jeudi 7 décembre 2017

Entretien avac Lucie, deuxième partie

 Nous poursuivons notre entretien avec Lucie, qui a découvert la fessée lors d'un séjour en ANgleterre quand elle étiat adoloescente.


Lucie, vous nous avez raconté dans quelles circonstances vous avez découvert la fessée lors de votre séjour en Angleterre. A l’époque, avez-vous partagé cette expérience avec quelqu’un ?

Non avec personne car j’avais trop honte d’avoir été fessée comme une gamine à 17 ans

Ces fessées « anglaises » étaient presque des fessées de petite fille,même si elles vous ont fair découvrir une forme de sensualité. Quand avez-vous reçue votre première fessée de femme adulte ?

En 1973 j’ai fais la connaissance de Thomas c’était le directeur de l’école primaire de ma fille. Il avait 30ans et père d’un petit garçon de 8 ans qui était dans la même classe que ma fille. Sa femme était décédée. Nous avions inscrit nos enfants au judo et c’est comme cela que nous avons fait connaissance en discutant pendant leurs entrainements. On se rendait service en emmenant les deux, Olivier avait passé la nuit chez moi et Cécile chez lui, nous étions amis. Il a une grande passion pour le golf car son père était greenkeeper dans un grand golf de la région. Je précise cela car Henry est lui aussi passionné de Golf. Finalement sans le faire exprès et sans me douter des conséquences, Henry et Mary venant passer un WE sur la route de leur maison de Royan, j’avais invité Thomas. Il a discuté de Golf toute la soirée et le samedi matin il est parti avec Henry faire un parcourt.

Ainsi, vous aviez gardé des relations avec Henry et Mary ? L’un et l’autre, quand ils venaient chez vous, faisaient-ils allusion aux fessées que vous aviez reçues chez eux ? Et à leurs habitudes familiales ? Autrement dit, est-il arrivé à Henry de corriger sa femme lors de leurs séjours chez vous ?

Effectivement j’avais gardé des relations surtout avec Mary, nous nous écrivions régulièrement, elle m’a été d’un grand réconfort quand je suis tombée enceinte. Ils m’ont rendu visite à plusieurs reprises quand ils venaient en France. Quand je me retrouvais seule avec Mary, il m’est arrivée de l’interroger et de lui demander si elle avait du présenter des fesses à Henry, elle me répondait que j’étais une petite curieuse et que je mériterais une fessée mais elle ne l’a jamais fait. Je le regrette un peu. Je n’ai jamais vu Mary à cette époque là être fessée devant moi. Je dois vous avouer que quand je me caressais, il m’arrivait de me voir sur les genoux de Mary ou Henry, ce qui m’excitait.

Mais jamais plus il ne s’était montré « autoritaire » avec vous ?

Une seule fois mais c’était un jeu donc cela ne compte pas

Savez-vous si leur fille Ann a épousé un homme qui est aussi respectueux des traditions britanniques en matière conjugale ?

Oui tout à fait et il a commencé dés leurs fiançailles auxquels j’ai assisté. Le lendemain matin, j’ai vu qu’elle faisait une grimace en s’asseyant et elle m’a voué qu’Albert lui avait donné une fessée en lui précisant que ce n’était que la première qu’il lui donnait en tant que futur mari

Revenons à Thomas, si vous voulez bien. Dans quelles circonstances a-t-il été amené à vous fesser ?

