samedi 21 mars 2015

Traditions d'outre - manche



                En Angleterre.
L’année dernière, j’ai été appelée  suivre un stage de deux semaines en Angleterre pour harmoniser les pratiques commerciales des filières anglaises et françaises.  J’étais la seule stagiaire issue de mon agence, et comme je suis par nature plutôt solitaire, je n’ai eu que des rapports professionnels avec mes collègues français. Par contre, au cours de divers échanges avec les équipes anglaises, je me suis rapprochée d’une collègue d’une agence britannique avec qui j’ai plusieurs fois partagé le repas de midi ou un café lors des pauses. Elle parlait assez bien le français pour que nous arrivions à nous comprendre dans un sabir qui mélangeait souvent les deux langues. J’étais logée dans un hôtel agréable mais où j’étais seule le soir dés les réunions terminées, et à part une séance de cinéma et une promenade dans une ville sans beaucoup de charme, je passais mes soirées seule devant la télé. Mary, ma collègue anglaise, a insisté pour que je passe le week-end chez elle, en affirmant que cela lui permettrait de pratiquer le français. Comme elle a vraiment insisté, j’ai fini par accepter, et j’ai donc fait la connaissance de son mari, un homme d’une cinquantaine d’année, d’un aspect « so britich » avec ses cheveux blonds roux et sa moustache de même couleur. Lui ne parlait que très peu le français, et Mary devait souvent faire l’interprète pour lui traduire nos conversations.
                « Education anglaise » ?
Pour m’être agréable, Mary a branché son ordinateur sur la télévision française, et nous avons regardé ensemble les informations. Mary m’a taquiné à propos du débat qui enflammait alors l’actualité sur la possible interdiction de la fessée en France. En riant moi aussi de cette polémique un peu ridicule j’ai lancé :
                « Je comprends que cela fasse rire les anglais, vous qui êtes tellement attachés aux traditions de « l’éducation anglaise » »
Mary ne connaissais pas cette expression, et je lui ai donc expliqué qu’à nos yeux de continentaux, les anglais étaient restés fidèles aux châtiments corporels dans les écoles. Elle m’a démenti, en affirmant que c’était bien là un exemple des préjugés des « mangeurs de grenouilles ». Comme son mari, Ed, lui demandait ce qui nous faisait rire ainsi elle lui a expliqué et il a répondu en souriant :
                « In isn't England, the smacking for the children but for the wives, is not this step Mary? »
Comme je n’avais pas compris sa phrase je me suis tournée vers Mary pour qu’elle traduise, mais elle a haussé les épaules en disant avec une expression un peu exaspérée :
                « Ed dit des bêtises »
Et comme j’insistais pour ne pas avoir l’air de ne pas m’intéresser à ce que son mari voulait dire, celui-ci a repris en ponctuant ses mots d’un geste presque impératif du doigt :
« Translate, Mary, if not I flank you immediately a smacking ! »
Cette fois, j’avais bien entendu compris la première partie de la phrase, mais je demandais quand même à Mary :
                « What is smacking ? »
Mary semblait mal à l’aise, mais comme son mari l’invitait à répondre, elle finit par bredouiller :
                « Smacking, ou spanking, en français je pense que vous dite « fessée » non ? »
Je confirmais et c’est en m’adressant directement à Ed que je demandais, en me souvenant de sa première réponse :
                « And is not for the childrens ? » en ajoutant en français : « finalement c’est peut-être vous qui allez nous pousser à abandonner cette pratique barbare »
Je ne pense pas qu’Ed ait compris ma réponse, mais il répéta en souriant jusqu’aux oreilles :
                « English reserves that with their wives »
Une nouvelle fois, il me fallu interroger Mary, n’ayant pas compris le dernier mot. Et Mary, après avoir bougonné entre ses dents à l’intention de son mari, finit par bredouiller :
                « Wives, c’est les femmes mariées, les épouses comme vous dîtes je pense, voilà ! Tu vois qu’Ed dit des bêtises. »
                               Traditions familialles
Nous aurions du en rester là et passer à un autre sujet de conversation, mais alors que Mary s’était absentée pour aller chercher à boire, c’est son mari qui c’est de nouveau adressé à moi, en faisant un effort pour que je comprenne ce qu’il voulait dire :
                « Hélène,  if you wan to know england, you must know our « traditions familialles »
Il semblait très fier d’avoir dit les deux derniers mos en français.  Je l’en félicitais, et, assez étourdiment, je lui demandais :
                « What tradition you talking about ? »
Et sans se démonter, juste au moment où Mary revenait avec son plateau et ses verres de whisky, il s’écria :
                « But about the spanking fo the britain wives, of course ! »

                               In uniform and in position
Cette fois, je ne pouvais même pas faire semblant de ne pas avoir compris. Mary s’était arrêtée au milieu du salon, avec son plateau dans les mains. Elle m’a regardé, puis s’est tournée vers son mari
                « Ed ! how you can … ! say such things in a … »
Mais son mari ne l’a pas laissé finir sa phrase. D’une voix presque devenue métallique il lança :
                « Enough Mary prepares you, butt naked, immediately ! Hélène will see whether I say sily things !»
