dimanche 29 avril 2012

Correspondance n° 16


« Correspondance »
Chapitre 16 :
 Lettre Mme De V** à son amie de Mme A
Dans une précédente lettre à son amie Caroline, Anne Charlotte a reproduit, presque mot à mot, la conversation qu’elle a eu avec Juliette à propos des habitudes de leurs maris réciproques. Cette dernière lui a appris que leur amie commune, la belle Lucie avait raconté que Caroline elle aussi recevait la fessée de son mari. Elle poursuit aujourd’hui le récit des confidences de Juliette.

Ma toute belle,
C’est bien sur avec toujours le même plaisir que je  lis le récit des exploits de votre mari sur vos fesses. Et je vois que le bougre a vite apprit en la matière. Visiblement, vous êtes tombée sur un esthète de la chose, ma chère. Et vous comprendrez combien je sus émue en vous imaginant nue, debout, les mains sur la tête, et sautillant sur place à chaque fois que les lanières viennent vous mordre le derrière. Pour tout vous dire, les pointes de mes seins se durcissent quand j’imagine comment votre belle poitrine doit balancer quand vous dansez ainsi.
Mais je ne serais pas en reste vis-à-vis de vous, ma belle. Comme vous l’écrivez, j’ai en effet une suite à apporter aux confidences de mon amie Juliette. Mais cette fois il ne s’agit pas des fessées que cette bonne amie reçoit de son époux, mais bien de celle qu’elle a flanquée à la petite Lucie. Bien sur je n’ai, quand même, pas pris de notes quand elle m’en a fait le récit. Pourtant je vais essyer de vous lrépéter aussi exactement que possible notre conversation.
A.C. : Vous savez, ma chère, que vous m’avez intriguée l’autre fois en me parlant de la manière dont vous auriez tenté e faire perdre à notre chère ingénue son habitude d’être trop bavarde ?
J : Je me doutais bien que mes paroles ne seraient pas tombées dans l’oreille d’une sourde ! Et je savais bien aussi que vous conviendriez que la belle Lucie pêche trop souvent par son bavardage impénitent. D’ailleurs, si vous ovus en souvenez, c’était déjà la raison de la bonne fessée que son mari lui a flanqué lors de cette fameuse soirée.
A.C. : Je sais. Mais, jusqu’à ce que vous m’en parliez, je n’imaginais pas qu’elle aurait été jusqu’à vous faire part de ce que je lui avais innocemment confié.
J/ « Innocemment » ? Comme vous y allez, ma chère ! Croyez vous vraiment que nous agissions, vous, elle et moi, aussi innocemment ?  En tout cas, je peux vous assurer que notre jeune amie a très bien compris à quoi je faisais allusion quand, au détour d’une conversation, je lui ai lancé tout à trac : « Malgré la sévérité de votre époux, il me semble que vous ne vous êtes pas vraiment amendée coté excès de papotages, ma petite » Elle a juste un peu rougie, et a murmuré : »c’est vrai que j’ai du mal à tenir ma langue, mon mari m’en fait souvent le reproche » Et comme je remarquais qu’elle en payait le prix sur les fesses, elle a acquiescé avec un petiot sourire, mi désolé mi amusé.  J’en ai profité pour ajouter que je n’osais imaginer ce qu’elles subiraient si son mari apprenait comment elle « colportait », c’est le terme que j’ai utilisé à dessein, les histoires de couples de ses amis. Et elle a reconnu sans ambages : « Ca c’est sur qu’il serait furieux, je n’ose même pas imaginer la trempe que je recevrais ! » en ajoutant, avec ce sourire qui lui éclaire si bien le visage : « heureusement qu’il n’en saura rien » Mais son sourire s’est figé quand j’ai répondu : « en êtes vous si sure ma petite ? Croyez vous que vous pouvez ainsi jaser sur les unes et sur les autres, répéter à l’envi ce que vos amies vous confient en secret, mettre à nu l’intimité des amis de votre mari sans qu’un jour l’une d’elles ne le luji rapporte ? » Le sourire avait complètement disparu et la belle a bredouillé « ho…vous ne feriez pas ca, vous, mon amie ? » J’ai profité de son trouble pour enfoncer le