lundi 22 janvier 2018

Entretiens avec Lucie Cinquième partie

Entetiens avec Lucie
Cinquième partie

En complément des entretiens, Lucie nous a fait parvenir quelques témoignages écrits de ses découvertes. ….

Témoignages écrits

« Philippe »

Bonjour
Voici donc un chapitre que j’appellerai Philippe

Au temps du minitel ...

Pour fêter l’anniversaire de ma première fessée par Thomas, il y en a bien qui fête leur 1re rencontre, moi c’est celle de sa main avec mes fesses, nous voulions quelque chose de particulier. Sur le minitel 3614 fessées on annonçait une soirée sur Paris. Nous avons donc décidé d’y aller. Quelle déception, il y avait 80% d’hommes, du coup après avoir bu un verre nous sommes partis et là sur le trottoir nous discutions de ce que nous allions faire de notre soirée quand nous avons été abordés par un couple qui sortait aussi du même endroit aussi déçu que nous. Cette rencontre va changer toute la vision que nous avions de la fessée mais bien d’autres choses également.
- Excusez-nous mais vous êtes déçu aussi -
Oui, nous avions déjà assisté à ce genre de soirée mais là il aurait dû préciser que c’était uniquement pour des hommes.
- En plus nous venons de province -
Que diriez-vous de venir prendre un verre chez moi
- Après tout pourquoi pas, Thomas, ma femme Lucie
- Enchanté, Philippe, Chloé ma soumise

« Ma soumise »

Nous nous sommes regardé avec Thomas, c’était la première fois que l’on nous présentait quelqu’un comme une soumise et a vrai dire nous ne savions pas vraiment ce que cela voulait dire. Nous l’avons suivi jusqu’à Neuilly où il habite un hôtel particulier de 3 étages. À l'époque il avait une bonne quarantaine d’années, nous n’avons jamais su son âge, très chic, costume d’un grand couturier et elle fluette, 26 ans elle portait une minijupe super-courte et un bustier noir Il nous a proposé du champagne et la discussion a démarré sur le sujet qui nous intéresse. Nous leur avons expliqué nos petits jeux de fessée, l’achat du martinet, mon séjour en Angleterre. Nous avons ainsi discuté pendant une heure.
Je vois, évidemment nous avons dépassé ce stade, nous avons des jeux ou plutôt je devrais dire un mode de vie autour de la domination soumission mais ne vous affolez pas, Chloé n’est pas mon esclave, elle est libre de sortir, de découcher mais elle doit m’en informer à l’avance. Quand nous sommes ensemble, elle doit m’appeler Maître et m’obéir en tout point sous peine de punitions, n’est ce pas Chloé
- Oui Maître.
Cela me faisait tout drôle d’entendre cela, je ne me voyais pas vivre cela avec Thomas
- Quand nous nous sommes connus, Chloé en était au même point que vous mais cela ne veut pas dire que vous deviendrez comme elle est dès maintenant je peux vous dire sur le peu que je sais de vous que vous n’avez pas l’état d’esprit à devenir une soumise, je vous vois plus comme jouissant de jeux de soumission softs.
Chloé était là mais ne disait pas un mot
- Excusez-moi mais je suppose que si Chloé ne dit rien c’est qu’elle n’en a pas le droit ?
Il lui suffit de me demander si elle peut se joindre à la conversation et je ne m’y oppose jamais, Chloé…
- Oui Maître je serais très heureuse de pouvoir donner mon avis car je vois bien que Madame a du mal à comprendre ce que je vis
- Tu peux expliquer -
Merci Maître. J’ai rencontré Maître Philippe lors … D’un accident de voiture, je rentrais d’une fête un peu arrosée et à un feu j’ai freiné trop tard et j’ai percuté l’arrière de son véhicule, nous sommes descendus de voiture, il m’a lancé un regard noir, je me suis liquéfiée, j’ai commencé à m’excuser et je suis tombée dans ses bras suite au choc et du fait que j’avais un peu bu. Ma voiture avait le radiateur crevé, du coup il m’a proposé de me ramener chez moi et de venir chez lui faire le constat le lendemain ce que j’ai fait. Je lui ai dit que j’étais étudiante, il m’a regardé me demandant si j’avais des cours aujourd’hui, je lui ai dit que oui mais que je n’y étais pas allée. Il a pris un air très sévère; -
Et je lui ai demandé ce qu’elle faisait à 2 heures du matin dehors légèrement ivre alors qu’elle avait cours le lendemain et qu’en plus finalement elle les avait séchés
- Je ne lui ai pas répondu, lui par contre m’a demandé qui payait mes études et ma voiture, évidement je lui ai dit mes parents, j’ai eu le droit à un sermon qu’il a terminé par si j’étais à leurs place c’est une bonne fessée que je vous donnerais. J’ai éludé en lui disant que mes parents avaient beaucoup d’argent et que du moment que je leur disais que je suivais les cours…….Il a réfléchi
- Bien sur en plus vous mentez à vos parents dont vous parlez avec un air méprisant alors qu’ils vous payent tout mais c’est leur problème, par contre la voiture c’est la mienne alors moi je vais le faire.
- Je l’ai regardé ne comprenant pas ce qu’il voulait dire et je me suis retrouvée sur ses genoux, je me suis débattue, je l’ai insulté d’autant plus qu’il avait relevé ma jupe et baissé ma culotte et j'ai reçu la première fessée de ma vie mais croyez nous avons fait beaucoup de choses ensemble depuis mais celle-là elle est gravée au fond de ma mémoire. Quand il m’a lâchée, je l’ai insultée, il n’a rien dit, m’a mise sous son bras et a repris la fessée
- Lui disant que je n’arrêterais que quand elle s’excuserait ce qui n’a pas tardé. Dés que je l’ai lâchée, elle a pris son sac et est partie oubliant son constat.
- Je suis revenue le voir une semaine après car l’assurance me réclamait le constat. Nous avons discuté, il voulait savoir si j’avais repris mes cours, je lui ai dit que oui et là il m’a dit que ce que j’avais besoin c’est de quelqu’un qui l’aide aussi bien dans ses cours que dans la vie, il m’a donc proposé d’être cette personne et d’y réfléchir. Que je vivrais chez lui mais qu’il serait très strict avec moi. Je me doutais de ce que cela voulait dire mais d’un autre coté je ne me sentais pas capable de réussir toute seule. J’ai finalement accepté et me suis installée chez lui en tout bien tout honneur, j’avais ma chambre. Je pouvais circuler à ma guise, il avait une splendide bibliothèque et j’adore lire, le paradis. Un mois plus tard environ il m’a demandé de venir le voir dans son bureau, devant lui il avait deux livres que j’avais pris dans sa bibliothèque, un de la collection orties blanches, la petite dactylo, l’autre histoire d’O.
- Je lui ai demandé si c’étais pour un de ses cours, tu te souviens de ta réponse
- J’ai répondu que j’aimais bien ce genre de sujet et que vous m’aviez dis que votre bibliothèque était disponible pour mes cours. Je reconnais que sur le coté il y avait des livres avec une double porte et une clef sur celle-ci et comme il ne m’avait pas interdit d’en prendre…… J’ai baissé la tête, Monsieur je suis désolée et si vous estimez devoir me punir je le comprendrais.
- J’ai été très surpris de sa réaction et je lui ai dit que je devais réfléchir. Le soir après le repas, je lui ai dit qu’elle méritait effectivement une punition je n’avais pas encore décidé laquelle, j’ai vu son visage s’éclairer, un sourire. Je lui ai demander s’il elle avait une idée
- Peut être la même punition que l’autre fois
- Soit plus précise
- Une fessée monsieur
- Bien viens ici, Je lui ai donné sa fessée, elle s’est relevé, à remis sa culotte, laissé tombé sa jupe, s’est essuyé les yeux puis m’a prise dans ses bras en me disant que c’était la première fois qu’on s’occupait vraiment d‘elle et que si je l’en pensais digne elle voudrait essayer de ressembler à O. Il est évident que ce n’était pas si simple. Je lui ai dit que si elle avait sa licence nous ferions un test. Je ne sais pas si c’est cette perspective mais elle a eu sa licence après quoi j’ai testé sa capacité à être ma soumise. Je dois avouer que je m’étais attaché à elle et que finalement, elle l’est devenue et depuis 6 ans nous sommes ensemble.
- Effectivement je ne me vois pas vivre ainsi, devoir demander pour pouvoir parler, avoir cette contrainte.

Limites

- Oui mais vous m’avez dit que vous aimeriez connaître vos limites encore qu’on ne les connaît jamais et je pense que c’est une des raisons qui vont fait venir a cette soirée
- La raison principale était de fêter cet anniversaire, ensuite faire une nouvelle expérience.
- Vous devez donc être très déçue car finalement vous n’avez pas été fessée.
- Je suis sur que quand nous serons rentrées chez nous Thomas me fêtera mon anniversaire.
- Vous pensiez que ce serait Thomas ou une autre personne de la soirée qui vous fesserait
- Je n’avais pas de préférence.
- Pourquoi voulez vous attendre d’être rentrés, la soirée n’est pas terminée.
- Vous voulez dire…….
- Pourquoi pas
- Vous avez tout à fait raison, finalement ma chérie, tu vas l’avoir ta fessée, Monsieur nous sommes chez vous donc si vous voulez…..
- Ce sera avec plaisir et après cette fessée vous aurez le droit à un cadeau puisque c’est un anniversaire. Cette fessée étant une fessée d’anniversaire ne doit pas être une simple fessée mais une fessée dont on se souvient bien après. Vous m’avez raconté vos fessées en Angleterre et celles avec Thomas, j’en déduis et vous me direz si je me trompe. Vous devez aimez les fessées qui vous font honte, humiliantes et ce soir vous allez avoir les deux puisque fessée par une personne que vous ne connaissiez pas il y a quelques heures et devant une jeune femme de votre âge mais aussi. Néanmoins je vais vous donner un privilège que même Chloé n’a pas quand je lui donne une fessée. Vous le savez c’est le fesseur qui décide de la durée et de la force de la fessée mais je vais vous permettre d’employer si vous le désirez un mot code qui si vous le dites me fera arrêter immédiatement cette fessée, ce mot est ...
- Je vous remercie pour cette attention mais vous me faites un peu peur
- La peur fait partie de la fessée, levez vous (l’ordre avait claqué comme un coup de fouet). Enlevez votre jupe, votre culotte aussi
J’ai fait ce qu’il demandait. Il m’a prise par la taille et m’a fait asseoir sur la table et avant que je ne comprenne, il a pris mes deux chevilles, a relevé mes jambes, a demandé à Chloé de tenir la droite et à Thomas de tenir la gauche puis de les écarter.
- Nooooon !!! je vous en prie j’ai trop honte non

