« Correspondance »
Chapitre 16 :
Lettre Mme De V** à son amie de Mme A
Dans une précédente lettre à son amie Caroline, Anne
Charlotte a reproduit, presque mot à mot, la conversation qu’elle a eu avec
Juliette à propos des habitudes de leurs maris réciproques. Cette dernière lui
a appris que leur amie commune, la belle Lucie avait raconté que Caroline elle
aussi recevait la fessée de son mari. Elle poursuit aujourd’hui le récit des
confidences de Juliette.
Ma toute belle,
C’est bien sur avec toujours le même plaisir que je lis le récit des exploits de votre mari sur
vos fesses. Et je vois que le bougre a vite apprit en la matière. Visiblement,
vous êtes tombée sur un esthète de la chose, ma chère. Et vous comprendrez
combien je sus émue en vous imaginant nue, debout, les mains sur la tête, et
sautillant sur place à chaque fois que les lanières viennent vous mordre le
derrière. Pour tout vous dire, les pointes de mes seins se durcissent quand
j’imagine comment votre belle poitrine doit balancer quand vous dansez ainsi.
Mais je ne serais pas en reste vis-à-vis de vous, ma belle.
Comme vous l’écrivez, j’ai en effet une suite à apporter aux confidences de mon
amie Juliette. Mais cette fois il ne s’agit pas des fessées que cette bonne
amie reçoit de son époux, mais bien de celle qu’elle a flanquée à la petite
Lucie. Bien sur je n’ai, quand même, pas pris de notes quand elle m’en a fait
le récit. Pourtant je vais essyer de vous lrépéter aussi exactement que
possible notre conversation.
A.C. : Vous savez, ma chère, que vous m’avez intriguée
l’autre fois en me parlant de la manière dont vous auriez tenté e faire perdre
à notre chère ingénue son habitude d’être trop bavarde ?
J : Je me doutais bien que mes paroles ne seraient pas
tombées dans l’oreille d’une sourde ! Et je savais bien aussi que vous
conviendriez que la belle Lucie pêche trop souvent par son bavardage
impénitent. D’ailleurs, si vous ovus en souvenez, c’était déjà la raison de la
bonne fessée que son mari lui a flanqué lors de cette fameuse soirée.
A.C. : Je sais. Mais, jusqu’à ce que vous m’en parliez,
je n’imaginais pas qu’elle aurait été jusqu’à vous faire part de ce que je lui
avais innocemment confié.
J/ « Innocemment » ? Comme vous y allez, ma
chère ! Croyez vous vraiment que nous agissions, vous, elle et moi, aussi
innocemment ? En tout cas, je peux
vous assurer que notre jeune amie a très bien compris à quoi je faisais
allusion quand, au détour d’une conversation, je lui ai lancé tout à
trac : « Malgré la sévérité de votre époux, il me semble que vous ne
vous êtes pas vraiment amendée coté excès de papotages, ma petite » Elle a
juste un peu rougie, et a murmuré : »c’est vrai que j’ai du mal à
tenir ma langue, mon mari m’en fait souvent le reproche » Et comme je
remarquais qu’elle en payait le prix sur les fesses, elle a acquiescé avec un
petiot sourire, mi désolé mi amusé. J’en
ai profité pour ajouter que je n’osais imaginer ce qu’elles subiraient si son
mari apprenait comment elle « colportait », c’est le terme que j’ai
utilisé à dessein, les histoires de couples de ses amis. Et elle a reconnu sans
ambages : « Ca c’est sur qu’il serait furieux, je n’ose même pas
imaginer la trempe que je recevrais ! » en ajoutant, avec ce sourire
qui lui éclaire si bien le visage : « heureusement qu’il n’en saura rien »
Mais son sourire s’est figé quand j’ai répondu : « en êtes vous si
sure ma petite ? Croyez vous que vous pouvez ainsi jaser sur les unes et
sur les autres, répéter à l’envi ce que vos amies vous confient en secret,
mettre à nu l’intimité des amis de votre mari sans qu’un jour l’une d’elles ne
le luji rapporte ? » Le sourire avait complètement disparu et la
belle a bredouillé « ho…vous ne feriez pas ca, vous, mon
amie ? » J’ai profité de son trouble pour enfoncer le clou en m’écriant :
« mais pourquoi pas ? Vous voudriez que je me rende complice de vos
turpitudes, ma petite ?Et vous pensez qu’on peut ainsi bavasser sans
jamais en payer les conséquences ? Se serait trop facile, vous ne croyez
pas ? » Cette fois notre petite Lucie commençait vraiment à perdre
contenance. Elle m’a presque supplié : « Ho, je vous en prie, mon
bonne amie, ne faite pas cela, ne me trahissez pas, je vous promets de me
corriger » Le mot était trop beau pour que je le laisse passer, j’ai
planté mon regard dans ses yeux et j’ai décrété : « Je ne pense pas
que vous puissiez vous corriger seule, ma petite. Je crois vraiment que vous
avez besoin d’une vraie correction ! » Son regard s’est vraiment
affolé, les larmes commençaient à perler aux coins de ses jolis yeux et elle a
pleurniché : « S’il vous plait, non, ne lui dites rien. Tout mais pas
ça ! Ce n’est pas seulement la fessée qu’il me donnerait qui me fait peur,
vous savez, j’en ai connu d’autres, mais j’aurais trop honte ! »
A.C. Ainsi elle
commençait à presque reconnaître ses torts ?
