le
fait de savoir que cette dame connaissais mon infortune que de
devoir, comme c’est généralement le cas, affronter les regards
lors du repas du soir ou lors du petit-déjeuner sans savoir qui « a
entendu »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Je vous comprends tout à fait. Mais en même temps, je dois avouer
qu’il est extrêmement troublant dans ces circonstances, de voir
les autres convives et de se demander, en effet, « qui ».
Et puis, soyons franche ma chère, au fond, si nous nous laissons
ainsi traiter, ne croyez vous pas que, « quelque part »
comme dirait les psychanalystes, c’est parce que nous trouvons un
certain plaisir à cette idée que d’autres partagent ces moments ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous voulez dire qu’au fond de nous nous souhaiterions être …
vues dans ces moments là ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Peut-être pas explicitement, bien sur. Mais si je veux être honnête
avec moi-même, je suis bien obligée de reconnaître que, bien avant
cette fameuse soirée chez Éliane, je savais en quelque sorte que je
serais un jour confrontée à la même situation.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous le souhaitiez ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, bien sur … encore que, c’est peut-être plus compliqué que
cela … En tout cas, quand j’ai vu notre chère Lucie ainsi
fessée, puis quand j’ai compris que mon amie Éliane faisait le
choix de l’être elle aussi, j’ai su, immédiatement, qu’il me
faudrait en faire de même. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Et pourtant vous n’avez pas suivi l’exemple d’Éliane en
revendiquant de l’être sur le champ. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
Non, en effet. Mais peut-être est-ce surtout parce que mon mari n’en
a pas pris l’initiative. Je ne me voyais quand même pas le lui
demander ! </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais en glissant que « vous ne seriez pas en reste » vous
vous y engagiez pourtant de manière presque explicite.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
C’est vrai. D’ailleurs ni mes deux amies ni mon mari ne s’y
sont trompés. Bien sur il a fait semblant de ne pas avoir compris.
J’ai donc du lui dire clairement que j’étais prête, moi aussi,
à me montrer obéissante. Je dois dire qu’il a eu l’élégance
de ne pas faire mine de se faire prier. Nous avons donc décidé,
presque tout de suite, d’organiser ce repas chez nous. Je pense que
notre amie commune vous a expliqué que nous avions prévus,
peut-être en référence à ce que nous avions vécu chez Éliane,
que je franchirais le pas en fin de repas. Eh bien je peux vous dire
aussi que quand elle a en quelque sorte proposé à mon mari de
procéder à la chose dés l’apéritif, j’ai été presque
soulagée. Peut-être en quelque sorte l’attente était-elle plus
difficile à affronter que la chose elle- même.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
J’imagine cependant que ces instants ont du être difficile à
vivre. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette :
A vrai dire, dés l’instant où j’ai su que les dés étaient
jetés tout c’est passé comme si d’une certaine manière j’étais
moi-même spectatrice de ce qui arrivait. En tout cas, je peux vous
jurer que je n’ai pas vraiment eu honte. Pourtant, croyez moi si
vous voulez, je suis plutôt prude de nature. Et jamais je n’ai
imaginé un instant pratiquer le naturisme qui est parait-il à la
mode chez nos voisins d’outre Rhin. Mais là, il ne s’agissait
pas de me montrer nue, comprenez vous ? Il s’agissait d’être
fessée, et pour cela, eh bien il faut être cul nu, voilà tout !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
(en riant) Je ne suis pas sure de voir la différence ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Juliette (plantant
son regard gris dans les yeux d’Anne – Charlotte) : Je suis
sure que vous verrez très bien quand cela vous arrivera, ma chère.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Voilà,
ma toute belle. J’interromps là le récit de ce dialogue qui, vous
vous en doutez, ne m’a pas laissée insensible. J’avoue avoir été
très impressionnée par la force de caractère de Juliette, et sa
capacité à s’analyser sans rien se cacher à elle-même.
Obligeant ainsi l’autre – en l’occurrence moi – à faire de
même. Vous comprendrez que sa dernière phrase avec ce « quand
cela vous arrivera » m’ait longuement trottée dans la tête.
Elle a eu l’élégance de changer très vite de conversation,
m’évitant ainsi d’y revenir. Je n’ai donc eu ni à m’offusquer
d’un « jamais de la vie » ni à sembler attendre que
cela effectivement m’arrive. Et je vous avoue qu’aujourd’hui
encore je ne suis pas sure de mes sentiments. Être fessée devant
d’autres. Imaginez-vous cela ? En ai-je peur, ou, tout au fond
de moi, là où vous seule avez accès, en ai-je envie ? En tout
cas, pour reprendre les termes du début de cette lettre, la
prochaine fois que mon mari sévira à mon égard, je vous dédierais
d’autant plus ma fessée que je vais vous donner une autre raison
de me maudire, ou en tout cas d’attendre avec plus d’impatience
ma prochaine lettre. Mais vous savez que je ne vous l’écrirais que
quand, de votre coté, vous m’en aurez dit plus sur la manière
dont Monsieur votre mari use désormais de ce que le mien appelle
« son Marcel » Pour l’instant qu’il vous suffise de
savoir qu’avant que je la quitte, et alors que nous en revenions à
notre belle ingénue et son absence de discrétion, celle qui est
devenue maintenant mon amie a glissé en riant : « </span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>En
tout cas après la fessée que je lui ai flanqué pour lui apprendre
à ne pas parler à tort et à travers, peut-être sera-t-elle plus
discrète</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">A
très bientôt ma toute belle …</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Anne
Charlotte qui découvre chaque jour un peu plus ce continent qui lui
était inconnu.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1900_579450151"></a>Chapitre
15 : <br />
Lettre de Mme A à son amie Mme De V**
</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Caroline
a racontée à son amie comment son mari lui avait fait découvrir le
martinet comme un outil à donner du plaisir. Mais elle a aussi
laissé entendre qu’il l’utilisait dans sa fonction plus
traditionnelle, et elle s’en ouvre à son amie Anne-Charlotte qui,
de son coté, lui raconte par le menu les confidences de ses deux
nouvelles amies, Julie et Juliette qui, elles, ont découvert la
fessée hors du cadre du couple.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
belle perverse,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ainsi
vous osez encore jouer à exciter ma curiosité, après avoir excité
d’autres sentiments ! Et même conditionner vos récits qui me
mettent dans un tel état au fait que de mon coté je poursuive les
miens. Mais qui vous a jamais dit que j’envisageai de les cesser ?
Je pense que j’ai autant de plaisir à les écrire qu’à lire les
vôtres, ma belle. En tout cas je compte bien qu’à peine aurais
vous lu cette lettre, vous posterez la suite de la votre. Je suis
sure que vous l’avez déjà écrite et je meurs d’impatience de
découvrir ce que la si digne Juliette a fait vivre à l’écervelée
Julie !</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">A
propos « d’écervelée » c’est juste le mot qu’à
employé mon mari à mon égard. Je vous fais grâce de la raison
d’un tel qualificatif, qu’il vous suffise de savoir qu’il
n’était pas totalement immérité. Et en tout cas qu’il a
fournit à mon époux un excellent prétexte pour me faire découvrir
que le martinet n’est pas seulement l’outil de plaisir dont il
m’avait fait cadeau la première fois. Eh bien, comme vous le savez
je pense, le martinet est bien telle qu’est la langue selon notre
bon Ésope. Il peut être aussi insupportablement douloureux qu’il
sait être divinement délicieux. Cette fois encore c’est « à
poil », pour utiliser les mots de mon cher mari, que j’ai
dansé sous les lanières de cet instrument qu’il n’a pas encore
baptisé comme l’a fait le votre. Et quand je dis « dansé »
c’est bien le mot qui convient. Il m’avait été interdit de me
pencher sur un meuble ou même d’y appuyer les mains. L’ordre
était de rester, toute nue, debout, les mains sur la tête. Et il
m’avait été précisé d’entrée que chaque fois que mes mains
quitteraient ma tête, le coup ne compterait pas. Et pour que
j’intègre bien les règles de son jeu, il m’a laissé un long
moment ainsi, toute nue, mains sur la tête, frissonnante. Il a
lentement tourné autour de moi, un peu comme s’il voulait
découvrir son terrain de jeu, comme s’il ne le connaissait pas.
J’avais auparavant du déposer l’instrument dont il comptait bien
se servir sur la table du salon. Il s’en est emparé, il a fait
glisser les lanières sur sa paume, comme pour les tester, comme pour
vérifier leur velouté. Il m’a demandé ; presque tendrement
je vous assure : « prête, madame ? » et je me
suis entendu répondre, la voix quand même un peu voilée :
« oui, monsieur » Il a encore précisé : « vingt
coups, et je veux les entendre compter ». Puis, tout de suite,
le premier coup m’a déchiré les fesses. Vous le savez, elles ne
sont pas vierges de coups ni de meurtrissures. Et elles ne sont donc
pas douillettes. De plus, même si cela avait commencé par un moment
de pure douceur et de pur bonheur, ma première séance s’était
terminée par de grandes cinglades cruelles, et délicieuses.
Pourtant la douleur qui m’incendia les fesses m’arracha un cri
que je ne tentais même pas de ravaler. Immédiatement, sans même
que j’ai ai conscience, mes deux mains sont venues se plaquer sur
mes fesses meurtries et j’entamais une sorte de piétinement sur
place. Il ne disait rien, il se contentait de me regarder, les bras
croisés, avec cet insupportable sourire, mi railleur, mi pervers. Et
quand mes yeux rencontrèrent les siens, il se contenta d’un signe
négatif de la tête. Il savait que j’avais déjà compris. Sans
même qu’il eut à le répéter, j’ai remis mes mains sur la
tête, et je me suis redressée. Je n’avais reçu qu’un coup,
mais déjà les larmes me montaient aux yeux. De la même voix à la
fois calme, implacable et, une fois encore, presque tendre, il
reprit : « vingt coups, madame, et je vous écoute »
Et vlan, une nouvelle déchirure. Cette fois j’ai eu la présence
d’esprit de lancer « un !» et la force de laisser mes
mains où elles étaient, esquissant juste un piétinement sur place
puis reprenant ma position. Mais la voix me cueilli au creux de
l’estomac : « un, monsieur, s’il vous plaît madame »
Et il avait bien appuyé sur le « monsieur ». Une fois
encore j’avais compris et quand les lanières me lacérèrent une
nouvelles fois le derrière je ne cherchais pas à biaiser en
comptant « deux », je savais déjà que le coup précédant
ne compterait pas non plus. Alors, vaincue, j’articulais « un,
monsieur ». Je parvins à ne plus faire d’erreur, et c’est
donc au total par vingt deux fois que la chevelure de cuir s’abattit
sur ma peau. Des coups espacés, comme pour laisser le temps à la
victime de sentir la brûlure se diffuser. Puis, parfois, trois ou
quatre cinglées à la suite, en rafale. Et il me fallait pourtant
parvenir à crier presque « huit, monsieur, neuf, monsieur,
dix, monsieur ! » Mes doigts étaient croisés sur ma
tête, pour les empêcher de se séparer. A tel point que quand la
punition fut terminée, j’eus presque de la difficulté à baisser
mes mains. Je sautillais sur place, d’une jambe sur l’autre,
incapable de rester immobile. Je sais que mon comptage se mêlait à
mes piaillements. J’ai continué un moment mon piétinement, puis
j’ai demandé humblement : « je peux » ? Il a
compris et a hoché la tête, m’autorisant ainsi à me frotter
doucement les fesses pour atténuer la douleur. La suite fut, vous
vous en doutez, plus tendre. Et celui qui venait d’être mon
bourreau – le terme est à peine exagéré – su se montrer, je
l’avoue, le plus fougueux des amants. Il me fit même l’aveu
d’avoir beaucoup apprécié de me voir ainsi, nue et offerte,
sautillant sur place ce qui amenait mes seins à se balancer en
cadence. Et peut-être était-ce pour les remercier de leur ballet
érotique qu’il choisit de fourrer son sexe tendu entre eux, en les
agitant de telles manières qu’ils le branlaient jusqu’à ce que
plaisir s’en suive et qu’ils fussent largement arrosés d’une
crème de beauté épaisse et odorante. Il me pria – mais vous
savez qu’en ces circonstances prière vaut ordre – de « ne
pas me laver » avant de sortir. Et comme il était hors de
question que j’impose à mes pauvres fesses meurtries le frottement
d’une culotte, c’est littéralement « le cul nu » et
les seins maculés de traces blanchâtres que je suis sortie ce soir
là. Vous ne serez pas étonnée que mon mari fut fort attentionné
au cours de cette soirée, par ailleurs assez ennuyeuse, ni qu’à
notre retour il su comment se faire pardonner, s’il en était
besoin, de sa sévérité de l’après-midi. A propos de sévérité,
il me semble que vous avez encore quelques histoires dont vous avez
le secret avec la complicité de vos amies à me raconter …non ?<br />
Je
vous embrasse</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre</span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Caro</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1902_579450151"></a>Chapitre
16 :<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de Mme A </b>
</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Dans
une précédente lettre à son amie Caroline, Anne Charlotte a
reproduit, presque mot à mot, la conversation qu’elle a eu avec
Juliette à propos des habitudes de leurs maris réciproques. Cette
dernière lui a appris que leur amie commune, la belle Lucie avait
raconté que Caroline elle aussi recevait la fessée de son mari.
Elle poursuit aujourd’hui le récit des confidences de Juliette.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
toute belle,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">C’est
bien sur avec toujours le même plaisir que je lis le récit des
exploits de votre mari sur vos fesses. Et je vois que le bougre a
vite apprit en la matière. Visiblement, vous êtes tombée sur un
esthète de la chose, ma chère. Et vous comprendrez combien je sus
émue en vous imaginant nue, debout, les mains sur la tête, et
sautillant sur place à chaque fois que les lanières viennent vous
mordre le derrière. Pour tout vous dire, les pointes de mes seins se
durcissent quand j’imagine comment votre belle poitrine doit
balancer quand vous dansez ainsi. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mais
je ne serais pas en reste vis-à-vis de vous, ma belle. Comme vous
l’écrivez, j’ai en effet une suite à apporter aux confidences
de mon amie Juliette. Mais cette fois il ne s’agit pas des fessées
que cette bonne amie reçoit de son époux, mais bien de celle
qu’elle a flanquée à la petite Lucie. Bien sur je n’ai, quand
même, pas pris de notes quand elle m’en a fait le récit. Pourtant
je vais essayer de vous répéter aussi exactement que possible notre
conversation.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Vous savez, ma chère, que vous m’avez intriguée l’autre fois en
me parlant de la manière dont vous auriez tenté e faire perdre à
notre chère ingénue son habitude d’être trop bavarde ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
Je me doutais bien que mes paroles ne seraient pas tombées dans
l’oreille d’une sourde ! Et je savais bien aussi que vous
conviendriez que la belle Lucie pêche trop souvent par son bavardage
impénitent. D’ailleurs, si vous vous en souvenez, c’était déjà
la raison de la bonne fessée que son mari lui a flanqué lors de
cette fameuse soirée.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Je sais. Mais, jusqu’à ce que vous m’en parliez, je n’imaginais
pas qu’elle aurait été jusqu’à vous faire part de ce que je
lui avais innocemment confié.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
« Innocemment » ? Comme vous y allez, ma chère !
Croyez vous vraiment que nous agissions, vous, elle et moi, aussi
innocemment ? En tout cas, je peux vous assurer que notre jeune
amie a très bien compris à quoi je faisais allusion quand, au
détour d’une conversation, je lui ai lancé tout à trac :
« Malgré la sévérité de votre époux, il me semble que vous
ne vous êtes pas vraiment amendée coté excès de papotages, ma
petite » Elle a juste un peu rougie, et a murmuré : «
c’est vrai que j’ai du mal à tenir ma langue, mon mari m’en
fait souvent le reproche » Et comme je remarquais qu’elle en
payait le prix sur les fesses, elle a acquiescé avec un petit
sourire, mi désolé mi amusé. J’en ai profité pour ajouter que
je n’osais imaginer ce qu’elles subiraient si son mari apprenait
comment elle « colportait », c’est le terme que j’ai
utilisé à dessein, les histoires de couples de ses amis. Et elle a</i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
</span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>reconnu
sans ambages : « Ca c’est sur qu’il serait furieux, je
n’ose même pas imaginer la trempe que je recevrais ! »
en ajoutant, avec ce sourire qui lui éclaire si bien le visage :
« heureusement qu’il n’en saura rien » Mais son
sourire s’est figé quand j’ai répondu : « en êtes
vous si sure ma petite ? Croyez vous que vous pouvez ainsi jaser
sur les unes et sur les autres, répéter à l’envi ce que vos
amies vous confient en secret, mettre à nu l’intimité des amis de
votre mari sans qu’un jour l’une d’elles ne le lui rapporte ? »
Le sourire avait complètement disparu et la belle a bredouillé
« ho…vous ne feriez pas ça, vous, mon amie ? »
J’ai profité de son trouble pour enfoncer le clou en m’écriant :
« mais pourquoi pas ? Vous voudriez que je me rende
complice de vos turpitudes, ma petite ? Et vous pensez qu’on
peut ainsi bavasser sans jamais en payer les conséquences ? Se
serait trop facile, vous ne croyez pas ? » Cette fois
notre petite Lucie commençait vraiment à perdre contenance. Elle
m’a presque supplié : « Ho, je vous en prie, mon bonne
amie, ne faite pas cela, ne me trahissez pas, je vous promets de me
corriger » Le mot était trop beau pour que je le laisse
passer, j’ai planté mon regard dans ses yeux et j’ai décrété :
« Je ne pense pas que vous puissiez vous corriger seule, ma
petite. Je crois vraiment que vous avez besoin d’une vraie
correction ! » Son regard s’est vraiment affolé, les
larmes commençaient à perler aux coins de ses jolis yeux et elle a
pleurniché : « S’il vous plaît, non, ne lui dites
rien. Tout mais pas ça ! Ce n’est pas seulement la fessée
qu’il me donnerait qui me fait peur, vous savez, j’en ai connu
d’autres, mais j’aurais trop honte ! » </i></span></span><span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">
</span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Ainsi elle commençait à presque reconnaître ses torts ? </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
Tout à fait ! Elle ne discutait déjà plus la raison de la
punition. Je le lui ai fait remarquer, et elle a acquiescé en
reniflant « oui, c’est vrai, mais je ne veux pas que vous lui
racontiez, je ne veux pas » Elle était redevenue la petite
fille têtue, elle tapait presque du pied. Je me suis alors levée
brusquement et j’ai changé de ton : « Vous le voulez
pas ! Voilà qui est nouveau, ma petite. Pensez vous vraiment
que vous ayez à décider ? » Elle est restée
interloquée, bouche bée, et j’ai profité de mon avantage pour la
prendre par l’oreille, comme une sale gamine, en m’écriant :
« Eh bien, ma petite, vous allez être comblée, vous n’aurez
pas à être punie par votre mari, je vais m’en charger ici et tout
de suite » C’était comme si on avait coupé les fils d’une
marionnette. Elle s’est laissé traîner jusqu’au canapé que je
venais de quitter sans même tenter de résister. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Elle avait compris que vous vouliez ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Ah ça, vous pouvez être sûre qu’elle ne se faisait plus
d’illusions ! Elle allait même s’allonger d’elle-même au
travers de mes genoux quand je me suis assise avant même que je ne
le lui ordonne. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Mais, vous, Juliette, vous aviez, comment dire, prémédité tout
cela ? Vous aviez décidé de la …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Non, vraiment pas ! Les mots nous ont entraînés, voilà tout.
Et quand j’ai senti la belle prête à subir ce qu’en effet je
n’avais pas planifié, je dois avouer que cela m’est apparu comme
évident. C’était comme si j’avais fait cela toute ma vie. J’ai
même corsé la chose en l’arrêtant d’un geste pour lui dire :
« Pas de cachotteries entre nous, ma petite. Je ne vais quand
même pas devoir vous apprendre comment on est punie quand on fait
des bêtises ! Allez, hop ; mettez vous en tenue ! »
Elle n’a pas fait celle qui ne comprends pas, je vous assure. En un
clin d’œil elle a soulevé su jupette au dessus de sa taille.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.(riant)
ah, elle était en jupe, cela facilite les choses !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Oui, d’ailleurs je ne l’ai jamais vu habillée autrement, il faut
croire qu’en mari avisé le sien l’exige, pour qu’elle soit
toujours disponible ! Et je n’ai même pas eu besoin
d’insister pour que, d’elle-même, elle baisse sa petite culotte
rouge jusqu’à ses pieds avant de venir bien sagement s’allonger.
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Ho ! Elle s’est déculottée ? Elle vous a montré son ….</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
(riant) Hé oui, elle m’a montré son cul, appelons les choses par
leurs noms ! Cul qu’elle a d’ailleurs fort joli ! Bien
sur ce n’était pas vraiment une découverte pour moi, puisque
j’avais déjà eu l’occasion de voir le popotin de la gamine chez
nos amis. Mais je ne m’étais pas rendue compte alors qu’il était
aussi mignon ! Deux petites fesses bien rondes, charnues,
rebondies sans être grosses, avec deux adorables fossettes au creux
des reins.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Mais … vous en parlez comme un homme parle des fesses d’une
femme ! En tout cas vous ne semblez pas être resté
indifférente.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Eh bien oui, je le confesse, ma chère, la vision de ce beau petit
cul m’a troublé ! Avant même que la première claque ne
tombe, j’ai senti cette crispation là où vous savez qui annonce …</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C.
Mais ..vous voulez dire … ??</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Eh oui, ma chère. Ne faites pas l’effarouchée ou la mijaurée,
nous sommes entre femmes, que diable ! Quel mal y aurait-il à
vous avouer que voir ce derrière si charmant m’a fait mouiller ma
culotte ? Et vous-même, ma chère Anne Charlotte, pourriez
vous m’affirmer qu’en ce moment la votre est … si aride ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Vous
imaginez, ma chère, ma stupéfaction devant autant de naturel chez
cette femme d’allure si stricte par ailleurs. J’avoue que j’ai
senti le rouge me monter aux joues, d’autant plus qu’en effet….
J’ai balbutié une vague réponse et Juliette s’est écriée en
riant à belles dents :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J :
Vous voyez que nous sommes toutes faites pareil ! D’ailleurs
pourquoi aurions-nous ces conversations si, quelque part comme disent
les psy, cela ne nous donnait pas un peu de bonheur ? Pourquoi
faudrait-il qu’il n’y ait qu’en présence de ces messieurs que
nos corps puissent s’exprimer ? Faudrait-il que j’ai honte
de dire que quand j’ai commencé à claquer ce popotin adorable les
soubresauts de la belle sur mon bas ventre ont amené celui-ci à
couler comme une fontaine, jusqu’à ce que je ressente cette
explosion qui conclu nos moments les plus agréables ? Je vous
choque, ma chère ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Non … non, bien sur …ainsi vous avez …pris du plaisir à la
fesser ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
En un mot comme en cent : oui ! Pour le dire sans plus de
circonvolutions, j’ai jouit de voir ses fesses devenir cramoisies,
de les voir ballotter au rythme de mes claques, de voir la belle
agiter ses jambes en découvrant largement son intimité. Oui, ma
chère, j’ai pris mon pied en voyant ses fesses s’ouvrir et
laisser voir son petit œillet Voilà, c’est dit ! Et
pourtant, je vous assure que ce plaisir ne m’a pas amené à
retenir ma main ! Je peux vous assurer qu’elle a reçu une
belle et bonne fessée !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Elle a su retenir ses larmes ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Non, ni ses larmes ni ses cris. Je pense qu’elle se contenait moins
que lors de sa fessée maritale. Pour dire les choses, elle a crié
comme un goret ! Elle ne cessait de crier des « ouilles »
des « ça fait mal madame » et même des « je ne
parlerais plus….pardon madame » comme une petite fille. </i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
C’est peut-être aussi cela qui vous a tant animée, vous ne pensez
pas ? De jouer en quelque sorte le rôle de la maman sévère ?</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Peut-être, en effet, je ne le nie pas. Il est vrai qu’elle est
plus jeune que moi, et qu’elle joue à merveille la petite fille ou
la petite peste ! D’ailleurs quand j’ai jugé qu’elle en
avait assez reçu, je l’ai mise au coin !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C. :
Non, vous vous moquez de moi !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>J. :
Non, pas du tout. Pourquoi le ferai-je ? Quand elle s’est
levée, elle avait le visage couvert de larmes qui avaient fait
couler son maquillage. Elle reniflait en se frottant les fesses et en
piétinant sur place. Je lui ai montré le mur en disant d’une voix
ferme : « Nez au mur, ma petite, et mains sur la tête »
Elle n’a pas tenté de discuter, elle y est allée, traversant la
pièce sans même remonter son slip !</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
voilà, ma chère, comment cette Juliette m’a avoué sans la
moindre hésitation le trouble qui a été le sien en fessant la
petite peste. Dois-je vous dire que, moi aussi, j’étais …émue
en entendant cette confession. Jusque là, jamais l’idée de
recevoir une fessée d’une femme ne m’avait effleurée. Je ne
l’envisage bien sur en aucune manière. Mais vous savez qu’on ne
maîtrise pas toujours ses fantasmes. Aussi, le soir même …. Mais
je vous raconterais une autre fois.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Portez
vous bien …</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Soyez
sage …</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Sinon
j’appelle mon amie Juliette !</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>Votre,
</i></span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;"><i>A.C..</i></span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; page-break-before: always;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1904_579450151"></a>Chapitre
17 : <br />
Lettre de Mme A à son amie Mme De V**
</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Caroline
et Anne – Charlotte, amies d’enfance toutes deux mariées,
entretiennent une correspondance régulière et confidentielle. L’une
et l’autre ont en effet en commun de recevoir régulièrement la
fessée de leurs époux respectifs et elles prennent un véritable
plaisir à lire les récits des séances subies par l’autre, comme
du reste à faire celui des celles qu’elles reçoivent. Anne –
Charlotte n’a d’ailleurs pas caché à son amie qu’il lui était
arrivé de se caresser en lisant ses lettres, et elle sait
aujourd’hui que c’est réciproque. De plus, par les confidences
de deux autres femmes, elle s’est rendu compte que son amie et elle
n’étaient pas les seules épouses à connaître la sévérité
maritale. Deux de ses amies lui ont en effet avoué non seulement
être elles aussi régulièrement fessées, mais aussi l’avoir déjà
été devant témoins. L’une d’elle a de plus elle-même flanqué
une fessée à une autre femme, et cela ne lui a pas été
indifférent.
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Quelques
mois après leurs premières confidences sur ce sujet, Caroline, qui
était novice en la matière au début alors que son amie la recevait
depuis longtemps, a elle aussi découvert le martinet, et son mari
est aussi devenu plus sévère. Son amie lui a même suggéré que
son intérêt pour les histoires de fessées chez les autres l’avait
peut-être amenée à avoir des attitudes qui « appelaient la
fessée ». Bien qu’elle s’en défende, la nouvelle qu’elle
annonce à Anne – Charlotte dans cette nouvelle lettre va tout à
fait dans ce sens.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Ma
chère et tendre amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
vous est arrivé de faire plus que sous entendre que je serais, par
mon attitude, à l’origine du regain de sévérité de mon époux,
ou tout du moins de son goût de plus en plus affirmé pour la
manifestation de celle si sur mon postérieur. Pourtant, si je ne
vous ai jamais caché – même si j’en avais tellement honte au
début de nos échanges – que ces séances si douloureuses
soient-elles n’étaient pas sans effet sur mes sens, je vous assure
que leur fréquence est telle depuis quelques mois que je n’ai
vraiment nul besoin de les provoquer. D’autant que Monsieur semble
avoir prit goût aux innovations et qu’après m’avoir fait
découvrir, dans les conditions que je vous ai raconté, le martinet
des enfants, il a cru bon de révéler d’autres instruments à mes
fesses qui n’en demandaient pas tant. Ainsi, aux alentour de Noël,
ai-je découvert un soir, dépassant du porte parapluie de notre
entrée, la poignée de cuir noir tressée de la cravache qui
traînait dans le bric – à - brac du garage depuis des années,
mon cher mari n’ayant pas poursuivi la pratique de l’équitation
de sa jeunesse. J’avais même été presque plus flattée que
choquée le soir où, après qu’il m’ait besogné par l’arrière
il s’était écrié « C’est quand même meilleur de monter
sa chérie qu’un cheval ! » Remarque qui le brille
certes pas par son élégance ni par son respect pour l’épouse que
je suis mais qui, dans ces circonstances, m’avait semblé une sorte
de compliment gaillard. L’analogie entre l’art équestre et
l’érotisme conjugal ne s’est d’ailleurs pas arrêté là, et à
plusieurs reprises, alors que nos cabrioles amoureuses m’amenaient
à lui présenter mes arrières, il s’est mis à me tirer les
cheveux, comme s’il s’agissait de la crinière d’un cheval,
tout en me bourrant de grands coups de reins comme au rythme d’une
chevauchée furieuse. Et pour compléter le tableau, il claquait mes
fesses comme un cavalier cravache sa monture. Je ne dirais
certainement que se faire ainsi malmener la chevelure soit jouissif.
Par contre, comment ne pas reconnaître que cette possession furieuse
ne m’a pas laissée indifférente ? Pour autant, et c’est la
preuve que malgré les étapes que mon maître et mari m’a fait
parcourir dans la perversion, je suis encore naïve, je n’ai pas
compris tout de suite pourquoi cet objet insolite se trouvait là. Je
ne l’ai compris que le soir, quand le susdit maître a décidé,
pour une raison dont je n’ai gardé aucun souvenir, de s’occuper
de me fesses avant que nous n’ayons rejoint la chambre conjugale.
Quand je me suis retrouvée « à poil » selon
l’expression sans ambiguïté de mon mari, debout, les mains posées
sur le manteau de la cheminée et sommée « d’écarter les
jambes et de bien présenter mon cul » je m’attendais à ce
qu’il aille chercher le fameux « Marcel » voire que,
comme il l’avait déjà fait une fois ou deux, il fasse coulisser
sa ceinture pour m’en flatter les fesses. Mais non, c’est une
douleur à laquelle je ne m’attendais pas qui ma fait littéralement
sauter en l’air. C’était comme si toute l’énergie d’une
fessée s’était concentrée sur un point précis, minuscule, de
mes fesses. Et quand je me suis retournée, j’ai vu mon mari,
souriant, qui faisait doucement claquer l’extrémité de la fameuse
cravache dans la paume de sa main gauche en disant :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">-
«</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> Mon
petit cheval va reprendre sa place, et cesser de ruer ! Et il va
prendre sa douzaine sans bouger les mains.</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> »</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">J’avais
bien sur déjà compris la règle du jeu. Depuis un moment déjà mon
tourmenteur conjugal avait la manie de scander ses fessées par
douzaine. Douze claques sur chaque fesse, douze coups de martinet sur
les cuisses, ou ce qu’il appelait « la grosse » :
douze fois douze claques. J’aurais donc à supporter le claquement
de cette petite languette de cuir douze fois sans lâcher le manteau
de la cheminée, faute de quoi il reprendrait du début. Au moins,
puisque monsieur jouait à cingler la croupe d’un cheval, celui-ci
n’aurait pas à compter les coups à voix haute ! J’ai fais
en sorte que la punition ne soit pas allongée, sans pousser quand
même le jeu jusqu’à hennir, mais pas sans crier cependant. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Mais
visiblement, cette nouveauté n’a pas suffit à Monsieur. La
semaine dernière, un livreur a déposé à la maison un colis à
l’adresse du maître de maison. Je n’y ai pas fait plus attention
que cela, me contentant de le laisser dans l’entrée, là où il
l’a trouvé en revenant à la maison. Ce n’est que plus tard que
je me suis souvenu qu’il avait emmené le paquet dans son bureau
sans m’en parler. Et c’est dans ce même bureau qu’il m’a
demandé de le rejoindre avant le dîner. Quand je suis entrée, j’ai
vu sur son bureau une bouteille de champagne, deux verres, et une
sorte de boite longue et étroite en bois vernis.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Ma
chérie, nous allons fêter l’arrivée d’un cadeau pour nous »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Un
cadeau ? Mais pourquoi ? Qu’est ce que c’est ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« C’est
une surprise … buvons d’abord à notre amour, ma chérie »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
verse deux verres, nous trinquons, nous buvons une ou deux gorgées,
et la curiosité me pousse à lui demander :</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais,
c’est quoi ce cadeau ? C’est ça ? » en désignant
la boite de bois.</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Regarde
toi-même, ma chérie. Je pense vraiment que maintenant tu es prête
pour cela. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Sans
comprendre je m’approche et je vois l’étiquette de cuivre sur la
boite, marquée « English Canne and Stick Tradition »
tandis qu’il m’encourage : </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Ouvre-la
… »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
fais jouer la fermeture et je soulève le couvercle, découvrant une
sorte de boite capitonnée d’un tissu soyeux violet sur lequel
repose une sorte de tige en bois clair. </span></span>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
…qu’est-ce que c’est ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu
ne vois pas ? Je pense que tes fesses peuvent découvrir cela
maintenant »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
sors le morceau de bois, le prend en main, et immédiatement je le
lui tends, il le saisi et le fait se plier un peu, comme pour
l’éprouver puis le fait siffler ans l’air. Bien sur, j’ai
quand même compris, et je suis terrorisée. Il s’agit d’une
tige de bois d’un peu moins d’un mètre de long, large d’à peu
près un centimètre et épaisse de la moitié. Au toucher le bois
semble un peu satiné. Elle est un peu plus épaisse à un bout,
comme pour être prise en main par une sorte de poignée.. Une canne,
c’est une canne, cet instrument terrible utilisé pour les
punitions en Grande Bretagne. Il fait passer lentement l’objet
dans le creux de sa main, comme pour en constater la douceur. Et pour
l’avoir moi-même touchée, je sais qu’en effet le bois est très
doux. Ce qui n’empêchera évidemment pas l’objet d’être
terriblement blessant s’il est utilisé avec vigueur. Or, sans rien
cacher de ses intentions, il agite cet objet dans l’air, vérifiant
ainsi sa flexibilité et faisant siffler l’air.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu
ne vas pas …. Tu ne veux pas … ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
si, ma chérie, il est temps que tu vives cette étape, je suis sur
que je vais être fier de toi »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
c’est … c’est … »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Oui,
c’est une canne, ma chérie. A strik comme disent nos amis anglais.
Un grand moment de tradition. Je sais que tu le mérites, je
sais que tu ne me décevras pas»</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Tu…tu
veux vraiment me frapper avec cela ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Te
frapper ? Tu sais bien que non, mon amour. Je ne t’ai jamais
frappée, ma chérie. Mais, oui, je vais te cingler les fesses, je
vais te marquer le cul mon amour. Je veux que ton cul porte les
zébrures de mon amour. »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
…pourquoi ? Qu’est ce que j’ai fais ? »</i></span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Mais
rien, ma chérie. Je ne veux pas te punir, je veux te montrer combien
je t’aime. Je veux t’accompagner dans une grande découverte.
Allez, va te mettre en place. »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Il
ne me demandait pas si je voulais, et en même temps il n’ordonnait
pas vraiment. Sa voix n’avait pas la sévérité qu’il sait lui
donner quand il veut me tanner les fesses pour ce qu’il estime ou
feint d’estimer une bonne raison. J’aurais peut-être pu refuser,
discuter, le faire changer d’avis. Mais est-ce vraiment cela que je
voulais ? A vrai dire, à la réflexion, il me semble que dés
que j’ai eu compris ce qu’étais cet objet et ce à quoi il
devait servir, j’avais déjà admis ce qui allait suivre. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Retire
ta robe, ma chérie, et penche toi sur le dossier du fauteuil, pose
tes mains sur l’assise, tu seras mieux ainsi »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">J’ai
à peine hésité une fraction de seconde. Il me regardait avec des
yeux brillants, amoureux je pense, tout en appréciant la flexibilité
de la canne. En le regardant bien en face, j’ai fait passer ma robe
par la tête, et je me suis retrouvé en soutien gorge et culotte. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Laisses
tes bas, retires tes chaussures et installe toi, tu es parfaite
ainsi »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Je
me suis positionnée comme il me l’avait demandé, le souffle un
peu court, le cœur battant. Il s’est positionné près de moi, et
il a posé la baguette de bois sur mes fesses. Il a juste tapoté un
petit coup, comme pour découvrir le terrain. Puis je l’ai entendu
dire, d’une vois un peu étranglée :</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Baisses
ta culotte, s’il te plaît, jusqu’aux genoux, et écarte un peu
plus les jambes. »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">J’ai
fait comme il le demandait, me retrouvant ainsi les jambes entravées
par mon slip tendu entre mes genoux. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>« Pour
la première fois, ce sera seulement six coups ma chérie »</i></span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Une
nouvelle fois, il a posé la tige de bois, mais directement sur mes
fesses cette fois. Curieusement le bois n’était pas froid, il
était même plutôt doux, comme presque velouté. Il a encore tapoté
trois ou quatre coups, très légers. Puis j’ai entendu un
sifflement bref, interrompu par un bruit sec, et j’ai su que la
canne s’abattait sur mon derrière. Mais curieusement je n’ai pas
senti la douleur comme lors d’une claque à la main ou d’un coup
de martinet. J’ai senti l’impact sur ma peau, j’ai senti mes
fesses se contracter, mais ce n’est qu’une fraction de seconde
plus tard que la douleur a véritablement explosée. Je sais que j’ai
alors rugit, un cri tripal. J’ai vraiment eu le sentiment que ma
peau avait été déchirée, lacérée. J’en ai eu le souffle
coupé. Je sais que tout en psalmodiant une plainte continue
j’ouvrais la bouche comme un poisson hors de l’eau. J’ai porté
les mains à mes fesses, et j’ai presque été étonnée qu’elles
ne soient pas en sang. J’ai juste effleuré l’endroit où la
canne avait cinglé mon cul, ravivant encore, si c’est possible,
l’intolérable douleur. J’ai encore sautillé quelques instants,
les mains plaquées sur mon cul, sans que mon mari ne m’en fasse le
reproche. L’impact de la canne sur mes fesses provoquait une
souffrance totalement différente de toutes celles causées par la
main ou par d’autres instruments. Ici la douleur était comme
concentrée, ramassée sur ce mince trait qui me coupait le derrière.