clou en m’écriant : « mais pourquoi pas ? Vous voudriez que je me rende complice de vos turpitudes, ma petite ?Et vous pensez qu’on peut ainsi bavasser sans jamais en payer les conséquences ? Se serait trop facile, vous ne croyez pas ? » Cette fois notre petite Lucie commençait vraiment à perdre contenance. Elle m’a presque supplié : « Ho, je vous en prie, mon bonne amie, ne faite pas cela, ne me trahissez pas, je vous promets de me corriger » Le mot était trop beau pour que je le laisse passer, j’ai planté mon regard dans ses yeux et j’ai décrété : « Je ne pense pas que vous puissiez vous corriger seule, ma petite. Je crois vraiment que vous avez besoin d’une vraie correction ! » Son regard s’est vraiment affolé, les larmes commençaient à perler aux coins de ses jolis yeux et elle a pleurniché : « S’il vous plait, non, ne lui dites rien. Tout mais pas ça ! Ce n’est pas seulement la fessée qu’il me donnerait qui me fait peur, vous savez, j’en ai connu d’autres, mais j’aurais trop honte ! »  
A.C. Ainsi elle commençait à presque reconnaître ses torts ?
J : Tout à fait ! Elle ne discutait déjà plus la raison de la punition. Je le lui ai fait remarquer, et elle a acquiescé en reniflant « oui, c’est vrai, mais je ne veux pas que vous lui racontiez, je ne veux pas » Elle était redevenue la petite fille têtue, elle tapait presque du pied. Je me suis alors levée brusquement et j’ai changé de ton : « Vous le voulez pas ! Voilà qui est nouveau, ma petite. Pensez vous vraiment que vous ayez à décider ? » Elle est restée interloquée, bouche bée, et j’ai profité de mon avantage pour la prendre par l’oreille, comme une sale gamine, en m’écriant : « Eh bien, ma petite, vous allez être comblée, vous n’aurez pas à être punie par votre mari, je vais m’en charger ici et tout de suite » C’était comme si on avait coupé les fils d’une marionnette. Elle s’est laissé traîner jusqu’au canapé que je venais de quitter sans même tenter de résister.
A.C. Elle avait compris que vous vouliez ….
J. : Ah ça, vous pouvez être sur qu’elle ne se faisait plus d’illusions ! Elle allait même s’allonger d’elle-même au travers de mes genoux quand je me suis assise avant même que je ne le lui ordonne.
A.C. : Mais, vous, Juliette, vous aviez, comment dire, prémédité out cela ? Vous aviez décidé de la …
J. : Non, vraiment pas ! Les mots nous ont entraînés, voilà tout. Et quand j’ai senti la belle prête à subir ce qu’en effet je n’avais pas planifié, je dois avouer que cela m’est apparu comme évident. C’était comme si j’avais fait cela toute ma vie. J’ai même corsé la chose en l’arrêtant d’un geste pour lui dire : « Pas de cachoteries entre nous, ma petite. Je ne vais quand même pas devoir vous apprendre comment on est punie quand on fait des bêtises ! Allez, hop ; mettez vous en tenue ! » Elle n’a pas fait celle qui ne comprends pas, je vous assure. En un clin d’œil elle a soulevé su jupette au dessus de sa taille.
A.C.(riant) ah, elle était en jupe, cela facilite les choses !
J. : Oui, d’ailleurs je ne l’ai jamais vu habillée autrement, il faut croire qu’en mari avisé le sien l’exige, pour qu’elle soit toujours disponible ! Et je n’ai même pas eu besoin d’insister pour que, d’elle-même, elle baisse sa petite culotte rouge jusqu’à ses pieds avant de venir bien sagement s’allonger.
A.C. : Ho ! Elle s’est déculottée ? Elle vous a montré son ….
J : (riant) He oui, elle m’a montré son cul, appelons les choses par leurs noms ! Cul qu’elle a d’ailleurs fort joli ! Bien sur ce n’était pas vraiment une découverte pour moi, puisque j’avais déjà eu l’occasion de voir le popotin de la gamine chez nos amis. Mais je ne m’étais pas rendue compte alors qu’il était aussi mignon !Deux petites fesses bien rondes, charnues, rebondies sans être grosses, avec deux adorables fossettes au creux des reins.
