lundi 22 janvier 2018

Entretiensavec Lucie, quatrième partie

Entretiens avec Lucie
Quatrième partie.




Avertissement de « l’éditeur »

Dans ce quatrième entretien, Lucie nous révèle comment la fessée fait partie de leur vie non seulement de couple mais aussi de famille.
Il est nécessaire de préciser que ces confidences doivent être considérées comme de la fiction, même si c’est de la « fiction vraie » et surtout qu’elles ne sont en aucune manière une incitation à reproduire ces habitudes. La fessée est une pratique entre « adultes consentants » et en aucune manière une méthode d’éducation pour les enfants.
Précisions aussi que les opinions de Lucie sur les méthodes éducatives … n’engagent qu’elle-même.

Pratiques en famille

Lucie, lors de nos conversations, j’ai cru comprendre que vos enfants étaient d’une certaine manière à l’origine de vos premières fessées par celui qui allait devenir votre mari. Mais savent-ils que celui-ci est « sévère » avec leur maman ?
Je vous réponds sans la moindre hésitation : « oui » Ma fille et le fils de Thomas le savent. Et nous nous en sommes aperçu dans des circonstances que je vais vous raconter :

Une conte de Noël

Le matin du 24 décembre 1981 Cécile et Olivier se sont assis devant le sapin en faisant semblant de ne pas voir que nous étions dans la cuisine
- Tu sais finalement quand les parents pensaient qu’on croyait au père noël c’était pas mal car on pouvait toujours leur demander des choses qu’ils n’osaient pas nous refuser, maintenant ils discutent sur ce que nous voulons, ben non c’est trop cher, pas pour toi, tu es trop jeune ou trop vieux, on pouvait demander des trucs pas possible, ils faisaient de efforts
- Oui tu as raison, ben moi cette année j’aurais demandé qu’un truc, une maman
- C’est drôle, moi j’aurais fait comme toi j’aurais demandé un papa en plus il n’aurait eu besoin de chercher loin et même sans ses lunettes, ils les a sous ses yeux.
- Surtout qu’ils font comme s’ils étaient mariés, ils font même l’amour ensemble
- Ben oui comme les parents, même que de temps en temps ton père devrait lui mettre la main devant bouche, l’autre jour cela m’a réveillé et en plus quand maman fait une bêtise, ton père lui donne une fessée, tu as raison ils font tous comme des parents. Vraiment dommage que le père noël n’existe pas.
On était là bouche bée tous les deux. Ils sont partis dans la chambre, nous allions en parler quand ma belle mère est arrivée pour prendre les enfants car nous devions aller faire les courses. Le soir réveillon, messe de minuit et bien sur quand nous sommes rentrés le père noël était passé. Tout le monde a fait semblant de découvrir ses cadeaux et alors que je ramassais les papiers déchirés, Thomas a dit « tiens il reste un cadeau et il est venu vers moi.
- Il restait un paquet, le père noël est passé cet après midi pendant que tu finissais les courses et m’a dit qu’il y aurait un paquet supplémentaire pour toi. Un souhait fait par des enfants qui ne croient plus en lui et il voulait leur prouver qu’il existait. Qu’il avait trouvait ce qu’il avait demandaient. Il m’a dit ce que c’était. Que ce cadeau n’était que provisoire car il n’avait pas eu le temps de trouver la vraie. Odile veut tu bien m’épouser afin que nous réalisions le vœu de ces enfants.
Il a ouvert la boite dans lequel il y avait une bague mais en fait un jouet qu’il avait trouvé dans la boite à bijou de Cécile. JE dois avouer que je ne m’y attendais pas car nous n’en avions jamais parlé, Je voyais les enfants suspendus à ma réponse.
- Oui mon amour
Nous nous sommes embrassés et deux tornades nous ont sautées dessus.
C’est une belle histoire ! Donc, pour vos enfants, la fessée, c’est pour « les papas et les mamans » ? Pourtant, j’ai aussi cru comprendre que eux aussi … ?
J’ai voulut raconter cela car même si nous sommes ce que l’on appelle une famille recomposée, nous sommes très fusionnels Oui nous avons donné quelques petites fessées à nos enfants mais toujours sans violence ni brutalités, 10 claques maximum, ils ne nous en ont jamais voulut, la preuve la petite scène suivante. Quand elle avait 15 ans, Cécile a été grossière avec une de ses professeurs quand je l’ai appris, je l’ai rejointe dans sa chambre et je lui ai donné une fessée puis comme d’habitude elle est venue dans mes bras et nous avons fait un câlin.
- Je suis désolée Cécile mais là tu as été trop loin, tu te rends compte que cela faisait 3 ans que je ne t’avais pas punie comme ça
- Ne t’en fais pas maman je la méritais et puis cela prouve que tu m’aimes et tu seras toujours ma maman Toute la vie. Je suis sur que si dans 20 ans je fais une grosse bêtise, tu n’hésiteras à me donner une fessée je t’aimerais toujours.
Cela prouve que l’on peut aimer ses enfants mais également sévir quand il le faut et qu’ils le comprennent contrairement à ce que disent des parents adeptes de Mme Dolto, la grande prêtresse de l’enfant roi dont on voit aujourd’hui les dégâts occasionnés par ses préceptes



