En Angleterre.
L’année dernière, j’ai été appelée suivre un stage de deux semaines en
Angleterre pour harmoniser les pratiques commerciales des filières anglaises et
françaises. J’étais la seule stagiaire
issue de mon agence, et comme je suis par nature plutôt solitaire, je n’ai eu
que des rapports professionnels avec mes collègues français. Par contre, au
cours de divers échanges avec les équipes anglaises, je me suis rapprochée
d’une collègue d’une agence britannique avec qui j’ai plusieurs fois partagé le
repas de midi ou un café lors des pauses. Elle parlait assez bien le français
pour que nous arrivions à nous comprendre dans un sabir qui mélangeait souvent
les deux langues. J’étais logée dans un hôtel agréable mais où j’étais seule le
soir dés les réunions terminées, et à part une séance de cinéma et une
promenade dans une ville sans beaucoup de charme, je passais mes soirées seule
devant la télé. Mary, ma collègue anglaise, a insisté pour que je passe le
week-end chez elle, en affirmant que cela lui permettrait de pratiquer le
français. Comme elle a vraiment insisté, j’ai fini par accepter, et j’ai donc
fait la connaissance de son mari, un homme d’une cinquantaine d’année, d’un
aspect « so britich » avec ses cheveux blonds roux et sa moustache de
même couleur. Lui ne parlait que très peu le français, et Mary devait souvent
faire l’interprète pour lui traduire nos conversations.
« Education anglaise » ?
Pour m’être agréable, Mary a branché son ordinateur sur la
télévision française, et nous avons regardé ensemble les informations. Mary m’a
taquiné à propos du débat qui enflammait alors l’actualité sur la possible
interdiction de la fessée en France. En riant moi aussi de cette polémique un
peu ridicule j’ai lancé :
« Je
comprends que cela fasse rire les anglais, vous qui êtes tellement attachés aux
traditions de « l’éducation anglaise » »
Mary ne connaissais pas cette expression, et je lui ai donc
expliqué qu’à nos yeux de continentaux, les anglais étaient restés fidèles aux
châtiments corporels dans les écoles. Elle m’a démenti, en affirmant que
c’était bien là un exemple des préjugés des « mangeurs de
grenouilles ». Comme son mari, Ed, lui demandait ce qui nous faisait rire
ainsi elle lui a expliqué et il a répondu en souriant :
« In
isn't England, the smacking for the children but for the wives, is not this
step Mary? »
Comme je n’avais pas compris sa phrase je me suis tournée
vers Mary pour qu’elle traduise, mais elle a haussé les épaules en disant avec
une expression un peu exaspérée :
« Ed
dit des bêtises »
Et comme j’insistais pour ne pas avoir l’air de ne pas
m’intéresser à ce que son mari voulait dire, celui-ci a repris en ponctuant ses
mots d’un geste presque impératif du doigt :
« Translate, Mary, if not I flank
you immediately a smacking ! »
Cette fois, j’avais bien entendu compris la première partie
de la phrase, mais je demandais quand même à Mary :
« What
is smacking ? »
Mary semblait mal à l’aise, mais comme son mari l’invitait à
répondre, elle finit par bredouiller :
« Smacking,
ou spanking, en français je pense que vous dite « fessée »
non ? »
Je confirmais et c’est en m’adressant directement à Ed que
je demandais, en me souvenant de sa première réponse :
« And
is not for the childrens ? » en ajoutant en français :
« finalement c’est peut-être vous qui allez nous pousser à abandonner
cette pratique barbare »
Je ne pense pas qu’Ed ait compris ma réponse, mais il répéta
en souriant jusqu’aux oreilles :
« English
reserves that with their wives »
Une nouvelle fois, il me fallu interroger Mary, n’ayant pas
compris le dernier mot. Et Mary, après avoir bougonné entre ses dents à
l’intention de son mari, finit par bredouiller :
« Wives,
c’est les femmes mariées, les épouses comme vous dîtes je pense, voilà !