Elle ne se diffusait pas sur toute la surface comme la claque d’une
main l’averse des lanières d’un martinet. Même quand c’était
une ceinture, à peine plus large en fait que cette canne, qui
m’avait lacéré les fesses, la douleur s’était en quelque sorte
diffusée depuis l’impact vers l’extérieur. Un peu comme quand
une goutte d’eau tombe sur un sol sec qui l’absorbe en en
étendant la tâche autours. Ici rien de tout cela, je peux même
dire au contraire. Il me semble que la sensation de déchirure se
réfractait, non en violence mais en surface concernée. Cette ligne
nette de douleur absolue absorbait, avalait, non seulement toute la
surface de mon cul mais en quelque sorte toute ma personne. J’étais
toute entière réduite à ce trait rectiligne. Mais malgré la
sensation de déchirure qui commençait à peine à s’estomper,
c’est sans que mon mari ait eu besoin de m’en donner l’ordre
que je me suis remise en position. Est-ce de ma part obéissance ou
fierté ? Il m’en avait annoncé six, je n’ai pas
vraiment envisagé la possibilité que je ne les reçoive pas. A
posteriori, je pense que si j’avais demandé à en rester là, mon
mari qui est tout sauf une brute, aurait aussitôt cessé. Je n’y
ai pas pensé un seul instant. Autant il m’est arrivé, lors de
fessées manuelles, d’implorer son pardon, de lui demander de
cesser – tout en sachant qu’il n’en ferait rien – autant,
ici, et peut-être parce que je savais inconsciemment qu’il le
ferait si je le lui demandais, la tentation de lui demander d’arrêter
ne m’a pas effleurée. Je me suis donc repositionnée exactement
comme pour la première frappe. Le buste penché par-dessus le
dossier du fauteuil, les hanches contre celui-ci. Je pense que je ne
serais pas parvenu à garder la position si je n’avais pas eu ce
support. Les mains posées sur les accoudoirs. Je n’ai pas
prononcé un mot, à part bien sur ce cri qui venait plus de mon
ventre que de ma tête. Mon mari non plus. Le silence était redevenu
total, compact. Et c’est donc encore à cinq reprises que le cycle
a repris. Canne posée sur le derrière, tapotements légers, comme
s’il cherchait à définir précisément l’impact du prochain
coup, puis ce sifflement de serpent qui va mordre, ce « shlcak »
très bref, qu’à chaque fois j’ai entendu à l’ultime fraction
de seconde avant de sentir la peau exploser. Avec à chaque fois
cette même sensation de déchirure. Un fin trait de douleur absolue,
qui semble hésiter un instant avant de pénétrer au plus profond de
moi-même, comme si l’instrument n’était pas resté à la
surface de la peau mais était véritablement entré en moi. Puis la
barre de fer portée au rouge revient du plus profond de moi jusqu’à
exploser une seconde fois, comme une mine qui fait se soulever la
terre. Et à chaque fois ce cri, au-delà de la conscience,
incontrôlable. Un hurlement venu des tripes, qui se prolonge par une
longue plainte, par de multiples jappements, tandis que mes mains
tentent d’atténuer la cuisson, ne faisant en fait que la raviver
quand elles touchent la ligne incandescente marquée par
l’instrument. A chaque impact, mon corps s’est redressé comme un
ressort qu’on lâche. Après chaque coup j’ai entamé cette
sorte de dans sur place, d’un pied sur l’autre, sautillements et
piétinements mélangés. A chaque fois j’ai eu le sentiment que,
cette fois, ma peau avait vraiment éclatée, comme celle d’une
tomate quand on la plonge dans l’eau bouillante. A chaque fois j’ai
porté le bout des doigts sur mes fesses, persuadée qu’elles
étaient en sang. Et à chaque fois ils n’ont rencontrés qu’une
nouvelle boursouflure, parallèle à la précédente. A chaque fois
la douleur est allée au-delà du mesurable. A chaque fois j’ai eu
le sentiment que mon cœur s’était arrêté lors de l’impact,
pour repartir follement quand la souffrance pénétrait tout mon
corps. A chaque fois j’ai hurlé, haleté, aspiré l’air comme si
j’allais me noyer. Et à chaque fois j’ai repris la position pour
attendre la frappe suivante. La première m’avait atteint juste au
milieu des fesses, comme une sorte d’équateur, parfaitement
perpendiculaire à la raie des fesses. Pour la deuxième, j’ai
senti qu’il positionnait la canne un peu au dessus, et elle s’est
abattue très précisément là où il l’avait prévu. Et chaque
frappe suivante a ainsi été parfaitement parallèle à la
précédente. L’une d’entre elles, peut-être la plus terrible à
supporter, frappant mon derrière à l’ultime limite d’avec les
cuisses. Ai-je vraiment compté les coups ? A vrai dire je n’en
sais rien. Je pense que j’ai compris que la séance était terminée
quand la canne a fait un doublon. Le même sifflement, mais suivi de
deux morsures consécutives, la seconde venant frapper avant même
que la meurtrissure de la première ait atteint son paroxysme. Cette
fois, mes jambes ont lâchées. Le ressort s’est cassé. Je me suis
retrouvée à terre, roulée en boule, en position fœtale, n’ayant
presque plus la force de crier, mais seulement de pousser une sorte
de long hululement continu et sanglotant. Il m’a fallu un long
moment avant d’être capable, avec l’aide me mon mari, de me
traîner jusqu’au divan pour m’y allonger, sur le ventre bien
sur, le visage caché dans le pli de mon coude. Je n’ai même pas
eu la force de chercher à voir dans quel état était mon pauvre
cul. Je peux pourtant vous dire que plusieurs heures plus tard, quand
j’ai pu le regarder dans le miroir de ma salle de bain, il était
dans un état à faire peur. Je n’oserais en définir la couleur,
qui devait osciller entre le bleu – noir et le jaune sale. Mais
surtout il était traversé de part en part par six affreuses lignes,
des boursouflures violacées parfaitement parallèles. La première
presque au niveau de mes reins, juste en dessous en fait (mon homme
m’a expliqué par la suite qu’il lui fallait faire très
attention, justement, à ce que les coups tombent bien sur les fesses
et non pas sur le bas du dos où ils pourraient blesser) et la
dernière presque en dessous du globe fessier. Pendant la séance, et
même après, j’avais eu vraiment la sensation que ma peau avait
réellement éclatée, que mon cul n’était qu’un champ de plaies
béantes. Et je suis tout à fait sure qu’en maniant cet engin on
peut tout à fait, en effet, lacérer la peau jusqu’à la faire
saigner. Mais, bien sur, mon mari avait dosé ses coups pour
justement ne pas aller à cette extrémité qui le révulse. Je vous
avoue que je ne sais toujours pas comment il s’est « entraîné »
de la sorte. Mais si mon derrière n’était pas vraiment en sang,
ces traces boursouflées étaient hypersensibles. Le moindre
effleurement me faisait crier de douleur, une sorte de courant
électrique traversant tout mon corps. Vous ne serez pas étonnée
que je sois restée trois jours sans pouvoir m’asseoir. Chaque fois
que j’ai tenté de le faire, c’était comme si je le faisais sur
une plaque chauffée à blanc. Bien sur j’ai dormi sur le ventre
presque huit jours, mais pendant les trois premiers jours j’ai même
mangé à genoux sur ma chaise ! Et vous devinez la torture que
c’était chaque fois que je devais passer une culotte. Du reste,
étant en plus dans l’incapacité de sortir, je suis restée
plusieurs jours sans même envisager cette possibilité ! Je
dois dire que mon mari en était ravi. Il ne se passait pas une
demi-journée sans qu’il vienne me demander de relever ma chemise
de nuit (c’est dans cette tenue que j’ai passé les trois jours
qui ont suivi cette « initiation » pour reprendre les
mots de mon cher mari) pour constater l’état de mon fessier. Vous
ne serez pas étonnée si je vous dit qu’à chaque fois, cette vue
entraînait chez lui la conséquence que vous devinez, et vous
comprendrez qu’en épouse obéissante, je ne laissais pas mon
maître et seigneur sans le soulager… Il était pourtant hors de
question, vous le comprenez, que celui-ci puisse m’honorer dans la
position classique du missionnaire. Du reste, le jour même de la
séance, il était hors de question que j’adopte quelque position
que se fut. Mon tortionnaire a eu du reste la délicatesse de ne pas
même me le suggérer. Mon fondement était tellement dévasté que
je n’aurais pas supporté la moindre caresse. Il fallait d’abord
qu’on apporte à ce fessier dévasté et déchiqueté les soins
qu’il appelait. Le soir, mon tortionnaire se muait en infirmier
pour appliquer sur mes pauvres fesses une crème apaisante et
cicatrisante. Mais juste après la séance, c’est d’une autre
crème qu’il aspergea mon cul. Autant vous le dire, au cas où
pareille aventure vous arriverait, ce qu’à Votre Mari ne plaise,
cette liqueur qui nous fait tant plaisir parfois n’a pas les vertus
thérapeutiques qu’on pouvait espérer. Au contraire même, le
contact de cette pommade tiède a plutôt ravivé la brûlure. Mais
comment ne pas être en même temps flattée en entendant celui qui,
pourtant, vient de vous mettre le cul à vif dire, la voix
étranglée : «</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> Ne
bouges pas ma chérie, je vais baptiser ton cul »</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">
et de comprendre qu’il a sorti son sexe et est entrain de se
branler jusqu’à ce qu’il gémisse «</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> oui !
Putain qu’il est beau ! je vais venir, je vais l’arroser ma
salope ! Tiens, prends ça ! </i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">»
et de sentir en effet sa jouissance jaillir et venir s’écraser sur
ce champs de bataille labouré qu’était mon cul. Peut-être est-ce
un effet de l’état émotif dans lequel je me trouvais, mais j’ai
eu l’impression qu’il jutait plus abondamment que d’ordinaire.
Son foutre m’a semblait inonder mes fesses, et je le sentais qui
coulait lentement sur elles et jusque dans la raie, venant ainsi
humidifier mon petit trou. Les sanglots et les plaintes n’étaient
pas encore taris, et pourtant il a suffit que mon index vienne à
peine titiller mon bouton pour que les cris de la jouissance viennent
les remplacer, alors que je m’écroulais, usée de douleur et de
plaisir. Je me suis un moment endormie sur ce sofa, les fesses
toujours à l’air. Et plus tard, l’Homme est revenu, m’a
tendrement embrassé, et a susurré à mon oreille combien il était
fier de moi. Les mots crus se mêlaient aux mots tendre : «</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> Tu
as été merveilleuse de courage et de force mon amour. La canne a
révélé combien ton cul est fait pour être meurtri de coups
d’amour. Jamais il n’a été plus beau qu’aujourd’hui. Jamais
je n’avais vu plus beau que ton cul creusé à chaque coup</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">.
</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Chaque
trace sur tes fesses est comme une preuve d’amour, de mon amour.
J’ai failli jouir rien qu’en voyant ton cul réagir quand la
canne venait le cingler. Tu sais, mon amour, j’ai du prendre sur
moi pour aller au bout des six coups que je t’avais promis, tant
j’avais envie de me jeter sur tout pour t’enculer. D’ailleurs,
je vais le faire maintenant ! Ouvres tes fesses ma chérie,
montres moi bien ton petit trou.</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> »
Bien sur, malgré la douleur qui transformait encore mon cul en
volcan, je me suis exécutée. Aussi délicatement que j’ai pu, en
faisant bien attention à ne pas toucher aux boursouflures qui les
défiguraient, j’ai écarté les fesses de mes deux mains. Je
grimaçais de douleur mais en même temps j’entendais l’Homme qui
haletait « </span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>oui
…vas-y, écartes, ouvres ton cul ! oui, je vois ton œillet,
je vois ton trou du cul ma salope. Je vais le défoncer, je vais
t’enculer comme jamais ! </i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">»
Et il tint sa promesse, et de belle manière ! La simultanéité
entre le frottement presque insupportable de son ventre sur mes
fesses à vif et la dilatation de mon petit trou taraudé par une
bite qui m’a semblé avoir des dimensions nouvelles a entraîné
une véritable explosion. Mon cri était en même temps celui de la
souffrance intolérable, de la peau écorchée griffée par la sienne
et celle de mon pauvre petit trou forcé d’un coup de reins
puissant, qui semblait devoir faire exploser ce petit trou pourtant
déjà habitué à de telles visites, et celui d’une jouissance je
ne dirais pas plus forte mais en tout cas différente de toutes
celles que j’avais connu jusque là. Mon mari profite souvent de
ces moments où son dard est planté bien profond dans mon fondement
pour ponctuer ses va-et-vient de grandes claques sur mes fesses. Il
s’en est heureusement abstenu, mais, une fois sa bite enfoncée
jusqu’aux couilles, il s’est redressé à demi, et a saisi mes
seins à pleines mains . «</span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i> Oui !
Je vais jouir en toi, salope ! Je t’encule à fond, ma
chienne ! Je vais venir mon amour ! Je vais jouir en toi ma
reine ! Je vais te défoncer la rondelle ma putain ! Je
…</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">. »
Le reste a été recouvert par nos deux cris de jouissance. Par trois
ou quatre fois au cours des deux jours qui ont suivis, il m’a ainsi
honoré par les voies détournées. Avec moins de manifestations
orales de son plaisir, bien sur, mais, me semble-t-il, avec toujours
autant de virilité. Il me semblait que sa bite était infatigable,
et que le sperme se régénérait aussi vite qu’il jaillissait.
D’autant qu’en plus de ces visites de ma porte secrète, le
Monsieur avait tenu, à plusieurs reprises, à se branler sans me
toucher mais en arrosant tantôt mes seins, tantôt mon visage, de
l’expression de son admiration. Jusqu’à ce que soit moi qui, le
surlendemain, prenne l’initiative en lui demandant, presque
humblement, l’autorisation de le sucer. Je suis restée sur le
ventre, il est venu s’agenouiller sur l’accoudoir du canapé, me
présentant sa bite comme une offrande. Je l’ai absorbée
goulûment, et je me suis mise à le pomper de toutes mes forces,
tout en massant ses couilles d’une main et en introduisant l’index
de l’autre entre ses fesses. Une fois encore, il n’a pas pu ne
pas me faire partager la montée de son plaisir. « </span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Vas-y,
suce moi, suce moi à fond ! Bouffe ma bite ! Nom de Dieu,
je vois ton cul ! Je t’ai marqué le cul ma salope, je t’ai
zébré ton cul, et maintenant je vais …</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"> »
il n’a pas pu aller plus loin, j’avais enfoncé d’un coup mon
doigt dans son cul, déclenchant chez lui un coup de rein à me
décrocher la mâchoire. Sa bite est venue au fond de ma gorge, je me
suis juste reculée à temps pour sentir son jus en jaillir, inonder
ma bouche, recouvrir mes gencives et déborder par la commissure des
lèvres tandis qu’il avait lâché mes seins pour me saisir par les
cheveux et m’enfoncer son dard encore plus profond en beuglant « </span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>
je t’emplis ! Avale mon amour ! Bois ma salope ! »</i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">
Pour finir par ces mots dont vous comprendrez qu’ils justifieraient
à eux seul l’épreuve que j’ai vécu : « </span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;"><i>Argh !!
Putain je t’aime ! </i></span></span><span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">»
Mais est-ce vraiment pour cela que j’ai supporté cette douleur à
proprement parler insupportable ? Que j’ai accepté qu’à
six reprises mon cul soit véritablement déchiré ? Que j’ai
pu souffrir plus que jamais je n’avais souffert ? Que les
larmes ont coulé de mes yeux dés la première frappe, que j’ai
crié ma douleur à pleine voix, que j’ai trépigné, sautillé,
hululé de douleur ? A vrai dire, je n’en suis pas sûre.
D’autant que ces mots d’amour avoué qui m’ont tellement
bouleversée ont été la conclusion de cette séance si violente, et
que rien ne pouvait me laisser présumer qu’ils le seraient. Alors
est-ce par devoir d’obéissance à mon époux ? Bien sur que
non. Vous êtes bien placée pour savoir que celui qui obéit le plus
n’est pas toujours celle qu’on pense dans ce genre de moments.
Rien n’est plus loin de moi que la femme soumise, n’osant rien
refuser à un homme. Et pour tout dire rien n’est plus loin de mon
mari que l’époux brutal jouissant de l’obéissance servile de sa
femme. Même si vous savez aussi que ces moments ne sont en rien des
jeux, des simulacres. J’ai été flagellée à coups de canne, ma
peau a été blessée, meurtrie au-delà de l’imaginable. Mon homme
n’a pas « fait comme si » il me tannait les fesses à
la canne. Il l’a fait. Vraiment. Sérieusement. Violemment. En
ai-je ressenti une sorte de plaisir masochiste ? En aucune
manière. J’ai peur de la souffrance, je la haïs, je l’évite
autant que je peux. Je n’aime pas souffrir. Et pourtant je l’ai
accepté, consciemment, presque sereinement. Par fierté ? Pour
me prouver que je pouvais le faire ? Pour le lui prouver, à
lui ? Je n’en sais rien. Ai-je accepté ces moments si
difficiles pour faire plaisir à mon homme ? Je ne pense pas.
Pour qu’il m’en aime plus ? Qui peut le dire ? Je n’ai
pas jouit d’être battue. Tout au contraire j’ai souffert au-delà
de ce que je peux exprimer. Et pourtant, comment nier que j’ai
aussi jouit peut-être pas plus mais en tout cas différemment que
jamais auparavant. </span></span>
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Vous
ne serez pas étonnée si je vous dis qu’en écrivant ces mots, et
bien que mon cul soit encore défiguré et douloureux, la mouille me
dégouline de la foufoune. Je vous aime trop pour souhaiter que vous
subissiez un jour un tel traitement. Et je vous aime trop pour ne pas
vous souhaiter de le découvrir.</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Votre
amie qui s’enfonce dans le vice avec délectation </span></span></div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Brush Script MT, cursive;"><span style="font-size: medium;">Caro</span></span></div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<h1 class="western" style="page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1906_579450151"></a>
Chapitre 18:<br />
<b> </b><b>Lettre Mme De V** à son amie de Mme A </b>
</h1>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
Depuis
des mois Anne Charlotte et Caroline s’échangent une correspondance
des plus intimes, où l’une et l’autre exposent les manières
sévères de leurs maris réciproques. Caroline a ainsi révélé à
son amie qu’elle avait reçu une correction à la canne. Ce n’est
que trois semaines plus tard qu’Anne Charlotte réponds à cette
lettre.</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ma
si chère amie,</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
vous implore de me pardonner d’avoir tant tardé à répondre à
votre dernière lettre, mais c’est, justement, parce qu’elle m’a
ébranlée (ne sourirez pas !) plus qu’aucune des précédentes.
J’en ai été vraiment effrayée, le mot n’est pas exagéré.
Vous étiez allée si loin ! La cane, mon Dieu ! Vous
décriviez la chose avec tellement de réalisme ! Une telle
souffrance, oui vraiment, j’ai eu peur. Et honte. Oui, honte. Après
tout, n’était-ce pas moi qui, par mes confidences, voire même mes
conseils, vous avez amenée à aller si loin, trop loin ? Ne
vous avez-je pas entraîné plus loin que raisonnable ?
Devais-je vous demander de me pardonner ? Devais-je tenter de
vous faire revenir en arrière ? J’ai vite compris que non
seulement je n’en avais pas le droit, sauf à m’immiscer plus
encore dans votre vie privée, mais qu’en plus rien de ce que je
pourrais vous dire ne pourrais faire que ce qui a été ne l’est
pas été. Et puis, à la réflexion, je me suis dit que, même si je
continue à me sentir responsable, rien ne vous obligez à me faire
partager cette dernière étape de votre parcours. Mais, en même
temps, que pourrai-je répondre à votre dernier aveux ?
Jusqu’ici, nous échangions, d’un ton léger, des confidences
elles aussi, finalement, légères. Là, vous étiez dans un autre
registre, dans une autre dimension. Le choix, dés lors, m’est
apparu comme incontournable. Où je cessais nos échanges, vous
laissant poursuivre – ou non – votre parcours dans un monde où
je ne voulais pas aller, dont je ne voulais rien savoir ni rien
connaître. Cela aurait été pour moi une déchirure, une rupture,
une fin honteuse. Où j’assumais mes responsabilités. Et je l’ai
fait. Dans votre lettre, vous m’aviez indiqué la nom de la firme
auprès de laquelle votre mari a fait l’acquisition de ce terrible
instrument. Ma première surprise a été de découvrir qu’il
n’était même pas nécessaire de traverser la Manche pour faire ce
genre d’emplette. Qui, dans le monde des gens ordinaires,
penseraient qu’en plein Paris, existe une telle boutique ? Une
façade assez ordinaire, en vitrine des canes – je veux dire des
canes qui servent à marcher – mais aussi des instruments en cuir,
et en particulier des cravaches. Mais assez mêlées à des objets
« ordinaires » pour qu’on n’établisse pas d’emblée
le lien entre celles-ci et ce présentoir, assez discret, où trônent
des objets dont, j’en suis sûre, la plupart des passants qui
s’arrêtent devant ce magasin n’imaginent pas une seconde à quoi
ils peuvent servir. Toute une série de longues baguettes, les unes
noires, d’autres plus claires, d’épaisseur différentes. Les
unes droites, les autres munies d’une extrémité recourbée. Dans
une de nos premières lettres, je vous ai raconté combien l’achat
de mon premier martinet avait été une épreuve. L’angoisse en
entrant dans le magasin, ma gêne pour oser dire ce que je venais
acheter. Mon honte quand la vendeuse m’avait fait choisir
l’instrument. Rien de tel quand j’ai poussé la porte de cette
boutique obscure de la rue Saint-Père. J’étais déterminée.
Presque tranquille, presque sereine. Dix minutes plus tard, je
sortais du magasin, l’objet enveloppé dans un papier kraft. Et le
soir même, mon homme le trouvait sur son bureau. Pour le reste, il
vous suffit de savoir que je vous écrit la présente à genoux sur
mon siège.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Que
puis-je vous dire de plus que merci pour m’avoir amenée là où je
pensais ne pas être en mesure d’aller.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
vous embrasse.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="right" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<span style="font-family: Blackadder ITC, fantasy;"><span style="font-size: large;">A.C.</span></span></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="justify" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<i><br />
<br />
</i><br />
<br />
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="left" class="western" lang="fr-FR" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid; page-break-before: always;">
<span style="font-family: Liberation Sans, Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b>Table
des matières</b></span></span></div>
<div dir="ltr" id="Table des matières1">
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1782_579450151">Les
personnages 2</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1872_579450151">Chapitre
1 : La lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 3</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1874_579450151">Chapitre
2 : Réponse de Mme De V*à son amie Mme A* 7</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1876_579450151">Chapitre
3 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 14</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1878_579450151">Chapitre
4 : Lettre de Mme De V*à Mme A* 20</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1880_579450151">Chapitre
5 : Lettre de Mme A* à son amie Mme De V* 26</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1882_579450151">Chapitre
6 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 30</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1884_579450151">Chapitre
7 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 35</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1886_579450151">Chapitre
8 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 38</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1888_579450151">Chapitre
9 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 45</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1890_579450151">Chapitre
10 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 50</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1892_579450151">Chapitre
11 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 55</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1894_579450151">Chapitre
12 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 58</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1896_579450151">Chapitre
13 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 63</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1898_579450151">Chapitre
14 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 68</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1900_579450151">Chapitre
15 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 77</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1902_579450151">Chapitre
16 : Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 80</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1904_579450151">Chapitre
17 : Lettre de Mme A à son amie Mme De V** 86</a></div>
<div style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1906_579450151">Chapitre
18: Lettre Mme De V** à son amie de Mme A 96</a></div>
</div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-88920267368008405182017-10-24T13:03:00.001-07:002017-10-24T13:03:15.797-07:00Envie
<div align="center" class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<b>Envies</b></div>
<div class="western" style="line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm;">
<br />
<br />
</div>
<div align="justify" class="western" style="background: transparent; line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-right: 0.5cm; orphans: 2; page-break-before: auto; widows: 2;">
Une jeune professeure de lettres, avant, pendant et après.</div>
<div align="justify" class="western" style="background: transparent; line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-right: 0.5cm; orphans: 2; widows: 2;">
C’est une infime crispation du ventre, une tension presque
imperceptible de la poitrine, juste la sensation fugace de la pointe
des seins qui frotte sur le soutien gorge. Et aussi une sorte de
picotement dans les reins avant même que toute idée équivoque ait
atteint sa conscience. Elle poursuit ses activités, elle parle, elle
écoute, rien ne transparaît du trouble qui l’envahit comme une
inondation lente mais irrésistible. Qui pourrait deviner que cet air
sérieux, professionnel, presque sévère parfois, est déjà en
conflit avec l’envie, le besoin, l’appel de la luxure ? Qui
pourrait comprendre que sa pensée commence à se dédoubler, lui
permettant de poursuivre l’exposé fort sérieux qu’elle a entamé
alors que se superposent des images plus qu’équivoques ?<br />
<i>« Dans la littérature du XVIIIème siècle</i> / un sein
dont le téton devient turgescent./<br />
<i>les auteurs de théâtre</i>
/ la douceur de la peau d’un sexe d’homme érigé/ <br />
<i>s’imposent
des règles</i>/une main crispée sur des fesses, sur ses fesses/<br />
<i>les
trois unités du classicisme</i>/le mouvement implacable d’un
poignet qui branle un sexe violacé/<br />
<i>sont en rapport avec
l’absolutisme</i>/ un geyser de sperme qui jaillit /<br />
Ses
jambes flageolent pourtant quelque peu, et elle doit se résoudre à
s’appuyer sur le bureau. Ses yeux ne trahissent rien de son
trouble. Sa voix est à peine un peu plus dans les graves, un peu
plus contrôlée, comme si elle craignait que les autres mots ne se
mélangent par effraction à ceux qu’elle doit prononcer. Elle
parvient à la fin de cette heure, elle sort, rencontre des
collègues, les salue, échange quelques mots avec eux, qui ne
remarquent rien de particulier dans le comportement de cette jeune
collègue. Ils ne sauront jamais que sous ce chemisier plutôt sage
sa poitrine généreuse est ornée de deux tétons durs et cramoisis,
si sensibles qu’elle a la sensation qu’ils sont nus. Ou que les
crispations de son ventre résonnent maintenant jusque dans ses
reins, comme quand une bouche qui aspire son bouton la fait se
cambrer dans un mouvement presque brutal. Elle sait que tout son être
tend à ne plus être qu’un appel du sexe. Elle le sent, au sens
olfactif du mot. Elle sait que sa sueur commence à avoir cette odeur
chaude de pain au four. « <i>Tu sens l’amour</i> » lui
a dit un jour un de ces amants. Elle sourit à ce souvenir. Arrivée
dans l’abri tout relatif de sa voiture, elle glisse un doigt dans
l’échancrure de son chemisier, pour y recueillir un peu de
l’humidité qui sourd entre ses seins, puis le porte discrètement
à ses narines. C’est vrai qu’elle sent la femme, la femelle. Les
mots de Brassens « <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><i>Y
a dans la chambre une odeur, D'amour tendre et de goudron</i></span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;"><b> »
</b></span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: x-small;">lui
viennent en tête. </span></span>Elle a le besoin irrépressible de
retrouver cette odeur enivrante au plus secret d’elle-même.
Alors,. c’est dans son pantalon qu’elle passe la main, et du bout
du doigt, elle tâte sa culotte. Elle la trouve déjà humide.
Imprégnée de cette liqueur qui suinte en elle. Si elle était en
jupe elle la relèverait et ferait rentrer la culotte dans la raie
pour le plaisir de sentir le skaï froid du siège sur ses fesses.
Une nouvelle fois elle s’emplit de cette senteur épicée, animale.
Cette odeur qui semble lui coller à la peau quand elle sort des bras
d’un homme. Elle aime tant la mêler à la sienne, à celle de la
peau d’un amant, à celle de la liqueur d’amour qui jaillit de
lui. Il lui est arrivé, au sortir d’un moment passé avec un
homme, après s’être rhabillée sans passer par la douche, de
s’arrêter en chemin, de retirer prestement sa culotte et d’en
respirer la fragrance avec délice. Peut-être est-ce parfum qui
émane d’elle alors qui fait qu’il est arrivé à plusieurs
reprises que l’homme avec qui elle partage sa vie se montre
entreprenant alors qu’elle le retrouve après une escapade
sensuelle. De nouveau elle sourit en se souvenant de ce jour où, il
l’avait troussée et embrassé avec fougue dés son retour à la
maison, alors qu’une heure à peine avant un inconnu l’avait fait
jouir dans sa voiture en lui caressant les seins sans même lui ôter
son pull. Dans ces moments, elle se sent animale, sauvage. Elle se
sent femelle. Peut-être les hommes ont-ils gardé, au fond de leurs
gênes, cette capacité des mammifères à sentir l’appel de la
femelle pense-t-elle. L’image d’un étalon chevauchant une
jument lui passe par la tête. Personne ne juge la jument, personne
ne la voue aux gémonies. Alors pourquoi, elle, ne pourrait –elle
pas aussi avoir au fond de son ventre ce besoin physique d’être
pénétrée, d’être emplie ? Son sexe tressaille à cette
idée, comme s’il vivait indépendamment d’elle. Il lui suffirait
de serrer fortement les cuisses pour que l’orgasme survienne. Il
lui est déjà arrivé de jouir ainsi, sans même se toucher. Il lui
faut alors se concentrer pour que son visage ne trahisse pas l’onde
de plaisir qui part de son ventre et vient exploser dans sa poitrine.
Mais aujourd’hui elle ne veut pas jouir ainsi, seule ans cette
voiture garée sur un parking sinistre. L’envie d’être prise,
d’être emplie, d’être possédée, d’être baisée, est trop
forte.
</div>
<div align="justify" class="western" style="background: transparent; line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-right: 0.5cm; orphans: 2; widows: 2;">
Et baisée, elle l’est, quelques heures plus tard, dans le lit
conjugal. Elle s’y est glissée nue alors que l’Homme terminait
elle ne sait trop quelle tâche subalterne à ses yeux. A peine
s’est-il lui aussi allongé, que sa main vient se poser sur son
sein gauche. Une main experte, qui caresse doucement ce sein blanc et
lourd, qui le malaxe d’abord presque timidement, puis plus fort,
comme de la pâte à pain. Puis qui saisi le petit bout rosé érigé
en son centre et le pince, fort, brusquement, jusqu’à lui faire
mal. Elle gémit, mais se cambre pour mieux offrir ces fruits gorgés
de sève. Ce sont alors les deux tétons qui subissent la délicieuse
torture. Elle sent contre sa cuisse le sexe de son Homme, bandé à
souhait et se met à le branler au rythme des pinçons infligés à
ses seins. L’Homme en accentue la force jusqu’à la faire crier.
Mais en même temps il sent qu’elle se raidit, signe avant -coureur
de sa jouissance. Elle lance la tête en arrière, presque arquée,
le bassin relevé, en haletant juste « <i>viens </i>».
L’Homme s’agenouille entre les cuisses écartées, sans lâcher
les seins qu’il continue à pincer en faisant rouler les tétons
entre ses doigts. Il se repaît de l’image de cette femme opulente,
aux formes pleines, aux seins larges, aux hanches solides, aux
cuisses puissantes. La masse des cheveux ruisselle sur ses épaules,
les yeux sont à demi fermé, presque révulsés. La poitrine se
soulève au rythme de sa respiration haletante. Le ventre se tend,
s’offre, appelle. L’Homme la prend aux hanches et s’enfonce en
elle d’une seule poussée, puissante. En ponctuant chacun de ses
coups de reins d’un « han » de bûcheron, il se met à
la besogner puissamment, provoquant un râle rauque de la part de sa
partenaire. Elle ouvre les yeux, rencontre le regard de l’Homme et
y voit cette lueur qui annonce l‘explosion du plaisir. Elle jette
alors le bassin en avant et agrippe l’Homme pour le coller encore
plus étroitement contre son corps. Les contractions de son vagin à
l’approche de sa jouissance entraînent celle de l’Homme et c’est
presque simultanément qu’ils jouissent. Et elle s’endort, repue,
satisfaite, au creux de l’épaule de l’Homme. Sa dernière pensée
avant de sombrer dans le sommeil est que demain …</div>
<div align="justify" class="western" style="background: transparent; line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-right: 0.5cm; orphans: 2; widows: 2;">
Ce rendez vous, elle l’attend depuis des jours. Leur dernière
rencontre a été à la fois torride et frustrante. Comme il est
marié, ils ne peuvent se voir que furtivement. Ils s’étaient donc
retrouvés dans sa voiture qu’il avait menée sur une petite place
tranquille après avoir acheté de quoi grignoter ensemble durant
l’heure de coupure du midi. Manger avec lui est toujours pour elle
une expérience sensuelle. Il lui a fait découvrir des saveurs
qu’elle ignorait, des mets qu’elle n’avait jamais goûtés.
Elle a mangé les yeux fermés, essayant de deviner de quoi étaient
composées les bouchées qu’il lui mettait dans la bouche. Elle a
bu au même verre que lui, elle a bu à sa bouche. Il a déposé sur
ses seins les morceaux qu’il allait ensuite chercher du bout des
dents. Ses seins ont servi de présentoir pour des fruits, pour de
la crème qu’il est venu lécher Ils ont ainsi déjeuné plusieurs
fois dans une petite chambre de motel, nus tout les deux. Mais la
dernière fois ils n’avaient pas le temps d’aller à ce motel. Et
c’est dans la voiture, garée dans un chemin creux, qu’ils
s’étaient jetés l’une sur l’autre avidement. Pourtant, très
vite, leurs baisers les avaient entraînés plus loin qu’ils ne
l’avaient vraiment prévu. Il avait passé les mains sous son pull
pour prendre ses seins à pleines mains. Il les avait fait jaillir du
soutien gorge tandis qu’il l’embrassait à pleine bouche. Quant à
elle, sentir la grosseur du sexe au travers du pantalon lui avait été
insupportable. Elle avait ouvert prestement la ceinture et le mandrin
s’était dressé, raide et fier comme un serpent prêt à s’élancer
sur sa proie. Il n’avait donc pas été nécessaire qu’elle le
branle pour qu’il soit dur et ferme. D’abord elle l’avait
enveloppé de ses mains, comme pour protéger un trésor entre ses
deux paumes creusées en berceau. Puis elle en avait éprouvé la
texture, passant lentement l’anneau de son pouce et de son index
depuis la racine jusqu’au gland qui, déjà dépassait de son
enveloppe. Douceur de la peau tiède, velouté tendre, gangue de
satin entourant un bâton noueux. Elle suit du doigt cette grosse
veine bleutée qui court tout le long de la tige. Elle caresse de la
pulpe du pouce la peau si fine qu’elle en parait presque
translucide et fragile qui enveloppe le gland, découvrant avec
délice cet entrelacement de minuscules vaisseaux qui l’irrigue.
Remettant ses doigts en anneau, elle reprend un très lent va et
vient sur toute la longueur. En bas, sa paume entoure délicatement
les couilles, les faisant doucement rouler au creux de sa main.
Laissant pouce et index enserrant le mandrin, elle glisse
subrepticement le majeur derrière les bourses. Il aide au mouvement,
avance un peu les hanches, se soulève du siège, pour que le doigt
inquisiteur aille jusqu’aux abords du petit trou. Mais il n’y
pénètre pas, elle sait que l’introduction déclencherait presque
à coup sur l’explosion, et elle veut faire durer son plaisir.
Alors l’anneau des doigts remonte, jusqu’à se bloquer sur le
renflement du gland. Avec infiniment de douceur, elle tire sur cette
peau diaphane, faisant éclore doucement la fleur écarlate et déjà
suintante d’une goutte de rosée. Du bout de la langue, d’un
lapement de chatte, elle recueille cette goutte de plaisir annoncé.
Elle en apprécie la saveur salée, puis, n’y tenant plus, elle
ouvre largement la bouche pour y faire entrer cette fraise
turgescente. Il ne peut s’empêcher de l’encourager d’un
grognement de plaisir. Il sait qu’elle suce comme aucune autre
femme ne le lui a jamais fait. Sa bouche est un écrin de douceur et
de perversité. La queue est avalée, voracement, très profondément,
jusqu’à venir buter au fond de la gorge. La langue s’enroule,
comme une liane. Quand il est à l’extrême limite de l’explosion,
la pression se relâche, pour la retarder encore. La bouche laisse
sortir le sexe palpitant, qui se dresse à la verticale. Alors la
langue recommence son travail de sape consciencieux. La bite est
léchée comme un bâton de chocolat glacé, à grands coups de
langue gourmande. Puis juste effleurée par la langue devenue pointue
comme celle d’un serpent. Elle titille le frein, lèche les
couilles, suçote le méat. Puis, brusquement, presque violemment, la
queue est de nouveau engloutie, aspirée, tétée. Quand il sent
l’inéluctable jouissance sourdre de ses couilles, il l’encourage
de la voix « <i>Oui, vas-y, suces moi ma salope ! Bouffe-moi !
Je vais t’emplir …oui vas-y ma belle, vas-ma chérie ! </i>»
Il sait que ses mots, qu’ils soient tendres ou obscènes décuplent
l’ardeur de sa maîtresse suceuse. Elle le pompe comme si elle
allait en tirer son oxygène vital. Et c’est dans un cri de
jouissance et d’abandon qu’il laisse jaillir son plaisir. Les
soubresauts de la bite avant qu’elle ne lâche son geyser ont été
perçus par la langue attentive. Les lèvres se positionnent en
cercle juste au bout de la queue, à peine entrée dans la bouche,
pour qu’elle ait le plaisir de sentir le sperme chaud et épais
jaillir et s’écraser sur elle. Au moment où il gémit «<i> oui
… oui… je vais venir, je vais tout te donner, bois moi !</i> »
elle sent ce jet puissant qui lui emplit la bouche d’un liquide
crémeux. Elle a saisit la queue dans sa main pour la laisser en
place, pour ne pas perdre une seule goutte de cette liqueur qui
recouvre sa langue, inonde ses gencives, et, déjà, coule au fond de
la gorge. Mais elle tâche d’en garder le maximum dans la bouche,
fait rouler la masse visqueuse sur sa langue, la fait passer d’une
joue à l’autre, l’apprécie comme un œnologue le ferait d’un
grand cru. Quand enfin elle relève la tête, elle découvre son
amant, les yeux mi-clos, le sourire béat de satisfaction. Alors,
vicieusement, elle laisse un peu de sperme couler de la commissure de
ses lèvres, pour le plaisir d’aller le rechercher du bout de la
langue et de s’en lécher la babines. Alors seulement, elle dégluti
pour avaler lentement, comme une gourmandise, ce nectar odorant et
goûteux. Ne voulant pas en perdre une goutte, elle se met alors à
laper consciencieusement la queue devenue molle pour la nettoyer des
traces blanchâtres qui y coulent. Puis elle se love contre le torse
de son homme, approche ses lèvres des siennes, et l’embrasse à
pleine bouche. Elle veut qu’il partage le goût de sa salive mêlée
à sa semence, comme elle aime enfouir sa langue dans la bouche de
son amant quand il lui a longuement léché le minou. Tandis qu’ils
mêlent ainsi leurs salives et que leurs langues s’affrontent dans
un balai furieux, il dégrafe la ceinture du pantalon et glisse sa
main vers le sexe de son amante. Il sent sous ses doigts la culotte
détrempée, gluante. Presque brutalement, il écrase le bouton
d’amour du gras du pouce. Aussitôt elle gémit langoureusement.
L’index poursuit sa route plus loin, entre les fesses qu’elle
soulève pour lui faciliter la tâche, et, sans le moindre préalable,
sauvagement, il s’introduit dans le petit trou qui cède sous la
pression alors qu’elle lâche un cri de douleur qui se finit en
long gémissement de plaisir. Il sent sous ses doigts la crispation
de la jouissance qui explose en elle. Il enfonce alors le pouce dans
la chatte, jusqu’à ce que ses deux doigts la prennent comme une
pince. C’est elle alors qui l’encourage à la labourer plus fort
encore, en lançant des petits jappements de plaisir « <i>oui !
oui ! Défonce-moi amour, défonce-moi </i>! » et un
deuxième orgasme vient la terrasser, avant même que les vagues du
premier se soient taries. Quand l’étau de sa chatte se desserre et
que son amant peut retirer ses doigts, il les porte d’abord à sa
bouche, se délectant du goût du plaisir de sa maîtresse, puis les
lui fait lécher, pour parfaire l’échange de leurs plaisirs
épicés. Les gémissements sensuels ont redonné quelque vigueur au
sexe de l’amant. Alors, sans attendre, elle saisit la queue encore
seulement a-demi durcie et se met à la branler frénétiquement.
Elle veut qu’il jouisse encore, là, maintenant, tout de suite. Sa
masturbation est presque douloureuse tant elle est violente, mais
elle aboutit au but attendu, la queue retrouve sa fermeté et il
l’avertit une nouvelle fois « j<i>e vais jouir … </i>»
Juste à temps pour qu’elle déboutonne son chemisier et baisse son
soutien gorge pour recevoir le nouveau jet directement sur ses seins.
Elle étale alors rapidement le liquide sur sa peau, remet ses seins
volumineux dans leur enveloppe de dentelles qui va absorber le sperme
qui les recouvre, puis reboutonne son chemisier, fait de même avec
son pantalon, se redresse sur le siège et dit « <i>ramène-moi
vite, j’ai un nouveau groupe dans une demi-heure.</i> » Qui
alors pourra un seul instant imaginer que cette femme plantureuse qui
disserte des poètes courtois du Moyen- Age a les seins couverts de
traces blanches dont elle perçoit la fragrance un peu lourde quand
elle baisse la tête, et qu’elle a du passer aux toilettes en
arrivant pour retirer cette culotte collante de mouille qu’elle a
fourré au fond de son sac et dont elle retrouve aussi le fumet quand
elle pose un doigt sur sa bouche comme si elle cherchait un mot ?<br />
<br />
<br />
</div>
<div align="justify" class="western" style="background: transparent; line-height: 115%; margin-bottom: 0.35cm; margin-right: 0.5cm; orphans: 2; widows: 2;">
<br />
<br />
</div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-19145238678744698472017-10-21T07:26:00.003-07:002017-10-21T07:29:57.955-07:00Fessées à Fécamps<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-size: medium;"><b>Fessées
à Fécamps</b></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Est-ce la hasard qui
a fait que nous nous sommes retrouvés, mon mari et moi dans la même
maison louée en Normandie que ce couple de Néerlandais ?
Presque deux mois après je suis toujours incapable d’en être
sûre, et pourtant, je suis aussi incapable de trouver une
explication logique. Mais pour qu’on comprenne ma question,
peut-être me faut-il commencer par le commencement. Et d’abord
nous présenter, mon mari et moi.</div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1955_1145306963"></a>Fabienne</h1>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Moi, c’est
Fabienne, trente cinq ans, institutrice, mariée depuis six ans avec
Jacques, juste âgé de deux ans de plus que moi. Physiquement je
suis loin de correspondre aux canons des filles des magasines,
toujours à la limite de l’anorexie. C’est loin d’être mon
cas. Disons les choses sans me déprécier mais sans travestir la
vérité, je suis ce que l’on appelle une femme ronde. Comme
beaucoup de femme, je n’aime pas trop utiliser les chiffres pour me
décrire, surtout pas ceux de mon poids ou de mes mensurations. Les
quelques fois où je me suis laissée aller à des dialogues sur
internet (en tout bien tout honneur, c’était avant d’être
mariée!) quand des correspondants m’interrogeaient sur ces
domaines, je les envoyer paître en leur demandant sans ambages s’ils
étaient à la recherche de bétail à acheter sur pied ! Par
contre je ne peux échapper aux chiffres des tailles, puisqu’il me
faut bien parfois acheter des vêtements. Et là, c’est plutôt
dans les 44-46 que dans les 38-40 qu’il me faut chercher. Et pour
les dessous, il me faut viser le 95 C, ce qui n’est pas toujours
facile à vivre, même si je sais que certaines de mes copines qui
plongent dans les petites tailles en sont plutôt à m’envier. Il
est vrai que si la mode représente toujours des filles filiformes,
le regard des hommes sur mon décolleté, m’incite plutôt à
croire que « dans la vraie vie » une poitrine généreuse
comme on dit attire les yeux de ces messieurs comme une morceau de
fromage attire une souris. Quand au popotin, il m’arrive de croire
que si les hommes affirment souvent fondre pour un « beau petit
cul », leurs mains ne dédaignent pas des formes plus amples.