La découverte du martinet

Nous allons changer de sujet, Lucie, puisque ces entretien concerne la fessée dans le couple, et pas les méthodes d’éducation des enfants. J’ajoute que, de mon point de vue, pour être certains qu’il n’y ait jamais de dérapages en la matière, il serait nécessaire que chaque fois qu’un parent donne une fessée à un enfant, il reçoive la même punition. Et comme lui – ou elle – sont ds adultes, il serait juste que ce soit le même nombre de coups, mais pas à main nue … Vous voyez ce que je veux dire ?
Oui, bien sûr, monsieur … Mais je vous rassure, pour nos enfants, il s’est toujours s’agit de petits « panpan cucu » Le martinet … il ne sert que pour moi ! Et, si cela vous intéresse, je vais vous raconter comment nous avons acquis notre premier martinet :
Pour les vacances de Pâques, nous sommes partis tous les deux crapahuter, notre grand plaisir. Nous sommes allés dans le désert des Causses. Nous avions pris une chambre d’hôtes. Le premier jour nous avons sympathisé avec Catherine la patronne Une femme d’une cinquantaine d’année. Le deuxième soir j’étais en train d’embêter Thomas qui préparait l’itinéraire du lendemain et il en a eu assez, il m ‘attrapé, m’a plaqué sur le lit et m’a donné une bonne fessée pour me calmer.
Le lendemain nous avons fait une belle ballade et en rentrant le soir
Catherine était sur le pas de la porte en train d’éplucher des pommes.
- Vos fesses ne vous pas trop fait souffrir (j’ai rougi)
- Non merci ça va
- Dites monsieur, si vous ne voulez pas vous faire mal aux mains, je peux vous prêter ça (elle nous a montré un très beau martinet avec un manche noir sculpté qui pendait dans la cuisine)
- Il est superbe
- Fait sur mesure, enfin mes fesses ont un peu grossie mais il s’en sert encore
- Qui ça
- Ben mon mari quand il rentre, là il est dans la montagne avec les moutons.
- Où vous l’avez trouvé
- C’est la Clémence qui les faits, elle est dans un hameau avant d’arriver sur le causse noir, elle tient un genre de boutique épicerie poste bistrot cordonnier bien qu’elle ait 80 ans. Vous allez passer par le hameau en allant sur le causse. Si vous en voulez un pour votre dame Elle vous le fera et c’est de la bonne qualité, celui-là il a plus de 10 ans. Je peux vous monter jusqu’au début du sentier parce que faire 10 kms de route ce n’est pas très intéressant. Je vous laisse, à tout à l’heure pour le diner, une bonne soupe, boudin aux pommes et châtaignes fromage et tarte ça vous va.
Nous sommes montés dans la chambre.
- Tu vois je te l’ai dit elle a tout entendu
- Et alors, tu as honte
- Ben oui un peu
- Tant mieux cela t’apprendra à m’embêter.
Le lendemain Elle nous a emmené comme prévu jusqu’au chemin qui menait au hameau et nous avons marché une heure sur une pente assez raide
La boutique c’était en fait la salle à manger.
- Bonjour Madame, c’est Catherine qui nous a conseillé de venir vous voir car nous voudrions vous acheter un martinet, elle nous en a fait voir un très beau avec un manche en bois sculpté.
- Oui je vois avec des lanières de cuir de bœuf les plus dures mais avec son postérieur il lui faut bien cela, c’est pour vos enfants ? ou votre chien peut-être ?
- Répond Lucie la dame te pose une question (je suis devenue écarlate)
- Pas la peine de répondre, votre visage a répondu pour vous, votre monsieur va s’en servir pour épousseter vos fesses.
- Oui, enfin……,