Tu vois qu’Ed dit des bêtises. »
Traditions familialles
Nous aurions du en rester là et
passer à un autre sujet de conversation, mais alors que Mary s’était absentée
pour aller chercher à boire, c’est son mari qui c’est de nouveau adressé à moi,
en faisant un effort pour que je comprenne ce qu’il voulait dire :
« Hélène,
if you wan to know england, you must know our « traditions
familialles »
Il semblait très fier d’avoir dit
les deux derniers mos en français. Je
l’en félicitais, et, assez étourdiment, je lui demandais :
« What
tradition you talking about ? »
Et sans se démonter, juste au
moment où Mary revenait avec son plateau et ses verres de whisky, il
s’écria :
« But
about the spanking fo the britain wives, of course ! »
In uniform and in position
Cette fois, je ne pouvais même pas
faire semblant de ne pas avoir compris. Mary s’était arrêtée au milieu du
salon, avec son plateau dans les mains. Elle m’a regardé, puis s’est tournée
vers son mari
« Ed !
how you can … ! say such things in a … »
Mais son mari ne l’a pas laissé finir
sa phrase. D’une voix presque devenue métallique il lança :
« Enough
Mary prepares you, butt naked, immediately ! Hélène will see whether
I say sily things !»
Ce n’est que bien plus tard que je
me souviendrais qu’en prononçant ces mots, Ed prouvait qu’il comprenait mieux
le français qu’il ne voulait le laisser paraître. Je ne sais pas si Mary s’en
ai rendu compte. En tout cas, précisément à partir de cet instant, la soirée
bascula brusquement dans un autre monde. Mary resta quelques instants immobile,
et devenue brusquement très pâle. Son
mari lança une autre phrase très brève, sur le même ton impératif :
« I
wait for you, Mary ! you know that the wait will be paid by your ass!”
Le corps de de Mary me sembla
comme traversé par une décharge électrique, mais elle resta immobile et murmura
d’une voix étranglée :
« I’m
ready, sir. »
« In
uniform and in position, girl ! »
Déculottée
J’étais assise sur un fauteuil en
face de celui d’Ed, et Mary me tournait donc le dos. Sans prononcer un mot et
sans se retourner vers moi, elle passa les mains sous sa jupe, elle y
farfouilla un bref instant et je me rendis alors compte qu’elle était entrain
de baisser sa culotte. Elle la fit descendre le long de ses jambes. Puis elle se
baissa et tout simplement elle la retira et, presque tranquillement, elle la
déposa sur la table basse. Elle se rapprocha encore du fauteuil de son mari et,
sur un geste bref de celui-ci, elle s’allongea sur ses genoux, le haut du corps
reposant sur l’accoudoir et les jambes ne touchant plus le sol. Le silence
était toujours aussi pesant, ni elle ni lui ne tournaient le regard vers moi,
et je ne pouvais plus ignorer ce qui allait se passer sous mes yeux. Pourtant,
Ed cru nécessaire de le préciser en affirmant :
« Okay, that's a good English wife who will
take his bare ass spanking as appropriate”
Ce n’était pas une question, et
rien n’indiquait que ces mots s’adressaient à moi. Pourtant, mais je ne me fis
cette réflexion que plus tard, il ne semble pas qu’il ait été nécessaire de les
adresser à Mary qui ne pouvait ignorer ce qui allait suivre. Ce n’est aussi que
plus tard que je me suis demandé ce que j’aurais du faire. Aurais-je du
m’indigner ? Protester ? Mais de quel droit ? Une femme adulte,
responsable, que je fréquentais depuis quelques jours et dont je ne pouvais
ignorer les qualités et les compétences, venait tout simplement de se
déculotter devant moi sur les ordres de son mari. Celui-ci venait d’annoncer
tout simplement son intention de la fesser, et elle semblait y consentir, certainement
pas sans angoisse, sa pâleur en était la preuve, mais en tout cas sans qu’il
l’y ait vraiment contrainte autrement que par le ton sans réplique de sa voix.
De quel droit me serai-je autorisée à m’interposer ? Peut-être, en effet,
aurais-je pu quitter les lieux.
