vendredi 1 novembre 2013

Monique et Jeanne 4



Monique et Jeanne
4- Où Monique en dit plus sur ses fessées.
Dans les semaines qui suivirent cet échange de témoignages, la question ne fut quasiment plus abordée entre Monique et Jeanne, bien qu’elles se soient encore régulièrement rencontrées. Peut-être que, justement, le fait d’avoir tout écrit leur permit-il de ne plus y revenir de vive voix. Tout juste une fois, au cours d’une séance de shopping, alors que Jeanne regardais des modèles de ceintures pour homme, avec l’idée d’en offrir une au sien lors d’un e prochaine fête, Monique lui dit-elle, dans un sourire :
« Ce n’est pas le genre de cadeau qu’il me viendrait à l’esprit de faire au mien … je sais trop quel usage il en ferait »
Mais comme elle s’interrompait comme si elle en avait trop dit, et que Jeanne la relançait en demandant :
« Tu veux dire qu’il … enfin qu’il utilise ce genre de choses pour … »
elle se contenta de me faire le signe « chut » en disant :
« Ne brûles pas les étapes …tu verras bien quand il sera temps »
Puis elle orienta la conversation vers un autre sujet.
Jeanne ne lui avais pas demandé explicitement si son mari avait eu d’autres occasions de la fesser, et de son coté elle n’avait pas demandé si le sien y avait prit gout. Pourtant, un matin où elles hésitaient à prendre un taxi, et que Jeanne préférait marcher en disant :
« je n’ai pas envie d’être encore assise »
elle insinua avec un sourire, mais sans lalaisser répondre :
« Ha …je comprends, il y a des lendemains où il est difficile de rester assise ! »
Ainsi, sans presque jamais en parler directement, plutôt par petites touches, un peu à la manière des peintres pointillistes, elles en sont peu à peu venues à toutes les deux « savoir que l’autre savait » et donc à s’ en cacher de mois en moins. Pourtant, comme il arrivait à Jeanne de chercher à en savoir plus sur cet aspect de sa vie de couple, Monique lui proposa de reprendre plutôt leurs échanges par écrit.  C’était à peu près deux mois aprèsla « découverte » et elle s’engagea à « en écrire plus » tout en me demandant à son amie de faire pareil.
Le « témoignage » de Monique
            De la fessée et de la  sensualité
Je t’ai déjà expliqué comment ta présence, et celle de ton mari, m’avait fait découvrir en quelque sorte une autre dimension dans la relation avec le mien. Recevoir la fessée, ce à quoi je suis habituée, dans ces conditions, ce qui était nouveau pour moi, a été une expérience plus que troublante. Je dois dire aussi combien j’ai été troublée d’apprendre que … tu l’avais été aussi. Et combien j’ai été heureuse que tu aies, toi aussi, découvert ce continent qui t’était jusque là inconnu, de la fessée maritale. Non pas que je me sente une âme de missionnaire ou de prosélyte mais je suis intimement convaincue que cette découverte te sera bénéfique à de nombreux points de vue. Du reste, j’ai cru comprendre aux dernières lignes de ton récit que tu avais déjà pu constater les effets de cette pratique sur les ardeurs des époux ! Pour ma part, je dois avouer que je ne sais pas comment serait celle du mien sans cet adjuvent, puisque, depuis le début de notre mariage, je pense que je n’ai quasiment jamais passée une semaine sans y avoir droit. Et s’il arrive, heureusement, que mon mari soit tendre sans que cette tendresse ait été précédée d’une fessée, celle-ci est toujours suivie par un épisode plus sensuel. Pourtant, je pense que tu l’as compris, la fessée n’est absolument pas pour nous une forme de « préliminaires amoureux » un peu plus pimenté que d’autres. Cela a été clair pour moi, dés avant même notre mariage : la fessée n’est pas un jeu.
