dimanche 16 décembre 2012

Les personnages


Pour faciliter la lecture de « Histoires de fessée » et de « Suites à histoires de fessée »
ci-dessous une liste des personnages, un peu à la manière de ce que l’on trouvait dans les
« petits classiques » de notre jeunesse …


« Par ordre d’entrée en scène » comme on dit au théâtre, avec leur situation au début du récit :

Les français :
ANNIE : Epouse de George, la quarantaine, un peu ronde
GEORGE : mari d’Annie, le même âge, la fesse régulièrement dans l’intimité de leur couple.

Les allemands :

MONICA : Epouse d’Albert, femme d’une quarantaine d’années. Ronde, poitrine volumineuse. Amie de jeunesse d’Ellen. Fessée depuis ses fiançailles par son mari.
ALBERT : mari de Monica.
ELLEN : amie de jeunesse de Monica, épouse de Kurt. La cinquantaine, grande et mince, peu de poitrine. Pratique parfois le naturisme. Fessée sévèrement par son mari
KURT : mari d’Ellen.
ANDREA : sœur de Kurt, épouse de Gustav.
GUSTAV : mari d’Andréa, a commencé à fesser son épouse sur les conseils de Kurt.



Suites à histoires de fessées.

Un texte surement trop long, mais que j'ai essayé se "sous titrer" pour en faciliter la lecture.


SUITES A « HISTOIRES DE FESSEES »



SUITE 1
« La suite pour Annie »
Le lendemain …

Les trois couples étaient rentrés à l’hôtel sans qu’un mot soir échangé entre eux. Les trois femmes se sont relevées, et ont repris ensemble, mains dans les mains, le chemin de l’hôtel à travers le jardin silencieux. Ils ne se lâchent les mains qu’une fois arrivées dans le hall, s’échangent la bise en s’éteignant, puis se dirigent chacune vers sa chambre. Pendant ce temps là leurs époux se sont versés une nouvelle rasade d’alcool dans les minuscules verres apportés par Albert.  Kurt lève son verre à hauteur des yeux et dit à mi-voix « A la santé de nos merveilleuses femmes » , ce que les deux autres répètent ensuite. Puis ils retraversent aux aussi le jardin sans parler, après avoir récupéré les verres et la bouteille mais sans qu’aucun n’ait eu l’initiative de ramasser les trois petites culottes qui restent posée sur le banc de pierre. Kurt, lui, porte sous le bras le bouquet de brindilles qu’il a confectionné et, arrivés à la porte de l’hôtel il le tend à George en disant dans un sourire : « Je pense qu’Annie mérite de garder ce souvenir »Puis sans autre commentaire ils ont rejoint leurs épouses. QuandGeorge a retrouvé Annie, elle était déjà déshabillée et couchée. Quand il a voulu lui murmurer à l’oreille combien il était fier d’elle elle lui a posé un doigt sur la bouche en soufflant « chut …ne dis rien….viens… » et ils sont fait l’amour en silence.
Le lendemain matin, quand ils sont descendus ensemble pour le petit déjeuner, ils ont juste croisé Albert qui portait déjà les valises dans le coffre de la voiture, et il leur a dit qu’Ellen et Kurt étaient partis plus tôt encore pour rejoindre l ’Allemagne. Annie a eu juste le temps de souffler quelques mots à Monica.
-          Vous savez (elle a repris spontanément le vouvoiement) je me demande si ce qui s’est passé hier soir est réel ou si c’est un rêve !
-           Si au moins ce n’est pas un cauchemar tant mieux ! En tout cas, ma chère, je peux vous rassurer, vous n’avez pas rêvé. Vous avez été très courageuse, vraiment.
-          Ho .. ; s’agit-il de courage ? Je ne sais pas. Et puis, vous l’avez été encore plus, c’est vous qui avait pris l’initiative, non ?
-          Ha ! voilà encore ma petite Annie qui renâcle à voir les choses comme elles ont été. Oui, bien sur, j’ai été la première à rejoindre notre bonne Ellen, et je n’imaginais pas alors que vous me rejoindriez. Mais vous avez pourtant bel et bien pris votre douzaine comme les autres, ma chère !
-          Douzaine ?
-          Eh oui, je sais bien qu’en ces circonstances, quand on n’y est pas contrainte on ne compte pas toujours, mais vous savez, Kurt est un peu …comment dit-on en français … « maniaque » non ? Ellen m’avait déjà dit, il y a fort longtemps, qu’il était très attaché à ce chiffre pour … ce que vous savez. Et je le soupçonne d’avoir transmis la manie à mon propre mari !
Annie n’a pas le temps de répondre, Albert revient vers elles. Monica a juste le temps de lui glisser une petite carte en lui murmurant à l’oreille« voilà notre adresse à Munich, si un jour vous passiez par chez nous. Et si tu en as envie j’aimerais bien qu’on s’écrive. » Sans trop savoir pourquoi, Annie n’a pas parlé à son mari cette proposition, comme si elle voulait garder pour elle la complicité née de ces deux jours passés avec Monica.  Pourtant une quinzaine de jours plus tard elle a ressorti la carte et a écrit à sa nouvelle amie :

Une lettre d’Annie

« Ma chère Monica,
J’ai été contente que vous me donniez votre adresse et que vous proposiez que nous puissions continuer à échanger par écrit. Vous avez bien sur compris combien ces deux jours et surtout la soirée que nous avons partagée ont été des moments forts pour moi. Sachez que je vous suis reconnaissante de ce nouvel horizon que vous m’avez permis de découvrir. Je ne sais pas si les hasards de la vie feront que nous nous rencontrions à nouveau, mais vous resterez pour moi, avec Ellen,  à la fois mes incitatrices et mes « sœurs en fessée »Vous l’aviez compris, ce n’était bien sur pas la première fessée que je recevais dans ma vie, loin de là. Mais ce qui, jusque là était resté un strict secret entre mon mari et moi, j’ai pu en parler presque librement avec quelqu’un pour la première fois de ma vie, et cela reste peut-être le plus important pour moi. Je vous suis aussi très reconnaissante de la manière si simple et si directe dont vous avez abordé cette question si intime. D’une certaine manière je n’avais jamais vraiment imaginé que d’autres épouses subissaient régulièrement ce que je connaissais. En tout cas j’ai été très troublée de découvrir que je n’étais pas la seule à vivre dans cette étonnante contradiction d’avoir à craindre ces moments si douloureux et en même temps d’une certaine manière à les souhaiter. Je suis en effet persuadée - mais peut-être me détromperez-vous ?- que ce qui est arrivé à Ellen et à vous même ce fameux soir ne vous a pas vraiment été imposé. Je veux dire que, paradoxalement, Ellen, puis vous, êtes restées d’une certaine manière maîtresse des évènements. En ce qui me concerne, c’est en tout cas le sentiment que j’en garde. A aucun moment je ne me suis sentie contrainte à quoi que se soit. Et si je me suis mise en situation de vous accompagner dans ce qui était pour moi, mais vous l’avez bien compris, une découverte, ce n’est ni pour obéir à mon mari, qui a je pense été le premier surpris, ni parce que je m’y sentais en quoi que se soit obligée par rapport à vous. Le matin même, j’aurais qualifié de fous celui qui aurait pu imaginer que je puisse mettre à nue mes fesses et recevoir une fessée devant d’autres personnes  Quand je repense à ce qui s’est passé dans ce jardin de l’hôtel il me semble que je me suis retrouvée comme dans un autre monde. Avec la douceur de cette soirée, cette odeur si particulière de la terre de Bourgogne, cette clarté un peu diaphane et l’image de ces statues blanches dans la nuit. Sans que je sois en mesure de l’expliquer rationnellement aujourd’hui, je n’ai pas été vraiment stupéfaite quand j’ai compris ce qui allait se passer pour Ellen. C’était un peu comme si j’étais devenue spectatrice extérieure d’une scène dont je ne percevais pas véritablement l’extraordinaire. Pas un instant je n’ai eu la tentation de partir. Pas un instant je en me suis posée la question de ce qu’allait ressentir mon mari. Je ne pense même pas avoir croisé son regard quand Ellen s’est levée et s’est mise nue. J’avoue avoir été extrêmement troublée par la découverte de son corps. Il est vrai qu’elle a un corps superbe, tellement athlétique, avec des seins si petits et si différents des miens. Avant même qu’elle ne reçoive la première salve du bouquet qu’avait confectionné son mari,  j’ai senti que les pointes de mes propres seins durcissaient. Et quand la fessée a commencée, j’ai senti que mon intimité se crispait. Disons le sans fard, j’ai mouillé ma culotte comme rarement ! Et de manière plus étonnante encore, quand vous vous êtes levée et l’avait rejointe, cela m’a paru presque naturel. Presque normal. C’est complètement fou, mais c’était alors comme s’il était tout à fait banal qu’une femme se fasse fesser en plein air et que les autres femmes présentes le soient aussi. Je n’ai pas vraiment décidé de faire comme vous. Je ne me suis pas demandé un seul instant si je devais le faire, comment allait réagir mon mari, ce qu’allaient penser les autres hommes, et vous-même. Il m’a semblé évident qu’il fallait vous rejoindre. Absolument pas par devoir, absolument pas parce que je ne voulais pas me singulariser ou paraître moins courageuse que les autres. Mais parce qu’il m’a semblé évident que ma place était là. Relever ma jupe, baisser ma culotte malgré votre proposition, m’agenouiller à vos coté, tout cela s’est fait encore une fois comme s’il s’agissait de comportements ordinaires, normaux. Je ne sais pas s’il en est de même pour vous, mais pour ma part ce fut une des fessées les plus douloureuses qu’il me soit arrivé de recevoir. Vraiment l’instrument bricolé par Kurt fait plus mal que le bon vieux martinet de chez nous ! Et pourtant, je vous assure que je ne regrette rien. Ni la douleur foudroyante, ni les traces sur mon derrière qui ont perdurées pendant trois ou quatre jours, ni même la jolie petite culotte que j’ai abandonné sur place et dont je me demande bien ce qu’elle a pu devenir. Je ne regrette même pas les nombreuses fessées que mon mari m’a infligé depuis cette soirée, comme si elle l’avait mis en appétit de ces choses plus encore qu’avant. Il est vrai, mais ce n’est pas la raison principale de mon absence de regrets, que cette soirée semble aussi l’avoir rendu plus assidu dans les plaisirs de la chair, avec ou sans fessée préalable. Peut-être en est-il de même pour vous ? Mais pour être complète je dois préciser que ce n’est pas prioritairement ce regain de tendresse de la part de mon époux qui me fait considérer cette soirée comme une grande étape de ma vie. Il me semble que je me suis dépassé, et que j’ai atteint un monde qui m’était jusque là inconnu. Et je pense que je n’ai pas fini de le découvrir. Merci encore de m’y avoir donné accès.
 Je vous embrasse et espère de vos nouvelles
Annie »