Considérer que je n’avais pas à assister à ces instants d’intimité. Mais d’une
part il était évident qu’Ed avait pris sa décision non seulement malgré ma
présence mais peut être même à cause d’elle. Sa réflexion à propos des
« traditions familiales » le prouvait à l’évidence. Et surtout
j’étais dans un tel état d’effarement que je dois dire que l’idée de me lever
et de partir ne m’est même pas venue. Je suis restée là, immobile, silencieuse,
figée, alors que cette femme adulte, responsable, respectable, dont j’avais pu
mesurer à l’occasion de débats lors de notre séminaire la capacité à argumenter
et même à s’imposer, était entrain de prendre la position classique d’un enfant
qui va recevoir une fessée.
Troussée
Et, toujours sans un regard vers moi,
calmement, le visage serein et presque concentré comme s’il se préparait à une
tâche qui impose qu’on s’y consacre tout entier, Ed remonta légèrement les
manches de son pull, se frotta un court instant les mains l’une contre l’autre,
puis, comme s’il ouvrait un paquet cadeau, il saisi le bas de la jupe de son
épouse et la releva lentement, faisant ainsi apparaître le derrière nu. Sans
qu’il ait eu besoin de le lui demander, Mary souleva légèrement le bassin pour
faciliter le troussage. Le visage de son mari sembla s’illuminer en découvrant
les fesses rondes qu’il venait de découvrir. Il eut pour elles un regard que je
ne peux que qualifier d’admiration. Il est vrai qu’elles le méritaient. Si Mary
s’habillait d’une manière plutôt stricte et élégante, elle n’en était pas moins
une belle femme. Elle avait la peau claire, avec de minuscules tâches de
rousseur autour du nez, et des cheveux moins filasse que ceux de son mari.
J’avais bien sûr remarqué qu’elle était plus ronde que moi, avec une poitrine qui
gonflait ses corsages, et même si elle ne se permettait bien sûr pas des
décolletés extravagants pour aller au travail, il lui était arrivé, quand elle
se penchait sur la table où nous travaillions ensemble, de laisser voir la
naissance d’une vallée qui, visiblement, attirait les regards des hommes.
Pourtant j’ai été presque étonnée de découvrir l’ampleur de ses fesses.
Immédiatement, et malgré les circonstances pour le moins singulières, je les ai trouvé vraiment
splendides. A en être jalouse. Rondes, charnues, rebondies, et la peau d’une
blancheur presque diaphane. Je ne pouvais que comprendre le regard admiratif de
son mari pour ce derrière vraiment resplendissant.
Fessée
Mary bougea légèrement, comme si
elle cherchait la position la moins inconfortable, et elle posa la tête sur ses
bras repliés. Son mari posa la main gauche au creux de ses reins, puis, presque
au ralenti, leva la main droite, à hauteur de son épaule, et la laissa retomber
sur la fesse droite de son épouse. Je pense que j’ai plus sursauté que Mary
dont seules les fesses se sont crispées sans que le reste de son corps ne
bouge. Mais pour ma part j’ai été vraiment surprise par le bruit de cette
première claque.. Et je sais que, machinalement, mes muscles se sont raidis,
comme si j’avais moi-même ressenti dans ma chair cette frappe. Ed ne se hâtait
pas, il semblait au contraire prendre son temps avant de laisser retomber sa
main, du même mouvement ample, sur l’autre fesse. Nouveau claquement, nouveau
sursaut à peine perceptible du corps de Mary, nouvelle sensation de percevoir
moi-aussi l’impact de la claque. Et les
suivantes se sont succédé, alternativement sur une fesse puis sur l’autre.
Régulièrement. Presque mécaniquement. Il semblait frapper comme un métronome.
Pourtant, imperceptiblement, le rythme a du s’accélérer, puisqu’après quelques
dizaines de claques, les claquements ont semblé se recouvrir les uns les
autres ; Comme si l’écho dans la pièce d’une frappe n’avait pas fini
d’emplir la pièce avant que la suivante ne s’abatte. En même temps, très vite,
la peau blanche s’était mise à rosir, puis à franchement rougir. Le derrière de
Mary était maintenant marqué au sommet par une sorte de rond rouge vif, qui
tranchait avec le reste des fesses resté blanc. Au moment même où je remarquais
cette coloration, et comme si, lui aussi, il avait trouvé là une lacune a
combler d’urgence, Ed se mit à élargir la surface de peau que sa main
fustigeait. Les claques tombaient maintenant sur toute la surface, large,
exposée au regard et aux coups de l’homme. Visiblement, celui-ci s’appliquait
comme s’il lui importait qu’aucune parcelle du derrière qu’il frappait
n’échappe à sa main. Comme s’il lui importait que la coloration cramoisie soit
régulière. Et en effet, le postérieur de Mary était devenu une sorte de lune
rouge, presque luminescente. Et pour parfaire le travail, Ed se mit à
distribuer quelques claques sur le dessous des fesses, à la limite des cuisses.