            Des motifs
Quand je reçois ma fessée, il y a toujours une raison, plus ou moins crédible. De toutes manières, s’il m’arrivait de contester la crédibilité de la raison invoquée, cette contestation suffirait à justifier la fessée que je recevrais donc immanquablement.   En même temps, mon mari est assez intelligent pour comprendre quand je ne suis pas en état mental d’être fessée. Soit parce que je ne suis pas en forme, soit parce que la raison qui justifierait la fessée me semble trop «sérieuse ». Je veux dire quand elle serait un vrai motif de conflit entre lui et moi. Dans ces cas là, il sait renoncer. Quitte, bien sur, à m’en coller une doublement carabinée la fois suivante ! Julien est un mari qui fesse sa femme. Depuis toujours et souvent. Pour autant il n’est pas un tyran domestique. Il est arrivé, bien sur, que nous soyons en désaccord sur des questions importantes depuis notre mariage. Jamais, dans ces cas là, il n’a utilisé la fessée ou la menace de la fessée pour imposer son point de vue, et je dois dire que le plus souvent c’est plutôt moi qui ai eu le dernier mot. Par contre, je suis bien persuadée que la fessée nous a évité cette multiplicité de petites disputes qui empoisonnent souvent la vie des couples. Tu as pu le constater de visu, dirai-je. Ce fameux après-midi de shopping, nous étions très en retard. Nos maris auraient été parfaitement en droit d’être fâchés. Dans beaucoup de ménage, une telle situation aurait entraînée une avalanche de reproches, de tentatives de justifications, et probablement une longue bouderie. Chez nous, tu l’as constaté, rien de tout cela. Je savais fort bien que ce retard me vaudrait une fessée «  trois étoiles », je veux dire par là une fessée dont le motif est, aux yeux de mon mari, suffisant pour qu’elle soit plus sévère que celles que je reçois quand il n’y a pas de motif véritablement sérieux. J’étais donc parfaitement consciente que mes fesses allaient subir les conséquences de notre retard. Comme nous étions un jeudi, la seule incertitude, à mes yeux était de me demander s’il allait attendre notre rendez-vous traditionnel du vendredi soir ou s’il passerait à l’action le jour même, considérant que la punition ne pourrait pas attendre.
            Du rituel du vendredi.
Il faut en effet que je t’explique qu’avec le temps (nous sommes mariés depuis plus de vingt ans) nous avons adopté une sorte de rituel familial, qui date du moment où les enfants étaient petits et où ils passaient la nuit du vendredi au samedi chez leurs grands-parents. Pour éviter de les associer auditivement à nos activités vespérales, mon époux avait instauré le « bilan hebdomadaire ». Et comme, finalement, les câlins classiques sont beaucoup moins bruyant que les fessées, il nous arrivait souvent de vivre pleinement notre vis de couple amoureux en semaine ou le week-end, mais le vendredi soir était réservé à des activités plus bruyantes, et plus douloureuses pour mes fesses. Du reste, je faisais en sorte de joindre l’agréable au moins agréable, en faisant de ce vendredi soir « notre soirée ». Je tâchais de quitter le travail plus tôt que d’habitude, afin d’avoir le temps à la fois de nos préparer un petit repas de qualité (la fessée ne coupe pas l’appétit, et il faut bien reconstituer les forces de celui qui a été « à la manœuvre ») et de me préparer. Tant qu’à avoir les fesses claquées, autant qu’elles soient belles, fraiches et parfumées. Je prenais donc souvent le temps d’une douche, voire d’un bain, et il m’arrivait souvent d’examiner soigneusement l’état de mon popotin dans la glace, tout à fait consciente que cette jolie lune rose et charnue allait être malmenée et rougie. Preuve de la dualité de mes sentiments quant à ce qui allait suivre, j’étais à al fois inquiète, voire angoissée parfois, de ce qui allait arriver à mon pauvre derrière, et étonnamment excitée, et pas seulement parce que je savais que la fessée attendue serait suivie par un moment plus sensuel. Il m’est même arrivé souvent de me caresser jusqu’au plaisir durant ma toilette. Et quant à avoir la culotte baissée ou retirée, autant en choisir une qui soit jolie et qui mette mes avantages en valeur. Je choisissais donc mes dessous avec soin, alternant, selon mon humeur, et celle supposée de mon époux, les culottes sages ou les sous-vêtements plus affriolants, du genre strings ou, au contraire, boxers ou culotte à volants. Bien sur, dans la mesure où je n’ignorais pas qu’elle allait être retirée, j’aurais pu tout simplement ne pas mettre de culotte. D’autant que cela m’arrivait dans d’autres circonstances, mais c’est une autre histoire. Mais une telle initiative de ma part au tout début de notre mariage m’avait value une fessée mémorable au motif qu’il ne m’appartenait pas de décider en la matière et qu’il n’acceptait pas d’être privé du plaisir de me déculotter lui-même ou de me voir le faire.