Honte

- J’espère bien, je vous avais dit que cette fessée serait exceptionnelle, je pense que c’est une première pour vous, que vous n’avez jamais été fessée comme cela. Je comprends votre honte, nous montrer votre fente grande ouverte, poisseuse
- Taisez-vous ! fessez moi mais ne dites plus rien (Une grande claque atterrie sur mes fesses) A partir de maintenant je vous demande de vous taire, si vous voulez dire un mot c’est rouge et rien d’autre, si vos avez compris faite un signe de la tête.
J'étais honteuse et très humiliée. Les claques commencèrent à tomber, il allait d'une fesse à l'autre, espaçant les claques ce qui était encore plus dur à supporter car on attend et on ne sait pas quand elle va tomber puis il accéléra et les claques furent bien plus fortes et surtout certaines tombaient soit à la jointure des fesses et du haut des cuisses soit sur le bord de ma fente. Mes fesses commençaient à chauffer, je sentais les larmes me venir mais j’essayais de ne pas le montrer.
- Maintenant vous êtes prête pour votre fessée d’anniversaire, là ce n’étais que la préparation, je vais vous donner 30 claques
La première tomba sur ma fesse droite puis sur la gauche, sur le haut des cuisses, a plat sur ma fente mais moins forte, je me mordais la lèvre pour ne pas crier. Thomas et Chloé avait du mal à tenir mes jambes en l’air, j’avais perdu toute pudeur, je sentais mon sexe s’ouvrir et se fermer. Il me demanda d’arrêter de gesticuler ou je recevrais 10 claques de plus, mais j’en étais incapable, je pleurais à chaudes larmes, de douleur et de honte d’être humiliée. Quand il arrêta, ils lâchèrent mes jambes, je suis restée prostrée ainsi 5 bonne minutes, mes fesses étaient en feu et mon sexe trempé. Je le voyais discuter avec Thomas. Ils revinrent vers moi.

Plus loin ?

- Thomas vient de me dire que vous souhaitiez aller un peu plus loin que la fessée, est ce vrai ?
- Oui mais ce soir mes fesses ne pourront pas en subir plus
- Ai-je parlé de vos fesses, acceptez vous de disons passer un petit test et après vous aurez votre récompense. Vous pouvez arrêter à tout moment.
- Oui mais j’espère que cela ne fait pas trop mal
- Non non ne vous inquiétez pas …
- Nooooon !!! non pas ça
- Chut ne vous inquiétez pas
- - IL avait une petite boite avec des pinces plates.

Pinces

- Regardez elles sont très spéciales, c’est moi qui les fabrique. Il y a de la mousse au milieu, voila je vous en mets une sur votre grande lèvre, alors avez-vous mal
- Non cela pince un peu mais pas trop. (Il en a mise une sur l’autre lèvre)
- Toujours supportable ?
- Oui
- Bien nous allons ouvrir ce chemisier et enlevez ceci, huuum !! vous avez de très jolis seins bien fermes, on en met une ici sur le téton droit
- Ouh !! ça pince plus mais c’est supportable
- Vous voyez, allez l’avant dernière sur le téton gauche et la dernière…..ici
- Ouille !!! là ça fait un peu mal (il l’avait mis sur mon clito)
- Levez vous doucement, voila. Toujours supportable ?
- Oui, c’est comment dire surprenant,
- suivez moi, marchez doucement.
Il a ouvert une porte, sa salle de jeu Je dois avouer que j’ai eu peur, il y avait une croix de saint andré, un établi, un genre de cheval d’arçon, des chaînes qui pendaient au plafond.

Salle de jeux

- Ne vous inquiétez pas Lucie, vous n’êtes pas prête pour cela. Venez
il a pris mes mains et les a mises dans des menottes en cuir puis a tiré sur une corde et mes bras se sont retrouvés au dessus de ma tête. Il a pris des petites chaines très fines et a relié les pinces entre elles
- N’ayez pas peur. Vous allez appréciez, regardez je ne vais pas vous faire de mal, c’est une plume de paon.
Il à passé la plume sur mon corps. Cela chatouillait énormément et évidement j’ai commencé à bouger, il avait relié une pince de mon sein droit à celle du clito, des que j’ai bougé, j’ai senti un élancement dans mon sexe et mon téton, c’était intenable mais dans le bon sens. Plus la plume me touchait surtout le dos et plus je bougeais et très rapidement j’ai eu un orgasme puis un deuxième.
- Vous voyez Lucie, je ne vous ai pas menti, je ne vous ai pas fait mal, Thomas voulais voir si vous pouviez jouez avec des pinces ou s’il pouvait s’occuper de vos tétons avec ses doigts, la réponse est oui, vous êtes très réceptive et vous avez pris du plaisir
- Oui je le reconnais, Vous m’aviez parlé d’une récompense c’était ça
- Non non, elle arrive mais je vais vous enlevez ces pinces et je vais vous demander de ne pas crier si vous le pouvez
J’ai serré les dents mais c’est vrai que cela fait plus mal quand on les enlève que quand on les met.
- Maintenant vous allez suivre Chloé, c’est encore un souhait de Thomas, mais ce n’est qu’un souhait donc si vous ne voulez pas vous direz non à Chloé. Elle va s’occuper de vous.

Salle de bain

Je l’ai suivi dans une salle de bain aussi grande que ma chambre, elle m’a fait prendre une douche puis a massé mes fesses avec une crème apaisante après quoi elle m’a dit ce que souhaitait Thomas. Que je me rase le pubis mais il n’osait pas me le demander. J’ai accepté, elle a commencé aux ciseaux puis au rasoir, elle m’a massé avec de la crème, m’a fait jouir avec ses doigts. Elle m’a conseillé si je voulais rester ainsi de passer le rasoir tous les jours en prenant ma douche ainsi cela ne gratte pas. Nous sommes retournées dans le salon et là Thomas m’a fait une minette d’enfer ce qu’il n’avait jamais voulut me faire car j’avais vraiment une toison très développée. Après quoi c’est Chloé qui s’est occupé de mon clito puis Philippe mais lui avec des baguettes de restaurant chinois. C’était, c’était…… extraordinaire. J’étais exténuée par tous ces orgasmes successifs. Après un passage dans la salle de bain, je me suis rhabillée, enfin sans la culotte car Thomas m’a annoncé que quand je recevrais une fessée, je n’aurais pas le droit de mettre de culotte et Chloé m’a conseillé de ne pas remettre le soutien gorge car mes tétons étaient sensibles. Nous sommes allés dans le salon pour boire un dernier verre sauf Thomas qui a préféré un café à cause de la route
- Alors Lucie contente de votre soirée d’anniversaire
- Oui tout à fait
- Mieux je pense que si nous étions restés à cette soirée
- Oui c’est sur en plus j’ai découvert des sensations que je n’imaginais pas possible. Je vous ai vu parlé avec Thomas et je suis sur que vous lui avais donné des conseils pour me punir.

Conseils

- Je lui ai juste donné des conseils pour que vous ayez encore plus de plaisir Je ne pense pas que vous pourriez devenir comme Chloé une soumise à temps plein mais oui j’ai conseillé à Thomas, c’est de ne pas hésiter à vous donner des ordres, de vous punir même assez sévèrement car si vous dites que vous ‘aimez pas cela vous le supportez très bien mais surtout pour que vous preniez du plaisir même pour une simple fessée il vous faut votre part de honte et d’humiliation car sinon c’est comme un tournedos Rossini sans fois gras il manque un ingrédient. Votre idée de la privation de culotte est une excellente idée, n’hésitez pas non plus à lui annoncer une punition mais qu’elle recevra plus tard, L’attente sera pour elle un grand plaisir. Je reçois un vendredi par mois à diner des amis, 4 couples dont nous, il peut se passer quelque chose ou....rien sinon un très agréable diner avec des discussions d’un très bon niveau, seriez vous intéressés,
- Oui pourquoi pas, n’est ce pas Thomas
- Oui cela me parait très intéressant.
Nous sommes retournés à notre voiture, je sentais le frottement de ma jupe et de mon chemisier sur mes fesses et mes, c’était à la foi douloureux mais aussi agréable.

j’ai oublié de faire pipi

- Mon amour il va falloir t’arrêter sur l’autoroute, j’ai oublié de faire pipi
- Tu te moques de moi, tu ne pouvais pas y aller chez Philippe
- Désolée
- Il n’en est pas question, je vais donc appliquer ce que viens de dire Philippe, tu fais ici avant de monter dans la voiture.
- Tu es fou ici dans la rue, mais si quelqu’un vient
- A 3 heures du matin, dépêche toi il n’y a personne, ou tu obéis ou je te fesse et là avec le bruit
Je ne sais pas s’il l’aurait fait mais j’ai relevé ma jupe et j’ai fait pipi devant lui dans le caniveau entre deux voitures, j’avais presque plus honte que pendant la fessée. Nous sommes rentrés à la maison, mais je n’ai rien vu de la route, j’ai dormi tout le temps, Arrivés, il m’a prise dans ses bras m’a monté dans la chambre m’a déshabillée et s’est couché à coté de moi.
Je voulais absolument vous raconter cette rencontre avec Philippe car après celle avec Henry et Mary et deux autres qui vont arrivées, elle m’ont permis de me réaliser sexuellement et Thomas reconnais qu’il n’aurait jamais eu le courage de me demander certaines choses ayant peur d’essuyer un refus.