SUITE N° 2
« La suite pour Monica »
La soirée vue par Monica

Monica ne fut pas longue à répondre à son amie française. Monica lui écrivait qu’elle était  d’abord rassurée par ses mots. Elle avait en effet craint un moment qu’Annie regrette ces instants où elle avait en quelque sorte été entraînée. Elle précisait aussi que, contrairement à ce qu’Annie avait l’air de croire, ce qui était arrivé ce soir là était presque aussi nouveau pour elle. Si, depuis, Elen lui avait fait la confidence d’avoir déjà une fois reçue une fessée de son mari en présence d’une autre femme, en l’occurrence sa belle-sœur, cette fessée devant d’autres avait été aussi une première pour elle.  Monica pensait que c’était d’une certaine manière « de sa faute » si Kurt avait pris l’initiative de fesser son épouse devant eux. Ellen lui avait révélé que l’idée trottait dans la tête de son mari depuis longtemps, et qu’il avait multiplié les allusions ou les menaces d’une fessée « vor allen » mais sans jamais passer vraiment à l’acte.  Or quand Annie avait « avoué » à Monica les pratiques de son époux, lors de leur promenade, celle-ci avait lancé à Ellen qui les rejoignait «  Tu vois que je n’avais pas imaginé … c’est bien Annie que nous avons entendu hier soir en arrivant ! » Ce qui avait fait bien rire Ellen qui l’avait plus tard raconté à son mari. Et comme l’écrivait ironiquement Monica « de la même manière que vous entendre avait donné des idées à mon mari à moi, dont j’ai été la victime dés le lendemain matin sous un vague prétexte de retard après le petit-déjeuner, ce récit a donné des idées au mari d’Ellen. Elle a même été étonnée qu’il n’y cède pas sur le champ et elle était presque sure que cela se passerait le soir. Mais bien sur elle n’avait pas imaginé que ce serait au jardin et en notre présence » Monica expliquait aussi à Annie que si Ellen avait refusé, Kurt n’aurait probablement pas insisté et en tout cas n’aurait pas rien imposé. Mais justement « Ellen n’a pas refusé, comme dirait le bon Monsieur Freud c’est que « quelque part » elle y trouverait son compte » Quant à elle, elle avouait avoir été très troublée de voir ainsi son amie sembler accepter ce qui pourtant avait l’air de lui couter. Sachant qu’Annie ne comprenait  pas l’allemand, Monica lui rapportait les mots de Kurt à l’intention d’Ellen :
« Ma chérie puisque tes amies ont été punies, il est bien normal que tu le sois aussi, ici et tout de suite. Lève-toi si tu veux bien. » Et quand sa femme avait été debout, marquant ainsi son accord avec ce qu’elle savait dés lors inéluctable, après qu’il ait tranquillement coupé et préparé les verges, il avait demandé si « elle était prête » : et après qu’elle ait répondu « Ja »
« Tu te mets en tenue nécessaire s’il te plait »,  en précisant « nakten Arsh, natürlich »
Annie se souvenait de l’attitude presque hiératique d’Ellen à cet instant, comment elle avait retiré son slip sans un mot puis comment, elle avait murmuré à l’intention de Monica : « hilf mir, bitte?» avant qu’en effet son amie ne descende fermeture de sa robe après lui avoir murmuré"Ich bin bei euch, Ellen» Comme Annie se souvenait avec émotion de l’image de cette femme entièrement nue, la peau claire, le regard fixe, avec ses petits seins ronds et fermes. Elle se souvenait aussi avoir remarqué combien ces seins tenaient droits, et comme leurs pointes étaient dressées, peut-être à cause du froid. Un corps de sportive, svelte, les muscles visibles, avec cette touffe de poils blonds qu’elle n’a même pas essayé de cacher, préférant anticiper l’ordre de son mari en croisant les mains derrière la nuque.

La décision de Monica

Monica expliquait aussi dans son courrier, qu’au moment où elle avait dit à son amie qu’elle était « avec elle » elle ne pensait évidemment pas qu’elle serait amenée à subir le même traitement. Elle précisait qu’elle était plutôt prude, refusant par exemple de pratiquer le naturisme comme beaucoup d’allemandes, et hésitant même à retirer son soutien gorge pour bronzer à la plage, ce qui avait souvent provoqué les moqueries d’Ellen qui était plus à l’aise avec son corps. Et pourtant, ajoutait Monica, quand son mari avait lancé cet hésitant « Ellen a été punie plus je pense » elle n’avait pas vraiment réfléchi. Elle savait bien, a-postériori, que si elle avait fait semblant de ne pas comprendre, les choses en seraient probablement restées là. Et pourtant, sans que son mari n’ait eu besoin d’insister, sans un regard pour lui, sans se soucier ni de cette française qu’elle ne connaissait que depuis quelques heures ni de son mari, elle s’était levée, et avait rejoint Ellen en disant « Nous le devons à Ellen » La phrase, expliquait-elle, lui était venue spontanément.. Elle n’engageait en fait qu’elle, et le « nous » n’avait pas été prémédité. Subitement, il lui avait semblé nécessaire, loyal à l’égard de son amie d’enfance, de l’accompagner en subissant ce qu’elle avait subie volontairement.. En même temps, elle avouait sans  détour à Annie « voir Ellen être ainsi fouettée m’a énormément troublée. A la fois je compatissais à sa souffrance, et je voyais bien que les coups étaient douloureux, et je ressentais au fond de moi quelque chose d’autre que la pitié ou la crainte. Je crispais les mâchoires à chaque nouvelle volée, je sais aussi que je serrais les fesses comme si ca avait été elles qui recevait le bouquet de verges. Mais exactement comme vous, ma chère,  j’étais entrain de mouiller ma petite culotte » Annie avait été  elle aussi très troublée en lisant ainsi que Monica avait ressentie les mêmes sensations qu’elle. Elle se souvenait en effet d’avoir été à la fois horrifiée de voir la peau de cette femme ainsi striée de coups et, elle ne pouvait pas le nier, curieusement excitée. Monica lui écrivait surtout combien elle et Ellen avaient été touchées par sa décision de les rejoindre. «Il vous a fallu beaucoup de courage pour faire ce que personne ne vous avait demandé de faire. Quand j’ai dit ce « nous » je vous assure que je voulais désigner nous tous, pas vous associer à moi. Et j’ai été stupéfaite de comprendre que c’est bel et bien de vous-même, sans que votre mari n’ai rien dit, que vous décidiez de vous mettre dans la même position que nous. Peut-être vous souvenez vous que j’ai même tenté de vous faire dispenser du déculottage. Ce n’est qu’après la séance que j’ai compris que vous n’aviez pas voulu bénéficier de ce privilège que personne ne vous aurait refusé. Et je dois vous dire pourtant que votre décision à fait au moins deux heureux, mon mari et celui d’Ellen ont tout deux exprimé par la suite leur enthousiasme devant la beauté de votre derrière, chère petite française. » 