Maintenant que les enfants sont grands et ont quitté la maison, plus rien n’interdit à mon tourmenteur chéri de pratiquer quand cela lui chante. Pourtant la tradition du vendredi a perdurée. Et chaque vendredi soir je continue donc à me préparer à ce que je sais inévitable. Et que, pour tout dire, je ne pense même pas souhaiter éviter, tant ce rendez-vous hebdomadaire fait maintenant partie de notre vie, et donc de ma vie. Du reste, quand il est arrivé que les circonstances nous empêchent de sacrifier à la tradition, j’en ai presque ressenti une sorte de manque. D’autant que, même si le report de la séance n’était en rien de mon fait, je payais la frustration de mon mari par un « rattrapage » plus cuisant la semaine suivante. Et finalement, j’opte sans hésiter pour la régularité plutôt que pour l’accumulation des motifs aboutissant à des séquences dont l’intensité est par trop cuisante. Chaque vendredi, nous respectons donc ce qui est devenue chez nous une véritable tradition. Une fois le repas préparé et ma toilette terminée, j’attends donc mon cher et tendre qui, lui aussi, fait en sorte de rentrer relativement tôt, tant il est impatient de ce qu’il va accomplir. Mais en tout état de cause « la chose » se passera à dix-neuf heures précises. Le seul fait de le rejoindre exactement à cette heure est déjà, pour lui comme pour moi, le signe de l’acceptation de ce qui va suivre.

            D’une fessée banale.
Bien sur, tout comme on ne fait jamais l’amour deux fois exactement de la même manière, il n’y a jamais deux fessées exactement identiques. Les motifs invoqués, son humeur – et la mienne – et tant d’autres paramètres font de chaque séance une expérience spécifique.  En même temps, il faut bien l’admettre, nous sommes déjà un vieux couple, et, même dans ce domaine là, nous avons acquis une certaine forme de routine. Et, même s’il y a – et c’est selon le cas heureux ou malheureux pour moi et surtout pour mes fesses – des surprises, on peut presque faire le récit d’une fessée sinon « ordinaire », terme qui serait dévalorisant, tout au moins « banale », au sens de courante.
            Unité de lieu, unité de temps.
A dix neuf heures tapantes – mon Dieu que le terme convient bien aux circonstances – je frappe – même remarque – discrètement à la porte du bureau de mon mari. Je n’ai pas vraiment besoin d’entendre sa réponse pour entrer. Je sais que je vais le trouver assis derrière son bureau de bois sombre, mais il y a longtemps qu’il ne fait plus semblant d’être occupé à quelque tâche que se soit. Marque des couples qui se connaissent si bien, il sait que je sais qu’il sait pourquoi je suis là. Il n’a donc aucune raison de jouer l’étonnement.
En été, la fenêtre sera ouverte sur le jardin. La fessée sera donc donnée et reçue au soleil. Mais avec le risque que des voisins prenant le frais sur la terrasse entendent de curieux bruits venant de chez Monsieur et Madame Lefranc. En hiver, il arrive qu’un feu brûle dans la cheminée. Il n’y aura donc pas que la peau de mes fesses qui sera brûlante, et il y aura d’autres crépitements que ceux de la main sur celles-ci.