Les confidences de ma mère

Souvenirs difficiles

La veille de mon mariage, le 11juillet 1982, j’étais chez mes parents, ma mère tenait à ce que je passe ma dernière nuit avant le mariage chez eux et sans Thomas. Nous avions fais les derniers achats et nous étions toutes les deux dans le salon sur le canapé. Je sentais que ma mère voulait me dire quelque chose mais n’osait pas.
- Maman, je t’écoute
- Quoi
- Tu veux me demander quelque chose alors vas y
- Voila j’ai entendu par hasard les enfants parler d’une fessée que Thomas t’aurait donnée
- Et…
- Comme ça et… c’est donc vrai Thomas te bat
- Oulla !!!! non il ne me bat pas. Je suis tout à fait consentante sur le principe. Quand je m’énerve, que je suis de mauvaise foi ou un peu capricieuse, tu me connais, plutôt que l’on se dispute il me donne une fessée et crois moi ça me calme c’est tout.
- C’est sur que par moment j’aurais du en faire autant quand tu étais gamine
- Pourquoi ne l’as-tu pas fais, une fois j’ai même cru que tu ne m’aimais pas quand la voisine a fessé sa fille et moi tu m’as envoyée réfléchir dans ma chambre
- La raison est j’ai vécu une expérience traumatisante quand j’étais jeune……. Je ne t’en ai jamais parlé mais voila. Ton grand père que tu n’as pas connu, il est mort en 1945 en Alsace. Il était dans l’armée, dans les spahis et je peux te dire qu’il menait sa famille comme ses hommes, à la baguette et pour nous c’était au sens propre. Il était en Afrique et rentrait tous les 6 à 8 moi, là cela faisait deux ans que nous ne l’avions pas vu, il avait rejoins la 1ère armée quand ils ont débarqué en Provence, nous habitions Avignon, il a pu venir nous voir rapidement, il n’est resté qu’une journée Pour ton oncle Edouard, c’était un inconnu car il n’avait que 3 ans. Dans l’après midi il nous a fait passé au rapport comme il disait. C’était son habitude à chacun de ses retour. Maman devait lui dire si nous avions bien travaillé à l’école et si nous avions été sages, si oui il nous donnait un cadeau souvent de l’argent sinon il nous punissait. Ce jour là tes oncles et tantes était passés avant moi puisque j’étais l’ainée. Ton oncle Robert et ta tante Adeline avait été punis. C’était mon tour, je suis entrée mais il fait revenir les sept autres ce qu’il ne faisait pas d’habitude. Il m’a reproché de ne pas être très bonne en classe mais aller au lycée et aider maman, c’était très compliqué. En plus ta tante Bernadette s’était plainte que j’étais méchante avec elle, il m’a prise par l’épaule m’a fait penchée sur la table, ta grand mère a relevé ma robe et baissé ma culotte et j’ai reçu 10 coups de cravache, j’en ai gardé les marques une semaine. Il m’a envoyée dans ma chambre quand je suis redescendue, il était parti et je ne l’ai jamais revu..
- Ma pauvre maman
- Tu sais pourquoi nous ne voyons pas ta tante, je ne lui ai jamais pardonnée. Voila pourquoi tu n’as jamais reçu de fessées ou de gifles et pourtant dieu sait que ton père et même monsieur le curé m’ont incité à te donner une bonne fessée car franchement tu nous en a fait baver, tu étais vraiment capricieuse.
- Je suis désolé, finalement tu aurais du écouté papa et…
- Pourquoi ta mère aurait du m’écouter
- Ho papa !! tu es rentré
- Oui j’en avais assez et il faut que je prenne des forces pour demain, il faut que je t’emmène à l’autel. Alors pourquoi ta mère aurait du m’écouter
- Je peux lui dire
- Oui, on peut lui dire il ne t’en voudra pas, en fait maman a entendu une discussion entre Cécile et Olivier qui disait que j’avais reçu une bonne fessée par Thomas
- Tu as reçu quoi ??
- Comme je l’expliquais à maman, quand je suis têtue, de mauvaise foi, enfin tu me connais, hé bien un jour Thomas en a eu assez, il m’a donné une fessée et pendant un temps j’étais beaucoup plus calme
- Tu vois maman j’avais raison, ton Thomas je l’aime bien, il a tout compris telle mère telle fille et finalement le même remède.

Par Papa

- Papa tu veux dire que…
- Oui je suis comme Thomas quand ta mère m’énerve cela se termine comme ça
J’étais stupéfaite, mon père donnait la fessée à ma mère, je n’en revenais pas
- Si je m’écoutais je…je…je te donnerais là maintenant une fessée pour toutes celles que je ne t’ai pas données et que tu méritais et tu en as mérité un paquet.
- Elle à 29 ans, un père ne donne pas une fessée à sa fille de 29 ans qui se marie le lendemain
- Thomas le fait bien et tu as quel âge toi hein
- Papa, tu as raison, je serais toujours ta petite fille alors c’est à toi de décider
- Bien si tu le prends comme cela, viens
Je me suis mise sur ses genoux
- Ne sois pas trop sévère
- Ma chérie une fessée c’est une fessée
Il m’a serrée contre lui, j’étais en short, la première claque tomba, puis la suivante, il claquait en tapant sur toute la surface de mes fesses. J’ai tout de suite compris qu’il voulait me donner une bonne fessée. Il se lâchait, j’avais finalement terriblement honte de me retrouver sur les genoux de mon père. Les claques tombaient régulièrement mais pas très fortes. On sonna à la porte, mon père s’arrêta. C’était Thomas qui m’apportait mes bas que j’avais oublié à la maison. Me voyant ainsi…
- Qu’est ce qui se passe
Ma mère lui expliqua, j’étais toujours dans la même position.
- Vous avez bien raison Robert, avec ce qu’elle vous a fait endurer. Mais je ne veux pas vous déranger
- Pas du tout, vous pouvez rester
Mon père repris sa fessée
- Vous savez Robert moi quand je la fesse c’est cul nu
- Ca me gène
- C’est votre fille, vous avez déjà du voir ses fesses, vous avez changé ses couches
- Après tout vous avez raison
- Non non je ne suis pas d’accord
- Mais ma chérie on ne te demande rien
Je le senti prendre l’élastique de mon short et de ma culotte et tout baisser. Une grêle de claques vigoureuses tombait maintenant sur mes fesses. je recevais une bonne, une brûlante fessée. Mes fesses se tortillaient, ondulaient, mes jambes battaient l’air, se croisaient, s’écartaient, se tendaient et cette main qui enserrait mes hanches. J’essayais de rester digne, mais je n’y arrivais pas
- Aiie….. ouille……. Nooon…… arretes…… …ahhhhh……. Nooooon…… Je……..t’ en ……prie……… arrrrretes …………
Mes fesses brûlaient, je sentais la chaleur irradier tout mon corps, Il me semblait qu’il n’arrêterait jamais cette fessée cuisante. Je sanglotais maintenant lançant mes jambes dans tous les sens, il avait du mal à me maintenir, les claques pleuvaient, tantôt, à gauche, puis à droite, puis au centre, sur le bas des fesses Je réagissais comme une petite fille. Puis le silence, je prenais quelques secondes pour constater que c’est fini. Je restais inerte allongée sur lui qui reprenait son souffle. Je me relevais anéantie, je serrais mes fesses. Que j’avais mal, c’était horrible, quelle punition ! ! ! ! ! Je me rendis compte à ce moment là que j’étais face à eux et qu’ils voyaient mon pubis entièrement épilé, j’ai mis mes mains devant mais ils avaient vu.
- J’ai demandé à Lucie de se raser le pubis car comme par moment elle se conduit comme une gamine comme cela elle en est une
Ma figure était aussi rouge que mes fesses.
- Tu t’en sors bien, si tu avais été à la maison, j’aurais sûrement pris le martinet
- Si voulez j’en ai un Thomas (Là c’est ma mère qui est devenue écarlate)
- Je pense que cela suffit en plus demain soir elle recevra sa première fessée de femme mariée, n’est pas ma chérie, tu vas pouvoir t’asseoir demain
- (j’ai remonté mon short et ma culotte) oui ne t’inquiète pas. Papa, maman, je m’excuse pour tout ce que je vous ai fais subir mais je suis bien contente maman que tu n’aie pas voulut me fesser ni papa quand j’étais plus jeune, ouille ! ouille ! ouille, je ne suis pas prés de l’oublier celle-là.
- Tu seras toujours notre petite fille
- Vous savez Robert, Paulette, vous aurez toujours le droit de la fesser si vous estimez cela nécessaire
- Mais ce ne sera pas nécessaire, allez va t’en rentre à la maison

Après la noce

Le lendemain il faisait un temps magnifique, nous nous sommes dit oui. J’ai modifié à l’église la petite phrase, je jure de t’aimer, de t’être fidele dans le bonheur et les épreuves, te soutenir tout au long de notre vie, j’ai rajouté t’obéir après soutenir, il n’y a que Thomas et le curé qui l’on entendu et à la sortie de l’église celui-ci m’a glissé, tu as intérêt à lui obéir sinon… et il a fait un mouvement de la main que j’ai très bien compris.
Le soir, j’ai reçu ma première fessée de femme mariée après quoi nous avons fait l’amour et j’ai écouté le conseil de Philippe. Nous faisions une pause, j’ai ouvert le tiroir de table de nuit, je me suis mise à quatre pattes et j’ai dis à Thomas :
- Mon amour une femme a trois pucelages, le premier c’est Jürgen qui l’a eu, ta fiancée t’a donné sa bouche et aujourd’hui car un mariage sans dépucelage ne serait pas un mariage je te donne le dernier (J’ai tendu le petit tube de vaseline et j’ai écarté mes fesses, Thomas a eu un grand sourire et a fait cela avec douceur)

Entretiensavec Lucie, quatrième partie

Entretiens avec Lucie
Quatrième partie.




Avertissement de « l’éditeur »

Dans ce quatrième entretien, Lucie nous révèle comment la fessée fait partie de leur vie non seulement de couple mais aussi de famille.
Il est nécessaire de préciser que ces confidences doivent être considérées comme de la fiction, même si c’est de la « fiction vraie » et surtout qu’elles ne sont en aucune manière une incitation à reproduire ces habitudes. La fessée est une pratique entre « adultes consentants » et en aucune manière une méthode d’éducation pour les enfants.
Précisions aussi que les opinions de Lucie sur les méthodes éducatives … n’engagent qu’elle-même.