Je ne vous ai pas encore dit mais j’ai un gros défaut enfin je devrais dire deux, je n’ai aucun sens de l’orientation mais surtout j’ai un gros problème avec la ponctualité sauf dans mon travail. Ma fille restait à la garderie le soir c'est-à-dire jusqu’à 18 heures mais il m’arrivait souvent d’arriver à l’école que vers 18h15 voir plus. Quand je voyais que je débordais je téléphonais à ma mère pour qu’elle la récupère
Le vendredi suivant la visite de Mary et Henry, Cécile m’a donné une lettre venant de Thomas. J’étais surprise et encore plus en la lisant
Madame,
Je souhaiterais vous rencontrer samedi à 11h30
Cordialement
Mr T. U*****
J’ai tout de suite demandé à Cécile si elle a fait une bêtise mais elle ma dit que non.
Le lendemain, je suis allé au RDV. Je me demandais ce qu’il voulait J’ai attendu que tous les
élèves soient et les instits soient puis il m’a fait venir dans son bureau.
- Madame, je vous ai….
- Je ne comprends pas, qu’est qui se passe, on se tutoie
- Madame, je vous ai demandé de venir car nous avons un problème …
- Ma fille a fait une bêtise
- Ho non ! Cécile est une très bonne élève, sage, attentive et participe à la classe. Le
problème c’est vous
- Moi !!!!!
- Oui les instituteurs et moi n’en pouvons plus de vous attendre tous les soirs. Il est
anormal que vous arriviez pratiquement tous les jours en retard pour venir chercher Cécile.
- C’est ma profession qui…..
- Laissez-moi finir. Nous comprenons que vous avez des responsabilités mais il faut que
vous compreniez que nous aussi, nous avons tous une vie de famille. Il faut que vous trouviez
une solution. Votre mère m’a dit qu’elle avait tout essayé pour vous faire passer cette
mauvaise habitude mais rien n’y fait.
- Je reconnais je suis vraiment désolée. Vous voyez jeudi ma mère m’a téléphoné pour me
dire qu’il était temps de partir, j’ai dit oui mais je me suis replongé dans un dossier.
- Je comprends mais si cela continue, nous ne pourrons plus garder Cécile le soir.
- Je vous promets que je vais faire un effort
Il a fait le tour du bureau, je m’étais levée, pensant que l’entretien était terminé
- Franchement je pense que vous avez du souvent faire cette promesse.
- Oui je le reconnais mais promis (le tout avec un grand sourire)
- Ce n’est pas drôle. Une personne m’a soufflé une bonne idée afin que vous n’oubliiez
pas votre promesse.
- Ha bon !!
Avant que je ne comprenne ce qui m’arrivait, il s’était assis et m’avait basculé sur ses genoux
- Arrêtez, vous êtes fou !!!!!!! qu’est ce que vous faites
- Vous savez très bien ce que je vais faire, c’est vos amis qui m’ont conseillé cela
- Non !! je ne veux pas vous n’avez pas le droit
- Vous voyez que vous savez……que vous allez recevoir une fessée comme une petite
fille qui fait des bêtises.
- Non !!! taisez vous je vous l’inter…..Aie !!!! aie !!!! non stop !!!!
Il claquait tranquillement sans brutalité mais avec suffisamment de force. Je me démenais
essayant de m’en sortir mais il me tenait fermement. Il claqua mes fesses je dirais pas plus de
2 minutes.
- Alors Madame j’espère que vous comprenez le message
- Arrête je vais porter plainte vous n’avez pas le droit.arrétez !!!!!!
- Je vois que la leçon n’a pas encore Ses fruits.
Il a pris le bas de ma jupe et l’a relevée, j’ai poussé un grand cri tout en essayant de rabattre
ma jupe.
- Puisque vous ne voulez pas comprendre je vais continuer sur ce magnifique slip en
dentelle qui ne va pas vous protéger des claques
- Nooooooonnnn !!!!!!
Sans la protection de ma jupe les claques faisaient plus mal, là encore la fessée ne fut pas
longue mais les claques très rapides et beaucoup plus forte. Il m’a relâchée. Je me suis levée,
j’ai pris mon sac à main et me suis dirigée vers la porte.
- Madame P**** (IL avait presque crié mon nom, je me suis arrêtée et j’ai tourné la tête)
La prochaine fois que vous serez en retard, ce sera cul nu.
J’ai claqué la porte et je suis sortie. Ce n’est pas tant la douleur que …que.. Comment avait il
osé. Mon rimmel avait coulé, je suis allée chez moi me changer et me rafraichir avant de
retrouver Cécile chez ma mère.

Vous aviez compris alors que cette « idée » de vous fesser lui avait été soufflée par Henry ?

Après être rentrée à la maison j’ai repensé à ce qui venait de se passer et je me suis rappelé
cette phrase de Thomas « Une personne m’a soufflé une bonne idée afin que vous n’oubliiez
pas votre promesse. » J’ai compris que c’était Henry qui lui avait dit cela. Plus tard j’ai
interrogé Thomas à ce sujet et il m’a confirmée qu’Henry lui avait expliqué que quand il avait
un problème avec sa femme il l’a couchait sur ses genoux et lui donnait une fessée. Thomas
lui avait répondu que je n’étais pas sa femme. Henry a balayé cela en lui disant que j’avais
avoué à Mary que j’étais amoureuse de lui. Henry lui avait même suggéré de ne me donner
qu’une fessée sur ma culotte en me menaçant de me déculotter la fois suivante. Il a ajouté, je
vous prends le pari que cela se passera mais là il faudra vous jeter à l’eau et le faire. Ensuite
croyez-moi ensuite elle acceptera la fessée tout à fait comme Mary l’a accepté de ma part.

