lundi 20 novembre 2017

Entretien avec Lucie, ou mémoires d'une femme fessée

Contrairement aux habitudes, le texte qui suit n'est pas une fiction inventée par Alain ELoge. Il est élaboré à partir des confidences d'une dame qui a aujourd'hui plus de 60 ans, et qui nous raconte, dans ce premier épisode, comment elle a découvert la fessée quand elle était jeune fille.
Si les prénoms ont été modifiés, les révélations de "Lucie" sont reproduites telles qu'elle les a faites...
Seules les questions ont été ajoutées.

 

 

 

Entretien avec Lucie

1er Partie : « En Angleterre en 1969 »


A l’école en Angleterre


Aujourd’hui, je reçois Lucie qui m’explique ce que la fessée représente pour elle.

Bonjour,Lucie, pouvez vous vous présenter rapidement ? J’aimerais que vous le fassiez ... sans rien
nous cacher.

«Je m’appelle Lucie, j’ai 63 ans mariée, une fille. . Je suis intéressée par la fessée depuis ce séjour que je raconte et aujourd’hui encore il m’arrive de devoir confier mes fesses à mon mari pour leur donner un peu de couleur»

Vous êtes concernée le sujet qui nous concerne depuis longtemps ?

« Effectivement j’ai découvert la fessée au cours d’un séjour linguistique en 1969. Mes parents m’avaient envoyé pour deux mois en Angleterre pour remonter mes notes d’anglais because, le bac l’année suivante. Moi qui pensais passer de bonnes vacances à la plage et me disant que finalement il y aurait plus de français que d’anglais..... . Le problème était que mes parents avaient choisi la formule ‘’immersion’’ et j’étais la seule française dans ce village non loin de Plymouth en Cornouaille. J’étais chez un '' typically english couple '' avec 2 enfants Ann 16 ans et Andrew 12 ans. Mary la mère et Henry le père. »

Et c’est donc en Angleterre que vous avez découvert ... « l’Education Anglaise » ?

« Les quinze premiers jours je suis allée au collège avec Ann car leurs vacances ne
commençaient que vers le 15 juillet. J’ai découvert l’uniforme classique porté dans ce collège privée de jeunes filles. Je n’ai pas découvert que ça et nous allons entrer rapidement dans le vif du sujet. Cela faisait quatre jours que j’étais en classe et la professeur de math a rendu un devoir et a appelé 2 élèves au tableau.
-
Vos devoirs sont identiques, qui a copié ?
-
...........
-
Qui a copié ?
Vous voulez aller toutes les deux chez la directrice ?
-
C’est moi Madame
-
Bien vous irez chez la directrice à 16h, quand à vous.…

Elle a pris l’autre élève, l’a penchée sous son bras, relevé sa jupe et ramené sa culotte vers la raie
des fesses et l’a fessée. Personne n’était surpris dans la classe... mis à part moi évidement. La fessée a durée 2 à 3 minutes sans interruption et très intense, ses fesses étaient bien rouges quand elle l’a lâchée.... Elle est retournée à sa place sans un mot et le cours a repris. C’était la première fois que je voyais quelqu’un recevoir une fessée, moi-même n’en ayant jamais reçue et je dois avouer que j’ai été très troublée.»

Qu’entendez-vous par « troublée »Lucie ?»
« Pour être tout à fait franche, en regardant cette fessée, j’ai senti une boule dans mon ventre et je me suis imaginée à la place de cette jeune fille. J’ai également senti une humidité naissance dans mon bas ventre »

Et votre condisciple anglaise, comment a-t-elle réagit ?

«A la fin des cours, à 16 heures sur le chemin de la maison j’ai demandé Ann :
« Ann, que va-t-il arrivée à la fille qui est allée chez la directrice ? »
- « Elle va avoir le droit à la tawse ou la cane sur le cheval. »

J’allais lui poser une autre question mais Mary nous attendait avec la voiture.»

Je comprends que vous n’ayez pas eu envie de parler de cela devant la maman, mais, par la suite,
vous avez eu de plus amples informations sur ce point ?

«En effet, j’ai appris que cette jeune fille avait été fessée par la directrice et avait reçu 12 coups de tawse sur le cheval.»
*

Si je comprends bien, lors de ce séjour outre Manche, c’est uniquement à l’école que vous avez
découvert les pratiques de nos voisins ?