Pratiques en famille

Lucie, lors de nos conversations, j’ai cru comprendre que vos enfants étaient d’une certaine manière à l’origine de vos premières fessées par celui qui allait devenir votre mari. Mais savent-ils que celui-ci est « sévère » avec leur maman ?
Je vous réponds sans la moindre hésitation : « oui » Ma fille et le fils de Thomas le savent. Et nous nous en sommes aperçu dans des circonstances que je vais vous raconter :

Une conte de Noël

Le matin du 24 décembre 1981 Cécile et Olivier se sont assis devant le sapin en faisant semblant de ne pas voir que nous étions dans la cuisine
- Tu sais finalement quand les parents pensaient qu’on croyait au père noël c’était pas mal car on pouvait toujours leur demander des choses qu’ils n’osaient pas nous refuser, maintenant ils discutent sur ce que nous voulons, ben non c’est trop cher, pas pour toi, tu es trop jeune ou trop vieux, on pouvait demander des trucs pas possible, ils faisaient de efforts
- Oui tu as raison, ben moi cette année j’aurais demandé qu’un truc, une maman
- C’est drôle, moi j’aurais fait comme toi j’aurais demandé un papa en plus il n’aurait eu besoin de chercher loin et même sans ses lunettes, ils les a sous ses yeux.
- Surtout qu’ils font comme s’ils étaient mariés, ils font même l’amour ensemble
- Ben oui comme les parents, même que de temps en temps ton père devrait lui mettre la main devant bouche, l’autre jour cela m’a réveillé et en plus quand maman fait une bêtise, ton père lui donne une fessée, tu as raison ils font tous comme des parents. Vraiment dommage que le père noël n’existe pas.
On était là bouche bée tous les deux. Ils sont partis dans la chambre, nous allions en parler quand ma belle mère est arrivée pour prendre les enfants car nous devions aller faire les courses. Le soir réveillon, messe de minuit et bien sur quand nous sommes rentrés le père noël était passé. Tout le monde a fait semblant de découvrir ses cadeaux et alors que je ramassais les papiers déchirés, Thomas a dit « tiens il reste un cadeau et il est venu vers moi.
- Il restait un paquet, le père noël est passé cet après midi pendant que tu finissais les courses et m’a dit qu’il y aurait un paquet supplémentaire pour toi. Un souhait fait par des enfants qui ne croient plus en lui et il voulait leur prouver qu’il existait. Qu’il avait trouvait ce qu’il avait demandaient. Il m’a dit ce que c’était. Que ce cadeau n’était que provisoire car il n’avait pas eu le temps de trouver la vraie. Odile veut tu bien m’épouser afin que nous réalisions le vœu de ces enfants.
Il a ouvert la boite dans lequel il y avait une bague mais en fait un jouet qu’il avait trouvé dans la boite à bijou de Cécile. JE dois avouer que je ne m’y attendais pas car nous n’en avions jamais parlé, Je voyais les enfants suspendus à ma réponse.
- Oui mon amour
Nous nous sommes embrassés et deux tornades nous ont sautées dessus.
C’est une belle histoire ! Donc, pour vos enfants, la fessée, c’est pour « les papas et les mamans » ? Pourtant, j’ai aussi cru comprendre que eux aussi … ?
J’ai voulut raconter cela car même si nous sommes ce que l’on appelle une famille recomposée, nous sommes très fusionnels Oui nous avons donné quelques petites fessées à nos enfants mais toujours sans violence ni brutalités, 10 claques maximum, ils ne nous en ont jamais voulut, la preuve la petite scène suivante. Quand elle avait 15 ans, Cécile a été grossière avec une de ses professeurs quand je l’ai appris, je l’ai rejointe dans sa chambre et je lui ai donné une fessée puis comme d’habitude elle est venue dans mes bras et nous avons fait un câlin.
- Je suis désolée Cécile mais là tu as été trop loin, tu te rends compte que cela faisait 3 ans que je ne t’avais pas punie comme ça
- Ne t’en fais pas maman je la méritais et puis cela prouve que tu m’aimes et tu seras toujours ma maman Toute la vie. Je suis sur que si dans 20 ans je fais une grosse bêtise, tu n’hésiteras à me donner une fessée je t’aimerais toujours.
Cela prouve que l’on peut aimer ses enfants mais également sévir quand il le faut et qu’ils le comprennent contrairement à ce que disent des parents adeptes de Mme Dolto, la grande prêtresse de l’enfant roi dont on voit aujourd’hui les dégâts occasionnés par ses préceptes



La découverte du martinet

Nous allons changer de sujet, Lucie, puisque ces entretien concerne la fessée dans le couple, et pas les méthodes d’éducation des enfants. J’ajoute que, de mon point de vue, pour être certains qu’il n’y ait jamais de dérapages en la matière, il serait nécessaire que chaque fois qu’un parent donne une fessée à un enfant, il reçoive la même punition. Et comme lui – ou elle – sont ds adultes, il serait juste que ce soit le même nombre de coups, mais pas à main nue … Vous voyez ce que je veux dire ?
Oui, bien sûr, monsieur … Mais je vous rassure, pour nos enfants, il s’est toujours s’agit de petits « panpan cucu » Le martinet … il ne sert que pour moi ! Et, si cela vous intéresse, je vais vous raconter comment nous avons acquis notre premier martinet :
Pour les vacances de Pâques, nous sommes partis tous les deux crapahuter, notre grand plaisir. Nous sommes allés dans le désert des Causses. Nous avions pris une chambre d’hôtes. Le premier jour nous avons sympathisé avec Catherine la patronne Une femme d’une cinquantaine d’année. Le deuxième soir j’étais en train d’embêter Thomas qui préparait l’itinéraire du lendemain et il en a eu assez, il m ‘attrapé, m’a plaqué sur le lit et m’a donné une bonne fessée pour me calmer.
Le lendemain nous avons fait une belle ballade et en rentrant le soir
Catherine était sur le pas de la porte en train d’éplucher des pommes.
- Vos fesses ne vous pas trop fait souffrir (j’ai rougi)
- Non merci ça va
- Dites monsieur, si vous ne voulez pas vous faire mal aux mains, je peux vous prêter ça (elle nous a montré un très beau martinet avec un manche noir sculpté qui pendait dans la cuisine)
- Il est superbe
- Fait sur mesure, enfin mes fesses ont un peu grossie mais il s’en sert encore
- Qui ça
- Ben mon mari quand il rentre, là il est dans la montagne avec les moutons.
- Où vous l’avez trouvé
- C’est la Clémence qui les faits, elle est dans un hameau avant d’arriver sur le causse noir, elle tient un genre de boutique épicerie poste bistrot cordonnier bien qu’elle ait 80 ans. Vous allez passer par le hameau en allant sur le causse. Si vous en voulez un pour votre dame Elle vous le fera et c’est de la bonne qualité, celui-là il a plus de 10 ans. Je peux vous monter jusqu’au début du sentier parce que faire 10 kms de route ce n’est pas très intéressant. Je vous laisse, à tout à l’heure pour le diner, une bonne soupe, boudin aux pommes et châtaignes fromage et tarte ça vous va.
Nous sommes montés dans la chambre.
- Tu vois je te l’ai dit elle a tout entendu
- Et alors, tu as honte
- Ben oui un peu
- Tant mieux cela t’apprendra à m’embêter.
Le lendemain Elle nous a emmené comme prévu jusqu’au chemin qui menait au hameau et nous avons marché une heure sur une pente assez raide
La boutique c’était en fait la salle à manger.
- Bonjour Madame, c’est Catherine qui nous a conseillé de venir vous voir car nous voudrions vous acheter un martinet, elle nous en a fait voir un très beau avec un manche en bois sculpté.
- Oui je vois avec des lanières de cuir de bœuf les plus dures mais avec son postérieur il lui faut bien cela, c’est pour vos enfants ? ou votre chien peut-être ?
- Répond Lucie la dame te pose une question (je suis devenue écarlate)
- Pas la peine de répondre, votre visage a répondu pour vous, votre monsieur va s’en servir pour épousseter vos fesses.
- Oui, enfin……,
- J’ai plusieurs sorte de martinet cela dépend si c’est pour punir votre dame, mais elle a l’air si gentille. A moins que ce soit pour au contraire lui donner envie mais à son âge il ne doit pas falloir la pousser. De toute façon il va falloir que je prenne ses mesures car chaque personne a son martinet. Il est évident qu’un martinet pour Catherine n’irait pas pour vous. La longueur des lanières est le paramètre le plus important car voyez vous il ne faut pas qu'elle dépasse l'arrondi des fesses quand elles cinglent. Je vais commencer les mesures, penchez vous largeur, longueur hauteur bien. Maintenant pour savoir quel genre de peau je vais prendre j’aurais besoin que vous enleviez votre short
- Hein mais non
- Lucie je te conseille d’obéir à madame sinon
- Ce n’est pas la peine de lui promettre une fessée parce que de toute façon il va falloir qu’elle en reçoive une car sinon je ne pourrais pas me rendre compte de l’élasticité et de la fermeté de ses fesses.
- Je ne suis pas d’accord
- Lucie où tu le baisses toi-même car si c’est moi qui le baisse, et je demanderais à madame son martinet le plus dur pour m’’occuper de tes fesses.
- Non non !!!
- Ne vous inquiétez pas Madame, ce ne sera pas méchant, voyez monsieur elle est obéissante
J’ai baissé mon short. Elle s’est assise derrière moi, à commencer à bouger mes fesses de droite à gauche puis de haut en bas
- Passons aux choses sérieuses (elle a baissé ma culotte)
- Non, arrêtez de bouger comme ça sinon je ne peux pas travailler
- Lucie !!!!!
Elle a tripoté mes fesses, les pinçant légèrement, les soupesant donnant de petites claques
- Vos fesses sont magnifiques, bien fermes élastiques, elles répondent bien, j’ai l’impression que l’on doit s’en occuper souvent. Pour être sur de la matière que je vais employer, je pense donc vous donner une petite fessée afin que je vois comment réagissent ces petite fesses, regardez elles ont froid, elles ont la chaire de poule. Monsieur si vous voulez vous en occuper.
- Je vous laisse faire, je suppose que vous devez avoir l’habitude
- Cela fait environ six mois que je n’en ai pas donné mais ne vous inquiétez pas je connais la méthode, j’ai eu 8 enfants. Allez venez sur mes genoux,
- Je vous en prie, est bien nécessaire ?
- Oui mais vous allez voir une fessée comme ça, vous en redemanderez
Je me suis allongée sur ses genoux, elle a commercé par caresser mes fesses donner quelques petites tapes. La fessée ne fut pas forte mais intense et rapide, elle faisait des réflexions sur mes fesses, sur leur coloration, leur rebond...
Elle s’arrêta de me fesser continua de les caresser puis me demanda de me lever et de poser les mains sur le plat de la chaise.
- Monsieur, je vais faire les essais car je pense avoir plus l'habitude que vous si c’est votre premier martinet
- Bien sur faites.
- Bon on va commencer par celui-ci
Elle promena les lanières sur mes fesses que je serrais puis cingla mon petit derrière mais doucement et petit à petit les cinglées furent plus fortes, mes fesses me cuisaient. Je gémissais, dansait d'un pied sur l'autre à chaque cinglage qui zébrait de plus en plus mes
fesses. J’avais les fesses en feu, mais en même temps je sentais mon sexe s’ouvrir et j’espérais que personne ne verrait que je mouillais. Elle passa sa main sur mes fesses.
- Elles réagissent bien et je constate que votre corps vous trahi, petite coquine. Je pense que ce genre de martinet ira bien pour les punitions, enfin si Monsieur estime cela nécessaire, vous allez me dire que vous êtes toujours sage mais une femme sage, est ce que cela existe? C’est du cuir de vache, vous voyez il y a 16 lanières et non pas 12 comme cela la douleur est identique mais les marques restent moins longtemps. Que diriez-vous en plus d’un martinet pour le plaisir. Il est fait en velours en peau de lapin et en peau de chèvre

En peau de lapin !