            Des explications
Pourtant, même si nous ne feignons ni l’une ni l’autre d’ignorer  la raison de ma présence en ce lieu à ce moment, il tient à ce que je l’exprime sans ambiguïté. Il me faut donc annoncer à haute et intelligible vois :
            « Je suis prête pour ma fessée. »
Si celle-ci est motivée par un événement récent et incontournable, il passe immédiatement à la réalisation. Mais il arrive souvent qu’il n’y ait pas de motif aussi évident. Dans ce cas il me demande de lui présenter mon « cahier ». C’est un banal cahier d’écolier, sur lequel j’écris, au cours de la semaine, les multiples petits incidents qui pourraient motiver une fessée. Je lui présente ce cahier, qu’il ne consulte jamais en dehors de ces circonstances, et il découvre donc les motifs qui, à mes yeux, pourraient me valoir la fessée que je vais recevoir. J’avoue qu’il n’est pas rare qu’il y trouve des raisons qu’il n’avait pas lui-même relevé, ce qui fait naître dans ses yeux ce sourire carnassier  et moqueur qui à la fois me tord le ventre et me fait craquer. En effet, je le sais, ça l’amuse beaucoup de constater que, finalement, c’est moi-même qui lui fournit le prétexte que, parfois, il n’aurait pas trouvé. Bien sur, je pourrais éviter « d’avouer » des « fautes » (il est nécessaire de mettre beaucoup de guillemets à ces mots pour qu’ils prennent le sens que nous leur donnons en ces circonstances) Mais je connais aussi le « tarif » (même remarque) s’il m’arrivait « d’oublier » un motif valable à ses yeux. Je sais que cela me vaudrait de recevoir, après la fessée « motivée » par le fait en question, de recevoir la même « pour aiguiser ta mémoire et te faire passer le gout de la dissimulation » Une fois établie la liste des faits motivant la fessée du jour, selon son humeur, il annonce le contenu de la sanction ou, au contraire, il me laisse dans l’ignorance de sa sévérité. Dans le premier cas je peux, d’une certaine manière, me préparer mentalement. Dans le cas contraire, je ne sais jamais si les claques que je reçois sont les dernières ou si elles seront suivies d’autres. C’est plus déstabilisant. Mais cela ne lui permet pas, comme il aime à le faire surtout quand il utilise un instrument, de m’imposer de compter les coups, ce qui ajoute une épreuve à l’épreuve.
                        De la mise en te nue et en position.
Pour ces fessées rituelles, comme tu l’as compris, je suis en quelque sorte « en tenue de ville » avant de les recevoir. Il me faut donc, sur son ordre, me mettre « en tenue et en position ». Il va sans dire que pour des fessées plus improvisées, par exemple le soir quand je suis déjà en chemise de nuit, le scénario est beaucoup simplifié. Il lui suffit en effet alors de me trousser prestement pour avoir le terrain sous la main. A moins qu’il ne me lance une injonction du genre :
« A poil, et présente tes fesses, vite ! »
Eh oui, ma chère amie, il arrive à cet homme que tu n’as probablement jamais entendu prononcer un mot un peu cru ou une incorrection, de ne pas garder le même registre dans nos moments d’intimité, que ce soit pour la fessée ou pour des moments plus tendres, mais c’est une autre histoire.
Pour ce qui est de la tenue, tu as pu en être témoin, il s’agit de remonter la jupe ou la robe de manière à permettre un accès sans obstacle au derrière. Et en faisant en sorte que, quelque soient les cabrioles causées par la cuisson de celui-ci, le vêtement ne retombe en aucun cas. Faute de quoi, selon toujours les mots de mon cher et tendre époux « on recommence du début ». ll va sans dire, je suis sure que tu l’as deviné, que le pantalon est proscrit. Bien sur il m’arrive d’en porter, il m’est même arrivé de recevoir une fessée alors que j’en portais un, mais c’est toujours pour lui un pis-aller et une sorte de frustration. Et quand cela est arrivé, celle-ci a été la cause d’une fessée supplémentaire. A moi donc de me « trousser » (il aime ce mot) correctement, puis de prendre la position demandée.