Les retours à l’hôtel

Mais immédiatement, Monica précisait qu’Annie ne devait pas s’inquiéter, et que ni elle-même ni Ellen n’étaient jalouse de cette appréciation élogieuse de leurs maris respectifs sur ses fesses. Elle expliquait dans détours qu’elle comme son amie avaient pu constater le soir même l’effet euphorisant de cette soirée sur la virilité de leurs époux. Ainsi elle confirmait que les trois femmes avaient été honorées de belle manière par leurs maris le soir même de leur fessée publique. Monica ajoutant même que si le soir son mari avait eu la bonne idée de ne pas solliciter la partie arrière de son individu, et en était resté à un fort traditionnel « missionnaire » il n’avait pas pu attendre le lendemain soir pour s’en occuper. A peine avaient-ils quittés l’hôtel depuis quelques heures qu’Albert lui avait dit tout à tract qu’il n’avait aucune vraie raison pour la punir mais qu’il allait pourtant le faire. Il avait alors quitté la route pour s’engager dans un chemin forestier, avait arrêté la voiture, lui avait demandé  descendre, de s’appuyer sur le capot du véhicule et de « montrer ses fesses pour voir si elles portent encore les marques » Et bien que ce fut encore le cas, elle avait reçu une vigoureuse fessée qui l’avait fait crier et piétiner sur place de douleur, les fesses étant encore sensibles du traitement qu’elles avaient reçu la veille. Puis, sans qu’elle change de position, son mari l’avait prise sauvagement par derrière. Il lui avait alors avoué que cette fessée était injustifiée mais « qu’il en avait trop envie »  et comme elle lui avait fait remarquer que le spectacle des fesses de la petite française semblait l’avoir mis en forme, il en avait tiré prétexte pour une nouvelle fessée ! Elle avait appris par la suite que Kurt en avait usé à peu près de la même manière avec Elle qui avait été fessée plus longuement que ses amies, avait encore les fesses plus marquées. Le soir même elles étaient cramoisies et zébrées, ce qui n’avait pas empêché Kurt de lui dire : « Ihr Arsch ist so bau wie diese“ avant de choisir la « petite entrée“comme le disait Ellen.


 SUITE 3
« La suite pour Ellen »

Première partie : « La fessée devant Andréa »
Une fessée méritée pour Ellen

Dans sa lettre à Annie, Monica expliquait qu’Ellen lui avait raconté ce retour avec « plus de détails » que lors de leurs conversations précédentes. « C’est un peu comme si nous revenions aux années de notre jeunesse, quand nous échangions nos confidences sans pudeur particulière, ce que nous ne faisions plus depuis des années. »Ainsi Ellen lui avait elle révélé que cette fessée dans l’entrée de leur maison n’avait été qu’une sorte d’entrée en matière. Et que les semaines qui avaient suivies leur retour avaient été marquées par des fessées plus nombreuses que d’habitude. Mais, comme elle l’avouait sans dissimulation « ce fut souvent douloureux, mes fesses ont été portées au vif, mais heureusement il y a eu des compensations, Kurt a été aussi beaucoup plus amoureux de moi, et il me l’a montré, et pas seulement après les fessées ! »D’autant qu’elle ne ressentait pas de sentiments de jalousie quand son mari lui avouait combien le souvenir de leur « soirée française » l’émoustillait. Il n’avait d’ailleurs laissé planer aucune ambiguïté, en annonçant à son épouse qu’il comptait bien retrouver de pareils moments.  Comme Monica l’avait laissé entendre dans sa lettre à Annie, Ellen avait déjà été fessée en dehors de l’intimité de leur couple. Mais dans des circonstances assez différentes, puisqu’il s’agissait d’une femme, la sœur de Kurt, et d’une « vraie » fessée comme l’écrivait Monica, signifiant par là une fessée motivée par la volonté assumée de Kurt de « punir » son épouse pour une faute que, du reste, Ellen reconnaissait tout à fait, sans pour autant la révéler, restant curieusement plus secrète sur cette raison que sur les faits eux-mêmes :
 « Je dois avouer que cette fessée là, je l’avais bien méritée. Je savais depuis la veille que Kurt me la flanquerait le soir, dans la salle à manger, avant le dîner comme il le fait régulièrement, ce qui lui permet, il me l’a dit en riant, de se souvenir longtemps de la fessée que je viens de recevoir en me voyant me tortiller sur ma chaise pendant le repas qui suit. Or ce soir là, sa sœur est passée à l’improviste chez nous, et j’ai pris l’initiative de l’inviter à rester manger avec nous. D’abord parce que j’aime beaucoup Andréa, que je savais qu’elle avait une longue route à faire pour rentrer chez elle, et que je n’hésite jamais à inviter des gens à dîner même sans avoir pu vraiment le prévoir. Mais peut-être aussi parce que cette invitation repoussait le moment que je craignais tout de même. J’ai donc préparé le repas pendant que Kurt bavardait avec sa sœur, puis j’ai proposé de passer au salon pour prendre l’apéritif. Les verres étaient déjà remplis, nous nous préparions à trinquer quand Kurt a dit sur le même ton que s’il me demandait quelques biscuits apéritifs :
« Avant de trinquer nous avons une petite formalité à remplir, ma chérie »
 Et comme, sans répondre, je lançais un cop d’œil vers Andréa, il a repris :
 «, Je suis sur qu’Andréa ne sera pas fâchée que nous retardions un peu l’heure du repas, n’est-ce pas Andréa ? »
Comme celle-ci est aussi une fille bien élevée, mais qu’elle n’avait bien sur pas compris de quoi il s’agissait, elle s’est bien sur récriée qu’elle ne voulait « surtout pas nous déranger ni nous empêcher de faire ce que nous avions à faire » Il n’en fallait pas plus pour que Kurt en conclue :
« Puisque Andréa nous y autorise, ne retardons pas plus les choses. Viens te mettre en place ma chérie, nous allons régler cela, ensuite nous pourrons partager l’apéritif » et il a ajouté, devant mon air effaré et mes balbutiements,
« Allons, Ellen, ne fait pas l’enfant et ne me fait pas attendre, tu sais que tes fesses s’en repentiraient. Andréa est de la famille, il serait malséant à son égard de la considérer comme de trop simplement parce qu’il te faut prendre une fessée.  De toutes manières, je suis bien certain qu’Andréa ne découvrira pas aujourd’hui qu’il t’arrive de recevoir la fessée de ton mari, n’est-ce pas ma sœur ?
Celle-ci n’a pas nié, se contentant de répondre en souriant :
 «Excuses moi, Ellen, mais en effet, il n’y a rien de secret dans ces affaires, tu sais. Et il y a longtemps que, de mon coté, Gustav a justifié l’introduction des mêmes méthodes par l’exemple de ce qu’il supposait se passer chez vous »
Sous le regard d’Andréa

Comme il le faisait d’habitude, Kurt avait alors placé une chaise au milieu de la pièce et invité d’un mouvement me menton sa femme à « se mettre en position » Sans attendre qu’il ne précise son ordre, Ellen s’était alors penchée par-dessus le dossier, posant les mains sur l’assise de la chaise, après avoir d’elle-même relevée sa jupe au dessus de ses reins. Kurt avait alors retiré calmement sa ceinture, avait enroulé le coté de la boucle dans son poing, puis ordonné, toujours de la même voix calme et presque douce « Sie senken die Hose, jetzt ». Elle avait hésité à peine une seconde.  Juste le temps que Kurt fasse claquer sa languette de cuir dans la paume de sa main, comme pour rappeler qu’il ne tolérerait pas qu’elle ne s’exécute pas immédiatement. Puis, sans un mot, les yeux fermés, elle avait passé les deux pouces dans l’élastique de son slip qu’elle avait fait descendre jusqu’à mi-cuisses.  Plus tard elle avait expliqué à Monica que ce n’était pas vraiment l’idée de montrer ses fesses nues qui l’avait fait hésiter. Elle n’était pas prude, et même pas pudique, et elle n’avait jamais éprouvé quelque gêne que se soit à se montrer nue devant de parfaits inconnus lors de leurs escapades naturistes sur les plages du nord de l’Allemagne ou de la Méditerranée. Mais « il me semblait que me déculotter, c’était très différent de seulement me montrer nue. Cela a été une vraie épreuve, parce que, d’une certaine manière, c’était te montrer que cette fessée je n’allais pas la subir par force, mais qu’en quelque sorte je l’acceptais, presque je la demandais, puisque je me mettais moi-même en tenue pour la recevoir » Pourtant elle s’y était résolue. Peut-être parce qu’elle sentait confusément que cette épreuve faisait partie de la punition qu’elle savait devoir subir. Andréa lui avait répondu alors qu’elle avait trouvé qu’elle mettait une grande dignité dans la manière dont elle baissait ainsi le dernier rempart entre ses fesses et la lanière de cuir qui, immédiatement, les avait cinglés. Une longue strie rouge était aussitôt apparue au travers du derrière blanc. Ellen avait étouffé un « umpf » de douleur, en serrant les dents.  Sans qu’elle en ait prit consciemment la décision, elle tentât ainsi longtemps de réfréner ses cris de douleurs, alors que, d’habitude,  quand elle recevait des fessées bien moins appuyées, il lui arrivait souvent de pousser quelques cris aigus.  Comme si cette résistance était ressentie comme une révolte par son mari, celui-ci avait alors accentué la vigueur des coups, et surtout les avait appliqués à plusieurs reprises non plus sur les fesses mais sur les cuisses. Là Ellen ne résista plus et se mit à piailler et à piétiner sur place. Alors les coups revinrent cingler les fesses, plus habituées à de tels traitements. Mais les « aille ! » et les « ho ! » ne cessèrent pas. Maintenant, elle ne contrôlait plus. Peu lui importait la présence ou l’opinion de sa belle sœur. Elle lâchait prise. Elle laissait couler ses larmes. Elle était devenue ce que Kurt voulait qu’elle soit, une femme qui recevait, qui acceptait, la fessée maritale. Quand celle-ci prit fin et que Kurt alla ranger l’instrument dans son tiroir, Ellen était restée un moment courbée sur sa chaise, le corps encore secoué de sanglots. 