« Non, pas seulement, à la maison aussi ! Ce qui était long, c’était les soirées car nous prenions le thé à 18 heures avec des sandwichs, après, c’était la télé ou les jeux de cartes puis vers 20 heures de nouveau du thé avec des sandwiches, des petits gâteaux. M Travis lisait son journal et Mary tricotait. Un soir où les enfants faisaient leurs devoirs et je lisais....un livre en français, j’entendis le mot spanking à la télé, je levais les yeux de mon livre, c’était un débat sur l’éducation dans les écoles et du maintient des châtiments corporels. Henry m’expliqua que devant la montée de l’incivilité, certains députés souhaitaient le maintien des châtiments corporels dans les écoles privées. Il précisa qu’il était pour et il ajouta que dans de nombreuses familles, les châtiments corporels étaient en vigueur aussi bien pour les enfants que pour la femme et en disant ceci, il fit un sourire à sa femme qui plongea sa tête dans son tricot....... Ajoutant qu’ils faisaient parti de ces familles. Je me suis posé la question de ce qu’il voulait dire. »

Et, là aussi, vous avez été « troublée » comme vous dites ?

« Quand je suis montée dans ma chambre j’étais tout aussi troublée qu’après la punition que j’avais vue en classe. Je constatais que ma culotte était mouillée mais j’ai cru avoir lâché quelques gouttes de pipi. IL faut que vous sachiez que j’ai fais toutes mes études dans une école religieuse tenue par des bonne sœurs et j’étais tout à fait ignorante de tout ce qui touchait à la sexualité. »

Revenons à l’école, si vous voulez bien, nous reparlerons de la famille ensuite.

« La semaine suivante, Ann a été surprise à discuter avec sa compagne de table et ni l’une ni l’autre n’ont su répéter ce que venait de dire la professeur. Celle-ci a écrit leur noms dans un coin du tableau et le cours à continué. A la fin de la pause du milieu de matinée, une femme qui tiens le rôle de surveillant général que nous avions en France, a ouvert la porte et a appelé Ann. Celle-ci l’a rejointe dans le couloir et nous avons entendu quelques minutes plus tard à 6 reprises un bruit sourd, là encore il n’y avait que moi qui ne savait pas ce qui se passait puis elle est revenue en classe en se frottant les fesses et les yeux rougis puis l’autre élève est sortie et a reçu la même punition »

Vous avez compris ce qui se passait alors dans le couloir ? Ann vous l’a expliqué ?

«Oui bien sur, l’élève devait baisser sa culotte, coincer sa jupe dans sa ceinture et se pencher en posant les mains sur le mur Et quand nous sommes rentrées à la maison, Ann a donné à sa mère un papier à signer.

« Tu le donneras à ton père »
« Ho ! Maman »
« Vas dans ta chambre ! »

Je l’ai rejointe et elle m’a montré ses fesses, on voyait nettement les 6 impacts ».

J’aimerais que vous précisiez, Lucie. Que voulez vous dire par « impacts » ?

«On voyait très nettement les marquessur les fesses Et d’ailleurs, Quand M Travis est rentré, Ann est tout de suite allé le voir et lui a donné le papier à signer. Il lui a demandé à voir ses fesses et a considéré que la punition était suffisante. »

Dans une famille anglaise.

La fessée de Andrew

Donc vous avez compris que, s’il en avaitété autrement, Ann aurait pu aussi recevoir une punition chez elle, et donc vous avez eu la confirmation que celle-ci faisait aussi partie de la vie familiale ?

« Oui quelques jours plus tard, Andrew a mal répondu a sa mère et a reçu une fessée par son père mains dans le dos et pyjama et slip aux chevilles il a du s’excuser auprès de ses parents avant de se mettre « in the corner » pendant 10 minutes. Punition anodine mais, ne riez pas, pour la première fois de ma vie j’ai vu un sexe d’homme enfin disons d’ado. Ann qui a assisté à la punition m’a dit qu’elle était également punie de cette manière.

La fessée de Ann

Et je pus m’en rendre compte assez rapidement et pour le même motif que son frère. Nous venions de finir de déjeuner et M Travis dit à Ann d’aller au salon :

« Come on girl ! »

Ann tête baissée écoutait son père la réprimander pour avoir été insolente avec sa mère. Andrews, Mary et moi les avions suivis au salon. Ann essaya de se défendre mais son père lui intima l’ordre de se taire, je la vis mettre ses mains devant ses yeux et je compris qu’elle suppliait son père mais il ne céda pas. Je vis ses yeux s’embuer. Elle enleva sa jupe. Elle se retourna vers son père, le suppliant du regard puis elle prit l’élastique de son slip et enleva celui-ci. Elle commençait à pleurer, Mary la fit mettre à genoux sur une table basse, le front contre la table. Son père vint derrière elle et lui fouetta les fesses avec, je l’appris ensuite, une tawse. Elle en reçu 12 coups. Elle se releva et leur demanda pardon et alla se mettre face au mur mains sur la tête. Une demi-heure plus tard. Mary emmena les enfants chez leurs grands parents mais je ne pus y aller car le grand père n’aimait pas les français. Je n’ai pas vraiment bien compris pourquoi mais cela datait de la guerre. »

Attendez, Lucie, vous allez trop vite ! D’abord, si je vous comprends bien, c’était toujours le père
qui se chargeait de donner les fessées ?