- Cela existe
- Oui ma petite dame, vous allez voir... voila. Restez dans cette position mais écartez bien les jambes.
Elle se recula et lança les lanières qui atterrirent sur la jointure de mes fesses mais aussi sur mon sexe, j’ai fermé mes cuisses, surprise.
- Je vous ai fait mal
- Non, c’est surprenant
- Je vais encore plus vous surprendre, reprenez votre position
Elle cingla …directement mon entrejambes et mon sexe, j’ai poussé un cri, une des lanières avait touché le haut de ma fente et mon petit bouton.
- Vus avez mal
- Ho non c’est… recommencez ;;;; oui ou i encore encore
C’était incroyable je n’en revenais pas, elle me donna 5 coups de plus sur les fesses et mon sexe. Les lanières étaient toutes luisantes
- Monsieur je pense que vous devriez vous occuper de votre dame, dans l’état où elle est, il n’y a que vous qui puissiez faire quelque chose pour elle, sinon elle va mouiller mon carrelage. Je vais aller vous chercher un pichet de lait de chèvre, prenez votre temps (elle est sortie, je me suis jeté sur le short de Thomas
- Viens mon amour prends moi vite je n’en peux plus
Thomas a enfourné son membre d’une seule poussée et j’ai senti son pubis taper mes fesses, j’ai poussé un grand cri, thomas a mis sa main sur ma bouche. Heureusement car je pense que tout le village serait venu tellement j’avais envie de hurler Il continuait ses vas et viens et à chaque fois que son pubis touchait mes fesses, une douleur irradiait tout mon postérieur Mon plaisir prenait le pas sur la douleur et j’explosais, un orgasme énorme parcourra mon corps et quelques secondes plus tard c’est Paul qui jouissait en moi. Nous restions penchés sur la chaise. Je n’en revenais pas je venais de me faire fouetter le sexe et j’avais eu un orgasme. Nous avons repris une tenue correcte quand elle est revenue.
- Je pense que vous voulez les deux
- Oui bien sur, c’est incroyable, je ne pensais pas que c’était possible, j’ai encore du mal à m’en remettre
- je vais vous mettre deux beaux manches et pour le martinet qui vous a donné tant de plaisir je vais mettre 18 lanières car madame est très sensible du clitoris les cinglages seront plus lourdes mais plus douces et auront plus d'effet sur lui.
- Merci combien vous doit on
- Rien vous venez de me faire passer un très bon moment et puis j’ai 82ans alors l’argent. Qu’en repassez-vous ?
- Demain en fin de matinée, nous passons la nuit au refuge du désert.
- Vous allez voir c’est très impressionnant car il n’y a que le vent s’il y en a sinon c’est encore pire on sursaute à chaque bruit. Je vous prépare les martinets pour demain.
Nous sommes partis. Apres 3 heures de marche nous étions sur le causse, nous avons vite compris pourquoi cela s’appelle le désert. Rien pas un oiseau, pas un bruit. Nous sommes arrivés au refuge, il y avait 4 paillasse en paille, une lampe a pétrole une bassine pour l’eau et quelques recommandations. Pour l’eau il fallait aller au petit lac à 1km.
Nous avons fait la ballade. L’eau était glacée. Pas d’autre solution si nous voulions nous laver quand même, nous nous sommes déshabillés et lavés à grand coup de bassine. Je grelottais.
- On fait la course pour rentrer, cela va nous réchauffer
- Avec les chaussures de marche, on se rhabille quand même
- Pourquoi faire, il n’y a personne, tu as peur que quelqu’un te vois nue, tu n’es pas si pudique quand je te fesse, allez, le dernier arrivé reçoit une fessée
Il m’a surprise, j’ai essayé de le rattraper mais je n’y suis pas arrivée bien que je cours aussi vite que lui en temps normal. Arrivée au refuge, j’ai eu le droit à ma fessée mais elle fut courte car rien de plus compliqué de fesser une femme sous son bras et que celle-ci se saisisse du sexe du monsieur et le masturbe. Pour se réchauffer, faire l’amour c’est bien aussi. La vielle dame avait raison, cette absence de bruit, uniquement le bois du refuge qui craque c’est flippant. Le lendemain nous sommes repartis vers le hameau. La dame était sur le pas de la porte avec son chat.
- Alors les tourtereaux la ballade a été belle, vous avez apprécié le silence, stressant n’est pas
- Oui mais quand le vent s’est levé ce matin, c’était pire le hurlement du vent, l’impression que la maison va s’écrouler.
- Voici vos martinets, ils vous plaisent.
- Ils sont vraiment superbes, c’est quoi, on dirait un L
- Ben oui vous ne pourrez pas dire que ce n’est pas pour vous. Que diriez vous de partager mon déjeuner je vois tellement peu de monde, ce sera simple omelette aux herbes, salade fromage de brebis et pomme
- Avec plaisir mais on vous le paye, on y tient
- Vous qui êtes instituteur nous avons plus haut une chapelle du 12ème siècle encore bien conservée, si vous voulez la voir pendant que je prépare le déjeuner avec madame
- Vas-y mon amour

Cadeau

Je suis restée avec la dame
- Je voulais que vous restiez car je veux vous faire un cadeau. A une époque mon mari faisait des martinets pour un sex-shop de Toulouse mais ça n’a pas marché car le prix de revient été trop cher par rapport à ceux qui venaient d’Asie. Tenez voila c’est celui-ci (Il était noir avec des lanières assez longues, plus longue que les martinets classiques.) Les lanières cinglent un peu plus que le deuxième que je vous ai fait car il ya 3 lanières fines en peau de mouton. Ce qui est surtout spécial c’est le manche vous voyez il est assez gros et caché sous ce petit sac fermé par un bouton pression. Il est fait c’est pour une femme qui n'a pas sous la main une personne pour la fouetter, elle a enlevé le sac
- Ho mais c’est……
- Oui et de beau calibre, en bois sculpté, regardé, mon mari était un artiste, il y a même les veines et il est décalotté et il fait ….25 cms, de quoi contenter les plus difficiles
- D’abord vous fouettez votre sexe avec le martinet et après, après vous connaissez mais chut c’est juste pour vous, j’ai le même dans le tiroir de ma table de nuit
- Merci j’apprécie ce cadeau.
- Je voulais vous dire, le martinet dont je me suis servi tout à l’heure sur votre sexe, votre mari peut s’en servir aussi sur vos seins, les cuisses, le dos il n’y a aucun risque, cela donne des sensations. Hum !!!
- Vous êtes une coquine
Thomas est revenu, nous avons déjeuné avec elle, nous avons discuté puis nous sommes redescendus dans la vallée avant qu'il fasse nuit car nous avions les 10kms de route à faire. Les vacances étaient terminées et nous sommes rentrés chez nous. Vous vous doutez bien que les 3 martinets ont beaucoup servi, le troisième aussi surtout quand à une époque je suis partie travailler à Paris et que je rentrais que le WE à la maison.

Entretiens avec Lucie, troisième partie

Entretiens avec Lucie
Troisième partie
« Will et Lizzie »

 Lucie, qui a déjà répondu à nos questions sur les circonstances de sa découverte de la fessée lors d’un séjour en Angleterre, puis celles de sa rencontre avec celui qui allait devenir son mari, poursuit ses confidences, un peu dans le désordre chronologique.



Will et Lizzie

Lucie, lors de notre dernier entretien, vous avez cité les noms d’ autre couple anglais qui savent pour vous, et qui, je suppose, « pratiquent » eux aussi. J’aimerais que vous nous en disiez plus sur ces couples.
Je vais commencer par le couple dont nous sommes restés le plus proche, celui de Will et Lizzie.
Après notre nuit de noces nous sommes partis vers Hendaye pour notre voyage de noces dans la maison de famille de Thomas, nous nous sommes arrêtés à Royan chez Henry et Mary qui du fait que Henry s’était cassé la jambe n’avait pas pu venir au mariage. Nous avons passé la soirée avec eux et un couple William et Elisabeth . Il avait 35 et 36 ans, lui travaillant au consulat de Grande Bretagne et elle ne travaillant pas mais œuvrant dans des organismes caritatifs. Nous avons tout de suite accroché avec eux plus qu’avec Henry et Mary surement, comme le dit Thomas, si le coup de foudre entre deux couple existe, nous l'avons eu. La raison, ils sont de notre âge et en plus nous avions d’autres points communs, il aime la pèche et le golf comme Thomas et elle aime le tennis comme moi. Ils se connaissaient car Mary et Lizzie étaient allées toutes les deux à Princess Ann Collège pas en même temps car il y avait 14 ans d’écart entre elle. Nous avons discuté toute la soirée et Mary m’a demandé si le lendemain nous pourrions emmener Will et Lizzie à la gare de Royan pour qu’ils prennent leur train pour Bordeaux. Thomas qui avait entendu leur a proposé de les prendre en voiture jusqu’à Bordeaux puisque c’était notre route, ce qu’ils ont accepté.
Nous sommes partis par la route du Blayais plus sympa que l’autoroute.