L’émoi de la spectatrice

Andréa était tétanisée, ne pouvant quitter des yeux ce derrière zébré de marques rougeâtres. Elle devait avouer un peu plus tard à Ellen « j’étais vraiment effrayée, presque outrée, de voir mon frère être aussi sévère avec toi. Cette fessée n’avait rien de commun avec celles que mon mari me donnait et qui, jusque là, ma paraissait pourtant tellement douloureuses. Je souffrais avec toi, je t’assure. Mais en même temps, même si cela paraît incroyable, moi qui suit pourtant plutôt douillette, qui crie comme un goret qu’on égorge quand mon Gustav me flanque une douzaine de claques à main nue sur les fesses, moi qui ait une peur bleue de ces fessées pourtant si bénignes au regard de ce que tu venais de subir, je me « voyais » être ainsi fouettée. Je ne peux pas dire que je t’enviais, mon Dieu non. Mais soudainement j’en étais certaine : un jour, moi aussi, j’aurais ainsi les fesses lacérées. Un jour, moi aussi, je sautillerais sur place en poussant des cris. Un jour, moi aussi, je me frotterais les fesses, le visage encore baigné de larmes, comme tu l’as fait après que Kurt t’ai donné l’autorisation de te relever en ajoutant en riant de bon cœur « je ne vais pas te mettre au coin, j’ai trop faim pour t’empêcher de ramener le repas tout de suite » Oui, Ellen, au moment où je t’ai vu retirer ta culotte et la laisser sur la chaise pour partir à la cuisine les fesses chaudes et nues sous ta jupe, j’ai été sure qu’un jour je subirais ce que tu venais de connaitre. Et il m’apparaissait soudain presque naturel que je le subisse au vu et au su d’autres. Je le savais, et d’une certaine manière je le voulais. Ce qu’Andréa n’avait par contre jamais avoué à sa belle-sœur, c’est qu’après le dîner, en reprenant sa voiture, il lui avait suffi de serrer brusquement les cuisses pour qu’un éclair de jouissance la transperce. Ce n’est qu’alors qu’elle s’était rendue compte que sa culotte était trempée …

Le retour d’Andréa à la maison

Elle n’avait pas non plus précisé qu’en rentrant chez elle, pourtant au beau milieu de la nuit, elle s’était glissée dans le lit où son mari dormait déjà depuis plusieurs heures, et s’était lovée contre son corps. Sans qu’elle soit capable de déterminer si c’était elle qui avait déclenché les choses, ou si c’est son mari qui avait en quelque sorte senti qu’elle était chaude, il lui avait fait l’amour avec vigueur. Mais au moment où, après lui avoir caressé les seins et en avoir mordillé les pointes dressées, il se positionnait pour un fort classique missionnaire, Andréa s’était subitement retournée pour s’agenouiller et lui présenter son arrière train. Ce n’était bien sur pas la première fois qu’elle serait ainsi prise en levrette, mais jamais elle n’avait ressenti ce besoin physique de se présenter ainsi. De tendre le derrière, d’une manière qu’elle ressentait comme animale. Et dans cette position où elle ne voyait pas directement le visage de l’home qui allait la pénétrer. Son homme ne se l’était pas faire dire deux fois. Il l’avait saisie aux hanches  et son sexe avait trouvé sans difficulté sa route. Andréa s’était encore plus cambrée, pour lui permettre de pénétrer plus profondément. Comprenant ce qu’elle attendait, son mari s’était alors relevé pour que la pénétration soit plus verticale. L’orgasme était venu presque tout de suite, alors que d’ordinaire il arrivait souvent qu’elle n’y parvienne qu’après un long moment, et parfois même après que l’homme ait lui-même jouit. Quand la jouissance était montée, elle s’était mise à secouer les fesses, avec une telle violence que Gustav avait presque eu de la peine à la maîtriser. Et pour ce faire il avait appliqué deux fortes claques sur le postérieur qui dansait ainsi devant lui, planté de son dard. Et quant il avait senti que sa partenaire jouissait, il avait lui-même accentué la cadence de ses coups de reins et avait parfait l’estocade en enfonçant brutalement un pouce dans le petit trou. Il avait lui-même pris son plaisir en accompagnant les gémissements de plaisir de son épouse par des hans de bucheron.

SUITE 3
« La suite pour Ellen » 
Deuxième partie : « Au tour d’Andréa »
Les conseils de Kurt

Andréa n’avait bien sur pas explicitement raconté à son mari ce dont elle avait été témoin chez son frère. Pourtant, dans les semaines qui suivirent, quelques phrases à double sens de la part de son mari, quelques sourires ironiques de sa part, l’ont amené à se demander s’il n’était pas au courant. Cela lui semblait fort possible, puisque Gustav et Kurt avaient souvent l’occasion de se voir et même de sortir ensemble quand ils allaient au match de foot. Du reste quand Andréa avait dit à Ellen que son mari avait introduit la fessée chez eux « par l’exemple de ce qu’il supposait se passer chez eux » elle ne disait pas tout à fait la vérité. Gustav ne « supposait » rien du tout. Un jour qu’il se plaignait du caractère de sa femme, et que, pour la taquiner, il avait dit à Kurt « tu devrais me donner le mode d’emploi pour faire obéir ta sœur, après tout tu la connais depuis plus longtemps que moi » Kurt lui avait répondu sans hésiter : « je ne pense pas qu’il y ait une méthode particulière pour Andréa tu sais. En tout cas je sais que pour Ellen ma méthode nous donne tout à fait satisfaction » Sur le même ton badin, Gustav avait demandé: « Et c’est quoi ta méthode mon cher beau-frère ?» et celui-ci avait répondu avec le plus grand sérieux : « Une bonne fessée de temps à autre, tout simplement. Une fois les fesses bien rouges, tout rentre dans l’ordre, je t’assure » Ce jour là, les choses en étaient restées là. Mais au cours de leurs rencontres suivantes, Gustav était revenu à plusieurs reprises sur le sujet, et Kurt, tout en affirmant ne pas être « prosélyte » ne s’était pas fait prier pour expliquer comment la fessée faisait partie du quotidien de leur couple. Quand il avait répété cette conversation à sa femme, Andréa s’était récriée en traitant son frère de « monstre » et en faisant comme si elle ne le croyait pas. Mais elle aussi était revenue plusieurs fois sur cette conversation dans les semaines qui avaient suivies. Il n’avait donc même pas eu besoin de se référer à Kurt le soir où, pour la première fois, il avait renversé sa femme sur ses genoux pour lui asséner une fessée, certes moins vigoureuses que celles que subissait Ellen, mais qui avait pourtant fait rougir d’importance le généreux postérieur de sa femme. Il avait aussi compris qu’il ne fallait en aucune manière obliger Andréa à dire qu’elle acceptait d’être fessée. Il fallait seulement que la fessée soit décidée et appliquée sans discussion. Ce qui était régulièrement le cas.
Un repas de famille

Mais jamais il n’avait été fait allusion, entre eux, à l’effet d’entraînement ou d’exemplarité d’Ellen et Kurt. Pas plus qu’il n’en fut question quand Gustav proposa à Andréa d’inviter, comme ils le faisaient plusieurs fois par an, son frère et sa belle-sœur à dîner un soir d’hiver. Comme il était de tradition dans ce cas, il avait été convenu que les invités passeraient la nuit chez eux, pour s’éviter une longue route après un repas souvent un peu arrosé. Ils purent ainsi faire honneur à la bouteille de « crémant de Bourgogne » apportée par Kurt qui en profita pour faire à ses hôtes un panégyrique de cette région française, de la douceur du climat au printemps et de l’accueil reçu auprès des français. Non sans quelques sourires à l’intention d’Ellen. Au moment de passer à table, Andréa se mit en demeure de ramener en cuisine les verres de l’apéritif et les coupelles dans lesquelles avaient été servis les amuse-gueules. Par deux fois, Gustav, la voyant emporter plusieurs verres d’un coup, lui conseilla de prendre garde, ce à quoi elle répondit en haussant les épaules et en lui rétorquant qu’elle n’avait pas besoin de ses conseils en matière de ménage. Kurt plaisanta en rappelant à Ellen la chanson qu’ils avaient entendus en France « Vaisselle cassée, c’est la fessée » Et avant qu’il ait pu traduire et expliquer à Gustav, Andréa paru dans l’ouverture de la porte menant à la cuisine, et tentant de rattraper le plateau chargé de verres qui s’écroulèrent sur le carrelage. Un instant de lourd silence succéda au tintement cristallin des verres brisés. Andréa  se préparait déjà à retourner en cuisine chercher de quoi ramasser les débris quand son mari s’écria :
« Puisque tu le veux, tu ne vas pas être déçue ma chérie ! » 