«Non il arrivait que ce soit Mary, Mme Travis qui punisse Ann ou Andrew mais le plus
souvent c’était M Travis»

Et vous parlez de « tawse » ... vous savez que, pour les lecteurs français ... c’est chose inconnue !
Qu’est-ce que c’est ? Vous l’aviez déjà vue avant que le papa ne l’utilise sur les fesses de sa fille ?

« Une twase, c’est comment dire comme une ceinture denviron 8cm de large coupée par le milieu jusqu’au ¾ le reste servant de poignée. La longueur étant d’environ 40 à 50 cm»

Et donc elle servait pour les enfants ?

« Pas seulement ... »

Comment cela ?

La fessée de Mary

« Pendant que Ann et Andrew étaient partie chez leurs grand parents, j’ai décidé de faire un tour de en vélo. Je roulais quand je me suis aperçue que j’avais oublié mon porte monnaie. J’ai fais demi tour et arrivée à la maison, dans le jardin j’ai entendu des éclats de voie venant de la buanderie. M Travis réprimandait sa femme et celle-ci comme Ann tout à l’heure écoutait sagement son mari. Il reconnaissait qu’Ann méritait la punition qu’elle avait reçue mais qu’elle ne devait pas s’emporter quand elle parlait à sa fille. De plus il lui reprochait de s’être énervé pour un motif insignifiant, que ce n’était pas la première fois qu’il lui disait. Il lui demanda si elle avait bien compris ses reproches, elle hocha la tête. C’est à ce moment là que me revint cette phrase qu’il avait dit quand nous regardions la télé l’autre soir, ’’ il arrivait que le mari punisse sa femme’’. Il n’allait quand même pas la punir. Il prit un gros billot de bois dont il se servait pour couper du bois le fit glisser au milieu de la pièce. Pendant ce temps-
là Mary déboutonna sa blouse et je la vis apparaître en sous-vêtements. Quelle belle femme !! »

Une maman anglaise en sous-vêtements, vous comprenez bien que cela mérite quelques précisions,
Lucie surtout si en plus elle est belle ! Dites m’en plus sur cette femme, et bien sûr sur se
s dessous, je suis très intéressé par la découverte de ceux-ci, vous vous en doutez !

«Vous êtes coquin, Mary était une belle femme, 1m75 et je dirais dans les 60kg. Cheveux assez longs noirs. Une belle poitrine bien ferme malgré ses deux naissances et une magnifique paire de fesses.. Niveau sous vêtement c’était plutôt très simple une culotte en coton style grand mère et un soutien gorge classique également»

Il ne faut pas être grand clerc pour deviner que cette culotte ne resta pas en place …

«En effet, vous devinez juste ! Elle posa une serviette sur le billot et se coucha dessus. Il prit la tawse dont il s'était servi pour Ann, lui enleva sa culotte, leva la tawse, attendît quelques secondes et frappa sèchement le derrière ainsi exposé avec petit sourire. Mary fit un bond, la douleur devait lui brûler les fesses. Un deuxième coup fut suivi par un troisième aussi sévère. La douleur était si intense maintenant que Mary se tordait dans tous les sens du moins elle envoyait ses jambes en l’air. Les larmes apparurent sur son visage car les coups tombaient régulièrement couvrant toute la surface du postérieur qui prenait une couleur de plus en plus rouge vif. Maintenant Mary suppliait son mari d’arrêter mais en vain. Des larmes coulaient sur son visage. Il fouettait plus rapidement redoublant les pleurs, et gémissements de la punie. Je regardais la taswe décrire des arcs de cercle et s’abattre sur les fesses sur lesquelles des taches de couleur carmin apparaissaient.. Les cinglées sonnaient avec un bruit clair sur les fesses nues qui tressautaient. J'étais absolument fascinée, je n'arrivais pas à détacher mes yeux du spectacle offert sans s’en douter par Mary. Il posa la tawse et lui donna une dizaine de claques. Elle ne put empêcher les mouvements spasmodiques de ses jambes qui se sont mises à ruer, s'écarter, s'ouvrir, me faisant découvrir ses trésors »

« Ses trésors ! » Quel joli mot vous employez,Lucie. Mais, encore une fois, vous vous doutez bien
que je vais vous demander ... de préciser !