Pour ce faire, il frappait en quelque sorte de bas en haut, amenant ainsi les
fesses à trembloter, à sursauter, à palpiter. Jusque là, il avait frappé une
boule ronde et ferme. Maintenant les fesses semblaient danser, mues d’un
mouvement désordonné et incontrôlable. Au hasard de ces mouvements erratiques,
et sans bien sûr que je ne puisse savoir si Mary en avait conscience, celle-ci
dévoilait son intimité avec une totale impudeur. Les jambes, au départ serrées
l’une contre l’autre, s’étaient légèrement écartées, et avaient commencé à
gigoter, ce qui laissait voir par instant un abricot rose et charnu, et même,
furtivement, la raie des fesses s’élargissant sous les coups, le petit trou
fripé. Même si j’en ai eu honte en y repensant par la suite, il me semble bien
que c’est à ce moment là que j’ai senti que mes pointes de seins étaient
devenues dures et qu’une crispation naissait au creux de mon bas ventre. Je
sais qu’à mesure que celles de Mary s’écartaient, je serrais les miennes l’une
contre l’autre. Et je n’ai pas pu ne pas me rendre compte que j’étais entrain
de mouiller ma petite culotte. Peut-être devrai-je en être honteuse, mais je ne
peux le nier, en voyant cette femme avec qui j’avais noué de vrais liens
d’amitié, qui m’accueillait chez elle avec tant de gentillesse, se faire tanner
la peau des fesses, en la voyant de plus en plus se raidir sous les coups, et
en entendant ses premières plaintes, mon sexe s’humidifiait et l’excitation
montait à en devenir douloureuse.
Cris et pleurs
Alors que Mary se mettait ainsi à
gigoter et à agiter les jambes de plus en plus convulsivement, elle commença
aussi à geindre, d’abord d’une voix étranglée, comme si elle essayait de
contenir ses soupirs et ses plaintes. Ce furent d’abord des
« humpf ! » étouffés. En même temps elle commença à relever la
tête, un peu comme un cheval qui se cabre. Ed assura plus solidement sa prise
en entourant la taille de sa femme du bras gauche, et accéléra encore le rythme
de ses coups. Ceux-ci cessèrent d’être détachés les uns des autres pour se
transformer rapidement en une sorte d’averse continue. Les claques crépitaient
maintenant en un roulement ininterrompu. La main ne se soulevait plus, mais
précipitait ses coups en rafale continue. Maintenant, Mary ne retenait plus ses
cris. Les « aille » et les « ouille » se succédaient d’une
voix de plus en plus aigue. Ce qui ne semblait pas inciter son mari à ralentir
le rythme ni la force des coups, bien au contraire. La fessée devenait presque
frénétique. Le derrière n’était plus seulement rouge, il était véritablement
cramoisi. Et les cris de Mary devinrent une sorte de lamentation continue,
monocorde, déchirante. Et soudain, le crépitement cessa, et il n’y eu plus que
la plainte que Mary continuait à exhaler d’une voix cassée par les pleurs. Elle
resta encore un moment allongée au travers des cuisses de son homme, la tête
toujours posée sur ses bras, le corps agités de soubresauts au rythme de ses
sanglots. Peu à peu, ses gémissements se turent, et sa respiration reprit de
manière plus régulière. Son corps semblait se détendre, ses jambes cessèrent
leur danse échevelée. Ed relâcha son étreinte, et, lentement, Mary posa les
pieds par terre et se releva. On entendait qu’elle reniflait encore et que des
sanglots remontaient encore dans sa gorge. Elle me tournait toujours le dos, et
son derrière était resté d’une telle rougeur que j’avais presque l’impression