Andréa découvre la fessée publique

Et comme son épouse ne bougeait plus, il se leva, lui sais le bras, et  la ramena près au centre de la pièce. Il posa alors le pied gauche sur la table de salon, tira le bras de sa femme de manière à ce qu’elle se retrouve penchée sur sa cuisse, tout en la maintenant fermement sous le bras gauche. Il appliqua alors à toute volée une série de claques sur le derrière confortable qui tendait le tissu du pantalon. Il relâcha un peu son étreinte, ce dont Andréa profita pour se relever. Mais avant qu’elle n’ait pu faire un geste il aboya : « Lassen SieIhre Hose ! »ordre qu’Andréa exécuta comme une automate, laissant la pantalon tomber à ses pieds tandis que son mari la remettait en position, puis d’un geste brusque faisait descendre la culotte sous les fesses. Ellen et Kurt, de là où ils étaient assis, découvrirent donc à moins de deux mètres d’eux, la lune ronde et blanche d’Andréa qui fut derechef frappée de la large main de son mari. Celui-ci distribuait les claques sur toute la surface, faisant balloter les fesses de droite et de gauche. Et quand quelques claques tombèrent sur le haut des cuisses, Andréa se mit à piétiner ce qui, son mari la forçant à se baisser plus pour éviter qu’elle ne lui échappe, amena ses cuisses à s’écarter plus nettement, laissant apparaître son intimité. Elle accompagnait cette danse de petits cris brefs qui ponctuaient chaque nouvel assaut. Au total la fessée fut brève mais sonore, et elle avait rougit le derrière de manière presque uniforme. Quand Gustav desserra son étreinte, elle se redressa, et sans un regard ni pour son mari ni pour ses invités, elle remit sa culotte, puis remonta son pantalon tout en reniflant et fila vers la cuisine.

Le choix d’Ellen , le choix de Kurt.

 Mais avant qu’elle y fut parvenue, Ellen l’interpella :
« Attends, Andréa. Je suis désolée, c’est ma faute plus que la tienne, si je t’avais aidé au lieu de rester assise, cela ne serait pas arrivée. Je suis aussi coupable que toi »
Et immédiatement, elle se planta au milieu du salon, se pencha en avant, les mains posées sur ses genoux, puis lança à son mari :
« Je dois me mettre moi même en tenue ? »
D’une certaine manière, elle l’expliqua en tout cas ainsi à sa belle-sœur, il lui était apparu qu’elle le lui devait comme Monica l’avait estimée pour elle naguère. Mais à sa grande surprise, son mari ne bougeait pas de son fauteuil, en expliquant :
« Mais tu n’as rien fait de répréhensible à mes yeux, ma chérie. Si tu dois être punie, et il serait en effet juste que tu le sois, c’est à Gustav de le faire. »
Ce dernier était resté au milieu de la pièce, il avait même encore le pied posé sur la table et il restait les bras ballants. Andréa, elle, était à la porte de la cuisine, les deux mains posées sur ses fesses comme pour en atténuer la brulure. Ellen n’attendit pas que l’un ou l’autre réagisse. Elle n’attendit même pas la confirmation de ce qu’elle comprenait bien sinon comme un ordre, au moins d’un défi de la part de son propre mari. Avec une sorte de stupéfiante tranquillité, elle se redressa, s’approché de Gustav et, d’elle-même releva sa jupe au dessus de sa taille et se mit exactement dans la position qu’avait adoptée Andréa. Gustav la saisi de la même manière sous son bras mais resta immobile quelques secondes. Alors, toujours aussi tranquillement mais en esquissant un imperceptible sourire, elle dégagea ses bras, fit passer ses mains dans son dos, glissa les eux pouces sous l’élastique de sa culotte et la baissa tout simplement.  Alors seulement, Gustav se mit en mesure de la fesser, adoptant d’instinct le même rythme qu’avec sa propre femme. Plus endurcie, elle supporta la fessée sans un cri, parvenant même à reseter quasiment immobile et sans désunir ses jambes. Ses fesses, plus petites et plus musclées que celle d’Andréa, bougeaient beaucoup moins sous les claques, dévoilant ainsi moins son entrejambe, alors que les assistants n’avaient rien ignoré de celui de la précédente punie, ni même de son petit anneau secret. Ses fesses rougissaient aussi différemment. Alors que celles d’Andréa étaient rapidement passées du blanc laiteux au carmin, les siennes, plus mates de peau, se marbraient, avec parfois, furtivement, la marque des doigts qui s’y inscrivait un peu comme les pas sur un sable mouillé. Quand elle sentit que Gustav estimait la fessée suffisante, elle se redressa, fit redescendre sa jupe, mais sans remonter sa culotte. Tout au contraire, elle l’enleva toujours aussi tranquillement, s’inclina légèrement devant Gustav en murmurant « merci, Gustav », puis donna la culotte à son mari qui la mit en souriant sans sa poche tandis qu’elle rejoignait la maîtresse de maison en disant avec un sourire désarmant :
« Allons-y, Andréa, je pense que maintenant il est mieux pour nous deux que je t’accompagne en cuisine, non ? » Les deux femmes amenèrent en effet les plats, sans qu’aucune allusion ne soit plus faite à ce qui s’était passé lors de l’apéritif. Confirmant ainsi ce qu’affirmait Kurt : « une bonne fessée, et on n’en parle plus ! » 

La prochaine fois …

Tout juste, à la fin du repas, alors qu’ils cherchaient une date pour que Gustav et Andréa puissent à leur tour être reçus chez Ellen et Kurt, celui-ci proposa incidemment :
« Nous pourrions inviter en même temps ton amie Monica, tu ne penses pas Ellen ? »
ajoutant avec le même sourire énigmatique :
« Nous pourrons raconter plus en détails notre voyage en Bourgogne à Gustav et Andréa »
Ce à quoi Ellen répondit sans ciller :
« Nous ferons ce que tu souhaiteras, Kurt. »
Auparavant, alors qu’elles étaient dans la cuisine, la maîtresse de maison, tout en se frottant les fesses au travers de son pantalon, avait glissé à Ellen :
« Heureusement qu’on soit obligé d’être souvent debout pour servir, hein, ca pique quand on s’assoit ! »
Ce à quoi Ellen avait répondu en souriant :
« Oui, mais moi ca va déjà mieux ….l’air les rafraichit ! »
Andréa lui avait alors demandé si « elle allait rester comme cela » et si « cela lui arrivait souvent de ne pas en mettre » et Ellen s’était contenté de lui répondre à l’oreille :
« Tu verras, la prochaine fois, je suis sur que ta culotte restera aussi sur place ma chérie »
Ce qui avait fait rougir Andréa, mais au fond d’elle-même, elle savait déjà qu’il y aurait une « prochaine fois »
Fins de soirée