« On voyait très nettement sa fente ouverte à travers les poils ainsi que son petit trou ridé»

Je sais que je vous en demande beaucoup, Lucie, mais après tout, vous avez commencé, il vous faut
aller au bout ... Je suppose que l’intimité de cette adulte était, comment dire ? plus « garnie » que la vôtre de jeune fille ?

«Ho! vous êtes vraiment coquin, effectivement sa toison était très fournie et d’une couleur
noire et bien mouillée à la fin de la punition.»

Et ses suites

C’était la première fois que vous découvriez ainsi lintimité d’une femme adulte ? Il ne vous restait
plus qu’à découvrir aussi celle d’un homme pour que votre éducation soit complète !

« Justement ... »

Justement quoi ?Vous n’allez pas me dire que …

« Eh bien si... Anthony lâcha sa femme, recula pour admirer son œuvre. IL fit relever sa femme lui fit poser ses mains à plat sur le billot. Il déboutonna son pantalon, sortit son sexe. J’ai faillit pousser un cri devant ce que je voyais, rien à voir avec celui d’Andrew. »

Je m’en doute ! Mais, encore une fois,vous comprenez bien que je vais vous demander. Je me trompe ?

«J’ai un peu honte d’écrire cela. C’était la première fois que je voyais cela, il faisait environ une bonne vingtaine de cm mais surtout je l’ai trouvé très gros, il faut dire que je n’avais pas à l’époque d’autre référence qu’Andrew et M Travis ....Il s’avança et pénétra sa femme d’un coup. Elle poussa des petits cris que je prenais pour des cris de douleurs, évidement ce n’était pas cela, encore qu’à chaque fois que son ventre touchait ses fesses meurtries...... Il poussa un cri puis se retira. IL sortit son mouchoir, essuya son pénis, elle se releva, tenant ses fesses dans ses mains et j’entendis son mari lui annoncer que si cela se reproduisait il servirait de la cane et la punition aurait lieudevant Ann. Il se rhabilla et sortit de la buanderie. Je n’eus que le temps de me baisser dans un buisson. Mary remis sa blouse mais pas sa culotte et sortit à son tour en se frottant les fesses. Je dois avouer que je n’en revenais pas de ce que je venaisde voir »

Et ... la vôtre d’intimité .., elle était en quel état devant ce spectacle ?

« La mienne était bien mouillée et je dois l’avouer, mes doigts également.»

Ainsi, vous avez découvert à la fois ... les choses de la vie, et la discipline telle que la
conçoivent nos amis anglais. Mais, fort heureusement, seulement « de visu », si je comprends bien.

« Non, j’ai pu par la suite découvrir la réalité de cette discipline ...»

Vous voulez dire que ... vous aussi vous avez été ... ?

Les fessées de Lucie

Sur le « cheval »

« Oui, J’en viens à ma première fessée (mais puis je vraiment appeler cela une fessée ? ) qui m’a été donné par Ann. Le dernier jour de cours, il était d’usage que les élèves rangent et nettoient le collège. Nous passions le balais dans le couloir et je vis sur une porte une pancarte ‘’Punishment room’’.
-
« Ann, c’est là que... »
-
« Oui quand on est envoyé chez la directrice, on s’assoie sur ce banc et on attend. Tu veux visiter. »
- « Tu crois qu’on peut ? Oui allez ,viens».

Nous sommes entrées mais j’ai senti une appréhension pour Ann. Il y avait juste un bureau une chaise et au milieu de la pièce ce qu’elle appela le cheval. Il fallait avoir beaucoup d’imagination. En fait c’était un bloc rectangulaire en bois mais dont le haut était un plan incliné. Il y avait a ussi une armoire, qu’elle ouvrit, avec 3 cannes de différentes grosseurs, elle m’expliqua que c’était suivant l’âge de la punie. IL y avait aussi 3 tawse et 3 paddle. Je n’ai pas besoin de vous expliquer à quoi tout cela sert

Pas vraiment, en effet ! Par contre, comme vous m’avez décrit la tawse, j’aimerais assez que vous
me décriviez ces cannes et ces paddel.

«Le paddle c’est un objet en bois, un peu en forme de pelle à tarte et la cane, est un objet
très flexible en bambou ou en bois, il y avait3 tailles utilisée suivant l’âge de la punie …

Je comprends que vous ayez été étonnée de découvrir ces choses ...d’autant plus que vous étiez là
un peu en fraude ?