 Très classiquement au travers de ses genoux comme tu as pu le voir, ou juste penchée, mains appuyées sur le bureau ou sur la cheminée (celle-ci est surmontée d’une grande glace, mais comme je ferme presque tout le temps les yeux cela ne change pas grand-chose, par contre quand il me fesse après m’avoir fait me pencher par-dessus le dossier d’une chaise ou de son fauteuil, il adore voir notre image dans ce foutu miroir)Je dois dire qu’avec le temps, son imagination en termes de positions pour être fessée semble sans limites. Debout, mains sur a tête ; penchée par-dessus le dossier d’un siège, les mains appuyées sur l’assise, les pieds touchant à peine le sol de sorte que, si je gigote, je me retrouve en équilibre pour le moins instable ; à genoux sur un siège, les bras enserrant le dossier ; penchée, les mains sur les genoux (je n’ai plus la souplesse nécessaire pour les mettre au niveau des chevilles) «  en levrette » (je n’ai pas besoin de t’en dire plus pour que tu imagines la scène …) sur le canapé ; ou, peut-être ce que je déteste le plus, allongée sur le dos, les jambes relevées, exposant comme tu peux l’imaginer, toute mon intimité à son regard certes amoureux mais en même temps pervers. Bien entendu, au cours d’une séance, il lui arrive souvent de m’imposer plusieurs positions, en particulier quand, et c’est le cas presque le plus fréquent, il compose ce qu’il appelle joliment un « menue de fessée » du genre :
« Fessée apéritive » à la main sur ses genoux, une trentaine de claques.
« Entrée en matière au martinet » souvent une douzaine de coups qu’il me faut égrener.
« Fessée de résistance pour faute grave » une autre douzaine, mais cette fois avec l’instrument que je déteste le plus, la cane en rotin.
« Fessée finale pour revenir au début » une nouvelle fessée identique à la première.
Fort heureusement, tous les vendredi soirs ne sont pas aussi copieux. Après un tel menu, que j’ai « dégusté », c’est le cas de le dire, il y a quelques mois, non sans raisons valables je l’avoue, j’ai du mal à m’asseoir pendant au moins trois jours, et mon fondement reste marqué – et comment – au moins une semaine. Du reste il était encore dans un tel état le vendredi suivant qu’il a été « épargné » … mais que ce sont mes cuisses qui ont valsé sous le martinet, ce qui est encore pire.
                        En action, et après.
Une fois ces préparatifs achevés, la fessée proprement dite peut commencer. Mais je pense t’en avoir assez révélé pour le moment, d’autant qu’en la matière, tu as pu apprendre « de visu » si j’ose dire. Quant à ce qui se passe « après », si tu permets, cela restera dans l’intimité de mon  couple.
En post-scriptum de ce long texte, que Jeanne a lu et relu un nombre incalculable de fois, Monique avait ajouté :

J’ai cru comprendre que la fessée indirectement causée par celle que j’avais auparavant reçu devant vous, si elle était la première pour toi, n’a pas été la dernière. Et comme je suis aussi curieuse que toi, il me tarde bien sur d’en savoir plus. Ceci dit, si la matière te semblait encore trop minime pour permettre un récit circonstancié, je ne doute pas que tu trouveras bien le moyen de me faire partager ce que je t’ai fait partager.
Monique avait bien compris la situation, en effet, la fessée de ce soir mémorable n’avait pas été la seule que Jeanne ait reçue quand nous elles ont décidé de reprendre leurs échanges épistolaires. Elle s’est donc efforcée de répondre à son appel, considérant qu’en effet, il ne serait pas juste qu’elle obtienne d’elle les informations qu’elle acceptait avec une telle franchise de lui apporter sans en faire de même à son égard.  Jeanne s’est donc mise en demeure de répondre à sa demande, sans vraiment, alors, comprendre à quoi faisait allusion son amie par ce « moyens » autre que l’écriture de lui faire partager.

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