Et pour dire les choses sans détours, c’est mon cas. Disons les
même crûment, j’ai un popotin épanoui. Bien entendu, comme je
suppose l’immense majorité des femmes, je rêve parfois d’être
autrement que je suis, mais j’avoue que mes tentatives de régime
ou de mise au sport ont souvent tournées court. Après tout si mon
homme m’a choisi comme je suis, c’est que cela ne devait pas le
rebuter, et, même après bientôt dix ans de mariage, son assiduité
au lit m’incite à penser que mes formes continuent à ne pas lui
déplaire.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1957_1145306963"></a>Jacques
et moi.</h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mon mari est un
homme de taille moyenne, qui n’est pas plus un Apollon que je ne
suis une mannequin, mais qui me rend heureuse et, pour en revenir à
notre vie intime, ce qu’il me fait, dans ces moments, eh bien,
comme le disait une chanson, de Barbara je crois, « <i>j’trouvais</i>
(mais je pourrais écrire ces mots au présent) <i> ça très bien</i> »
Il est vrai que, sans avoir été une oie blanche quand je l’ai
rencontré, mes expériences en la matières étaient quand même
assez limitées. Pour dire les choses comme dans les magasines
« nous avons une vie sexuelle équilibrée et satisfaisante »
Bien sûr, le rythme de nos parties de jambes en l’air est
peut-être (sûrement même) plus calme que dans les premières
années de notre mariage, mais disons qu’il se passe rarement plus
de quatre jours sans que mon seigneur et maître m’invite à
remplir mon « devoir conjugal » Je ne comprends
d’ailleurs pas bien en quoi c’est un « devoir », mot
qui semble indiquer une obligation plutôt qu’un plaisir ! Là
aussi, dans la vraie vie, les choses (ou plutôt donc « la
chose ») n’est pas à chaque fois un exercice d’érotisme
échevelé. Mais il me semble que nous avons quand même échappé à
la routine. Mon homme est donc plutôt gourmand en la matière, et
comme, de mon côté, je ne suis pas du genre à prétexter souvent
la migraine, je pourrais dire que tout va pour le mieux de ce point
de vue. Mais qu’on me comprenne bien, nous ne sommes pas pour
autant des accros du sexe. On ne trouvera pas chez nous la panoplie
des « sex-toys » qui emplissent les boutiques
spécialisées. Je n’attends pas de mon homme, pour reprendre les
paroles de la même chanson de Barbara qu’il me fasse « <i>des
choses épatantes entre les deux repas</i> » mais il a assez
d’imagination, et je suis assez ouverte aux innovations, pour ne
pas tomber dans l’habitude. Toutes cs précisions pour dire que,
jusqu’à ce week-end en Normandie, nous n’avions jamais senti le
besoin de chercher à « pimenter » plus qu’il ne le
faut notre vie sensuelle en sortant de notre stricte intimité. Tout
juste nous est-il arrivé peut-être, d’être un peu « expressifs »
lors de câlins à l’hôtel, et, même si nous n’en n’avons pas
parlé directement, il m’a semblé que le fait que nous puissions
penser que des voisins de chambre aient pu nous entendre contribuait
assez à accroître les ardeurs de mon homme. Peut-être cela
paraîtra-t-il étonnant, mais ce n’est qu’après ce fameux
week-end normand que j’ai analysé autrement une autre soirée, là
aussi hors de notre domicile conjugal.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1959_1145306963"></a>Un
soir à l’hôtel</h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
C’était, me
semble-t-il, deux ou trois ans seulement après notre mariage. En
partant en vacances dans le midi, nous avions fait étape dans un
joli hôtel en Bourgogne. Je me souviens d’une chambre charmante,
un peu désuète, avec le couvre -lit à fleurs et une grande glace
sur le mur. Mon homme avait plaisanté en arrivant en disant que si
elle avait été au plafond, la chambre aurait tout à fait ressemblé
à celle d’un hôtel de passe. Le repas avait été fort agréable,
arrosé, comme il se doit dans cette région, d’un vin qui m’
avait rendu gentiment pompette. Une fois dans la chambre, mon mari
n’avait pas tardé à me faire comprendre qu’il n’envisageait
pas de dormir tout de suite. Je serais bien entendu incapable de me
souvenir des détails de ces moments câlins, mais je sais que je me
suis retrouvée, comme souvent dans ces cas là, agenouillée sur le
lit, la tête posée sur mes bras croisés, offrant ainsi mon
postérieur au regard, mais aussi à la bouche et aux mains de mon
homme. Mon derrière fut donc tendrement caressé, plus fermement
pétrit, mais aussi couvert de bisous et de suçons. La langue de mon
homme s’en vient aussi visiter la large vallée qui séparer mes
fesses, et s’égara même jusqu’à titiller mon petit trou. Même
si nous en avons parfois fait l’expérience, nous ne sommes pas des
adeptes de la sodomie, mais cette caresse qu’on appelle parait-il
« feuille de rose » me fait vite perdre la tête. J’ai
donc du accentuer la cambrure de mes reins pour faciliter la chose,
persuadée qu’après cet hors d’œuvre bien agréable, la séance
dériverait – ce qui a été effectivement le cas – vers une
levrette des familles, position que mon mari affectionne
particulièrement, et qui, de mon côté, accentue vivement mon
plaisir. Mais, avant d’en arriver là, c’est sa main qui était
venue frapper mes fesses. Ce n’était pas la première fois qu’il
en usait ainsi, et il ne m’avait jamais caché que voir mes fesses
trembloter sous les assauts de sa main, et surtout rosir voir rougir
lui plaisait énormément. Je n’avais donc aucune raison de
chercher à le dissuader, d’autant que cette fessée – puisqu’il
faut appeler les choses par leur nom – si elle me chauffait les
fesses, était loin d’être insupportable. Et elle cessa avant de
le devenir, même s’il me semble qu’elle fût pourtant plus
cuisante que d’habitude. En même temps, je ne peux nier que le
frottement du ventre de mon homme sur ce popotin chauffé à blanc –
ou plutôt à rouge – quand il me prit en levrette augmenta encore
mes sensations, et je sais que, dans ces moments, j’ai tendance à
exprimer mon plaisir de manière un peu bruyante. C’est à cela que
je fit allusion quand, alors que nous reprenions notre souffle, ma
tête tendrement posée sur l’épaule de mon mari, je soufflais, un
peu inquiète :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Tu
… tu ne penses pas que ...</i><i>q</i><i>u’on ait pu nous
entendre ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Loin de chercher à
me rassurer, mon homme s’est au contraire mit à rire en lançant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Eh bien
… peut-être, en effet, les murs me semblent bien minces. Et
alors ? Si cela a donné des idées à nos voisins, tant mieux
pour eux ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et, riant de plus
belle, il avait ajouté :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ou tant
pis pour elles ! Si elles n’ont pas été sages ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Peut-être ne m’en
suis-je pas vraiment rendu compte à cet instant, mais je suis
aujourd’hui persuadée que l’idée que nos voisins aient pu
entendre non seulement l’expression de mon plaisir mais surtout les
bruits de ma fessée le ravissait et n’avait pas été sans rien
sur l’ardeur qu’il avait mise à me prendre. La conversation en
était restée là, mais je me souviens que le lendemain matin, en
entrant dans la salle du petit-déjeuner, je me suis senti rougir
(des joues cette fois) en me demandant si l’un des trois couples
qui mangeaient dans la petite salle avait pu entendre … Mais je ne
partageais pas cette crainte avec mon mari, et ce fut la seule fois
où j’ai pu craindre que quiconque puisse savoir que cette jeune
femme rondelette connaissait des séances de « pan-pan cucu »
La seule fois … jusqu’à cet autre week-end, en Normandie cette
fois.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1961_1145306963"></a>Nos
voisins</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1963_1145306963"></a>Ingrid
et Paul</h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
C’était donc lors
du dernier week-end de la Toussaint. Par l’intermédiaire d’un
site Internet, nous avions loué un appartement à Fécamps, dans une
maison typique de la région et qui contenait deux logements
strictement identiques, une chambre et une pièce à vivre avec un
salon devant une cheminée et une cuisine ouverte, séparés par un
large couloir. En arrivant, nous avions croisé les occupants de
l’autre logement, un couple plus âgé que nous, dont l’accent
nous avait fait comprendre qu’ils étaient Néerlandais. Et, le
soir alors que nous dînions, notre voisin vint frapper à notre
porte. Il avait la main recouverte d’un mouchoir en papier et nous
demanda, dans un français très correct :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je vous
prie de m’excuser de vous déranger, auriez vous, s’il vous
plaît, un sparadrap à me prêter ? Je me suis un peu coupé en
préparant du bois pour le feu. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Bien entendu, nous
avons accédé à sa demande, et comme je m’inquiétais de l’état
de sa main il me rassura en souriant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ce sera
sans gravité pour ma main. C’est plutôt Ingrid qui doit
s’inquiéter, c’est elle qui a oublié la trousse de
pharmacie ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
C’est ainsi que
nous avons appris que sa compagne s’appelait Ingrid. Autant son
mari était costaud, presque lourd, et sanguin, autant elle était
longue et fine, d’allure sportive, avec une peau très claire,
comme ses yeux, et des cheveux gris coupés très courts.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le lendemain, très
poliment, elle me remercia et, comme je lui demandais des nouvelles
de son mari elle souri en disant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ho, vous
savez, ce n’était qu’un bobo comme on dit en français je pense.
Mais vous savez comme les hommes sont douillets pour ce genre de
choses. Heureusement que nous, les femmes, sommes moins délicates ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Sa remarque nous
avait fait rire de bon cœur, et Ingrid, après m’avoir indiqué
qu’ils partaient visiter la région m’avait proposé de prendre
l’apéritif dans leur appartement le soir. Bien que nous avions
projeté un week-end en amoureux, il m’était apparu difficile de
refuser, et le soir nous avons donc traversé le couloir pour
rejoindre nos voisins.
</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1965_1145306963"></a>Une
soirée entre voisins</h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-style: normal;">Paul
vint nous ouvrir, et nous demanda d’excuser Ingrid qui était
encore entrain de se préparer. Quand elle nous rejoint, je me
félicitais de m’être changée et d’avoir troqué mon pantalon
et mon pull pour la seule robe que j’avais emmenée, une petite
robe noire, sagement décolletée. En effet, elle aussi s’était
visiblement habillée pour la circonstance. Elle apparu</span><span style="font-style: normal;">e</span><span style="font-style: normal;">
vêtue d’une longue </span><span style="font-style: normal;">robe</span><span style="font-style: normal;">
écrue qui lui descendait presque jusqu’aux chevilles, mais
largement fendue sur le côté, </span><span style="font-style: normal;">et
ses épaules étaient recouverte</span><span style="font-style: normal;">
d’un châle coloré. </span><span style="font-style: normal;">Elle
s’assit sur le canapé, en ramenant une jambe sous elle, découvrant
ainsi assez largement une cuisse musculeuse et m’invita d’un
geste à prendre place à côté d’elle. En le faisant, je tirais
machinalement sur ma jupe, consciente qu’en m’installant ainsi
elle remontait aussi. Je cru voi</span><span style="font-style: normal;">r</span><span style="font-style: normal;">
furtivement un sourire un peu narquois sur le visage de Paul qui
s’installait sur un fauteuil de l’autre côté de la table basse
tandis que mon mari prenait le fauteuil voisin. L’idée qu’ainsi
placé il ne pouvait pas ne pas voir le haut de la jambe de notre
hôte me traversa l’esprit.</span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-style: normal;">P</span><span style="font-style: normal;">aul
nous servit à boire, et quand il apporta un plat de petits
sandwichs, je compris qu’ils comptaient que nous dînions avec eux.
Très vite, la glace – si glace il y avait – se cassa, et nous
comparâmes nos découvertes dans la région. Ingrid partageait ma
passion pour les vieilles pierres et je lui conseillait une abbayes à
visiter, tandis que mon mari et le sien semblaient plus intéressés
par les adresses de restaurants dans la région. La conversation
était agréable, et sautait allégrement d’un sujet à l’autre
quand, alors que Paul s’escrimait à ouvrir une nouvelle bouteille,
Jacques lui demanda des nouvelles de sa main où i</span><span style="font-style: normal;">l</span><span style="font-style: normal;">
portait encore un sparadrap. </span>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-style: normal;"> </span><i>« Ho,
ce ne sera rien, ma main est presque réparée, on peut dire que
« l’incident est clôt » autant pour moi que pour
Ingrid, n’est-ce pas ma chérie ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je me tournais vers
elle qui se contentait d’acquiescer par un sourire un peu contraint
et lui demandais :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Vous
vous étiez blessée aussi ? Je ne savais pas »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ma question n’avait
rien de drôle, pourtant Paul éclata d’un rire sonore en disant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Non,
non ! En tous cas pas à la main ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et comme mon mari et
moi avons du avoir l’air de ne pas comprendre à quoi il faisait
allusion, ce qui était le cas, il ajoutât, toujours en riant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais les
conséquences de son coupable oubli seront aussi bientôt
disparues ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1967_1145306963"></a><i>« </i><i>Une
petite fessée et le problème est réglé</i></h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ingrid fronça les
sourcils en murmurant quelques mots en néerlandais, que nous n’avons
bien sûr pas compris. Paul lui répondit dans la même langue en
haussant les épaules, puis, s’adressant à nous cette fois :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Excusez
mon épouse, chers amis, elle craint toujours le jugement des autres
sur nos habitudes pour régler ce genre de petits différents entre
nous, mais je suis sûr que vous n’êtes pas du genre à vous
offusquer, n’est-ce pas ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Une fois encore,
sincèrement, ni mon mari ni moi n’avons compris à quoi il faisait
allusion, et nous n’avons pas jugé utile de lui demander d’être
plus explicite. C’est donc de lui-même, et visiblement au grand
dam de son épouse qui, une nouvelle fois l’interpella en
néerlandais que notre hôte précisa, comme s’il s’agissait
d’une chose tout à fait bénigne :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je pense
que rien n’est pire, dans un couple, que les disputes interminables
pour des motifs souvent futiles, voyez-vous. Alors, chez nous, </i><i>pas
de querelles et de mots qui blessent, une bonne petite fessée, et le
problème est réglé ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La peau blanche
presque diaphane du visage d’Ingrid s’était visiblement
empourprée. Nous n’avons pas compris ce qu’elle disait à son
mari, mais, maintenant, nous pouvons tout à fait comprendre qu’elle
s’offusquait qu’il mette ainsi leur intimité en lumière.
Pourtant il ne se démonta pas et rétorqua, mais cette fois en
français :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Allons,
ma chérie, ne t’inquiète pas, ce n’est pas un si grand secret,
quand même. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Puis se tournant
vers Jacques il ajouta sans ambages :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« J’espère
que ma franchise ne vous mets pas mal à l’aise, cher ami ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Jacques resta un
moment bouche bée, et je le comprends. Puis il bredouilla :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Heu …
enfin ...je ne me permettrait pas….je suppose que chacun fait comme
il lui convient ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette fois c’est
Ingrid qui prit la parole. Elle semblait avoir retrouvé son calme et
en tout cas avoir renoncé à dissuader son mari de poursuivre sur ce
terrain :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Paul, je
pense que tu mets notre ami mal à l’aise. Et </i><i>d</i><i>u
reste, s’il fallait demander l’avis à quelqu’un sur ce sujet,
il me semble que se serait plutôt à Fabienne, non ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
C’est peu de dire
que cette remarque me mit aussi mal à l’aise que Jacques pouvait
l’avoir été auparavant. Je tentais de m’en sortir en esquivant
par un geste un peu gauche cherchant à exprimer mon refus de
m’engager. Mais Paul n’était décidément pas disposé à en
rester là.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais
bien sûr, tu as tout à fait raison, ma chérie. Dans ce genre de
chose, c’est bien l’avis de madame qui compte. Q</i><i>u</i><i>’en
pensez-vous, ma chère Fabienne ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je devais être
aussi rouge qu’Ingrid. Bien sûr, nos hôtes ne pouvaient pas
savoir qu’il m’était arrivé, certes dans des conditions
différentes de celles dont nous parlions, d’avoir les fesses
chauffées par la main de mon mari. Mais que répondre à une telle
question ? M’offusquer aurait été un jugement de valeur sur
la vie privée de ceux qui nous invitaient, et en plus quelque peu
« faux-cul » si j’ose m’exprimer ainsi. A l’inverse,
approuver la manière par laquelle Paul réglait ce qu’il appelait
des « différents » m’apparaissait comme encore plus
audacieux. Et il était exclu à mes yeux de me lancer dans une
grande explication pour différencier les fessées sensuelles de mon
homme et les punitives de notre hôte. Comme c’est souvent mon
attitude, et j’ai eu parfois à en pâtir, je tentais de m’en
sortir par une boutade, sans me rendre compte qu’elle allait
m’enfoncer encore plus :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Ho
… je me garderais bien de donner mon avis là-dessus. Je ne
voudrais pas risquer d’être insolente. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Bien sûr, Paul ne
pouvait pas ne pas saisir la perche que je lui tendais aussi
complaisamment. Il partit d’un grand rire en s’exclamant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ah !
Ah ! Vous avez raison, Fabienne ! Vous ne voudriez pas
qu’il y ait une autre fessée ce soir ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je prit le parti de
rire moi aussi, comme si ces échanges n’étaient que d’aimables
plaisanteries. Et je ne sais pas, encore aujourd’hui, si c’est
dans le souci de ma venir en aide ou au contraire avec déjà une
idée « derrière la tête » qu’Ingrid ajouta, à mon
intention :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ne vous
inquiétez pas, Fabienne, Paul parle beaucoup mais rassurez-vous, il
réserve ce genre de traitement à sa légitime épouse, je suis bien
– ou mal – placée pour le savoir ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et son mari
d’enchaîner :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais
bien sûr, je ne me serais pas permis d’imaginer être </i><i>e</i><i>n
quoi que se soit acteur ! Je laisse chaque mari agir comme il
l’entend, mon cher Jacques »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Visiblement,
celui-ci ne savait plus où se mettre. Heureusement, une nouvelle
fois, Ingrid vint à son secours en décrétant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je pense
que nous pourrions laisser ce sujet, Paul. Nos amis ne sont pas venus
ce soir pour avoir de ta part des conseils, me semble-t-il »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Peut-être Paul
comprit-il alors qu’il était allé trop loin, en tout cas il
acquiesça en disant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« En
effet, je vous prie de m’excuser, chers amis. Parlons plutôt des
merveilles de cette belle région, et surtout, trinquons à
l’amitié ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et de fait, nous
avons heurté nos verres, et la conversation a reprit un tour plus
conforme aux circonstances. Comme nos nouveaux amis avaient en fait
préparé plus qu’un apéritif, mon mari et moi avons spontanément
tenu à leur venir en aide pour amener les plateaux préparés par
Ingrid à la cuisine, puis pour débarrasser la table basse. Au
hasard de nos allées et venues,je me suis retrouvée un moment seule
avec Ingrid dans la cuisine, entrain de rincer les verres pour
permettre à Paul de nous faire découvrir un Calvados qu’il avait
trouvé dans une ferme de la région. Ingrid en a profité pour me
glisser :</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1969_1145306963"></a>« Il
n’y a pas que chez moi »</h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Ne
prenez pas mal les taquineries de mon mari, il est </i><i>insupportable</i><i>
parfois ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Bien entendu, je la
rassurais en lui affirmant que mon mari et moi n’étions en rien
choqué par ses « plaisanteries », c’est le mot que
j’employais spontanément. Il fit réagir Ingrid qui répondit, mi
gigue mi raisin :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui,
bien sûr, il plaisante ...il joue à me mettre à l’épreuve,
quitte à vous y mettre aussi. Mais ce ne sont pas que des
plaisanteries, mes fesses peuvent </i><i>encore </i><i>en
attester ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ainsi, elle
confirmait sans ambages que les fessées auxquelles avait fait
allusion son mari étaient bien réelles. Est-ce l’alcool dont
j’avais peut-être un peu abusé depuis le début de la soirée, ou
plus simplement la spontanéité des propos d’Ingrid qui m’amena
à réagir tout aussi spontanément :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Ho !
Même le lendemain ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ce qui fit
franchement rire Ingrid qui me confirma :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Eh oui …
il n’y va pas de main morte, comme on dit dans votre lange je
pense. Et chaque fois que je m’assois, je suis bien contrainte de
me rappeler ce qui c’est passé hier soir ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et, sans que j’ai
répondu quoi que ce soit à cet aveu elle ajouté, d’une vois un
peu plus rauque :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais
vous savez comment sont les hommes, n’est-ce pas Fabienne ? Il
suffit qu’il me dise qu’il les trouve plus belles quand elles
sont rouges pour se faire pardonner ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette fois, c’est
moi qui me mit à rire en confirmant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Ha</i><i>,
je vous comprends ! Mais pourquoi donc les hommes aiment-ils
tant voir nos derrières ainsi colorés ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Sans consciemment me
rendre compte que je sous entendais ainsi que mon mari partageais les
goût du sien. Bien sûr cela ne tomba pas dans l’oreille d’une
sourde, et elle rebondit tout de suite :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Ah !
</i><i>Ça</i><i> me rassure de savoir qu’il n’y a pas que chez
moi ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
J’évitais de
répondre en tournant le dos pour amener un plateau de verres dans le
salon, les jambes un peu flageolantes, consciente que j’en avais
dit plus que je ne le voulais.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1971_1145306963"></a>Questions
de vocabulaire</h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Heureusement, nos
hommes n’avaient pas entendu notre conversation. Pourtant, Ingrid,
qui était revenue dans le salon en même temps que moi, et moi, nous
comprîmes tout de suite qu’ils continuaient à discuter du même
sujet que nous. En effet, un peu pédagogue, Paul était entrain
d’expliquer :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Eh oui,
voyez-vous, notre langue n’est pas très originale, nous utilisons
le même mot que nos amis anglais, qui sont parait-il les maîtres en
la matière. Nous disons nous aussi « spanking »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Bien que n’étant
pas vraiment polyglotte, j’avais bien sûr compris le mot, et
visiblement Ingrid aussi. Elle s’écria assez vivement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Nog ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Son mari leva les
sourcils, lui répondit par une phrase que nous ne comprîmes pas
plus que le mot d’Ingrid, puis nous expliqua :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ma femme
s’étonne que nous parlions encore de ce qu’il est arrivé à son
derrière hier soir... mais après tout, si elle n’avait pas
été aussi distraite, je n’aurais pas </i><i>eu </i><i>à en
parler ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ingrid se contenta
de lever les épaules, et mon mari et moi nous ne fîmes aucun
commentaire, ne voulant pas mettre notre hôtesse mal à l’aise.
Mais, visiblement, la situation amusait beaucoup son mari qui
insista, un peu lourdement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Et en
plus, j’expliquais juste à notre ami une question de vocabulaire
néerlandais. Comme on le dit, je pense, en français « il n’y
a pas de quoi en fouetter un chat ! » C’est bien
l’expression, n’est ce pas ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ce retour aux
questions lexicales nous permettait de revenir sur un terrain moins
miné, et je m’empressais d’y suivre Paul en confirmant, tout en
cherchant à rester dans le domaine de la légèreté plus que dans
celui de l’enseignement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> </i>«<i> Tout
à fait, Paul, vous connaissez bien nôtre langue. On utilise cette
expression pour signifier qu’une question n’a pas beaucoup
d’importance . </i><i>Mais je n’ai jamais compris pourquoi
on aurait dû fouetter ces pauvres chat !</i><i>»</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Paul était
visiblement fier de mon appréciation et son rire confirma qu’il
avait bien compris ma plaisanterie. Il se réjouit :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Merci,
Fabienne. En effet, j’ai vécu longtemps en France, et j’aime
beaucoup ces expressions … comment dites vous ...imagées ? En
tout cas, tu vois, Ingrid, que j’avais raison ...Fabienne nous le
dit, une petite fessée, ça n’a pas beaucoup d’importance ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Sans me rendre
compte qu’il jouait une fois encore la provocation, je réagis au
quart de tour en m’exclamant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Mais je
n’ai pas dit ça ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Un large sourire
illumina le visage de Paul, et je compris immédiatement que j’étais
entrée involontairement dans son jeu quand il poursuivit
benoîtement:</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ha ?
Vous pensez donc qu’une fessée dans un ménage est une question si
grave ? Et qu’un mari qui pratique de la sorte est une sorte
de monstre ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
J’aurais bien dû
comprendre, qu’une fois encore, Paul jouait les provocateurs. Mais,
une fois encore, mon tempérament que mon mari qualifie de « vif
argent » (et qui a été à l’origine d’un bon nombre de
passages sur ses genoux quand il m’arrive de lui répondre ainsi du
tac au tac sans toujours mesurer la portée de mes paroles) prit le
dessus et je tentais laborieusement de m’expliquer :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Mais
non ! Je ne dit pas cela ! Après tout, chacun fait comme
il veut … enfin je veux dire ...ça dépend…. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je me rendais
parfaitement compte que je m’enfonçais de plus en plus, et Paul
aussi, et il en profita, tandis que mon homme restait silencieux et
ne faisais rien pour me venir en aide :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui, oui
..je comprends...ça dépend ...mais ça dépend de quoi, à votre
avis, Fabienne ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette fois, j’étais
bien décidé à tourner sept fois ma langue dans ma bouche avant de
répondre, et je restais donc muette, me contentant de hausser les
épaules en signe d’ignorance. Mais notre ami ne comptait pas en
rester là et il insista :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Bien
sûr, on ne fouette pas un chat, et encore moins une chatte, si vous
me permettez ce mot … qui je pense a aussi plusieurs sens en
français, sans raison valable. Mais, à votre avis, Fabienne, ce
serait quoi, une raison valable, pour vous ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mon silence ne le
décourageait pas. Il revint donc à la charge, malgré les quelques
mots en néerlandais que lui avait glissé Ingrid :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Vous
pensez que l’oubli de la trousse de secours n’était pas une
« raison valable » ? Peut-être après tout… Mais
je suis sûr que vous conviendrez qu’une épouse qui ordonne à son
mari de se taire devant des invités, même s’ils ne comprennent
pas la langue, ça, c’est une raison valable, non ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ingrid venait donc
de lui dire d’arrêter son petit jeu. Quand elle entendit les
propos de son mari, elle réagit seulement en soupirant, mais cette
fois en français :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ho ..
Paul ..tu exagères ...tu vois bien que tu ennui nos amis ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mais Paul lui
répliqua aussitôt :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je pense
que c’est plutôt toi qui va être ennuyée tu sais …. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette fois, le ton
n’était plus moqueur, et le geste de Paul, la main ouverte, était
sans ambiguïté.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1973_1145306963"></a>Basculements</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1975_1145306963"></a><i>« Quand
le vin est tiré ... »</i></h2>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Sans que je puisse
vraiment préciser à partir de quel moment, mais de manière
évidente tout de même, le ton et donc l’ambiance avait changé.
Nous étions passés de celui de la plaisanterie un peu légère à
autre chose. Si Paul gardait le premier quand il s’adressait à
moi, et même si une partie de leurs échanges nous échappait
puisqu’ils parlaient dans leur langue maternelle, ceux entre lui et
son épouse nous semblaient bine être d’une autre nature. Et la
main ouverte de Paul, assortie de sa remarque prononcée, elle, en
français, apparaissait bien comme une menace. Ingrid semblait en
être elle aussi consciente. Elle s’était imperceptiblement
raidie, et je remarquais qu’elle tripotait nerveusement la
ceinture de sa longue robe. Elle tenta bien de balbutier, en
mélangeant le français et le néerlandais, signe de son trouble :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Mais
… Paul ...Je wielt niet ...tu ne penses pas ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mais son mari
l’arrêta d’un geste de la main et lâcha :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ha …
ma chérie ...il y a une autre expression en français tu sais ...qui
dit « quand le vin est tiré, il faut le boire » C’est
bien cela,n’est-ce-pas mon cher Jacques ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La question ne
portait bien entendu que sur le sens de l’expression, et mon mari
se vit contraint de répondre affirmativement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Heu …
oui, en effet, c’est ce que l’on dit ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Paul sourit une
nouvelle fois en disant :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Tu vois
… je ne lui fait pas dire ... »</i></div>
<h3 class="western" style="font-style: normal;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1977_1145306963"></a>
Le mot tabou</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et, mais se tournant
cette fois vers moi, les yeux un peu plissés, il me demanda
tranquillement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Dites-moi,
ma chère Fabienne, s’il vous arrivait d’être aussi ...insolente
comme vous le disiez tout à l’heure à l’égard de votre mari en
présence d’invités ...que se passerait-il ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La question, dans ce
contexte, était bien sûr déroutante. La sagesse aurait
probablement été, pour moi, de trouver une pirouette pour répondre,
ou plutôt pour ne pas répondre. Mais j’étais tellement
embarrassée par la question que je ne sus que bredouiller :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Heu
..enfin ..je ne sais pas ...je n’ai jamais ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Loin de me venir en
aide, Jacques m’enfonça encore plus dans la gêne en murmurant,
sans que l’on sache vraiment à qui il s’adressait :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Hum …
ça, ce n’est pas sûr ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La remarque me
stupéfia, mais elle ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd, et
Paul enchaîna :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Vous
voyez, Fabienne … »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ses yeux clairs
étaient maintenant rivés aux miens quand il poursuivit :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Comment
réagirait votre mari dans ce cas là Fabienne ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Une fois encore, je
me suis sentie prise au piège. Paul attendait ma réponse, sans
baisser les yeux. Quand je tournais les miens vers mon mari, il se
contenta de me regarder, les sourcils levés, sans rien dire pour
m’aider. Je regardais alors Ingrid qui continuait à tripoter la
ceinture de sa robe, cette fois avec les yeux baissés, dans une
attitude de petite fille qui a fait une bêtise. Elle murmura
seulement, très bas, et en me tutoyant pour la première fois, sans
que je puisse déterminer si c’était volontaire ou le signe de son
embarras :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ho …
tu peux répondre, tu sais ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il n’y avait
ainsi pas de porte de sortie, pas d’alternative, il me fallait
répondre à la drôle de question de notre ami néerlandais.
Peut-être à cause de l’attitude d’Ingrid, je m’entendis dire,
d’une voix étranglée, et je dirais presque sans avoir vraiment
« décidé » de ma réponse :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je
...il ...il ferait ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je m’embrouillais,
je bafouillai, puis je lâchait, comme on se jette à l’eau :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Je
pense que ...qu’il ...qu’il ferait comme vous, monsieur »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Depuis notre
rencontre, j’avais toujours appelé Paul par non prénom, comme il
faisait à mon égard. Pourtant le mot de « monsieur »
m’était venu aux lèvres. Et je suis sûre que Paul l’a bien
remarqué puisqu’il a poussé encore son avantage :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Il
ferait quoi, Fabienne ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je ne levais pas les
yeux, j’étais vaincue, et je soufflait :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« ...la
fessée, monsieur »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Le mot était sorti.
Le mot tabou. Le mot qui planait cependant au-dessus de nous depuis
le début de notre discussion. Je n’étais pas la première à le
prononcer, Paul s’était visiblement amusé à le dire à plusieurs
reprises, et même en deux langues ! Mais, là, c’était bien
moi qui l’avait prononcé. A voix basse, certes, mais audible par
tous. Et qui plus est, je venais tout simplement d’indiquer qu’il
arrivait à mon mari de me la donner. La réflexion d’Ingrid se
réjouissant « qu’il n’y ait pas que chez elle »
m’avait bien fait comprendre … qu’elle avait compris. Mais, si
je ne l’avais pas démentie, je n’avais pas non plus confirmé la
chose. Et voilà que je venais de le faire. Je venais de révéler à
des gens que je ne connaissais pas la veille ce que je n’avais
jamais dit à personne. Ni dans ma famille, ni à mes plus proches
amies. Et je suis persuadée que Jacques n’avait, d son côté,
jamais dit à personne qu’il lui arrivait de déculotter sa femme
pour lui tanner la peau des fesses. Je ne peux même pas dire que
j’y avais été contrainte. Personne ne m’avait rien imposé. Et
pourtant, je ne peux le nier, je venais bel et bien de dire très
clairement que, quand il m’arrivait d’être insolente, je
recevais la fessée de mon mari.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1979_1145306963"></a>En
pays de connaissance</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Un long moment de
silence suivit ce qui était bien un aveu. Ingrid était restée dans
la même position, debout, tête un peu baissée. Mon mari n’avait
pas bronché, si ce n’est qu’en me lançant un bref coup d’œil
bienveillant. C’est donc Paul qui réagit le premier :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ben
voilà ! Tu vois, ma chérie, que nous sommes en pays de
connaissance ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ce n’était pas
une question, et Ingrid n’eut donc pas à y répondre. Mais il me
semble qu’elle était subitement devenue vraiment plus pâle. Son
mari était resté assis sur un fauteuil, il s’avança un peu et,
tranquillement, j’oserais presque dire tendrement, il s’adressa à
sa femme, tout en tapotant sur sa propre cuisse. D’une voix
maintenant vraiment blanche, Ingrid tenta une phrase en néerlandais,
mais son mari interrompit :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Allons
… tu sais bien que c’est nécessaire ...ne rends pas les choses
plus difficile pour tout le monde... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Les choses étaient
claires maintenant, il ne pouvait plus y avoir de doutes. Paul avait
bel et bien l’intention de flanquer la fessée à sa femme séance
tenante ! Et mon aveu était, même indirectement, l’élément
déclencheur de sa décision. Il indiquait sans barguigner que,
puisqu’il était acté que mon mari et moi pratiquions ainsi, rien
ne s’opposait à ce qu’il agise en notre présence. Une nouvelle
fois, j’échangeais un bref coup d’œil avec Jacques, qui me
répondit en levant les sourcils en signe d’impuissance, comme s’il
voulait me dire « que veux tu que j’y fasse ? »
ou, pire, « tu ne peux t’en prendre qu’à toi ... »
Il ne manifestait en tout cas nullement l’intention, ni
d’intervenir, ni même de partir. Et, je dois bien me l’avouer,
je n’ai pas non plus eu une seule seconde l’idée qu’après
tout, rien ne nous imposait d’assister à ce que nous avions bien
compris qui allait se passer. Nous aurions pourtant très bien pu
nous esquiver, avec un vague « bon ...et bien nous allons vous
laisser » Mais, encore une fois, ni mon mari ni moi n’en
avons pris l’initiative. Nous restions là, tous les deux, sans
nous rendre vraiment compte, sur le moment, que notre présence
valait, finalement, acceptation, voire approbation. Et les derniers
mots de Paul, « pour tout le monde » montrait bien que
notre présence faisait partie intégrante de l’épreuve qu’allait
subir son épouse.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1981_1145306963"></a>Devant
nos yeux</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1983_1145306963"></a>« Je
dois … ? »</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La résistance de
celle-ci ne fut d’ailleurs qu’une sorte de baroud d’honneur.
D’une certaine manière, je pense qu’elle avait compris depuis
déjà un moment qu’elle n’échapperait pas à ce que son mari
avait en tête. Du reste, quand elle m’avait dit que « je
pouvais répondre », et sachant qu’elle savait déjà ce
qu’il en retournait – si j’ose dire – elle ne pouvait ignorer
qu’elle m’autorisait, en quelque sorte, à donner le feu vert à
son mari. Elle soupira juste :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Nou
...sinds het ... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et elle se rapprocha
de son mari. Avant de s’installer comme celui-ci lui indiquait
clairement d’un geste, elle demanda, toujours en néerlandais :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Hef
mijn rok ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Bien sûr, ni
Jacques ni moi n’avions compris ce que nous avions cependant bien
entendu comme une question, mais ce que fit Ingrid après le bref
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ja
natuurlijk »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
de son mari, ce
qu’elle avait demandé devint évident. Puisqu’elle entreprit
méthodiquement de relever sa longue jupe, qu’elle ramena au dessus
de sa taille. Comme nous l’avions aperçu par la fente sur le côté
de celle-ci, elle ne portait pas de bas. Ses jambes, longues et
musculeuses, étaient nues. Elle retira aussi ses sandales, et resta
quelques secondes ainsi, nue jusqu’à la taille à l’exception
d’une culotte crème, qui moulait un derrière visiblement rond.
Paul n’eut même pas besoin de réitérer son geste pour qu’elle
se penche et s’allonge au travers des cuisses de son homme, en
appuyant ses mains au sol. Paul arrangea la rober retroussée en la
relevant un peu plus sur les reins de sa femme, puis, posément, il
fit glisser la culotte sur les fesses, et la descendit jusqu’aux
genoux. Comme nous l’avions déjà deviné à la vue de sa culotte,
le cul d’Ingrid était une sphère presque parfaite. Une sorte de
ballon, visiblement ferme et musclé. Avec une raie fessière réduite
à une sorte de coups de couteau dans une pomme. Très différent, je
m’en fis mentalement la remarque, et je suis bien sûre que mon
mari a eut la même idée, de mon popotin confortable. Ingrid ne
correspondait certainement pas au stéréotype de la « grosse
batave » Bien au contraire, ses cuisses étaient plutôt
fuselées, et je m’étonnais presque que des jambes aussi minces
puissent être surmontées d’un derrière aussi joli. Par contre,
sa peau avait bien cette blancheur presque diaphane des femmes – et
des hommes – des Pays – Bas. On distinguait même, sur le blanc
laiteux des fesses, une myriade de grains de beauté. Je savais,
puisqu’elle me l’avait dit, qu’elle avait déjà reçu une
fessée la veille au soir, et que ses fesses s’en ressentaient
encore. Pourtant, elles étaient redevenues parfaitement blanches.
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1985_1145306963"></a>Comme
un métronome</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Paul passa la main
ouverte sur les rondeurs offertes, un peu comme s’il voulait les
épousseter. Puis, sans transition, il la leva et l’abattit sur le
cul de sa femme. Sa grande paluche semblait couvrir presque
entièrement celui-ci. Le bruit de la claque, qui résonna dans la
pièce, était suffisant pour que l’on comprenne ce qu’Ingrid
avait voulu dire quand elle m’avait confié qu’il « n’y
allait pas de main morte » Sa main se levait et s’abaissait,
régulière comme un métronome. Il fessait régulièrement,
tranquillement, méthodiquement. Je remarquais aussi que les claques
atteignaient à chaque fois les deux fesses en même temps, alors
que, quand Jacques me donne la fessée, chaque fesse est frappée à
son tour. Comme la peau des nordiques vire vite au rouge brique quand
ils s’exposent au soleil, celle du derrière d’Ingrid rougit dés
les premières claques. Après une dizaine de gifles, son cul était
déjà écarlate. Malgré la vigueur évidente des coups qui
s’abattaient sur son postérieur, Ingrid restait curieusement
immobile, presque hiératique. Seuls ses orteils se crispaient au
rythme des claques. Elle restait aussi silencieuse, ne lâchant, à
chaque nouvel assaut, qu’une sorte de « han » étouffé
et guttural, bien loin de mes cris de souris, quand ce ne sont pas
mes hurlement de cochon qu’on égorge ! Ingrid ne laissa
échapper un vrai cri, bref et aigu, que quand, deux ou trois fois,
la main de son mari frappa non le derrière mais le haut des cuisses.
Et je sais, par expérience, qu’en effet, la peau y est beaucoup
plus sensible.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Je suis bien entendu
tout à fait incapable de dire combien de claques reçu Ingrid, ni si
la fessée qu’elle subit fut plus ou moins longue que celles que je
recevais régulièrement. Il me semble cependant qu’en effet, Paul
frappait, sinon plus longtemps en tout cas plus fort que Jacques.
Bien qu’Ingrid n’exprimait pas sa souffrance, je ne doutais pas
un instant que cette fessée soit douloureuse pour elle. Qu’elle
l’aurait été de toutes manières, et qu’elle devait l’être
encore plus sur un derrière qui, elle me l’avait dit, se
ressentait encore de la fessée de la veille. D’une certaine
manière, je ressentais, presque physiquement, la violence de cette
fessée, la première à laquelle j’assistais sans en être la
victime. Pourtant, pour être parfaitement honnête, si j’étais en
pleine empathie avec elle, je ne la plaignait pas vraiment. Ou plus
exactement, je ne me révoltais pas de la voir traiter ainsi. Je ne
ressentais ni colère ni dégoût à l’encontre de Paul.Et même,
je n’aspirais pas vraiment à ce que la fessée cesse. Je l’avoue,
bien que la situation soit, pour le moins, extraordinaire, elle me
semblait étrangement normale. Dés lors que la fessée avait
commencée, il me semblait qu’elle était en quelque sorte dans
l’ordre des choses.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Quand la main
implacable cessa ses aller et retour, Ingrid resta encore immobile,
allongée sur les genoux de son homme, qui se frottait les mains
l’une contre l’autre, comme si elles avaient elles aussi
souffert. Visiblement, elle reprenait son souffle, et le rythme
normal de sa respiration. Puis, lentement, elle se leva, en passant
ses paumes ouvertes sur son derrière endolori. Inconsciemment
peut-être, elle piétinait d’un pied sur l’autre. Et quand elle
se retourna, nous avons pu voir que des larmes avaient coulé sur son
visage. Ainsi, si elle était parvenue à réprimer ses cris et à
rester étrangement stoïque, Ingrid n’avait cependant pas pu
retenir ses larmes, qui montraient combien la fessée avait été
sévère et douloureuse. En même temps, avant qu’elle ne fasse
retomber sa longue robe, nous avions pu aussi entrevoir furtivement
sa foufoune, et j’avais remarqué qu’elle n’était protégée
que par une mince bande de poils courts. En effet, elle ne remonta
pas sa culotte, mais au contraire elle la laissa tomber jusqu’à
ses pieds avant de la retirer complètement et de la déposer sur la
table basse où traînaient encore les verres de l’apéritif.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ingrid nous adressa
un sourire contraint, comme pour nous rassurer, puis elle alla
s’agenouiller sur le canapé et demanda, cherchant visiblement à
retrouver une voix normale :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Paul …
nous pourrions peut-être boire un coup maintenant ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1987_1145306963"></a><i>V</i><i>ous
aussi, Fabienne ?</i></h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-style: normal;">Paul
s’empressa d’aller chercher </span> une nouvelle bouteille de
champagne, non sans avoir auparavant déposer un petit baiser sur les
lèvres de son épouse, ce que je trouvais très tendre, malgré ce
qui venait de se passer. La tension était retombée, et nous avons
trinqué en choquant nos verres. Et c’est alors que Jacques me dit
brusquement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Mais
au fait, ma chérie, nous avions préparé une bouteille pour nos
amis »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
En
effet, comme c’est l’usage, nous avions acheté une bouteille que
nous comptions apporter avec les fleurs, et je me rendis compte que
nous l’avions laissé dans notre appartement. Et, bêtement, je me
suis écrié :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-style: normal;"> </span><i>« Oh,
oui, c’est vrai … je l’ai oubliée sur la table de la
cuisine ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ma
remarque était tout à fait banale. Mais elle prit un tout autre
sens quand Paul remarqua, goguenard :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-style: normal;"> </span><i>« Ha
… vous êtes distraite, vous aussi, Fabienne ... »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
A
la seconde où il prononçait ces mots j’ai eu le sentiment que mon
cœur s’arrêtait de battre. Surtout que, tranquillement, mon mari
commentait :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Eh
oui … Fabienne aussi est parfois distraite ... »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et
plus encore quand Paul insinua, sur le même ton :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Heureusement
qu’ au moins vous n’êtes pas </i><i>insolente ! »</i><i>
</i>
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette
fois, l’allusion était on ne peut plus claire. Ingrid avait été
fessée la veille pour cause de distraction, et ce soir au motif de
sa supposée insolence. Et mon mari venait de faire remarquer qu’il
m’arrivait, à moi aussi de l’être. Et il fait écho au derniers
propos de Paul en confirmant :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ho..
ça lui arrive pourtant ... »</i></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1989_1145306963"></a>Moi
aussi ?</h2>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Personne
n’ajouta de suite à ces deux remarques de nos hommes. Mais je me
rendais bien compte qu’eux deux, tout comme Ingrid, avaient les
yeux fixés sur moi. J’aurais pu faire celle qui ne comprends pas,
mais alors il m’aurait fallu trouver au moins quelque chose à dire
pour changer de sujet. Or je restais bêtement muette. Il est vrai
que j’avais parfaitement compris. Paul venait de faire remarquer
que j’étais, moi aussi, parfois distraite. Et mon propre mari
l’avait confirmé. Or, Ingrid venait, pour ce même motif, de
recevoir, sous nos yeux, une cuisante fessée. Pourtant, personne
n’exprimait ouvertement l’opinion que les mêmes causes devaient
inévitablement avoir les mêmes conséquences. Personne ne me
menaçait. Mais je ne pouvais pas ne pas savoir que les trois autres
avaient la même idée en tête. Or, si j’ai le défaut d’être
parfois un peu impulsive et vive dans mes propos, j’ai aussi, je le
reconnais, celui de ne pas savoir résister à la provocation ou au
petit jeu du « pas chiche » Mon mari le sait, et il lui
est arrivé souvent d’en jouer, ou plutôt de me prendre à mon
propre jeu.