de pouvoir en sentir la chaleur. C’est alors seulement que je compris qu’Ed
avait coincé la jupe de Mary dans sa ceinture de manière à ce qu’elle ne
retombe pas, laissant ainsi à l’air son derrière meurtri. Je l’entendis alors demander
d’une petite voix encore étranglée :
« May
I sir ? »
Et quand il eu répondu :
« Yes,
you can rub your ass, darling. »
Elle se mit à se frotter doucement
les fesses avec la paume des mains, après avoir ajouté :
« Thanck
you, sir »
« Seulement
pour toi et nous »
Il lui indiqua alors d’un geste de
la main qu’elle pouvait faire retomber sa jupe, et elle le fit, tout en
continuant à se caresser doucement les fesses. Elle se retourna alors vers moi
et dit, dans un français que son état d’émotion rendait approximatif :
« S’il
vous plait, tu laisse cela seulement pour toi et nous. »
Et avant même que je ne lui
réponde, comme si elle ne doutait pas de ma discrétion, elle s’efforça de
sourire puis de dire, sur un ton presque enjoué :
« Merci,
Hélène. Je pense que maintenant tu sais tellement plus sur nous, tu seras aussi
plus amie, je pense. »
Sur un haussement de sourcils
interrogateur de son mari, elle lui traduit ces derniers mots, et il
acquiesça :
« I am sure, and I'm also that Helen realized
that there was no shame”
Je n’avais pas compris tous les mots, je ne
connaissais en particulier pas le dernier, mais je répondit cependant :
“Of
course, sir”
J’avais, sans m’en rendre vraiment compte,
utiliser naturellement le même mot respectueux que Mary. Mais je compris que,
lui, l’avait remarqué quand il dit à l’intention de son épouse :
“You
see, Mary,
Helen understood our practices”
“Hélène pourrait - être anglaise”
Puis il prononça plusieurs phrases trop
vite pour que je les comprenne, et Mary m’expliqua:
« Ed dit qu’il est sur de
devoir avoir confiance en toi, et que tu as compris ce que nous t’avons laissé
voir. Et … et il a dit aussi que peut-être tu as découvert que tu pourrais être
anglaise »
Je ne jugeais pas
nécessaire de répondre autrement que par un rire probablement un peu stupide,
ne sachant pas trop, ou ne voulant pas savoir ce qu’il entendait par là..
Heureusement, Ed mit fin à ce moment de gêne en se levant et en disant avec
entrain :
« Now we can « boire
un coup », is not it ? »
Et il nous versa à
boire et m’invita à trinquer, et nous avons tous les trois choqués nos verres
alors qu’il ajoutait :
« A
la santé de l’amitié et des traditions ! »
After.
Et, durant le reste du repas, il
ne fut plus question des moments que nous venions de vivre. La conversation
roula sur bien d’autres sujets, Mary
continuant à jouer les interprètes quand cela devenait nécessaire. Le repas
terminé, il était déjà presque vingt trois heures, j’ai souhaité la bonne nuit
à mes amis avant que chacun se retire dans sa chambre. Quand elle m’a fait la
bise, Mary m’a murmuré un otut petit « merci », en français, à
l’oreille. Je n’ai pas compris la raison
de ce remerciement, mais je n’ai pas
jugé adéquat de le demander. Quant à Ed, j’ai eu furtivement l’impression qu’à
un moment sa main a frôlé mes fesses
peut-être un peu plus que de raison, mais peut-être était-ce une idée de
ma part, et en tous cas cela était assez discret pour que je puisse faire comme
si je ne m’en n’étais pas aperçu. Ma
chambre était au rez de chaussée, celle du couple au premier étage. Rien ne me
permettait, bien sûr, de savoir comment mes hôtes finiraient la soirée.