Les deux invités e retirèrent ensuite dans leur chambre, tandis que les hôtes finissaient de ranger la salle à manger. Alors qu’Andréa lavait quelques verres dans l’évier, son mari se plaça derrière elle, glissa les deux mains sous son chemisier fit sortir les seins du soutien-gorge, et se mit à les palper à pleines paumes. Les seins d’Andréa , deux belles grosses poires moelleuses, réagirent aussitôt à la sollicitation. Sentant les pointes se durcir, il les pinça entre pouce et index. Immédiatement, elle se mit à gémir de plaisir tandis que son mari lui déposait de tendres baisers dans le cou. Il fit descendre ses deux mains vers la taille de son épouse, déboutonna le pantalon et le baissa. Il fit de même avec la culotte, se recula un peu puis glissa à l’oreille :
« Il est encore un peu rouge, mais mon dieu qu’il est beau tu sais. J’étais très fier tout à l’heure. »
Il s’agenouilla alors et fit doucement glisser sa langue sur la peau encore un peu marquée par les traces de ses doigts. Il en savoura le velouté tiède. Il posa les deux mains sur les deux fesses et les écarte doucement. La raie s’élargit, laissant apparaitre un petit trou qu’il titilla du bout de la langue. Elle se cambra et tendit le derrière pour faciliter l’introduction. Il se mit alors à lécher cet anneau fripé qui palpitait de plaisir Elle haletait un peu, d’autant que les mains de son homme  repassaient devant et qu’un index fureteur s’insérait doucement dans la fente déjà trempée. Un deuxième doigt le rejoignit, emplissant mieux le conduit. Elle gémit plus fort. La langue durcit,  les doigts s’agitaient. Elle se sentait prise par les deux trous. Quand l’orgasme la submergea, elle tomba à genoux et se mit en position presque fœtale, la tête posée sur ses avants bras, les fesses toujours relevées et offertes. Alors la langue quitta son étui, mais en un instant Gustav avait baissé son pantalon et c’est un sexe dur et ferme qui se glissa dans le conduit bien lubrifié. A chaque coup de rein, la tige s’enfonçait  plus profondément. Ses gémissements se sont changés en petits cris aigus au rythme des assauts dans son fondement. Et quand elle sentit les soubresauts qui annonçaient  qu’il allait jouir en elle c’est un vrai cri, strident, qui lui échappa tandis que son cul était inondé du plaisir de son homme.  Elle resta un instant encore prostrée, puis se releva péniblement, les jambes en coton, sentant le liquide chaud et gluant lui couler entre les fesses
Ellen et Kurt entendirent ce cri qui déchirait la nuit. Ils comprirent donc que leurs hôtes eux aussi étaient entrain de faire l’amour, comme eux. En rentrant dans la chambre, Kurt avait lancé en souriant :
« Tu mériterais une fessée pour ta conduite de ce soir, mais nous réglerons cela demain à la maison » Puis il se laissa tomber dans le petit fauteuil de la chambre. Comme si elle devait en quelque sorte le remercier de sa mansuétude, elle s’agenouillât devant lui, libéra sa bite déjà dressée et l’engloutit. Elle savait que son mari fou de cette caresse. Il ne cacha du reste pas son plaisir, l’encourageant à mi-voix :
« Oui, suce, avale moi, bouffe moi ma belle. Ho oui ! Suce ! c’est bon ! »
Il avait fermé les yeux de bonheur et, quand il les ouvrit, il vit qu’Ellen avait retroussée sa jupe et qu’elle se caressait.
« Oui, vas-y, branles toi pour moi ma chérie, branles toi ma salope ! »
Au moment où elle entendit le cri presque sauvage d’Andréa, elle accélérât la cadence et soudain un jet puissant lui emplit la bouche d’une liqueur épaisse et chaude. Elle déglutit, mais elle garda le sexe en bouche jusqu’à ce qu’il ait donné sa dernière goutte. Alors seulement elle se recula et regarda son homme dans les yeux, tout en laissant perversement un filet de sperme couler à la commissure de ses lèvres.





SUITE 4
« La suite pour Georges »
Première partie : Les souvenirs de George.

Et George fessa Annie

Pour Georges aussi, la soirée en Bourgogne avait été une révélation. Depuis longtemps, il lui arrivait d’imaginer fesser Annie en public, mais sans jamais avoir pensé que ce fantasme pourrait se réaliser. Il avait vécu l’initiation de sa femme comme dans un rêve. Dés qu’Ellen s’était mise nue, il était en quelque sorte entré dans une autre dimension, et son sexe à l’avenant. Et quand Monica l’avait rejoint et s’ »était elle aussi déculottée, exhibant un derrière rebondit, son excitation avait été telle qu’il avait craint un moment ne pouvoir se retenir de jouir dans son pantalon. Puis, ébahit, il avait vu sa femme, sans même lui accorder un regard, sans en rien solliciter son accord, rejoindre les deux autres femmes et, elle aussi, se mettre le cul nu. Il en ressentit bien sur une excitation encore plus forte, mais aussi, immédiatement, une certaine fierté devant la beauté du derrière de sa femme. Les trois hommes n’échangèrent pas une parole. Le mari d’Ellen tendit simplement le bouquet de verges à Albert  qui s’en empara, s’approcha des trois femmes et se mit à flageller les fesses offertes de son épouse. Douze fois, Georges les avait comptés, elles s’abattirent sur ce derrière plus imposant que ceux d’Ellen et d’Annie. Puis, comme s’il s’agissait d’un rite bien établit, Albert lui tendit à son tour l’instrument qu’avait confectionné avec tant de soin Kurt. George prit alors la même place que ses deux compagnons, derrière sa femme, un peu sur le coté, et appliqua douze fois lui aussi les brindilles de bois dur sur le cul offert. Il ne s’étonna pas qu’Annie n’ait pas laissé échapper un seul cri, comme Ellen. Pourtant, à la teinte rougeâtre que prenait les fesses de sa femme, et aux longues traces qui les zébraient, il ne pouvait pas ignorer ce qu’elle endurait. Il ne réduisit pourtant pas la force des coups. Inconsciemment, il avait compris qu’un simulacre de fessée serait une injure au courage dont Annie faisait preuve. Il devait, il lui devait, de la fesser aussi durement que l’avaient été ses deux compagnes. Il posa alors le bouquet sur le banc de pierre, et rejoignit  Kurt qui s’était accroupi devant Ellen et Albert qui en avait  fait de même devant Monica.
Et George fessa trois derrières

Et quand Albert puis Kurt, annoncèrent que la séance n’est pas terminée, ils n’eurent pas besoin de lui indiquer ce qu’ils entendaient par là. Les trois femmes, d’elles mêmes, s’étaient rapprochées. Des trois derrières tellement proches les uns des autres semblaient ne former qu’un ensemble. L’image de la fameuse statue « les trois grâces » lui traversa alors l’esprit.  Les deux autres hommes s’étaient relevés et étaient retournés derrière les trois femmes. Georges les  avait rejoint, et Kurt, une nouvelle fois, lui avait tendu l’instrument en murmurant seulement : «Une, deux, trois ! » Et Georges fustigea à la suite, à toute volée, les trois culs cramoisis et marbrés de marques qui s’offraient à lui. Cette fois, elles avaient crié toutes les trois, le même cri tripal, rauque, tandis que leurs fesses avaient étaient marquées par une large bande presque violacée. Mais, sans même qu’aucun des hommes n’ait eu à leur imposer, les trois femmes avaient repris leur position. Comme si, elles aussi, savaient ce qui allait suivre et, d’une certaine manière, le voulaient. Il passa alors les verges à Albert, et reprit position devant sa femme. A la lueur de son regard, pourtant noyé de larmes, il comprit que non seulement elle acceptait ce qu’elle était entrain de vivre, mais même qu’elle l’en remerciait. Leurs yeux ne se quittèrent pas quand, une seconde fois, le bruit des branches se fit entendre. Nouveau cri, nouveau saut de carpe, nouvelles larmes, mais aussi, sur le visage déformé par la douleur, l’ébauche d’un sourire. Et puis, après la troisième salve, le troisième cri, la troisième ruade, au travers des larmes, George en était sur, sa femme lui avait souri. Dés lors, il ne s’était même plus étonné de voir sa femme, après s’être relevée, retirer tranquillement son slip et le déposer à coté de ceux de ses amies, avant de prendre le chemin de l’hôtel à leur coté.


SUITE 4
« La suite pour Georges »
Deuxième partie : .Un souvenir pour George
De retour à l’hôtel

Les trois hommes avaient emboité le pas à leurs épouses, ravis de voir ces trois femmes se tenant par la main, et ravis aussi de savoir que toutes trois étaient nues sous leurs robes, puisque personne ne s’était soucié de reprendre les trois petits culotes bien sagement posées sur la table de pierre.  Par contre, Kurt avait gardé en main le joli bouquet de verges qu’il avait confectionné. Arrivés dans le hall désert, alors que les trois femmes se dirigeaient  vers l’ascenseur pour regagner leurs chambres, Albert s’était charge d’aller à la réception prendre les clés et les avait donné aux trois épouses qui étaient montées les premières. Kurt et George étaient  donc restés seuls un instant. Le premier, dans un français un peu hésitant, avait alors dit au second :
« Votre femme a été très courage, je pense. Et aussi, elle a  un très beau hintern »
Il n’avait  paseu besoin de traduire le mot, même s’il ne parlait pas aussi bien la langue de Goethe, George aurait compris. Il s’était incliné et avait répondu du tac au tac :
« La votre est très belle aussi, elle a un corps superbe »
Et Kurt de conclure :
« Ce soir, nos trois femmes étaient très belles, je pense. Nous pouvons être très fiers d’elles. Et je pense qu’elles seront heureuses aussi, toutes les trois »
Avant d’ajouter en tendant les verges à son interlocuteur :
« Je pense qu’Annie mérite de le garder»
Sans attendre  de réponse, il avait tourné les talons et rejoint son compatriote pour prendre l’ascenseur. Quand George était entré dans sa chambre, il avait déposé discrètement le cadeau dans le placard de l’entrée. Il n’en dira rien à Annie, ni ce soir là, ni le lendemain matin, ni même quand ils auront rejoint leur domicile.

