dimanche 10 janvier 2010

AU risque de lui plaire

Elle a encore sa chemise de nuit, celle qu’elle a mise après la douche et après s’être parfumée à la violette, ce parfum réservé à nos moments d’intimité, alors que je suis déjà nu. Tandis que mes mains parcourent déjà son corps, caressent ses seins, cherchent son sexe, elle me demande de prendre mon temps, de rester tranquille, de profiter du moment. Moi aussi j’ai envie que ces préliminaires durent, moi aussi je crains que notre embrasement trop rapide n’aboutisse à une explosion anticipée. Mais comment empêcher mes mains de pétrir ces seins doux et moelleux ? Comment empêcher l’odeur de parfum, de savon et de sa peau laiteuse de faire se dilater mes narines et durcir mon sexe ? Comment empêcher chaque parcelle de ma peau de tout faire pour se coller à la sienne ? Je fais pourtant l’effort presque surhumain d’éloigner quelque peu mon corps du sien. Et il me revient en tête ces mots d’une chanson de Jacques Brel « Ces deux corps se séparent, et en se séparant ces deux corps se déchirent, et je vous jure qu’ils crient » Mais à peine suis-je à quelques centimètres d’elle que c’est sa main qui glisse et cherchent ma queue pour la saisir délicatement et la caresser de la paume, puis des doigts. Je me cambre de bonheur, j’halète, je soupire, je grogne. La main alterne la douce pression et le plus léger effleurement. Je sais qu’elle voudrait branler vigoureusement, elle adore cette sensation d’une queue raide et frémissante sous ses va-et-vient rythmés. Mais elle sait aussi qu’un tel traitement ne tarderait pas à déclencher le jaillissement, et elle aussi veut retarder ce moment. La paume douce et tiède descend le long de la tige puis englobe les couilles qu’elle masse avec une infinie douceur. Elle pousse son voyage plus loin encore, plus bas, en direction du trou secret qu’elle approche, pus renonce, toujours pour ne pas dépasser le point de non retour que nous nous imposons. La main experte joue ainsi un moment avec mon sexe, jusqu’à ce que je la repousse moi-même pour jouir d’abord de la vue de son corps. Malgré ses protestations, dues à la frilosité par ce matin frisquet mais aussi à cette pudeur qui resurgit parfois, je retire le drap et la couverture puis je remonte aussi haut que possible la chemise de nuit. D’instinct, sans vraiment se cacher cependant, elle s’est tournée sur le coté, comme pour éviter l’exposition par trop indécente et directe de sa chatte. Je me régale néanmoins de ses cuisses larges, de ses hanches épanouies et de la rondeur promises de ses fesses encore en partie cachées à ma vue. D’un saut je passe au dessus d’elle et vient coller mon corps au sien. Jambes contre jambes, mon torse sur son dos, mon sexe sur ses fesses. Ses jambes s’écartent très légèrement, mais c’est suffisant pour que ma queue se glisse dans le mystère qui lui est offert. Mais une fois encore il m’appartient de retarder l’inéluctable et m’éloignant d’elle, reprenant la position à genoux. Je fais glisser la chemise de nuit par la tête pour al voir enfin telle que je la veux, nue, à poil. Spectacle qui me fait chavirer. Le cul somptueux est maintenant exposé à mes yeux, impudent, majestueux, imposant, frémissant. Il appelle la caresse, il appelle le sexe, il appelle la pénétration. Mes mains caressent le dos, des épaules aux fesses, s’attardant bien sur sur celles-ci. D’un mouvement imperceptible et inconscient, elle les tend, les soulève, les approche, les offre. Les deux hémisphères semblent s’entrouvrir, respirer, aspirer, respirer. Elle a replié la jambe droite, contribuant ainsi à ouvrir encore un peu plus le passage, et donc à montrer un peu plus de ce lieu des secrets. Il me suffit d’intensifier un peu les mouvements de rotation de mes mains sur ses fesses pour l’ouvrir encore un peu plus et découvrir le petit trou caché qui disparait presque aussitôt quand elle serre les fesses. Une petite claque sèche lui rappelle que je ne veux pas qu’elle se refuse, qu’elle dissimule, qu’elle cache. Et un geste plus appuyé force cette fois les deux hémisphères lunaires à s’écarter, laissant à nouveau apparaître l’œillet brunâtre. Cette fois, plus rien ne pourrait l’empêcher, mon dard s’introduit entre ses cuisses. Un instant, je cherche à la guider de la main, mais elle m’en empêche dans un souffle : « laisse le chercher … » J’affermis ma position et, à petit coups de reins prudent, je pousse mon sexe plus avant. C’est elle qui, par les mouvements de son bassin, facilite le voyage initiatique de ce vit en elle. Je sens une résistance au bout de ma queue, elle cède cependant trop facilement pour que ce soit son cul. J’avance un peu les reins, et pousse ainsi le sexe dans cette douce résistance. Il est enserré, prisonnier, mais en même temps attiré par ce goulot humide. Elle a entrepris de rouler lentement des hanches et la vue de son cul qui tourne ainsi, associée à la lente aspiration de mon sexe par le sien font céder toutes mes résistances. Je la bourre maintenant à grand coups de reins. Elle chavire. Elle se cambre. Elle réclame : « donne moi tout ! Défonce-moi ! »J’ai saisi ses hanches à pleines mains, je m’y accroche. Mes coups de boutoirs sont désordonnés, presque violents. Je m’agrippe pour ne pas sortir quand elle s’agite. A chaque nouvel assaut mon ventre vient claquer bruyamment sur ses fesses. Je sens le plaisir monter, m’emplir, m’envahir, puis déborder. Je poursuis les mouvements de va et vient, malgré la déturgesence inévitable. Elle demande, réclame, exige presque : « encore, j’en veux encore ». Je l’écrase sous le poids de cheval mort d’après le plaisir.