- J’ai plusieurs sorte de martinet cela dépend si c’est pour punir votre dame, mais elle a l’air si gentille. A moins que ce soit pour au contraire lui donner envie mais à son âge il ne doit pas falloir la pousser. De toute façon il va falloir que je prenne ses mesures car chaque personne a son martinet. Il est évident qu’un martinet pour Catherine n’irait pas pour vous. La longueur des lanières est le paramètre le plus important car voyez vous il ne faut pas qu'elle dépasse l'arrondi des fesses quand elles cinglent. Je vais commencer les mesures, penchez vous largeur, longueur hauteur bien. Maintenant pour savoir quel genre de peau je vais prendre j’aurais besoin que vous enleviez votre short
- Hein mais non
- Lucie je te conseille d’obéir à madame sinon
- Ce n’est pas la peine de lui promettre une fessée parce que de toute façon il va falloir qu’elle en reçoive une car sinon je ne pourrais pas me rendre compte de l’élasticité et de la fermeté de ses fesses.
- Je ne suis pas d’accord
- Lucie où tu le baisses toi-même car si c’est moi qui le baisse, et je demanderais à madame son martinet le plus dur pour m’’occuper de tes fesses.
- Non non !!!
- Ne vous inquiétez pas Madame, ce ne sera pas méchant, voyez monsieur elle est obéissante
J’ai baissé mon short. Elle s’est assise derrière moi, à commencer à bouger mes fesses de droite à gauche puis de haut en bas
- Passons aux choses sérieuses (elle a baissé ma culotte)
- Non, arrêtez de bouger comme ça sinon je ne peux pas travailler
- Lucie !!!!!
Elle a tripoté mes fesses, les pinçant légèrement, les soupesant donnant de petites claques
- Vos fesses sont magnifiques, bien fermes élastiques, elles répondent bien, j’ai l’impression que l’on doit s’en occuper souvent. Pour être sur de la matière que je vais employer, je pense donc vous donner une petite fessée afin que je vois comment réagissent ces petite fesses, regardez elles ont froid, elles ont la chaire de poule. Monsieur si vous voulez vous en occuper.
- Je vous laisse faire, je suppose que vous devez avoir l’habitude
- Cela fait environ six mois que je n’en ai pas donné mais ne vous inquiétez pas je connais la méthode, j’ai eu 8 enfants. Allez venez sur mes genoux,
- Je vous en prie, est bien nécessaire ?
- Oui mais vous allez voir une fessée comme ça, vous en redemanderez
Je me suis allongée sur ses genoux, elle a commercé par caresser mes fesses donner quelques petites tapes. La fessée ne fut pas forte mais intense et rapide, elle faisait des réflexions sur mes fesses, sur leur coloration, leur rebond...
Elle s’arrêta de me fesser continua de les caresser puis me demanda de me lever et de poser les mains sur le plat de la chaise.
- Monsieur, je vais faire les essais car je pense avoir plus l'habitude que vous si c’est votre premier martinet
- Bien sur faites.
- Bon on va commencer par celui-ci
Elle promena les lanières sur mes fesses que je serrais puis cingla mon petit derrière mais doucement et petit à petit les cinglées furent plus fortes, mes fesses me cuisaient. Je gémissais, dansait d'un pied sur l'autre à chaque cinglage qui zébrait de plus en plus mes
fesses. J’avais les fesses en feu, mais en même temps je sentais mon sexe s’ouvrir et j’espérais que personne ne verrait que je mouillais. Elle passa sa main sur mes fesses.
- Elles réagissent bien et je constate que votre corps vous trahi, petite coquine. Je pense que ce genre de martinet ira bien pour les punitions, enfin si Monsieur estime cela nécessaire, vous allez me dire que vous êtes toujours sage mais une femme sage, est ce que cela existe? C’est du cuir de vache, vous voyez il y a 16 lanières et non pas 12 comme cela la douleur est identique mais les marques restent moins longtemps. Que diriez-vous en plus d’un martinet pour le plaisir. Il est fait en velours en peau de lapin et en peau de chèvre