Le retour à la maison

Et si, dans les semaines qui suivent, Annie reçoit la fessée un peu plus souvent qu’auparavant, c’est toujours dans les mêmes conditions qu’avant leur escapade bourguignonne. Bien sur, en sus des classiques séances récapitulatives du vendredi soir, il y au bien  quelques fessées spontanées, aux prétextes parfois discutables. Il y eu même quelques fessées à peines justifiées, qu’Annie a accepté tout en sachant fort bien que leur seule raison était l’envie de son mari de lui voir les fesses rougies. Et si elle a pu être étonnée de cette injustice, elle n’en a pas moins été flattée de ces envies soudaines. D’autant que ces fessées arbitraires étaient à chaque fois le prélude de moments forts sensuels. Elle se souviendra même avec émotion d’un soir où, ce qui ne lui était pas arrivé depuis les années de leur jeunesse son quadragénaire de mari avait « remis le couvert », ce qui était, à ses yeux, une preuve d’un renouveau sensible de sa fougue.


Un vendredi ordinaire

Il s’agissait pourtant, au départ, d’un câlin tout à fait tendre, et pas du tout d’une séance de punition, Annie avait d’ailleurs sacrifié à ce rite la veille au soir. En effet, le vendredi soir, la tradition avait été respectée et Annie avait reçue une fessée assez classique, sinon presque routinière. Culotte baissée, bien sur, le contraire aurait été une sorte d’affront pour l’une comme pour l’autre, mais sans excès. Georges s’était en quelque sorte contenté de  l’installer presque confortablement au travers de ses genoux pour lui tanner les fesses, plutôt longuement mais avec une sorte de retenue. Il n’avait pas exigé d’elle qu’elle compte les claques à haute voix, et pourtant Annie avait remarqué qu’une fois encore – elle avait déjà fait cette remarque à plusieurs reprises les semaines précédentes – son mari pratiquait par séries de douze claques. Douze sur une fesse, douze sur l’autre, douze alternativement, et ainsi de suite. Mais si elle avait pu compter le nombre de claques de chaque série, elle s’était un peu perdu dans le compte du nombre de celles-ci et ne savait plus très bien quand elle avait été autorisée à se relever et à se frotter les fesses, si celles-ci avaient reçu dix ou douze séries de douze. Elle avait même réprimé un sourire en se souvenant que douze douzaines constituent une « grosse ». L’idée que cette fixette sur le chiffre douze lui venait peut-être du souvenir du nombre fétiche de leur ami allemand l’avait effleurée, mais elle n’avait pas jugé souhaitable de lui poser la question. . Bien sur, sans attendre la consigne qui allait de soi, elle n’avait pas remis sa culotte, et l’avait posée, comme il lui demandait presque à chaque fois, sur le dossier du fauteuil, bien visible. Cela permettait à George de la taquiner en lui disant que si d’aventure un ami passait dans la soirée, il ne pourrait pas ne pas la voir. Et quand George lui avait demandé de s’agenouiller sur ce même fauteuil, les bras posés sur les accoudoirs, elle avait cru – et craint- un moment - que cette fessée finalement modérée n’ait été qu’une entrée en matière et qu’il veuille la poursuivre par une volée de martinet que pourtant rien ne semblait justifier. Mais il n’en fut rien. Ses fesses, ainsi exposées en majesté, ne furent en  rien malmenées, bien au contraire. Elles n’eurent à subir qu’une volée de bisous tout doux, avant qu’une langue elle aussi toute douce ne vienne visiter la raie, la suivant du coccyx jusqu’au périnée. Et tandis que cette vallée s’ouvrait pour faciliter la pérégrination de la langue chaude, deux mains s’étaient glissées jusqu’à ses seins sous son chemisier pour en saisir les bouts et les titiller avec douceur, puis avec plus de vigueur, jusqu’à en arriver à un pincement plus ferme qui provoqua les gémissements attendus. Les mains avaient alors quitté les seins pour saisir les hanches, tandis que la langue était remplacée par une bite bien ferme qui sembla hésiter un instant sur le chemin à suivre. Elle descendit en effet très loin, jusqu’à aller découvrir l’humidité tiède de la chatte. Mais ce ne fut qu’une visite rapide, comme si elle craignait de ne pouvoir résister. Alors qu’Annie se cambrait pour faciliter l’entrée, la bite se limita à une rapide visite du vestibule, juste le temps de s’humecter de son jus, avant de remonter et de se positionner sans hésiter cette fois sur le petit trou. Annie, impatiente d’être emplie, facilitait le mouvement en écartant sans pudeur les fesses à deux mains. L’anneau s’ouvrit ainsi plus largement, luisant de la salive qu’y avait déposé George qui n’eut qu’un coup de rein lent et régulier à donner pour voir son sexe pénétrer dans cet étui qui semblait tout faire pour lui faciliter la tâche. L’intromission fut commentée par un cri rauque, mi marque du plaisir de se sentir ainsi pénétrée, mi réaction de douleur a l’être ainsi par un chibre large et puissant. Mais il suffit à celui-ci de deux ou trois aller – retour pour que le plaisir prenne le dessus et qu’Annie se laisse aller à un « humm » sans équivoque, allant même jusqu’à l’encourager sans retenue « oui, baise moi, oui, bourre moi chéri ! Vas-y ! » Il n’en fallait pas plus pour que George, tire littéralement sa femme par les hanches pour l’empaler plus profondément encore, la pénétrant presque jusqu’aux couilles qui battaient contre les fesses. Et quand il explosa en elle, il commenta lui aussi son bonheur d’un « ha ! Putain c’est bon ton cul ! » sans équivoque.  Ces moments avaient largement compensé l’échauffement des fesses préalable, et Annie s’était endormie comblée ce soir là dans les bras d’un homme comblé lui aussi. 

Un samedi pas ordinaire

Et pourtant, le lendemain soir, au moment où Annie, qui lui tournait le dos, allait passer sa chemise de nuit, son mari, déjà couché, lui lança en souriant :
« Ne la met pas, je vais te la retirer ! »
Annie s’était un peu étonné d’une telle velléité de jambes en l’air de la part d’un homme qui avait  rempli ce que les anciens appelaient son « devoir conjugal », et de belle manière à ses yeux, la veille au soir. Mais elle découvrit vite qu’il était tout à fait en état de reprendre du service. Il tenait en effet en main une belle bite déjà bien dressée, et dont il entretenait la vigueur d’un lent va et viens de la main. Il se branlait doucement tout en matant le cul de sa femme, qui pourtant ne portait plus aucune marque de ce qui lui était arrivé la veille au soir. Flattée de cet sorte d’hommage, Annie rejoint vite son homme dans le lit, et le complimenta :
«Bel objet, cher monsieur. J’aime bien  que tu te branle pour moi, continue ! »
Le propriétaire du dit objet ne se le fit pas dire deux fois, et continua donc à s’astiquer la chose de la main droite tandis que la main gauche se dirigeait vers la chatte de sa compagne. Il faisait lentement glisser le prépuce sans décalotter complètement cependant. Faisant ainsi apparaître le gland rose foncé, luisant, orné d’un méat d’où n’allait pas tarder à sourdre une petite goutte translucide.  Puis la main remontait, et le gland disparaissait sous son enveloppe de peau fripée. Puis la main reprenait son chemin inverse, tirant la peau mince, presque transparente, veinée de minuscules lignes bleutées. Il lui fallait pourtant par instant interrompre son mouvement, à la fois pour éviter de dépasser trop vite le point de non retour, et pour se concentrer sur le travail de sa main gauche. Celle-ci s’était d’abord posée en coque sur le buisson frisé. Puis le majeur était parti en exploration, effleurant les lèvres, les caressant sur toute leur longueur, en lents va et viens inquisiteurs. Le doigt s’approchait du clitoris, suscitant des « oui..oui.. ; » de la part d’Annie, mais, impitoyable, il s’arrêtait avant d’y toucher pour repartir, descendre, faire la même promesse à l’entrée de la grotte, feignant de vouloir y pénétrer, causant encore l’espoir. La chatte s’entrouvrait, prête à accueillir qui voulait l’investir. Les gémissements devenaient presque des prières. Mais le doigt renonçait une fois encore à l’introduction. Il poursuivait sa route plus bas, encore plus bas. Il s’approchait de plus en plus de l’autre petit trou, palpitant lui aussi, espérant lui aussi être investit. Mais il était lui aussi déçu, la main se calmait, le doigt se retirait, la paume couvrait la chatte, et se contentait de la presser doucement, comme un fruit dont il aurait voulu extraire le jus. Et de fait, le jus, moelleux, inondait la main, poissait les doigts. Alors Annie se décidait à passer elle aussi à l’action, comprenant que son homme voulait la faire attendre, la faire languir, la faire se soumettre à son propre plaisir. Tandis qu’il continuait son mouvement alternatif le long de sa tige, les yeux clos pour mieux se concentrer sur le plaisir qui montait, une autre main s’était glissée sous ses couilles. Annie les soupèsait comme elle l’aurait fait d’un fruit mur. Les serrait, les pressait, jusqu’à ce que leur propriétaire exprime d’un grognement sourd son mécontentement à sentir ainsi ses bijoux de famille torturés. La main desserra alors un peu son étreinte, mais continua pourtant à caresser cette bourse pleine. En même temps, rendant en quelque sorte la pareille à son homme, un doigt se mettait à crapahuter, à remonter derrière ces deux boules gonflées, et surtout à s’approcher du petit trou. Annie avait mis longtemps à ce que son mari tolère qu’elle s’occupe de celui-ci. Il lui a fallu de lentes approches, des détours, des reculs, avant qu’il ne convienne, par ses acquiescement gutturaux, que sans être en quoi que se soit pédéraste, que les caresses à cet endroit si secret ne le laissait pas indifférent. Le doigt d’Annie s’amusait pourtant à jouer le même jeu que celui de George auparavant. Il s’approchait de son trou du cul, vérifiait qu’il était prêt à accepter qu’il s’y introduise, mais arrêtait alors son avancée. Restant juste à l’orée, ni vraiment en dehors, ni vraiment pénétrant. Tout en maintenant cette promesse, ou cette menace, d’enculage, Annie approchait les lèvres du gland que son mari continuait à caresser. D’une langue pointue et précise, elle commença par laper la goutte qui l’ornait. Elle se lécha les lèvres pour en apprécier la saveur salée. George avait tiré la peau un peu plus, comme pour dégager la surface qu’Annie se mettait alors à lécher  doucement, après avoir bien mouillée sa langue de salive pour éviter de lui faire mal. Ele se comportait avec ce gland devenu plus sombre encore comme elle l’aurait fait d’une boule de glace sur un cornet. Cette double simulation, la langue sur le gland et le doigt au bord du trou du cul, amena George très près de l’explosion. Mais Annie, habituée, compris à ses petits cris aigus, qu’il lui fallait faire redescendre la pression si elle ne voulait pas qu’il jouisse tout de suite. Le doigt se recula, quitta le trou, mais deux autres doigts s’ingénièrent à écarter les bords, comme pour lui faire comprendre qu’il serait enculé quand et comme elle le déciderait. La langue abandonna le gland et se mit à descendre, avec une infinie lenteur, le long de la tige. Elle s’attarda un moment juste sous le renflement, là ou la peau marque comme une limite. Puis elle passa outre, et de mit à laper à petits coups  le bâton noueux. Elle suivait la grosse veine bleue qui court le long de la bite. S’appliquait à en faire le tour, à la couvrir de salive, à ne négliger aucune parcelle. Puis atteignait les couilles, qui bénéficiaient elles aussi du même traitement. Léchées, lapées, sucées, et même leur enveloppe  tendrement mordillées.  Comme pour lui faire savoir combien il appréciait, le doigt de George avait repris sa lente reptation et glissait d’un trou à l’autre. Annie avait trop envie de jouir pour retarder encore l’échéance. En un clin d’œil, sa langue fit le chemin inverse, remontant d’une seule traite des couilles jusqu’au gland. Et, précipitant le mouvement, elle enfourna celui-ci, et l’enserra dans ses lèvres. Elle suçait, elle pompait. Avide, sauvage, gourmande, exigeante. Elle sentit que la bite s’était faite encore plus dure, qu’elle commençait à palpiter. Elle savait que l’explosion et le jaillissement n’étaient sont plus loin. George le sentait aussi, et, brûlant lui aussi les étapes, son doigt atteignit enfin le petit bouton dressé et impatient. Les hochements de tête affirmatifs d’Annie et son gémissement de plaisir accrurent la pression de ses lèvres sur le vit. Les mouvements devinrent plus brutaux. Clitoris presque écrasé puis pincé entre pouce et index. Gland avalé, touchant presque au fond de la gorge, puis presque sorti de la bouche avant d’être repris, presque mâché. Les deux amants explosèrent de plaisir presque simultanément. George accéléra la rotation de ses doigts autour du bouton quand il senti qu’il ne pourrait plus retenir son éjaculation. L’orgasme montait déjà des entrailles d’Annie quand elle reçu sur la langue la première giclée de sperme chaud et épais. Elle avait brusquement serré les cuisses, imposant à son amant de retirer sa main, et elle laissait les vagues de plaisir la submerger, l’emplir, du fond de son ventre jusqu’aux pontes de ses seins. Mais sa tête était restée soudée au bas ventre de son homme, et elle continuait à pomper avec une sorte de rage. La seconde décharge fut si brutale qu’elle n’avait pas encore eu le temps d’avaler la première. Sa bouche était emplie de ce liquide visqueux au gout puissant et épicé. Elle déglutit, avala ce qu’elle put, sans pouvoir empêcher le surplus de déborder et de se répandre sur la bite encore dure. Mais elle ne voulait rien perdre, encore secouée par les spasmes du plaisir, elle se mit en demeure de ramasser du bout de la langue ce qui s(était répandu. Elle nettoyait la queue comme une chatte l’aurait fait de ses petits. Elle se léchait les lèvres comme un gourmet. Elle appréciait de la langue le gout, la texture, de ce miel. Les yeux fermés, la tête en arrière, le corps exposé, les seins surmontés de deux pointes rouges vif, la chatte dégoulinante de son plaisir à elle, la touffe poisseuse, et le bassin encore parcouru de mouvements erratiques. Ce spectacle était si fort, si animal, si impudique, que la bite de George avait à peine ramollie. Quand Annie ouvrit les yeux et murmura « j’aime trop de boire, mon amour » elle vit qu’il bandait presque aussi dur qu’avant sa jouissance. Ecartant plus encore les cuisses elle gémit juste « viens ! » Il s’agenouilla entre ses cuisses, les agrippa une sous chaque bras pour relever le bassin, et la pénétra d’une seule poussée. Il entra comme dans une motte de beurre, et se mit à lancer de forts coups de reins pour faire monter encore l’excitation. Chaque nouvel assaut était ponctué d’un « hum ! » de sa part, et du claquement de son ventre sur les cuisses écartées. Annie avançait le bassin au maximum, écartelée, révulsée, la tête dodelinant. Le jaillissement fut plus long à venir. Le torse de George était couvert de sueur, mais ses reins ne ralentissaient pas leurs mouvements. Annie l’encourageait de ses feulements et de ses « baise moi, donne moi tout, défonce moi ! » En  réponse, George lui annonçât en quelque sorte l’aboutissement. « Je vais venir, je vais jouir, je vais t’emplir ! »Et il déchargea en elle et s’écroula, l’écrasant comme le fameux « cheval mort » de la chanson tandis qu’Annie avait pris ses seins à pleines mains, en meurtrissant les tétons, pour assurer mieux encore une seconde jouissance.

Merci, Monica !

Quand ils eurent repris leurs esprits, Annie blottie contre l’épaule de son homme, murmura à son oreille :
« Tu m’as rarement fait autant jouir qu’aujourd’hui tu sais »
George lui répondit galamment :
« C’est que tu es de plus en plus bandante ma chérie »
Annie osa alors demander sans le regarder :
« On dirais que tu est plus fougueux depuis un moment ….qu’est ce que tu fait pour ça ? »
Son homme hésita un moment, puis lui demanda
« depuis quand, selon toi ? »
« Depuis notre week-end en Bourgogne, je pense. Je me trompe ? »
répondit Annie sans le regarder, et elle ajoutait, avant qu’il n’ai pu répondre :
« Ce serait donc les fesses et les fessées des belles allemandes qui te mettraient dans un tel état ? Je devrais les remercier »
C’est alors que George se tourna vers elle, la prit par le menton, l’obligeant ainsi à le regarder dans les yeux pour lui dire :
« Tu aurais envie de revivre cela ma belle pouliche ? »
Annie ne répondit pas directement, se contentant de se retourner, s’allongeant sur le ventre, avant de murmurer :
« Tu sais bien que je te suis soumise en tout, monsieur mon maître »
Elle sentit que George, sans avoir répondu, s’était levé. Mais elle le regarda pas où il allait et ce qu’il faisait. Elle restait sur le ventre, ses fesses offertes, relâchées, impudiques. Elle glissait lentement vers le sommeil quand elle entendit soudain la voix de son homme qui lui disait :
« Alors, relève ton cul mieux que cela ma belle, j’ai un souvenir pour toi »
Sans comprendre, elle joua le jeu. Sans le regarder elle rapprocha les genoux de son ventre pour mieux faire ressortir ses fesses. Mais il voulait qu’elle sache, il ne voulait pas la surprendre. Il fit alors passer le bouquet de verges qu’il était allé chercher dans sa cachette devant son visage en disant :
« Regarde le cadeau de nos amis, et prépare ton cul ! »
Elle ne chercha pas à retarder l’échéance, elle se cambra plus encore, serrant les dents par avance, plus excitée qu’inquiète. En souvenir de leur fameuse soirée, George ne cingla les fesses offertes que trois fois. Trois « shlak », trois cris, trois soubresauts. Et quand Annie se fut laissé retomber, allongée, le cul barré de marques rouges, il lui dit tendrement :
« C’est assez pour ce soir, mais tu en auras d’autres tu sais. EN attendant je vais te mettre ma crème secrète. »
Et pour la troisième fois de la soirée, après une rapide branlette, il éjacula, rependant son sperme sur les fesses endolories de sa femme. Avant de s’endormir, épuisé, il l’entendut murmurer :
« merci, Monica … »