« Oui et justement c’est à ce moment que la porte s’est ouverte-
« Je peux savoir ce que vous faite là ? »
-
« Je montais à Odile ...... »
-
« Cette salle que vous connaissez bien ! »
-
« Oui Madame » (dit elle en rougissant)
-
« Profitez-en pour donner un coup de balais et je vérifierais si c’est bien fait sinon votre amie pourra vraiment découvrir notre cheval.... »
-
« Oui Madame. »
Je peux te dire que nous avons bien passé le balai. Elle est venue vérifier et cela lui allait,
heureusement... On est venue la chercher. Elle est partie. Nous allions sortir de la salle quand Ann
me prit par la main.
-
« Tu veux l’essayer ? »
-
« Quoi donc ? »
-
« Ben le cheval »
-
« Non tu es folle ! »
-
« Tu en meures d’envie ! » (elle n’avait pas tort)
-
« Ben ...heu »
-
« Allez sort et va t’asseoir sur le banc »

Elle m’a fait patienter 10 minutes puis m’a fait entrer. M’a fait assoir sur la chaise et elle est passée derrière le bureau.

« Lucie, vous avez encore bavardé en classe, je vous avais prévenue mais comme
c’est la première fois vous n’aurez qu’une fessée. »
-
« Ho je vous en prie »
-
Taisez-vous et allez vous mettre sur le cheval »

Je me suis levée et je dois t’avouer que là ..... Je savais pourtant que c’était un jeu mais j’ai senti une boule dans mon ventre. Il y avait un petit cube pour se hisser dessus. Du fait du plan incliné, j’avais la tète plus basse que mes fesses. Elle a prit mes mains et les a mise dans des genres de menottes en cuir. Tu ne peux pas imaginer dans quel état j’étais et en plus une idée me vint « et si la directrice revenait »-

« Bien maintenant que tu es bien installée... »(elle a enlevé le petit cube ce qui fait
que mes jambes ne touchaient plus le sol puis a dégrafé ma jupe et l’a enlevée)
-
« Non s’il te plait »
-
« Tu ne crois pas que tu va la recevoir sur ta jupe ! »

La première claque est tombée sur ma culotte, puis une seconde et une troisième, finalement cela ne faisait pas trop mal. Elle m’en a donné une dizaine puis a pris l’élastique de ma culotte et j’ai senti celle-
ci descendre le long de mes jambes.-

« Non pas ça»
-
« Mais si, maintenant tu vas recevoir 20 claques sur tes fesses toutes nues »
-
« Ann je ne veux pas »

Vous ne vouliez « vraiment » pas, Lucie ? Dites moi tout !

«Franchement j’étais partagé mais je pense que je voulais plus la recevoir que ne pas la
recevoir»

Vous avez donc enfin découvert une « vraie » fessée ?

« Elle a claqué mes fesses, cela faisait un peu plus mal mais c’était très supportable. Après quoi elle a remis le petit cube et m’a détachée. Je suis descendue du cheval et elle m’a fait mettre dos au mur mains sur la tête »
.
Face à elle ? Vous n’étiez pas « nez au mur » comme quand les enfants allient «in the corner », donc
votre amie voyait aussi ...dites moi les choses clairement, Lucie, sinon …

« Eh bien oui, elle voyait mon intimité, j’ai mis mes mains devant mais , elle m’a dit de les mettre dans mon dos.Et elle m’avoua :

« pour moi c’est le moment le plus dur, tu vois quand la punition est terminée tu dois rester ici et assister aux autres punitions mais sans avoir le droit de te rhabiller. Il vaut mieux passer dans les dernières tu comprends pourquoi.»
-
« Oui tu as raison j’ai vraiment honte d’être ainsi devant toi comme toi surement quand tes parents t’ont punie l’autre jour devant Andrews et moi. »
-
« Oui tout à fait. »

Je me suis rhabillée et nous sommes sorties de la pièce. Etait ce vraiment une fessée, honnêtement
je ne pense pas plutôt un jeu, Mais rien que de vous l’écrire, je suis troublée. Pour moi c’est ma première fessée.


Encore une fois, Lucie, vous en dîtes trop ou plutôt pas assez ! Je vais finir par croire que vous
cherchez vraiment une fessée ! Comment se manifestait votre trouble ?

« Je venais de recevoir une fessée et j’étais surtout troublée car si cela avait été une vraie punition 4 ou 5 personnes aurait assisté à ma punition, rien que d’y penser...
»
C’est mieux comme cela ! Mais vous m’avez dit « ma première fessée », dois-je
comprendre ...qu’il y en a eu d’autres durant votre séjour ?