Et cette fessée donnée par l’instituteur de votre fille, elle avait provoqué le même « émoi »
chez vous que celles reçues d’Henry ?

Cela n’avait rien à voir, celle d’Henry je l’avais provoqué, celle de Thomas je ne l’avais pas
vu venir et en plus, mais il ne pouvait pas le savoir, la fessée en milieu scolaire est toujours un
de mes fantasmes préférés, peut être parce que la première fessée que j’ai vu se passait dans
ce milieu et m’a beaucoup marquée, même si ce n’est pas moi qui l’ai reçue. La première de
Thomas m’a mis dans un état incroyable, j’étais une femme qu’aujourd’hui on appellerait de
pouvoir puisque j’étais cadre bancaire et que j’avais plusieurs personnes sous mes ordres et
pourtant, je venais d’être fessée comme une gamine. Arrivée à la maison la première chose
que j’ai faite est de regarder mes fesses dans une glace, elles étaient bien rouges. Je me suis
déshabillée, j’ai pris un vibromasseur et j’ai joui très vite tellement j’étais excitée

Pourtant, si j’ai bien compris, ce ne fut pas la seule fessée pour cause de retard ?

Etait-ce cette fessée mais pendant prés d’un mois, je suis arrivée à l’heure pour récupérer
Cécile mais notre relation amicale s’était arrêtée. Les enfants se demandant pourquoi. Un
vendredi soir, c’était vers le milieu du mois de juin, impossible de joindre ma mère et
impossible d’être à l’heure. Heureusement Thomas ne me voyant pas arriver était arrivé
quand même à joindre ma mère. Hé oui il n’y avait pas de portable à cette époque là.
Le lendemain, j’étais allée faire mes courses et en rentrant vers midi, j’ai aperçu Thomas
chez lui, il habitait avec son fil dans l’école.
Je me suis arrêtée, il m’a fait monter chez lui
- Je suis vraiment désolée pour hier, un impondérable, merci d’avoir appelé ma mère.
Vous avez vu j’avais fais des efforts
- Oui c’est vrai, je ne l’ai pas dit à votre mère mais Francine (l’instit de Cécile) voulait
que nous l’amenions au commissariat comme cela s’est fait vers Lyon
- Mon dieu, merci !!!!! Je ne vais pas vous déranger plus longtemps, je vais vous laisser
profiter de votre fils
- Il n’est pas là il est chez ses grands parents.
- Bon ben bon WE (Il m’a prise par le poignet)
- Ma petite Lucie, tu ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça (C’était la première fois
depuis….la fessée qu’il m’appelait Lucie et me tutoyait) Nous avons en petit compte à régler
- Non ce n’est pas de ma faute
- J’ai l’impression d’entendre un de mes élèves mais ils ont 9 ans, c’est jamais de leur
faute Il a tiré une chaise, s’est assis)
- Non Thomas s’il te plait, pas ça je t’en prie
Mais j’étais déjà allongée sur ses genoux et la fessée a commencé immédiatement. Sans un
mot de sa part. Une cinquantaine de claques alternant les deux fesses rapidement et sans arrêt
puis il a relevé le bas de ma robe. Je portais une robe de plage que l’on porte sans soutien
gorge. j’ai essayé de me débattre mais une énorme claque au milieu des fesses m’a fait
pousser un cri et remettre mes mains devant moi, là encore le même genre de fessée très
rapide et sans arrêt. Ouf c’était fini.
- J’espère que cette fois-ci tu comprendras la leçon
- Oui promis
- J’espère que tu te rappelleras la honte d’être allongée sur mes genoux comme une petite
fille
- Ho !!!! tais-toi
- Tu n’oublies qu’une chose ma petite Lucie, je t’ai fais une promesse et je tiens toujours
mes promesses.
- Nooooon !!!!! pas ça nooon (je me débâtais dans tous les sens)
- Mais si (il avait prit mon bras droit et l’avais coincé dans mon dos) que t’avais je
promis ?
- ……………..(une très grosse claque tomba) aiiiie !!!!
- Je t’ai posé une question, que t’avais je promis ?
- …….Thomas je t’en prie, je ne suis plus une enfant, pas ça s’il….aiiiiiie !!!!
- Pour la troisième fois que t’avais je promis
- ….une……fessée….
- Oui comment
- …..déculottée
- Ce n’est pas ce que je t’avais promis, emploies les bons termes.
- Ho non !!!! j’ai trop honte….aie !!!!! ….une fessée cul nu …ho s’il te plait
- Voila tu vois quand tu veux (il a pris l’élastique et a baissé ma culotte jusqu’à mes
chevilles. Il a passé sa main sur mes fesses) Elles sont déjà bien chaudes mais pas encore
assez
- Non non !!!!!!
La fessée a repris mais très courte, une dizaine de claques bien appuyée mais qui m’ont fait
pleurée. Il m’a relevée tout en passant ses mains sur mes fesses.
- J’espère que c’est la dernière fois
- Promis mais tu as été méchant
Nos regards se sont croisés, nos bouches se sont rapprochées et se sont rejointes, c’était la
première fois
- Tu la méritais, ce qui me surprend c’est que tu ais pris du plaisir à recevoir cette fessée
sinon commence explique tu cette humidité sur ma cuisse
Il a posé sa main sur ma toison puis me l’a montée, toute luisante
- Tais toi j’ai honte mais toi aussi tu as pris du plaisir
J’ai posé ma main sur sa cuisse et suis remontée en passant ma main sous son short. J’ai étais
surprise car il ne portait pas de slip, j’ai commençais à le caresser
- Attention sinon un accident va arriver
Il m’a prise comme on prend une mariée et m’a emmener dans sa chambre, je me suis laissé
faire, il a fait passer ma robe par-dessus ma tête, j’ai baissé son short, et ce que j’ai vu m’a
bien plu. Je vous rappelle que ce n’étais que le deuxième homme que je connaissais. Je me
suis laissé faire et après que nous ayons pris notre plaisir, allongés sur le lit je lui ai expliqué
le peu qu’il y avait à raconter sur ma vie sexuelle antérieur. Il m’a regardé, m’a embrassé
- Si je comprends bien il va falloir que je te donne des cours du soir, j’espère que tu seras
ponctuelle
- Sinon tu connais la méthode
Nous avons éclaté de rire.
Voila comment j’ai fait connaissance de Thomas. Les six mois qui ont suivi nous avons
partagé nos nuits chez lui et chez moi mais en faisant attention pour les enfants. Eux étaient
ravis