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1991_1145306963"></a>Le
petit jeu du « pas chiche »</h3>
<h4 class="western" style="font-style: normal;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1993_1145306963"></a>
Sans slip</h4>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
C’est
ainsi qu’il lui avait suffit, il y a déjà des années, de faire
allusion, un jour que nous dînions au restaurant, à un article
qu’il avait lu dans une revue masculine et qui prétendait que des
femmes sortaient parfois sans culotte et d’émettre des doutes sur
la réalité de cette information pour que je plonge et lui assure
que cela me paraissait tout à fait plausible. Habilement, il avait
persisté dans son opinion, m’amenant ainsi, à mon insu, là où
il voulait : je m’entêtais dans mon affirmation, et
entraînant un dialogue dont je ne maîtrisais pas la conclusion :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Mais
si, je pense que c’est possible ! Pourquoi pas après tout ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Parce
que je pense qu’il n’y a pas beaucoup de femmes qui oseraient,
voilà tout »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Pourquoi
donc ? Si on ne porte pas de mini jupe, je ne vois pas pourquoi
on oserait pas ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « En tout
cas, moi je sais bien que toi, par exemple, tu ne serais jamais
chiche de faire ne chose pareille »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Moi ?
Pas chiche ? Tu serais bien étonné mon vieux ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Ha
oui ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Mais
bien sûr ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Tu
serais capable de faire ça ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Ben
sûrement ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Tu
serais chiche, toi, d’être sans slip, par exemple au
restaurant ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Bien
sûr ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « </i><i>Ici,
maintenant ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Tout à
fait ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Chiche ?»</i></div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1995_1145306963"></a>« J’aurais
du parier »</h4>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Immédiatement,
je m’étais rendue compte que je m’étais laissée entraînée là
où je n’avais jamais eu l’idée d’aller. Je ne suis pas, et je
n’étais déjà pas à proprement parler pudibonde à l’époque,
mais il ne m’était jamais venu à l’idée de ne pas mettre de
slip, que se soit sous un pantalon, une jupe ou une robe, même
longue. Et pourtant, je venais d’affirmer, et avec quelle
conviction, que cela me semblait presque anodin. Jacques me regardait
avec ce sourire en coin qui parfois m’exaspère. Je savais bien
qu’il m’aurait suffit de reconnaître que j’avais dit cela sans
y croire vraiment pour que les choses en restent là. Mais je savais
aussi qu’il n’aurait pas manqué de se moquer de moi et de mon
habitude de plastronner. Comme quand, devant une attraction
particulièrement vertigineuse dans un parc, i m’était arrivé de
dire, sans réfléchir, « ben ...moi, un truc comme ça, même
pas peur ! » alors qu’en fait l’idée même d’y
monter me terrorisait. Et pourtant, un des amis qui nous accompagnait
avait lancé le fameux « chiche ?»… et je m’était
retrouvée, morte de peur à en faire pipi à ma culotte (eh oui,
j’en avais une, bien sûr, et heureusement étant donné les
cabrioles du manège qui amenaient les jupes à voler très haut,
découvrant largement les cuisses, et au-delà, des femmes, pour le
plus grand plaisir visuel des messieurs restés sur la terre ferme)
sur le fameux jeu vertigineux. Ainsi, dans ce restaurant assez chic,
je me retrouvais dans la même situation. Avec la même conclusion.
Entre la peur et ce qui apparaissait à mes yeux comme un déshonneur,
j’ai choisi d’affronter la première. Crânement, j’ai répondu
« chiche ! » avant même d’avoir réellement
mesuré ce à quoi je m’engageait par cette réponse. La
perspective d’être cul nu en public me terrorisait, d’autant
plus que j’étais bien consciente d’avoir relevé un défi
explicite : le faire « ici et maintenant » Me passer
de culotte là, tout de suite, dans ce restaurant. Et pourtant,
j’étais incapable de faire amende honorable et de reconnaître que
je m’étais avancée sans réfléchir. D’autant que mon mari, me
connaissant bien, en avait rajouté une couche en grommelant :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>J’aurais
dû parier ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
et
en obtenant bien sûr ce qu’il attendait, une fanfaronnade de
plus :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Et
tu aurais perdu mon cher ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> </i><i>« Ok
… je suis bon joueur, je commande la bouteille de champagne ...dés
que .. »</i></div>
<h4 class="western" style="font-style: normal;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1997_1145306963"></a>
La retirer</h4>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il
n’avait pas besoin d’en dire plus, j’étais coincée, je
m’étais mise moi-même dans un piège dont je ne pouvais plus
sortir sans perdre la face. Je ne répondit pas, consciente que
j’étais tellement angoissée que je risquais d’avoir une voix de
fausset. Les jambes un peu flageolantes, je suis quand même parvenue
à me lever, et un peu comme un zombie je me suis dirigée vers les
toilettes. Nous n’avions pas été jusqu’à définir les règles
du jeu, mais il était bien évident que je ne m’étais pas engagée
à retirer mon slip à table (quoi que, par la suite, et dans des
circonstances un peu différentes, mon mari m’ait pourtant amenée
à le faire, mais c’est une autre histoire)<br />
Une fois entrée
dans les toilettes, l’attitude normale (mais la situation
l’était-elle?) de ma part aurait évidemment été d’entrer dans
une des cabines pour y procéder … à ce pourquoi j’étais là
alors que je n’avais aucune envie de faire pipi. Et pourtant, sans
que je sois capable, même aujourd’hui, de savoir pourquoi je fis
ainsi, je restais devant les lavabos, et donc devant les miroirs. Je
m’y voyais, seule dans cette salle carrelée. Avec ma petite robe
noire classique et stricte. Je savais qu’une autre cliente pouvait
entrer à tout instant. Je passais alors vivement les mains sous ma
robe, le la troussais assez haut sur mes cuisses, je passais les
pouces dans l’élastique de ma culotte, et, prestement, je la fis
descendre jusqu’à mes mollets. Je levais ensuite une jambe, puis
l’autre, pour retirer complètement ce petit bout de tissus noir,
que je roulais en boule dans la paume de ma main. Mon émotion était
telle, quand j’avais quitté la table, que j’avais laissé mon
sac à main accroché au dossier de ma chaise. Je n’avais donc
d’autre solution que de garder la preuve que j’avais rempli mon
contrat cachée dans ma main. Il est vrai que, bien que je n’ai pas
de si grandes mains, mon slip était assez fin et léger pour y être
dissimulé dans difficulté. Je pris le temps que mon cœur, qui
s’était emballé durant l’opération, reprenne un rythme plus
normal. Machinalement, je remis mes cheveux en place avant de sortir.
</div>
<h4 class="western" style="font-style: normal;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1999_1145306963"></a>
La traversée</h4>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Sans
conteste, le plus difficile fut, pour moi, de traverser la salle de
restaurant pour rejoindre mon mari à sa table. Il n’y avait qu’une
dizaine de mètre parcourir, mais ils me parurent interminables.
J’avais le sentiment, physique, de dizaines de regards sur mon
arrière train. Que je traversais cette salle toute nue.
Raisonnablement, je savais bien que personne ne pouvait deviner que
je ne portais plus rien sous ma robe. Celle-ci n’était pas si
moulante qu’on ait pu y deviner la marque du slip quand il y en
avait un, et donc son absence quand il n’y en avait plus. Mais
j’étais loin de penser raisonnablement. Mes oreilles bourdonnaient
du brouhaha des conversations des convives. Je voyais ceux-ci comme
dans une sorte de brouillard. J’arrivais pourtant à rejoindre sans
trébucher la table où trônait déjà la bouteille de champagne
promise. Je m’assis, j’étendis mon bras sur la table, en
direction de mari, il me prit la main ...et il comprit.</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2001_1145306963"></a>Oui,
je le suis !</h3>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2003_1145306963"></a>Distraite
et insolente</h4>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette
fois, personne ne me mettait ouvertement au défi. Personne n’avait
lancé le fameux « chiche ? » Mais la remarque de
mon mari me mettait de fait dans la même situation. Paul venait se
faire semblant de demander si « à moi aussi » il
arrivait d’être distraite, et mon mari de le lui confirmer, alors
qu’Ingrid avait été copieusement fessée la veille sous ce
prétexte. Elle l’avait été une nouvelle fois, cette fois en
notre présence, pour sa prétendue insolence. Et mon mari venait
d’affirmer qu’il m’arrivait, à moi aussi, de l’être. Il
aurait fallu que je sois bien peu lucide pour ne pas comprendre à
quoi pensait l’un et l’autre. J’aurais pu faire comme si je ne
comprenais pas, et tenter d’esquiver l’obstacle. Mais, une fois
encore, ce que l’on peut peut-être appelé ma fierté, ou mon
orgueil, me l’interdisait. Nier qu’il m’arrive d’être
insolente, aurait été accuser mon mari de mentir, et aurait donc
été paradoxalement la preuve qu’il disait la vérité. Je ne
pouvais pas ne pas comprendre qu’admettre qu’en effet, il
m’arrivait d’être et distraite et insolente, c’était concéder
que je me comportais comme Ingrid, donc, implicitement, convenir que
je doive en subir les mêmes conséquences. Je ne peux pourtant pas
dire que j’ai, consciemment, décidé de prononcer les mots qui
m’amèneraient à être traitée comme l’avait été Ingrid. Je
ne me suis pas dit lucidement « je vais accepter de recevoir
une fessée, ici et maintenant » Je ne me suis pas vraiment
projetée dans ce qui allait suivre. Pourtant, je ne peux pas non
plus dire que je n’étais pas consciente des conséquences de mes
propos. Je les ai pourtant tenus.</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2005_1145306963"></a>Et
j’assume !</h4>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
J’ai regardé mon mari, puis Ingrid, puis Paul. Aucun d’eux ne
m’a ni encouragée, ni tenté de me décourager. J’ai pourtant eu
le sentiment, étrange, que leurs regards étaient bienveillants.
Qu’ils ne cherchaient pas à me contraindre, ni même à me pousser
à aller là où, pourtant, je sentais devoir aller. Alors, aussi
calmement que possible, sans être ni provocatrice ni non plus
larmoyante, j’ai dit :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« En
effet, il peut m’arriver de l’être »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et
comme si cela ne suffisait pas, ou peut-être pour m’éviter – ou
éviter à Paul ou à mon mari d’insister – j’ajoutais :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Et
je l’assume ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Les
dés étaient jetés, je le savais. Je les avais jeté moi-même.
Arrêter les choses n’était plus envisageable. J’étais resté
longtemps sur le plongeoir, et j’avais fini par plonger. J’allais
subir ce que venait de subir Ingrid. Dire que je l’avais voulu
serait très excessif. Mais je ne peux pas non plus dire que cela
allait m’être imposé. J’allais être fessée. Fessée
publiquement, fessée « devant tout le monde » selon
l’expression qu’avait parfois utilisé mon mari en termes de
menaces qu’alors j’avais interprété comme en l’air. J’allais
être fessée cul nu. J’allais être déculottée. J’allais avoir
le derrière mis à nu. On allait découvrir la lune. Deux personnes
que je ne connaissais pas deux jours plus tôt allait voir mes
fesses. Mon « cul tout nu » Cette seule idée aurait dû
me faire entrer sous terre de honte. J’aurais du prendre mes jambes
à mon cou et tenter de me sauver. Ou au moins de tout faire pour que
cela n’arrive pas. Mais, même si je comprends bien que cela puisse
apparaître comme plus que paradoxal, et même incroyable, j’étais
étonnamment calme. Presque sereine.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2007_1145306963"></a>A
mon tour</h2>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
En effet, aussi extraordinaire que pouvait être la situation dans
laquelle je m’étais mise, je la trouvais presque normale. J’avais
déjà été fessée, j’allais l’être une nouvelle fois. Comme
Ingrid l’avait été en notre présence, j’allais l’être en
présence de son mari et d’elle-même. Voilà tout.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2009_1145306963"></a>« Installez-vous,
cher ami »</h3>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Je n’attendis même pas que mon mari m’y invite pour me lever.
J’étais prête, comme l’avait dit Paul « le vin était
tiré », il n’aurait servi à rien de faire durer les choses,
et surtout pas les prémices. Paul s’était levé, lui aussi et
avait proposé à mon mari de prendre sa place sur le fauteuil en
précisant :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Installez-vous donc à ma place, mon cher Jacques, ce
sera plus confortable, pour tous les deux »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Si la notion de « confort » restait bien énigmatique en
ce qui me concerne, il faut bien convenir qu’en effet, le fauteuil
sur lequel Paul invitait mon mari à s’asseoir était plus adapté
à ce que nous savions tous devoir advenir. Jacques changeât donc de
place, et s’installa exactement dans la même position que Paul
quelques instants auparavant.
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2011_1145306963"></a><span style="text-decoration: none;">V</span><span style="text-decoration: none;">ision</span><span style="text-decoration: none;">s</span></h3>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="text-decoration: none;">Comme
l’avait fait Ingrid, et en laissant mon regard errer dans le vide,
je m’approchais de ce fameux fauteuil, et, sans même poser la
question, tant la réponse était en effet évidente, je retroussais
ma robe jusqu’à ma taille. A la différence d’Ingrid, et
peut-être parce que je suis frileuse, j’avais mis des bas « qui
tiennent seuls » Je n’aime pas les collants, et mon mari ne
m’a jamais caché qu’il adore les bas, même si ce n’est que
quand nous sortons qu’il m’arrive de céder à sa demande
insistante de mettre un porte – jarretelles. Même – ou parce que
- si je sais d’expérience que mon cher époux trouve très
troublant mon derrière dénudé quand il est, selon son expression
« encadré » par le slip descendu sous les fesses et la
ceinture et les jarretières. Je n’attendis pas non plus
l’invitation de Jacques pour m’allonger sus ses genoux. Peut-être
est-ce que je réagissais comme les animaux qui mettent la tête dans
le sable, mais, en effet, dans cette position, je ne voyais plus
personne. Si la situation était pour le moins troublante pour moi,
je constatais, dés que je fus allongée, qu’elle n’était pas
non plus sans effet sur mon homme. Pour dire les choses sans
barguigner, je sentis immédiatement la rigidité de son érection
sur mon bas-ventre. Curieusement, à partir de ce moment là, j’ai
l’impression d’avoir assisté à la scène comme si j’en étais
non l’actrice mais la spectatrice. Je veux dire pas là que j’ai
le sentiment d’avoir « vu » la scène presque de
l’extérieur. J’avais pleinement conscience d’être là, la
jupe troussée haut, allongée au travers des cuisses de mon mari, en
petite culotte. Une petite culotte beige, plutôt enveloppante, </span><span style="text-decoration: none;">mais
qui ne couvrait cependant pas la totalité de mon globe fessier,
laissant, de chaque côté, un large croissant de peau nue. Et petite
culotte qui allait, je le savais bien, être baissée. Je ne peux
donc pas dire que je fus offusquée ou même étonnée quand je
sentis les doigts de mon mari se glisser sous l’élastique de la
ceinture, et ma culotte descendre. Réflexe ou force de l’habitude,
je sais même que j’ai docilement levé un peu le bassin pour
faciliter les choses. Et, en effet, la culotte continua de glisser.
Jacques la fit même descendre jusqu’à mes chevilles. Force de
l’habitude encore, ou réaction machinale, je pense que j’ai
écarté un peu plus les jambes pour éviter que la culotte ne tombe
par terre, en la tendant entre mes chevilles. Même si ce n’était
en rien l’objectif, je ne peux ignorer qu’en ce faisant je
risquais de plus encore laisser voir mon intimité la plus secrète.
Bien qu’elle soit parvenue à rester étonnamment stoïque et
immobile sous la fessée, nous avions distinctement aperçu la
foufoune rosée d’Ingrid quand elle recevait sa fessée. Je ne
pouvais ignorer qu’il en était de même pour moi. Être
déculottée, </span><span style="text-decoration: none;">ce n’est
pas seulement « montrer son cul », c’est aussi, c’est
inévitable, laisser voir son abricot, voire même, quand la fessée
s’intensifie, l’autre petit trou. Une fois encore, dans la vie
ordinaire, je suis plutôt prude, mais il fat dire que nous n’étions
pas dans la vie ordinaire. Je ne suis en tout cas nullement
exhibitionniste, et pourtant, ce léger écartement des jambes
accentuais le risque de laisser voir le plus secret de ma personne. A
la vérité, j’aurais tout à fait pu rester les jambes serrées,
même si je sais que sous la vigueur d’une fessée cuisante j’ai
tendance à gigoter, et donc à quand même laisser voir ce qui
devrait rester le plus caché. Après tout, mon mari n’avait en
rien émit l’exigence que mon slip reste en place. Je ne sais donc
vraiment pas pourquoi je fis en sorte avec tant d’application qu’il
ne tombe pas. Volonté d’autant plus paradoxale, on le verra, qu’à
l’issue de la fessée, je le retirerais, comme Ingrid l’avait
fait avant moi. </span>
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2013_1145306963"></a>Bruits</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Curieusement aussi,
et même si j’ai bien conscience qu’une feme qui n’a jamais
reçu la fessée puisse avoir du mal à le croire, j’ai « entendu »
la première claque tomber avant de la « sentir » Je
pourrais presque dire que c’est le bruit, net, sec et clair de
cette première claque qui m’a fait comprendre que la fessée était
commencée. Je sais d’expérience (ou plus exactement parce que mon
mari, qui ne déteste pas parfois me proposer une sorte de
« débrifing » de mes fessées, me l’a dit) qu’au
début d’une fessée, mon derrière est, selon son expression
« contracté, dur, fermé » Autrement dit, plus
trivialement, je serre les fesses. Et le son des claques est alors,
en effet, clair et claquant. Selon une autre expression, que j’ai
trouvé poétique (eh oui!) de mon mari, les frappes sur mon cul
sonnent « comme des coups de feu dans l’air d’un hiver »
J’ai donc entendu ce claquement sonore résonner dans le silence de
la pièce avant que l’impact fasse naître la douleur. Une douleur,
comme d’habitude, foudroyante. Comme à son habitude, et différant
ainsi de la pratique de notre hôte, mon homme marqua un temps
d’arrêt avant d’abattre sa main sur mon autre fesse. Le temps,
pour moi, d’avoir la sensation que la douleur s’étale, se
répand, pénètre dans mon derrière.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2015_1145306963"></a>Sensations</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et même se diffuse
en quelque sorte dans tous mon corps. Comme une vague qui déferle,
puis s’étend sur la plage, avant, lentement, de se retirer, tout
en laissant sa trace. Avant qu’une autre vague vienne s’abattre,
en l’occurrence une autre claque sur l’autre fesse. Claquement,
impact, douleur, étalement, et nouvelle claque. Cette fessée
publique fut-elle pus douloureuse que celles que j’avais reçu
auparavant ? Je ne sais pas, je ne crois pas, peut-être pas.
Elle ne fut cependant certainement pas un simulacre de fessée. Mon
mari officia avec force et vigueur, comme il dit, et je dirais mêe
avez zèle. Il s’appliquait, le bougre ! Il fessait avec soin,
avec sérieux, avec méthode. Fesse droite, fesse gauche. Parfois à
plat, parfois sur le haut du derrière, proche des reins, d’autres
fois à la limite des cuisses, faisant tressauter mon globe fessier.
J’ai l’impression qu’il veillait à distribuer les frappes sur
toute la surface offerte à sa main, et aux yeux des deux
spectateurs. En tout cas, très vite, j’ai eu la sensation que
toute la surface de mon derrière était porté à ébullition. Oui,
en un mot comme en mille, je dégustais. Oui, plus simplement, cette
fessée me fit mal aux fesses, très mal. Comme d’autres que
j’avais reçues avant celle-là, et, j’en suis persuadée, comme
d’autres que je en manquerais pas de recevoir par la suite. Quoi
que j’en ai dit ci-dessus, le fait d’être ainsi déculottée en
public, de montrer ma lune sans voile, d’être punie comme une
gamine ou comme une soubrette, c’était à l’évidence en soi une
épreuve. Difficile. Mais pas seulement une épreuve pour mon ego,
pour ma pudeur ou pour ma fierté. Elle fut d’abord douloureuse
pour mes fesses ! Et c’est peut-être, justement, cette
douleur qui me permit de presque « oublier » que je
prenais cette volée devant les yeux de deux quasi inconnus.
D’oublier que ceux-ci me voyait, pour dire les choses tout
simplement, « le cul nu » Qu’ils voyaient mon
postérieur rougir, devenir carmin. Qu’ils voyaient mes fesses
ballotter au rythme des claques. Qu’ils voyaient mes jambes
gigoter, s’agiter. Qu’ils voyaient mes fesses tenter de résister,
se crisper, se serrer, puis, même si je n’en ai pas eu conscience,
abandonner la lutte, céder, renoncer, se relâcher. La vallée qui
les sépare s’entrouvrir, s’élargir, s’épanouir comme un
fruit mûr. Et donc, inévitablement, offrir aux regards ds
assistants, une vue plongeante sur ce qu’on appelle pudiquement mon
intimité, et plus vulgairement ma foufoune, si ce n’est mon petit
trou.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Oui, j’en suis
persuadée, j’ai été beaucoup moins stoïque qu’Ingrid. Moins
résistante, peut-être parce que moins habituée. Elle était
parvenue à rester quasiment immobile malgré la violence de ce que
subissait son cul. Et aussi presque muette, si ce n’est quelques
grognements étouffés. Moi je fus sûrement plus démonstrative,
plus expressive. Oui, j’ai gigoté, je me suis agitée, je me suis
débattue, et mon mari a du avoir quelques difficultés à me
maintenir sur ses genoux, sa main gauche appuyée sur mes reins. Oui,
j’ai exhalée ma douleur. Ho, certes, je n’ai pas hurlé à la
mort. Je n’ai pas ameuté le voisinage par mes clameurs. Je n’ai
pas braillé comme si on m’écorchait vive. Mais, je l’avoue,
j’ai exprimé ma douleur. Par ce que mon mari appelle « mes
cris de souris prise au piège », par des « aille »,
des « ouilles », des « haaa ! ». Des
cris, des plaintes, des soupirs.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Cette fessée
fut-elle plus ou moins longue que celle qu’avait subie notre amie
néerlandaise ? Franchement, je n’en sais rien. Je suis bien
incapable de savoir si j’ai reçu plus ou moins de claques qu’elle.
J’avais pour tout dire autre chose à penser qu’à les compter.
Elle fut en tout cas assez longue pour que sa fin soit la bienvenue !
Car, heureusement pour mes fesses, cette fessée eut une fin. Et, là
aussi, c’est presque d’abord le silence qui succéda au
crépitement qui m’indiqua la fin. Un silence soudain épais,
lourd.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2017_1145306963"></a>Pleurs</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Même pas brisé par
mes sanglots ou mes reniflements, comme ça avait été le cas, tout
à l’heure, pour Ingrid. Non, malgré l’état de mes fesses, bien
qu’elles aient été dévastées, ravagées, labourées, je n’avais
pas pleuré. Mes joues n’étaient pas couvertes de larmes comme
celle d’Ingrid. Je suis cependant, comme elle, resté quelques
instants allongée sur les genoux de mon mari. Comme une poupée de
chiffon, comme une marionnette dont on aurait coupé les ficelles.
Avant de me relever, je me suis laissée glisser des genoux de mon
fesseur. Je me suis retrouvée ainsi par terre, presque en position
fœtale. Puis je me suis redressée, mise à genoux, avant de tenter
de me relever. Sans succès, mes jambes étant tellement molles
qu’elles avaient du mal à me porter. Ingrid vint alors à mon
secours. Elle m’aida à me lever, me prit dans ses bras, m’enlaça,
en me murmurant à l’oreille :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Tu
as été superbe, tu sais ... »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et
ce n’est qu’à ce moment que, comme si une bonde avait sautée,
que je me suis mise à sangloter dans ses bras. Même si mes fesses
étaient encore brûlantes et douloureuses, ce n’est pourtant pas
cette douleur qui causait ces pleurs.Ils étaient plutôt la
conséquence d’une rupture entre ce que je venais de subir et la
douceur d’Ingrid. Je venais de vivre des moments d’une intensité
physique comme psychiques inimaginables. Et, maintenant, une sorte de
trop plein débordait. Je pleurais à chaude larmes, avec des
sanglots enfantins. Ingrid m’amena jusqu’au canapé, où je
m’installais à genoux, incapable de poser mes fesses trop
sensibles, et retrouvant lentement mon calme. Mon mari est venu me
rejoindre. Il m’attira contre lui, et, lui aussi murmura :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui,
tu as été très courageuse, ma chérie »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Sans
que je m’en aperçoive, ma culotte était restée au sol, glissant
de mes pieds quand je m’étais relevée. Ma robe était retombée,
sans que je sache si oui ou non nos hôtes avaient pu apercevoir ma
foufoune comme nous avions entrevu celle d’Ingrid. Ont-ils vu mon
buisson frisé ? Je n’en sais rien. Ingrid a ramassé mon
slip, et, avec un sourire complice, elle l’a posé sur la table
basse, à côté de la sienne, en soufflant :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Il
vaut mieux qu’elle reste là, n’est-ce pas ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
J’approuvais
d’un signe de tête, en ébauchant un sourire.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Paul
me tandis un verre, que je bus d’une traite. Il remplit aussi les
verre des autres, puis leva le sien en disant :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« A
la santé de nos femmes, à leur courage, et à leur beauté, et
surtout à l’amour ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Nous
avons alors tous les quatre heurtés nos verres – en nous regardant
dans les yeux – et partagé ce toast. Curieusement, il n’y avait
pas une once de gêne entre nous. L’ambiance était devenue presque
étonnamment normale. Comme s’il était finalement très banal que
deux épouses soient successivement fessées cul nu.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2082_156196978"></a>Partage</h3>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Et
avant que nous repartions dans notre appartement, Paul nous dit, mais
sans la moindre ironie cette fois :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Merci</i><i>,
mes amis. Merci pour cette soirée qui, croyez-moi, restera dans nos
mémoire et dans nos cœur, à ma femme et à moi. Merci à vous, mon
cher Jacques, pour votre ouverture d’esprit. Merci d’avoir
compris ce que nous sommes, Ingrid et moi. Merci de nous avoir
accepté comme tels. Et merci de nous avoir rejoints. Merci aussi à
toi, ma chérie. Je sais que je t’ai demandé beaucoup ce soir. Je
sais aussi qu’il t’a fallu du courage pour faire ce pas. Nous
savons aussi qu’il en a fallu aussi beaucoup à Fabienne pour nous
accompagner. »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ce
n’est qu’à ce moment que j’ai compris que, pour Ingrid, ce que
nous venions de vivre était aussi « une première »
J’osais pourtant en demander la confirmation :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« C’était
aussi la première fois pour toi ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Peut-être
parce qu’il était plus ému qu’il ne voulait le laisser
paraître, Paul tenta bien de plaisanter encore une fois en disant :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Ho
non, chaque fois que nous rencontrons des amis, Ingrid en prend une
bonne ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mais
celle-ci le fit taire d’un regard et, mais fort sérieusement, elle
répondit à ma question :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Oui,
c’était la première fois. Pas que je recevais une fessée, vous
‘avez bien compris. Mais la première fois que d’autre que celui
qui me la donne y assistait. »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Elle
avait pris mes mains dans les siennes, et parlait pour nous tous,
mais en me regardant intensément dans les yeux.
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Tu
sais, je n’ai jamais eu honte de notre mode de vie. Paul vous l’a
dit tout à l’heure, nous avons convenu, il y a bien longtemps,
qu’en effet, la fessée était un moyen de régler des désagréments
de la vie qui, autrement, la pourrissent. Mais, jusqu’à ce soir,
nous les avions toujours réglés dans l’intimité »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Paul
prit la suite des explications de sa femme :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Après
ce que nous venons de vivre, je sais que vous comprendrez qu’à mes
yeux, donner la fessée à son épouse n’est en rien incompatible
avec le fait de la respecter. Je dirais presque au contraire. Vous
comprenez donc bien que si j’ai osé vous révéler qu’il
arrivait à Ingrid d’être ainsi traité c’est que j’ai eu, je
ne sais pourquoi, l’intime conviction que je pouvais le faire sans
risque que vous vous mépreniez. Et la suite m’a confirmé que mon
intuition était juste, n’est ce pas ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Son
épouse approuva de la tête et poursuivit :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Je
sais que vous n’avez pas compris tout ce que Paul et moi nous nous
sommes dit dans notre langue avant … enfin avant qu’il passe à
l’acte. Mais je pense que vous avez compris que, quand il vous a
fait ainsi cette révélation, j’ai été ...comment dire
...bouleversée. Mais, en même temps, moi aussi, j’ai en quelque
sorte senti qu’avec vous la chose était possible. Quand Paul a
tranquillement expliqué que j’avais reçu la fessée hier soir,
j’ai vu le regard de Jacques. Et il n’y avait rien de moqueur ni
de pervers dans ses yeux. Et j’ai vu aussi la réaction de
Fabienne. Elle m’a semblé étonnée, bien sûr, mais pas vraiment
scandalisée »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mon mari, qui était
resté très silencieux jusque là intervint :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« En
effet, la révélation de votre mari nous a étonné, mais en rien
choqué. J’ai tout de suite senti qu’il n’y avait rien de
provocateur dans ses propos. Qu’il considérait seulement qu’il
n’avait pas à avoir honte de mode de vie qui est le votre. Et j’ai
aussi compris qu’en nous en parlant aussi naturellement, il nous
donnait une grande preuve de confiance. Mais je vous avoue qu’à
cet instant, je n’imaginais pas que ... »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Comme
il cherchait ses mots, Paul vint à son secours :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Que
nous passerions des paroles … aux actes ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Oui
c’est cela. Je pensais que vous en resteriez à l’évocation de
ces pratiques, faire en quelque sorte planer une menace sur la tête
(enfin … si j’ose dire) d’Ingrid. Mais jamais qui vous mettriez
cette menace à exécution »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Je vais
vous faire une autre confidence, mon cher Jacques : moi non
plus ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Autant l’allusion de mon mari à la partie de l’individu d’Ingrid
sur laquelle pesait la menace avait fait naître un sourire sur les
lèvres de nous tous, autant l’aveu de Paul de ne pas avoir, lui
non plus anticipé ce qui allait se passer amena des signes
d’étonnement. Mais il expliqua :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Mais oui ! Vous aviez tout à fait bien compris. Je
n’avais absolument pas l’intention de dépasser ce que vous aviez
bien interprété comme un jeu, un jeu avec les mots. En fait, hier
soir, quand Fabienne s’est inquiété de ma blessure à la main
(heureusement c’était la main gauche, vous avez pu constater que
la droite était encore capable d’agir) je ne sais vraiment pas
pourquoi je vous ai ainsi répondu, je ne sais pas si vous avez fait
attention à ma réponse, qu’Ingrid devrait elle aussi s’inquiéter,
puisque c’est elle qui avait oublié la trousse de secours à la
maison. Ce n’est à vrai dire que quand je suis revenu dans notre
appartement et que ma femme m’a demandé comment vous m’aviez
reçu que je me suis rendu compte de ce que j’avais dit. Et que,
sans rien dire à Ingrid, de ce dérapage verbal, je lui ai dit le
plus grand bien de vous. Mais, je vous assure, les choses en seraient
restées là si, ce matin, elle n’avait pas bavardé avec vous, ma
chère Florence, et si elle n’avait pas pris l’initiative de vous
proposer ... »</i></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2084_156196978"></a>Responsabilité</h3>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Ingrid s’écria :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Ha eh bien là, tu as un sacré culot ! Voilà que
ça va être de ma faute ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i> « Pas de ta faute, ma chérie, je dirais plutôt grâce à
toi. Mais tu reconnaîtra quand même, je pense que l’initiative de
l’invitation est de toi ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i> « Ça oui, en effet… mais </i><i>reconnais</i><i> toi
aussi que … je ne pouvais pas imaginer .. ; »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i> « </i><i>Bien sûr ! Mais moi non plus je n’imaginais
pas. Vous savez, mes chers amis, rien de tout cela n’était
prémédité. Vous n’êtes pas tombés dans un piège tendu, mais
Ingrid non plus . Elle vous avais invité, je m’en
réjouissais, mais je prévoyais une soirée disons … fort
classique entre voisins d’occasion. S’il en a été autrement,
c’est à cause de vous, Fabienne.</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Cette fois, et même si la fessée dont je ressentais encore les
conséquences sur mon fondement avait un peu émoussée ma vivacité
de réaction, c’est moi qui m’écriais :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Ah non ! Maintenant ça va être de la mienne, vous
êtes gonflé quand même ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Paul leva les sourcils de manière exagérée et fit mine de
maugréer :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Vous redevenez insolente, Fabienne ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Mais je ne fus pas dupe, il était clair qu’il plaisantait. Je
m’autorisait donc à le suivre sur ce terrain, mimant la petite
fille effrayée :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Oh non, monsieur … je sais trop bien ce qui arrive
... »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Nous éclatâmes de rire tous les quatre, mais Paul revint quand même
à son propos :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« </i><i>Que vous vous offusquiez ou que vous plaisantiez,
ma chère Fabienne, je maintiens mes propos. Tout cela, vous en êtes
la cause »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i> « Mais qu’ai-je fais, grands dieux ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i> « Vous n’avez rien fait, je le reconnais. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i> « Ah, vous voyez bien ! »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i> « Vous n’avez rien fait mais … si Jacques le permet
… »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
D’un geste des deux mains, mon mari lui fit signe de poursuivre
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Eh il puisque vous m’y autorisez, mon cher Jacques …
dés que j’ai vu votre épouse entrer, tout à l’heure, il m’ait
apparu évident qu’elle devait être fessée ! »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Il avait appuyé le mot « devait », et il s’en
expliqua :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Oui oui … qu’elle devait l’être. Mais pas pour ce
qu’elle faisait, ou avait fait, ou allai faire. </i><i>Mais parce
que comme il y a, paraît-il, certaines femmes qui ont « une
tête à chapeau », eh bien Fabienne fait partie de ces femmes
qui ont « un derrière à fessée », voilà tout »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Et comme s’il lui fallait impérativement expliciter, il insista :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Et cela n’est pas lié à vos rondeurs, ma chère
Fabienne. Vous avez pu constater que le derrière de ma femme, bien
que très différent du vôtre, appelle, lui aussi, la fessée comme
l’aimant attire le fer. C’est comme ça, ça ne s’explique pas,
ça ce constate. </i><i>Vous voyez, mon cher Jacques, et je ne
peux pas l’expliquer non plus, mais il m’était évident que
Fabienne avait déjà été fessée. Et surtout qu’elle méritait
de l’être, ce soir, et en notre présence. Comprenez-moi bien, je
ne dis pas qu’elle avait fait quelque chose qui mérite une fessée,
au sens d’une punition. La fessée n’est jamais une punition,
vous m’entendez, jamais. Mais elle méritait de l’être au sens
où elle y avait droit. Vous comprenez ? »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Je ne sais pas si la question s’adressait à mon mari ou à moi,
mais c’est moi qui répondit :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Je pense, oui ...mais alors ...pourquoi ...Ingrid ? »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Celle-ci répondit à sa place :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« Oh, tu sais … je ne suis pas sûre qu’il ait besoin
d’une raison ... »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Paul secoua négativement la tête, et poursuivit ses explications
avec beaucoup de sérieux :</div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
<i>« </i><i>Tu sais bien que ça n’est pas vrai, ma chérie.
Tu sais bien que tu n’es jamais fessée sans raison.Et tu sais bien
aussi que tu n’es jamais fessée pour une raison ... »</i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
Et comme s’il prenait conscience que sa phrase était
incompréhensible, il explicita, mais à notre intention :</div>
<div align="left" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-style: normal;"><span style="text-decoration: none;"> </span></span><i><span style="text-decoration: none;">« Vous
comprenez, fesser une femme pour ce qu’elle aurait fait me
semblerait une horreur, un scandale. </span></i><i><span style="text-decoration: none;">La
seule raison qui justifie une fessée telle que nous – et vous m
semble-t-il, chers amis – la concevons, c’est bien sûr le
plaisir que nous autres, maris, avons à vous la donner, mesdames, et
c’est donc l’amour »</span></i></div>
<div align="left" style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">
En tout autre circonstance, de tels propos auraient apparus comme le
comble du culot, pou reprendre le mot d’Ingrid, ou de la mauvaise
foi. Aux yeux de toute femme d’aujourd’hui, ne partageant pas ce
que Paul appelait « notre mode de vie » ils
apparaîtraient sûrement comme une intolérable justification des
violences conjugales. Mais pour nous, qui y avions assisté, puis
participé activement, il n’y avait à l’évidence, pas une once
de cela dans ce que nous venions de vivre.
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2086_156196978"></a>Occasion</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mais Paul en revint
à la question du « pourquoi Ingrid » en expliquant très
franchement :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Vous
n’imaginez pas, ma chère Fabienne, que j’ai pu un seul instant
imaginer que vous soyez fessée par qui que se soit, ce soir et chez
nous, comme ça … Alors, c’est vrai, il fallait que ce soit
Ingrid qui, en quelque sorte, paye de sa personne la première. Et je
suis bien certain qu’elle l’a compris, ce qui ne l’a pas
empêché ...de me fournir l’occasion que j’espérais »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ingrid
ne confirma pas, mais ne nia pas non plus. On ne peut pas dire
qu’elle avait provoqué cette fessée, mais il me semble qu’il
est vrai qu’elle n’a pas vraiment cherché à l’éviter ou à
dissuader son mari. Et celui-ci continua son explication :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Par
ailleurs, je l’avoue, l’idée qu’elle reçoive un jour une
fessée autrement que dans la stricte intimité de notre couple me
trottait dans la tête depuis longtemps. Et il m’ait apparu que
s’il avait une occasion pour passer de l’idée à la réalisation,
c’était aujourd’hui, ici, et avec vous. Comme on dit, je pense
en français « c’est l’occasion qui a fait le larron »
Vous conviendrez, je pense que je n’ai pas eu tort … »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Jacques
demanda quand même :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Et
si … enfin je eux dire si ...Fabienne n’avait pas, elle aussi
... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i> « Ah, bien
sûr, c’était un risque … Bien sûr, je n’avais pas prévu
vraiment que Fabienne ait cette réaction. Je veux dire qu’elle
aussi se mette en situation d’être elle aussi ... »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
En
l’entendant, je prenais conscience que si, pas plus qu’Ingrid, je
n’avais « provoqué » ma fessée, je ne pouvais nier
que, moi aussi, je métais mise en situation d’amener mon mari à
me la donner. Comme le dit Paul :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Vous
savez bien, mesdames, qu’au fond, dans la fessée, c’est toujours
celle qui la reçoit qui mène le jeu, même si elle a l’élégance
de laisser croire le contraire à celui qui la met ... »</i></div>
<br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2088_156196978"></a>Plaisir</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Paul continua ainsi
un moment à nous exposer ce que l’on pourrait appeler, sans
ironie, sa philosophie de la fessée dans le couple. Ingrid, bien que
n’intervenant que fort peu, la partageait à l’évidence. Le
premier ne niait pas le plaisir qu’il prenait à la fesser. La
seconde admettait qu’elle la craignait, et j’étais bien placée
pour comprendre pourquoi. Ni elle, ni moi, n’étions si peu que ce
soit masochistes, et ne cherchions à provoquer nos fessées. Elles
n’étaient absolument pas assimilables à des préliminaires un peu
marginaux. Mais nous savions bien toutes les deux, et nous y avions
fait allusion à mots couverts lors de notre conversation à la
cuisine, que nos maris ne nous fessaient pas pour nous punir, même
si, d’un commun accord, nous admettions que ces fessées aient
toujours une justification, ou plutôt un prétexte que nous
feignions de prendre pour de vrais motifs. Pas plus que moi, Ingrid
n’ignorait le plaisir que son mari éprouvait à lui tanner la peau
des fesses, et surtout à les admirer quand il les avait ainsi portée
au rouge carmin. Du reste, Paul nous en donna une preuve alors que
nous nous préparions à regagner nos pénates. Il était déjà
tard, et les émotions que je venais de vivre m’amenaient à avoir
la tête qui dodeliner alors que Paul continuait à exposer sa
théorie. Ingrid s’en est aperçu, et elle nous a proposé de
rentrer nous reposer. Même si elle a dit ce mot avec un sourire un
peu narquois ou coquin, que je fis semblant de ne pas remarquer. Nous
avons donc remercié nos voisins pour leur accueil, cette fois sans
ironie, et nous nous préparions à traverser le couloir pour
retourner dans noter chez nous provisoire. Ingrid m’accompagnait
jusqu’à la porte du couloir, tandis que Jacques était resté un
peu en retrait avec Paul qu’il aidait à ranger les bouteilles. Au
moment où j’allais ouvrir la porte, tournant donc le dos à nos
hommes, j’entendis la voix de Paul qui disait à mon mari :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Nos
femmes ont été très courageuses, et elles nous ont fait un beau
cadeau, n’est-ce pas, mon cher Jacques ? »</i></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
La
pudeur, même si ce mot pourrait prêter à sourire après ce que
nous avions toutes les deux laisser voir durant la soirée, nous
amena, Ingrid comme moi, à faire comme si nous n’avions pas
entendu. Alors, Paul reprit :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Vous
nous avez donné beaucoup ce soir, mesdames. Accepteriez vous de nous
faire un dernier cadeau avant de nous séparer ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Ingrid et moi nous
nous sommes regardé, un peu interloquées. Que pouvions nous faire
de plus que ce que nous avions déjà fait, l’une e l’autre ?
Paul nous répondit avant même que ni l’une ni l’autre n’ayons
posé la question :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Voudriez
vous … nous montrer ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Il avait fessé sa
femme, mon mari avait fessé la sienne. Nos fesses étaient encore
brûlantes, douloureuses. Et voilà qu’il nous demandais tout de go
de leur les montrer. Ingrid ne dit rien. Moi non plus. Nous ne nous
sommes pas à proprement parlé concertées. Mais nos regards se sont
croisés. J’ai vu l’étincelle dans ses yeux. Sans mot dire, nous
nous sommes compris. Ensemble, dos tournés à nos époux, nous
nous sommes un peu penchées en avant. Et, d’un même mouvement,
nous avons relevés nos robe. Nous leur avons montré nos fesses.
Nous avons dénudé une nouvelle fois nos culs. Avant de laisser ma
robe retomber, et de sortir, j’entendis nos deux maris qui
disaient, presque à voix basse :</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« </i><i>Merci
... »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-style: normal;">E</span>t
ce n’est qu’une fois rentrée dans notre appartement que je me
suis souvenu que, dans l’appartement de nos amis, sur la table
basse, entre les verres, j’avais laissé pa petite culotte à côté
de celle de celle que je considérais maintenant comme mon amie.</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; page-break-before: always;">
<br /></div>
<div dir="ltr" id="Table des matières1">
<div dir="ltr" id="Table des matières1_Head">
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0.21cm; margin-top: 0.42cm; page-break-after: avoid;">
<span style="font-family: "liberation sans" , sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><b>Table
des matières</b></span></span></div>
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1955_1145306963">Fabienne 1</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1957_1145306963">Jacques et moi. 1</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1959_1145306963">Un soir à l’hôtel 2</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1961_1145306963">Nos
voisins 3</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1963_1145306963">Ingrid et Paul 3</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1965_1145306963">Une soirée entre
voisins 3</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<i><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1967_1145306963">« </a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1967_1145306963">Une
petite fessée et le problème est réglé</a></i><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1967_1145306963"> 4</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1969_1145306963">« Il n’y a pas
que chez moi » 5</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1971_1145306963">Questions de
vocabulaire 6</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1973_1145306963">Basculements 8</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1975_1145306963">« Quand le vin
est tiré ... » 8</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1977_1145306963">Le
mot tabou 8</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1979_1145306963">En
pays de connaissance 9</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1981_1145306963">Devant nos yeux 10</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1983_1145306963">« Je
dois … ? » 10</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1985_1145306963">Comme
un métronome 10</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<i><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1987_1145306963">V</a><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1987_1145306963">ous
aussi, Fabienne ?</a></i><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1987_1145306963"> 11</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1989_1145306963">Moi aussi ? 12</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1991_1145306963">Le
petit jeu du « pas chiche » 12</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1993_1145306963">Sans slip 12</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1995_1145306963">« J’aurais du
parier » 13</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1997_1145306963">La retirer 13</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc1999_1145306963">La traversée 14</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2001_1145306963">Oui,
je le suis ! 14</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2003_1145306963">Distraite et
insolente 14</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2005_1145306963">Et j’assume ! 14</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 0.5cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2007_1145306963">A mon tour 15</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2009_1145306963">« Installez-vous,
cher ami » 15</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2011_1145306963">Visions 15</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2013_1145306963">Bruits 16</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2015_1145306963">Sensations 16</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2017_1145306963">Pleurs 17</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2082_156196978">Partage 18</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2084_156196978">Responsabilité 19</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2086_156196978">Occasion 20</a></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm; margin-left: 1cm;">
<a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5640955136919823505#__RefHeading___Toc2088_156196978">Plaisir 21</a></div>
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
ELOGEhttp://www.blogger.com/profile/12214026636644062619noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5640955136919823505.post-8814040726189443702017-10-21T07:24:00.001-07:002017-10-21T07:24:40.767-07:00La maman et l'institutrice<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "arial" , sans-serif;">Alain
Eloge</span></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "lucida bright" , serif;"><span style="font-size: 32pt;">La
maman et l’institutrice</span></span></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div align="center" style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h1 class="western" style="page-break-before: always;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1174_703343552"></a>
Chapitre 1 :<br />
Une conversation, une révélation</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3109_1302852012"></a>Convoquée
par l’institutrice</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1176_703343552"></a>Les
bavardages de Mathilde</h3>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Mathilde, l’agent
d’entretien de l’école où travaille Hélène, est une bavarde
incorrigible. Alors qu’elle nettoie les tables de la classe tandis
que la maîtresse de la « section des grands » prépare
le tableau pour la classe du lendemain, elle parle presque sans
arrêt, et Hélène l’écoute d’une oreille distraite.
</div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
« <i>Ah, vous
savez, on en voit des choses quand on va chez les gens.Si on disait
tout ce qu’on sait, eh ben, il y en a qui feraient moins les fiers.
Mais moi, vous me connaissez, hein, madame Georges, c’est pas moi
qui irait raconter des histoires. Enfin, comme on dit, on sait ce
qu’on sait et on voit ce qu’on voit. »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Hélène
se contente de montrer qu’elle écoute par de vagues « <i>hà
cà .. » </i>ou <i>« ho, sûrement » </i>alors que
Mathilde lui révèle, ce qu’elle sait depuis longtemps, qu’en
dehors de l’école, elle fait le ménage dans quelques maisons du
village. Bien qu’elle affecte de ne citer personne, la maîtresse
n’aurait aucun mal à deviner qui sont ceux dont « <i>la
cuisine est dans un état que vous n’imagineriez même pas »
</i> ou ceux <i>« qui doivent changer leurs draps tous les
trois moi ... » </i>Mais elle se contente de sourire
intérieurement, sans vraiment chercher à identifier ceux dont la
femme de ménage met ainsi l’intimité à jour. Et celle-ci
continue son bavardage :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>« Quand on
voit des enfants aussi mignons qu’Eric et Jeanne, hein qu’ils
sont sages comme des images, madame Georges, eh ben j’peux vous
dire que chez eux, ça marche à la baguette. Quand vous pensez que
le martinet est pendu à un clou ! Comme chez moi quand j’étais
petite. Enfin, j’espère pour eux qu’il sert moins souvent qu’à
mon époque. Ha là là, en c’temps là les parents nous faisaient
marcher droit. Enfin, chacun fait comme il veut, mais quand on voit
des enfants qui font la loi chez eux, c’est triste, hein, madame
Georges. Mais est-ce qu’il faut en arriver à ça ? »</i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Une
fois encore, Hélène ne réponds que par un <i>« Ha ça c’est
s</i><i>û</i><i>r » </i>qui n’engage à rien. Mais la
remarque de Mathilde a quand même retenue son attention. Eric, ce
mignon bambin qu’elle a dans sa classe et sa sœur, Jeanne, qui est
en CP à l’école d’à côté, seraient-ils élevés « à
l’ancienne » ? Cela l’étonne, d’abord parce qu’en
effet, ce sont tous les deux des enfants plutôt sages et calmes,
ensuite parce que leurs parents, monsieur et madame Lefranc, lui
apparaissent comme des gens modernes, ouverts, impliqués dans la vie
de l’école, et en rien comme des nostalgiques du temps passé. Et,
tandis que Mathilde continue son babillage qu’elle n’écoute
plus, elle se dit qu’elle aurait du mal à imaginer les deux
enfants victimes de châtiments corporels d’un autre temps.</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1036_703343552"></a>Une
convocation</h3>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1178_703343552"></a>Préambules</h3>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
Pourtant,
dés le lendemain, Hélène met un petit mot dans le cahier de
liaison d’Eric :</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<i>«<span style="font-size: x-small;"> </span><span style="font-family: "lucida console" , monospace;"><span style="font-size: x-small;">Madame,
je sou</span></span><span style="font-family: "lucida console" , monospace;"><span style="font-size: x-small;">h</span></span><span style="font-family: "lucida console" , monospace;"><span style="font-size: x-small;">aiterais
vous rencontrer quand cela vous est possible. Je suis disponible tous
les soirs de 16h30 à 17h30 ou le samedi à 11h30 à l’école.
Cordialement, Mme Georges »</span></span></i></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Quand
Karine, la maman des deux enfants, prend connaissance de ce mot, elle
s’inquiète de savoir quelle bêtise a pu faire Eric, mais devant
ses dénégations, elle préfère ne pas insister, et dés le
surlendemain, après s’être arrangée pour quitter son travail
plus tôt que d’habitude, elle est dans le couloir de l’école.
Hélène l’accueille avec le sourire et la fait entrer dans le
bureau du directeur, le temps de surveiller la sortie des enfants.
Tandis qu’elle l’attends, Karine se dit que la maîtresse a
vraiment la tête de l’emploi. Hélène est une femme plutôt
jolie, grand et élancée, mais elle semble tout faire pour se donner
l’allure sérieuse sinon sévère d’une institutrice. Les cheveux
toujours réunis en queue de cheval, des vêtements toujours plutôt
stricts, mais jamais de pantalon, et les inévitables lunettes
d’écaille sur le nez. Tous les parents, que Karine rencontre lors
des réunions de parents d’élèves, s’accordent pour la
considérer comme une enseignante compétente et dévouée, très
impliquée dans son métier, ouverte au dialogue avec eux, mais
restant toujours un peu sur sa réserve. « <i>Après tout, </i>ce
dit Karine, <i>moi aussi je respecte une sorte de « dress-code »
</i><i>quand je vais au travail » </i>Ce soir là, elle porte
en effet la tenue presque caricaturale de « l’exécutive
women » qu’elle est dans une grande société d’assurance.
Jupe droite, chemisier sage, et maquillage léger. Quand la maîtresse
la rejoint elle s’assoit de l’autre côté du bureau et engage
aussitôt la conversation :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« </i><i>Je
vous remercie d’être venue aussi vite, Madame Lefranc, mais il n’y
avait pas urgence, vous savez, cela pouvait attendre samedi »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ho,
j’ai préféré en avoir le cœur net le plus vite possible, et
savoir ce qu’Eric a bien pu faire pour justifier cette
convocation. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
non, ne vous inquiétez pas, Eric n’a rien fait de mal, c’est un
enfant adorable. Et je suis sûr qu’il est aussi sage à la maison
qu’à l’école, non ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Vous
me rassurez, madame. En effet, Eric ne nous pose pas trop de
problèmes à la maison, mais c’est un enfant, pas un ange !
Il lui arrive aussi de faire des bêtises, comme sa sœur.»</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Certes,
mais quel enfant ne fait jamais de bêtise ? A vrai dire, ce
serait presque inquiétant. Mais dites moi, si je peux me permettre,
madame Lefranc, quand Eric ou Jeanne font ce que vous appelez des
bêtises, comment réagissez-vous ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Hé
bien, comme tous les parents, je suppose, je les gronde bien sûr.
Mais … pourquoi cette question, madame ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Je
vous prie de m’excuser, madame, de cette question, mais
comprenez-moi bien, cela fait partie de nos obligations
professionnelles, vous savez. L’Inspection Académique nous
rappelle souvent qu’il nous appartiens de faire ce que nous
appelons un signalement quand nous avons des craintes. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">La
maman fronce les sourcils et réplique, d’une voix brutalement plus
sèche :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Mais
de quelles craintes parlez-vous, madame ? Je ne vous suit pas
bien. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">L’institutrice
a bien remarqué que son interlocutrice a changé d’attitude, et
elle s’empresse de la rassurer :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Je
ne me permet pas de m’immiscer dans les méthodes éducatives des
parents, vous savez, madame. Mais vous savez aussi que la loi
interdit aujourd’hui les châtiments corporels, même à la
maison »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Oui,
et alors ? Ils sont aussi interdits à l’école, non ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Le
ton de Karine est maintenant vraiment sec, trahissant visiblement
l’irritation de la maman. Et Hélène réponds sur le même ton :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Bien
sûr, et nous respectons strictement cette règle, je pense que vous
n’en doutez pas, madame ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Je
n’ai jamais dit le contraire, madame, mais je ne pense pas que
c’est pour cela que vous m’avez convoquée ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Si
Hélène fait preuve d’une grande patience avec les enfants, elle a
plutôt la tête près du bonnet dans la vie courante, et le ton
presque agressif de la maman l’amène a lui répondre sur le même
ton :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Je
ne vous ai pas convoquée, madame Lefranc, je vous ai juste invitée
à me rencontrer, cela fait partie de mon métier, voilà tout. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Sans
que ni l’une ni l’autre ne l’ai vraiment choisi, le dialogue
entre les deux femmes est devenu une sorte d’échanges de balles de
tennis.</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Je
l’entends bien ainsi, je je suis là, madame, mais je ne comprends
toujours pas pourquoi. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
j’y viens, madame, j’y viens. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Eh
bien venez-y, je vous écoute, madame »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1038_703343552"></a>La
fessée ?</h3>
Le dialogue se poursuit, de plus en plus tendu :<br />
<i>« </i><i>Comme je vous le disais, madame, la loi
interdit les châtiments corporels, même en famille »</i><br />
<i> « Oui, vous me l’avez en effet déjà dit, et alors,
en quoi suis-je concernée ? »</i><br />
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> </i>« <i>C’est
moi qui suis concernée, madame, la loi m’oblige à vous poser la
question sans détour, veuillez m’en excuser .. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> </i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
quelle question donc ? Je ne comprends rien à vos
circonvolutions ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> «Alors,
je vais être plus directe, madame. Je suis au regret d’avoir à
vous demander si vos enfants reçoivent la fessée à la maison. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
de quel droit …. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Je
vous l’ai dit, madame, j’ai le devoir de signaler si des éléments
m’amènent à supposer ... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
je vous interdit de supposer quoi que se soit, madame ! Ni mon
mari ni moi n’avons de comptes à vous rendre, et je ne vois
d’ailleurs pas ce qui vous permet de supposer que je ... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Je
ne vous ai pas mise en cause, madame, je vous demande seulement si
vous, votre mari ou qui que se soit ... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Ni
l’une ni l’autre ne laisse celle qui est devenue son adversaire
finir ses phrases. Ainsi Karine reprend-elle, d’une voix plus
aiguë :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Mais
encore une fois, je vous interdit ... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Vous
n’avez rien à ‘interdire, madame ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
si, madame ! Vous portez des accusations sans le moindre
fondement ! Mes enfants se sont-ils plaints auprès de vous ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Non,
absolument pas, mais .. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Auriez-vous
remarqué des traces </i> <i>de coups ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
non, bien sûr ! Sinon ... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Alors ?
Qu’est ce qui vous permet de colporter de telles rumeurs ?
Vous savez que cela relève de la diffamation ? En tout cas,
soyez sûre que j’en référerait à votre hiérarchie ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Cette
fois, Hélène sort de ses gonds. La menace ne lui fait pas vraiment
peur, mais elle ne la supporte pas, et la réplique part comme une
balle, avant même qu’elle n’ait vraiment réfléchie :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« </i><i>Ho !
Ça suffit, madame ! Il me semble que quand on exhibe un
martinet chez soi ... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Immédiatement,
elle comprend que sa réplique a touchée juste. La maman se
redresse, les yeux furieux, elle ouvre la bouche, mais pas un son
n’en sort. Puis elle se tasse sur sa chaise, comme un pantin dont
on aurait coupé les ficelles et elle balbutie : </span></span>
</div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Mais
comment savez vous ... ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Il
me semble que ce n’est pas la question, madame. </i><i>Nieriez-vous
qu’un tel instrument soit présent chez vous, à la vue de tous ? »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Déstabilisée
Karine réponds, avec une franchise qui amène Hélène à devoir se
mordre la joue pour ne pas sourire :</span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-style: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i>«Mais
non ...il est dans notre chambre ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Etse
rendant compte qu’elle vient de confirmer ce que lui reproche
l’institutrice, elle portes ses deux mains devant sa bouche et
bredouille, presque à voix basse :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> </span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i>« ..et
...ce n’est pas ...enfin...ce n’est pas pour les enfants…je
vous assure, jamais mon mari .... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Hélène
se contente de la regarder, le sourcil levé, interrogatif. Et Karine
comprend qu’elle en a déjà dit trop, ou pas assez. Elle relève
ses yeux, embués de larmes, et murmure :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> </span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i>« Il
ne l’a jamais employé que … que pour moi...madame. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et
elle enfoui son visage dans ses mains, en pleurant maintenant sans
retenue. A travers ses sanglots, elle parvient cependant à
bredouiller :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« </i><i>Je
vous jure, madame, il n’a jamais levé la main et encore moins le
martinet sur les enfants…. Je vous en supplie, ne l’accusez
pas. Je vous jure, il n’y a que moi qui …. »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et,
brusquement, elle se lève, se tourne à demi et, sans hésiter,
relève le bas de sa jupe en lançant :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« La
preuve ... »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et
Hélène découvre le haut des cuisses de la maman de son élève et
le bas de ses fesses, moulées dans une culotte échancrée. Des
cuisses et des fesses marquées de traces violettes … Karine laisse
retomber sa robe, s’appuie des deux mains sur le bureau et en
s’asseyant elle reprend :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Ne
vous moquez pas, madame, s’il vous plaît. Ne me jugez pas ...j’ai
tellement honte ! »</i></span></span></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1040_703343552"></a>
<span style="font-weight: normal;">Aussitôt que la maman d’élève
a lâché son aveu, la colère d’Hélène s’est évanouie. </span><span style="font-weight: normal;">Et
s’est même immédiatement chanée en empathie. D’autant que le
geste spontané mais stupéfiant qu’elle vient d’accomplir l’a
tout autant troublée qu’étonnée. Cette dame, l’instant d’avant
si fière et presque agressive, ne vient-elle pas de se trousser
devant elle et de lui montrer sans barguigner ses fesses ?</span><span style="font-weight: normal;">Elle
n’a pas le </span><span style="font-weight: normal;">cœur</span><span style="font-weight: normal;">
à laisser plus longtemps la femme sangloter devant elle. Elle se
lève, fait le tour du bureau pour s’approcher d’elle, pose la
main sur son épaule et dit doucement :</span></div>
<div style="font-weight: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-style: normal;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Mais
honte de quoi, grands dieux ? »</span></i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal; line-height: 100%; margin-bottom: 0cm;">
<br /></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">Et
comme Karine ne réponds rien, continuant à cacher son vis</span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">a</span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">ge
dans ses mains ouvertes, elle poursuit :</span></span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« </span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">Votre
mari vous flanque parfois la fessée, et alors ? Je ne pense pas
que vous êtes pour autant une victime de violences conjugales ... »</span></i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Cette
fois Karine relève la tête et réponds, presque fièrement :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Ho
non, je ne prétends pas cela ...ne jugez pas mon mari, madame. »</span></i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
de quel droit jugerai-je ou vous ou votre mari, madame. C’est votre
vie, c’est votre liberté. »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et
alors que son interlocutrice plante son regard mouillé dans le sien,
elle ajoute, plus bas :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Et
puis, qui vous dit que vous êtes la seule à connaître cela,
Karine ? »</span></i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Celle-ci
ne réagit pas au fait que la maîtresse vient d’abandonner le
« madame » officiel pour l’appeler par son prénom,
mais comme elle semble pas comprendre où elle veut en venir Hélène
poursuit :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« La
fessée dans le couple, ou même une volée de martinet de temps en
temps,si les deux y trouvent leur compte, qui pourrait trouver à y
redire ? »</span></i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Elle
retourne alors vers son bureau, y prends une boite de mouchoirs en
papier et la tends à Karine. Alors que celle-ci s’essuie les yeux
et se mouche, elle s’assoit et dit :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Et
non, ma chère Karine, que cela vous rassure ou vous déçoi</span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">ve</span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">,
</span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">vous
n’êtes pas la seule à connaître de temps en temps le pan pan
cucu marital ... »</span></i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et
comme Karine lève les épaules en disant, la voix encore troublée
par les pleurs :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Quand
même … vous vous moquez de mo</span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">i</span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">... »</span></i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Elle
secoue la tête négativement et lâche :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Certainement
pas, Karine, et croyez-moi, je sais de quoi je parle ... »</span></i></span></span></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1042_703343552"></a>Confidences
mutuelles</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1180_703343552"></a>Moi
aussi ...</h3>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Karine
relève la tête et la regarde, les yeux écarquillés d’étonnement.
Hélène poursuit alors, d’une voix devenue un peu plus rauque :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Ben
oui, quoi … moi aussi ...et je n’en suis pas morte ! »</span></i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Non
… vous ne voulez pas dire que ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
si ! Et croyez-moi, Karine, je n’ai pas honte d’être
régulièrement déculottée ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Vous,
madame Georges ? Je ne vous crois pas ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et
pourtant … mais je ne peux pas vous faire constater de visu,
Karine… la dernière remonte déjà à plusieurs jours, et il n’y
en a plus de souvenirs ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ho !
Ça, je ne l’aurais jamais cru, vous, une institutrice ! »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Cette
fois, Hélène éclare franchement de rire :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Mais
pourquoi voudrais-tu que les institutrices soient dispensées ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ben,
je sais pas ...vous avez, enfin tu as l’air si sévère ... enfin
non, je veux dire si sérieuse...»</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
je suis sérieuse ! Et tu es bien placée pour savoir que la
fessée est une affaire sérieuse, non ? Mais, tu sais, ce n’est
pas </i><i>l’institutrice</i><i> qui </i><i>est déculottée, c’est
l’épouse ! »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et,
souriant franchement cette fois elle ajoute, mutine :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Je
suppose que </span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">chez
</span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">vous
aussi … »</span></i></span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Que
</span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">chez
nous </span></i></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">aussi
quoi ? »</span></i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Eh
bien, que vous aussi … c’est ….comment dire … enfin c’est
cul nu, non ? »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Pour
la première fois, Karine ébauche un sourire et convient :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Oui
… bien sûr ... »</span></i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et
c’est monsieur le mari qui ... ?»</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">Cette
fois, Karine comprend, et elle répond </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">franchement :</span></span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Oui
...il y tient ! »</span></i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et
Hélène, en riant franchement cette fois rétorque :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Ils
sont tous pareils ! »</span></i></span></span></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1182_703343552"></a>Et
toi ?</h3>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et,
comme si elles avaient toutes les deux oublié le début de leur
conversation, comme si elles n’étaient plus « madame
l’institutrice » et « madame la maman d’élève »
mais deux copines, la conversation se poursuit, et elles passent
spontanément au tutoiement, comme si leurs aveux réciproques les
avaient subitement rapprochées :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Ça
fait longtemps, pour toi ? »</span></i></span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Ben
… on est mariés depuis onze ans ... »</span></i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et
… il a commencé dés votre mariage ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Oui
… le soir de nos noces si tu veux savoir ! Il m’a
affirmé que c’était une tradition dans sa famille !»</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ha
… drôle de nuit de noce quand même … enfin je suppose qu’elle
ne s’est pas limitée à cela ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ho
non, heureusement ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « C’était
la première fois, pour toi ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « La
première fois ? Ah oui, je comprends. Oui ..enfin pour la
fessée, pour le reste ...non ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Moi,
j’ai été fessée avant d’être mariée!Au moins, je ne peux pas
dire qu’il m’a prise en traître, je savais à quoi m’en tenir
... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et
comme moi, ça ne t’a pas empêchée de l’épouser. »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « C’est
bien ce que je disais … c’est que, comme le dirait le psychologue
scolaire, « on y trouve notre compte ...quelque part »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">Cette
allusion aux tics de langage de Monsieur Heuteau, le psychologue qui
intervient dans l’école et </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;">organise
de temps en temps des conférences à l’intention des parents et
des enseignants, les fait rire de bon cœur toutes les deux.</span></span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">« Et,
dis moi, chez vous … c’est souvent ? »</span></i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Je
sais pas … pas tous les jours ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Heureusement
pour tes fesses ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Oui
… tu vois, la dernière fois, c’était avant-hier, et elles
auraient du mal à en recevoir une autre avant quelques jours ... »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Hélène
approuve de la tête :</span></span></div>
<div style="font-style: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: normal;"> « </span></span></span><span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i><span style="font-weight: normal;">Çà,
je n’en doute pas ...il n’y ai pas allée de main morte ... »</span></i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Oh
… non … mais c’est surtout que la ceinture, ça laisse plus de
marques que le martinet ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « La
ceinture ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ben
oui … tu vois il aime « varier les plaisirs » comme il
dit !</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et
ça fait plus mal ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « C’est
différent, tu sais bien ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ben,
non. Tu sais, mon mari, c’est seulement à la main ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
tu me disais ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Je
te disais seulement que, main ou martinet, ça ne change rien au fait
… Et, tu sais, je suis sûre que mon mari a très envie d’en
acheter un … »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et
il ne l’a pas fait ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Non
… il m’a seulement dit plusieurs fois qu’au super marché de la
place Jeanne d’Arc, il y en a au rayon animalerie… »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Peut-être
attend-t-il que tu fasses l’achat toi-même ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ha
ben ça, il peut attendre longtemps ! Je ne vais quand même pas
lui apporter ça en cadeau ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ho,
tu sais, il ne faut jamais dire « fontaine ... »</i></span></span></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1184_703343552"></a>Une
récompense ?</h3>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Comme
elle se rend bien compte qu’Hélène n’a pas l’air de
comprendre ce qu’elle veut dire, elle s’explique :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Tu
sais, au début, chez nous … enfin..c’était comme chez toi.
Alain, mon mari, savait bien que … comment dire … que j’étais
novice en la matière. Je conçois bien que cela va te sembler
ridicule, mais d’une certaine manière, il m’a amenée, je ne
dirais pas à espérer qu’il passe ...à autre chose, mais à le
considérer comme une sorte presque de récompense. »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Une
récompense ? Avoir le cul flagellé ? »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Comment
te dire ? Il ne m’a jamais menacé d’utiliser autre chose
que sa main, mais, un peu comme le tien si je comprends bien, il m’a
parlé du martinet. De ce que représente cet instrument …. </i><i>des
traditions … Peu à peu, il m’a présenté le fait de recevoir le
martinet comme une marque de respect, oui, on peut dire une
récompense. Il a fini par me convaincre que je « méritais »
de le recevoir, mais pas parce ce que je ne sais quelle faute aurait
nécessité une sévérité plus grande. Mais parce que je
« pouvais » le supporter … tu comprends ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Franchement,
je ne suis pas sûre ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Je
ne cherche pas à te convaincre, tu sais. Je pense que ça vient
quand ça doit venir, c’est tout. »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et,
pour toi, c’est venu quand ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Deux
ans après notre mariage à peu prés ... »</i></span></span></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1044_703343552"></a>L’achat</h3>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Karine
ne s’adresse plus vraiment à Hélène, elle semble parler pour
elle-même, les yeux dans le vague :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« </i><i>Non,
vraiment, il ne m’a rien imposé. Je ne peux même pas dire qu’il
m’a suggéré de le faire ...et pourtant je l’ai fait ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Tu
as fait quoi ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Eh
bien ...je l’ai acheté ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Attends
.. tu veux dire que tu as acheté toi-même un ... »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Oui !
Nous nous promenions dans une rue de Rouen et nous nous étions
arrêtés devant une vieille boutique de droguiste, très typique.
Et, dans la vitrine, il y avait un martinet, exposé comme ça. Alain
ne m’a rien dit, ne m’a même pas fait remarquer </i><i>la
présence pourtant incongrue de cet instrument au milieu des
ustensiles ménagers. Et pourtant, sans rien expliquer, je suis
entrée. Le propriétaire était un vieux monsieur, avec une blouse
grise. Il m’a demandé ce qu’il pouvait faire pour moi, et je lui
ai dit tout simplement « je voudrais un martinet, s’il vous
</i><i>plaît</i><i> » C’est incroyable, je sais bien, mais
le mot est sorti comme ça, comme si j’avais demandé un </i><i>entonnoir</i><i>
à confitures ! Il a été décroché une sorte de grappe de
martinets qui pendait du plafond, et m’a demandé, sans la moindre
</i><i>trace</i><i> d’ironie, si j’avais une préférence pour la
couleur du manche. Et, comme j’ai haussé les épaules sans
répondre, il a choisi lui même un manche jaune en marmonn</i><i>ant
entre ses dents « c’est vrai que c’est pas la couleur qui
fait ... » J’ai payé, et il m’a encore demandé « je
vous l’emballe ou c’est pour utiliser tout de suite ? »
Cette fois j’ai bien compris qui’l se moquait de moi et j’ai
rétorqué un peu vivement je le reconnaît, « ben oui, donnez
moi un sachet ! » Il s’est exécuté, m’a tendu le
paquet, et quand j’étais à la porte je l’ai entendu encore
grommeler « ben au moins, ça lui apprendra peut-être la
politesse ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et
tu es sortie comme ça, le martinet sous le bras ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ben
oui … Alain ne m’a même pas demandé ce qu’il y avait dans le
paquet. Il m’a seulement dit « je pense qu’on va rentrer,
hein ? » </i></span></span>
</div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Il
avait deviné ? Et il voulait ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Bien
sûr ! Il voulait l’utiliser tout de suite ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
… il n’avait pas de raison, tu n’avais rien fait ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Non,
bien sûr. Mais j’aurais eu mauvaise grâce à lui refuser. Après
tout,si je l’avais acheté, c’est bien pour qu’il serve, non ?
Je devais bien savoir à quoi je devais m’attendre ... »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Il</i><i>
ne t’as même pas donné de raison ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Non,
ce n’était pas la peine ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et
il l’a vraiment, comme tu dis « utilisé tout de suite » ?</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ha
ça oui, ça n’a pas traîné ! A peine étions nous rentrés
à la maison qu’il m’a dit « je vais dans mon bureau ma
chérie, tu me rejoins ? » ça suffisait pour que je
comprenne ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Pourquoi ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Parce
que, vois-tu, c’est souvent dans son bureau que « ça »
se passe, surtout quand c’est prévu d’avance. Bien sûr il
m’arrive de « la » recevoir ailleurs dans la maison,
dans la cuisine, dans la salle à manger, ou même dans la salle de
bain, et bien sûr parfois dans notre chambre … tu sais pourquoi !
Mais il aime aussi que je me rende de moi-même dans son bureau, en
sachant fort bien pourquoi. »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Et
tu y es allée tout de suite ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Pas
vraiment, j’ai pris le temps de prendre une douche …et de faire
pipi. Je savais bien que cela lui fournirait un prétexte pour
justifier une fessée pour l’avoir fait attendre, mais je me
sentais moite et en sueur et tant qu’à se mettre à poil autant
qu’on sente bon, et qu’on porte une petite culotte sèche et
propre, même si c’est pour la retirer ! Je me suis donc
douchée, puis j’ai mis une petite jupe qui se trousse
facilement,une petite culotte toute fraîche, et un petit haut. Puis
je l’ai rejoint comme il me l’avait demandé. »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Tu
.. tu avais apporté ..ce que tu venais d’acheter ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Oui,
bien sûr, il n’aurait servi à rien de faire comme si je n’avais
pas compris ... J’ai sorti le martinet de son sachet, et c’est
seulement à ce moment là que je me suis rendu compte de ce que
j’avais fait ! »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Tu
veux dire que tu as eu peur ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Une
trouille folle ! J’ai soupesé l’instrument, j’ai fait
glisser les lanières sur ma paume de main, je les ai agitées en
l’air et je me suis rendu compte qu’elles allaient bientôt me
cingler les fesses ! J’en avais des frissons et je sentais le
sueur recommencer à couler entre mes omoplates. Pourtant, il était
trop tard pour reculer … alors je suis entrée... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Avec
le martinet à la main ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Oui,
en fait, tu vois, je te jure que je ne sais pas de où ça m’est
venu, mais j’ai spontanément adopté l’attitude qu’il
attendait de moi. »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Qu’est
ce que tu veux dire ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Je
trouvais qu’arriver dans son bureau avec ce machin à bout de bras,
ça aurait l’air bête. Alors, j’ai choisi de porter le martinet
sur mes deux mains ouvertes, bras tendus. Tu vois , Un peu comme si
j’apportais, je sais pas, moi, une sorte d’offrande. Alain était
assis sur le fauteuil, celui dans lequel il s’installe
régulièrement quand .. enfin tu comprends. Je me suis approchée,
je me souviens que je sentais mes jambes flageoler, et je lui ai
tendu l’instrument. Il l’a pris, a caressé les lanières, a pris
le manche en main et m’a dit : « c’est un bel
instrument, ma chérie, tu as fait un bon choix » Je sais que
tu vas trouver cela bête, mais j’ai été vraiment fière de ces
mots. »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Non,
je ne trouve pas cela bête, tu sais, je crois que je comprends ... »</i></span></span></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1186_703343552"></a>Fière !</h3>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Karine
remercie Hélène d’un sourire, puis elle poursuit son récit :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> « <i>Il
s’est levé, le martinet à la main, s’est approché de moi, et
il m’a embrassé en disant « je savais que ce moment
arriverait un jour .. » Puis il a ajouté, en me désignant le
fauteuil, « mets toi en place, tu te penches par dessus le
dossier et tu mets tes mains sur les accoudoirs. »J’ai fait
ce qu’il me demandait, et je me suis donc retrouvé le corps plié
en deux, le ventre contre le dossier, et la tête plus bas que …
que les fesses. Il a reprit : « tu retrousses, s’il te
plaît » Je me suis relevée, j’ai relevé ma jupe au dessus
de ma taille, et je l’ai coincée entre mon ventre et le fauteuil
pour qu’elle ne retombe pas. </i><i>Et là, à ma grande surprise
il m’a demandé, je dis bien demandé, et pas ordonné : « tu
baisses ta culotte, s’il te plaît » et il a ajouté :
« elle ne doit pas tomber ... » J’avais bie</i><i>n</i><i>
sûr compris où il voulait en venir. Comme quand il me donne la
fessée à la main, il me voulait « déculottée », pas
toute nue. Sans me relever cette fois, j’ai passé mes mains dans
mon dos, j’ai glissé mes pouces sous l’élastique de ma culotte
et je </i><i>l</i><i>’ai fait glisser sous mes fesses, juste au pli
entre elles et les cuisses. Et pour quelle ne </i><i>désecende</i><i>
pas plus bas, j’ai un peu écarté les jambes, en étant consciente
que j’exposais ainsi … mais il n’était plus temps de jouer les
prudes. C’était comme si le temps s’était arrêté. J’avais
l’impression qu’on entendait mon cœur battre. Et en même
temps, dans le silence de la pièce, j’entendais le tic-tac de la
pendule de bureau. Et puis ...ça a commencé ! J’ai entendu
une sorte de chuintement, et les lanières se sont abattues sur mes
fesses. »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ça
doit faire atrocement mal ! »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> </i><i>« Ah,
ça, oui, bien sûr, ça pique ! Mais, au fond, je ne dirais pas
vraiment que ça fait plus mal qu’une bonne fessée classique. Je
dirais plutôt que c’est … comment dire ...que c’est différent.
D’abord parce que c’est toute la surface des fesses qui est
concernée. Les lanières se répartissent sur tout le derrière, tu
vois ? C’est comme si une multitude d’épingles se fichaient
sur ton popotin en même temps. </i><i>Mais</i><i>, je ne sais pas si
l’expression peut vouloir dire quelque chose pour toi, je dirais
que la douleur est en quelque sorte moins profonde, plus
superficielle. Mais, oui, je ne vais pas te dire le contraire, ça
fait mal …. »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Hélène
écoute, fascinée. Elle n’interrompt plus. Elle ne pose plus de
questions. Elle laisse Karine poursuivre son récit, captivée par le
discours de cette femme qui ne laisse plus paraître la moindre
marque de honte. </span></span>
</div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Mais,
comme j’essayais de te le dire tout à l’heure, en même temps,
je savais, je sentais, que mon mari était fier de moi, et moi, eh
bien j’étais fière aussi. Oui, je l’avoue, j’étais fière
d’être ainsi flagellée. Bien sûr, au bout de quelques coups, je
n’ai pu retenir mes cris. Je sais que j’ai piaillé. Que j’ai
gigoté. Mais j’étais fière de garder la position. Mes mains
étaient crispées sur les accoudoirs, mais pas une seule fois je
n’ai tenté de me protéger les fesses. Pas une seule fois je ne me
suis relevée. »</i></span></span></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1190_703343552"></a>Troublée ?</h3>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et,
soudain, Hélène sent le rouge lui monter aux joues. Une femme
qu’elle ne connaissait jusque là que comme une maman d’élève
est entrain de lui raconter comment elle a été fessée au martinet,
comment elle a gémit sous les coups de martinet et même crié de
douleur. Et elle sent qu’elle est entrain, elle, de mouiller sa
petite culotte ! Elle en a honte, mais elle ne peut se le
cacher, imaginer cette femme entrain de crier sous les coups de
martinet l’excite ! Elle parvient cependant à cacher son
trouble, et renonce à interroger plus avant celle qui est devenue de
fait sa copine, de peur qu’elle ne devine à quel point son récit
l’excite. De son côté, arrivée à ce point de ce qui ressemble à
une confession, ou tout au moins à une révélation, Karine
s’interrompt. Peut -être prend-elle conscience de ce qu’elle
vient de révéler de son intimité. Elle aussi se trouble un moment,
se mord les lèvres, évite le regard direct de l’institutrice,
puis se lève en disant, d’une voix qu’elle cherche à rendre
assurée :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« </i><i>Bien
… je pense que ...que nous pouvons en rester là pour aujourd’hui
….madame ? »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Hélène
comprend qu’il lui faut elle aussi reprendre une attitude plus
conforme à leurs situations respectives. Elle acquiesce d’un
mouvement de tête, mais ajoute cependant :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>Bien
sûr, bien sûr … le … le malentendu est dissipé… mais ...je
pense que nous pouvons nous tutoyer, n’est ce pas, Karine »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">L’une
et l’autre comprennent, sans qu’il soit besoin de l’expliquer,
que s’il convient qu’elles reprennent leurs positions
d’institutrice pour l’une et de maman d’élève pour l’autre,
rien ne pourra redevenir complètement comme « avant »
entre elles. Elles sont conscientes qu’elles partagent maintenant
un secret que ni l’une ni l’autre n’a jamais partagé avec
personne d’autre. Elles savent qu’elles sont toutes deux des
épouses fessées, que l’une et l’autre sont régulièrement
déculottées par leurs époux. Et surtout elles savent que l’une
comme l’autre non seulement l’acceptent, mais, au fond font plus
que s’en accommoder. Bien sûr, Karine n’a révélé la chose que
parce qu’elle y a été acculée par le cours de la conversation
avec l’institutrice, mais, après tout, rien ne l’obligeait à
donner autant de détails, autant de précisions. Et Hélène a bien
compris que, si l’aveu lui a été difficile, il s’est finalement
transformé progressivement en une sorte de revendication. Oui elle a
« avoué », mais elle en est arrivée à faire plus
qu’assumer sa situation. Bien sûr, dans un premier temps, la honte
l’a submergée, jusqu’à provoquer des larmes qui n’étaient
pas feintes. Mais une fois que son interlocutrice lui a eu révélé
qu’elle aussi connaissait la fessée conjugale, elle a presque
revendiquée le fait d’être une épouse fessée. Du reste, elle
n’a pas hésité à proclamer sa fierté de l’être. Quant à
Hélène, elle est bien consciente qu’elle aurait pu entendre les
explications de la maman de son élève, la rassurer, et en rester
là. Or, alors que rien ne l’y obligeait, elle lui a révélé,
sans la moindre honte elle non plus, être elle aussi une épouse
fessée. Elles savent donc toutes les deux qu’elles partagent
maintenant ce qui n’est pas seulement un secret, mais en quelque
sorte l’appartenance à une même société. Karine n’hésite
donc pas à accepter la proposition d’Hélène :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> « <i>Bien
sûr, Hélène, je te remercie de … de ton ouverture d’esprit, et
de ta franchise. Tu sais …ça m’a fait beaucoup de bien. Pas
seulement de savoir que toi aussi … mais surtout de pouvoir
partager avec toi. »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais,
c’est moi qui te remercie, Karine, ou plutôt qui te félicite de
ta loyauté envers ton mari. Finalement, avec toi, j’ai compris
qu’il n’y a pas a avoir honte de ce que nous sommes, de ce que
nous vivons, toi et moi ... »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Certainement
pas ! Tu sais, au fond, mais il n’y a sûrement que celles qui
… enfin qui sont comme nous deux, qui peuvent le comprendre, il me
semble au contraire que nous pouvons en être fières. »</i></span></span></div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1192_703343552"></a>Le
meilleur ?</h3>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Les
deux jeunes femmes s’embrassent, puis se quittent après que Karine
ai murmuré à l’oreille de l’institutrice :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Je
te souhaite le meilleur, ma chérie … je te souhaite de continuer à
découvrir notre monde ... »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Hélène
n’a pas demandé à Karine ce qu’elle voulait dire par là. Elle
est rentrée chez elle, les jambes un peu en coton, et l’esprit
troublé. Quand elle se réfugie dans sa chambre, elle vérifie ce
qu’elle avait ressenti lors de sa conversation : sa petite
culotte est moite, et même trempée. Elle ne peut le nier : les
aveux de sa copine l’ont fait mouiller comme rarement. Quand elle
porte, selon un geste qui lui est habituel, la petite culotte à son
nez, elle perçoit la fragrance chaude et épicée qui ne peut la
tromper. Et, en même temps, elle sent que les bouts de ses seins
sont tellement tendus que le frottement sur son soutien gorge en est
presque douloureux. Elle arrache ses vêtements plus qu’elle ne
les retires, et elle se roule en position fœtale sur son lit, les
cuisses serrées, les yeux fermés. Les images surgissent, comme sur
un écran. Des images de fesses rougies, de derrière zébrés de
marques violacées, de lanières qui volent … Elle se retourne et
s’allonge sur le ventre, relevant les hanches pour glisser sa main
droite sur son bas – ventre et faisant pointer son derrière, comme
si elle le présentait pour une fessée. Dés que ses doigts se
crispent sur son minou, la vague de la jouissance naît au creux de
son ventre. Elle gonfle, s’amplifie, l’emplit. Puis elle déferle,
impérieuse, indomptable, tandis qu’Hélène remue presque
frénétiquement ses doigts dans sa chatte dégoulinante. Le torrent
du plaisir jaillit. Son minou se crispe, baille. Hélène, les yeux
clos, la mâchoire serrée, fait pénétrer plus profondément son
index et son majeur dans son sexe, et titille son petit trou du gras
du pouce, avant de le faire lui aussi forcer l’anneau. Quand le
pouce pénètre profondément dans son petit trou, une douleur
fulgurante explose. Mais, loin de renoncer, elle accentue au
contraire les pénétrations, dans sa chatte comme dans son cul. Les
mots que prononce son homme quand il la prend en levrette en la
tenant par les hanches lui reviennent : « j<i>e vais te
défoncer, </i><i>je vais te démonter ! » </i>Elle se
défonce le cul, elle se démonte la chatte. Et elle jouit follement,
avec, encore et toujours, ces images de derrière flagellé.</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<br />
<br /></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal; page-break-before: always;">
<br />
<br /></div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2243_1338922170"></a>Chapitre
2 :<br />
Nouveaux échanges</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3111_1302852012"></a>Punie !</h2>
Hélène ne dit rien de sa conversation avec Karine à son mari.
Elle n’avait du reste pas jugé nécessaire de parler de la
convocation de la maîtresse, et, comme elle n’a pas eu de
conséquences pour lui, leur enfant n’y a accordé aucune
importance.
<br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3113_1302852012"></a>« Tu
as été sage ? »</h3>
Dans les semaines qui suivirent, Karine eu plusieurs fois
l’occasion d’amener ou de reprendre son fils à l’école. A
chaque fois, comme elle le faisait auparavant, elle salua
courtoisement la maîtresse, qui lui rendit son salut. Mais elle eu
le sentiment qu’Hélène évitait son regard quand elle lui
demandait :
<br />
<i>« </i><i>Vous allez bien, madame Georges ? »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
et que celle-ci lui répondait, presque
cérémonieuse :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Très bien, je vous
remercie, madame Lefranc »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
En effet, sans qu’elles aient eu à
en parler directement, elles avaient convenu d’en rester au
vouvoiement quand elles se parlaient en présence d’autres parents.
Jusqu’au soir où, sous le prétexte de se concerter, en sa qualité
de membre de l’association de parents d’élèves, sur le kermesse
de fin d’année, Karine suivit la maîtresse dans son bureau. Elles
échangèrent quelques phrases au sujet de la kermesse, puis,
brusquement elle lança, en passant au tutoiement :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et à part ça, tu as été
sage cette semaine, </i><i>Hélène</i><i>? »</i></div>
<span style="font-style: normal;">La question, posée ainsi à
brûle pourpoint, </span><span style="font-style: normal;">a
</span><span style="font-style: normal;">déstabilisé quelque peu
</span><span style="font-style: normal;">l’institutrice</span><span style="font-style: normal;">
qui rétorqua, sur le ton de la plaisanterie :</span><br />
<span style="font-style: normal;"> </span><i>« Comme
toujours, bien sûr ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Mais Karine ne la suivit pas sur ce
terrain de la légèreté, au contraire elle objecta :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ce n’est pas à toi à en
juger, me semble-t-il. Tu es sûre que monsieur Georges n’a pas eu
à sévir ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Elle avait bien sûr lancé la question
sans que rien ne puisse lui faire présumer de la réponse, mais
celle d’Hélène lui fit comprendre immédiatement qu’elle avait
visé juste :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Mais.. comment sais tu ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Elle ne savait évidemment rien. Mais
Hélène avait bel et bien été fessée l’avant veille, d’où sa
réponse qui était aussi un aveu.</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ce n’est pas la question,
tu as été punie, </i><i>Hélène </i><i>? »</i></div>
<i> « Heu ...oui...mardi dernier .. ; »</i><br />
<i> « Et punie comment ? »</i><br />
<i> « Ben … tu sais bien ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
<i> « Tu as su écouter, </i><i>Hélène</i><i>,
j’attends que tu saches aussi dire ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
L’institutrice comprends
immédiatement où veut en venir Karine. Lors de leur première
conversation, c’est elle qui l’avait amenée à « avouer »
sa situation d’épouse fessée. Mais, pour la rassurer, elle lui
avait révélé qu’elle connaissait la même situation. Elle avait
alors compris que le mari de la maman d’élève était un adepte
plus fervent de la fessée conjugale que le sien, puisqu’il en
était à utiliser un martinet et même parfois une ceinture pour
punir son épouse. Celle-ci n’avait pas hésité à décrire par le
menu les conditions dans lesquelles elle avait fait connaissance avec
cet instrument, provoquant un grand trouble chez Hélène. Celle-ci
prit alors conscience que Karine avait compris l’intérêt qu’elle
avait pris à écouter son récit. Et, comme si elle avait devinée
que, depuis, le souvenir de cette conversation si particulière ne
cessait de lui revenir, et surtout comme si elle avait deviné que,
quelques jours avant, son mari lui avait collé une sérieuse fessée,
voilà que la maman d’élève lui demandait, ou plus exactement
exigeait d’elle, qu’elle soit aussi transparente à son égard.
La relation entre les deux femmes s’est inversée. La première
fois, c’était l’institutrice qui était en quelque sorte en
position de force. Aujourd’hui, malgré son statut, malgré son air
sévère derrière ses lunettes d’écailles, c’est elle qui est
sommée de tout dire. Et Hélène cède devant cette madame Lefranc,
cette dame un peu boulotte, qu’elle a vu pleurer de honte avant de
revendiquer presque fièrement être traitée plus sévèrement
qu’elle. Alors que celle-ci s’est assise, les jambes croisées,
découvrant assez largement ses cuisses rondes, Hélène avoue :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i> <i>Mardi ...</i><i>mon
mari m’a donné la fessée »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
<i> « </i><i>Ha, quand même. Tu
sais, Hélène, que parfois, dans les familles, quand les enfants ont
été punis à l’école, les parents reprennent la punition chez
eux ? »</i></div>
<i> « Oui, mais je ne vois pas ... »</i><br />
<i> « Ho, n’ait pas peur, ma petite, je ne vais pas t’en
coller une maintenant et ici … encore que tu le mériterais pour
tes cachotteries, mais ça risque de ne pas être très discret ... »</i><br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1411_301950201"></a>Comme
une gamine</h3>
<div style="font-style: normal;">
Hélène entend cette réponse comme on
reçoit un coup de poing à l’estomac. Ne voilà-t-il pas que son
amie vient de lui dire sans ambages que, si elles n’étaient pas à
l’école, elle aurait envisagée de lui mettre elle même une
fessée ? Et pourtant, elle ne réagit pas, elle ne réplique
pas, elle ne proteste pas. Elle frémit, imaginant que cette femme,
cette maman d’élève si respectable pourrait la fesser, elle,
l’institutrice. Avec une sorte d’effroi elle sent en même temps
la sueur lui couler dans le dos, et … autre chose lui couler dans
le sexe. Comme elle avait mouillée sa culotte quand Karine lui avait
raconté sa fessée au martinet, elle la mouille en entendant la
menace d’une fessée qui lui serait donnée par elle. Elle reste
les bras ballants, la bouche entrouverte, et, sans s’en rendre
compte, elle baisse les eux comme une gamine prise en faute.
Consciente de l’effet de sa menace sur la maîtresse, Karine
insiste :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Je ne veux plus que
tu m</i><i>e</i><i> mentes, entends-tu ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Confirmant par sa réponse qu’elle a
déjà intériorisé l’autorité de Karine à son égard, Hélène
ne peut que balbutier :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Mais … je n’ai
pas menti ... »</i></div>
<i> « Ne répliques pas. Je veux que tu me dises tout, sans
rien cacher ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Et Karine poursuit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et puis, je sais bien que
les fessées sont interdites à l’école, n’est ce pas ?
Mais les devoirs supplémentaires y sont autorisés, non ? »</i></div>
<i> « Oui .. bien sûr...mais ... »</i><br />
<i> « Alors, ma petite Hélène, pour une fois c’est la
maîtresse qui va faire une petite rédaction. Tu vas me raconter par
écrit, et avec précision, la fessée que tu as reçue mardi.
J’attends ton devoir pour demain. Bien écrit … et sans faute
d’orthographe, bien sûr »</i><br />
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">La
proposition est si surprenante qu’Hélène pense un moment que
Karine plaisante :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Et
pourquoi pas cent lignes, pendant que tu joues à la maîtresse ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Mais
c’est une idée ! La prochaine fois ce sera cent fois « je
suis une sale gamine qui a reçue le fessée cul nu », et si ça
ne suffit pas je t’accrocherais le cahier dans le dos ! » »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Hélène
se met à rire, mais Karine l’arrête immédiatement :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Ca
suffit ! </i><i>Tu me donneras ton devoir </i><i>après-</i><i>demain</i><i>.
Sinon ...</i><i>»</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et
elle quitte aussitôt le bureau. Elle n’a pas précisé sa menace,
mais Hélène sait déjà qu’elle obéira. Elle met un message à
son mari sur son téléphone : « <i>J’ai encore du
travail à l’école, je rentrerais un peu plus tard » </i>Et
aussitôt, elle sort une feuille de papier, prend son stylo plume et
se met à écrire, en laissant passer un bout de langue entre ses
lèvres tellement elle s’applique:</span></span></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1413_301950201"></a>Le
devoir</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1415_301950201"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mardi
soir ...</span></span></h3>
<span style="font-size: medium;">« <span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">Mardi
soir, mon mari m’a flanqué une sévère fessée. Je savais depuis
le matin que je na recevrais le soir, il m’avait prévenue </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">avant
de partir au travail. </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">Dimanche,,
pour bricoler dans mon jardin, j’avais mis un jogging,et je n’ai
pas pensé à me changer pour déjeuner. Bien qu’il déteste que je
porte des pantalons, il ne m’a rien dit Mais mardi, alors qu’il
était déjà à la porte de la maison, son attaché case à la
main, il s’est retourné et m’a </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">lancé</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"> :
« Ma chérie, </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">ce
soir on a des comptes à faire, tu sais. Puisque tes fesses ont été
protégées par un pantalon dimanche, elles paieront la note ! »</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">.
</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">Il n’a pas attendu que
je lui réponde, de toutes manières il savait très bien que j’avais
compris, et je n’avais pas l’intention de tenter de négocier ou
de me justifier, sachant que cela ne servirait qu’à provoquer une
autre punition au motif d’une rébellion. </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">Quand
il fait cela, il sait que, toute la journée, je vais voir du mal à
penser à autre chose qu’à la fessée qui m’attend. Comme je
sais qu’il rentre vers 19 </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">h</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">eures,
je me suis arrangée au travail pour </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">rentrer
plus tôt que lui, afin d’être sûre de ne pas le faire attendre,
ce qui aurait inévitablement entraîné une fessée supplémentaire.
</span></span>
<br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1417_301950201"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">P</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">réparation</span></h3>
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">En
rentrant à la maison, j’ai pensé à ce que m’a raconté une
amie il y a quelques jours, et j’ai décidé de prendre une douche
et de me changer avant qu’il en rentre. Je me suis donc douchée,
avec un gel à l’odeur de mangue, puis j’ai choisi avec soin mes
sous-vêtements. Je sais qu’il aime beaucoup quand je porte de la
lingerie fine, mais il m’a semblé que cela ne serait pas opportun
en la circonstance. Je me suis donc contentée d’une petite culotte
« brésilienne » (bien sûr elle ne couvre pas vraiment
les fesses, mais comme de toutes façons je savais qu’elle serait
baissée cela ne change rien) jaune paille, avec le soutien gorge
assorti. Comme il déteste les collants, j’ai enfilé des bas
« auto-fixant » puis j’ai passé une jupe corolle beige
et un chemisier blanc. Puis </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">profité
du temps qui me restait </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">
avant qu’il ne revienne </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">pour
préparer le repas du soir</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">.
</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">Comme nos enfants n’ont
pas école le mercredi, nous avons pris l’habitude de les faire
dormir le mardi soir chez leurs grands-parents. Le mardi soir est
donc souvent l’occasion pour nous deux d’un repas « en
amoureux » … ou d’une fessée puisque mon mari s’arrange
bien sûr pour que celle-ci me soit donnée quand le bruit ne risque
pas d’être entendu par les enfants. Même si je savais que nous
aurions, pour reprendre son expression « des comptes à faire »
avant de dîner, j’ai quand même dressé la table, avec des
bougies pour faire « fête » et j’ai préparé le
saumon fumé et une salade. Puis j’ai disposé sur la table basse
son verre et la bouteille de whisky et un jus de fruits pour moi. Je
savais fort bie</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">n</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">
que toutes ses attentions ne changeraient rien à ses intentions,
mais après tout, tant qu’à prendre une fessée, autant qu’elle
soit précédée – ou suivie, cela dépends de son humeur – par
un repas agréable. </span></span>
<br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1419_301950201"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">A</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">ttente</span></h3>
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">I</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">l
était à peine 19 heures quand j’ai entendu sa voiture devant la
maison. Comme </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">si</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">
je ne pensais plus à ce qu’il m’avait dit le matin, je l’ai
accueilli dans l’entrée, et je lui ai proposé de prendre un verre
tout de suite. C’est ce que nous avons fait, sans la moindre
allusion à ce que je savais pourtant bien inéluctable. Puis il m’a
dit qu’il souhaitait « se rafraîchir avant de dîner »
et il est monté à la salle de bain en me disant : « tu
veux bien débarrasser la table de salon pour que nous soyons plus à
l’aise, ma chérie ? » Il n’avait pas besoin d’en
dire plus, j’avais bien sûr compris qu’il s’installerait sur
le canapé pour faire ce qu’il avait décidé. </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">Ces
minutes qui précèdent « le moment » sont, à mes yeux,
peut-être plus difficile à vivre que l’action elle-même. Je suis
incapable de faire quoi que se soit d’autre ...qu’attendre.
J’écoute le bruit de l’eau dans la salle de bain, je sais qu’il
a finit de prendre sa douche, qu’il passe dans la chambre, qu’il
s’habille. Les minutes me semble être des heures. Oui, le temps me
semble étonnamment long, et pourtant, je sais que plus vite il
arrivera, plus vite je me retrouverais en mauvaise posture. Mais il
me semble que je suis presque impatiente que « cela »
commence, ne serait-ce que pour mettre fin à cette attente
insupportable. </span></span>
<br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1421_301950201"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">H</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">abitudes</span></h3>
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">J’entends
son pas dans l’escalier, je me lève de la chaise où je m’étais
assise, il me rejoint dans le salon. Il a passé un pantalon de toile
gris et une chemise blanche ouverte sur son torse. Il n’a pas l’air
fâché, d’ailleurs il n’est jamais fâché au moment où il me
fesse. </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">Quelle que soit
la raison – ou le </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">prétexte</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">
– de la fessée, il ne me la donne presque jamais sus le coup de la
colère. </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">Sauf les rares
cas où il m’a flanqué une fessée « à la va-vite »
en me faisant seulement me plier sur sa cuisse alors qu’il avait
posé le pied sur une chaise ou sur une marche de l’escalier avant
de me trousser et de me baisser la culotte pour m’appliquer une
volée de claques </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">sur les
fesses. Mais, même dans ces cas là, il m’a toujours précisé,
juste après : « c’est juste un acomptes, tu sais, on
fera les comptes –(c’est son expression,il utilises rarement le
mot « fessée ») plus tard ... » Et je sais alors
que, parfois le soir même, plus souvent le lendemain, il prendra le
temps de me donner « la vraie fessée » Comme celle que
je vais recevoir dans quelques instants. Une fessée prévue,
préparée, programmée … et attendue. Il ne joue ni au maître ni
au papa sévère, et son regard n’a rien de dur ni de menaçant. Il
sait fort bien que je sais ce qui va arriver, et que je ne vais pas
chercher à argumenter ou à négocier pour l’éviter. Je sais,
pour ma part, que ce serait inutile. Au début de notre mariage, il
m’est bien arrivé de négocier, de tenter de me justifier,
d’essayer de la faire fléchir. J’ai vite compris que, non
seulement, cela n’avait aucun effet, mais qu’en plus cela amenait
inévitablement une fessée supplémentaire « pour avoir
discuté » Parfois, ça a été une série de claques en plus,
d’autre fois, cela a même été une nouvelle fessée </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">qu’il
m’annonçait à la fin pour le lendemain. Et l’expérience
cuisante d’une fessée reçue sur un derrière encore sensible de
la fessée de la veille a eu vite fait de me dissuader de tenter de
le faire changer d’avis. Du reste, je dois dire qu’il sait très
bien quand je suis patraque, ou quand j’ai des soucis, et dans ces
cas là, c’est de lui-même qu’il renonce. Non sans me dire
cependant : « on fera nos comptes un peu plus tard, ma
chérie, je vois que tu n’es pas en forme ce soir, je ne veux pas
gâcher ... » et en ajoutant, car il est aussi taquin, « mais
tu sais que les comptes qui se prolongent provoquent intérêts,
hein ? » Et, en effet, dans ces cas là, la fessée
reportée comporte toujours ce qu’il appelle « un petit
supplément » pour avoir été retardée. Il m’ait même
arrivé, deux fois je pense, alors qu’il m’annonçait ainsi qu’il
reportait la fessée à plus tard, de lui dire : </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Non,
ça va, je t’assure.Je suis prête. » </span></span>
<br />
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">L</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">a
première fois, il a été tellement étonné qu’il m’a demandé :</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « TU
es sûre ? Tu ..tu la veux ..maintenant ? »</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
comme je lui répondais positivement il a insisté :</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Alors
il faut me le dire clairement, ma chérie »</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
je me suis exécuté en murmurant :</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Je
voudrais ma fessée maintenant, s’il te plaît »</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Bien
sûr, il a accédé à « mon souhait » en ajoutant :</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Tu
sais bien que je fais toujours tout pour te plaire, mon amour »</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mais
je dois dire qu’il a ajouté aussi quelques claques en les
justifiant par un :</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Puisque
tu y tenais tant, tu ne va pas être déçue ! »</span></span><br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1423_301950201"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Amour</span></span></h3>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mais
ce soir, il n’y a aucune illusion à se faire, nous savons l’une
et l’autre qu’il passera à l’acte dans quelques instants.
Quand nous sommes face à face, il m’adresse un sourire, comme un
encouragement. Avant d’aller s’asseoir sur le canapé, il me
dépose même un léger baiser sur les lèvres. Un peu comme s’il
voulait me rappeler qu’il m’aime avant de me claquer les fesses.
Et je dois dire, d’ailleurs, que non seulement je sais qu’il
m’aime à cet instant, mais, et c’est cela que jamais une femme
qui ne connaît pas ce que je connais ne pourrait comprendre, qu’à
cet instant, moi aussi je l’aime. Je</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">
sais qu’il va me tanner la peau des fesses, je ais qu’il a me
faire mal, je sais que, même si je crie – ça m’arrive -, même
si je pleure -ça m’arrive aussi - , même si je l’implorais
d’arrêter – ça je ne le fais jamais -, il ne renoncera pas à
me fesser comme il a décidé de le faire. Et pourtant, je ne dirais
certes pas que j’aime ce qu’il va me faire subir, mais oui, c’est
cet homme que j’aime. Et, surtout, je sais que celui qui va ainsi
me faire rougir les fesses, me ravager le derrière, me faire
trépigner de douleur, il m’aime. Il me l’a d’ailleurs </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">d</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">it
une fois « on ne fesse vraiment qu’une femme qu’on aime »
</span></span>
<br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1425_301950201"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">E</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">n
place ! </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
en tenue !</span></span></h3>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Une
fois assis, il tapote légèrement sa cuisse en disant :</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Tu
viens te mettre en place, ma chérie »</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ce
n’est pas une question, mais ce n’est pas non plus un ordre,
c’est tout simplement l’annonce du fait qu’il est prêt et que
plus rien ne pourrait empêcher ce qui va commencer. Je n’ai
d’ailleurs rien à répondre. Je me contente de m’approcher de
lui. Juste quelques pas. Mais j’ai p</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">a</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">rfaitement
conscience </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">de
ce vers quoi je m’avance. Je suis un peu dans la situation d’un
mouton qui va vers l’abattoir. Une fois près du canapé, je reste
debout, les mains crispées dans mon dos. </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « Tu
relèves, s’il te </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">plaît</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> »</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ca
y est. Je suis entrée dans l’arène. L</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">es
mots peuvent changer, «trousses-toi », « retrousse s»,
« relèves » … mais l’ordre est au fond toujours le
même. Il me faut « me préparer », « montrer »,
</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">me
« mettre en tenue »</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">.
</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">J’avoue
que l’expression qui me fait le plus d’effet est sûrement le
verbe « trousser ». Il a à mes yeux quelque chose non
pas de vulgaire, mais en tout cas de transgressif. Se « trousser »
ce n’est pas seulement relever sa jupe ou sa robe. C’est bel et
bien « montrer son cul » - expression qu’il lui arrive
aussi d’utiliser ! Etre « troussée », cela renvoi
indubitablement à la fille qu’on va fesser. A la soubrette que
l’on va punir. </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Naguère,
quand j’étais pour ainsi dire « novice » – cela me
paraît si loin – mon mari m’invitait d’abord à m’allonger
au travers de ses genoux. Et la fessée commençait par dessus ma
jupe ou ma robe. Mais, dés les premières fessées, la jupe ou la
robe a été relevée. Il me fallait alors faciliter la chose en
soulevant les hanches. Les rares fois où je portais encore parfois
des pantalons, il me fallait même me relever pour le baisser, et le
laisser à mes chevilles, comme une entrave. </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">La
fessée se poursuivait alors par dessus la culotte, ou même les
collants quand j’en portais. Au fil des ans, ces étapes préalables
ont disparues. Mon mari n’estime plus nécessaire cette
progressivité. Nous savons, moi comme lui, que je finirais « cul
nu », « la lune à l’air », point n’est besoin
de retarder l’échéance. Depuis des années déjà, la fessée
commence directement sur le popotin dénudé. Une sorte de
répartition des tâches s’est instauré entre mon mari et moi. A
moi – toujours – de me trousser, me « montrer ma culotte »,
à lui – le plus souvent – de baisser celle-ci. De me déculotter.
Bien sûr, dans un couple, la pudibonderie n’a pas sa place. Se
déshabiller devant son conjoint, que ce soit avant une partie câline
ou simplement pour se changer, n’a rien d’extraordinaire, et
encore moins de gênant. Mais, là, il ne s’agit pas de se
déshabiller. Il s’agit « seulement » - mais cela fait
toute la différence – de montrer son derrière. Même après tant
d’années – et tant de fessées – relever ainsi le bas de mon
vêtement </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">reste
une véritable épreuve. Non pas tant parce que ma pudeur en serait
mise à mal, mais parce que le geste est une sorte d’acceptation
explicite. Retrousser son vêtement, c’est exprimer son
consentement à la fessée. C’est l’accepter, c’est presque la
réclamer. C’est en quelque sorte « préparer le terrain »
C’est comme si celle qui va être fessée disait à celui qui va
opérer : « vas-y, je te montres mon derrière, je ne
dénude, je te le présente, je te l’offre. » C’est aussi
une forme d’exhibitionnisme. Puisque c’est, directement,
« montrer son cul » </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Quoi
qu’il m’en coûte, je m’exécute. J’ai pris soin de choisir
une jupe assez ample pour qu’elle puisse être relevée sans que je
sois contrainte à me trémousser. En revanche, il me faut veiller à
la coincer au niveau de ma taille pour éviter qu’elle ne retombe
et recouvre malencontreusement ce que mon mari veut avoir – c’est
la ces de le dire – « à portée de main » mais aussi
« sous ses yeux » </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Dés
que je suis ainsi « en tenue », je sais qu’il ne me
reste plus qu’à me mettre « en position ». Sur un
simple geste de l’index, mon mari m’invite en effet à m’allonger
sur ses genoux. C’est le position classique de la fille fessée.
Mon mari m’a dit que les anglais appelaient cette position « OTK »,
initiales de « Over The Knees »,sur les genoux en
anglais. Pourtant, c’est plutôt au travers de ses cuisses que je
m’étend. Je cherche la position la moins inconfortable possible,
les hanches bien positionnées sur les cuisses de mon mari, les mains
posées sur le sol pour assurer ma position, et les jambes – et
donc le derrière, plus haut que la tête. </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Le
temps s’est arrêté. Immobilité. La mienne, allongée, veillant à
ne pas bouger. La sienne aussi, mais je sais que ni l’une ni
l’autre ne se poursuivront … Silence. Je n’entends que les
battements de mon propre cœur, </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">et
le léger tic-tac de l’horloge murale dans le silence épais de la
pièce.</span></span><br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1682_1343826124"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Dé-cu-lot-tée
</span></span>
</h3>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Il
ne reste, entre la peau de mes fesses et la main qui va les fustiger,
que ma culotte. Je sais que cela ne va pas durer … Je sais aussi,
comme pour le retroussage, que l’étape « par dessus la
petite culotte » n’est plus d’actualité. Mais autant il
tient à ce que je relève moi-même la jupe ou la robe, autant il
tient à faire disparaître lui-même le dernier rempart. C’est à
lui de baisser la culotte. De la baisser, pas de la retirer. C’est,
à ses yeux, une nuance d’importance. Une fessée, pour lui, se
reçoit « cul nu ». La lune à l’air. Mais pas « toute
nue ». Pas même « sans culotte ». Autant il peut
apprécier, ou même souhaiter si ce n’est exiger, que je me passe
parfois de cette pièce de sous-vêtements, autant, en effet, il
apprécie que je sorte parfois « sans rien dessous »,
autant, pour la fessée, la culotte est indispensable. Indispensable,
pour pouvoir être baissée, justement. </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Celle
qui reçoit la fessée doit être auparavant « dé-cu-lo-tée »
La culotte doit âtre baissée, pas retirée. Baissée par lui,
presque toujours. Sauf les rares cas où il m’intime l’ordre :
« allez, vite, baisses-moi ce slip et montres moi ton cul ! »
Baissée juste sous les fesses, au niveau du pli qi sépare les
cuisses et les fesses. Ou jusqu’aux genoux, ou aux chevilles. Mais
il est hors de question qu’elle tombe par terre. Quand il lui
arrive de me fesser debout, ou penchée sur un meuble, il tient
absolument à ce que la culotte reste au niveau où il l’a placée
après l’avoir baissée. Bien entendu, s’il en était autrement,
mes fesses en subiraient </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">immédiatement</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">
les conséquences. Il me faut donc, là aussi, écarter les jambes,
de manière à ce qu’elles retiennent la culotte. Même si, ce
faisant, je dévoile aussi ma moule et mon petit trou secret. </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Si
le déculottage est à ses yeux une étape incontournable, c’est,
aux miens aussi un moment fort. Pour une femme adulte, retirer sa
culotte, c’est évidemment un geste quotidien. Le faire en présence
de l’homme qui partage sa vie n’a rien d’extraordinaire ou même
de gênant. </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mais
sentir les doigts se glisser sous l’élastique de la petite
culotte, et sentir celle-ci coulisser doucement vers le bas, c’est
tout autre chose. C’est faire apparaître, progressivement ou d’un
seul coup, selon son humeur du jour, ce qui va être fustigé. C’est
« montrer son cul ». C’est « mettre sa lune à
l’air » Être déculottée,c’est la dernière étape avant
d’être fessée. C’en est aussi le symbole. A vrai dire, au
niveau de la douleur ressentie, recevoir les claques directement sur
la peau ou au travers de la culotte, ça ne change pas
considérablement. Le fin tissu, qu’il soit de coton , de soie ou
en matière synthétique, ne protège que très peu la peau des
fesses, j’en ai fait l’expérience naguère. Mais, d’un point
de vue psychologique, c’est pourtant très différent. </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">P</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">ourtant,
ce soir, Monsieur a décidé d’innover. Il ne passe pas les doigts
sous l’élastique. Profitant du fait que la culotte « brésilienne »
que j’ai choisie ce soir, soit largement échancrée, il ramène la
culotte dans la raie du cul. Puis, en tirant l’élastique vers le
haut, il fait entrer plus profondément le tissu de la culotte dans
la vallée profonde qui sépare les fesses. Il tire si fort que je
suis contrainte de soulever un peu les hanches. Le slip pénètre
dans mon intimité, colle à ma chatte, comprime mon petit bouton.
C’est douloureux, et en même temps, cette pression sur mes lèvres
et sur mon clitoris titille délicieusement la partie la plus
sensible et la plus érogène de mon individu. Et c’est justement
au moment où j’ai du mal à réprimer un gémissement de plaisir
que la première claque s’abat sur mon cul offert.</span></span><br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1427_301950201"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Action !</span></span></h3>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1429_301950201"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Le
bruit et la fureur</span></span></h4>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">«</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Pan ! »
ou « paf ! » ou « vlan ! » … je
ne sais pas bien comment qualifier le bruit de la première claque.
Pourtant – et là aussi je suis bien consciente que celle qui n’a
jamais été dans cette situation aura du mal à le comprendre ou
même à le croire – c’est bel et bien ce bruit, que j’entends
avant de sentir l’impact de la main sur ma peau, qui m’indique
que la fessée est commencée. Le bruit semble emplir la pièce.Une
explosion. Qui justifie que nous choisissions les jours où nous
sommes seuls à la maison pour sacrifier à ce qui est devenu pour
nous un rituel. </span></span>
<br />
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1431_301950201"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">H</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">ôtel
et voisins</span></h4>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mais
qui, cependant, n’empêche pas mon mari d’y sacrifier aussi quand
il nous arrive de passer la nuit à l’hôtel. J’ai même le
sentiment qu’il apprécie particulièrement de pouvoir me fesser en
ces circonstances. Même si – ou je le crains « surtout si »
- nos voisins de chambre risquent d’entendre. Ce qui donne, pour
lui je pense un pi</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">m</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">ent
supplémentaire à la chose, et pour moi une épreuve supplémentaire.
Celle de savoir – ou de craindre – que d’autres clients de
l’hôtel peuvent entendre le bruit des claques et donc savoir
qu’</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">u</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">ne
femme est entrain d’être fessée. </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
que dire de l’épreuve de croiser, dans le couloir, ces inconnus en
se demandant s’ils ont entendu, et s’ils de doutent que la femme
qui se faisait ainsi fesser est celle qu’ils </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">côtoient</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> ?
Et encore plus de celle d’enter, le lendemain matin, dans la salle
du petit-déjeuner en se posant les mêmes questions. Ce couple qui
parle bas, à la table là bas, ont-ils entendu ? Peuvent-ils
deviner que cette dame qui vient de s’installer non loin d’eux a
été fessée par cet homme qui à l’air si distingué ? Dans
ces circonstances, je fais des efforts pour éviter de gigoter sur ma
chaise, alors même que mes fesses sont encore sensibles du
traitement qu’elles ont subies la veille, ce qui m’incite à me
trémousser dans l’espoir – que je sais pourtant vain –
d’atténuer la sensation de cuisson. Et, bien entendu, cela amuse
beaucoup mon mari qui, l’air innocent, me demande ce que j’ai à
bouger ainsi ! </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ce
soir – nous sommes en hiver – les fenêtres sont fermées, et
nous sommes seuls dans la maison. Mais à la belle saison, et
probablement pour les mêmes raisons, mon mari veille souvent à ce
que les fenêtre ou la baie vitrée soient ouverte quand il « fait
les comptes » avec moi. Franchement, je ne sais pas si les
voisins ou les passant entendent le bruit des claques, et s’ils
peuvent l’identifier. En tout cas, je fais tous les efforts du
monde pour ne pas laisser échapper un cri qui, lui, serait une sorte
de signature. Mais, les jours qui suivent une fessée reçue dans ces
conditions, j’avoue avoir du mal à affronter le regard des
personnes que je croise dans le quartier.</span></span><br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1646_1343826124"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">La
symphonie.</span></span></h3>
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1648_1343826124"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Ouverture.</span></span></h4>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Cette
fois, mon mari a fait le choix de m’envoyer la première claque
« sans préavis ». Même si, évidemment, je m’attendais
à ce qu’elle tombe, mon corps se raidit et se cabre sous la
douleur. Bien que, on le comprend facilement,une fessée soit
d’autant plus douloureuse qu’elle se prolonge, la première gifle
me semble toujours la plus douloureuse. L’effet de surprise,
sûrement, mais aussi le fait qu’elle tombe sur une peau encore en
quelque sorte « vierge », non préparée. Ce n’est pas
le cas aujourd’hui, mais il m’arrive de ne pas pouvoir refréner
un cri de douleur en recevant la première, alors que je supporterais
les autres sans plus rien laisser échapper. </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Cette
fameuse « première », celle qui commence ce que mon mari
appelle « l’ouverture » est parfois précédée d’une
sorte de mise en condition, ou d’avertissement, qui diminue la
surprise. Parfois, avant de commencer, il commente :</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « A
nous, ma chérie, par le signe …</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">il
me flanque une grande claque sur une fesse,</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « ...
la batterie ... »</span></span><br />
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">il
a</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">pplique</span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">
une rafale de plusieurs coups donnés </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">à
la suite,</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> « et
l’acclamation ! »</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">et
il termine par trois claques à me démolir le derrière.</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Puis,
après, il reprend le rythme plus conventionnel de la fessée, celui
qu’il adopte ce soir.</span></span><br />
<span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">D’abord
« lento et moderato », selon ses termes. Les coups
tombent régulièrement, avec une pause de quelques secondes entre
eux. Ainsi, à la douleur foudroyante de l’impact de sa grande main
sur la peau, succède une sorte de pénétration de la souffrance. Un
peu comme si celle-ci commençait par s’étaler autour du point où
la main est tombée, comme les ronds que fait une pierre lancée dans
l’eau. Puis elle se diffuse plus profondément, comme si elle
s’enfonçait dans ma masse de mon postérieur. C’est comme une
onde, une vague, qui se déploie depuis mon derrière.Elle se répand
dans mon ventre, sur mes flancs, et vibre jusque dans mon minou,
avant de se diffuser jusqu’à mes seins. Patiemment, comme si il
ressentait, lui aussi, ce voyage de la douleur dans mon corps, mon
mari semble attendre qu’elle ait envahi </span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;">toute
ma personne avant d’appliquer la frappe suivante. Chaque fesse
reçoit ainsi à son tour son dû. Fesse droite, pan ! Fesse
gauche, pan ! Des tapes régulières, comme un métronome. </span></span>
<br />
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1650_1343826124"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">A</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">llegro,
</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">presto
et adagio</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;"> !</span></span></h4>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Puis,
sans que je puisse jamais prévoir quand arrivera cette modification
du rythme, celui-ci se brise. Les coups se succèdent plus vite, plus
irrégulièrement aussi. Elles semblent tomber au hasard. Parfois
plusieurs de suite sur la même fesse, puis retour à l’alternance
droite et gauche. Parfois la main s’applique au travers des fesses,
recouvrant la raie des fesses pour frapper les deux hémisphères en
même temps. Leur bruits se recouvrent, il me semble que l’écho
dans la pièce de l’une est encore présent quand éclate le
claquement de la suivante. A une série de coups précipités,
« presto » commente mon mari, succède une série plus
lente, « adagio » , ou, au contraire, une accélération
du rythme, comme une averse d’orage, « prestissimo » …
Il m’arrive de regretter que mon homme soit aussi mélomane !
Et surtout qu’il ne semble vouloir n’occuper que le pupitre des
percussions ! D’autant qu’avec son humour – que j’avoue
avoir un peu de mal à apprécier en la circonstance – il lui
arrive de me rappeler qu’une symphonie comprends « cinq
mouvements », et de m’administrer cinq fessées, juste
séparées par de courtes pauses. </span></span>
<br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1652_1343826124"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mouvements</span></span></h3>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mais
une fessée, ce en sont pas seulement des mouvements musicaux. Ce
sont aussi les miens. Même si je cherche à rester le plus stoïque
possible sous l’avalanche de claques qui me meurtrissent les
fesses, je ne parviens pas à empêcher mes jambes de battre, de
s’agiter, de gigoter. Cela ne change pourtant strictement rien à
la sensation de douleur, mais ce sont des mouvements involontaires et
totalement irrépressibles. Je sais pourtant qu’en m’agitant
ainsi, je ne peux empêcher mes jambes de s’écarter. Et que, ce
faisant, j’offre une vue imprenable sur le plus intime de moi-même.
Mais je dois bien avouer qu’au moment où mon derrière est ainsi
traité, je n’ai aucune conscience de l’impudicité de ma
situation. Il voit mon abricot, sûrement. Grand bien lui fasse !
En écartant ainsi les cuisses, j’entrouvre plus largement ma raie
culière ? Probablement. Et il peut même apercevoir mon petit
trou. Qu’y puis-je ? Oui, je suis indécente, oui je « montre
tout », oui je laisse voir mon minou rosé, et même mon petit
trou ridé. Mais, après tout, à qui la faute ? </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Si
mes jambes s’agitent et bougent, mes bras, eux, restent
tranquilles. D’abord parce que j’ai posé mes mains par terre, ce
qui m’évite de céder à l’irrépressible envie de protéger mes
fesses. Mais, même quand je reçois la fessée dans d’autres
positions, je veille à refréner cette tentation, sachant trop bien
que la protection de mes mains ne serait qu’illusoire, mais me
vaudrait à coup sûr une fessée plus appuyée pour cause de
tentative de révolte. Ainsi, quand il est assis sur une chaise, j’en
saisi les pieds à pleine mains pour éviter qu’elle ne bougent. Et
quand je ne peux rien tenir dans mes mains, je serre les bras contre
ma poitrine et je serre mes doigts les uns dans les autres, à les
rendre tout blancs. Tout comme je le fais quand il prend à mon mari
la fantaisie de me fesser debout et les mains sur la tête. </span></span>
<br />
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1684_1343826124"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">De
la pierre à la pâte</span></span></h4>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Par
contre, si je peux contrôler les mouvements de mes bras, il n’en
est pas de même pour ceux de mon postérieur. Ses mouvements à lui
sont incontrôlables ! Il vit sa vie, en quelque sorte,
indépendamment de ma volonté. Et ce n’est que par ce que mon mari
m’en a dit que je sais que, au début de la fessée, mon cul est
serré, ferme, dur comme une pierre. Sans que je l’ai pourtant
décidé, il se crispe, se durcit. Il se défends, il refuse la
fessée. Sur ce bloc de granit, les claques provoquent un son clair,
net, tranchant. Comme des coups de feu dans un paysage d’hiver. La
raie culière est réduite à une mince ligne, nette, fermée,
hostile. Plus il se raidit ainsi, plus la main qui le frappe
s’acharne à le contraindre à rendre les armes.</span></span><br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Et
en effet, avec l’accumulation des claques, la résistance de ce
derrière commence à céder. Parfois, il se relâche un instant, le
bloc de pierre se fendille. Quelques claques s’abattent sur un
oreiller de plumes. Mais il se reprend. Durcit à nouveau, se raidit.
Redevient fier, arrogant, têtu. S’engage alors plus encore la
lutte implacable entre la main et le cul. L’une frappe, l’autre
se contracte. Les coups se font plus secs, plus fermes. Le derrière
semble narguer la main, va même jusqu’à la provoquer, en se
levant, comme pour s’approcher de celle qui va le battre. Mais le
popotin peut bien se défendre, peut bien lutter, il connaîtra le
sort de la petite chèvre de Monsieur Seguin. Et avant le petit
matin ! Il finira pas abandonner le combat. Il va rendre les
armes. Il capitule. La boule de muscles bandés qu’était le
derrière s’effondre. Le postérieur de pierre se transforme en
pâte molle, de celle que le boulanger pétrit à pleines mains. Tout
le corps se relâche en même temps. Je deviens poupée de chiffon.
Maintenant, mes fesses ballottent au rythme des frappes qui n’ont
pas cessé. Mon cul vibre, tremblotte. Chaque impact provoque une
sorte de vaguelette qui court sur le globe. Je ne contrôle plus
rien. La raie culière s’élargit, baille, s’entrouvre. Le petit
trou fripé se dévoile, s’exhibe. </span></span>
<br />
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1786_785277419"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Plaintes
et pleurs.</span></span></h4>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
sais aussi, par ouït - dire dirai-je, que c’est en général au
moment où mon corps renonce à lutter, quand il « accepte »
la fessée selon </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">l’expression</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">
de mon mari, que je renonce aussi à </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">contenir
mes plaintes. Jusque là, il peut m’arriver, lors d’une claque
plus forte que les autres, ou quand mon fesseur concentre les coups
sur le même endroit, de laisser échapper un cri de douleur. Un bref
« aille », ou un « umpf » étranglé. </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">
</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mais,
sans pourtant l’avoir consciemment décidé, je veille à ne pas
exprimer ma souffrance. Puis, brutalement, je renonce à cette
obstination. Alors, oui, je braille. Je piaille, je couine. Chaque
nouvel assaut est ponctué d’un cri </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">guttural.</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">
Parfois bref, parfois une sorte de hululement. Ce sont des
« aiiiiile », des « ohhhhh ouillle » « des
haaaa ! » A cet instant, et quelles que soient les
circonstances de la fessée, peu m’importe si d’aucuns peuvent
entendre mes cris et mes plaintes . Je suis bien au-delà des
conventions. Je ne suis plus qu’un cul que l’on fesse. Je ne suis
plus que douleur. Douleur que j’exprime sans restriction. Par les
geignements, mes gémissements, parfois mes hurlements. Et aussi par
mes larmes. Le cul devient moelleux, les cris sont lâchés, les
larmes jaillissent. Ruissellent sur mes joues. Je hoquette, je
sanglote </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">parfois.
C’est le signe, pour mon mari, que le seuil est atteint. Il ne
cesse jamais la fessée aux premières larmes, et à l’inverse les
fois où celles-ci ne viennent pas, il ne s’obstine pas à
prolonger la fessée jusqu’à ce qu’elles arrivent. C’est qu’à
ses yeux, il est fondamental que ce soit celui qui fesse qui décide
du moment où la fessée est suffisante. Il me faut du reste préciser
que la longueur, l’intensité et la sévérité de la fessée ne
dépendant pas prioritairement de la cause, du motif de celle-ci. Il
m’est arrivé d’être fessée très sévèrement, jusqu’à en
avoir </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">les</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">
fesses marquées et douloureuses pendant plusieurs jours, pour des
raisons vénielles, et au contraire que des motifs plus sérieux –
quoi que – </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">n</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">e
soient sanctionnés que par une fessée presque légère. Il me
semble que cela ne dépend pas non plus de l’humeur de mon mari. Je
sais qu’il renoncera à me fesser s’il sent qu’il est irrité
ou énervé. Jamais, et je lui en sais gré, il ne passerais ses
nerfs sur moi, ou sur mes fesses. Je dirais presque au contraire, les
fessées les plus marquantes ont été données alors qu’il était
de fo</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">r</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">t
bonne humeur, voire joyeux. Tout dépend … des circonstances, et,
je pense, de mes réactions. D’où peut-être, son expression « la
fessée dont tu as besoin » Mais en sachant que c’est lui qui
estime le degré de ce besoin. </span></span>
<br />
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1802_967952209"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">De
la couleur</span></span></h4>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Peut-être
aussi la coloration de mes fesses est-elle, pour lui, une indication.
De toues manières, que la fessée ait été modérée ou cinglante,
j’en sors toujours les fesses cramoisies. Une forme d’esthétisme
chez lui l’amène à considérer, d’une phrase qui lui est
familière, que « il n’est rien de plus beau qu’un derrière
que l’on va fesser, si ce n’est celui qui vient de l’être »
Et il me faut reconnaître, quoi qu’il m’en coûte, qu’il
porte beaucoup d’attention à ce que le mien soit porté au rouge
carmin. Bien entendu, on le comprend, il me serait difficile de
décrire moi même les phases de cette coloration. Je n’en sais
donc que ce que m’en a dit celui qui en est l’auteur. Dés le
début de la fessée, le cul rosit, puis, très vite, rougit. Comme
les claques se concentrent au milieu des fesses, celles-ci
s’empourprent d’une sorte de calotte rouge, le reste de popotin,
qui n’a alors reçu que quelques claques égarées, comme le haut
des cuisses, restant plus blanc. Alors, comme pour peaufiner son
œuvre, mon tourmenteur veille à uniformiser la couleur de mon cul.
Il applique ses coups sur toute sa surface, du plis des cuisses
jusqu’à la taille. Il fignole. Il parfait son œuvre. Il claque en
haut, en bas, à gauche, à droite. Les claques viennent parfois de
bas en haut, faisant tressauter mon globe fessier. La main frappe
ouverte, pour mieux couvrir. </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Mes
fesses sont, bien entendu, l’épicentre de ses coups. Ne dit-on pas
« une fessée » ? Même si la main s’égare
parfois, comme par mégarde, sur le haut de mes cuisses. Frappant
sèchement la bande de peau laissée libre entre mes fesses et le
haut de mes bas auto-fixant. Et provoquant à chaque fois un cri aigu
de ma part, la peau étant plus sensible, surtout quand le coup
</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">atteint</span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">
l’intérieur des cuisses, et que la main effleure mon abricot que
je sens gonflé. </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
sens que mon cul brûle uniformément, mais lui le voit devenir une
boule </span></span><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">pourpre.