Ce n’est que bien plus tard que je me souviendrais qu’en prononçant ces mots, Ed prouvait qu’il comprenait mieux le français qu’il ne voulait le laisser paraître. Je ne sais pas si Mary s’en ai rendu compte. En tout cas, précisément à partir de cet instant, la soirée bascula brusquement dans un autre monde. Mary resta quelques instants immobile, et devenue brusquement très pâle.  Son mari lança une autre phrase très brève, sur le même ton impératif :
                « I wait for you, Mary ! you know that the wait will be paid by your ass!”
Le corps de de Mary me sembla comme traversé par une décharge électrique, mais elle resta immobile et murmura d’une voix étranglée :
                « I’m ready, sir. »
                « In uniform and in position, girl ! »

                               Déculottée
J’étais assise sur un fauteuil en face de celui d’Ed, et Mary me tournait donc le dos. Sans prononcer un mot et sans se retourner vers moi, elle passa les mains sous sa jupe, elle y farfouilla un bref instant et je me rendis alors compte qu’elle était entrain de baisser sa culotte. Elle la fit descendre le long de ses jambes. Puis elle se baissa et tout simplement elle la retira et, presque tranquillement, elle la déposa sur la table basse. Elle se rapprocha encore du fauteuil de son mari et, sur un geste bref de celui-ci, elle s’allongea sur ses genoux, le haut du corps reposant sur l’accoudoir et les jambes ne touchant plus le sol. Le silence était toujours aussi pesant, ni elle ni lui ne tournaient le regard vers moi, et je ne pouvais plus ignorer ce qui allait se passer sous mes yeux. Pourtant, Ed cru nécessaire de le préciser en affirmant :
                « Okay, that's a good English wife who will take his bare ass spanking as appropriate”
Ce n’était pas une question, et rien n’indiquait que ces mots s’adressaient à moi. Pourtant, mais je ne me fis cette réflexion que plus tard, il ne semble pas qu’il ait été nécessaire de les adresser à Mary qui ne pouvait ignorer ce qui allait suivre. Ce n’est aussi que plus tard que je me suis demandé ce que j’aurais du faire. Aurais-je du m’indigner ? Protester ? Mais de quel droit ? Une femme adulte, responsable, que je fréquentais depuis quelques jours et dont je ne pouvais ignorer les qualités et les compétences, venait tout simplement de se déculotter devant moi sur les ordres de son mari. Celui-ci venait d’annoncer tout simplement son intention de la fesser, et elle semblait y consentir, certainement pas sans angoisse, sa pâleur en était la preuve, mais en tout cas sans qu’il l’y ait vraiment contrainte autrement que par le ton sans réplique de sa voix. De quel droit me serai-je autorisée à m’interposer ? Peut-être, en effet, aurais-je  pu quitter les lieux. Considérer que je n’avais pas à assister à ces instants d’intimité. Mais d’une part il était évident qu’Ed avait pris sa décision non seulement malgré ma présence mais peut être même à cause d’elle. Sa réflexion à propos des « traditions familiales » le prouvait à l’évidence. Et surtout j’étais dans un tel état d’effarement que je dois dire que l’idée de me lever et de partir ne m’est même pas venue. Je suis restée là, immobile, silencieuse, figée, alors que cette femme adulte, responsable, respectable, dont j’avais pu mesurer à l’occasion de débats lors de notre séminaire la capacité à argumenter et même à s’imposer, était entrain de prendre la position classique d’un enfant qui va recevoir une fessée.