En peau de lapin !

- Cela existe
- Oui ma petite dame, vous allez voir... voila. Restez dans cette position mais écartez bien les jambes.
Elle se recula et lança les lanières qui atterrirent sur la jointure de mes fesses mais aussi sur mon sexe, j’ai fermé mes cuisses, surprise.
- Je vous ai fait mal
- Non, c’est surprenant
- Je vais encore plus vous surprendre, reprenez votre position
Elle cingla …directement mon entrejambes et mon sexe, j’ai poussé un cri, une des lanières avait touché le haut de ma fente et mon petit bouton.
- Vus avez mal
- Ho non c’est… recommencez ;;;; oui ou i encore encore
C’était incroyable je n’en revenais pas, elle me donna 5 coups de plus sur les fesses et mon sexe. Les lanières étaient toutes luisantes
- Monsieur je pense que vous devriez vous occuper de votre dame, dans l’état où elle est, il n’y a que vous qui puissiez faire quelque chose pour elle, sinon elle va mouiller mon carrelage. Je vais aller vous chercher un pichet de lait de chèvre, prenez votre temps (elle est sortie, je me suis jeté sur le short de Thomas
- Viens mon amour prends moi vite je n’en peux plus
Thomas a enfourné son membre d’une seule poussée et j’ai senti son pubis taper mes fesses, j’ai poussé un grand cri, thomas a mis sa main sur ma bouche. Heureusement car je pense que tout le village serait venu tellement j’avais envie de hurler Il continuait ses vas et viens et à chaque fois que son pubis touchait mes fesses, une douleur irradiait tout mon postérieur Mon plaisir prenait le pas sur la douleur et j’explosais, un orgasme énorme parcourra mon corps et quelques secondes plus tard c’est Paul qui jouissait en moi. Nous restions penchés sur la chaise. Je n’en revenais pas je venais de me faire fouetter le sexe et j’avais eu un orgasme. Nous avons repris une tenue correcte quand elle est revenue.
- Je pense que vous voulez les deux
- Oui bien sur, c’est incroyable, je ne pensais pas que c’était possible, j’ai encore du mal à m’en remettre
- je vais vous mettre deux beaux manches et pour le martinet qui vous a donné tant de plaisir je vais mettre 18 lanières car madame est très sensible du clitoris les cinglages seront plus lourdes mais plus douces et auront plus d'effet sur lui.
- Merci combien vous doit on
- Rien vous venez de me faire passer un très bon moment et puis j’ai 82ans alors l’argent. Qu’en repassez-vous ?
- Demain en fin de matinée, nous passons la nuit au refuge du désert.
- Vous allez voir c’est très impressionnant car il n’y a que le vent s’il y en a sinon c’est encore pire on sursaute à chaque bruit. Je vous prépare les martinets pour demain.
Nous sommes partis. Apres 3 heures de marche nous étions sur le causse, nous avons vite compris pourquoi cela s’appelle le désert. Rien pas un oiseau, pas un bruit. Nous sommes arrivés au refuge, il y avait 4 paillasse en paille, une lampe a pétrole une bassine pour l’eau et quelques recommandations. Pour l’eau il fallait aller au petit lac à 1km.
Nous avons fait la ballade. L’eau était glacée. Pas d’autre solution si nous voulions nous laver quand même, nous nous sommes déshabillés et lavés à grand coup de bassine. Je grelottais.
- On fait la course pour rentrer, cela va nous réchauffer
- Avec les chaussures de marche, on se rhabille quand même
- Pourquoi faire, il n’y a personne, tu as peur que quelqu’un te vois nue, tu n’es pas si pudique quand je te fesse, allez, le dernier arrivé reçoit une fessée
Il m’a surprise, j’ai essayé de le rattraper mais je n’y suis pas arrivée bien que je cours aussi vite que lui en temps normal. Arrivée au refuge, j’ai eu le droit à ma fessée mais elle fut courte car rien de plus compliqué de fesser une femme sous son bras et que celle-ci se saisisse du sexe du monsieur et le masturbe. Pour se réchauffer, faire l’amour c’est bien aussi. La vielle dame avait raison, cette absence de bruit, uniquement le bois du refuge qui craque c’est flippant. Le lendemain nous sommes repartis vers le hameau. La dame était sur le pas de la porte avec son chat.
- Alors les tourtereaux la ballade a été belle, vous avez apprécié le silence, stressant n’est pas
- Oui mais quand le vent s’est levé ce matin, c’était pire le hurlement du vent, l’impression que la maison va s’écrouler.
- Voici vos martinets, ils vous plaisent.
- Ils sont vraiment superbes, c’est quoi, on dirait un L
- Ben oui vous ne pourrez pas dire que ce n’est pas pour vous. Que diriez vous de partager mon déjeuner je vois tellement peu de monde, ce sera simple omelette aux herbes, salade fromage de brebis et pomme
- Avec plaisir mais on vous le paye, on y tient
- Vous qui êtes instituteur nous avons plus haut une chapelle du 12ème siècle encore bien conservée, si vous voulez la voir pendant que je prépare le déjeuner avec madame
- Vas-y mon amour