A disgusting little French

« Eh bien oui en fait j’en ai reçu deux autres qui n’avait rien à voir avec celle d’Ann.
Comme Andrew et Ann, je donnais un coup de main pour les travaux de la maison et Mary m’avait demandé d’étendre le linge de couleur pour qu’elle puisse faire la machine de blanc. J’étais dans le jardin quand elle m’appela. J’allais dans la buanderie. Elle était en train de remplir la machine

« C’est bien tes culottes Lucie ? »
-
« Oui Mary, pourquoi ? »
-
« Parce que tu es une dégoûtante petite française ! »
-
« Mais.... »

« Regarde... »

Elle me fit voir plusieurs culottes, il faut que je te dise que j’avais pris l’habitude de me caresser mais a travers ma culotte, pourquoi je ne sais pas.
-
« Alors.... ? »

« Je suis désolée... »
-
« Mais comment fais tu cela ? »
-
« Ben...ben... ». (j’ai mis mes mains devant ma figure et je me suis mise à pleurer)
-
« Chut, chut ,calmes toi, je me doute tu te caresses comme le font toutes les filles »
-
« Oui Mary »
-
« Mais je ne comprends pas comment tu arrives à ce qu’elles soient aussi tachées. Montre-
moi commenttu fais »
-
« Ho !!!! non !!! j’aurais trop honte » (elle m’a prise par l’oreille)
-
« Je t’ai posé une question ! »

Je lui ai montrée et lui ai avoué que je le faisais plusieurs fois par jour.-

« Tu es vraiment une cochonne, demain au lieu faire du bateau tu me feras des exercices et je ne veux plus voir des culottes dans cet état ! »
-
« Ho ! non ! Mary j’ai trop envie de faire du bateau. »
-
« Il fallait y penser avant et puis donne moi ta culotte dans l’état où elle est »

J’ai enlevé ma culotte et lui ai tendu. Je suis repartie fesses nues sous ma jupe vers la porte du jardin, je me suis arrêtée, je suis revenue vers elle.
-
« Mary, viens »

Je l’ai prise par la main, amené vers le billot de bois sur lequel s’était assis M Travis
-
« Assieds toi et écoutes moi. Je suis vraiment désolée, je reconnais que je me suis mal conduite et que je mérite d’être punie mais me punir de la sortie en bateau c’est trop sévère et en plus il va falloir que tu expliques à M Travis, Ann et Andrew pour quoi je ne viens pas avec vous alors.... (je me suis allongée sur ses genoux) oui je sais mes parents ne vous ont pas donné l’autorisation mais personne à part nous deux ne le saura, ce sera notre secret. »
-
« Mais tu veux que..... »
-
« Oui donne moi une fessée comme si c’était Ann ou Andrew. »
-
« Mais tu n’as pas l’habitude, alors une petite fessée. »
-
« Non mes parents m’ont envoyé ici pour que j’apprenne l’anglais en mode immersion, donc je dois apprendre vos coutume, je veux la même fessée que celle que tu aurais donné à Ann »
-
« Bon puisque tu le veux mais tu ne viendras pas te plaindre après ! »

C’était vraiment à cause du bateau ?

« Franchement oui car j’adore le bateau. En plus ils avaient un bateau à voile magnifique et je vais être honnête, j’avais quand même un peu peur. Le sort en était jeté, je serrais les fesses attendant la première claque. Elle arriva sur ma jupe, puis une autre et une autre. Elle les claqua très fort, La chaleur montait de plus en plus, embrassant mes rondeurs, c’est insupportable, je suppliais, pleurais à gros sanglots mais Mary tel un vrai métronome claquait et claquait, je me lançais dans une danse des jambes frénétique, celles-ci s’ouvraient et se refermaient Quelle folie j’avais eu de forcer le destin, je m’en voulais, Elle s’arrêta, ouf c’était fini. Elle releva ma jupe et passa sa main sur mes fesses.
-
« Tu voulais avoir ce que c’était qu’une fessée.... »
-
« Oui Mary j’ai compris »
-
« Mais non maintenant va commencer ta fessée car une fessée se donne toujours sur les fesses nues »
-
« Nooooon !!!!! s’il te plait j’ai compris la leçon aiiiiiiie !!!!!!! »

Soyez franche, Lucie, vous espériez vraiment qu’elle renonce à cette fessée cul nu ?

«Je vais être franche, à ce moment là, oui j’espérais qu’elle allait arrêter car j’avais vraiment mal aux fesses, cela n’avait rien à voir avec les quelques claques d’Ann. La fessée repris mais directement sur mes fesses nues. Maintenant je poussais de vrais cris tellement j’avais mal. Malgré ceux-ci, Mary continuait et me serrait bien contre elle pour pas que je lui échappe et elle finit la fessée par une série très forte, donnant ses coups bien détachés les uns des autres mais en prenant tout son élan pour chaque claque qui me faisait pousser un cri déchirant à chaque fois que sa main aplatissait mes fesses. Elle me faisait payer le fait de ne pas m’avoir fessée plus tôt. Elle me relâcha et j’entrepris de faire une danse sur place en frottant mes fesses. Elles étaient brûlantes.-

« Maintenant tu sais ce que c’est qu’une fessée et j’espère que c’est la dernière que je te donnerais, viens (elle m’a pris dans ses bras) tu regrettes ?»
-
« Un petit peu mais je vais pouvoir faire du bateau avec vous ! »
-
« Tes fesses te feront un peu mal mais tu verras ce sera supportable. Viens je vais te mettre de la pommade ».