                               Troussée
Et, toujours sans un regard vers moi, calmement, le visage serein et presque concentré comme s’il se préparait à une tâche qui impose qu’on s’y consacre tout entier, Ed remonta légèrement les manches de son pull, se frotta un court instant les mains l’une contre l’autre, puis, comme s’il ouvrait un paquet cadeau, il saisi le bas de la jupe de son épouse et la releva lentement, faisant ainsi apparaître le derrière nu. Sans qu’il ait eu besoin de le lui demander, Mary souleva légèrement le bassin pour faciliter le troussage. Le visage de son mari sembla s’illuminer en découvrant les fesses rondes qu’il venait de découvrir. Il eut pour elles un regard que je ne peux que qualifier d’admiration. Il est vrai qu’elles le méritaient. Si Mary s’habillait d’une manière plutôt stricte et élégante, elle n’en était pas moins une belle femme. Elle avait la peau claire, avec de minuscules tâches de rousseur autour du nez, et des cheveux moins filasse que ceux de son mari. J’avais bien sûr remarqué qu’elle était plus ronde que moi, avec une poitrine qui gonflait ses corsages, et même si elle ne se permettait bien sûr pas des décolletés extravagants pour aller au travail, il lui était arrivé, quand elle se penchait sur la table où nous travaillions ensemble, de laisser voir la naissance d’une vallée qui, visiblement, attirait les regards des hommes. Pourtant j’ai été presque étonnée de découvrir l’ampleur de ses fesses. Immédiatement, et malgré les circonstances pour le moins  singulières, je les ai trouvé vraiment splendides. A en être jalouse. Rondes, charnues, rebondies, et la peau d’une blancheur presque diaphane. Je ne pouvais que comprendre le regard admiratif de son mari pour ce derrière vraiment resplendissant.

                               Fessée
Mary bougea légèrement, comme si elle cherchait la position la moins inconfortable, et elle posa la tête sur ses bras repliés. Son mari posa la main gauche au creux de ses reins, puis, presque au ralenti, leva la main droite, à hauteur de son épaule, et la laissa retomber sur la fesse droite de son épouse. Je pense que j’ai plus sursauté que Mary dont seules les fesses se sont crispées sans que le reste de son corps ne bouge. Mais pour ma part j’ai été vraiment surprise par le bruit de cette première claque.. Et je sais que, machinalement, mes muscles se sont raidis, comme si j’avais moi-même ressenti dans ma chair cette frappe. Ed ne se hâtait pas, il semblait au contraire prendre son temps avant de laisser retomber sa main, du même mouvement ample, sur l’autre fesse. Nouveau claquement, nouveau sursaut à peine perceptible du corps de Mary, nouvelle sensation de percevoir moi-aussi l’impact de la claque.   Et les suivantes se sont succédé, alternativement sur une fesse puis sur l’autre. Régulièrement. Presque mécaniquement. Il semblait frapper comme un métronome. Pourtant, imperceptiblement, le rythme a du s’accélérer, puisqu’après quelques dizaines de claques, les claquements ont semblé se recouvrir les uns les autres ; Comme si l’écho dans la pièce d’une frappe n’avait pas fini d’emplir la pièce avant que la suivante ne s’abatte. En même temps, très vite, la peau blanche s’était mise à rosir, puis à franchement rougir. Le derrière de Mary était maintenant marqué au sommet par une sorte de rond rouge vif, qui tranchait avec le reste des fesses resté blanc. Au moment même où je remarquais cette coloration, et comme si, lui aussi, il avait trouvé là une lacune a combler d’urgence, Ed se mit à élargir la surface de peau que sa main fustigeait. Les claques tombaient maintenant sur toute la surface, large, exposée au regard et aux coups de l’homme. Visiblement, celui-ci s’appliquait comme s’il lui importait qu’aucune parcelle du derrière qu’il frappait n’échappe à sa main. Comme s’il lui importait que la coloration cramoisie soit régulière. Et en effet, le postérieur de Mary était devenu une sorte de lune rouge, presque luminescente. Et pour parfaire le travail, Ed se mit à distribuer quelques claques sur le dessous des fesses, à la limite des cuisses. Pour ce faire, il frappait en quelque sorte de bas en haut, amenant