Donc vos enfants respectifs ne savaient pas comment Thomas s’occupait de vous ?

C’est ce que nous croyions mais l’avenir allait nous détromper

Eux, je veux dire vos enfants, recevaient aussi parfois la fessée de votre part ou de celle de Thomas ?

Oui la fessée se passait dans leur chambre, jamais l’un devant l’autre, 10 claques pas une de plus
toujours fesses nues et après un câlin et un bisou. IL l’ont toujours compris et ne nous ont jamais fait de reproche

Vous aviez raconté à Thomas avoir été déjà fessée par Henry avant de l’être par lui. Mais, lui, avait-ilfessé d’autres femmes avant vous ?

Non, j’étais la première personne qu’il fessait

les fessées que vous receviez de Thomas étaient toujours motivées par de vraies bêtises de votre
part ?

Oui, mis à part celles qui me donnaient comme préliminaires à l’amour, mais est ce des fessées ?

Ces fessées sont parfois annoncées à l’avance ?

En fait il arrive qu’il m’annonce que je serais punie mais il ne me dit pas comment et j’avoue que cela m’excite à chaque fois car je me fais mon petit cinéma

EN dehors des fessées, Thomas a-t-il d’autres exigences « autoritaires », en termes de tenue
vestimentaire par exemple ?

Au début non et puis cela est rentré dans nos jeux, interdiction de mettre des sous vêtements,
obligation de mettre un string pour aller à la plage après une fessée. Me connaissant il me demande
parfois de mettre une tenue scolaire pour nos jeux. Après une fessée, j’ai interdiction de remettre
ma culotte.

Et il vous a confirmé que c’est bien Henry qui l’avait invité à vous traiter ainsi ? Vous en avez parlé
avec Henry et Mary ?

Oui j’ai même remercié Henry

J’aimerais mieux comprendre, Lucie. Depuis que vous vivez avec Thomas, vous recevez des fessées
pour de « vraies » bêtises, comme les premières, ou parfois pour le seul plaisir de Thomas … et peutêtre de vous-même ?
Les deux

A part vos amis anglais, qui, dans votre entourage, sait que vous êtes une épouse fessée ?
IL y a Mary et Henry, Will et Lizzie, d’autres amis Anglais, Philippe et Chloé, Madame Paulette, la
concierge de l’école de Thomas et mes parents bien sur mais pas mes beaux parents, eux ils ne
comprendraient pas.

Et dans cet entourage, vous connaissez d’autres femmes qui sont traitées comme vous ?

Non mais je suis sur que cela existe