Cadeau

Je suis restée avec la dame
- Je voulais que vous restiez car je veux vous faire un cadeau. A une époque mon mari faisait des martinets pour un sex-shop de Toulouse mais ça n’a pas marché car le prix de revient été trop cher par rapport à ceux qui venaient d’Asie. Tenez voila c’est celui-ci (Il était noir avec des lanières assez longues, plus longue que les martinets classiques.) Les lanières cinglent un peu plus que le deuxième que je vous ai fait car il ya 3 lanières fines en peau de mouton. Ce qui est surtout spécial c’est le manche vous voyez il est assez gros et caché sous ce petit sac fermé par un bouton pression. Il est fait c’est pour une femme qui n'a pas sous la main une personne pour la fouetter, elle a enlevé le sac
- Ho mais c’est……
- Oui et de beau calibre, en bois sculpté, regardé, mon mari était un artiste, il y a même les veines et il est décalotté et il fait ….25 cms, de quoi contenter les plus difficiles
- D’abord vous fouettez votre sexe avec le martinet et après, après vous connaissez mais chut c’est juste pour vous, j’ai le même dans le tiroir de ma table de nuit
- Merci j’apprécie ce cadeau.
- Je voulais vous dire, le martinet dont je me suis servi tout à l’heure sur votre sexe, votre mari peut s’en servir aussi sur vos seins, les cuisses, le dos il n’y a aucun risque, cela donne des sensations. Hum !!!
- Vous êtes une coquine
Thomas est revenu, nous avons déjeuné avec elle, nous avons discuté puis nous sommes redescendus dans la vallée avant qu'il fasse nuit car nous avions les 10kms de route à faire. Les vacances étaient terminées et nous sommes rentrés chez nous. Vous vous doutez bien que les 3 martinets ont beaucoup servi, le troisième aussi surtout quand à une époque je suis partie travailler à Paris et que je rentrais que le WE à la maison.

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