J : Tout à
fait ! Elle ne discutait déjà plus la raison de la punition. Je le lui ai
fait remarquer, et elle a acquiescé en reniflant « oui, c’est vrai, mais
je ne veux pas que vous lui racontiez, je ne veux pas » Elle était
redevenue la petite fille têtue, elle tapait presque du pied. Je me suis alors
levée brusquement et j’ai changé de ton : « Vous le voulez pas !
Voilà qui est nouveau, ma petite. Pensez vous vraiment que vous ayez à
décider ? » Elle est restée interloquée, bouche bée, et j’ai profité
de mon avantage pour la prendre par l’oreille, comme une sale gamine, en
m’écriant : « Eh bien, ma petite, vous allez être comblée, vous
n’aurez pas à être punie par votre mari, je vais m’en charger ici et tout de
suite » C’était comme si on avait coupé les fils d’une marionnette. Elle
s’est laissé traîner jusqu’au canapé que je venais de quitter sans même tenter
de résister.
A.C. Elle avait
compris que vous vouliez ….
J. : Ah ça, vous
pouvez être sur qu’elle ne se faisait plus d’illusions ! Elle allait même
s’allonger d’elle-même au travers de mes genoux quand je me suis assise avant
même que je ne le lui ordonne.
A.C. : Mais,
vous, Juliette, vous aviez, comment dire, prémédité out cela ? Vous aviez
décidé de la …
J. : Non,
vraiment pas ! Les mots nous ont entraînés, voilà tout. Et quand j’ai
senti la belle prête à subir ce qu’en effet je n’avais pas planifié, je dois
avouer que cela m’est apparu comme évident. C’était comme si j’avais fait cela
toute ma vie. J’ai même corsé la chose en l’arrêtant d’un geste pour lui
dire : « Pas de cachoteries entre nous, ma petite. Je ne vais quand
même pas devoir vous apprendre comment on est punie quand on fait des
bêtises ! Allez, hop ; mettez vous en tenue ! » Elle n’a
pas fait celle qui ne comprends pas, je vous assure. En un clin d’œil elle a
soulevé su jupette au dessus de sa taille.
A.C.(riant) ah, elle
était en jupe, cela facilite les choses !
J. : Oui,
d’ailleurs je ne l’ai jamais vu habillée autrement, il faut croire qu’en mari
avisé le sien l’exige, pour qu’elle soit toujours disponible ! Et je n’ai
même pas eu besoin d’insister pour que, d’elle-même, elle baisse sa petite
culotte rouge jusqu’à ses pieds avant de venir bien sagement s’allonger.
A.C. : Ho ! Elle
s’est déculottée ? Elle vous a montré son ….
J : (riant) He
oui, elle m’a montré son cul, appelons les choses par leurs noms ! Cul
qu’elle a d’ailleurs fort joli ! Bien sur ce n’était pas vraiment une
découverte pour moi, puisque j’avais déjà eu l’occasion de voir le popotin de
la gamine chez nos amis. Mais je ne m’étais pas rendue compte alors qu’il était
aussi mignon !Deux petites fesses bien rondes, charnues, rebondies sans
être grosses, avec deux adorables fossettes au creux des reins.
A.C. Mais … vous en
parlez comme un homme parle des fesses d’une femme ! En tout cas vous ne
semblez pas être resté indifférente.