Les souvenirs de Lizzie

Nous avons discuté de chose puis j’ai demandé à Elisabeth :
- Lizzie, excuse moi de cette question mais pendant les 15 jours que j’ai passé au collège, j’ai entendu plusieurs réflexions, si Lizzie était la elle ferait attention, du temps de Lizzie, elles n’auraient osé faire ça. C’est sur qu’avec Lizzie, elle se serait retrouvé à cheval immédiatement…. (je l’ai vu rougir)
- Oui elle parlaient bien de moi, j’ai été l’assistante de Miss Clark pendant un an et demi.
- Tu veux dire que…
- Oui c’est moi qui punissait aussi les filles dans le bureau des punitions ou au dortoir.
(Will a tourné la tête)
- Tu as l’air intéressée, aurais tu fait du cheval pendant ton passage au collège ?
- Non, mais j’ai assisté enfin deux élèves sont allées dans le couloir
- Pour recevoir 6 coups de tawse ?
- Oui c’est ça et une a été fessée en classe sous le bras de la professeure mais sans baisser la culotte.
- Oui c’est normal vous étiez en year 13, il n’y avait que les year 7,8 et 9 qui sont fessée fesses nues en classe. Donc pas de punitions pour toi
- J’ai vu le cheval le dernier jour, nous rangions et Ann m’a fait visiter le bureau des punitions et m’a donné une petite fessée sur le cheval mais c’était juste pour s’amuser.
- C’est sur que si tu étais passé par les mains de Lizzie, tu ne te serais pas amusé, raconte leur comment cela se passait, j’ai l’impression que Lucie n’attends que ça, par contre Thomas il faut bien regarder la route.
Dit Thomas en rigolant.
- Tu veux ?
Demanda Lizzi, à quoi je répondis sans hésiter :
- Oui bien sur.
- Allons y. Je vais commencer par le début mais je tiens à préciser qu’en 7 ans je n’ai été punie que 9 fois. Il ne faut pas croire que l’on était punie tout le temps. La première punition à laquelle j’ai assisté, c’est le jour de ma première rentrée. Cela faisait une heure que nous étions en classe quand une élève a ri bruyamment, la professeur l’a fait venir au tableau, s’est assise, l’a basculée sur ses genoux, les fesses vers la classe, la déculottée immédiatement, lui a donné une bonne fessée et l’a renvoyée à sa place, je peux vous promettre que nous avons toutes étaient calmes pendant plusieurs jours
- Lizzie, je suis sur que Lucie voudrait que tu lui parle de tes punitions
- Oui j’y arrive. Ma première punition cette année là c’est dans le couloir que j’ai reçu 6 coups comme tout le monde mains contre mur, penchée, jambes écartées et culotte baissée. Miss Clark y allait de bon cœur. Après il fallait retourner en classe, prendre une contenance, s’asseoir et reprendre le cours et surtout ne pas se faire punir car sinon c’était la visite de 18 heure dans le bureau des punitions.
- Tu n’as jamais été fessée en classe ?
- Non, enfin si mais laisse moi raconter - Les punitions suivantes ont été dans le couloir. Je n’ai reçu ma première punition dans le bureau des punitions qu’en year 9, j’avais 14 ans et j’avais répondu un peu sèchement à ma professeur d’histoire. Nous étions 4 élèves à être punies. Une year 7, moi une year 10 et une year 12. Nous attendions dans le couloir, la petite de 11 ans pleurait déjà, elle est rentrée la première et a reçu une fessée, on l’entendait crier, cela n’était pas rassurant. J’y suis allée ensuite. C’était la première fois que je rentrais dans cette pièce. Il y avait un bureau une table et le cheval, en fait un cheval d’arçon modifié puisque la partie en cuir était penché vers le bas. Quand on était dessus on avait les fesses en l’air et la tête en bas, il y avait 2 menottes en cuir de 15cms pour pas que cela nous blesse. Pour monter dessus il y avait un cube en bois. Une représentante des 7 niveaux était présente ainsi que les professeurs qui avaient demandé la punition, Miss Clark et son assistante Jane qui était en year 13. Douze personne allaient assister à ma punition, enfin 13 car la petite qui pleurait en se massant les fesses était là, la jupe et la culotte à ses pieds.
« - Mademoiselle Elisabeth, vous avez été incorrecte avec miss Simpson, votre professeur d’histoire, veuillez présenter vos excuses »
« - Miss je vous prie de bien vouloir m’excuser, cela ne se reproduira pas » (j’ai fait une petite révérence)
- « J’espère bien, c’est la première fois que vous venez ici, vous allez recevoir 12 coups de tawse après une fessée de préparation. Jane veuillez vous en occuper »
-  » Viens ( Elle m’a fait mettre les mains sur la tète, a dégrafé ma jupe et m’a fait monter sur le petit cube, penchée en avant mis les menottes puis a enlever le cube, j’avais les pieds qui ne touchaient plus le sol, elle m’a enlevée ma culotte puis est montée sur le cube et m’a fessée. Des claques pas trop forte mais j’ai senti mes fesses chauffer). Miss, elle est prête (Miss Clark s’est mise sur le coté et le premier coup est tombé)
- Aiiiiie
« - Miss Elisabeth, j’attends mieux de vous rappelez vous notre devise, Egalité, Discrétion et dignité ( les coups suivants sont tombés régulièrement, je serrais les poings au point de m’en faire mal, je me mordais la lèvre mais plus un mot n’est sorti de ma bouche). Jane vous pouvez la détacher. « 
- Je suis descendu du cheval, mes fesses me faisait un mal de chien, même à la maison je n’avais jamais reçu une punition comme celle-là et ce n’était pas fini car j’ai du me mettre à coté de la petite sans pouvoir me rhabiller, mains sur la tête et toutes les spectateurs voyaient ma toison qui a 14 ans était bien fournie à coté de la petite pratiquement encore lisse. Les deux autres sont venue, la première a reçu 6 coups de tawse et 6 coups de cane, c’est la première fois que voyais quelqu’un en recevoir, j’en ai eu des frissons, elle est venue nous rejoindre et ce fut le tour de la dernière qui avait 18 ans et a reçu 18 coups de tawse. Quand nous avons été toutes les 4 alignées, “ les spectatrices“ sont sorties, Miss Clark nous a fait un sermon et nous sommes rhabillées et nous sommes sorties. Je peux te dire que quand tu sors du bureau tu n’as pas envie d’y revenir.
- Je veux bien te croire…..
- En fait j’ai reçu 4 punitions dans le couloir, une fessée et deux punitions dans la salle des punitions
- Ben ça ne fait que 7 punitions
- Les deux autres, c’est un peu particulier, on verra ensuite. Après cette punition, je me suis très bien conduite et je n’ai pas été punie pendant deux ans mis à part deux fois dans le couloir. J’ai donc reçu la suivante au début de l’année year 12, j’avais 17ans. Je me suis disputée avec une élève de ma classe, un petit crêpage de chignon vous dites en France, nous avons toutes les deux été envoyées chez Miss Clark. Je n’en menais pas large et nous avons eu le droit un sermon sur notre attitude indigne d’une futur lady après quoi Miss Clark m’a dit de la suivre et l’autre élève devait revenir à 18 heures. Miss Clark, m’a dit que j’étais une bonne élève et qu’elle ne comprenait pas mon attitude, qu’elle savait que j’avais été provoquée mais que ma réaction était elle d’une gamine. Nous avons traversé les couloirs et nous sommes arrivées au Gymnase, elle m’a dit d’attendre, qu’il fallait qu'elle voit la professeur de gymnastique. Le cours s’est arrêté. Elle lui a parlé puis m’a fait signe de venir. Je me suis approchée, Miss Heurley a pris mon poignet
- Mesdemoiselles, Elisabeth qui est en year 12 se comporte comme vous dans la cour de récréation et se bat avec ses camarades. C’est une honte déjà pour vous mais elle qui va rentrer à l’université dans deux ans…….. Puisque vous vous comportez comme ces gamines je vais vous traiter comme elles (Là l’horreur, j’ai compris immédiatement ce qu’elle voulait faire)
- Non Miss je vous en pris j’ai 17 ans
- On ne le dirait pas Cathy ma chaise
- Je vous en prie
- Arrêtez sinon je vous fais tenir par deux élèves (j’ai compris que cela ne servait à rien de résister. Elle m’a couché sur ses genoux les fesses vers la classe. Il y a eu des murmures des filles en arc de cercle autours de nous. Murmures qu’elle a fait taire. Elle a remonté ma jupe. Je me retrouvais en petite culotte exposée à leur regard, j'étais honteuse et très humiliée alors que cela n’avait pas commencé. La première claque tomba puis une autre, Elle tapait par série, s’arrêtait dix secondes et recommençait ce qui était encore plus dur à supporter car on attend et on ne sait pas quand elle va recommencer puis elle accéléra et les claques furent bien plus violentes et surtout certaines tombaient sur les endroits de mon derrière où il n'y avait pas de culotte. Je commençais à remuer les jambes pour éviter les coups, mais la
pression de sa main gauche sur ma taille se fit plus intense. Elle s’arrêta. Je sentis qu’elle dégrafait ma jupe et demanda à une élève de me la retirer
- Non Miss please
- Taisez vous (d’un coup elle baissa ma culotte) elles sont bien rouges mais ce n’est rien. (Mes fesses étaient brulantes, j’avais bien reçu quelques fessée par mes parents, mais jamais aussi fortes. Elle tapait partout, mes fesses étaient un immense brasier, je pleurais et même au bout d’un moment je sanglotais à chaudes larmes, j’étais redevenu la petite fille de dix ans qui était punie. Mes fesses….c’était horrible, elle frappait de plus en plus fort. Le crépitement des claques résonnait dans le gymnase, je me mis à penser et si quelqu’un venait. elle continua méthodiquement d'une fesse à l'autre s'assurant de couvrir au complet mon derrière. Je pleurais. J'avais du mal à supporter chacune des claques espérant toujours que ce serait la dernière. N'en pouvant plus je me débattais mais c'était inutile, elle me tenait solidement) Arrêtez de gigoter comme cela vous montrez à ces gamines des choses que vous devriez cacher (Je ne pouvais pas, du coup des claques tombaient sur mes cuisses. Enfin elle s’arrêta, me releva, je frottais mes fesses mais elle me dit de mettre mes mains sur la tête, j’étais à moitié nue devant ces filles, elle me fit rester une dizaine de minutes ainsi avant de me permettre de me rhabiller de d’aller voir Miss Clark. Je suis remonté la voir dans son bureau
- Alors Elisabeth, j’espère que vous avez compris la leçon
- Ho ! oui miss
- Savez-vous pourquoi j’ai fait cela
- Parce ce que je me suis battu
- Oui mais si je vous ai fait punir par Miss Hurley, d’abord pour vous montrer ce que c’est qu’une fessée humiliante et aussi parce que c’est la meilleure fesseuse du collège. Montrez-moi vos fesses
- Ho Miss !!!
- Vous voulez un supplément (je me suis tournée et lui ai montrée) Qu’elle magnifique couleur, je pense que vous allez vous en souvenir surtout qu’à l’heure actuelle tout le collège doit savoir qu’une grande a été fessée cul nu devant toute une classe de petites
- Ho Miss taisez vous j’ai tellement honte
- Elisabeth, vous êtes une très bonne élève, une de nos meilleurs élèves, je connais votre mère, je sais que ce WE vous allez certainement recevoir une autre fessée quand votre mère saura pourquoi vous avez été fessée devant les petites. Je sais aussi qu’il vous arrive de fesser vos sœurs ou votre frère à la demande de vos parents car vous êtes l’ainée
- Oui c’est exacte, mais êtes vous obligé de faire un mot à mes parents
- D’après vous
- Oui Miss Clark, c’est normal
- Vous me plaisez de plus en plus et je pense à vous comme assistante pour l’année prochaine puisque Jane partira à l’université.
- Moi Miss ?
- Oui et je pense que vous serez une très bonne assistante
- Allez retournez en cours mais passez vous rafraichir avant.
- Vous ne me donnez pas le mot
- Quel mot (avec un grand sourire)
- Ben dis donc, elle ne t’a pas raté, enfin tu n’as pas été fessée par ta mère
- Non heureusement, Juste vous raconter cela j’avais l’impression que mes fesses chauffaient