A.C. Mais … vous en parlez comme un homme parle des fesses d’une femme ! En tout cas vous ne semblez pas être resté indifférente.
J. : Eh bien oui, je le confesse, ma chère, la vision de ce beau petit cul m’a troublé ! Avant même que la première claque ne tombe, j’ai senti cette crispation là où vous savez qui annonce …
A.C. Mais ..vous voulez dire … ??
J. : Eh oui, ma chère. Ne faites pas l’effarouchée ou la mijaurée, nous sommes entre femmes, que diable ! Quel mal y aurait-il à vous avouer que voir ce derrière si charmant m’a fait mouiller ma culotte ?  Et vous-même, ma chère Anne Charlotte, pourriez vous m’affirmer qu’en ce moment la votre est … si aride ?
Vous imaginez, ma chère, ma stupéfaction devant autant de naturel chez cette femme d’allure si stricte par ailleurs. J’avoue que j’ai senti le rouge me monter aux joues, d’autant plus qu’en effet…. J’ai balbutié une vague réponse et Juliette s’est écriée en riant à belles dents :
J : Vous voyez que nous sommes toutes faites pareil ! D’ailleurs pourquoi aurions-nous ces conversations si, quelque part comme disent les psy, cela ne nous donnait pas un peu de bonheur ?  Pourquoi faudrait-il qu’il n’y ait qu’en présence de ces messieurs que nos corps puissent s’exprimer ? Faudrait-il que j’ai honte de dire que quand j’ai commencé à claquer ce popotin adorable les soubresauts de la belle sur mon bas ventre ont amené celui-ci à couler comme une fontaine, jusqu’à ce que je ressente cette explosion qui conclu nos moments les plus agréables ? Je vous choque, ma chère ?
A.C. : Non … non, bien sur …ainsi vous avez …pris du plaisir à la fesser ?
J. : EN un mot comme en cent : oui ! Pour le dire sans plus de circonvolutions, j’ai jouit de voir ses fesses devenir cramoisies, de les voir balloter au rythme de mes claques, de voir la belle agiter ses jambes en découvrant largement son intimité. Oui, ma chère, j’ai pris mon pied en voyant ses fesses s’ouvrir et laisser voir son petit œillet  Voilà, c’est dit ! Et pourtant, je vous assure que ce plaisir ne m’a pas amené à retenir ma main ! Je peux vous assurer qu’elle a reçu une belle et bonne fessée !
A.C. : Elle a su retenir ses larmes ?
J. : Non, ni ses larmes ni ses cris. Je pense qu’elle se contenait moins que lors de sa fessée maritale. Pour dire les choses, elle a crié comme un goret ! Elle ne cessait de crier des « ouilles » des « ça fait mal madame » et même des « je ne parlerais plus….pardon madame » comme une petite fille.
A.C. : C’est peut-être aussi cela qui vous a tant animée, vous ne pensez pas ? De jouer en quelque sorte le rôle de la maman sévère ?
J. : Peut-être, en effet, je ne le nie pas. Il est vrai qu’elle est plus jeune que moi, et qu’elle joue à merveille la petite fille ou la petite peste ! D’ailleurs quand j’ai jugé qu’elle en avait assez reçu, je l’ai mise au coin !
A.C. : Non, vous vous moquez de moi !
J. : Non, pas du tout. Pourquoi le ferai-je ?  Quand elle s’est levée, elle avait le visage couvert de larmes qui avaient fait couler son rimmel. Elle reniflait en se frottant les fesses et en piétinant sur place. Je lui ai montré la mur en disant d’une voix ferme : « Nez au mur, ma petite, et mains sur la tête » Elle n’a pas tenté de discuter, elle y est allée, traversant la pièce sans même remonter son slip !
Et voilà, ma chère, comment cette Juliette m’a avoué sans la moindre hésitation le trouble qui a été le sien en fessant la petite peste. Dois-je vous dire que, moi aussi, j’étais …émue en entendant cette confession.  Jusque là, jamais l’idée de recevoir une fessée d’une femme ne m’avait effleurée. Je ne l’envisage bien sur en aucune manière. Mais vous savez qu’on ne maîtrise pas toujours ses fantasmes. Aussi, le soir même …. Mais je vous raconterais une autre fois.
Portez vous bien …
Soyez sage …
Sinon j’appelle mon amie Juliette !

Votre, A.C..

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