J. : Eh bien oui,
je le confesse, ma chère, la vision de ce beau petit cul m’a troublé !
Avant même que la première claque ne tombe, j’ai senti cette crispation là où
vous savez qui annonce …
A.C. Mais ..vous
voulez dire … ??
J. : Eh oui, ma
chère. Ne faites pas l’effarouchée ou la mijaurée, nous sommes entre femmes,
que diable ! Quel mal y aurait-il à vous avouer que voir ce derrière si
charmant m’a fait mouiller ma culotte ?
Et vous-même, ma chère Anne Charlotte, pourriez vous m’affirmer qu’en ce
moment la votre est … si aride ?
Vous imaginez, ma chère, ma stupéfaction devant autant de
naturel chez cette femme d’allure si stricte par ailleurs. J’avoue que j’ai
senti le rouge me monter aux joues, d’autant plus qu’en effet…. J’ai balbutié
une vague réponse et Juliette s’est écriée en riant à belles dents :
J : Vous voyez
que nous sommes toutes faites pareil ! D’ailleurs pourquoi aurions-nous
ces conversations si, quelque part comme disent les psy, cela ne nous donnait
pas un peu de bonheur ? Pourquoi
faudrait-il qu’il n’y ait qu’en présence de ces messieurs que nos corps
puissent s’exprimer ? Faudrait-il que j’ai honte de dire que quand j’ai
commencé à claquer ce popotin adorable les soubresauts de la belle sur mon bas
ventre ont amené celui-ci à couler comme une fontaine, jusqu’à ce que je
ressente cette explosion qui conclu nos moments les plus agréables ? Je
vous choque, ma chère ?
A.C. : Non … non,
bien sur …ainsi vous avez …pris du plaisir à la fesser ?
J. : EN un mot
comme en cent : oui ! Pour le dire sans plus de circonvolutions, j’ai
jouit de voir ses fesses devenir cramoisies, de les voir balloter au rythme de
mes claques, de voir la belle agiter ses jambes en découvrant largement son
intimité. Oui, ma chère, j’ai pris mon pied en voyant ses fesses s’ouvrir et
laisser voir son petit œillet Voilà,
c’est dit ! Et pourtant, je vous assure que ce plaisir ne m’a pas amené à
retenir ma main ! Je peux vous assurer qu’elle a reçu une belle et bonne
fessée !
A.C. : Elle a su
retenir ses larmes ?
J. : Non, ni ses
larmes ni ses cris. Je pense qu’elle se contenait moins que lors de sa fessée
maritale. Pour dire les choses, elle a crié comme un goret ! Elle ne
cessait de crier des « ouilles » des « ça fait mal madame »
et même des « je ne parlerais plus….pardon madame » comme une petite
fille.
A.C. : C’est
peut-être aussi cela qui vous a tant animée, vous ne pensez pas ? De jouer
en quelque sorte le rôle de la maman sévère ?
J. : Peut-être,
en effet, je ne le nie pas. Il est vrai qu’elle est plus jeune que moi, et
qu’elle joue à merveille la petite fille ou la petite peste ! D’ailleurs
quand j’ai jugé qu’elle en avait assez reçu, je l’ai mise au coin !
A.C. : Non, vous
vous moquez de moi !
J. : Non, pas du
tout. Pourquoi le ferai-je ? Quand
elle s’est levée, elle avait le visage couvert de larmes qui avaient fait
couler son rimmel. Elle reniflait en se frottant les fesses et en piétinant sur
place. Je lui ai montré la mur en disant d’une voix ferme : « Nez au
mur, ma petite, et mains sur la tête » Elle n’a pas tenté de discuter,
elle y est allée, traversant la pièce sans même remonter son slip !
Et voilà, ma chère, comment cette Juliette m’a avoué sans la
moindre hésitation le trouble qui a été le sien en fessant la petite peste.
Dois-je vous dire que, moi aussi, j’étais …émue en entendant cette
confession. Jusque là, jamais l’idée de
recevoir une fessée d’une femme ne m’avait effleurée. Je ne l’envisage bien sur
en aucune manière. Mais vous savez qu’on ne maîtrise pas toujours ses
fantasmes. Aussi, le soir même …. Mais je vous raconterais une autre fois.
Portez vous bien …
Soyez sage …
Sinon j’appelle mon amie Juliette !
Votre, A.C..
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire