dimanche 24 septembre 2017

Un témoignage

Un témoignage

« La fessée dans notre couple couple »

Si la fessée fait partie de notre vie de couple depuis le début de notre mariage, il y a presque dix ans, elle était restée, jusqu’à cette soirée en présence de Fabienne, une amie de ma femme, dans la stricte intimité conjugale. Nous avons une vie sexuelle très satisfaisante, et plutôt active, mais nous n’avons jamais eu de pratiques échangistes ou exhibitionnistes. Au total nous sommes un couple assez classique sur ce plan, puisque j’ai lu récemment que le « panpan cucu » était une pratique assez largement partagée par les couples français. Encore faut-il bien sûr préciser qu’il ne s’agit en aucune manière de violence conjugale, ni même de ce qu’il est convenu d’appeler la « discipline conjugale » Martine, ma femme, ne le supporterait pas, et du reste moi non plus. Mais il est vrai que nous avons très vite pris l’habitude d’agrémenter nos parties de jambes par des caresses de plus en plus appuyées sur les fesses de madame, qui a un derrière rond et confortable qui rougit de manière tout à fait adorable quand il reçoit ce qui, au fil des premiers mois de notre mariage est passé de claques légères à de véritables fessées.

« Des prétextes tout à fait fallacieux »

Et, avec le temps, il nous est arrivé de plus en plus souvent de « jouer » à « justifier » ces fessées par de pseudos raisons, que celle qui les reçoit sait, aussi bien que celui qui les donne, être des prétextes tout à fait fallacieux. Du reste, il n’est pas rare que ce soit Martine qui me fournisse « sur un plateau » la raison qui m’amènera à lui rougir les fesses avant de faire l’amour. Pour autant, je dois reconnaître qu’il ne s’agit pas non plus de simulacres. Les magnifiques fesses de ma chérie reçoivent de vraies fessées, parfois longues, et leur couleur cramoisie ne laisse aucun doute sur la réalité des claques qu’elles ont reçues. Je sais donc fort bien que celles-ci peuvent être douloureuses. D’ailleurs Martine ne simule pas quand elle se plaint que « ça pique » et quand elle lâche de petits cris de souris prise au piège. Il est même arrivé, mais c’est exceptionnel, qu’une fessée appuyée provoque des larmes. La première fois, j’en ai été désolé, en me reprochant de m’être laissé entraîner plus loin qu’il ne le fallait. Mais elle n’a rien fait pour m’inciter à arrêter, et, alors que son corps était encore secoué par de brefs sanglots, c’est d’elle-même qu’elle a accentué la cambrure de ses reins pour se mettre en position parfaite pour une levrette d’anthologie. Il aurait fallu être de bois pour ne pas répondre à une telle invitation, et si notre étreinte fut plutôt brève, la vue de son cul rouge vif et la chaleur de celui-ci sur mon ventre ayant eu vite raison de ma résistance, l’humidité de sa chatte et ses feulements rauques ne m’ont laissé aucun doute sur le fait qu’elle y prenait elle aussi un plaisir plus fort que lors de nos ébats habituels.

Ni masochiste, ni sadique.

Elle n’est pourtant pas plus masochiste que je ne suis sadique. Ce n’est pas le fait qu’elle souffre qui me pousse à lui frapper les fesses, même si je suis bien conscient de la douleur qu’elle ressent. Ce n’est pas celle-ci qui m’apporte de l’excitation et du plaisir. A vrai dire, n’ayant pas fait le choix d’entreprendre une psychanalyse, je suis en fait incapable de m’expliquer ce qui m’excite autant dans le fait de la fesser. Est – ce la couleur que prennent ses fesses sous les avalanches de claques ? Ou bien le bruit de celles-ci qui emplit la pièce et qui, parfois est peut-être entendu par d’autres quand la fessée est donnée par exemple dans une chambre d’hôtel ? Je ne peux me cacher qu’il y a, dans cette activité, une forme de domination. Il serait malhonnête de nier qu’entre le fesseur et la fessée, il n’y a évidemment pas égalité. Peut-être le fait que dans « la vraie vie » notre couple respecte une stricte égalité, et que mon épouse soit une femme émancipée et indépendante, m’amène-t-il à « compenser » en la dominant dans ce qui s’apparenterait à un jeu de rôles. De son côté, sans être particulièrement douillette, Martine ne recherche sûrement pas le plaisir dans la souffrance. Pourtant, ce n’est jamais elle qui demande à ce que la fessée cesse ou soit moins cuisante. Certes, elle ne m’invite jamais à frapper plus fort ou plus longtemps, mais elle ne m’implore jamais de modérer mes élans ou de mettre fin à la séance. Celle-ci s’arrête quand je ne sais quoi au juste m’indique qu’elle doit cesser. Avec le temps il me semble que, plus encore que la couleur cramoisie du fessier ou l’intensité des plaintes, voire que la cuisson ressentie par ma main, c’est en quelque sorte la réaction du derrière qui m’indique le point où il est souhaitable de cesser de la fustiger.

« Le postérieur accepte la fessée »

En effet, si Martine ne fait rien pour « échapper » aux claques qui lui meurtrissent le postérieur, celui-ci réagit évidemment au traitement qui lui est administré. Alternativement, et, j’en suis sûr, sans que Martine en soit consciente, son derrière se baisse et se relève, comme s’il voulait parfois échapper à la main qui va le frapper, et parfois, au contraire, aller à sa rencontre. La lune offerte à ma vue et ma main semble ainsi tantôt chercher à de protéger, tantôt s’offrir, presque provocante. Elle gigote aussi de droite à gauche, au rythme des claques administrées alternativement sur une fesse puis sur l’autre. Sous les impacts, les fesses se crispent, durcissent, se serrent. Tout le corps de ma victime consentante se tend comme un arc. Puis, par instants, elles se relâchent et se mettent à ballotter sous les coups avant de reprendre leur contraction. Mais il me semble qu’à un moment, le derrière cesse en quelque sorte sa résistance. J’ai lu quelque part un amateur de fessées qui considérait que ce moment indique que le postérieur « accepte » la fessée. Comme si celle qui la recevait, elle aussi, l’acceptait, cesser de résister. Le corps jusque-là si tendu semble soudainement se relâcher, comme un pantin dont on aurait coupé les ficelles.

Un bouquet de feu d’artifice.

Le derrière, auparavant pierre dure, acier ou granit, devient pâte molle, de celle que le boulanger pétrit. Les fesses tressautent, la raie qui les sépare s’entrouvre, laissant apparaître le plus intime, ce que d’aucuns appellent le « divin petit trou » Il n’y a plus de résistance, plus de conventions, plus de recherche de la performance ou de l’endurance. Bien souvent les « aille ! » et les « ouille » qui ponctuaient les claques cessent, pour laisser place à une sorte de mélopée, une plainte modulée. C’est aussi à ce moment qu’apparaissent parfois les larmes. Mais arrêter la fessée immédiatement serait, à mes yeux, presque une lâcheté. Cela signifierait que c’est celle qui la reçoit qui en décide la fin, et donc, d’une certaine manière, faire reposer sur elle la responsabilité de la chose. Je mets donc une sorte de point d’honneur à continuer encore quelques instants, souvent même en accentuant la vigueur des claques et leur rythme, pour finir par une sorte de bouquet de feu d’artifice.

La fessée ne se commente pas.

Pour nous, la fessée se donne – et se reçoit ! – mais elle ne se commente pas. Martine ne m’a jamais dit si elle appréciait cette forme pour le moins originale de préliminaire amoureux. Je pense qu’elle préférerait être hachée menue (ou fessée très fort !)plutôt que « d’avouer » qu’elle aime recevoir la fessée. Mais il me suffit qu’elle ne m’ait jamais dit non plus qu’elle n’aimait pas ! Elle ne s’est jamais plaint du fait que, au fil des ans, la fessée soit devenue l’entrée en matière presque systématique de nos moments d’intimité conjugale. Et jamais elle ne m’a reproché d’avoir été par trop « sévère » même après les fessées les plus claquantes. Tout juste les commente-t-elle parfois d’un « ho ça chauffe, tu sais ! » mais je dirais presque avec une nuance de fierté. De la même manière qu’elle me semble presque fière de me faire constater parfois, après la fessée, combien ses fesses sont rouges. Et plus encore quand, au lendemain d’une fessée appuyée, elle me murmure quand elle ne peut réprimer une grimace en s’asseyant « j’ai encore mal aux fesses » ou quand elle me fait constater qu’elles portent encore les stigmates du traitement reçu la veille. Il arrive en effet que ses fesses soient presque bleues le lendemain ou qu’on y voit encore la marque de mes mains, et plus visiblement encore celles des « instruments » qui y ont été substitués.

Instruments.

En effet, après des années de fessées que j’oserais qualifier de « traditionnelles », je veux dire données à la main, et qui pouvaient donc n’être après tout qu’une forme de préliminaire amoureux un peu épicé, une soirée à l’hôtel lors d’un voyage à Paris nous a fait passer en quelque sorte un pallier et nous a amené, sans que ce soit exprimé ni par Martine ni par moi, à admettre que la fessée faisait bien partie de notre vie.

La ceinture à l’hôtel

J’avais décidé de fesser Martine, pour un prétexte que j’ai oublié, à l’heure de la sieste. Elle avait joué le jeu, en ne cherchant pas à s’y soustraire, et avait pris docilement position au travers de mes genoux alors que je m’étais confortablement installé dans un petit fauteuil « Voltaire » Je lui ai retroussé la robe légère qu’elle portait et baissé la culotte sans barguigner. Mais dès les premières claques bien sonores dans le silence de la chambre, ma chérie a protesté :
  • « Arrête ! on va nous entendre ! »
J’étais bien conscient que sa crainte était fondée, et je ne l’ai pas démenti, me contentant de répondre comme s’il s’agissait d’une évidence, alors qu’elle s’était redressée :
  • « Eh … tu sais bien que ce qui doit être fait doit être fait, ma chérie. »
Et comme elle continuait à rechigner, mais sans remettre en cause le fait qu’elle doive être fessée (elle n’avait d’ailleurs même pas remontée sa culotte) en murmurant, comme si on aurait aussi pu l’entendre :
  • « Oui … bien sûr … mais le bruit ….tu sais bien … »
Je répondis tout à trac :
  • « A toi de choisir, ma chérie. Je peux faire moins de bruit … mais tant pis pour tes fesses ! »
Tout en détachant la boucle de ma ceinture puis en la faisant glisser hors des passants du pantalon avant de la faire doucement claquer dans la paume de ma main. Je la vis écarquiller les yeux, et j’ai pensé un instant qu’elle allait m’envoyer paître. Elle est restée quelques instants sans parler. Je pense que, pour elle, ce devait être « tempête sous un crâne » Et pour moi aussi, dans la mesure où, si elle avait décidé de sortir du jeu je me serais retrouvé tout bête avec ma menace de la flageller. Mais elle n’a pas protesté et, au contraire, elle a encore intensifié l’atmosphère que ma proposition avait installée, en baissant les yeux, puis, sans exprimer ni son refus ni son acceptation, en se retournant vers le fauteuil duquel je venais de me lever, pour se pencher vers lui, en prenant appui sur les accoudoirs, après avoir, sans même que j’ai eu l’initiative de le lui demander, relevé au-dessus de ses reins la robe qui était retombée.

Positions

J’avoue que je suis moi aussi resté quelques instants pétrifié. Le jeu prenait soudain une dimension que je n’avais évidemment pas prévu. Ma chérie était tranquillement entrain de ma présenter son derrière dénudé, l’offrant ainsi consciemment à la ceinture de cuir que je tenais en main. Jusque-là, elle avait reçu ses fessées le plus souvent alors que nous étions déjà au lit. Soit qu’elle soit allongée sur le ventre (le seul fait qu’elle prenne parfois d’elle-même cette position avant même que j’ai exprimé ma volonté de lui administrer une fessée me confirmant dans l’idée que la chose ne lui était pas si désagréable) soit que, étant assis sur le lit, je l’amène à s’étendre au travers de mes cuisses. Positions qui mettaient bien ce qui allait se passer dans le cadre d’une relation sexuelle. En d’autres circonstances, quand l’absence des enfants nous permettait des câlins plus impromptus au salon, il m’était arrivé de lui faire prendre la position classique des enfants fessés au travers des genoux. Mais cette fois, et de sa propre initiative (à cette époque je n’aurais jamais osé le lui proposer et encore moins le lui imposer) elle prenait la position d’une femme que l’on va fouetter. Image pour le moins troublante. Son somptueux derrière était présenté en quelque sorte « en majesté » Et comme elle avait les jambes légèrement écartées, j’avais aussi une vue bouleversante sur son abricot rosé et même sur son petit trou.

Marques

Les coups de ceintures qu’elle reçut ce jour là, dans la demi-pénombre de cette chambre d’hôtel anonyme, n’ont probablement pas été plus douloureux que certaines des fessées manuelles qu’elle avait subies auparavant. J’étais bien évidemment aussi inexpérimenté qu’elle en matière de flagellation, et j’ai donc fait très attention à ne porter que des coups forts retenus. De plus j’avais veillé à plier la ceinture en deux afin d’éviter que le bout ne vienne la blesser. Pour autant, se fut un grand moment de découverte pour moi aussi. Le bruit était en effet bien moins fort que celui causé par la main claquant sur les fesses. Mais chaque coup était quand même ponctué par un claquement sec de la bande de cuir sur la peau. Et surtout, même modérés, chaque coup laissait une trace nette, marquant les fesses d’une empreinte rouge foncé alors que le reste du derrière restait d’un blanc immaculé. A chaque fois que la ceinture s’abattait sur son postérieur, Martine relevait la tête, comme un cheval qui se cabre, et trépignait sur place, sans que ses mains ne décollent du fauteuil. Mais elle ne laissa pas échapper un cri, ponctuant seulement chaque claquement de la ceinture sur ses fesses d’une sorte « humf » étouffé.
Ce n’est que bien plus tard qu’elle m’a dit que, cette première fois, la lanière de cuir lui avait mordu les fesses douze fois. Et ce chiffre de la « douzaine » est ainsi entré dans ce que je pourrais appeler nos rituels conjugaux.

Cadeau

Cette première expérience d’une fessée administrée autrement qu’à la main resta t assez longtemps une exception. Ni Martine ni moi n’avons ressenti le besoin de la commenter, pas plus que l’étreinte fougueuse qui l’avait immédiatement suivie. Martine ne s’était en effet pas relevée immédiatement quand la valse de la ceinture s’était arrêtée. Au contraire, elle était restée ainsi exposée à mon regard lubrique, le cul offert, accentuant même le creusement de ses reins. Je n’eus qu ‘à laisser tomber mon pantalon et à baisser mon slip pour me retrouver derrière elle, le sexe tendu et à l’enfourner d’un seul coup dans sa chatte ruisselante. Et je ne suis pas sûr que les « hans » qu’elle poussa au rythme de mes coups de reins ne furent pas aussi sonores que l’avaient été la fessée initiale. Pourtant, nous en étions revenus à la fessée classique, à la seule différence qu’à plusieurs reprises je lui avait suggéré de la recevoir à genoux sur un fauteuil du salon ou debout, juste penchée, les mains appuyées sur la cheminée. Mais une fois encore, ce fut elle qui, en fait, décida de l’étape suivante. Lors de mon anniversaire, alors que nous allions sabler le champagne, elle me tendit une boite enveloppée dans un joli papier cadeau. A l’intérieur … une nouvelle ceinture en cuir noir. Et quand je l’embrassais pour la remercier elle murmura :
  • « Attends de l’avoir essayée, c’est aussi cela ton cadeau »
Et, tranquillement, elle alla se placer devant la cheminée, ouvrit la fermeture de sa jupe et la laissa tomber au sol, et demanda d’une petite voix :
  • « Je dois la baisser moi-même, Monsieur ? »
J’entrais évidemment de plain-pied dans son jeu en répondant :
  • « Oui, jeune fille, mais sans qu’elle tombe, sinon la punition reprend au début »
Elle s’exécuta, en écartant légèrement pour retenir le slip au niveau de ses genoux. Comme la première fois, je testais l’instrument en le faisant claquer dans la paume de ma main, puis je pliais la ceinture en deux et je cinglais une première fois le derrière offert. Elle accusa le coup d’un cri guttural et d’une sorte de ruade qui fait délicieusement balancer ses fesses. Probablement avais-je lancé l’instrument avec plus de vigueur que lors de ma première expérience. Ou bien la nouvelle ceinture était-elle plus efficace que l’ancienne ? En tout cas, comme la première fois, le derrière de ma chérie s’orna immédiatement d’une ligne rouge bien nette, une sorte d’équateur presque parfaitement perpendiculaire à la raie des fesses. Alors que je levais le bras pour le deuxième fois, Martine lança d’une voix un peu enrouée :
  • « Un, monsieur »
Une nouvelle fois, c’est elle qui introduisait un nouvel élément dans notre jeu de rôles, ce qui me confirme dans l’idée qu’entre le fesseur et la fessée, c’est bien elle qui, en fait, mène le jeu. Pour les coups suivants, je m’appliquais à appliquer la ceinture de manière à ne pas superposer les marques (ce à quoi je ne réussis pas complètement) et à les faire aussi parallèles entre elles que possible. De même, même si l’instrument – et donc les marques – couvraient les deux fesses, je veillais à ce qu’il frappe alternativement une fesse puis l’autre. A chaque nouvel assaut, Martine comptait en ajoutant ce « Monsieur » qui, d’évidence donnait un aspect de relation de dominant – soumise à notre exercice. A mesure que son derrière se décorait de ces lignes nettes, ses ruades et ses trépignements devenaient plus démonstratifs, et ses cris plus aigus. A plusieurs reprises, soit que j’ai frappé plus frot, soit que son niveau de tolérance ait été atteint, elle se redressa, lâchant les accoudoirs du fauteuil, pour entamer une sorte de danse du scalp sur place en portant ses deux mains ouvertes sur son cul. Mais à chaque fois, alors que j’attendais en frappant à petit coups bref la ceinture sur la paume de ma main, elle reprit sa position, écartant même un peu plus les jambes pour mieux assurer son maintien, et accentuant encore la cambrure de ses reins. Ainsi la raie s’élargissait-elle, exposant plus impudiquement son intimité. Je découvrais ainsi les lèvres de son sexe, roses et luisantes, et surtout son petit trou qui me semblait palpiter comme un cœur. Au douzième coup, Martine prononça son désormais attendu
  • « Douze, Monsieur. »
Mais elle ajoutât immédiatement :
  • «Merci, Monsieur. »
Indubitablement, elle indiquait ainsi qu’à ses yeux – si l’on peut dire ! – la séance devait s’arrêter après cette douzaine. Je lui en fus presque reconnaissant, puisque, ainsi, elle m’évitait la décision, difficile à prendre, de cesser ou de dépasser ses limites. Elle se redressa alors, fit glisser la culotte jusqu’à ses pieds, et se tourna vers moi. Des larmes coulaient sur ses joues, mais ses yeux brillaient et, paradoxalement, son visage semblait serein. Elle s’approcha de moi, posa sa tête sur mon épaule alors que je l’entourais de mes bras, et murmura un
  • « Je t’aime. »
Quelques instants plus tard, sans avoir remis ni sa jupe ni sa culotte, elle se dirigea vers notre chambre, où elle s’allongea, évidemment sur le ventre, sur le lit. Bien entendu, je l’y rejoignis, et, m’agenouillant auprès d’elle, j’admirais son cul balafré de traces qui déjà viraient au violet. Je les effleurais du bout des doigts, ce qui provoqua chez elle une sourde plainte et un raidissement de tout son corps. Pourtant, elle ne fit rien pour me dissuader de donner la suite que j’attendais. Au contraire, d’elle-même, elle ramena les genoux vers sa poitrine, et me présenta ainsi son derrière meurtri avec encore plus d’indécence. Il eut fallu être un saint, un impuissant ou un fou – et je ne suis ni l’un ni les autres – pour résister à une telle offrande. Je sentais bien que l’état de mon sexe qui je libérais enfin était tel que je ne tiendrais pas longtemps avant d’exploser. Je prit donc quelques grandes inspirations pour tenter de maîtriser mon émotion et éviter de jouir trop vite, puis je m’agenouillais derrière elle. En veillant à ne plus toucher les marques qui commençaient à gonfler, j’approchais ma langue de la « petite porte » entrouverte. Martine marqua son acceptation par un râle de plaisir quand ma langue s’insinua dans son petit trou. Je léchais celui-ci avec soin, l’inondant de ma salive, tandis que j’introduisais deux doigts dans la chatte moelleuse. Les halètements rauques de ma chérie m’indiquaient combien ce traitement la satisfaisait. Quand mon doigt effleura son .clitoris, je sentis son sexe palpiter et tout son corps trembler alors qu’elle creusait les reins, me permettant ainsi d’introduire plus profondément ma langue dans son fondement. Ma chérie jouissait en poussant un long cri enroué. L’invitation était trop forte pour que je n’y réponde pas. Ma bite remplaça ma langue et j’enculais ma chérie en accompagnant mes coups de reins de « han » rythmés. Nous n’avions, jusque-là, pratiqué la sodomie qu’assez rarement, mais jamais je n’avais senti cette « voie étroite » aussi accueillante. Quand je me retirais après avoir généreusement déversé mon jus dans son cul, elle s’allongeât à nouveau, mais alors que je lui murmurais mon amour, je m’aperçus qu’elle s’était tout bonnement endormie. Je ramenais délicatement le drap sur elle, sans qu’elle réagisse. Et le lendemain, elle ne fit aucune remarque sur notre soirée d’anniversaire si particulière. Sauf qu’avant de partir au travail, alors qu’elle avait mis une jupe longue, elle me glissa à l’oreille, en m’embrassant avant de partir :
  • « Désolé, chéri, mais je n’ai pas pu mettre de culotte … »
Et, comme je feignais l’incompréhension, elle ajoutât, avec un sourire coquin qui montrait qu’elle n’était pas dupe :
  • « D’accord … voilà le résultat de votre œuvre, monsieur. »
En relevant brièvement sa jupe pour me montrer un derrière encore marqué de longues traces violettes. Celles-ci ne disparurent qu’au bout de trois ou quatre jours. J’en conclus que ce genre de séances – oh combien délicieuses au demeurant – devait rester une exception. Il est vrai que, comme elle me le dit une fois, sans pourtant faire directement allusion à l’état de ses fesses « ce n’est pas ton anniversaire tous les jours … heureusement »

Martinet.

Une fois encore, ce fut elle qui en quelque sorte « trouva la solution » Quelques semaines plus tard, alors que nous nous promenions en ville, nous nous sommes arrêtés devant la devanture d’une vieille droguerie dans la vitrine poussiéreuse de la quelle étaient exposés des produits qui semblaient dater des années cinquante. D’anciennes cafetières, des bocaux à confiture, des marmites en zinc et … un martinet. Un de ces martinets que, parait-il, toutes les familles possédaient naguère. Un manche en bois jaunâtre, et une chevelure de lanières de cuir fauve beige clair. Sans exprimer directement à quoi elle faisait allusion, mais sûre que je comprendrais, elle glissa :
  • «Tant qu’à faire, autant utiliser les instruments faits pour, tu ne penses pas ? »
Sans quitter la vitrine des yeux je répondis :
  • « Tu veux dire … en acheter un ? »
Taquine comme elle aime l’être elle répliqua :
  • « A moins que tu n’envisages de le voler ? »
Et comme je me contentais d’un « chiche ? » qui, finalement n’engageait à rien, elle haussa les épaules en disant :
  • « Ok, tu te dégonfle ! »
Et sans attendre ma réponse, elle entra résolument dans le magasin, dont elle ressorti quelques minutes plus tard en tenant en mais un sac de papier gris. Nous avons continué notre promenade et nos achats sans revenir sur le sien, si ce n’est qu’un peu plus tard elle me dit :
  • « Cette boutique devrait être classée monument historique. Et son propriétaire aussi, tu sais. Il n’a pas d’âge, mais il a un regard lubrique qui le rajeunit. Quand je suis sortie j’avais l’impression de sentir ses yeux sur mon cul ! »
Bien entendu, cet aveu, comme l’insulte de « dégonflé » proférée précédemment, me fournirent d’excellents prétextes pour essayer notre nouvelle acquisition dès notre retour à la maison. A l’expérience, il se confirma tout de suite que cet instrument d’un autre âge répondait tout à fait aux attentes qu’on pouvait en avoir. Les piaillements et les sauts sur place de ma chérie alors que j’appliquais les lanières sur ses fesses confirmaient que l’instrument n’était pas un jouet inoffensif. Elle me confirma par la suite qu’en effet cela « cuisait » toute la surface offerte à la chevelure de cuir, mais que la sensation était très différente de celles de la ceinture. De même le bruit était très différent. Une sorte de chuintement presque doux, un peu comme le bruit du vent dans un feuillage. Mais, et finalement c’est bien ce que nous en attendions, le martinet évitait de meurtrir trop visiblement le derrière. Plus de ces boursouflures violacées, mais en entrelacement de fines rayures rosées qui décoraient admirablement ses fesses sur toute leur surface, de la ceinture jusqu’à la jonction avec les cuisses. Je pris du reste assez vite soin à éviter que les lanières n’atterrissent sur celles-ci, les cris perçants de ma chérie quand cela arrivait confirmant que la peau des cuisses, surtout la face internes de celles-ci, était trop fragile pour le supporter, et surtout marquait trop pour qu’elle puisse sortir avec ces traces visibles sur les jambes. Depuis ce jour, l’utilisation du martinet reste presque exceptionnelle, et je reste, finalement, très attachée à la fessée traditionnelle et au plaisir de la sensation de sa peau sur celle de mes mains. Mais le martinet a trouvé sa place dans le tiroir de la commode, les passages de la femme de ménage dans notre chambre ne nous permettant pas de l’accrocher au mur. J’ignore d’ailleurs si, au hasard des rangements, elle a découvert notre petit secret. En tout cas, Martine n’a jamais rien fait pour le dissimuler, et il suffit d’ouvrir le premier tiroir, celui justement où elle range ses sous-vêtements, pour découvrir, posée sur un lit de petites culottes et de soutien-gorge le martinet conjugal aux lanières lisses d’un côté et plus rugueuses de l’autre.

Partage ?

Jardin secret.

Il n’en reste pas moins que s’il est possible que notre femme de ménage ait découvert que nous possédions cet instrument archaïque dans un appartement moderne, elle ne s’est jamais permis de nous en faire part. Et que, à part elle, personne de notre entourage ne sait ni que nous possédons ce qui, parait-il, était encore courant il y a quelques décennies. De même, bien sûr, personne, à ma connaissance, ne peut imaginer que cette femme jeune et dynamique, au caractère bien trempé et plutôt autoritaire, se retrouve régulièrement le cul nu pour recevoir la fessée maritale. Nous n’avons pas l’habitude de faire partager à nos amis nos pratiques amoureuses, pas plus qu’ils ne nous font partager leurs jardins secrets.

Entendus ?

Il est pourtant possible, et même probable, que des voisins de chambre aient pu entendre, comme cela avait été le cas à Paris et m’avait amené à substituer la ceinture à ma main. En effet, il s est arrivé à plusieurs reprises à Martine de recevoir la fessée lors de nos séjours à l’hôtel. A vrai dire, c’est devenu presque systématique, peut-être justement en souvenir de cet hôtel parisien. Ma chérie a d’ailleurs renoncé à me dissuader de la fesser en ces circonstances. L’idée que des voisins puissent deviner ce qui se passe dans la chambre d’à côté m’incite plutôt à passer à l’acte plutôt deux fois qu’une, et la « victime » semble en avoir pris son parti. Même si j’ai souvent constaté qu’elle rougissait – mais du visage ! – en entrant, le lendemain d’une soirée claquante, dans la salle du petit-déjeuner en se demandant sûrement, comme moi, « qui » parmi les clients attablés devant leurs tasses de café, avait pu entendre et si quelqu’un pouvait deviner quelle femme avait été à l’origine de ces bruits pour le moins incongrus.

Mathilde.

La pratique du « panpan cucu » conjugal était donc restée strictement du domaine de l’intime, jusqu’à cet après-midi où Mathilde est venu prendre le thé chez nous. C’est une ancienne collègue de travail de Martine, avec laquelle elle est restée en contact et qui, assez souvent, l’accompagne dans ses parties de shopping. Autant ma femme est toute en rondeurs, avec une poitrine aussi généreuse et pulpeuse que ses fesses, autant Mathilde est musculeuse et plutôt longiligne. Et alors que Martine porte ses cheveux bruns et ondulés sur ses épaules, son amie arbore des cheveux gris coupés courts, presque en brosse.
J’avais croisé plusieurs fois Mathilde quand elle venait chercher ma femme pour faire des courses mais, au final, je la connaissais assez peu.. Du reste, je ne pensais pas que Martine et elles soient assez intimes pour se faire de réelles confidences. Je dois d’ailleurs dire que, même aujourd’hui, je ne sais absolument pas ce que Mathilde pouvait savoir de nos relations conjugales avant ce fameux thé qui n’aurait pu être qu’une après-midi banale entre amis. Martine et elle avaient passés une partie de la journée à faire les magasins et comme elles utilisaient la voiture de Mathilde, celle-ci était passée prendre un thé chez nous avant de rentrer. Curieusement, autant je me souviens, et avec quelle précision, de ce qui s’est passé ensuite, autant je suis incapable de me souvenir précisément comment la conversation nous a amené à cet épisode qui a tellement marqué nos vies, et en tout cas la mienne. Il me semble que les deux dames papotaient à propos de leurs achats qui emplissaient, pour ce qui est de ma femme, un grand sac qu’elle avait laissé dans l’entrée sans me les montrer. Et, comme elles s’avouaient l’une à l’autre « n’avoir pas été vraiment raisonnables » ou quelque chose comme cela il me semble que c’est Martine qui a lancé, sur le ton de la plaisanterie :

Pas de quoi fouetter un chat !

  • « Au moins, toi, les excès n’auront que des conséquences sur ton budget ! »
Mathilde a alors répliqué, sur le même ton :
  • « Ho … mais je suis témoin que tu as été plus raisonnable que moi ma chérie ! »
Et, évidemment sans pouvoir se douter du double sens que pouvait avoir ses propos, elle me lança, un peu taquine :
  • « Tu sais bien que deux femmes dans les magasins, c’est ingérable ! Mais rassure-toi, il n’y a pas de quoi fouetter un chat ! »
Bien sûr les mots ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd, et je n’ai pu m’empêcher de lancer un regard entendu à ma femme en me frottant les mains d’une manière qu’elle ne pouvait pas ne pas interpréter. Mais les choses en seraient restées là si Martine – et je ne sais toujours pas si elle était consciente de la portée de ses propos n’avait pas lancé étourdiment :
  • « Un chat, non, mais mes fesses si ! »
Aussitôt après, j’ai vu son visage pâlir. Visiblement les mots lui étaient sortis de la bouche sans qu’elle réfléchisse à ce qu’ils sous entendaient. Mathilde m’a semblé elle aussi interloquée, mais elle s’est contentée d’un rire un peu forcé. C’est alors que, sans avoir vraiment prémédité mes mots, j’ai répliqué un
  • « Ça c’est sûr, ma chérie ! »
Une nouvelle fois, Mathilde a ri, mais, visiblement, elle se demandait si « c’était du lard ou du cochon » Martine aurait tout à fait pu mettre fin à l’ambiguïté en lançant une plaisanterie, ou tout simplement en changeant de sujet, et la situation en serait resté à une sorte de message codé entre nous. Mais elle n’en a rien fait. Elle a baissé les eux, en tripotant sa tasse de thé et a juste bredouillé
  • « Oui, je sais … mais …. »
C’est à ce moment que les choses ont commencées à basculer. Son regard baissé, sa gêne visible, et le ton un peu pleurnichard qui lui ressemble tellement peu expliquent probablement que, d’instinct, j’ai lancé :
  • « Et tout de suite, s’il vous plaît, jeune dame ! »
Je savais bien que l’utilisation de ce terme à son endroit serait interprétée comme de juste par ma femme. Encore une fois, je suis convaincu que Martine aurait tout à fait pu faire comme si elle ne comprenait pas et passer à autre chose. Bien sûr, je n’aurais pas manqué, le soir même, de prendre prétexte de cet « aveu » pour passer à l’acte, mais cela n’aurait, finalement, qu’apporter un peu de piquant à notre séance vespérale. Mais, à mon grand étonnement, elle s’est empourprée et j’ai vu que la tasse de thé qu’elle tenait à la main tremblotait tandis qu’elle balbutiait
  • «M …, Jean … tu ..vous…. pas….maintenant …. ? »
Son bafouillage trahissait sa déstabilisation, et elle hésitait entre le tutoiement, évident entre époux, et le voussoiement que nous avions introduit comme une règle non écrite quand elle était la « jeune dame » et moi « monsieur » Mais je ne pense pas que Mathilde ait pu interpréter cette hésitation.
Pour ma part, l’hésitation n’était plus de mise. Les dés étaient jetés. J’avais devant moi une épouse rougissante et flageolante, et une autre femme, ne comprenant visiblement pas ce qui était en train de se passer. A la réflexion, je pense que si Mathilde avait pensé que nous étions vraiment sur le point de nous disputer, elle aurait trouvé le moyen de s’esquiver. Et si, au contraire, elle avait pensé que nous étions en train de plaisanter, elle se serait mêlée à la plaisanterie. Mais ne sachant pas quelle attitude prendre, elle restait muette, et le silence se prolongeait. Martine, quant à elle, restait les yeux fixés sur sa tasse. J’ai eu le sentiment d’être sur le bord d’un plongeoir. D’une voix aussi calme que possible j’ai lancé :
  • « Mais bien sûr que si ! »
Cette fois, ma femme a levé les yeux vers moi, comme pour voir si j’étais sérieux. J’étais allé trop loin pour reculer, j’ai plongé ! Je me suis un peu avancé sur mon siège, j’ai regardé Martine dans les yeux, et j’ai tapoté mes genoux de la main en disant, toujours d’une voix posée et sans regarder Mathilde :
  • « En position, jeune dame ! »
Si, à ce moment, Martine m’avait lancé un « tu peux toujours courir » ou « tu rêves, vieux macho » j’aurais enchaîné et l’affaire en serait resté à une galéjade un peu lourdingue. De même, Mathilde aurait pu intervenir dans le genre « bon eh bien je vais vous laisser, hein ? »et nous l’aurions évidemment retenue et ces moments de doutes se seraient transformé en rigolade. Mais elle restait immobile et silencieuse. E c’est dans un silence à couper au couteau que Martine s’est levée, le regard fixe, s’est rapproché de moi et, comme si elle avait totalement oublié la présence de son amie, elle s’est allongée au travers de mes genoux en posant ses mains par terre.

Déculottée.

Nous étions allés trop loin pour reculer. Les dés avaient été jetés, et ils roulaient. Jamais nous n’avions envisagé que Martine puisse être fessée en présence de qui que ce soit. Jamais je n’aurais imaginé le lui proposer, et encore moins le lui imposer. Mais c’est bien elle qui s’installait dans la position fort classique de la femme qui va être fessée. Alea jacta es, comme on dit. Sans un regard pour l’étrangère qui restait de marbre devant nous, j’ai posément relevé la jupe de ma victime consentante au-dessus de ses reins, découvrant les collants fumés et la petite culotte jaune paille. Je me suis interrompu quelques secondes, le cœur battant la chamade. Le silence était absolu. J’avais le sentiment d’entendre mon cœur, mais aussi celui de ma femme battre. Je sentais presque physiquement le regard de Mathilde sur nous, mais je ne levais pas les yeux sur elle. J’avais l’impression folle que si je croisais son regard tout allait s’écrouler. Les mains un peu tremblantes, je glissais deux doigts sous l’élastique du collant et j’entraînais en même temps le slip vers le bas. Martine a facilité les choses en soulevant d’elle-même le bassin, et les sous-vêtements ont été descendus jusqu’à mi cuisses.
Ma femme était donc là, sur mes genoux, le cul nu. Le cul exposé. Le cul exhibé, sous mes yeux, ce qui, pour le moins, n’était pas une première, mais aussi sous les yeux de sa copine. Je suppose qu’il avait dû déjà arriver à Martine d’être nue devant d’autres femmes, dans les vestiaires du sport par exemple. Mais ici rien de commun. Elle n’était pas nue, elle était dé-cu-lo-ttée. Seules ses fesses étaient dénudées. Finalement tout son corps était comme résumé, concentré, dans cette lune offerte. Dans ce derrière somptueux. Rond, plein, rebondi. Deux fesses larges, épanouies, séparées par une raie, comme un sourire. Avec, tout en haut de ce vallon, une sorte de minuscule fossette, faisant trio avec les deux autres, au bas de ses reins.
Le temps s’était comme arrêté. Pendant quelques instants, il me semble que nous sommes restés tous les trois comme pétrifiés.

Fessée devant sa copine.

Curieusement, j’ai à partir de cet instant eu le sentiment d’être d’une certaine manière le spectateur de la scène. Comme si j’y étais extérieur. Comme si c’était un autre que moi qui, lentement, levait la main, jusqu’à hauteur de son épaule, puis la laissait retomber, vivement, frappant le bas de la fesse droite au bas de celle-ci, la faisant sursauter vers le haut. Le son clair, net, de la claque résonna dans la pièce, comme un coup de feu. Martine ne broncha pas. Pas un son ne sortit de sa bouche. A peine ses fesses se contactèrent un peu plus. J’attendis d’avoir le sentiment qu’elles se détendaient avant de lever la main une seconde fois et de frapper de la même manière l’autre fesse. Et je poursuivis ainsi, lentement, posément, presque au ralenti. La main se lève, s’abaisse, frappe la fesse. Un bruit bref. Un sursaut des fesses, une sorte de soupir de Martine, à peine audible, un instant de pause, puis la main se lève à nouveau et frappe l’autre fesse. Après une dizaine de claques, la résistance passive de Martine commença à se fendiller. Sa tête se mit à se relever brusquement à chaque nouvel assaut de la main sur ses fesses. Celles-ci se mirent à se contracter puis s’entrouvrir de plus en plus nettement, comme si ces mouvements sporadiques limitaient l’impact des frappes. Son cul semblait chercher de l’air, comme un poisson hors de l’eau. Et, alors que j’accélérais progressivement le rythme des aller et retour de ma main, les jambes de Martine se mirent à battre l’air. D’abord subrepticement, comme des mouvements involontaires, puis de manière de plus en plus fébrile. Les jambes gigotaient, s’agitaient, battant comme celles d’une nageuse, s’écartant de plus en plus l’une de l’autre. Et exposant ainsi, d’abord furtivement, puis de plus en plus ouvertement, son intimité la plus secrète. En même temps, Martine lançait de petits cris brefs, étouffés. Chaque claque était ainsi ponctuée par un « hi ! » de plus en plus audible.
Le derrière de ma femme avait pris très rapidement une couleur rosée puis franchement rouge. Attentif, presque perfectionniste, je veillais à ce que les claques couvrent toute la surface – confortable – offerte. Ainsi la lune devenait-elle quasiment luminescente. Et, chaque fois que ma main ouverte s’abattait sur cette surface rouge brique, l’empreinte de mes doigts s’y imprimait quelques secondes en blanc, comme des traces de pas sur un sable mouillé.

Sereine.

Je ne pense pas que la fessée que Martine reçu ainsi en présence de son amie soit la plus sévère qu’elle ait connue. Je suis assez persuadé de l’avoir cessée bien avant que ma chérie ait atteint son « seuil de tolérance » Du reste, moins que jamais, l’objectif, à mes yeux, n’était pas de lui faire mal. Mais, à l’évidence, ce fut une fessée qui marquera, autant celle qui l’a reçue que celui qui l’a donnée. L’objectif n’était pas non plus, Dieu m’en garde, d’humilier ma chérie. Rien ne lui a été imposé. Elle s’est volontairement – mais étais-ce consciemment ? – offerte à cette expérience aussi nouvelle pour elle que pour moi, et que pour celle qui y a assisté. Mais ce ne fut cependant pas un simulacre de fessée. Je n’avais pas feint de la fesser. La fessée avait été une vraie fessée, claquante, et probablement douloureuse. La couleur cramoisie des fesses de ma chérie l’attestait.
Quand l’averse des claques sur ses fesses s’est arrêtée, Martine est restée quelques instants immobile, le corps visiblement relâché. De la paume de la main, j’ai doucement caressé ce globe rouge et chaud, une fois encore troublé par la douceur et la texture soyeuse de se peau. Et, quand j’ai retiré ma main, Martine s’est laissée glisser en bas de mes genoux et s’est relevée. Sans crainte de présenter encore plus directement son derrière tuméfié au regard de sa copine, elle n’a pas hésité à lui tourner le dos et à se pencher vers moi et déposer un léger baiser sur mes lèvres en murmurant, si bas que je suis sûr que Fabienne n’a pas pu l’entendre :
  • « Merci, chéri »
Sa réaction, et le choix du mot, qui nous sortait du « jeu » pour bien placer ce qui venait de se passer dans le monde réel de nos relations m’a plus encore ému qu’étonné. Mais ce qui m’a peut-être le plus étonné, c’est le regard clair, vif, de celle qui venait d’être fessée. Elle me présentait un regard serein, tranquille, presque apaisé, et en tout cas paisible. Nulle trace d’humiliation, nulle trace de honte, encore moins de colère. Curieusement, elle réagissait, finalement, comme si ce qui venait de se passer était presque banal. Ou en tout cas ne l’avait pas vraiment ébranlée.
Elle ne cachait pourtant pas que ses fesses avaient subies un traitement pour le moins marquant. Une fois relevée, elle y porta les mains, dans un geste qui lui est habituel en ces circonstances, pour les caresser doucement comme pour atténuer la brûlure, tout en m’adressant un demi-sourire, et une grimace qui exprimait assez clairement que la cuisson continuait à faire son effet.
Puis, toujours aussi posément, elle a laissé retomber la jupe, dont le frottement sur la surface qui venait d’être ainsi traitée provoqua une nouvelle grimace de douleur. Elle s’est ensuite débarrassée du collant et de la petite culotte qui avaient glissés jusqu’à ses chevilles, et, sans commentaire, elle les a posés sur le fauteuil qu’elle occupait avant de venir sur mes genoux.

Complice ou coupable ?

« Au mauvais endroit au mauvais moment »

C’est alors seulement qu’elle a semblé se souvenir de la présence de sa copine, qui était restée hiératique et muette. Martine, tout en continuant de se frotter doucement les fesses, s’est tournée vers elle, a de nouveau esquissé une mimique entre sourire et grimace puis elle a levé les épaules en disant, d’une voix presque joyeuse :
  • « He … ben oui …désolée Mathilde … on va dire que tu étais là au mauvais endroit au mauvais moment ! »
Ainsi, ma femme était capable de banaliser les choses, et, finalement, de les prendre avec humour. Fabienne l’a compris, et elle a elle aussi souri en disant :
  • « Ho, je ne suis pas sûre que ce soit moi qui ait été au plus mauvais endroit, ni qui ait passé le plus mauvais moment ! »
Je dois dire que sa présence d’esprit et sa capacité à embrayer sur l’humour m’a séduit. Finalement, et paradoxalement, il me semble que c’est moi qui semblais le plus mal à l’aise ! Je me tins donc quoi, mais c’est une nouvelle fois Martine qui, tout en servant une nouvelle tasse de thé, a repris :
  • « Ça donne soif ! »
Mais en ajoutant, une nouvelle fois mutine en répondant à la remarque de sa copine :
  • «Ho ça, ma chère … pour le savoir encore faudrait-il que tu puisses comparer !»

Coupable !

Cette fois, elle riait franchement, et Mathilde et moi l’avons accompagné. Ce rire partagé aurait pu marquer la fin de l’épisode presque irréel que nous venions de vivre. Mais je remarquais que le rire de Mathilde sonnait un peu faux, et qu’elle avait planté son regard dans le mien au moment où Martine lançait sa boutade. Et, surtout, elle n’a pas baissé les yeux quand ma chérie a ajouté le doigt levé comme si elle émettait une sentence, ou une menace :
  • « D’autant que dans cette affaire j’avais bien une complice, après tout ! »
Et c’est toujours les yeux fixés sur les miens que Mathilde a répondu, du tac au tac :
  • « Pas seulement complice, mais tout aussi coupable que toi. »
Je pense que Martine a été aussi déstabilisée que moi par cette sortie de sa copine. Que voulait-elle dire par ces mots ? A notre tour de nous demander si Mathilde était dans le registre de la poursuite des plaisanteries ou s’il y avait autre chose derrière sa réplique. Elle s’affirmait « coupable » en précisant même qu’elle l’était « autant » que Martine, alors qu’elle venait d’être témoin de ce qu’une telle « culpabilité » avait entraîné pour son amie.

« Et je l’assume »

Mais Mathilde ne nous a pas laissé longtemps dans l’incertitude. Ses yeux ont enfin quittés les miens, et elle s’est tournée vers Martine en disant, d’une voix étonnamment calme, comme si elle énonçait une évidence :
  • « Et je l’assume … »
Et comme Martine et moi ne disions mots, elle jugea nécessaire de répéter :
  • « J’assume toujours, jusqu’au bout, ma chérie »
Elle se lève alors, et avance vers le fauteuil dont je n’ai pas bougé. Il faudrait être abruti pour ne pas comprendre son intention. Elle a été très claire finalement par son « j’assume » Qu’elle pense devoir le faire par égard pour sa copine, pour partager son sort, ou qu’elle ait compris que nous étions dans une sorte de jeu sensuel et qu’elle se propose d’y participer, finalement peu importe. Je viens de fesser ma femme devant une quasi inconnue pour moi, et voilà que celle-ci propose, que dis-je décide, d’être à son tour fessée par moi. Si je suis étonné, le mot est faible, Martine l’est certainement autant que moi. Elle est restée debout, bouche bée.
Quand elle est arrivé près de moi, Mathilde se tourne vers Martine et dit, sur le même ton qu’elle utiliserait pour demander si elle peut fumer :
  • « Avec ta permission, bien sûr ? »
Une nouvelle fois Martine semble totalement déstabilisée. A-t-elle compris à quoi sa copine fait allusion en lui demandant « sa permission » ? Elle hoche la tête en balbutiant :
  • « Heu … tu .. oui ..enfin ….si tu veux … »
Son trouble semble faire naître un sourire un peu ironique sur les lèvres de Mathilde. Quant à moi, tout aussi déboussolée que ma femme, je la regarde les sourcils levés. Comment va-t-elle prendre la proposition de sa copine, et surtout qu’attend- t-elle de moi ? Elle répond à mon interrogation muette par un discret haussement d’épaules … qui n’engage à rien.