La lune est devenue soleil ...</span></span><br />
<h4 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc1804_967952209"></a><span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Fin
et suites</span></span></h4>
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Comme
quoi la boucle est bouclée, j’avais perçu le bruit de la première
claque avant d’en sentir l’effet sur ma peau, c’est aussi plus
le silence qui se réinstalle dans la pièce après le fracas de la
fessée qui me fait prendre conscience que celle-ci est terminée que
la disparition de la douleur. En effet, mon cul est tellement meurtri
que l’arrêt des coups n’entraîne absolument pas la fin de la
brûlure. Peut-être aussi, à la longue, ma peau est-elle en quelque
sorte anesthésiée, ou la douleur a-t-elle atteint depuis longtemps
déjà une sorte d’acmé. En effet, même si je me suis mise à
geindre et à crier ma douleur, même si je me suis mise à pleurer,
je ne peux pas dire vraiment que la douleur ait crue de manière
régulière. Elle a en effet atteint un niveau qui me semble –
faussement sûrement – être le maximum imaginable, et qui reste
étal. Ainsi, après la dernière claque, c’est encore la fessée.
La douleur reste là, tenace. Je peux presque dire qu’elle monte
encore d’un cran, comme si l’arrêt des claques la ravivait. Je
continue a geindre, d’une sorte de plainte continue, un peu
modulée. Les larmes continuent à couler. Je cherche à reprendre
mon souffle, comme après une plongée en apnée. J’émerge
cependant peu à peu. Les jambes un peu flageolantes, je finis par me
relever. Sans qu’il ait à me le demander, je retire ma culotte, et
je la dépose sur le canapé. C’est une règle que j’ai
intériorisée depuis des lustre, après la fessée, je reste cul nu.
Parce qu’il l’exige, certes, mais aussi parce que c’est
beaucoup plus confortable pour moi. Le frottement du slip sur un cul
aussi sensible,c’est comme si le sous-vêtement était en papier de
verre ...D’autant que, ce soir, l’absence de culotte n’est en
rien difficile. Je sais que ce sera plus difficile demain, puisque la
règle est aussi intangible : les lendemain de fessée, la
journée se passe sans culotte. Mais ce n’est pas mon problème ce
soir. Dans l’immédiat, mon seul souci est de tenter d’atténuer
l’incendie qui me ravage le fondement. Je sautille sur place,
entamant ce que mon homme désigne par « ma dans de Saint
Guy », comme si ce tressautement pouvait contribuer à éteindre
le feu qui me ravage le derrière. Je ne suis pas sûre que les
frotter doucement avec la paume de mes mains soit vraiment efficace,
mais j’en ressent pourtant le besoin inextinguible. D’un signe
de tête, mon mari, magnanime, m’y autorise. Je passe donc, aussi
doucement que possible mes mains sur mon cul. Il est plus que chaud,
brûlant. C’est un champs de bataille après un bombardement. J’ai
le cul ravagé. La peau est à la fois veloutée et presque
granuleuse. J’ai pleinement conscience que, si je pouvais le
regarder dans une glace, je découvrirais une lune rousse,
rougeoyante, carminée. Un cul marbré. Il est encore rouge carmin,
demain il évoluera vers le violet et le bleu. La trace de la fessée
carabinée que je viens de recevoir ne s’estompera que dans deux ou
trois jours, même si le sensibilité de la peau de mes fesses
diminuera, heureusement, au fil des jours. Le silence est revenu dans
la pièce, nous revenons progressivement dans le monde réel. Celui
qui était « mon fesseur » va redevenir mon mari, l’homme
que j’aime, et que je n’ai pas cessé d’aimer tandis qu’il me
tannait la peau des fesses. Et qui, lui aussi, m’aime, même – ou
surtout ? - quand il me ravage le derrière. Il me le murmure
d’ailleurs, tendrement, à l’oreille quand il s’approche de moi
et que, toujours en reniflant mes larmes, je pose ma tête au creux
de son épaule. Avec infiniment de douceur, ses mains me caressent la
nuque, le dos, les reins. Elles soulèvent le bas de ma robe, dont le
frottement furtif sur mes fesses me provoquent un frisson. Il ne
résiste pas à l’envie d’effleurer mes fesses du bout des
doigts. Provoquant à la fois un élancement de douleur fulgurant, et
un frisson de plaisir. Mon dieu, comment des mains aussi douces
ont-elles pu, il y a quelques minutes à peine me faire autant mal ?
Il laisse retomber ma robe, me propose un verre dont j’ai bien
besoin – eh oui, la fessée donne soif ! - qu’il me sert
galamment. Je sais que,dans un moment, il me demandera aussi de « lui
montrer ». Il voudra voir son œuvre. Découvrir l’état de
mes fesses. Je me retournerais, je soulèverais ma robe, et je lui
montrerais mon cul. Comme à chaque fois, il me dira, de cette voix
grave et presque émue : « il est beau comme ça, tu
sais ? » Et je sais que cela sera parfaitement sincère,
et me fera fondre comme à chaque fois. Cette demande presque timide
de « voir », il la rééditera les jours suivants,
jusqu’à ce que les traces de ce que mon cul vient de subir aient
disparues. </span></span>
<br />
<span style="font-family: "blackadder itc" , fantasy;"><span style="font-size: medium;">Je
sais aussi que je ne pourrais dîner qu’en me tenant à genoux sur
ma chaise. M’asseoir serait impossible. Mais je ne suis pas sûre
du tout que nous allons dîner ... »</span></span><br />
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2343_386556157"></a>Les
mots</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2345_386556157"></a>Souvenirs
d’écriture</h3>
Hélène a écrit son texte presque d’une traite, presque sans
lever la tête de son papier. Une fois terminé, elle ne le relit
pas. Elle le glisse dans une grande enveloppe de kraft qu’elle
colle comme pour s’interdire d’y revenir et cache dans un tiroir
du bureau. Quand elle lève la tête vers la pendule, elle sursaute
en constatant qu’il est presque dix-neuf heure. Ainsi, il y a deux
heure qu’elle est là, à noircir le papier de son écriture
appliquée et régulière. Elle n’a pas vu le temps passé. Elle se
lève, rassemble ses affaires et sort du bureau, la tête un peu
vague. Elle revient dans le monde réel. Hélène a toujours aimé
écrire. Quand elle était jeune fille, elle tenait régulièrement
un cahier secret qu’elle cachait soigneusement dans sa chambre et
qu’heureusement personne n’avait jamais découvert. Avant de
quitter la maison de ses parents pour son mariage, elle avait
pourtant détruit ce cahier en le brûlant, de peur de ne pas trouver
le moyen de le cacher dans sa nouvelle maison. Il contenait trop de
ses petits et grands secrets de petite puis de jeune fille pour
qu’elle prenne le risque que son mari ne le découvre. Hélène y
racontait ses premiers émois, ses premiers flirts, et aussi comment
elle était devenue femme dans les bras d’un de ses copains de
lycée, quand elle était en seconde. En écrivant aujourd’hui ce
que Karine lui a présenté comme une « punition »,
Hélène a retrouvé ce sentiment troublant qu’elle ressentait
quand, plus jeune, elle mettait ainsi sur le papier, sans censure, ce
qu’elle n’avait jamais raconté de vive voix, même à sa
meilleure copine. Elle est aussi consciente que ses aveux sur papier
l’ont mise sans le même état que quand elle confiait à son
journal intime comment elle se donnait du plaisir seule, puis comment
elle avait découvert le plaisir d’être possédée par un homme.
Autant elle était réservée et avait du mal à faire des
confidences sur elle-même dans la « vraie vie » autant
elle prenait plaisir à détailler ses émois avec des mots crus par
écrit. Et, curieusement, le fait que le texte qu’elle venait
d’écrire avait pour vocation d’être lu par un tiers, à la
différence de ses écrits de jeunesse, ne l’avait en rien amenée
à se censurer.
<br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2347_386556157"></a>Retard</h3>
Hélène rentre chez elle la tête un peu lourde, presque comme si
elle avait un peu bu. Les mots qu’elle vient d’écrire lui
reviennent par vague. Et les images aussi. Les mots crus, vulgaires
parfois, directs en tout cas. Les images d’elle-même. De ses
fesses rougies, de son sexe béant et moite, de son petit trou
exhibé. Elle sait qu’elle est très en retard. Elle n’a même
pas pensé que son mari s’en inquiéterait, même si elle l’a
prévenu par un bref message. Quand elle rentre chez elle, elle
s’étonne un instant d’y trouver son mari seul au salon. Ce n’est
qu’à cet instant qu’elle réalise que l’on est mardi. Mardi,
le jour où les enfants sont chez les grands – parents. Mardi le
jour aussi où, souvent, comme mardi dernier, son mari « fait
les comptes » Mardi, comme le jour de sa dernière fessée,
celle qu’elle vient de raconter dans le détail, et qui lui semble
donc si proche. Pourtant, il y a déjà – seulement ? - huit
jours que ses fesses n’ont pas connues la main maritale. Mais ils
n’ont pas instauré un véritable rituel de ce jour, ni du rythme
de ses passages sur les genoux de son homme. Il leur arrive de rester
deux ou trois semaines sans qu’elle soit fessée, comme il arrive
qu’elle le soit deux fois à seulement quelques jours d’intervalle.
Pourtant, quand il l’accueille, son mari n’a pas l’air fâché.
Tout juste s’inquiète-t-il de la raison de ce travail si long à
l’école, et, gentiment, il l’invite à s’asseoir tandis qu’il
lui apporte un verre de vin blanc en lui disant qu’il s’est
chargé de préparer le dîner. Rien n’indique qu’il ait en tête
de chercher une raison pour la punir. Il suffirait donc à Hélène
d’expliquer qu’elle a du terminer un travail urgent pour que son
retard soit accepté sans autre forme de procès. Et pourtant,
inconsciemment presque provocante, elle s’esquive vers la salle de
bain avant même d’avoir bu son verre, laissant ainsi son mari
poireauter encore tandis qu’elle se douche. Puis elle passe une
chemise de nuit et une robe de chambre et, enfin, elle le rejoint
dans le salon. En prenant ainsi son temps, elle n’a même pas pensé
qu’elle lui donnait une raison de plus pour sévir s’il en avait
l’intention. Curieusement, il ne semble pas particulièrement
impatienté, alors qu’il vient de l’attendre encore une bonne
dizaine de minutes , retardant d’autant leur passage à table.
<br />
Pourtant, alors même qu’il ne lui demande rien, ni ne lui
reproche rien, Hélène reste debout au beau milieu du salon, baisse
la tête et murmure d’une petite voix :<br />
<i>« </i><i>Je sais que je suis très en retard ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Son mari se contente de répondre, sans
brutalité ni colère apparente un bref :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« En effet, et je meurs de
faim ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Mais plutôt que de se dépêcher de
prendre place à la table qu’il a déjà dressée, ou de justifier
une nouvelle fois son retard, elle reste immobile, toujours la tête
baissée, jouant nerveusement avec la ceinture de sa robe de chambre,
dans l’attitude typique d’une petite fille qui a fait une bêtise.
Et elle continue :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Je suis désolée de
t’avoir fait attendre ... </i><i>je comprends que tu sois
fâché »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Est-elle consciente qu’elle lui tend
ainsi une perche qu’il serait étonnant qu’il ne saisisse pas ?
Cherche-t-elle vraiment à se mettre dans la situation de la fautive,
avec les conséquences qu’elle ne peut ignorer ? Elle ne
saurait le dire elle-même. Elle n’a rien prémédité. Quand elle
s’est déshabillée, elle n’a pas pu ne pas remarquer que sa
petite culotte était moite. Et la douche, pourtant plutôt fraîche,
qu’elle a prise n’a pas supprimé cette tension nerveuse, et ce
sentiment d’une boule au creux de son ventre, pas plus que
congestion des bouts de ses seins qui pointent sous la chemise de
nuit. Qu’elle en prenne conscience ou non, qu’elle se l’avoue
ou non, sa longue confession lui a mis les sens en feu. Pourtant,
elle n’a pas profité de son passage sous la douche pour chercher à
calmer cette excitation comme elle le fait souvent dans cette
situation.
</div>
<div style="font-style: normal;">
Cette fois, son attitude penaude
n’échappe pas à son mari. Une lueur éclaire son regard, et il
ne tarde pas à entrer dans le jeu qu’elle a elle-même enclenché :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Pour ça, oui, tu m’a
fait attendre ! Et … tu penses qu’il suffit de
t’excuser ? »</i></div>
<i> « Ben … je ne sais pas ... »</i><br />
<i> « Moi je pense que tu sais très bien, au contraire ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Cette fois, Hélène ne réponds pas
tout de suite, mais elle hoche la tête en signe d’acquiescement
puis murmure :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Oui »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
« <i>Eh bien, puisque nous
sommes d’accord, nous n’allons pas retarder plus encore le dîner,
n’est-ce pas ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et il s’assoit sur le fauteuil du
salon et se contente de désigner ses cuisses d’un geste de la
main. Un geste sans ambiguïté pour Hélène. Elle ne peut l’ignorer
maintenant, elle va être fessée. Et cette certitude, c’est
presque un soulagement pour elle. Non qu’elle se sente coupable, si
ce n’est que d’un retard après tout bénin. Mais elle sait que,
même si son mari ne peut rien en savoir et et loin de le soupçonner,
elle a transgressé un interdit. Leur pratique de la discipline
conjugale fait partie de leur intimité. Jamais ils n’y ont fait la
moindre allusion à qui que se soit, même pas auprès de leurs
meilleurs amis. Hélène ne pense pas les choses rationnellement,
mais elle a déjà admis en elle-même que jamais fessée ne fut
aussi justifiée que celle qu’elle va prendre maintenant, même si
celui qui va la lui donner n’en saura pas le vrai motif. Ainsi
l’annonce de l’imminence de sa fessée n’est pour elle ni une
surprise, ni une épreuve. Elle ne trésaille même pas. Elle n’a
même pas besoin d’exprimer son accord, qui ne lui est du reste pas
demandé. Le mouvement du doigt de Florent en direction de ses
cuisses suffit pour qu’elle sache ce qui lui reste à faire.
</div>
<div style="font-style: normal;">
Sans lever les yeux, elle s’avance
et, une fois arrivé tout près de lui, elle dénoue la ceinture de
sa robe de chambre et la retire avant de la déposer sur le canapé.
Puis, sans même attendre qu’il lui ait répété son ordre, elle
s’allonge au travers de ses genoux, les mains posées sur le sol.
La main gauche de son homme se pose délicatement sur les fesses
ainsi présentées qu’il caresse doucement, et il constate d’une
voix goguenarde en sentant le derrière nu sous la fine chemise de
nuit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ah, c’est parfait, nous
n’aurons pas à la baisser ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
D’un geste attentif, il relève le
bas de la chemise de nuit, et Hélène soulève le bassin pour
faciliter la chose. Comme à chaque fois qu’il découvre ainsi les
fesses de son épouse, Florent éprouve ce moment de pur bonheur
qu’il connaît quand apparaît ce derrière rond à la peau
veloutée. Même après tant d’années de vie commune, son émotion
est toujours aussi forte, comme s’il le découvrait pour la
première fois. Cette sphère presque parfaite, surmontée de deux
fossettes au bas des reins, et séparée par une raie comme un coup
de couteau dans une pomme le ravit une fois encore. Une sourire de
bonheur naît sur ses lèvres, tandis qu’il sent son sexe se
durcir. Il fait encore remonter un peu pus la chemise de nuit pour
bien dégager les reins creusés, et il y pose la main gauche, tandis
que la droite se lève, puis s’abat sur la fesse gauche, puis,
immédiatement, sur la fesse droite. Est-ce parce qu’il est
vraiment affamé et pressé de passer à table, ou bien à cause de
l’attitude à la fois soumise et provocatrice de son épouse, qu’il
adopte d’entrée de jeu ce rythme effréné ? Il la fesse
d’emblée à la volée. Sans ménagement, sans progression, sans
étapes. C’est une débordement de claques ininterrompue qui s’abat
sur les fesses de sa femme. Une averse de grêle d’orage. Un
roulement continu. La main frappe alternativement sans discontinuer
les deux fesses qui prennent très vite une couleur cramoisie. Cette
fois, Hélène ne cherche ni à retenir ses larmes, ni à refréner
ses plaintes. Presque immédiatement, elle criaille d’une voix
aiguë vite étranglée par les pleurs. Qui n’interrompent
pourtant en rien le déluge de claques qui tannent le derrière
devenu rouge brique. Bien qu’elle continue à crier sa douleur, qui
n’est pas feinte, Hélène ne tente rien pour éviter les coups qui
la fustigent. Elle ne tente pas une seule fois de protéger ses
fesses de ses mains, et, loin de chercher à éviter les coups, elle
se cambre, relevant ainsi son cul comme pour mieux l’offrir à la
main de son mari.
</div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène ne subit pas, ce soir là, la
fessée la plus sévère qu’il lui ait été donnée de recevoir.
Mais sûrement une des plus précipitée. Pas une pause, pas une
intermède, pas même un changement de rythme. C’est une fessée
effrénée, endiablée, fougueuse. Une crépitement continu, qui
semble lui déchirer la peau du cul.
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2349_386556157"></a>Offrande</h3>
<div style="font-style: normal;">
Et quand, enfin, les claques cessent
de s’abattre, Hélène, le visage baigné de larmes, se laisse
glisser aux pieds de son homme, la tête posée sur ses genoux,
continuant à sangloter doucement. Florent lui caresse tendrement les
cheveux et la nuque en murmurant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Voilà, c’est
fini, ça va aller mieux. C’était nécessaire, n’est-ce pas ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
C’est plus une constatation qui
prouve combien ce mari connaît sa femme qu’une vraie question.
Pourtant, Hélène acquiesce de la tête, et, levant enfin les yeux
vers son homme, souffle :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Oui ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et plus bas, si doucement que Florent
se demandera par la suite si elle l’a vraiment dit :</div>
<i> « Merci ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Elle laisse son regard encore embué de
larmes fixé dans les yeux de son homme, et, sans qu’il ait
pourtant rien fait ni dit pour l’y inciter, et alors même qu’il
ne pense qu’à enfin passer à table, elle défait la ceinture du
pantalon de Florent, puis poursuite en ouvrant sa braguette. Elle
n’a qu’a écarter du doigt la ceinture du slip pour en faire
jaillir la queue tendue, qu’elle enfourne immédiatement en bouche.
Son homme se soulève, faisant ainsi entrer plus profondément son
sexe dans la bouche de sa femme, et lui permettant de descendre le
slip et la pantalon. Elle peut alors prendre les couilles dans ses
mains en coquille. Florent facilite le mouvement en avançant son
bassin vers cette bouche gourmande, et en rejetant la tête en
arrière. Sa femme le suce avidement, faisant glisser sa langue
autour de son dard, tout en lui massant les couilles à pleines
mains. Et quand l’index d’Hélène se glisse jusqu’à son anus
et s’y enfonce, il explose en elle. Le sperme tiède et épais
emplit la bouche d’Hélène qui l’avale sans réticence, sans
pourtant pouvoir empêcher qu’un filet blanchâtre déborde de ses
lèvres. Et quand elle se love contre le torse de son mari elle lui
murmure :
</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Je t’aime tant
... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Une nouvelle fois, Florent lui caresse
la nuque, puis le dos. Ses mains effleurent les flancs, puis glissent
sur le ventre et remontent vers les seins. Il les saisi à pleines
mains, et frotte doucement les pointes dardées du gras de ses
pouces. Hélène relève la tête et ronronne comme un chaton, en se
cambrant en arrière pour mieux offrir ses seins à la caresse.
Celle-ci se transforme pourtant en un pincement, d’abord léger
puis de plus en plus fort, provoquant une sorte de gémissement à mi
chemin entre le grognement de douleur et halètement de plaisir.
Florent continue à serrer les pointes jusqu’à ce qu’Hélène
lâche un vrai cri de douleur. Il abandonne alors la poitrine de sa
femme, pour laisser ses mains redescendre ver sa taille, et se poser
avec une infinie douceur sur les fesses encore brûlantes. Aussi
léger qu’ait été ce frôlement, il suffit pour provoquer le
raidissement du corps d’Hélène qui, une nouvelle fois, geint de
douleur. Pourtant, Florent laisse le bout de ses doigts errer sur ce
derrière à la peau brûlante et boursouflée. Il écarte doucement
les fesses, et son index vient titiller le petit trou, tandis que son
petit doigt se glisse dans la chatte gluante. Quand il va jusqu’à
agacer le petit bouton tendu, Hélène exhale un long soupir de
plaisir. Il susurre alors, la voix étranglée :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Montres moi, mon
amour »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène ne se fait pas prier. Sans se
relever, elle pivote sur ses genoux, et se penche jusqu’à ce que
ses épaules et sa poitrine touchent le sol. Elle relève alors les
fesses, exposant avec une totale impudeur son popotin écarlate. La
raie du cul est maintenant largement entrouverte, et Florent peut
découvrir le petit trou dans lequel son doigt vient de se fourrer.
</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Putain, qu’il est
beau comme cela ton cul, ma chérie ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et, après avoir ainsi exprimé son
admiration, il » tombe lui aussi à genoux, saisi Hélène par
les hanches, et sans plus tergiverser, enfonce son pieu qui a
retrouvé sa rigidité dans la chatte béante. En deux coups de
reins, il s’enfonce en grognant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tiens, prends ! Tu le
sens bien ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et sa femme de confirmer d’une voix
devenue gutturale :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Oui … vas-y….défonces
moi ...donnes moi tout ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Florent se retire , mais, alors
qu’Hélène proteste par un grognement de déception, il place sa
queue plus haut, contre la rondelle, et annonce sans barguigner son
intention :</div>
<div style="font-style: normal;">
« <i>je vais t’enculer à
fond »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Ils pratiquent rarement cette « porte
de derrière », Hélène craignant – d’expérience vécue –
la difficulté pour elle de recevoir dans son fondement la bite
épaisse de son homme. Pourtant elle ne tente rien pour le dissuader.
Bien au contraire, elle se cambre encore plus, remontant encore le
derrière pour faciliter l’intrusion du sexe qui entre en elle
inexorablement. Et c’est presque simultanément qu’ils jouissent
l’un et l’autre dans un cri presque animal.</div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2642_965859359"></a>Réponse</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2644_965859359"></a>Questions</h3>
<div style="font-style: normal;">
Ce n’est que le vendredi qu’Hélène
peut remettre « sa copie » à Karine. Celle-ci l’emmène
sans commentaire, et durant tout le week-end, Hélène est sur des
charbons ardents. Consciente d’avoir pris un risque fou en confiant
ainsi cette facette d’elle-même – et de son mari – à une
femme qui est finalement une quasi inconnue. Que va-t-elle faire de
cette confession ? Et si elle la faisait chanter ? Elle a
bien entre les mains de quoi détruire la respectabilité de
l’institutrice, et cette idée terrifie celle-ci. Pensait-elle
vraiment qu’Hélène obéirait à son injonction, ou n’était-ce
qu’une sorte de plaisanterie ? Ne va-t-elle pas faire des
gorges chaudes en lisant le texte de « la punition » ?
En même temps, l’institutrice se rassure en se disant qu’après
tout elle en sait autant sur a maman de ses élèves que celle-ci sur
elle. Et puis, à l’évidence, l’émotion de Karine quand elles
ont eu cette conversation dans le bureau de l’école n’était pas
feinte. Elle ne faisait pas semblant. Elle s’était découverte,
totalement, sans tabou. Sa sincérité avait touchée Hélène qui
avait été amenée à lui révéler qu’elle était elle aussi une
« épouse fessée » ce qu’elle n’avait jamais confié
à personne, même pas à ses amies les plus proches. Le lien qui
s’était ainsi crée entre elles était d’une nature tout à fait
différente de celui qu’elle avait pu connaître auparavant. Aussi,
paradoxalement, Hélène était elle à la fois angoissée et
impatiente d’être au lundi, où elle croiserait probablement
Karine à l’école.</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2646_965859359"></a>Correction
</h3>
Et en effet, la maman est bien à la porte de l’école lundi
soir, attendant ses enfants. Mais elle n’adresse pas la parole à
l’institutrice, et ne croise même pas son regard. Mais quand
Hélène repasse par son bureau avant de quitter l’école, elle
trouve une enveloppe, la même que celle dans laquelle elle avait
glissé son « devoir » sur sa table. Jamais elle ne saura
comment Karine a pu l’y déposer. Bien entendu, elle reconnaît
tout de suite le papier kraft beige et elle ouvre l’enveloppe les
mains tremblantes. Karine lui rendrait-elle sa copie ? Non. Il
n’y a dans l’enveloppe qu’une petite feuille de papier blanc
avec ses mots écrit à la main :<br />
<br />
<br />
<br />
<span style="font-family: "kunstler script" , cursive;"><span style="font-size: large;">Une
enseignante sait que tout devoi </span></span><span style="font-family: "kunstler script" , cursive;"><span style="font-size: large;">mérite
correction</span></span><span style="font-family: "kunstler script" , cursive;"><span style="font-size: large;">r.
<br />
Je vous attends chez moi mercredi après-midi à 15
heures<br />
K.</span></span><br />
« Correction», Hélène ne peut pas ne pas comprendre
l’ambiguïté du mot. Faut-il l’entendre au sens pédagogique du
terme, s’agit-il seulement de juger son travail de rédaction, ou
bien fait-il clairement allusion à la « correction » au
sens punitif du terme ? Est-ce seulement le devoir qui doit être
« corrigé » ? En tout état de cause, dés qu’elle
lit ces lignes, Hélène sait qu’elle répondra à ce qui est à la
fois une invitation et une convocation. Elle comprend immédiatement
que Karine reste dans la reproduction de ce qu’elles ont vécu
ensemble. La maman a fait des confidences à l’institutrice, puis
elle a exigé que celle-ci lui en fasse à son tour. Hélène se
souvient bien de ses mots « <i>tu as su entendre, il faut
savoir dire</i> » Et, en effet, elle avait « dit »
Elle avait avoué avoir été punie par son mari, et elle avait
consenti, sans réticence et alors que, finalement, rien ne l’y
obligeait, à raconter cette punition par le menu. Si les deux femmes
en étaient arrivé là, c’est bien parce que l’institutrice
avait convoquée la maman. Aujourd’hui c’est la maman qui
convoquait l’institutrice. Le jeu – mais était-ce seulement un
jeu ? - se poursuivait.<br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2648_965859359"></a>Conversation</h3>
Le jour dit, à l’heure dite, Hélène sonne chez Karine. Comme
son mari travaille le mercredi, et que les enfants restent chez leurs
grands-parents, elle n’a même aps eu a inventer une excuse, elle
est libre de son temps le mercredi après-midi. Le matin, elle s’est
assurée de faire le travail nécessaire pour préparer ses cours de
la fin de semaine, en souriant toute seule quand elle s’était mise
à « corriger » les cahiers des élèves. Puis elle est
rentrée chez elle, a grignoté rapidement un fruit pour tout
déjeuner, et s’est habillée pour son rendez-vous. Pantalon gris,
pull assorti. Quand elle attends que Karine réponde à son coup de
sonnette, elle sent son cœur battre la chamade. Elle se retrouve
comme quand, plus jeune, elle attendait à la porte du surveillant
général. Mais quand Karine lui ouvre la porte, elle ne joue pas le
moins du monde le « rôle » de la maîtresse sévère.
Tout au contraire, elle accueille Hélène avec un sourire franc, et
l’invite à entrer au salon comme elle le ferait avec une vieille
copine. Ensemble, elles boivent le thé, en bavardant de choses et
d’autres, du temps, des petites histoires de l’école, du projet
de fête de fin d’année, sans la moindre allusion à la vraie
raison de la présence de l’institutrice en ces lieux. Jusqu’à
ce que, incidemment, alors qu’elle parlait de ses études en école
de commerce, Karine demande à Hélène :<br />
<i>« </i><i>Avant l’école Normale, tu avais passé quel
bac, toi ? »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
A quoi elle réponds spontanément :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Un bac littéraire, j’ai
toujours été nulle en maths ! »</i></div>
<i> « Je m’en doutais ! »</i><br />
<i> « Que j’étais nulle en maths ? Tu as remarqué
des erreurs dans mes corrections de devoir de maths des enfants ? »</i><br />
<i> « Mais non ! Tu sais, je fais confiance, et je ne
vérifie pas, et je suis sûre que quoi que tu en dises tu est aussi
compétente pour cette matière. Mais j’ai pu constater que tu as
vraiment un don pour l’écriture ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Cette fois, Hélène ne peut pas ne pas
comprendre l’allusion. Pourtant elle esquive :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Je te remercie, mais tu
sais, dans mon métier, on est plus lectrice qu’écrivain »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Avec un sourire en coin, Karine se
contente de répondre :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« L’un n’empêche pas
l’autre, la preuve ! »</i></div>
Hélène, troublée, ne réponds rien, et c’est Karine qui
reprends, mais d’une vois hésitante qui trahit aussi une sorte de
trouble :<br />
<i>« C’est .. je veux dire...c’était la première fois
que … enfin, avant tu n’a jamais écrit de nouvelles ? »</i><br />
<i> « Ho … si, avant, quand j’étais au lycée, j’ai
participé à un concours de nouvelles, </i><i>j’ai même une fois
été primée, mais je n’ai quand même pas été publiée
autrement que dans le journal du lycée, ce n’est pas le prix
Goncourt ! »</i><br />
<i> « C’était quoi le sujet de ta nouvelle ? »</i><br />
<i> « Une histoire sentimentale, bien sûr, j’avais
dix-sept ans ! »</i><br />
<i> « On peut être sentimentale à tout âge tu sais !
Je sais que c’est un peu ridicule, mais il m’arrive encore de
lire des bluettes du style « Arlequin » tu sais. Mais je
le fais en cachette, pour ne pas faire rigoler mon homme. »</i><br />
<i> « Il n’y a rien de ridicule là dedans. Chacun trouve
son plaisir de lecture où il veut ! »</i><br />
<i> « Toi tu aimes quoi dans ce domaine ? »</i><br />
<i> « Ho … un peu tout … les classiques, bien sûr,
c’est un peu professionnel, mais aussi les livres à la mode, les
prix littéraire, les « best sealers » comme on dit »</i><br />
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2650_965859359"></a>50
...</h3>
<i> « Ha bon … et … tu as lu le fameux « 50
nuances de gris ? »</i><br />
<i> « Ha non, ça je ne l’ai pas lu … on en a fait
tellement de pub de ce fameux « mom porn » que ça ne m’a
pas donné envie. Tu l’as lu, toi ? »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Karine rougit imperceptiblement, hésite
un instant, puis avoue :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ben oui. Tu sais, ça doit
être une tendance de nos jours, mais cette collection un peu « cucu
la praline » qu’était « Arlequin » fait de plus
en plus dans ...disons dans le cru. »</i></div>
<i> « Et … tu as aimé ? »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
<i> « Franchement … oui et non.
J’ai l’impression que l’auteur </i><i>tartine trente pages de
baratin sans intérêt pour placer çà et là une ou deux pages plus
… enfin ...tu voix ce que je eux dire ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
La gêne de Karine fait sourire Hélène,
et elle la taquine :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ben non ...je ne vois pas
... »</i></div>
<i> « Quelques scènes plus coquine, si tu veux ! »</i><br />
<i> « Et c’est celles-là qui te plaisent le plus ? »</i><br />
<i> « … eh ...ben oui, voilà, c’est dit ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Le ton de la conversation a changé, de
nouveau, les deux femmes en sont venues à des aveux plus intimes, et
Hélène poursuit, les yeux pétillants :</div>
<div style="font-style: normal;">
« <i>Comme on dit, « y’a
pas de mal à se faire du bien ! » hein ? »</i></div>
<div style="margin-bottom: 0.05cm;">
<i> « Comme tu dis ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène se lance alors à l’eau :</div>
<i> « 50 nuances … ça concerne un peu … ce que nous
connaissons ...non ? »</i><br />
<i> « Oui ..enfin … pas tout à fait … le héros est
quand même assez différent de nos maris ...en tout cas du mien
... faut pas rêver ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Elles rient toutes les deux de bon
cœur, et Karine poursuit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Mais il a aussi …
des pratiques plus ...enfin qui vont bien au-delà de notre petit
pan-pan cucu comme du dis ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Comme Hélène ne réponds pas, Karine
ajoute :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et qui sont d’une autre
nature, qui ne me tentent pas du tout ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et elle reprends :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>«Tu vois, je me suis bien sûr
plus retrouvée dans ton texte … et … ça m’a fait ...comment
dire ...plus d’effet. »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Comment ça ? »</i></div>
<i> « Ben … ne fais pas l’innocente ...tu comprends bien
... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Inflexible, Hélène reste muette, les
sourcils levés comme si, vraiment, elle ne comprenait pas. Alors
Karine cède et lance, comme un défi :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« J’ai été plus troublée
en lisant ton texte ... »</i></div>
<i> « Troublée ? »</i><br />
<i> « Bon, d’accord, excitée ! Ca va comme ça ?
Tu veux des détails ? »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
<i>« Pourquoi pas ? Au
point où nous en sommes ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
<i> « </i><i>OK, tu ne
m’épargneras rien ...eh bien oui, après t’avoir lu, ou plutôt
...en te lisant ...je me suis ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène reste de glace, les yeux fixés
sur ceux de sa copine qui bafouille puis lâche tout de go :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Je me suis caressée,
voilà ! Je me suis donné du plaisir. Je me suis branlée !
Ça te va comme ça ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Cette fois Hélène cesse son jeu
pervers. Elle se lève, rejoint Karine sur son canapé et l’enlace
en murmurant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ça … ça me touche
beaucoup, tu sais ? D’autant que, de mon côté … en
l’écrivant ... »</i></div>
<i> « Tu ...tu as fais ça aussi ? »</i><br />
<i> « Non … j’ai écris à l’école, tu sais ...mais
en rentrant ...j’étais … j’étais chaude comme la braise ...et
mon mari était là ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Karine ironise :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et il a joué les
pompiers ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Le mot fait rire Hélène qui
rétorque :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ha non ! Le pompier …
c’était moi ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et, alors qu’elles rient toutes les
deux sans retenue elle ajoute :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Mais avant ... »</i></div>
<i> « Avant ? »</i><br />
<i> « Ben avant … je suis passé sur les genoux de mon
seigneur et maître, voilà, comme ça tu sais tout ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Karine a cessé de rire. Elle enlace à
son tour sa copine et lui murmure :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« C’est merveilleux ... »</i></div>
<i> « Merveilleux que je me sois fait démolir le popotin ?
Merci ! »</i><br />
<i> « Oui … parce que moi aussi ... »</i><br />
<i> « Toi aussi quoi ? »</i><br />
<i> « Mais tu le fais exprès ? Moi aussi, ma séance
solitaire n’a pas suffit à me calmer, et le soir j’ai été
insupportable ...avec les conséquences que tu devines ! »</i><br />
<i> « Ton mec t’en a collé une le soir même ? »</i><br />
<i> « Eh oui ...mais je dois dire que je l’avais bien
cherché ! J’en ai pris une, et gratinée je peux te dire ! »</i><br />
<i> « Ho … je devrais te dire que je suis désolée
...mais ce serait mentir ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Une nouvelle fois les deux copines
rient franchement puis Hélène demande quand même, un peu
inquiète :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Elle a été … vraiment
sévère ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Karine opine du chef mais en même
temps la rassure :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Pour ça oui, elle a été
carabinée … même si j’ai connu pire ...mais honnêtement pas
souvent ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et comme Hélène semble vraiment
désolée elle ajoute :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Mais ne te met pas martel
en tête, ma chérie, ce n’est quand même pas ta faute ...après
tout ce n’est pas toi qui t’est montrée insupportable, </i><i>et
ce n’est pas toi non plus qui maniait l’instrument ! »</i></div>
<i> « L’instrument ? »</i><br />
<i> « Ben le martinet quoi ... »</i><br />
<div align="left" style="font-style: normal;">
Le mot fait frémir
Hélène.
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2652_965859359"></a>L’instrument</h3>
<i>« </i><i>Ha ...oui...il a utilisé ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Karine opine avec un sourire un peu
contraint.</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu sais, dans ces cas là,
mon homme préserve ses mains ...il a les paumes fragiles le pauvre
chéri ...alors ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène revoit l’image du haut des
cuisses que Karine lui avait montré comme preuve qu’elle seule
était la victime de cet « instrument » et elle demande,
la voix un peu étranglée :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et … une fois encore …
ça ...ça a laissé … ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Elle n’a pas besoin de finir sa
phrase, Karine a parfaitement compris. Sans répondre, elle se lève
et, sans hésiter, elle tourne le dos à son amie et, d’un geste,
elle lève sa jupe, découvrant un derrière zébré de marques
violettes. Hélène reste bouche bée. ai Elle s’exclame :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Ho ! Mais …
tu n’as pas ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Karine hausse les épaules et réponds,
sans se retourner, et sans dissimuler ce qu’elle vient me révéler :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu verras que quand il est
dans cet état ...il est préférable d’éviter tout ce qui peut
frotter ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène ne relève pas le fait que
Karine vient de laisser entendre qu’elle aussi connaîtra un jour
les ravages des lanières sur les fesses. Elle ne peut détourner les
yeux de ce derrière ainsi exposé. Elle sent une sorte de creux à
l’estomac devant la beauté de ce postérieur majestueux, plus
volumineux que le sien, épanoui. Des fesses amples, épanouies, qui
tombent en goutte d’huile sur les cuisses puissantes. Séparées
par ne raie large, ouverte comme une vallée. Les traces violacées
le marquent depuis la taille jusqu’au milieu des cuisses. De
longues lignes boursouflées qui parfois s’entrecroisent. Émue,
elle murmure, comme pour elle-même :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Putain qu’il est
beau ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Mi étonnée, mi ironique, Karine
laisse retomber sa jupe, se retourne et rétorque :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Merci, ma chérie. Mais tu
sais … il serait aussi beau sans les décorations ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Sans peut-être percevoir l’humour de
la réponse, Hélène marmonne à voix basse :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Peut-être … »</i></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2654_965859359"></a>Découverte</h2>
<div style="font-style: normal;">
Elle ne termine pas sa phrase et,
prenant une nouvelle fois son amie dans ses bras elle susurre à son
oreille :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu … tu veux bien ...me
montrer ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Sans comprendre, Karine s’étonne :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« C’est ce que je viens de
faire, non ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Alors Hélène précise, encore plus
bas :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Non ..je veux dire ...le
...le martinet »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Karine recule d’un pas, la regarde
droit dans les yeux et questionne :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu es sûre de vouloir
... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène ne réponds que d’un
hochement de tête. Karine hausse les épaules et dit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ok ! Eh bien …
viens ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et elle se dirige vers l’entrée de
la maison. Sans un mot de plus elle s’engage dans l’escalier, où
Hélène lui emboîte le pas. Hélène la rejont sur le palier. Elle
a le temps d’apercevoir, par les portes ouvertes, les chambres des
enfants, encombrées comme celles des siens de jouets, avant que
Karine ouvre la troisième porte en soufflant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ici c’est le domaine
réservé ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et elle fait entrer Hélène dans la
chambre parentale. Elle découvre une chambre meublée avec goût,
d’un grand lit recouvert d’une couette colorée, d’une armoire
dont les portes sont en miroirs dans lesquels se reflète le lit, et
d’une coiffeuse de style romantique surmontée elle aussi d’un
miroir, avec une chaise à l’assise rose devant. Au dessus du lit,
sur le mur, sont accrochées des photos de famille en noir et blanc.
Consciente de ce que cherche Hélène des yeux, Karine lui désigne
d’un mouvement de menton la porte par laquelle elles sont rentrées.
Quand Hélène se retourne, elle « le » voit en effet
accroché derrière la porte restée entrouverte. Un martinet comme
ceux qu’elle a déjà vu et furtivement regardé dans les rayons
animalerie des super-marchés. Un manche de bois jaunâtre, dont
l’extrémité est légèrement renflée, avec un petit cordon pendu
à un clou. Et surtout un ensemble de lanières de couleur fauve.
Hélène reste interdite, pas vraiment étonnée puisqu’elle savait
que cet instrument était présent dans la chambre de son hôtesse,
mais comme fascinée quand même par cette vision. En même temps
elle comprend que ce fameux martinet s’il n’est en effet pas
dissimulé, n’est pas non plus vraiment exhibé. En effet, il faut
vraiment que la porte soit refermée pour qu’on le remarque, il
serait donc tout à fait possible que quelqu’un entre dans la
chambre et en sorte sans le voir. Avec un petit sourire, Karine lui
demande :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Tu veux le voir …
de plus près ? »</i></div>
<i> « Je … je peux … ? »</i><br />
<i> « Bien sûr … au point où nous en sommes … ce n’est
plus un secret n’est-ce pas ? »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Et, sans plus de cérémonie, Karine
décroche l’instrument, et, le tenant comme elle a indiqué à
Hélène qu’elle le fait quand elle doit l’amener à son mari,
sur les deux mains ouvertes, elle le présente à son amie en
ajoutant, mutine :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu peux même le toucher tu
sais … il ne te mordra pas ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène sourit furtivement, et avance
la main vers les lanières qu’elle palpe du bout des doigts. Elle
s’aperçoit que l’une des face des fines bandes de cuir est lisse
et brillante, alors que l’autre est rugueuse et mate. Elle fait
glisser doucement les lanières entre des doigts, ce qui lui provoque
la chair de poule. Karine la regarde en souriant, et, doucement, elle
fait voleter la chevelure de cuir devant les yeux de sa copine. Sans
cesser le lent balancement, elle regarde Hélène dans les yeux et
dit très bas :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Mais voir ne suffit
pas pour découvrir, tu sais ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène ne réponds pas, tandis que
son regard reste comme hypnotisé par cette grappe de bandelettes de
cuir qui oscille. Sans baisser les yeux, et toujours en balançant
l’instrument de droite à gauche, Karine s’approche de son amie
et avance la main gauche vers sa ceinture. Sans un mot, elle ouvre le
bouton de celle-ci. Hélène ne réagit pas. Elle ne pipe mot. Elle
ne se recule pas et ne fait rien pour empêcher Karine, qui dépose
le martinet sur le lit et continue à ouvrir le pantalon, puis le
fait doucement descendre sur les cuisses. Hélène ne frémit même
pas quand son amie fait ainsi apparaître sa culotte. Elle reste le
regard dans le vague, les mains ramenées sur sa poitrine. Quand
Karine, toujours sans un mot, lui pose les mains sur les épaules et
la fait tourner sur elle-même, elle suit docilement le mouvement, et
se retrouve face au lit, dont Karine la fait s’approcher en la
poussant doucement et en murmurant, d’une voix presque inaudible :</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc2706_965859359"></a>Penches-toi
...</h3>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Penche</i><i>s</i><i>-toi
sur le lit ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Comme une automate, Hélène le fait.
Elle se plie en deux, et pose les coudes et les avant-bras sur la
couette moelleuse. Le temps semble s’être arrêté pour elle. Le
silence est absolu. Elle ferme les yeux, émue, certes, mais
étonnamment calme. Quand elle sent les mains de son amie se poser
sur ses hanches, et ses doigts se glisser sous l’élastique de sa
culotte, elle a une réaction instinctive. Ses bras ne quitte pas le
lit, mais elle relève la tête d’un mouvement brusque, et Karine
s’aperçoit que tout son corps s’est raidi. Elle poursuit
cependant son mouvement, élargissant un peu plus l’élastique du
slip en murmurant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Tss...chut …. tu
sais bien que c’est nécessaire ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène prend une grande aspiration,
puis laisse sa tête retomber au creux de ses bras croisés, tandis
qu’elle fléchit légèrement les jambes, de manière à ce que ses
genoux soient contre le lit. Karine manifeste son approbation en
susurrant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Voilà … c’est bien …
tout va bien ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et elle fait glisser la culotte très
lentement sur les fesses de son amie. Elle découvre ainsi un
derrière rond et ferme, presque parfaitement sphérique. Quand le
petit slip vert pâle s’arrête au milieux des cuisses musclées
d’Hélène, celle-ci, d’un mouvement naturel et machinal, écarte
un peu les jambes pour l’empêcher de glisser plus bas. Ce faisant,
elle fait s’entrouvrir la raie fessière, et découvre ainsi aux
yeux de Karine un abricot rosé. Comme le chemisier recouvre
partiellement le haut des fesses,Karine le remonte très haut,
presque jusqu’aux épaules d’Hélène, dénudant ainsi aussi son
dos, seulement barré par l’attache du soutien-gorge.
</div>
<div style="font-style: normal;">
Par la suite, Hélène se souviendra
qu’elle a alors serré les dents et le poings comme pour se
préparer à ce qu’elle sait alors devoir venir. Mais les lanières
de cuir ne s’abattent pas sur son séant. Elles se posent avec une
infinie douceur sur sur le haut de son dos. Et Karine les fait
lentement descendre le long de la colonne vertébrale. C’est une
lente reptation, une caresse, un effleurement. Inconsciemment, Hélène
creuse les reins, comme pour mieux accueillir ce frôlement. La
chevelure de cuir poursuit son mouvement, coule sur les fesses où
elle s’attarde, puis s’infiltre entre elles. Les lanières
viennent ainsi effleurer son intimité, provoquant une vague de
plaisir qui se manifeste par un tressaillement de la peau du creux
des reins. Karine remarque que le fin duvet blond, presque
imperceptible, qui couvre le bas du dos de son amie se redresse comme
des brins d’herbe sous une pluie de printemps. Déterminées, les
lanières prennent alors le chemin inverse. Elles remonte des cuisses
vers le derrière, venant ainsi se frotter encore plus directement
sur la foufoune d’Hélène qui halète doucement. Puis elles
poursuivent leur chemin, vagabondant des reins aux flancs, revenant
vers la croupe offerte, descendant sur les cuisses, puis remontant
vers la vallée qui séparer les fesses, s’introduisant jusqu’à
effleurer le petit trou avant de rejoindre la nuque en coulissant le
long du dos.
</div>
<div style="font-style: normal;">
Vlan ! Brusquement, sans que rien
n’ait pu le lui faire anticiper, les lanières du martinet sont
venues cingler la peau des fesses d’Hélène. En un clin d’ œil
son cul fourmille, comme si une colonie de fourmis venaient d’y
danser. Elle sursauté, s’est cabrée comme un cheval, mais n’a
pas crié. A vrai dire, elle n’a pas vraiment ressentie une vrai
douleur. Sa réaction est plus causée par surprise que par la
douleur. Ou plutôt par la brutalité de la rupture entre les
caresses sensuelles et le picotement. Karine a pourtant seulement un
peu accentué son mouvement de poignet. Hélène a gardé sa
position, sans bouger, sans rien faire pour se soustraire au prochain
coup. Elle l’attend, comme si le premier n’était qu’une entrée
en matière. Elle l’anticipe. Mais rien ne vient. Elle en est
presque frustrée, presque déçue. Et elle est encore penchée sur
le lit, la tête dans les mains quand elle entend la voix de Karine :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu voudras bien raccrocher
l’instrument avant de sortir … mon mari n’aime pas trop que
l’on touche à ses affaires ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Quand Hélène se relève, son amie a
déjà quitté la pièce. Maladroitement, Hélène remonte sa culotte
et rajuste ses vêtement, après avoir passé les paumes ouvertes de
ses mains sur son cul, presque étonné de le trouver aussi lisse et
aussi frais qu’auparavant. Les mains un peu fébriles, elle remet
le martinet à son clou, puis elle sort de la pièce, sans se
retourner, mais e fermant soigneusement la porte. Karine est dans le
salon, et, comme si rien ne s’était passé, elle lui demande :</div>
<div style="font-style: normal;">
« <i>Tu veux une autre tasse de
thé ? </i>»</div>
<div style="font-style: normal;">
Et, sur sa réponse affirmative, les
deux femmes boivent leur thé, sans un mot à propos des moments
passés dans la chambre.
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc6912_1968699562"></a>Tentée ?</h3>
<div style="font-style: normal;">
Une fois rentré chez elle, Hélène
constatera que son derrière ne porte aucune trace. Elle vient
pourtant de montrer son cul, nu, à une femme qu’elle ne connaît
qu’à peine. Elle n’a ressenti ni douleur, ni plaisir. Ni fierté,
ni honte. Elle reprends sa vie ordinaire, comme si cette parenthèse
presque inimaginable n’avait jamais existé. A vrai dire, elle y
repense à peine. Elle ne cherche en rien à l’oublier, encore
moins à le nier. Elle n’a aucun effort à faire pour ne pas en
parler à son mari. Mais elle n’envisage en aucune manière la
suite. Bien sûr, elle ne dit pas un mot de ce qui s’est passé à
son mari, même quand, et cela arrive aussi régulièrement
qu’auparavant, elle passe par la case « fessée conjugale .»
Quand elle revoit en pensée cette scène, elle se demande si, au
fond d’elle-même, elle envie Karine. Elle comprend bien que
recevoir le martinet comme celle-ci le reçoit ne doit rien avoir de
commun avec son expérience. Elle à qui il arrive de piailler pour
une fessée à main nue, et qui se retrouve en larmes presque à
chaque fessée, serait-elle capable de supporter les morsures d’un
martinet ? L’idée d’avoir les fesses labourées et marquées
comme celles de son amie la terrifie. Mais en même temps, elle a
bien senti, chez Karine, une forme de fierté, et aussi de sérénité.
Pourtant, bien qu’elles se croisent assez régulièrement à
l’école, les deux femmes, comme d’un commun accord implicite,
n’ont fait aucune allusion ni à cet après-midi de découverte, ni
même à leurs échanges de confidences. Comme si, l’une et
l’autre, estimaient être quittes.
</div>
<div style="font-style: normal;">
<br />
<br /></div>
<h1 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc6914_1968699562"></a>Chapitre
3 :<br />
Poursuites</h1>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3231_651253076"></a>Les
amis</h2>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Pour
Hélène, l’institutrice, comme pour Karine, la maman d’élève,
l’échange de confidences, puis ses conséquences, auraient pu en
rester là après que la seconde ait fait découvrir à la première
ce fameux martinet dont la présence dans sa chambre conjugale, avait
été à l’origine de leur aventure commune. Sans qu’elles en
aient ainsi décidé, les deux femmes avaient ainsi repris leurs
relations d’une institutrice avec une maman d’élève, comme si
rien ne s’était passé entre elles. Elles avaient même renoncé
au tutoiement, et en étaient revenues au « madame Georges,
madame Lefranc » Et, bien entendu, l’une comme l’autre
étaient persuadées que leurs maris réciproques ne savaient rien de
ce qu’elles avaient vécues ensemble. Lesquels maris, du reste,
n’avaient rien changés à leurs habitudes, et Hélène comme
Karine continuaient donc à passer régulièrement sur les genoux de
leurs maris et à avoir leurs postérieurs mis à mal par les mains,
pour l’une, et parfois par le martinet ou la ceinture, pour
l’autre. </span></span>
</div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Ce
n’est que quelques semaines plus tard qu’Hélène découvrit avec
stupeur mais aussi une certaine angoisse que Fabien, son mari,
connaissait Alain, celui de Karine. Comme le premier avait, un soir,
du laisser sa voiture au garage à la ville où tout deux
travaillaient, à quelques kilomètres du village où ils habitaient,
il avait expliqué à Hélène qu’un ami qu’il rencontrait
quelque fois le vendredi soir lors de partie de bowling entre membres
des entreprises de leur quartier d’affaire, lui avait gentiment
proposé de le ramener et, le lendemain, de venir le prendre à son
domicile. Ce matin là, Hélène alla donc ouvrir la porte à ce
collègue complaisant, et, courtoisement, l’invita à partager un
café. C’est alors que celui-ci lui dit :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« </i><i>Mais
nous nous sommes déjà croisés, madame, je suis venu une fois ou
deux chercher mes enfants à l’école, le samedi »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Ha
… oui .. en effet ..vos enfants sont à l’école Frédéric
Mistral, ? »</i></span></span></div>
<div style="font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"><i> « Oui,
je suis le papa de Jeanne et d’Eric Lefranc, mais c’est plus
souvent ma femme qui se charge des conduite. »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Hélène
était restée quelques secondes interdite. Ainsi elle avait devant
elle, dans sa cuisine, le mari de Karine. Celui qui, comme celle-ci
lui avait révélé dans les conditions que l’on sait, lui cinglait
régulièrement les fesses avec cet instrument qu’elle avait
découvert dans l’intimité de la chambre de sa copine. Elle
s’était sentie bêtement rougir, comme si cet homme chaleureux et
cordial pouvait deviner qu’elle aussi, avait régulièrement les
fesses mises au vif par la main de son mari. Elle se reprit pourtant
et parvint à répondre, en essayant de cacher son trouble :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Oui
.. bien sûr, je vois plus souvent Karine ...enfin, je veux dire
madame Lefranc ... »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">L’arrivée
de Florent aurait pu mettre fin à ce dialogue qui mettait tellement
mal à l’aise son épouse, mais, bien au contraire, il se réjouit :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Ha,
bien sûr ma chérie, tu connais l’épouse d’Alain, je n’y
avait pas pensé ! »</i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">Et,
mettant les pieds dans le plat sans s’en rendre compte, et
aggravant ainsi la malaise de son épouse, il insista :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Mais
moi, je n’ai pas ce plaisir ! Tu ne la cache pas quand même ?
« </i></span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;">En
ajoutant aussitôt, devant les dénégations souriantes de son ami :</span></span></div>
<div style="font-style: normal; font-weight: normal;">
<span style="font-family: "liberation" serif , serif;"><span style="font-size: small;"> <i>« Alors,
c’est dit, samedi prochain vous venez prendre l’apéro avec
nous !</i></span></span></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3233_651253076"></a>Invitations</h2>
L’initiative de son mari bouleversait bien sûr Hélène. L’idée
de se retrouver avec Karine, après ce qu’elles avaient échangé,
en présence de leurs maris respectif lui apparaissait comme une
épruve insurmontable. En même temps, elle ne voyait aucune raison
valable à opposer à la proposition de son mari. Après avoir
retournée la question dans sa tête toute la journée, elle
considéra que, si elle exprimait des réserves à cette invitation
somme toute naturelle, il lui faudrait trouver des excuses qui
apparaîtrait obligatoirement bidon. Malgré son angoisse, elle
choisit donc de ne rien dire, et, le samedi suivant, Karine et son
mari sonnaient à la porte de chez elle, avec le traditionnel bouquet
de fleurs pour l’hôtesse. Mais la soirée se passa sans la moindre
anicroche. Karine ne semblait, de son côté, nullement gênée de
la situation, et les deux femmes évoquèrent la prochaine fête de
l’école de manière tout à fait naturelle, tandis que leurs maris
plaisantaient à propos de leurs rituelles parties de bowling. Alain
se montra du reste un homme tout à fait charmant, plein d’humour
et de bonne humeur. Et qui fut le premier à proposer une autre
soirée, pour dîner cette fois, mais chez eux, ce que Karine
approuva chaudement. Et cette seconde soirée se passa aussi bien que
la première, tant et si bien que l’habitude se prit,
naturellement, de rencontres régulières entre les deux couples,
sans que jamais l’épisode des échanges de confidences, et leurs
suites, ne vinrent perturber l’ambiance familiale. Même quand,
comme ce fut le cas plusieurs fois, ils profitèrent de soirs où les
deux couples pouvaient faire garder les enfants par les
grands-parents pour finir la soirée dans un bar à vin.
<br />
Par la suite, en y repensant, Hélène prit pourtant conscience
qu’au fil de ces soirées quelque chose s’était modifié dans
l’attitude d’Alain. Elle sera cependant incapable, même avec le
recul, de définir précisément ce changement. Peut-être des
remarques un peu ambiguës de sa part quand Karine racontait une
dépense qu’elle avait faite récemment, ou des mots à double
sens, mais assez évasives pour que personne ne les relève. Jusqu’au
soir où « tout bascula »<br />
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3235_651253076"></a>Cadeau</h2>
Cette soirée chez Alain et Karine avait pourtant commencée comme
toutes les autres. Une coupe de champagne, des toasts, une
conversation à bâtons rompus. Jusqu’au moment où, d’un ton
tout à fait naturel, Alain s’écria :<br />
<i>« </i><i>Ah, mais j’allais oublier … j’ai un
cadeau pour vous ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Surpris, Fabien demanda :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Pour nous ? Mais
pourquoi ? Ce n’est pas mon anniversaire ! »</i></div>
<i> « Ho, Fabien, j’ai dit pour vous, pas pour toi tout
seul ! »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Et sans plus s’expliquer, il quitta
la pièce, et y revint quelques instants plus tard. Pendant sa courte
absence, les autres convives n’échangèrent pas un mot, Karine
faisant comprendre par un geste des bras et les sourcils levés
qu’elle n’était pas au courant de l’initiative de son mari.
Celui-ci revint en portant non pas un mais deux paquets oblongs. En
regardant sa femme, avec un drôle de sourire, il indiqua :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Il y en a un aussi pour
toi, ma chérie, une surprise. »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Sans qu’elle soit en capacité de
s’expliquer pourquoi, Hélène, à qui Alain avait tendu le premier
paquet, senti comme un creux à l’estomac avant de l’ouvrir. Elle
resta un long moment sans bouger avant que son mari ne l’encourage :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ben … ouvres, tu nous
fait languir ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Ne pouvant s’y soustraire plus
longtemps, Hélène déchira le papier ...et son cœur lui sembla
subitement avoir cessé de battre. Dans le paquet, délicatement
enveloppé dans un papier de soie, trônait un martinet strictement
semblable à celui qu’elle avait découvert dans la chambre de
Karine. Le silence était devenu subitement complet. Hélène restait
les yeux rivés sur ce qu’elle venait de déballer. Les oreilles
bourdonnantes, le cœur battant maintenant tellement fort qu’elle
avait l’impression qu’on l’entendait dans la pièce. Son mari
restait aussi silencieux qu’elle, et elle n’osait pas lever les
yeux vers lui. C’est finalement Karine qu’elle regarda, d’un
regard à la fois interrogatif et angoissé. L’avait-elle trahie ?
Était - elle complice, mais avec qui ? Avec Alain, bien sûr,
puisque le « cadeau » qu’il venait de lui faire
prouvait bien qu’il savait. Mais le sien de mari, était-il aussi
impliqué ?</div>
<div style="font-style: normal;">
Karine ne baissa pas les yeux, elle ne
souriait pas, elle ne se moquait pas de son amie. Elle dit seulement,
d’une voix un peu blanche :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Je ne savais pas, tu sais
….je ….je n’ai pas pu ...je suis désolée »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Avant qu’Hélène ait pu répondre,
et même comprendre ce que voulait dire son amie par ce « je
n’ai pas pu » Alain intervint :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Mais tu n’as pas à être
désolée, ma chérie. Je suis sûr que nos amis comprennent très
bien qu’il y a des circonstances où une épouse ne peut rien
cacher à son mari ... »</i></div>
Maintenant, il n’y avait plus de doutes. Les propos d’Alain le
confirmait, Karine avait bien raconté à son mari. Hélène s’était
un peu tassée sur elle-même, le visage dans ses mains. Elle se
sentait trahie, humiliée. Et son mari ne venait toujours pas à son
secours. Alors, une fois encore, c’est Alain qui reprit la parole,
d’un ton soudain devenu plus léger :<br />
<i>« Ho, ne vous mettez pas martel en tête, ma chère
Hélène. Après tout, si j’ose l’expression, « il n’y a
pas de quoi en fouetter un chat » </i>
<br />
<div style="font-style: normal;">
Malgré son abattement, l’humour de
l’expression d’Alain fit presque naître un sourire sur le
visage, toujours caché par ses mains, d’Hélène, tandis qu’Alain
poursuivait :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et puis quoi ? Après
tout, n’est-ce pas vous, ma chère Hélène, qui considériez, me
semble-t-il, </i><i>que le « pan pan cucu » conjugal
était somme toute assez bénin ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène tressailli, elle se souvenait
soudain avoir, effectivement, employé ces mots lors de sa première
entrevue avec Karine. Elle haussa imperceptiblement les épaules,
toujours sans oser regarder directement son interlocuteur qui reprit,
implacable :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et qui affirmiez haut et
clair ne pas avoir honte d’être parfois déculottée ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Cette fois, les mots d’Alain lui
allèrent droit au cœur. Elle eut un sursaut, et, relevant la tête
elle répliqua, presque durement :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Mais je n’ai pas honte,
monsieur ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Bon joueur, Alain la félicita :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et vous avez bien raison,
madame ! Il n’y a, dans ces affaires, aucune raison de honte,
ni pour celle qui la reçoit, ni pour celui qui la donne, si c’est,
et je sais que c’est le cas pour vous, mes amis, comme pour nous,
dans le respect et l’amour mutuel . Ne pensez vous pas,
Hélène ?»</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Celle-ci ne baissa pas les yeux. L’étau
qui, depuis la découverte du contenu du paquet, lui oppressait la
poitrine, commençait à se desserrer. Elle articula, d’une voix
plus posée maintenant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« En effet, monsieur »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Il lui adressa un sourire franc et, ce
tournant vers Fabien il continua :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et puis, mon vieux, il
fallait bien que l’équilibre soit rétabli. Excuses-moi, je n’ai
pas su comment aborder la question avec toi, mais, vois-tu, nos
femmes savaient, je savais, il me semblait insupportable que toi seul
... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Fabien était resté jusque là à la
fois muet et comme pétrifié. Son regard n’exprimait ni la colère
ni la gêne, mais une sorte d’étonnement ébahi. Alors, son ami
insista :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Ben oui mon cher …
nous avons, vous et nous, toi et moi, Karine et Hélène, les mêmes
habitudes conjugales. Et il me semble que les uns et les autres, nous
nous en portons bien. Alors, pourquoi faire comme si cela était un
secret d’état ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Avant de répondre, Fabien, enfin,
regarda son épouse d’un air interrogatif qui fit, une nouvelle
fois, apparaître l’ébauche d’un sourire sur le visage de
celle-ci. Elle lui adressa juste une sorte de signe d’acquiescement
muet, comme pour lui signifier que, finalement, tout allait bien, se
contentant de murmurer :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Je t’expliquerais, mon
chéri ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et Alain ponctua cette phrase d’un
éclat de rire en disant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et si cette explication
amène à une bonne fessée des familles, ce ne sera ni la première
ni la dernière, voilà tout ! Et la terre continuera de
tourner»</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Puis, sur le même ton léger il
ajouta :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et surtout cette
perspective ne doit pas nous empêcher de profiter de l’instant. »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Il remplit les verres, leva le sien, et
proposa :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Buvons à notre amitié,
et à nos traditions, mes amis »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène avait gardé le martinet sur
ses genoux pendant toute cette conversation. Au moment où elle
saisissait son verre, Alain l’apostropha gaiement :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Vous pouvez le poser, vous
savez, Hélène. Il ne faudrait pas que vous cassiez votre verre …
vous connaissez la chanson : « vaisselle cassée ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Une nouvelle fois, son humour contribua
à faciliter le retour de tous dans l’ambiance d’une soirée
presque ordinaire entre amis. Hélène déposa le martinet sur le
canapé tandis qu’Alain insistait en riant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« N’ayez pas peur, on vous
le rendra … nous avons ce qu’il faut à la maison, mais je pense
que vous le savez ... »</i></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3115_1302852012"></a>Explications</h2>
<div style="font-style: normal;">
Hélène ne jugea pas nécessaire de
répondre, mais acquiesça d’un sourire complice. Et, après que
les convives eurent trinqué, Alain se tourna une nouvelle fois vers
Fabien en expliquant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Nous ne sommes pas
prosélytes, tu sais.Nous n’avons jamais cherché à convaincre qui
que se soit de partager nos habitudes. Et, s’il m’a semblé que
ce modeste cadeau pouvait correspondre à vos besoins, nous ne
serions pas vexés si vous renonciez à l’utiliser. Après tout, ça
peut être seulement un élément de décoration, ou être présenté
comme une plaisanterie d’un goût douteux »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Mais Karine énonça d’une voix ferme
et claire :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ca, ce ne serait pas bien.
Je suis sûre qu’Hélène le mérite. Je </i><i>v</i><i>eux dire
qu’elle y a droit »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et comme le regard de Fabien exprimait
une nouvelle fois un étonnement muet, ce fut Alain qui explicita les
propos de son épouse :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Comprenez-nous bien, mes
amis. </i><i>Par « le mérite »</i><i>Karine </i><i>veut
dire qu’en quelque sorte, elle y a droit, </i><i>parce</i><i>
qu’elle y est prête. Tout comme elle, elle a droit aussi à son
cadeau »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Tous se souvinrent alors qu’en effet,
tout à l’heure, Alain avait amené deux paquets. Tranquillement,
il prit le second et le tandis à son épouse qui, essayant de
paraître détendue, mais sans pouvoir complètement maîtriser un
léger tremblement des mains, ouvrit à son tour son paquet. Elle se
mordit les lèvres, pâlit imperceptiblement, puis sorti le contenu
du paquet et le présenta à la ronde. Elle tenait entre ses mains
une longue baguette de bois souple, courbée à un bout comme une
canne. Alain la regarda avec un clignement d’yeux et glissa :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Je pense que tu y es
prête, </i> <i>ma chérie ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et, d’un ton presque pédagogique, il
poursuivit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Vous voyez, dans la fessée
conjugale, il faut, me semble-t-il, que les choses arrivent quand
elles doivent arriver. Ni trop tôt, ni trop tard. Et pour Karine, le
moment est venu, en quelque sorte de traverser le channel. Après le
traditionnel et un peu franchouillard martinet, de découvrir
l’instrument roi de nos maîtres britanniques. N’est ce pas, ma
chérie ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Toujours un peu pâle, mais faisant
l’effort de surmonter son émotion, Karine confirma :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Je suppose que oui ... »</i></div>
<h2 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3257_651253076"></a>Baptêmes</h2>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3148_207133747"></a>Canne</h3>
Toujours jovial, Alain proposa alors de « baptiser »
les deux nouvelles acquisitions. Cérémonieusement, il fit couler
quelques gouttes de champagne sur les lanières de l’un et sur le
bois de l’autre. Mais il ajouta, mezzo voce :<br />
<i> « encore que je ne sois pas sûr que ce soit la
meilleure manière de baptiser un tel instrument ... »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Il ne précisa pas sa pensée, mais son
regard s’était dirigé vers son épouse, qui, comprenant
instantanément à quoi il faisait allusion balbutia, manifestement
déconcertée :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu ... tu ne
veux...enfin ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Alain se contenta de hocher la tête
affirmativement en confirmant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Mais si, ma chérie, tu
m’as très bien compris ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Toujours en bafouillant un peu, signe
de son trouble, elle tenta :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Mais … non … enfin …
nos amis ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Mais, implacable, son mari la coupa :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Et je suis sûr aussi,
qu’au point où nous en sommes, nos amis n’y verront aucun
inconvénient »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et en se tournant cette fois vers
Hélène, il ajouta, avec un sourire espiègle :
</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ne serait-ce pas, en
quelque sorte, un </i><i>prêté</i><i> pour un rendu, comme on
dit ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène ne répondit rien, interloquée
par la question. Elle avait très bien compris où voulait en venir
le mari de sa copine, et à quoi il faisait allusion. Après tout, en
effet, Karine, quand elle lui avait rendu visite pour la
« correction » du fameux « devoir » avait
bien pris l’initiative de la déculotter, puis de lui faire goûter,
même si c’était de manière presque symbolique, le martinet. Et
elle l’avait accepté, se laissant dénuder le postérieur sans
protester. Alain se proposait manifestement de faire de même pour
son épouse. Et comme il marquait, par ses sourcils levés, son
attente d’une réponse, Hélène se lança :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Peut-être, c’est à vous
deux de voir, me semble-t-il »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Karine regarda son amie droit dans les
yeux et, très calmement elle admit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Si tu le dis ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Et, stoïque, elle se leva et demanda à
son mari :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Le fauteuil, je suppose ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Le mari d’un signe de tête, et
Karine alla sans mot dire se placer derrière le fauteuil sur lequel
était assis Fabien en disant, presque cérémonieusement :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Je pense que nous
allons vous demander de changer de place, Fabien »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Celui-ci obtempéra et alla s’installer
sur le canapé, à côte de son épouse dont il entoura les épaules
du bras comme pour la rassurer. Karine était à moins de deux mètres
d’eux, de profil, debout derrière le dossier du fauteuil. D’une
voix posée son mari l’invita :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Tu relève</i><i>s</i><i>,
s’il te plaît »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Karine portait une sorte de robe
d’intérieur qui lui tombait presque jusqu’aux mollets, et assez
largement fendue sur le côté. En se penchant, elle en saisi le bas
et le releva jusqu’à sa taille, révélant ainsi des bas qui
tenaient seuls et une petite culotte largement échancrée sur ses
fesses. Elle prit soin de coincer la robe retroussée entre son vente
et le dossier du fauteuil, puis se pencha par dessus celui-ci et posa
ses deux mains sur les accoudoirs. Dans cette position, son derrière
plantureux apparaissait en quelque sorte en majesté. Hélène
remarqué aussitôt qu’il était plus volumineux que le sien. La
culotte n’en recouvrait qu’une partie, laissant deux larges
croissants de chair rose de chaque côtés. Alain s’était levé,
et s’était emparé de la canne dont il semblait apprécier la
souplesse en la pliant légèrement des deux mains. Il se tourna
alors vers Hélène et proposa :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Ma chère Hélène, je
pense que vous rendriez service en vous chargeant de baisser la
culotte de Karine »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Comme elle restait interdite par cette
proposition, Alain précisa :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Comme vous le savez, je
pense, d’habitude, je me réserve cette tâche, je dois le dire
fort agréable. Mais, étant donné les circonstances, je p</i><i>ense
qu’il serait juste que vous vous en acquittiez, avec la permission
de Karine, bien sûr »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Les mains de celle-ci se crispèrent un
peu plus sur les accoudoirs du fauteuil, mais elle parvint pourtant à
articuler, d’une voix claire :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Oui, je te le demande,
Hélène, ce ne sera que justice ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Ainsi, elle admettait qu’ayant baissé
la culotte de son amie, il lui semblait juste que celle-ci en fasse
de même pour elle, même si les circonstances étaient pour le moins
différentes. En même temps, Hélène comprit qu’en baissant
elle-même le slip de son amie, et donc en découvrant son postérieur
aux regards des assistants, donc de son propre mari, elle actait
qu’elle acceptait qu’il en soit ainsi. Ce serait donc elle qui,
d’une certaine manière, forcerait, même si c’était avec son
accord explicite, l’hôtesse à montrer ses fesses à l’invité.
Hélène se leva, rejoint son amie, et, délicatement, glissa deux
doigts dans l’élastique du slip et le fit glisser sur les fesses
rebondies. Comme Karine l’avait fait pour elle, elle descendit la
culotte jusqu’au milieu des cuisses, et elle constata que son amie
réagissait comme elle l’avait fait instinctivement, en écartant
un peu les jambes de manière à tendre le slip entre elles pour
qu’il reste à ce niveau. Elle prit alors aussi conscience que ce
mouvement ouvrait la raie des fesses, et découvrait l’intimité de
son amie comme elle avait dû découvrir la sienne. En effet, dans
cette position, et avec les jambes écartées, l’abricot rosé de
Karine était visible, de même que quelques poils follets noirs et
frisés. Karine ne pouvait pas ne pas en être consciente, pourtant
elle ne fit rien pour l’empêcher, et elle eut même la force de
murmurer, mais si bas que seule Hélène l’entendit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Merci, ma chérie »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène reprit sa place, à côté de
son mari, tandis qu’Alain se rapprochait encore de son épouse,
toujours penchée par dessus le dossier, le cul exposé à la vue de
tous. Il se plaça sur le côté et, presque précautionneusement, il
posa la badine de bois souple sur le derrière de son épouse. A
petits coups, légers, délicats, il tapota ce postérieur somptueux.
Karine avait un cul véritablement fabuleux. Une masse volumineuse,
épanouie. Deux fesses massives, tombant en goutte d’huile sur des
cuisses puissantes. Et séparées par une raie large, vallée béante
sur l’intimité la plus secrète maintenant visible de tous. Aux
premiers petits coups, ce derrière s’était visiblement crispé.
Le sillon jusque là entrouvert s’était brusquement refermé. La
ravine s’était transformée en une ligne nette. Karine serrait les
fesses. Elle se préparait à ce qu’elle savait inéluctable.
D’une voix toujours aussi calme, il annonça :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Six, et tu comptes,
n’est-ce pas ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
La canne s’éloigna de quelques
centimètres seulement de cette lune offerte. Et, brusquement, d’un
mouvement de poignet presque imperceptible, sans vraiment bouger le
bras, la badine s’abattit. Tout le corps de Karine se raidit. Elle
amorça une sorte de ruade, mais parvint à rester dans la position
qu’elle avait adoptée. Elle ne cria pas, mais ce premier coup fut
pourtant ponctué d’une sorte de soupir guttural. Un « umpff »
étouffé. Puis, d’une voix déjà étranglée, elle annonça :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Un ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Avant qu’Alain ne repose la baguette
sur le derrière de sa femmes, une marque nette, rouge brun, apparu
au travers des fesses, perpendiculairement à la raie. Il attendit
que le frémissement de la peau, sur les fesses mais aussi au bas des
reins et sur le haut des cuisses, se calme, comme la surface de l’eau
retrouve sa platitude après qu’on y ait jeté une pierre. Alors,
du même mouvement bref, il lança un second coup. Même ruade
maîtrisée. Même cri rauque étouffé. Et le ::</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Deux ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Tandis qu’une deuxième trace,
presque parfaitement parallèle à la première apparaissait,
rectiligne. A chaque coup, Karine se soulevait sur la pointe des
pieds, puis sursautait sur place, faisant ainsi ballotter la masse de
son derrière. Le slip ayant malencontreusement descendu un peu sur
les cuisses, Karine dut écarter encore un peu plus les jambes pour
éviter qu’il ne tombe plus bas. Ce faisant, elle exhibait plus
encore sa foufoune, et, les fesses s’étant aussi écartées,
montrait jusqu’à son petit trou. A partir du quatrième coup, le
cri étouffé laissa place à une vraie plainte. Une sorte de
hullulement aïgu. Un long « aieee » modulé. Elle
parvenait cependant à chaque fois à annoncer le nombre attendu,
puis à reprendre la position demandée. Son derrière était
maintenant marqué de quatre lignes rapprochées. Le cinquième coup
porta sur le haut des cuisses, juste sous l’arrondi des fesses.
Cette fois, ce fut plus un hurlement q’un simple cri. Et les sauts
sur places laissèrent place à une sorte de danse de Saint Guy,
tandis que Karine se redressait,faisant voler la masse de ses cheveux
bruns, avant, docilement, de se pencher à nouveau. A l’inverse, le
sixièe et dernier coup porta en plein milieu du derrière. Cette
fois, eelle sembla s’affaler sur le dossier, comme une marionette
dont on aurait copé les fils. Et c’est d’une voix mainenant
cassée par les sanglots qu’elle articulé difficilement le
</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Six »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène n’avait pas quitté un
instant le derrière de son amie des yeux. A chaque fois que la canne
s’y était abattue, elle avait eu une sorte de sursaut, un
raidissement de tout son corps, comme s’il avait lui-même été
fustigé. Elle se rendait évidemment compte que ce à quoi elle
assistait était très différent de ce qu’elle avait elle-même
qualifié de « pan pan cucu » Sa respiration est devenue
plus courte, plus opressée. Elle a crispé sa main droite sur la
cuisse de son mari, et tripote nerveusement le médaillon qu’elle
porte autour du cou. En même temps, et cette sensation la terrifie
presque, elle sent ses seins durcir, leurs pointes se dresser et
frotter presque douloureusement sur son soutien gorge. Et surtout,
elle se rend compte avec une sorte d’effroi qu’elle est entrain
de mouiller sa petite culotte. Elle est bien consciente qu’une
moiteur suinte de son intimité.
</div>
<div style="font-style: normal;">
Karine était restée prostrée sur le
fauteuil. Elle continuait à gémir doucement. Puis, lentement, elle
se redressa et se remit debout, continuant à piétiner sur place,
toujours le dos tourné à Hélène et Fabien. Son mari lança
alors :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Tu peux ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Sans qu’il ait besoin d’en dire
plus, sa femme comprit, et elle se mit à passer doucement les paumes
de ses mains sur son derrière meurtri. Elle se retourna alors, la
robe toujours retroussée jusqu’au dessus de sa taille, continuant
à se frotter doucement les fesses, sans rien faire pour cacher la
touffe de poils noirs de sa foufoune. Tranquillement, elle descendit
son slip jusqu’à ses pieds, la retira complètement, et la déposa
sur la table basse. Enfin, elle laissa retomber le vêtement, tout en
continuant à passer les mains ouvertes sur ses fesses, puis se
rapprocha de son mari, déposé un léger baiser sur ses lèvres,
puis alla s’agenouiller sur un fauteuil, le visage brouillé par
les larmes, tandis que son mari s’installait sur l’accoudoir et
attirait la tête de son épouse sur sa poitrine.
</div>
<h3 class="western">
<a href="https://www.blogger.com/null" name="__RefHeading___Toc3150_207133747"></a>Martinet</h3>
<div style="font-style: normal;">
Quand elle eut retrouvé sa respiration
normale, et séché ses yeux du revers de la main, Karine, la
première, reprit la parole en s’adressant d’abord au mari de sa
copine :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« J’espère, monsieur, que
vous nous pardonnerez de vous avoir imposé d’assister à ce qui,
d’habitude, reste dans l’intimité de notre couple. Croyez moi,
si les choses en sont arrivées là, c’est en quelque sorte, »
à l‘insu du plein gré » autant d’Hélène que de
moi-même »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Jusque là, depuis que son épouse
avait découvert le cadeau pour le moins original que lui avait fait
son copain, Fabien était resté silencieux. Un regard et un geste
discret de la part de sa femme l’avait amené à laisser les choses
aller leur cours sans intervenir. Il avait bien entendu très vite
compris le couple chez qui ils passaient la soirée avait les mêmes
habitudes que le sien. Et aussi, mais sans qu’il comprenne dans
quelles circonstances, que Karine et son mari savaient qu’ils les
avaient, donc qu’Hélène le leur avait révélé. Par ailleurs, il
avait découvert avec plaisir les rondeurs mises à l’air de leur
hôtesse, et le spectacle de ce derrière imposant fustigé par la
canne ne l’avait pas laissé indifférent. Il n’avait pourtant
pas fait un geste, si ce n’est entourer de son bras les épaules de
son épouse comme pour la rassurer, et pas dit un mot. Pourtant, les
excuses de Karine l’amenèrent à la rassurer, en revenant
instinctivement au vouvoiement qu’elle avait utilisé alors
qu’ils se tutoyaient depuis le début de la soirée:</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>N’ayez aucune
crainte, madame, je pense que vous savez que je serais mal placé
pour critiquer les pratiques de votre couple ... et si Alain et
Hélène me le permettent, je serais aussi fort malhonnête si je
prétendais qu’y assister ait été pénible à mes yeux ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Karine le remercia d’un sourire, et
se tournant vers Hélène cette fois, elle reprit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Tu reconnaîtra,
Hélène, que je n’ai rien fait pour imposer cette vue à ton mari
… et j’espère que comme cela, tu considéreras que nous sommes à
égalité ? »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène resta un moment silencieuse.
Elle sentait bien cependant que tous, et surtout Karine, attendait
qu’elle réponde. Elle se leva alors, et, en regardant son amie
dans les yeux, elle dit, d’une voix un peu blanche :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Non, Karine. Je sais bien
que nous ne le sommes pas. »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Avant que qui que se soit ait pu
réagir, elle précisa :</div>
<i> « Si tu as dû étrenner ton cadeau, je suppose qu’il
est juste qu’il en soit de même pour le mien ? »</i><br />
<div style="font-style: normal;">
Et, sans attendre de réponse à ce qui
était à peine une question, et sous les regards stupéfaits de son
mari et du couple qui les recevait, elle se dirigea vers le fauteuil
derrière lequel s’était installée sa copine et, comme elle, elle
retroussa sa jupe et se pencha par dessus le dossier.</div>
<div style="font-style: normal;">
Elle entendit alors la voix de son mari
qui proposait :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Il me semble qu’il serait
aussi juste que vous rendiez à Hélène le service qu’elle vous a
rendu, ma chère Karine »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Celle-ci ne répondit pas, mais Hélène
senti deux mains se poser sur ses hanches, et, comme elles l’avaient
déjà fait dans la chambre, faire descendre sa culotte jusqu’à
ses chevilles. Elle savait maintenant qu’Alain voyait ses fesses
nues. Elle savait qu’elle montrait son cul, comme Karine avait
montré le sien. Et que ceux qui regardaient découvraient aussi son
intimité, même si elle gardait les jambes plus serrées que sa
copine. Elle était aussi tout à fait consciente qu’en lui
baissant sa culotte, Karine avait pu remarquer qu’elle était
moite. Et, en effet, elle avait bien constaté une petite tâche
d’humidité sur le petit slip blanc qu’elle avait fait glisser le
long des jambes de sa copine.
</div>
<div style="font-style: normal;">
Une nouvelle fois, c’est la voix de
son mari qu’Hélène entendit :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Alain, tu es à l’origine
du cadeau, nous sommes chez toi, et tu as, d’évidence, plus de
pratique que moi … alors… à toi l’honneur »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Ainsi, il proposait à son copain de la
fesser en quelque sorte à sa place. Non seulement elle allait subir
sa première fessée en dehors du secret de leur couple, non
seulement elle allait connaître pour la première fois le martinet,
mais encore celui-ci ne serait pas manié par son mari, mais par
celui de sa copine. Elle en était à la fois encore plus angoissée,
et d’une certaine manière soulagée. Au moins, se dit elle, lui
saurait doser son utilisation.</div>
<div style="font-style: normal;">
Elle comprit qu’il avait accepté la
mission quand elle l’entendit dire :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Si Hélène y consent ... »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Il ne lui sembla pas nécessaire de
répondre, son silence équivalant à l’évidence à une
acceptation. Après quelques secondes, la même voix annonça :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Six aussi … en les
comptant, s’il vous plaît »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Elle senti les lanières se déposer
sur ses fesses, comme l’avait fait Karine lors de la séance dans
sa chambre, mais cette fois elle ne s’attardèrent pas à folâtrer.
Presque aussitôt elle eut la sensation que la peau de ses fesses se
déchirait. Elle ne put réprimer un cri, autant de surprise que de
douleur, et amorça un mouvement pour se protéger les fesses avec
les mains en se redressant. Mais elle parvint à se maîtriser, à
remettre ses mains sur les accoudoirs, à reprendre sa position, puis
à articuler :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Un ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Comme si la douleur était moins
virulente quand elle en anticipait l’intensité, elle parvint à
supporter les cinq autres coups sans recommencer à chercher à se
protéger, et en restant stoïque et presque silencieuse. Elle
sursautait, se cabrait, mais ne criait plus, émettant seulement une
sorte de grognement assourdi chaque fois que son derrière recevait
l’assaut des lanières. La douleur, comme le lui avait dit Karine
était très différente de celle ressentie lors des fessées
manuelles de son mari. C’est à chaque fois toute la surface de son
derrière qui était fustigée. Comme si un essaim d’abeille était
venu l’agresser. Depuis le haut des cuisses, où les lanières
s’égaraient, jusqu’à ses reins, elle n’était plus que
douleur. Comme Karine, elle tressautait et piétinait sur place, mais
ses fesses restaient serrées, dures, compactes, crispées. Comme ses
mains, dont les doigts étaient devenus blancs à force de serrer les
accoudoirs pour s’empêcher de bouger. Comme ses mâchoires. Et
même comme ses yeux, qu’elle garda fermés pendant toute la durée
de la fessée. Ce n’est du reste que quand elle eut lancé le
« six » qu’elle se rendit compte que des larmes avaient
perlé de ses yeux et roulé sur ses joues.
</div>
<div style="font-style: normal;">
Avant qu’elle ne se redresse, son
amie était venu auprès d’elle, et l’enlaçait en lui
murmurant :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« Merci et bravo, ma chérie,
tu a été superbe, tu sais »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Hélène l’embrassa elle aussi, puis,
comme elle l’avait vu faire par Karine, elle enjamba sa culotte
tombée à ses pieds, et, sans regarder personne, elle la déposa sur
la table, à côté de celle sa sa copine. Elle n’attendit
cependant pas l’autorisation pour se frotter doucement les fesses
endolories dans l’espoir, vain, d’atténuer la brûlure. Enfin,
consciente du silence pesant qui régnait dans la pièce, et en
quelque sorte pour permettre à tous de revenir dans le monde normal,
elle s’écria, d’un ton presque enjoué :</div>
<div style="font-style: normal;">
<i>« </i><i>Ah ben … en effet,
ma chérie ...ça pique !… mais on y survit ! »</i></div>
<div style="font-style: normal;">
Elle alla ensuite, elle aussi,
s’installer près de son mari en prenant soin de ne pas poser ses
fesses à vif sur le siège. Alain la suivit dans son effort pour
revenir à la normale en proposant de boire une dernière coupe de
champagne. Puis Fabien et elle remercièrent leurs amis pour « cette
bonne soirée », et repartirent chez eux, en ne laissant comme
marque de cette soirée hors de l’ordinaire que les deux petites
culottes parmi les verres et les assiettes d’amuse-gueules.
</div>
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