ainsi les fesses à trembloter, à sursauter, à palpiter. Jusque là, il avait frappé une boule ronde et ferme. Maintenant les fesses semblaient danser, mues d’un mouvement désordonné et incontrôlable. Au hasard de ces mouvements erratiques, et sans bien sûr que je ne puisse savoir si Mary en avait conscience, celle-ci dévoilait son intimité avec une totale impudeur. Les jambes, au départ serrées l’une contre l’autre, s’étaient légèrement écartées, et avaient commencé à gigoter, ce qui laissait voir par instant un abricot rose et charnu, et même, furtivement, la raie des fesses s’élargissant sous les coups, le petit trou fripé. Même si j’en ai eu honte en y repensant par la suite, il me semble bien que c’est à ce moment là que j’ai senti que mes pointes de seins étaient devenues dures et qu’une crispation naissait au creux de mon bas ventre. Je sais qu’à mesure que celles de Mary s’écartaient, je serrais les miennes l’une contre l’autre. Et je n’ai pas pu ne pas me rendre compte que j’étais entrain de mouiller ma petite culotte. Peut-être devrai-je en être honteuse, mais je ne peux le nier, en voyant cette femme avec qui j’avais noué de vrais liens d’amitié, qui m’accueillait chez elle avec tant de gentillesse, se faire tanner la peau des fesses, en la voyant de plus en plus se raidir sous les coups, et en entendant ses premières plaintes, mon sexe s’humidifiait et l’excitation montait à en devenir douloureuse.

                               Cris et pleurs
Alors que Mary se mettait ainsi à gigoter et à agiter les jambes de plus en plus convulsivement, elle commença aussi à geindre, d’abord d’une voix étranglée, comme si elle essayait de contenir ses soupirs et ses plaintes. Ce furent d’abord des « humpf ! » étouffés. En même temps elle commença à relever la tête, un peu comme un cheval qui se cabre. Ed assura plus solidement sa prise en entourant la taille de sa femme du bras gauche, et accéléra encore le rythme de ses coups. Ceux-ci cessèrent d’être détachés les uns des autres pour se transformer rapidement en une sorte d’averse continue. Les claques crépitaient maintenant en un roulement ininterrompu. La main ne se soulevait plus, mais précipitait ses coups en rafale continue. Maintenant, Mary ne retenait plus ses cris. Les « aille » et les « ouille » se succédaient d’une voix de plus en plus aigue. Ce qui ne semblait pas inciter son mari à ralentir le rythme ni la force des coups, bien au contraire. La fessée devenait presque frénétique. Le derrière n’était plus seulement rouge, il était véritablement cramoisi. Et les cris de Mary devinrent une sorte de lamentation continue, monocorde, déchirante. Et soudain, le crépitement cessa, et il n’y eu plus que la plainte que Mary continuait à exhaler d’une voix cassée par les pleurs. Elle resta encore un moment allongée au travers des cuisses de son homme, la tête toujours posée sur ses bras, le corps agités de soubresauts au rythme de ses sanglots. Peu à peu, ses gémissements se turent, et sa respiration reprit de manière plus régulière. Son corps semblait se détendre, ses jambes cessèrent leur danse échevelée. Ed relâcha son étreinte, et, lentement, Mary posa les pieds par terre et se releva. On entendait qu’elle reniflait encore et que des sanglots remontaient encore dans sa gorge. Elle me tournait toujours le dos, et son derrière était resté d’une telle rougeur que j’avais presque l’impression de pouvoir en sentir la chaleur. C’est alors seulement que je compris qu’Ed avait coincé la jupe de Mary dans sa ceinture de manière à ce qu’elle ne retombe pas, laissant ainsi à l’air son derrière meurtri. Je l’entendis alors demander d’une petite voix encore étranglée :
                « May I sir ? »
Et quand il eu répondu :
                « Yes, you can rub your ass, darling. »
Elle se mit à se frotter doucement les fesses avec la paume des mains, après avoir ajouté :
                « Thanck you, sir »

                                « Seulement pour toi et nous »
Il lui indiqua alors d’un geste de la main qu’elle pouvait faire retomber sa jupe, et elle le fit, tout en continuant à se caresser doucement les fesses. Elle se retourna alors vers moi et dit, dans un français que son état d’émotion rendait approximatif :
                « S’il vous plait, tu laisse cela seulement pour toi et nous. »
Et avant même que je ne lui réponde, comme si elle ne doutait pas de ma discrétion, elle s’efforça de sourire puis de dire, sur un ton presque enjoué :
                « Merci, Hélène. Je pense que maintenant tu sais tellement plus sur nous, tu seras aussi plus amie, je pense. »
Sur un haussement de sourcils interrogateur de son mari, elle lui traduit ces derniers mots, et il acquiesça :
                « I am sure, and I'm also that Helen realized that there was no shame”
Je n’avais pas compris tous les mots, je ne connaissais en particulier pas le dernier, mais je répondit cependant :
                “Of course, sir”
J’avais, sans m’en rendre vraiment compte, utiliser naturellement le même mot respectueux que Mary. Mais je compris que, lui, l’avait remarqué quand il dit à l’intention de son épouse :
                “You see, Mary, Helen understood our practices”

                               Hélène pourrait - être anglaise”
Puis il prononça plusieurs phrases trop vite pour que je les comprenne, et Mary m’expliqua:
                « Ed dit qu’il est sur de devoir avoir confiance en toi, et que tu as compris ce que nous t’avons laissé voir. Et … et il a dit aussi que peut-être tu as découvert que tu pourrais être anglaise »
Je ne jugeais pas nécessaire de répondre autrement que par un rire probablement un peu stupide, ne sachant pas trop, ou ne voulant pas savoir ce qu’il entendait par là.. Heureusement, Ed mit fin à ce moment de gêne en se levant et en disant avec entrain :
                « Now we can « boire un coup », is not it ? »
Et il nous versa à boire et m’invita à trinquer, et nous avons tous les trois choqués nos verres alors qu’il ajoutait :
                « A la santé de l’amitié et des traditions ! »

                               After.
Et, durant le reste du repas, il ne fut plus question des moments que nous venions de vivre. La conversation roula sur bien d’autres  sujets, Mary continuant à jouer les interprètes quand cela devenait nécessaire. Le repas terminé, il était déjà presque vingt trois heures, j’ai souhaité la bonne nuit à mes amis avant que chacun se retire dans sa chambre. Quand elle m’a fait la bise, Mary m’a murmuré un otut petit « merci », en français, à l’oreille. Je  n’ai pas compris la raison de ce remerciement, mais je  n’ai pas jugé adéquat de le demander. Quant à Ed, j’ai eu furtivement l’impression qu’à un moment sa main a frôlé mes fesses  peut-être un peu plus que de raison, mais peut-être était-ce une idée de ma part, et en tous cas cela était assez discret pour que je puisse faire comme si je ne m’en n’étais pas aperçu.  Ma chambre était au rez de chaussée, celle du couple au premier étage. Rien ne me permettait, bien sûr, de savoir comment mes hôtes finiraient la soirée. Pourtant, le soir même, j’étais persuadée que leur fin de soirée serait sensuelle. Non qu’ils aient eu le moindre geste équivoque durant le repas. Ed s’y était montré un maître de maison charmant, et même un mari attentif n’hésitant pas à mettre la main à la pâte pour aider sa femme au service. Mais il n’avait pas eu un geste tendre ni le moindre bisou à son intention. Mais il m’avait semblé que son regard était brillant et plein d’amour pour elle. Et surtout, il m’avait semblé qu’il en était de même pour elle envers lui. La séance claquante devait pourtant encore lui cuire, puisqu’à plusieurs reprises elle réprima une grimace de douleur en se rasseyant. Il lui est même arrivé, une fois, de me faire une sorte de demi clin d’œil avec un sourire qui me confirma dans l’idée que son fondement devait encore être douloureux. Mais, si elle s’était montrée obéissante quand il s’était s’agit de se mettre, selon l’expression de son mari « en tenue et en position » elle n’a en rien joué à la femme soumise durant le repas.  Aussitôt la fessée terminée, elle était redevenue la femme active, moderne, et même libérée que je connaissais auparavant. Et, à la réflexion, l’absence de culotte ne paraissait pas la gêner en quoi que se soit. 
Quand je me suis retrouvée seule dans ma chambre, comme j’ai l’habitude de le faire en rentrant à la maison, avant de me déshabiller et de passer à la salle de bain, j’ai d’abord retiré ma culotte. Et, machinalement, là aussi comme je le fais toujours sans même y penser, je n’ai porté à mon nez pour en renifler l’odeur. Si jusque là j’avais pu ne pas me l’avouer franchement, sa fragrance chaude et épicée, et surtout son état d’humidité ne pouvaient être niés. Mon slip était bel et bien trempé. Une large tâche plus foncée était bien visible sur le devant, et le pont était véritablement gluant de mouille. Je ne pouvais refuser la vérité, alors que cet homme que je connaissais à peine avait claqué les fesses de mon amie jusqu’à les faire rougir et à la faire crier et pleurer, mon sexe s’était bel et bien mis à ruisseler. Voir Mary recevoir la fessée m’avait fait mouiller !

                               Sans culotte
C’est à cet instant que je me suis souvenu qu’après avoir reçue sa cuisante fessée et s’être doucement frotté les fesses, je suppose pour tenter d’atténuer la cuisson, Mary n’avait pas remis sa culotte. Elle était restée sur la table basse où nous avions pris l’apéritif. Ainsi elle avait donc passé le reste de la soirée, servi à table et fait la cuisine le derrière rouge et u sous sa jupe. L’idée que ma nouvelle copine pouvait ainsi être sans slip sans que cela ne semble la gêner en quoi que se soit ma fait sourire. Ainsi cette femme partageait peut-être mon habitude. Je me suis en effet demandé si c’était seulement les jours om elle avait reçu la fessée qu’elle restait ainsi ou si, comme c’est mon cas, elle était coutumière du fait. En effet, quand je suis chez moi, je ne porte presque jamais de slip. Le matin, ce n’est que juste au moment de sortir que j’enfile ma culotte. Et le soir, à peine entrée dans le hall de mon appartement, souvent avant même de retirer mon imperméable, j’enlève ma culotte. Il m’est d’ailleurs arrivé assez souvent de la déposer sur la petite table qui est dans l’entrée, et d’oublier de la reprendre ensuite pour la mettre dans le panier de linge sale. Cela fait souvent rire mon mari quand il rentre après moi et qu’il trouve mon slip ainsi abandonné. A l’inverse, il m’est aussi arrivé quelques fois d’oublier de passer une culotte avant de sortir, de m’en rendre compte quand j’étais déjà dans la rue, et de devoir remonter quatre à quatre pour en mettre une. Etait-ce l’effet de la coupe de champagne français qu’Ed avait voulu ouvrir à l’apéritif pis du bon vin qu’il m’avait servi peut-être un peu généreusement, ou bien celui des moments pour le moins exceptionnels que j’avais vécu avant le repas ? En tous cas, alors que je retirais ma robe et mon soutien gorge, mon esprit se mit à battre la campagne en me remémorant les circonstances où il m’était arrivé de passer des moments hors de chez moi sans slip. Mon mari aime particulièrement me demander, avec une certaine insistance, de m’e passer quand nous sortons au restaurant. Je me souvenais ainsi de cette soirée, déjà lointaine, que nous avions passée dans un charmant petit restaurant  sur un port de Normandie. Je ne sais plus comment il en était arrivé là, mais le fait est qu’entre le plat et le dessert, il m’avait convaincue de passer aux toilettes d’où j’étais ressortie avec la culotte, un charmant petit slip soyeux vert à pois blancs, dans mon sa à main. Quand j’avais rejoint notre table, je n’avais eu qu’à entrouvrir mon sac pour que mon mari constate que mon sous vêtement y étais visible. Il n’avait pas eu le temps de faire quelque commentaire que se soit, la serveuse arrivant au même moment pour prendre la commande des desserts. Je me mis à rire toute seule en me rappelant comment il avait bafouillé pour indiquer ce qu’il prendrait. Et surtout en revoyant comment il s’était montré pressant dans la voiture sur le chemin du retour à l’hôtel. Il n’avait pas eu la patience d’attendre que nous y soyons arrivés et avait fini par arrêter l’auto dans un petit chemin pour me peloter et constater du bout des doigts la nudité de mon entrejambes. Il faut croire que la situation m’avait aussi plus qu’émoustillée, puisque je m’étais enhardie jusqu’à ouvrir sa braguette pour prodiguer une fellation à un sexe dont la vigueur prouvait à quel point la disparition de ce petit morceau de tissus avait agit sur sa libido. Tandis que je m’étais allongée sur le lit, d’autres images me venaient en tête. Cette autre soirée, à Reims, lors de laquelle je n’avais pas eu à quitter la table pour me débarrasser de ma culotte, puisque je m’étais rendue au restaurant sans en avoir mise, et que je ne l’avais dit à mon mari qu’alors que nous étions déjà installés à table. Ou cette salle d’un restaurant donnant sur la mer en Bretagne et dans laquelle nous étions restés les derniers clients. Comme c’était déjà devenu presque un rituel lors de nos repas en amoureux, j’étais passé aux lavabos pour retirer ma culotte un peu plus tôt. Et à la fin du repas, alors que je m’étais levée de table pour aller regarder la mer au travers de la grande baie vitrée, mon mari m’avait brusquement soufflé : « montre-moi ! » Et, alors qu’un serveur pouvait à tout instant surgir dans la salle desserte,  j’avais, sans me retourner, relevé ma jupe au dessus de ma taille pour lui permettre de se régaler de la vue de mes fesses nues. Une autre fois, en plein hiver alors qu’l faisait un froid de loup,  fait la même chose dans une rue de Lille, alors que mon mari était quelques mètres derrière moi, et qu’il m’était bien sur impossible de savoir si un  habitant ne pouvait pas bénéficier du même spectacle.

                               Auto - fessée
Tandis que ces souvenirs me trottaient dans la tête, je m’étais allongée sur le lit et, presque inconsciemment, ma main avait commencée à se balader sur ma peau. Comme je le fais souvent, mon doigt s’est posé sur le bout du sein droit, puis s’est mis à tourner autour, tandis que ce têton durcissait et se dardait. Puis l’autre main a saisi l’autre sein à pleine paume, et je me suis mis à malaxer doucement ces deux masses douces et tièdes. Je les pressais l’un contre l’autre, comme deux fruits murs. Les mains descendirent ensuite sur les flancs, sur mon ventre, à l’intérieur des cuisses, retardant le moment où, enfin une main viendrait se poser en coque sur mon buisson frisé. Ma peau s’est mise frémir, à se couvrir de chair de poule. Mon index s’est mis à tourner doucement autour de mon petit bouton, avant de se glisser subrepticement entre les lèvres moelleuses. le pouce a ensuite remplacé l’index, pour permettre à celui-ci de s’introduire dans l’autre entrée, de manière à ce que l’une et l’autre soient investies en même temps, comme par une pince. Je sentais mon petit trou palpiter, signe avant coureur de l’approche de la jouissance. Alors je e suis retournée sur le ventre. Ainsi mes seins frottaient sur la couverture rêche du lit, ajoutant une nouvelle source de plaisir, puisque les deux doigts étaient bien sur restés en place,  poursuivant un double va-et-vient.  Mais avant que la vague du plaisir ne me submerge, je me suis brusquement mise à genoux, le haut du corps restant au contact du lit, dans la position que l’on adopte pour la levrette. Ma main droite restait crispée sur mon sexe et sur mon cul, et, de la main gauche, je me suis envoyée une grande claque sur la fesse. Le choc m’amena à m’empaler plus profondément, devant d’abord, puis derrière en retour. La fulgurance du plaisir fut telle que je la ressenti plus, bien plus, que la douleur de la gifle. Je pense que j’ai gémit de plaisir. Alors, bien sur, j’ai recommencé, me claquant moi-même le cul encore et encore. Je ne pense pas que j’avais alors en tête les images de la fessée reçue par Mary auparavant. En fait je pense que je n’avais plus rien d’autre en tête que la recherche effrénée de faire monter le plaisir. Un plaisir rude, presque brutal. A chaque nouveau coup sur mon cul, je me cabrais, je creusais les reins, et mon doigt défonçait ma chatte. Puis je reprenais la position initiale, et l’autre doigt défonçait mon petit trou. Je ne sais pas vraiment combien de claques je me suis ainsi infligé. Assez en tout cas pour que je ressente vraiment la cuisson de mes fesses. Et aussi assez pour que, après que je me sois écroulée, vaincue par  la déferlante de la jouissance, je puisse aller constater, les jambes flageolantes, que mon cul était vraiment rouge vif. J’en ai conçu une sorte de fierté, mais en même temps une sorte de jalousie en constatant immédiatement qu’il l’était beaucoup moins que celui de Mary. Et ce n’est qu’en faisant cette constatation, et donc en repensant au couple qui m’accueillait, que je me suis demandée avec effroi si le couple qui m’accueillait n’avait pas pu entendre …