« Je suis à vous, monsieur »

Présentée

Mathilde, en tout cas, semble prendre l’absence de réponse claire de ma femme comme « une autorisation » Par contre, elle ne me demande pas mon avis à moi ! Elle me tourne le dos et, face à Martine, et (c’est celle-ci qui me le dira par la suite) tout en la regardant en face très sereinement, elle passe les mains derrière son dos, baisse la fermeture à glissière de sa robe en expliquant :
  • « Tu m’excuses, mais elle est trop moulante pour être retroussée »
Sans que je sache si cette justification s’adresse à moi ou à Martine.
Elle fait alors descendre sa robe jusqu’à ses pieds, se baisse pour la ramasser et la poser sur le siège qu’elle vient de quitter, et, vêtue seulement d’un soutien-gorge et d’une petite culotte noirs tous les deux, elle vient tout tranquillement se repositionner devant moi, après avoir, toujours aussi tranquillement fait coulisser sa petite culotte jusqu’à ses pieds. Elle semble hésiter un instant, puis elle se baisse pour la prendre en main, et aller, toujours d’un pas tranquille, la poser à côté de sa robe. Et, avant de revenir vers moi, elle dégrafe son soutien-gorge, qui rejoint le reste de ses vêtements.
Elle esquisse un geste d’excuse, en écartant légèrement les bras, et se justifie, toujours sans que nous puissions savoir si c’est auprès de moi ou de Martine :
« Tant qu’à faire …ne faisons pas les choses à moitié, n’est-ce pas ? » Et, comme si sa gestuelle n’était pas assez explicite, Mathilde énonce d’une voix où ne perce aucune angoisse ni aucune gêne :
« Je suis à vous, monsieur »
Et elle s’allonge posément au travers de les genoux, comme elle a vu sa copine le faire auparavant. La situation est devenue totalement irréelle. Ma femme est à quelques mètres de nous, et j’ai, devant les yeux une autre femme nue qui, visiblement, attend que je m’en occupe de la même manière que j’ai pratiqué avec mon épouse. Un petit cul, beaucoup moins volumineux que celui de ma femme. Une sorte de petit ballon, très rond, visiblement très ferme, coupé d’une raie qui n’est qu’une ligne étroite. Quand elle a effectué ses aller et retours entre mon fauteuil et celui où elle a déposé ses vêtements, j’ai pu constater que, autre différence avec ma femme dont la foufoune est ornée d’une belle touffe de poils noirs frisés, que la sienne est presque glabre, seulement ornée d’une mince bande de poils coupés courts, comme ses cheveux.

Au pied du mur.

Nous avions basculé dans cette histoire un peu irréelle à cause d’un dicton cité, sans que je sache si c’était volontairement, par Martine à propos de ces chats qu’on fouette ou pas. Un autre adage veut que « c’est au pied du mur qu’on voit le maçon » J’étais au pied du mur. Il me fallait donc être le maçon. Il ne pouvait être question de reculer. Renoncer à fesser Mathilde aurait été, pour elle, une humiliation, une injure. Je la fessais donc. Et, pour rester dans le domaine des maximes, je confirmais « qu’il n’y a que le premier pas qui coûte » En l’occurrence que la première claque. En effet, dès que ma main ait frappé une première fois sur ce derrière musculeux et serré qui m’était offert, j’ai en quelque sorte « oublié » qu’il s’agissait de celui d’une quasi inconnue. Mon bras, ma main, ont, je dirais, trouvés d’eux même le rythme et l’intensité nécessaire.

Un derrière anonyme.

Je ne fessais plus vraiment Mathilde, l’amie de ma femme, celle qui avait assisté à la fessée de celle-ci. Je ne la fessais pas pour rétablir je ne sais quel équilibre, ni pour la punir d’avoir vu ce qui, jusque-là, était du domaine de l’intime et du secret. Je ne la fessais pas pour compenser ou excuser l’épreuve qu’avait vécue ma femme. Mais je ne fessais pas non plus par « politesse », ni pour « obéir » à ce qui, finalement, ressemblait bien à une demande, si ce n’est une exigence de Mathilde. En fait je n’avais pas besoin d’une raison pour fesser ce postérieur si différent de celui qui subissait habituellement la fessée de ma main. Je ne fessais pas une amie de Martine. Je ne fessais pas une inconnue. Je fessais, voilà tout. Je fessais en quelque sorte un derrière anonyme. Peut-être faudrait-il plutôt dire « un cul » Comme si un cul n’avait d’autres fonctions que d’être fessé.

Différences.

Je fessais pourtant de bon cœur. Sans restriction, sans hésitation, sans timidité. Le cul de Mathilde est, je l’ai dit, très différent de celui de Martine. Pas seulement moins gros, mais aussi je dirais placé différemment. Celui de ma femme me semble en continuité avec ses hanches, avec qui il forme une sorte de guitare. Il s’épanouit comme une fleur. Et la continuité se retrouve avec les cuisses. Son derrière descend vers elle en forme de goutte d’huile. C’est du reste ce qui m’amène souvent à flanquer les claques de bas en haut, prenant ainsi les fesses en bas de l’arrondi, à la limite des cuisses. Sous les impacts ainsi portés, les fesses ballottent, tressautent, se soulèvent. Et ces mouvements erratiques sont pour beaucoup dans le plaisir visuel qui est le mien en voyant ce cul vivre, vibrer, trembloter. La fluidité ente ce derrière somptueux et les fortes cuisses qu’il surmonte m’amène souvent à laisser quelques claques s’égarer sur celles-ci. J’y retrouve sous ma paume le même moelleux, la même souplesse, la même élasticité, mais aussi la même solidité que quand la main frappe les fesses proprement dites. Je sais que ces gifles portées sur les cuisses, surtout quand elles les frappent sur leurs faces internes, sont plus piquantes, plus difficiles à supporter stoïquement par ma chérie. Aussi je veille à ne pas en abuser, même si je ne peux nier mon plaisir quand ces larges cuisses réagissent et s’écartent comme dans l’espoir vain d’échapper à leur sort, découvrant ainsi la plus secrète intimité de ma femme. Son abricot rosé et luisant, bordé de quelques poils follets, mais aussi son petit trou brun, fripé, et parfois palpitant.
Celui de Mathilde m’a semblé être d’une certaine manière « en rupture » avec le reste de son corps, qu’elle avait spontanément dénudé. Au-dessus, un dos musculeux, athlétique. Des omoplates visibles, dont les os pointent sous la peau diaphane, et une taille fine, marquée. Au-dessous, des cuisses longues, fines, mais elles aussi tout en muscles tendus. Et entre les deux, une sphère quasi parfaite. Comme posée là, presque rajoutée. Si Martine a à l’évidence ce que l’on peut qualifier d’un « beau gros derrière » - ce qui à mes yeux est bien sûr un compliment – on ne peut pas dire que Mathilde ait « un petit cul » Bien sûr, elle ne peut pas être qualifiée de « Callipyge », adjectif qui convient sans conteste pour ma femme. Mais on ne peut pas non plus dire que Mathilde soit affublée d’un de ces culs «rabat-joie, conique, renfrogné» dont parle le grand Georges Brassens. On pourrait tout au contraire qualifier son derrière «d’appétissant, rondelet et joyeux » Son cul m’est en effet apparu comme une sorte de joyaux de rotondités posé sur un lit de verticalités. Comme une boule parfaite, sorte de ballon de hand-ball, ferme et si bien adapté à la main. Mais aussi comme un sourire, contrastant avec la sorte de sévérité du reste du corps de sa propriétaire.

Réactions.

Je fessais donc ce cul ni nouveau à mes yeux et à ma main avec une sorte d’allégresse. Sans la moindre gêne. Sans le moindre malaise. Et surtout sans jamais avoir le sentiment de « tromper » en quoi que ce soit ma femme. Elle assistait à la séance si on peut utiliser cette expression et, après tout, elle était, consciemment ou non, à l’origine de ce qui se passait.
En même temps, sans vraiment le décider, mais presque d’instinct, je le fessais différemment que je ne l’avais fait avec Martine. Aux coups espacés, laissant le temps à celle qui les recevait de « digérer » chacun d’entre eux, et à celui qui les appliquait le loisir d’observer les réactions du derrière, j’ai spontanément substitué une sorte d’avalanche, d’averse, de grêle. Mathilde fut fessée en rafale, au singulier. Son derrière reçu une cascade ininterrompue de claques s’abattant en un torrent furieux, sans pause, sans temps d’arrêt. Un déluge continu. Les frappes semblaient presque rebondir sur une surface dure, granitique. Qui sonnait comme les crépitements de la pluie d’orage sur un toit. Des sons clairs, comme des coups de feu dans un matin d’hiver. Et cette lune semblait résister, refuser de se relâcher. Elle restait ferme, et fermée. Comme hostile. La raie restait cette mince ligne, comme un coup de rasoir sur la surface ronde. Les jambes étaient tendues, raides. Alors, comme si cette résistance était un défi qu’il me fallait relever, j’accentuais la force et le rythme. Nous en étions dans une sorte de duel. Il fallait que ce cul cède. Mathilde a la peau plus blanche, plus diaphane que ma femme. Et donc son épiderme passa presque immédiatement au rouge vif. Et c’est une boule de feu, rougeoyante, qui est apparue presque dès le début de la fessée, contrastant avec la pâleur du reste du corps.
Mais le cul de Mathilde finit comme la petite chèvre de monsieur Seguin. Certes, je ne la fessais pas toute la nuit, mais son derrière finit par rendre les armes. D’abord par des abandons furtifs, vites surmontés par de nouvelles révoltes. Les fesses cédaient un instant, très bref. Il s’ouvrait comme une bouche qui halète, comme s’il était contraint de chercher de l’air. La raie n’était, pour quelques secondes, plus ce mince trait au cordeau, mais devenait enfin une vraie raie culière. Les deux fesses s’écartaient avant de se refermer comme une boite dont on ferme le couvercle. Ces ouvertures sporadiques étaient si brèves, si soudaines, qu’il me semblait que le derrière réagissait comme l’objectif des vieux appareils photos. Ne me donnant que des éclairs brefs de vision vers la profondeur de l’intimité de ma victime. La foufoune de Mathilde n’apparaissait donc que furtivement. Jusqu’à ce qu’enfin, après une cataracte de claques lancées presque rageusement, à m’en donner mal à la main ,à avoir l’impression que le cul allait commencer à fumer, l’armure se fendit. L’armure, ou plus exactement, le derrière ! Subitement, cette bille d’acier entre en fusion, et se transforme en une sorte de pâte à modeler molle et fondante. Les coups qui semblaient rebondir, être renvoyées par ce cul si ferme, semblent soudain s’y perdre, s’y enfoncer. Le cul s’avoue vaincu. Il s’ouvre comme une fleur de nénuphar. Il ne cache plus rien, bien plus, les jambes s’écartent largement, comme si elles voulaient mieux encore montrer les secrets jusque-là si jalousement cachés.

Secrets.

Là aussi, que de différence entre les deux femmes qui viennent de passer successivement sous ma main et de me laisser voir leurs intimités ! Chez Mathilde, ce n’est pas le bel abricot juteux de ma femme. C’est une moule, puisque c’est le mot qu’on emploi parfois pour désigner ce « morceau de roi » dont parle aussi Brassens, mais un coquillage à peine entrouvert. Une fente mince, pincée. Glabre. Seul point commun avec la foufoune généreuse de ma femme, une sorte de rosée qui me laisse à penser que la fessée, si douloureuse est-elle été, a eu les mêmes effets sensuels sur Mathilde que sur celle qui l’a précédée.
Une fois la fessée interrompue, celle qui vient de la recevoir – et de quelle manière – reste inerte, sans esquisser le moindre geste, le moindre mouvement, les jambes largement écartées. Ce qui expose aussi à ma vue, sans la moindre pudeur ni la moindre retenue son anus fripé. Et comme, dès le début de la fessée Martine s’est déplacée pour s’installer sur le fauteuil d’où elle peut mieux voir la scène, elle aussi a une vue plongeante sur le petit trou secret de sa copine.

« Je prendrais bien une autre tasse de thé »

Celle-ci finit pourtant par émerger de cet état presque comateux dans lequel la fessée semble l’avoir un moment placé. Elle secoue brièvement la tête, se passe la main ouverte sur ses cheveux courts, et se relève posément. Une fois debout, toujours sans rien cacher de son anatomie, elle ébauche une sorte de semi-révérence à mon intention et murmure, mais assez fort pour que Martine puisse l’entendre :
  • « Merci, monsieur »
Puis, se tournant vers Martine, qui n’a pas bougé, elle ajoute :
  • « Puisque nous sommes quittes, je prendrais bien une autre tasse de thé … tu as raison, ma chérie, ça donne soif ! »
En se dirigeant vers le fauteuil où sont ses vêtements tout en se frottant délicatement les fesses elle continue :
  • « Mais avant, si vous le permettez, je voudrais passer un instant à la salle de bain. Tu me montres, Martine ?»
Et elle ajoute en riant franchement :
  • «Je comprends mieux le sens de l’expression « une fessée à faire pipi par terre »
Cette saillie humoristique nous amènent, ma femme et moi, à rire aussi de bon cœur, et ainsi à revenir dans le monde sinon normal tout au moins réel.

Échanges entre femmes.

Tandis que les deux femmes se sont isolées dans la salle de bain, je refais du thé chaud, et, délicat, j’y ajoute quelques biscuits en me disant in petto que « ça » ouvre peut-être aussi l’appétit. Nous partagerons ceux-ci quelques minutes après, quand elles me rejoindront. Mais ce n’est qu’après le départ de Mathilde que Martine me racontera l’attitude de sa copine durant leur passage au cabinet de toilette.
Comme elle l’avait annoncé sans barguigner, Mathilde a commencé par s’installer sur les toilettes pour soulager sa vessie, sans se soucier le moins du monde de la présence de Martine qui, un peu gênée avait fait mouvement vers la porte. Mais Mathilde lui avait lancé, toujours en riant :
  • «Mais non, reste ! Tu sais, au point où nous en sommes … et puis, comme on dit « on est entre femmes », non ? »
Puis, au lavabo, elle s’est passé de l’eau sur le visage et elle s’est tournée vers Martine en disant :
  • « Tu me prête un gant de toilette ? Ça ne donne pas seulement le feu aux joues, hein ? »
Après avoir passé ce gant sous l’eau fraîche, elle se l’est posé délicatement sur les fesses encore rouges vif, et en faisant une petite grimace de douleur tout en commentant :
  • « Hé ben … il n’y va pas de main morte, ton homme ! Ça remue les sangs ! »
Martine, toujours un peu troublée par cette promiscuité, s’est contenté d’un
  • « C’est sûr ! »
Sans préciser si son approbation est relative à la vigueur avec laquelle je les ai fessées, ou aux conséquences de la chose sur « les sangs ». Mais, implacable, Mathilde a précisé, avec un large sourire :
  • « D’ailleurs, ça ne remue pas que les sangs ! Wahou ! on peut dire que ça met le feu … »
Elle n’a pas terminé sa phrase, mais le sens en était assez clair pour que Martine ne puisse s’y tromper. Et comme, malgré elle, elle a piqué un fard, Mathilde l’a encore taquiné :
  • « Ho, Martine, cool ! on n’est pas de bois, non ? Ben oui, j’ai le cul en feu … dans tous les sens du terme, la faute à qui ?
Et comme Martine ne peut s’empêcher de rire elle aussi, Mathilde, tout en se tournant pour découvrir ses fesses dans le miroir, s’écrie :
  • « Tu m’étonnes que ça me chauffe encore ! Regarde, j’ai encore les fesses comme une tomate. Et toi … il est encore rouge ? »
Comme elle me le dira elle-même, Martine a considéré, elle aussi, « qu’au point où on en était » il était trop tard pour jouer les prudes. Aussi, sans plus tergiverser, a-t-elle relevé le bas de sa robe pour laisser découvrir à sa copine un derrière en effet encore coloré, provoquant cette remarque crue de Mathilde :
  • « Putain, tu as vraiment un beau cul, ma chérie ! Je comprends ton mari, tu sais ! »
Martine ne répondit à ce qui, après tout, était bien un compliment, que par un sourire. Mathilde remet alors sa robe, tout en glissant :
  • « Tu as raison … pas question de remettre un slip … tant pis ! »
Elle ne remet d’ailleurs pas non plus son soutien-gorge, elle le fourrera, avec sa culotte, dans son sac avant de partir.
Quand elles me rejoignent, la cérémonie du thé sera brève. Mathilde me remercie, cette fois pour les biscuits, mais s’esquive presque aussitôt avec un :
  • « Au revoir, et merci pour tout »
Quelque peu ambigu.
Martine me confiera aussi qu’avant de sortir de la salle de bain, sa copine lui avait glissé :
  • « Je vais vous laisser … »
En ajoutant, avec un sourire que Martine qualifiait de « coquin » :
  • « je suis sûre que ce pauvre Jean est impatient … »
Et quand elle nous a quittés, alors que Martine la raccompagnait jusqu’ la porte, elle lui a dressé un clin d’œil et a fait un signe « chut » avec le doigt sur la bouche en articulant :
  • « Enjoy your self, darling ! »

Suites …

Pour nous

A vrai dire, nous n’avions pas vraiment besoin de l’invitation de Mathilde pour ce faire. Elle avait bien compris qu’après avoir ainsi traité deux derrières féminins, ma libido était pour le moins électrique. Pour dire les choses sans détours, je bandais sans discontinuer depuis presque une heure, et j’avais eu toutes les peines du monde à ne pas exploser dans mon pantalon quand les deux femmes avaient ainsi successivement frotté leurs ventres sur mon sexe.
Comme Mathilde l’avait donc deviné, ma chérie avait à peine refermé la porte que je lui sautais dessus comme un meurt de faim. Et la manière dont elle m’a reçu me confirma qu’elle aussi avait, comme Mathilde l’avait suggéré sans barguigner « le feu au … »
Comme de bien entendu, alors que j’embrassais fougueusement ma femme, je lui relevais une nouvelle fois la jupe pour admirer le résultat de mes efforts. Elle ne s’y refusa pas, sachant combien j’aime, après la fessée qu’elle me montre ses fesses encore rouges. Et pour être rouges, en effet elles l’étaient. Je n’eus pas la patience d’entraîner Martine vers notre chambre à coucher, et c’est donc dans le salon que je lui retirais sa jupe et son petit haut, puis que je fis jaillir ses seins hors de son soutien-gorge. Dans le même temps, elle défaisait fébrilement les boutons de me chemise, puis s’attaquait de la même manière à ceux de mon pantalon, avant de baisser mon slip d’un geste presque rageur pour en faire jaillir un sexe déjà plus que tendu.
Spontanément, elle me poussa vers le fauteuil, le même que j’avais occupé pour officier, et s’agenouilla entre mes jambes pour prendre ma bite en bouche. Comme elle sait que j’aime qu’elle fasse, elle n’utilisa pas les mains, n’usant que de sa bouche – mais avec un art consommé – pour faire encore durcir la chose, qui ne demandais que cela. Le bruit de succion de ses lèvres sur mon sexe ajoutait une note encore plus érotique à la chose. Ses mains ne restaient cependant pas inactives, puisque la droite était collée sur son sexe dont elle caressait activement le bouton. Martine suce divinement bien, et, dans l’état d’excitation où je me trouvais, j’ai vite senti que je ne serais pas capable de me retenir longtemps. J’ai donc tenté de repousser la tête de ma chérie pour qu’elle cesse sa fellation et que je puisse lui rendre hommage par un orifice plus adapté. Mais elle refusa d’un mouvement de tête négatif et d’un grognement presque rageur. Et quand je refis le même geste en disant :
  • « Arrête, chérie, je vais jouir ! »
Au lieu de se reculer, elle enfonça encore plus profondément mon membre ans sa bouche, collant son visage contre mon bas ventre. Je sais par expérience que Martine n’apprécie en général pas beaucoup de recevoir le sperme en bouche, et je m’efforce donc toujours de la prévenir de l’imminence de ma jouissance quand elle me suce. Mais là, elle me le dit après (elle aurait été bien en peine de me le dire avant, ayant la bouche fort occupée) elle « voulait être salope » Je renonçais donc à refuser ce qu’elle m’offrait avec tant de générosité, et, sentant le plaisir monter, je me contentais de la prévenir :
  • « Je viens, chérie, je viens … »
Elle ne recula toujours pas la tête, et j’éjaculais sans qu’elle ait relâché la pression de sa bouche sur mon sexe. Jouir dans sa bouche est un plaisir d’autant plus délicat qu’il est plus que rare. D’autant qu’elle avait gardé les yeux ouverts, et qu’elle me regardait jouir. En plus, après le premier jet de sperme, elle retira le sexe de sa bouche, tout en continuant à le masturber avec fougue, alors qu’un peu de sperme coulait à la commissure de ses lèvres. Le résultat ne se fit pas attendre, les autres jets s’écrasèrent sur le visage de ma chérie. C’est donc le visage maculé de sperme qu’elle vint se lover entre mes bras. En effet, si elle « voulait être salope », elle y parvenait parfaitement, pour mon plus grand plaisir.
Quand nous eûmes un peu récupéré notre souffle, elle me susurra dans l’oreille :
  • «Ça t’a excité, hein, de me chauffer les fesses devant Mathilde. »
C’était plus une affirmation qu’une question, je ne me sentais donc pas tenu d’y répondre, quoique ce qui venait de se passer entre nous montrait bien qu’elle n’avait pas tort. Elle insista :
  • « Et de claquer le cul de Mathilde, ça t’a excité aussi ? »
Cette fois, le mode interrogatif était explicite, et je ne pouvais me dérober. Adepte de la diplomatie, je trouvais cependant une réponse ménageant la chèvre et le chou, mais qui pourtant n’était pas un mensonge :
  • « Oui, mais surtout parce que tu regardais … »
Même si l’attitude de Martine prouvait qu’elle ne m’en voulait pas tant que cela, je craignais quand même qu’une pointe de jalousie vienne ternir ces moments sensuels. Or elle se colla plus encore étroitement à moi et m’avoua :
  • « Moi aussi, tu sais. Je n’ai jamais mouillé autant que quand tu as retiré ma culotte et que je savais que Mathilde voyait mon cul. J’avais honte, mais putain que c’était bon ! »
Cet aveu l’incita à rester sur le même terrain :
-« Il y a longtemps que je t’avais promis une fessée devant tout le monde … »
Certes, le « tout le monde » avait été réduit à une seule et unique spectatrice, mais il m’apparaissait déjà que cette première ne resterait pas unique. Martine ne répondit pas à cette remarque, mais murmura seulement :
  • «Ho … non …devant des inconnus … quelle honte ça doit être ! »
Sans que je puisse savoir si son ton relevait de l’horreur, ou de l’envie …
Puis elle reprit, mais à voix si basse que j’aurais pu ne pas l’entendre :
  • « Tu sais …j’ai bien aimé aussi quand tu as massacré les fesses de Mathilde … »

Pour Mathilde.

Ce thé pour le moins original eu donc une suite immédiate des plus sensuelles pour nous. Pourtant, comme d’un commun et tacite accord, nous ne sommes pas revenus, dans les jours qui ont suivis, sur ces circonstances. Certes, il me semble que nos câlins furent peut-être plus fréquents que d’habitude, mais, paradoxalement, la fessée se fit plutôt plus rare, sans disparaître tout à fait cependant. Et, en tous cas, jamais ni elle ni moi ne fîmes allusions à la fessée donnée en présence puis à la copine de ma femme. Confirmant ainsi la règle non écrite de non commentaires sur cette pratique qui mérite d’être plus vécue qu’analysée.
De la même manière, Martine ne jugea pas utile de me tenir au courant de ses rencontres avec Mathilde, et je ne savais donc rien de ce qu’elles pouvaient s’être dit à ce sujet. Tout comme, évidemment, je ne savais rien des suites de cet après-midi claquante pour elle. Ce n’est donc que bien plus tard que j’ai pu les reconstituer et mieux comprendre le comportement de l’amie de ma femme.

Menteuse par omission.

D’abord, il est apparu qu’en ces circonstances, Mathilde avait menti, au moins par omission. J’avais cru, peut-être naïvement mais je suis persuadé que Martine avait pensé comme moi, même si elle ne m’en a rien dit, que la fessée que j’avais eu le bonheur de lui appliquer était pour elle une « première » Or il n’en était rien, et je n’étais pas l’initiateur que je pensais avoir été. En effet, même si Mathilde avait une expérience plus récente que Martine de la fessée « conjugale », elle vivait depuis quelques mois une relation sentimentale avec un homme que nous découvrirons plus tard et qui, selon les mots de Mathilde que ma femme me rapporté ultérieurement, « s’intéressait beaucoup au côté pile de ma personne » Peu de temps après le début de leur relation, il lui avait offert un superbe ensemble de lingerie, soutien-gorge, culotte échancrée bas et porte-jarretelles, gris perle. Et quand, tout en le remerciant, Mathilde lui avait dit qu’elle n’avait pas l’habitude de porter dans la vie courante ce genre de sous-vêtements, il lui avait répondu en souriant :
  • « Ma chérie, j’aime à penser que les jours où nous nous rencontrons sortent de la vie courante ! »
Ainsi, dès leur rencontre suivante, Mathilde avait-elle en effet enfilé cet ensemble soyeux. Marc, puisque c’est ainsi que s’appelle le monsieur en question, l’avait félicité et remercié, mais il avait observé :
  • « Tu sais, il serait mieux que tu passes les jarretières au-dessus de la culotte, et non celle-ci au-dessus. »
  • Ah bon ? Pourquoi ?
  • Mais pour pouvoir baisser ton slip, ma chérie ! »
Et, joignant le geste à la parole, il avait délicatement descendu le slip qui, bien sûr, s’était trouvé coincé par les lanières du porte-jarretelles. Il avait cependant eu la galanterie d’ajouter :
  • « Encore que je dois avouer que ta petite culotte ainsi roulée complète fort agréablement l’encadrement de tes fesses, mon amour. »
Ses mains avaient appuyé cet éloge par des caresses qui, très vite, s’étaient métamorphosées en un malaxage en règle. Puis, « un geste en entraînant un autre » comme le dira avec humour Mathilde, qui s’était retrouvée allongée sur le ventre « comme par hasard », en de petites claques sèches. Mathilde n’avait pas protesté autrement que par quelques petits « oh ..ça pique tu sais » tandis que Marc ne cachait pas son plaisir en se répandant en commentaires élogieux sur ce dont il s’occupait de manière aussi virile :
  • « Hum … tu sais que tu as un petit cul splendide, ma chérie. J’adore quand il est ainsi tout rose … »
Comment résister à un tel compliment ? Et comment s’étonner, dès lors, que le popotin soit vite passé du rose au rouge vif sans que Mathilde ne fasse rien pour empêcher son ami de continuer à rendre à ses fesses cet hommage nouveau pour elle. De même qu’elle ne fit rien pour le dissuader de continuer à concentrer ses attentions sur la partie charnue de sa personne.
Dès lors, la fessée, d’abord timide puis, assez vite, de plus en plus explicite, mais aussi la sodomie, avaient eu droit de cité dans leurs moments câlins.
Pourtant, j’y insiste peut-être parce que cela me flatte quelque part, Mathilde devait confier plus tard à Martine que la fessée qu’elle avait reçu de ma part avait été, et de loin précisa-t-elle, plus mordante que celles qu’elle avait reçues auparavant.

Double première.

Outre sa sévérité plus intense, cette fessée reçue de mes mains avait aussi été pour elle une double « première » quand même. C’était la première fois qu’elle était fessée par un homme qui n’était pas son amant, et en dehors de tout contexte ouvertement érotique. En effet, ni durant la fessée administrée à ma chérie ni pendant la sienne il n’y avait eu le moindre propos ou le moindre geste à connotation sexuelle. Mathilde pu expliquer à sa copine que cette absence de sexualité lui était apparue, paradoxalement, comme éminemment sensuelle.
  • « Tu comprends, quand Marc de claque les fesses, c’est avant de faire l’amour. C’est en quelque sorte un préliminaire presque comme un autre. Même s’il joue parfois à me gronder « pour de faux »pendant qu’il me fesse. Ca fait mal, c’est vrai, mais tu es bien placée pour savoir que c’est largement supportable, sans quoi il n’y aurait jamais eu, pour moi comme pour toi je suppose de deuxième fessée. Et, tu le sais aussi, c’est … comment dire … enfin ça chauffe les sens. Mais cela reste dans le cadre d’une relation sexuelle explicite. Avec ton mari, c’était très différent. Bien sûr, je ne suis pas ingénue au point de ne pas avoir compris que quand il t’a administré cette fessée en raison des courses que nous venions de faire ensemble, il ne s’agissait que d’un prétexte. Et même s’il a fort bien joué son rôle de mari sévère, je ne doutais pas un instant qu’il s’agissait plus pour lui d’un moment de plaisir que d’une véritable punition. Sinon, tu penses bien que mon sang de féministe n’aurait fait qu’un tour et que je lui aurais arraché les yeux ! Mais je te l’avoue, le jeu m’a mise dans tous mes états. He oui, ma belle, la militante des droits des femmes a été toute émoustillée d’assister à la fessée maritale de sa copine. Du reste, « puisque nous en sommes aux confidences » comme on dit, si j’ai retiré ma culotte moi-même plutôt que d’attendre que « le monsieur » ne s’en charge (ce qui aurait eu, je n’en doute pas, une charge sensuelle certaine) c’est … que je craignais qu’elle ne porte trop visiblement la trace de mon émotion. On ne peut pas tout contrôler, n’est-ce pas ? On ne décide pas de ce qui vous fait mouiller. Et pour mouiller, on peut dire que je mouillais !
Quand Mathilde était arrivée à ce point de son récit, Martine lui avait demandé comment elle en était arrivée à se proposer ainsi pour, elle aussi, recevoir la fessée.
  • « Franchement, je pense que je n’ai rien décidé du tout. Je veux dire, je ne me suis pas dit « tiens, il a l’air de bien fesser, ce mec, je vais lui proposer de me faire la même chose qu’il a fait à sa femme » J’étais vraiment entrée dans votre jeu. SI tu veux, e me suis comportée comme si cela n’était pas un jeu, justement. Il te fessait pour une « faute », tu as souligné qu’après tout j’étais « complice » (tu vois que je me souviens des mots que tu as employé) j’ai agi d’instinct : j’étais aussi responsable que toi, l’honnêteté m’imposait que je reçoive la même sanction. Ceci dit, même si j’ai tout fait pour le cacher et si j’ai fait « ma fière » en me présentant moi-même, je peux te dire qu’en vérité, je n’en menais pas large. Non pas tant que je craignais la douleur physique. J’avais vu avec quel entrain ton mec te chauffait les fesses, je me doutais bien que ce en serait pas une partie de plaisir pour les miennes, mais, encore une fois, j’avais assez d’expérience pour ne pas craindre outre mesure ce côté des choses. Par contre, recevoir une fessée autrement que dans le secret de mon couple, en clair être fessée alors que tu allais le voir, ça, je te jure que cela me donnais des tremblements dans les genoux. Je ne sais pas si « honte » est le bon mot, mais en tout cas ce que je ressentais y ressemblait. Je ne suis pas d’un naturel spécialement pudique, tu le sais. Me montrer à poil devant d’autres femmes ne me pose pas de problème. Mais être fessée comme une gamine, savoir que mes fesses allaient rougir, que je ne parviendrais peut-être pas à rester stoïque, que j’allais trépigner et gigoter, ça, c’était une vraie épreuve. Mais en même temps que ces tremblements de genoux, j’avais aussi des papillons dans le ventre…

Emotions

Mathilde confessait donc franchement que cette fessée « non érotique » (quoi que …) et « en public » (même restreint) avait été un moment fort pour elle. Et Martine ne lui avait pas caché qu’elle était passée, elle aussi, par les mêmes émotions.
  • « Tu sais, c’est pareil pour moi. Je n’avais rien prémédité, rien prévu. Quand j’ai fait ce jeu de mot à la con sur les raisons de « fouetter un chat » ou mes fesses, je n’ai pas tout de suite pris conscience de ce que je laissais entendre. D’ailleurs, si Jean n’avait pas réagi au quart de tour, je suis sûre que ma remarque serait passée inaperçue. Et quand j’ai compris quelle idée il avait derrière la tête, je n’ai pas non plus rationalisé les choses. Tu penses bien que je ne me suis pas dit sereinement « Tiens, mon chéri a envie de me tanner la peau du cul, allons-y, Mathilde ne s’en offusquera pas ! » En même temps, tu comprends bien que je savais ce qui allait arriver, et que si j’avais vraiment voulu arrêter les frais, Jean n’aurait pas insisté. Mais moi aussi j’ai senti les fameux papillons dont tu parles qui venaient me titiller le ventre, ou plus exactement, pour appeler les choses par leur nom, la chatte. Lors d’autres séances, Jean m’avait souvent menacé de me « coller une fessée devant tout le monde »Une fois, alors que nous dînions au restaurant et que je m’amusais à la taquiner, il m’avait dit fort calmement, mais sans baisser la voix :
  • « Toi, ma chérie, si tu cherches ta fessée tu ne vas pas être déçue ! « 
Et il l’avait dit assez fort pour que je puisse craindre que les voisins de tables l’entendent. Je lui ai fait « les gros yeux » pour qu’il parle plus bas, mais en même temps, l’idée que des inconnus puissent savoir que j’allais prendre une fessée m’avait curieusement troublée. Et quand Jean, qui avait tout compris, a repris toujours sans baisser la voix :
  • « Et si tu continues, je t’emmène sur la terrasse et je te la flanque tout de suite, je suis sûr que les convives apprécieront l’animation gratuite ! »
J’ai cessé de le titiller, même si, à la réflexion, il est bien clair que jamais Jean n’aurait mis vraiment sa menace à exécution. Mais l’idée d’être déculottée devant tout le monde m’a fait littéralement fondre …
Alors, quand après ma sortie stupide, j’ai compris que mon Jean embrayait … j’ai laissé les choses se faire. Je n’ai pas « joué un rôle » au sens propre du mot, mais j’ai agi « comme si ».
Je pense que tu utilisais le bon mot, tu sais. Oui, j’ai ressenti de la honte, le mot est juste. Moi non plus, me montrer nue devant toi ne me traumatisais pas. Mais là c’était très différent. Je n’allais pas être vue « à poil » J’allais « te montrer mon cul ». C’était très différent, et très troublant. Et surtout tu allais assister à ce qui, normalement, ne devait avoir lieu que dans le secret de l’alcôve comme on dit dans les romans libertins. Alors oui, j’ai eu honte quand je me suis ainsi présentée devant mon mari comme un agneau va à l’abattoir. Oui, j’ai eu honte quand j’ai senti qu’il me troussait la jupe comme une catin ou comme une domestique. Oui , j’ai eu honte, terriblement honte, quand j’ai senti ma culotte glisser, quand j’ai su qu’il me déculottait, qu’il me mettait les fesses à l’air. J’ai eu honte, mais putain que c’était bon ! Jean ne m’a pas épargné, tu l’as vu. Il m’a sérieusement tanné le cuir. J’ai eu mal. Je n’ai pas pu réprimer mes plaintes. Je sais bien que j’ai agité les jambes, et je n’ignore pas ce que je dévoilais en faisant cela. Mes mouvements étaient involontaires, mais j’avais une pleine conscience de ce qui se passait. Je savais que tu voyais mon cul. Je savais que tu le voyais rougir. Je savais que tu voyais aussi ma moule, et peut-être même mon trou du cul. C’était la honte absolue. Et en même temps, je sentais physiquement ma chatte palpiter et couler. Je sentais les pointes de mes seins dressées à en être douloureuses. Mes fesses me brûlaient, mais je n’étais pas loin de jouir. Et j’avais aussi – et j’ai encore – honte d’être aussi excitée. J’ai aussi honte en te le racontant. J’ai aussi honte d’avoir été encore plus excitée quand c’est toi qui est passée à la casserole. Quand j’ai vu la main de mon chéri te frapper les fesses avec entrain, je te jure que je n’ai pas une seconde été jalouse. Je sais bien qu’il a dû y prendre plaisir .Mais, non, je n’étais pas jalouse. Mais excitée, alors ça oui ! Je coulais comme une fontaine ! D’ailleurs, toi, tu l’as bien compris … et en effet, tu n’étais pas encore arrivée en bas de chez nous que mon mec me sautait dessus … Oui, tu avais raison, ma chérie, l’après-midi c’est bien terminée pour moi !

Sans.

Bien sûr, je n’ai pas assisté à ces dialogues, que je retranscris à partir de ce que, peu à peu, Martine m’a raconté. Comme elle m’a raconté que quand elle avait fait allusion à la manière dont s’était terminée cet après-midi, Mathilde lui avait rétorqué :
  • « Ça, je n’en doutais pas, en effet. Par contre, je te jure que je n’avais mas imaginé comment l’après-midi allait se terminer pour moi ! »
Et comme bien entendu, Martine a voulu en savoir plus, Mathilde s’est expliquée :
  • « Tu te souviens bien sûr que quand je vous ai quitté, j’ai renoncé à remettre mon slip. Comme je te l’ai dit, d’une part il était … humide. Et en plus, là aussi je m’adresse à une connaisseuse, passer une culotte sur un postérieur dans cet état ravive la douleur. Là aussi, tu vois, c’était une expérience nouvelle pour moi. Pas de sortir sans culotte, ça, bien sûr je l’avais déjà fait. Surtout depuis que je fréquente Marc qui adore ça ! Régulièrement, il me saoule pour que « je n’en mette pas » quand nous sortons ensemble, et il ne manque pas de vérifier dix fois dans la soirée en passant la main sur mes fesses, comme si j’allais subrepticement remettre mon slip après qu’il ait constaté une première fois son absence. Il s’arrange aussi souvent pour le vérifier « de visu » que ce soit dans la voiture, là c’est assez facile, mais aussi, comme la dernière fois que nous sommes allés au restaurant ensemble, dans l’ascenseur. Il a fallu que je retrousse ma jupe pour qu’il constate qu’en effet, j’avais « oublié » ma culotte. Et quand, d’aventure, j’en ai une, son grand plaisir et de me « demander » … d’aller la retirer aux toilettes. Il me faut alors céder à son désir, m’éclipser comme si j’allais faire pipi ou me « repoudrer le nez » retirer mon slip et le lui ramener impérativement roulé en boule dans ma main. Il s’amuse beaucoup ensuite à me menacer de la déposer sur la table quand le serveur arrive …
Mais là, encore une fois, c’était différent. D’habitude, si j’ose dire, je prends ma fessée le soir, avant d’aller au dodo (et surtout au câlin !) et il est donc assez naturel que je ne remette pas ma culotte après. Je n’avais donc jamais connu cette sensation des fesses nues, toutes chaudes de la fessée qu’elles viennent de recevoir, sous la robe en pleine rue. Ce contraste entre la brûlure de la fessée et l’air frais qui caresse les fesses … ça, vraiment, c’était une découverte … délicieuse. Et en plus cette idée, folle mais lancinante que « les gens » pourraient le voir … Tu sais le fantasme de Marilyn sur la bouche de métro. L’idée qu’un coup de vent relève ma jupe et découvre mon cul tout rouge. Wahou … j’étais loin d’être sensuellement calme en vous quittant, mais dès que j’ai eu fait quinze pas dans la rue, j’avais le feu au cul, mais dans tous les sens du terme ! A en avoir peur, je te jure, que ça coule le long de mes cuisses. A vrai dire, je m’apprêtais à devoir calmer seule mes ardeurs, puisque nous ne devions pas nous voir, Marc et moi, ce soir la. Et tu sais bien, je suppose, que même quand un « monsieur » se charge en général de nos sens, il est des fois où, « faute de grive, on mange des merles » et où nos doigts ou quelque objet adéquat doivent remplacer l’organe de ces messieurs.
Mais, alors que j’arrivais chez moi, voilà que je trouve mon Marc, qui m’attendait devant ma porte. . Je ne pouvais pas le renvoyer ou prétendre avoir la migraine. Eh bien, crois-moi si tu veux, mais il ne lui a pas fallu deux minutes pour coller ses mains sur mes fesses et s’écrier, ravi :
  • « Mais t’a pas d’culotte ! »
Il faut croire que les mecs ont un sixième sens pour sentir quand nous avons le cul nu ! Comme de bien entendu, il a voulu avoir confirmation, et je n’ai pas trouvé d’argument pour le dissuader de soulever prestement ma robe pour découvrir … ce que tu sais !
Un peu naïvement Martine avait demandé :
  • « Il a remarqué que … »
Ce à quoi sa copine n’a pu que répondre :
  • « Ben, il aurait fallu qu’il soit vraiment aveugle ou con pour ne pas remarquer que j’avais les fesses couleur tomates bien mûres ! »
  • « Et alors ? Il a posé des questions »
  • « Ben non, tiens, il a juste constaté « tiens, ma copine à le cul tout rouge, c’est normal, on va prendre un verre ! Bien sûr qu’il a posé des questions ! Et, tu sais, il y a des fois où, même avec de l’imagination, il n’y a pas vraiment d’autre solution que la vérité … »
  • « Alors tu lui as dit ? »
  • « Que veux-tu que j’ai fait d’autre ? Je ne pouvais quand même pas lui dire que j’étais tombé sur la plaque de la gazinière ! Je n’ai pas finassé, et je lui ai tout déballé, mais sans citer vos noms, bien sûr. J’ai juste dit que « chez des amis » madame avait pris une fessée à cause de moi, et que … ben que moi aussi …. »
  • « Hou la la ! Il a pris ça comment ? »
  • « Manifestement l’histoire l’a intéressé ! Il a voulu des détails … comment « il » avait fait cela ? avait-il baissé ma culotte ?Avait-il frappé fort, longtemps ? Si j’avais crié, si j’avais pleuré … Combien de temps cela avait duré … il m’a fallu faire « des aveux complets et circonstanciés » comme on dit dans les polars. Et visiblement, plus je racontais, plus ses yeux brillaient … »
  • « Il devait être furieux ? »
  • « En fait … je sais pas vraiment. Tu sais, nous sommes ensemble mais nous ne formons pas un couple du même genre que toi avec Jean. Nous ne nous sommes pas vraiment promis la fidélité … Alors, bien sûr, il a un peu joué les maris outragés, mais c’était surtout pour justifier …. Ce qui a suivi … »
  • « C’est-à-dire ? »
  • Mathilde avait considéré Martine en hochant la tête et en l’imitant :
  • « C’est-à-dire …c’est-à-dire …tu devines pas ? Tu imagines un mec qui est branché sur ce genre de pratiques et à qui on apporte sur un plateau une raison aussi évidente de flanquer une fessée carabinée et qui ne sauterait pas sur l’occasion ? »
  • « Mais … il ne t’a quand même pas …là tout de suite ? »
  • Une nouvelle fois, Mathilde s’était ouvertement moquée de son amie :
  • « Non, bien sûr, il m’a donné rendez-vous en quinzaine ! Mas tu fais semblant ou quoi ? Bien sûr qu’il me l’a collée immédiatement et sans délais ! Comme il l’a dit avec élégance : « puisque tu as aimé cela à l’extérieur, tu va adorer à domicile ! »et il a même ajouté « pour une fois, je n’aurais pas à te baisser le slip, ça va nous faire gagner du temps. » Et, moins d’un quart d’heure après que nous nous soyons retrouvés, j’étais de nouveau les fesses à l’air et là, je t’avoue que ça a été une autre histoire. La fessée n’a pas que des inconvénients, tu ne me démentira pas, mais je t’assure que prendre une volée par un mec bien excité et, quand même, en colère, sur un derrière qui se remet à peine de la danse précédente … wahou ! Chez toi, je pense que j’étais restée à peu près digne, là… ben non. J’ai crié comme un cochon qu’on égorge, et je te jure que je ne faisais pas semblant. J’ai eu le sentiment que mon cul était labouré, déchiqueté, haché menu. Il a dû maintenir mes jambes entre les siennes pour pouvoir « finir proprement le travail » selon son expression. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais quand il s’est enfin arrêté, j’étais persuadée que mon cul était en sang. Rien que le tissu de la robe l’effleurant quand elle est retombée a suffi à me faire hurler à la mort ! Je suis resté au moins cinq minutes à danser la danse de Saint Guy sur place. Mais il a encore fallu quand même offrir le dessert de monsieur … Heureusement, il n’a pas exigé la position des bons pères, m’allonger sur le dos aurait été au-dessus de mes forces. J’ai préféré prendre les devants – si on peut dire puisqu’en l’occurrence c’est plutôt lui qi a pris mes arrières – en me mettant de moi-même dans la position idéale pour une levrette sur canapé. Et à chaque fois que le ventre de monsieur venait claquer sur mes fesses, c’était comme si je m’asseyais sur une planche de fakir. Finalement, il ne fallait qu’une occasion pour que mon Marc prenne toute sa dimension de fesseur qualifié. Et passe en un clin d’œil du gentil « panpan cucu » des familles à la rouste quatre étoiles. Je t’assure que quand j’ai enfin pu aller me contorsionner dans la salle de bain pour découvrir l’état du terrain, j’étais persuadée que mon cul n’avait plus de peau. En fait, tu vois, finalement, les fesses sont plus résistantes qu’on ne le croit. Bien sûr, mon cul ressemblait à un champ de bataille après un bombardement intensif, ou plutôt à un steak tartare bien saignant, mais la peau du cul avait résisté ! Sauf que le lendemain, elle était passée du rouge vif au bleu marine. Une horreur ! Une boule violacée, meurtrie, à peu près comme le visage d’un boxeur après cinq rounds tu vois ?
  • Cette comparaison a fait apparaître un sourire sur le visage de Martine.

Bis repetita.

  • « Ah ben oui, tu peux rire ! Moi je te jure que je ne riais pas. D’abord parce que il m’a été impossible de m’asseoir pendant les trois jours qui ont suivis. Je te jure, je mangeais à genoux sur la chaise ! Encore heureux qu’au boulot je peux me débrouiller pour rester debout, même si j’ai eu toutes les peines du monde à résister aux invitations « mais asseyez-vous donc, chère madame » d’un client que j’ai visité. Mais le plus embêtant c’est que les mains de Marc ne s’étaient pas contentées de me martyriser les fesses. Monsieur avait pris ses aises, et avait aussi visité à sa manière l’arrière de mes cuisses. Impossible donc de porter jupe ou robe au-dessus du genou sans laisser voir les belles marques violettes sur les cuisses. Or, porter un pantalon, c’était comme frotter mes fesses avec du papier de verre. Il m’a donc fallu ne sortir pendant quelques jours qu’avec une jupe longue, et bien sûr rien dessous, pour le plus grand plaisir de mon Marc, qui ne manquait pas, chaque soir, de passer voir « l’état de la chose » heureusement, il a eu le tact de ne pas récidiver, considérant que la fessée fumante du jour même avait « soldé les comptes » Mais il m’a quand même fallu répondre à ses questions insistantes. Et quand il a tout su sur ma fessée … eh bien, c’est la tienne que j’ai dû décrire par le menu, ma chérie … mais toujours de manière anonyme …je te jure. En tout cas, s’il ne connaît pas vos noms, je peux te dire qu’il vous tient en grande estime. Il m’a semblé percevoir une pointe d’admiration dans ses yeux. Visiblement, il considère ton homme comme un maître en la matière….Je ne serais pas étonnée qu’il lui demande des cours particuliers !

Des suites ?

Pour autant, à ce jour, l’ami de Mathilde ne m’a pas demandé de conseils, pour la bonne raison que je ne l’ai jamais rencontré. De plus, jusqu’à ce que Martine ne me raconte cette conversation avec sa copine et ne me révèle qu’elle n’était pas aussi novice que je l’avais cru, je n’avais jamais imaginé être en situation de récidiver l’expérience. Des circonstances particulières nous avaient amenés à vivre des instants fort agréables, mais qui n’avaient sûrement as vocation à se reproduire. Du reste, quand Martine m’apprit les suites qu’avait eu pour Mathilde la fessée qu’elle avait reçue chez nous, je n’avais plus croisée celle-ci depuis ces moments si particuliers. J’avoue que, bien sûr, apprendre que la femme qua j’avais fessée avec autant de bonheur l’avait été une seconde fois dans la même journée ne m’avait pas laissé indifférent. Et je me doutais bien que cette fessée oh combien mémorable n’avait probablement pas été la dernière pour elle. Ayant été l’acteur principal, si j’ose dire, de ces deux fessées consécutives reçues par ma chérie et par sa copine, l’idée d’être un jour le spectateur m’avait bien sûr effleurée. Et celle de voir un jour ma chérie la subir, en ma présence, des mains d’un autre ne me laissait pas indifférent. Mais, pour en revenir aux adages, il y a parfois loin de la coupe aux lèvres. Pourtant, quand il y a quelques jours, Martine m’a annoncée que nous étions invités à prendre l’apéritif « chez Mathilde » sans me préciser si son ami serait des nôtres, je n’ai pas hésité à accepter de grand cœur l’invitation ...