L’assistante

- Et tu es vraiment devenu sont assistante ?
- Oui mais plus tôt que prévu car un mois plus tard aux vacances de noël, Jane s’est cassé le bras droit et Miss Clark m’a demandé d’être son assistante pour la fin de l’année scolaire
- Tu n’as plus été punie du coup
- Non le fait d’être son assistance créait des jalousies, il fallait que je sois prudente.
Nous en étions là quand nous sommes arrivés sur Bordeaux, ils nous ont proposé de manger avec eux. Avec Lizzie nous sommes allées acheter du pain et quand nous sommes rentrées chez eux, Thomas m’a fait venir dans le salon
- Will m’a proposé de nous prêter leur maison au bord de la plage à Hourtin, il m’a dit que comme ça tu pourrais discuter avec Lizzie car vous avez encore beaucoup de choses à vous raconter. Moi je suis sur qu’en plus tu n’attends qu’une seule chose c’est de te faire fesser par Lizzie, j’ai bien vu ta tête dans le rétroviseur quand elle racontait ses histoire, d’ailleurs je suis sur…( il a avancé sa main et m’a passé sous ma jupe ) je m’en doutais, tu mériterais que je te donne une fessée ou….que je demande à Lizzie de t'en donner, c’est ce que je pensais ne me donne pas ta réponse je te connais si bien, alors que faisons nous ?
- Tu me connais si bien mon amour mais cela ne te dérange pas, de toute façon il faut que nous soyons le 18 à Hendaye car les enfants et mes parents arrivent, cela nous fait 10 jours ici. J’ai peur qu’on les dérange, on va les voir



- Thomas vient de me dire que Will lui a proposé de nous prêter votre maison de Hourtin, si tu es d’accord Lizzie, nous voulons bien mais comme Will va travailler, tu restes avec nous
- Je ne veux pas vous déranger, des jeunes mariés….
- Tu ne nous dérange pas bien au contraire et puis je pense que Lucie a encore beaucoup de souvenir à échanger avec toi
- Allez on mange et on y va.
Ils ont une belle maison en bord de plage, enfin à l’époque parce qu’aujourd’hui, la maison est bien entourée mais à l’époque la maison la plus proche était à plus de 200 mètres. 3 chambres, un grand salon et une belle terrasse avec un jacuzzi et un hammam.
Installés, nous nous sommes mis sur la terrasse et Lizzie a repris son récit.
- Trois jours après ma nomination officielle, mais attention ce n’était pas une sinécure car cela ne me dispensait pas de mes cours, mes devoirs ect…, c’était du travail en plus, surveiller l’étude, les dortoirs. Je ne pouvais pas. entrer chez moi tous les WE car il y avait des élèves qui restaient au collège. Par contre je pouvais mettre des culottes autres que noires et porter des bas avec un porte jarretelle. Enfin dés le lendemain j’ai eu mes premières punitions et trois jours plus tard, il n’y avait qu’une punie et Miss Clark m’avait annoncé “ que c’était à moi de décider de la punition“. J’ai tout de suite compris que c’était un test surtout quand j’ai vu qui était la punie. C’étais Sarah, ma meilleure amie, nous avons toujours été dans la même classe et je peux bien le dire puisque Will est au courant, il nous arrivais de nous retrouver la nuit même si c’était formellement interdit
- Tu veux dire que vous…..
- Non on faisait du tricot ! elle avait des mains tellement douce et une langue mais bon revenons à sa punition. Je venais de lire son nom et je sentais les yeux de miss Clark dans mon dos, elle était punie pour ne pas avoir par deux fois rendu un devoir dans les temps.
- Alors Lizzie (Miss Clark à partir de ce moment là m’a appelé Lizzie comme tout le monde, même mes professeurs)
- Elle est bête car je sais que ce devoir, il est fait donc je pense que la punition n’a pas besoin d’être dur mais qu’il faut qu’elle s’en souviennepour le prochain devoir
- Votre résonnement est intéressant
- Vous m’avez dit que quand se conduit comme une gamine on doit être punie comme une gamine
- Oui comme je l’ai fait avec vous
- Je pense qu’une fessée à son âge sera plus productive que la tawse ou la cane.
- Faite là entrer……..
- Sarah c’est Miss Elisabeth qui va vous punir pour ne pas voir rendu votre devoir
- Ho Lizzie tu ….
- Sarah à qui parlez-vous ?
- Excusez moi, Miss Elisabeth je
- Taisez vous et venez ici (je l’ai basculé sur mes genoux)
- Non pas la fessée j’ai 17 ans je vous en prie, nooon ma jupe….ma culotte ho non j’ai trop honte
- Je ne veux plus vous entendre sinon je prends la cane (Je lui ai donné sa fessée, ma première fessée. Je ne me suis arrêtée que quand elle a commencé à pleurer. )
- Relevez-vous Sarah et rhabillez-vous, je vous préviens si vous oubliez encore une fois, Miss Elisabeth vous refessera mais en classe devant vos camarades, c’est bien compris
- Oui miss
- Vous pouvez repartir en étude
- Bien Lizzie, c’était une belle fessée, je pense que j’ai fait un bon choix.
- Après cela, j’ai punie avec elle tout le reste de l’année et ma dernière année au collège.
- Et toi tu devais nous parlé de tes deux autres punitions
- Oui, avant il faut que je vous explique que tous les trimestres le comité nous rendait visite, c’était les représentants des donateurs car comme toutes les écoles privées, elles ne vivaient que des dons. Le président était un Lord, nous l’appelions Sir Edouard, il y avait un autre homme et trois femmes, ils avaient tous entre 60 et 80ans. Quand ils venaient, ils faisaient le tour du collège, vérifiait les comptes et assistaient aux punitions. Ce jour là, il y avait sept punies. A la fin tout le monde est sorti sauf Sir Edouard.
- Miss Clark, félicitations, les punitions ont été données dans le respect des règles, ceci s’adresse aussi à vous Miss Elisabeth. Une petite question, pourriez vous regarder dans le livre des punies, combien en aviez vous hier ?
- Deux Sir
- Et avant-hier
- Une
- Et le jour d’avant
- Deux
- Bien (il a sorti un petit agenda) et le…d’avril
- Six
- Le……de janvier
- huit
- La veille
- Nous n’avions pas de punie, cela arrive heureusement
- Oui, oui bien sur, aujourd’hui qui a demandé les punitions
- Trois l’on été par des professeurs et quatre par Miss Elisabeth
- Rien ne vous choque Miss Clark
- Heeeu non
- Moi si, c’est que les deux dates que je vous ai données coïncident avec nos visite, donc quand nous ne sommes pas là vous avez entre aucune punie et trois punies et quand nous venons entre six et huit, au niveau probabilité, ce n’est pas logique. Miss Elisabeth, à voir la couleur de votre figure, je crois que vous avez compris ce que je veux dire.
- Oui Sir je pense…. je reconnais que quand vous venez je suis plus sévère que les autres jours, je reconnais que…….
- C’est inadmissible, dans notre devise, n’y a-t-il pas le mot Egalité
- Si ….
- Je suis déçu Miss Clark que vous ne vous en soyez pas aperçue, Miss Elisabeth pourquoi faire cela
- Je suis désolée, je pensais que les membres du comité voulaient….Je vous promets que cela ne se reproduira plus ……et si vous pensez que je mérite d’être punie je le comprendrais (mais pourquoi ai-je dis cela, je suis folle)
- Je pense Miss Elisabeth que c’est en effet une bonne idée. Je sais que vous êtes une très bonne élève et qu’en six ans vous n’êtes venue ici qu’une fois en tant que punie, je ne me trompe pas
- Non Sir Edouard
- Je ne vous ferais donc pas monter sur le cheval néanmoins je vais vous punir sur cette table, veuillez vous préparer, vous connaissez la procédure, Miss Clark, veuillez me donner la tawse (J’ai passé mes mains sous ma jupe et enlevé ma culotte, j’ai défait mes bas et enlevé mon porte jarretelle) La jupe également
- Ho ! Sir
- Vous allez me faire regretter ma mansuétude (j’ai donc enlevé ma jupe et me suis penchée sur le table) Miss Clark, veuillez tenir ses mains que je puisse officier tranquillement. (Je serais les dents, le premier coup arriva et je poussais un grand cri)
Mademoiselle, je vois que notre devise n’a aucun intérêt pour vous, Egalité, vous ne respectez pas, Dignité, vous n’en avez pas beaucoup
- Désolée Sir, cela ne se reproduira pas (Il me donna cinq coups tout aussi violents, entre chaque coup j’avais beaucoup de ma à reprendre ma respiration)
- Bien, Miss Clark, la cane, j’avais l’intention de vous en donner douze coups mais je pense que six of the best suffiront et vous comptez
- Oui Sir Edouard (je sanglotais tellement mes fesses me faisait mal, jamais je n’avais eu aussi mal et il restait les six coups de cane
- Êtes-vous prête ?
- Oui Sir Edouard (Heureusement que Miss Clark tenait mes poignets)
- Slack !!!!! J’en ai eu le souffle coupé
- One Thank you Sir
- Slack !!!!!
- Two Thank you Sir
- Mes fesses me brûlaient je pensais même qu’elles saignaient, jamais avant ni depuis je n’ai ressenti cela, les quatre autres coups tombèrent aussi forts, Miss Clark m’a relâchait les mains et je me suis relevée doucement en tenant mes fesses, je n’arrivais pas à parler. C’est Miss Clark qui m’a remis mon porte jarretelle, mes bas et m’a dit de me mettre mains sur la tête.
- Tu veux dire que Sir Edouard voyait ton intimité
- Mis à part mon père, le docteur et mon petit frère mais lui ça ne compte pas, c’était le troisième homme à me voir nue mais honnêtement, c’était le cadet de mes soucis, la seule chose qui comptait c’était mes fesses
- Je pense miss Elisabeth que vous avez compris la leçon et que maintenant vous appliquerez la devise de notre école
- Oui Sir Edouard
- Sir Edouard
- Oui Miss Clark
- Je pense que je suis aussi responsable que mademoiselle Elisabeth et …..
- Je le pense aussi
- Elisabeth vous pouvez sortir
- Non je pense qu’il est préférable qu’elle reste aussi bien pour vous que pour elle, la leçon lui sera profitable. D’ailleurs, la logique veut que la punition soit la même. Judith (quelle surprise pour moi, il l’appelait par son prénom) vous êtes d’accord
- Oui Sir Edouard
- Elisabeth avez-vous déjà assisté à une punition de professeur
- Oui Sir
- Alors préparez Judith
- Sir je pense pouvoir me préparer seule
- Bien alors faites le (Elle a enlevé sa jupe, son porte jarretelle ses bas, a pris le bord de sa culotte) Que faites vous Judith vous êtes professeur vous avez le priv…
- Sir, vous avez dit la même punition (elle a baissé sa culotte nous faisant découvrir sa toison blonde à travers de laquelle on distinguait sa fente puis elle s’est penchée sur la table) Lizzie mes mains (J’ai serré ses poignets)
- Sir Edouard lui a donné la même punition que moi six coups de tawse et six coups de cane, la différence est que mis à part pour compter, pas un son n’est sorti de sa bouche mais des larmes coulaient de ses yeux. Quand il a terminé, elle s’est retournée, a essuyé ses yeux puis s’est rhabillée.
- Je vous laisse, le comité m’attend, personne ne saura ce qui vient de se passer, je dois avouer que le jour où je vous ai choisi Judith pour ce poste je ne me suis pas trompé et en choisissant Miss Elisabeth, vous avez fait le bon choix, néanmoins, il serait logique que vous la puissiez pour ce qui vient de se passer mais pas aujourd’hui.(il a quitté la salle)
- Lizzie, dépêchez vous de mettre votre jupe, ne mettez pas votre culotte vous ne la supporteriez pas, je n’ai pas mis la mienne ? la cloche du diner va sonner allons à l’entrée du réfectoire.
- Le Diner a été très dur assises sur une chaise en bois mais impossible d’y échapper. A la fin de celui-ci, les élèves avaient une heure et demie soit pour aller finir leur devoirs ou aller à la bibliothèque. A 21 heures 30 tout le monde devait aller au dortoir avec extinction des feux à 22 heures.
- Ca rigolait pas et après tu as encore été punie pour cette histoire
- Lucie laisse là raconter, va y Lizzie continue, la journée n’était pas finie
- Will non !!!
- Lizzie, tu dois tout raconter
- J’ai peur qu’ils soient choqués
- Hum je sens que ça va être intéressant