Nous sommes montées dans ma chambre et elle m’a mis de la pommade.
-
« Tu es vraiment une petite cochonne, regarde moi comme tu mouilles ! »
-
« Tais toi j’ai trop honte ! »

« Je te laisse,je vais finir la lessive mais surtout silence M Travis ne doit rien savoir. »
-
« Promis ! »

Et vous avez tenu promesse ? Vous ne l’avez raconté à personne ?
«
Ben en fait, je ne vous dis rien vous le saurez plus tard.
Elle est partie, je me suis caressée mais directement ce qui était beaucoup plus agréable et le lendemain nous avons passé la journée sur le bateau, mes fesses me faisaient encore un peu mal mais c’était supportable.»

Dites-moi, Lucie, cette habitude de « petite cochonne » pour parler comme Mary, vous ... »

Je suis comme toutes les femmes il m’arrive de caresser mon petit bouton à la main ou avec un objet vibrant encore aujourd’hui.
»
En tout cas, si je comprends bien, vous avez donc reçu deux fessées durant ce séjour vraiment très « éducatif », et les deux fois par des femmes ?

Fessées pour Lucie et Mary

« J’ai encore reçu une autre fessée pendant mon séjour, je vais vous la raconter......
Une dizaine de jour avant mon départ, j’étais dans la cuisine avec Mary, M Travis venait de partir travailler, je portais un long teeshirt, je ne me rappelle plus ce que je lui disais mais elle m’a attrapé mise sous son bras a relevé mon tee shirt.
-
« Mais tu n’as pas de culotte, tu mériterais que je te redonne une fessée comme l’autre jour
»
-
« J’ai même pas eu mal»
-
« Tu vas voir! »

C’est à ce moment là que nous avons entendu la voix de M Travis:
-
« Qu’est ce que ça veut dire »
-
« Rien Darling, nous jouons »
-
« ne me prenez pas pour un idiot »
-
« mais non »

« Lucie, avez-vous été fessée par Mme Travis ? »
-
« Heu ...ben....oui mais c’est moi qui l’ai voulut et je le méritais (je n’avais qu’une peur
c’est qu’il me demande la raison) j’ai même du insister en lui disant que comme je devais découvrir vos coutumes.......»
-
« Ce n’est pas une raison, Mary, vous vous rende compte, si l’organisme l’apprend, pour qui allons nous passer et surtout si elle en parle à ses parents »
-
« Je ne dirais rien j’aurais trop honte »
-
« Shut up girl » « Mary je vous promets que vos fesses vont s’en souvenir »
-
« M Travis je vous en prie ne lui donnez pas la cane comme vous lui avais promis »

Il y eu un moment de silence ils se regardèrent puis M Travis s’avança vers moi
-
« Qui vous a dit cela ? »
-
« Mary je pense »

« no !!!!!je n’ai jamais parlé de ça avec toi !»
-
« Comment savez vous que j’ai promis la cane à Mme Travis?»

J’ai éclaté en sanglot et j’ai expliqué ce que j’avais vu dans la buanderie. Plus je parlais et plus M Travis devenait rouge. Quand j’ai terminé, il m’a regardé les mains sur les hanches.
-
« vous êtes une dégoûtante petite française, vous devriez avoir honte alors que nous vous
avons traité comme notre fille »
-
« Je suis désolée »
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« Vous allez l’être encore plus, vous venez de me dire que vous vouliez connaître nos coutumes, hé bien vous allez les apprendre à vos dépends, je vais vous punir comme si vous étiez ma fille ainsi vous saurez comment nous punissons en Angleterre les petites filles qui se comportent mal »
Il m’a prise par le bras m’a couché sur ses genoux, a relevé mon tee shirt-

« En plus ça se promène les fesses à l’air, ce n’est pas la peine de les serrer, croyez moi, vous allez les ouvrir et savoir ce que c’est qu’un good british spanking »