Après les fessées ...

- Thomas ne te moque pas. Bon alors après le repas Miss Clark m’a demandé si j’avais des devoirs à faire, je lui ai dit que j’étais à jour, elle m’a dit de la suivre. Elle m’a emmené dans son appartement, c’était la première fois que j’y allais.
- Comment vont tes fesses
- J’ai très très mal, ça va être très dur demain en plus j’ai un contrôle
- Enlève ta jupe
- Ma jupe
- Oui ta jupe, tes bas ton porte jarretelle et allonge toi sur le ventre
- Mais….
- Fais ce que je te dis (j’ai obéis, elle est revenue avec un petit pot à la main) Ca va être un peu froid il était dans le frigidaire.
- Elle m’a mis de la pommade sur les fesses, c’était froid mais agréable. Plus elle passait sa main sur mes fesses plus je sentais une douce torpeur m’envahir. Avec ses pouces elle partait de mes cuisses et remontait, de temps en temps l’un de ses ongle effleurait ma fente, puis les caresses se firent plus précises, je poussais des petits soupirs, je lui disais que ce n’étais pas bien mais sans conviction.
- Si tu veux je peux arrêter
- Non non mis Clark continuez
- Appelle moi Judith mais uniquement quand nous sommes seules
- Oui MI..Judith continue c'est si bon c’est si bon
- Aussi bon qu’avec Sarah
- Ho mais
- Je sais très bien ce que tu fais avec elle mais ne t’inquiète pas.
- C’est meilleur
- Maintenant ses caresses remontaient le long de ma fente et atteignaient mon petit bouton, elle me fit retourner délicatement et continua puis me demanda si avec Sarah nous ne servions que de nos mains, de la tête je fis non alors elle continua avec la langue mais là encore entre Sarah et elle il n’y avait aucune comparaison.
- Tu es vraiment une petite cochonne mais je m’en doutais, ha tu es encore vierge, c’est bien et de plus en plus rare
- Je l’entendais comme dans un rêve, elle m’a fait jouir puis elle m’a demandé de lui rendre la pareil ce que j’ai fait. Pendant les neuf mois suivant je me suis rendu plusieurs fois dans son appartement sans que Sarah ne le sache.
- En fait vous êtes deux petites cochonnes, heureusement que Sir Edouard ne l’a pas su
- Oui tout à fait
- Donc tu n’as jamais eu ta punition
- Si quelques jours après la fin de l’année scolaire, je suis passée au collège pour prendre des papiers pour l’université, je l’ai rencontré par hasard, elle m’a dit qu’elle voulait me montrer quelque chose. Elle m’a fait rentrer dans le bureau des punitions, a fermé la porte à clef, m’a prise par le poignet
- Tu n’as pas oublié quelque chose
- Quoi
- Que tu m’a fais punir, je te dois quelque chose
- Ho non s’il te plait (elle m’a mise sur ses genoux, je me suis laissé faire a remonté ma jupe, baissé ma culotte et m’a donné une fessée mais pas pour rire, une vraie) Voila maintenant on est quitte. Je me suis relevée, rhabillée et nous nous sommes embrassée
- Judith de quelle droit avez-vous fessée une personne ne faisant plus partie du collège, ce n’est pas possible, venez ici
- Mais……. (je l’ai couché sur mes genoux)
- IL n’y a pas de mais, quand je pense que cela fait surement des années que toutes les élèves de ce collèges rêvent en secret le soir dans leur lit en se caressant d’allonger la redoutable Miss Clark sur leurs genoux, de relever cette jupe noire, de baisser cette culotte verte et de découvrir ces belles petites fesses, mais oui elle ont la chaire de poule, elles ont raison, ce n’est pas la peine de les serrer Judith car je vais les faire danser. Oui elles rêvent toutes de cela et c’est moi Lizzie qui vais avoir ce privilège.
Je lui appliquais une bonne claque sur la fesse droite puis une sur la gauche, les claques tombaient régulièrement, J’y allais de bon cœur, en plus j’étais sur que c’est ce qu’elle attendait car elle ne faisait rien pour se défendre Ma main continuait son œuvre, le bureau était envahi du crépitement des claques sur la peau rougissante des fesses de Judith, maintenant je tapais de toutes mes forces. Sous la rapide et chaude averse, elle se tortillait, comme une gamine, gémissant, ses fesses si laiteuses de blonde avait maintenant une couleur rubiconde, une belle couleur de tomate écrasée. Elle lançait ses jambes en arrière et quelques claques atterrissaient sur ses cuisses ou sa fente, lui faisant pousser quelques cris, je finis en lui donnant une dizaine de claques très fortes. Je la relevais, la prenais dans mes bras.
- Ma chérie merci, moi aussi j’ai rêvé qu’un jour une élève fasse cela. Que ça soit toi me ravit encore plus et crois moi tu l’as très bien fait j’ai les fesses en feu mais pas que ça.
- Elle m’a fait mettre a genou devant elle et j’ai léché sa fente jusqu’à la jouissance, voila j’ai fini
- Tu ne l’as jamais revu









Rencontres d’anciennes

- Bien sur que si, à la fête des anciennes du collège qui a lieu tous les ans le samedi suivant le 26 juillet de façon à ce qu’un maximum puisse venir, nous sommes entre 100 à 200 à venir. Elle a 57 ans est toujours chargé de la discipline mais il n’y a plus de punitions sauf ce jour là
- Elle doit trouver la vie bien morne
- Non pas du tout ca ne te dirait d’assister à une de nos fêtes
- Si j’y ai le droit, ce serait fantastique, je voudrais bien la revoir même si je ne l’ai pas connu aussi bien que toi
- J’y vais à la fin du mois, je demanderais pourquoi pas l’année prochaine
- Oui, ça ne te dérangerais pas Thomas
- Pas du tout, dis donc Will et toi c’étais pareil
- Pratiquement pour les year 7 et 8 il t avait aussi la fessée en classe et les autres punitions par contre après le slip était mis comme pour les professeures de Lizzie, on ramenait le slip vers la raie des fesses et on le tirait vers le haut car sinon quand on se relevait cela aurait été gênant car beaucoup comment dites vous en France oui ils bandaient.
- Et tu as été puni
- Plus souvent que Lizzie, moi la dernière fois c’était à l’université, en rentrant un soir, j’avais uriné sur le parterre de fleur de l’université et le conseil des ancien a décidé que c’était une conduite inappropriée pour un gentleman et j’ai reçu 6 coups de cane sur mon pantalon mais ça fait mal.

Le mariage de Will et Lizzie

- Si ce n’est pas indiscret comment vous vous êtes connus?
- Dans le train, nous faisions nos étude moi à Cambridge et elle à Londres. Nous rentrions pour les vacances d’étéNous nous sommes retrouvés dans le même compartiment d’un train, arrivant vers minuit. Elle s’est endormie sur mon épaule. Arrivés, j’ai proposé de la raccompagner. Pour me remercier, elle m’a proposé de boire un verre, j’ai accepté. Nous sommes sortis plusieurs fois pendant les vacances et nous nous sommes revus sur Londres tout au long de l’année scolaire suivante. Un soir pendant les vacances l’année suivante. Nous étions dans la maison de mes parents, seuls, allongés sur le lit. Je précise que nous n'en étions qu'aux caresses car Lizzie voulait rester vierge. Nous écoutions de la musique, elle était sur le ventre et ma main remontait le long de ses jambes. J’ai mis ma main sur ses reins
- Ma petite Lizzie, je voudrais te dire que …..(j’ai remontais sa jupe et baissais sa culotte)
- Mais que fais-tu ? Arrête…Will..
- Je te montre (j’ai claqué ses fesses juste pour qu’elles prennent un peu de couleur et de chaleur) je te montre ce qui arrivera quand nous serons mariés et que tu ne seras pas sage
- Quoi ?
- C’est pourtant simple j’ai l’intention de te fesser comme toute bonne épouse anglaise que cela te plaise ou non, je pense que je ferais aussi l’acquisition d’une tawse et vraiment si tu n’es pas sage d’une cane.
- Williams, est ce que ce serait une demande en mariage, parce que si c’est ça, il n’est pas question que je me marie avec un homme qui ne sait pas fesser (et là il m’a donné une bonne fessée, croyez moi, mes fesses étaient écarlates et brulantes) arrête je suis d’accord je veux bien t’épouser (et nous nous sommes embrassés mais nous ne sommes pas allés plus loin)
- Voila comment Will m’a demandé en mariage
- C’est vraiment original, il a tenu sa promesse
- Ho oui sans problème
- Mary nous a raconté ta première fessée avec Thomas, j’aurais bien voulu être à ta place
- Bon les filles si nous voulons manger
Nous sommes partis au restaurant.
A suivre………