Il m’a bien installée, le tee shirt tombant au niveau de ma figure. J'étaishonteuse et très humiliée de me retrouver sur les genoux de cet homme et j’avais peur car je me doutais que la fessée que j’allais recevoir, j’allais m’en souvenir très très longtemps. Les claques commencèrent à tomber, il allait d'une fesse à l'autre, espaçant les claques ce qui était encore plus dur à supporter car on attend et on ne sait pas quand elle va tomber puis il accéléra et les claques furent bien plus violentes et surtout certaines tombaient sur le haut des cuisses. Je commençais à remuer les jambes pour éviter les coups, mais la pression de sa main gauche sur ma taille se fit plus intense. Mes fesses me brûlaient, il frappait de plus en plus fort, je sentais les larmes me venir mais j’essayais de ne pas supplier puis il s’arrêta. J’essayais de reprendre mon souffle. Le crépitement des claques repris se mêlant à mes sanglots, il me tenait fermement pour me maintenir sur ses genoux, car je jetais mes jambes en l’air, sans pudeur, leur laissant voir toute mon intimité. . Une avalanche de claques rougissaient mes fesses sans défense. J’avais l’impression que mes fesses étaient assises sur une plaque chauffante. Il me repositionna, ce qui eut pour effet de m’obliger à écarter les jambes et je sentais mon clitoris frotter sur son genou et mon sexe devenait de plus en plus mouillé, ce qui augmentait encore ma honte car j’étais sûr qu’ils se rendaient compte de cela. Je pleurais à chaudes larmes, de douleur et de honte d’être humiliée ainsi à mon âge devant eux. Mais quelle fessée, jamais je n’aurais imaginé cela. Je découvrais la différence entre la fessée d'une femme et d'un homme Tout d’un coup, il n’y eu plus un bruit dans le salon mis à part mes pleurs. Mon tee-shirt gisait devant moi, il me fit lever, j’étais entièrement nue devant eux. Je sautais sur place tellement j’avais mal. Je ne me rendais même pas compte que j’étais nue tellement la douleur prenait le pas sur tout le reste.Il m’a prise par le bras, m’a fait mettre à genoux sur la table basse

« Bottom up, open your legs »

J’attendais anxieuse, qu’allait il faire et tout d’un coup une douleur fulgurante, je n’arrivais plus à respirer, je me suis levée d’un bond en criant. Il tenait à la main la fameuse canne. Je frottais mes fesses en sanglotant et en trépignant sur place.
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« Voila maintenant vous savez ce que c’est que la canne et dites vous que si cela avait été
Ann elle en aurait reçu 6 coups. Marry take off your clothes »
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« Henry pas devant elle »
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« Si cela vous apprendra, ne m’obligez pas me répéter »

Mary a déboutonné sa blouse, l’a pliée et posée sur une chaise, elle a enlevé son chemisier et sa jupe qui ont rejoint la blouse, elle a regardé son mari les yeux l’implorant de ne pas avoir à enlever le reste. Elle a dégrafé son soutien gorge puis a enlevé sa culotte, elle était entièrement nue. Il lui a fait prendre la même position que moi sur la table basse. Quand je l’ai vu ainsi les genoux écartés les fesses en l’air, je me suis imaginée dans la même position quelques minutes plus tôt. Quelle honte, on voyait sa fente ouverte et j’apercevais même son petit bouton. M Travis s’est approché d’elle la cane à la main.
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« Vous les comptez et pour vous apprendre ce sera 12 coups »
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« Henry please »
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« Silence »

Mary a attrapé le bord de la table et j’ai vu ses doigts se crisper. Le premier coup et arrivé et une ligne rouge s’est imprimée sur ses fesses, elle a dit d’une petite voix « un » puis onze fois la canne s’est abattue sur ses fesses faisant 11 traits se croisant. Elle a compté les 12 coups sans qu’un autre son sorte de sa bouche. Je dois avouer que j’étais admirative devant tant de stoïcisme. Elle s’est relevée et a remercié son mari puis celui-ci a remis sa veste et est sorti de la maison, nous étions là toutes les deux nues au milieu du salon et nous nous sommes mise à pleurer.
Elle a mis de la pommade sur mes fesses et moi sur les siennes, les dernières traces de ma punition sont partie 2 jours avant mon départ. Jamais je n’ai parlé de cette punition à mes parents.

Une autre histoire ...


Souvent après un séjour linguistique, on continue à correspondre avec le jeune de son âge. Moi j’ai correspondu avec Mary jusqu’à son décès il y a 4 ans, par lettre puis par internet au minimum une fois par mois. Nous nous sommes revues à de très nombreuses reprises car ils ont acheté une maison
à Royan et quand ils y allaient, ils passaient toujours à la maison. Si la fessée est revenue dans ma vie plusieurs années plus tard c’est à cause d’eux ou plutôt grâce à eux mais cela c’est une autre histoire.