Pourtant, le soir même, j’étais persuadée que leur fin de soirée serait
sensuelle. Non qu’ils aient eu le moindre geste équivoque durant le repas. Ed
s’y était montré un maître de maison charmant, et même un mari attentif
n’hésitant pas à mettre la main à la pâte pour aider sa femme au service. Mais
il n’avait pas eu un geste tendre ni le moindre bisou à son intention. Mais il m’avait
semblé que son regard était brillant et plein d’amour pour elle. Et surtout, il
m’avait semblé qu’il en était de même pour elle envers lui. La séance claquante
devait pourtant encore lui cuire, puisqu’à plusieurs reprises elle réprima une
grimace de douleur en se rasseyant. Il lui est même arrivé, une fois, de me
faire une sorte de demi clin d’œil avec un sourire qui me confirma dans l’idée
que son fondement devait encore être douloureux. Mais, si elle s’était montrée obéissante
quand il s’était s’agit de se mettre, selon l’expression de son mari « en
tenue et en position » elle n’a en rien joué à la femme soumise durant le
repas. Aussitôt la fessée terminée, elle
était redevenue la femme active, moderne, et même libérée que je connaissais
auparavant. Et, à la réflexion, l’absence de culotte ne paraissait pas la gêner
en quoi que se soit.
Quand je me suis retrouvée seule
dans ma chambre, comme j’ai l’habitude de le faire en rentrant à la maison,
avant de me déshabiller et de passer à la salle de bain, j’ai d’abord retiré ma
culotte. Et, machinalement, là aussi comme je le fais toujours sans même y
penser, je n’ai porté à mon nez pour en renifler l’odeur. Si jusque là j’avais
pu ne pas me l’avouer franchement, sa fragrance chaude et épicée, et surtout son
état d’humidité ne pouvaient être niés. Mon slip était bel et bien trempé. Une
large tâche plus foncée était bien visible sur le devant, et le pont était
véritablement gluant de mouille. Je ne pouvais refuser la vérité, alors que cet
homme que je connaissais à peine avait claqué les fesses de mon amie jusqu’à
les faire rougir et à la faire crier et pleurer, mon sexe s’était bel et bien
mis à ruisseler. Voir Mary recevoir la fessée m’avait fait mouiller !
Sans culotte
C’est à cet instant que je me suis
souvenu qu’après avoir reçue sa cuisante fessée et s’être doucement frotté les
fesses, je suppose pour tenter d’atténuer la cuisson, Mary n’avait pas remis sa
culotte. Elle était restée sur la table basse où nous avions pris l’apéritif.
Ainsi elle avait donc passé le reste de la soirée, servi à table et fait la
cuisine le derrière rouge et u sous sa jupe. L’idée que ma nouvelle copine
pouvait ainsi être sans slip sans que cela ne semble la gêner en quoi que se
soit ma fait sourire. Ainsi cette femme partageait peut-être mon habitude. Je
me suis en effet demandé si c’était seulement les jours om elle avait reçu la
fessée qu’elle restait ainsi ou si, comme c’est mon cas, elle était coutumière
du fait. En effet, quand je suis chez moi, je ne porte presque jamais de slip.
Le matin, ce n’est que juste au moment de sortir que j’enfile ma culotte. Et le
soir, à peine entrée dans le hall de mon appartement, souvent avant même de
retirer mon imperméable, j’enlève ma culotte. Il m’est d’ailleurs arrivé assez
souvent de la déposer sur la petite table qui est dans l’entrée, et d’oublier
de la reprendre ensuite pour la mettre dans le panier de linge sale. Cela fait
souvent rire mon mari quand il rentre après moi et qu’il trouve mon slip ainsi
abandonné. A l’inverse, il m’est aussi arrivé quelques fois d’oublier de passer
une culotte avant de sortir, de m’en rendre compte quand j’étais déjà dans la
rue, et de devoir remonter quatre à quatre pour en mettre une. Etait-ce l’effet
de la coupe de champagne français qu’Ed avait voulu ouvrir à l’apéritif pis du
bon vin qu’il m’avait servi peut-être un peu généreusement, ou bien celui des
moments pour le moins exceptionnels que j’avais vécu avant le repas ? En
tous cas, alors que je retirais ma robe et mon soutien gorge, mon esprit se mit
à battre la campagne en me remémorant les circonstances où il m’était arrivé de
passer des moments hors de chez moi sans slip. Mon mari aime particulièrement
me demander, avec une certaine insistance, de m’e passer quand nous sortons au
restaurant. Je me souvenais ainsi de cette soirée, déjà lointaine, que nous
avions passée dans un charmant petit restaurant sur un port de Normandie. Je ne sais plus
comment il en était arrivé là, mais le fait est qu’entre le plat et le dessert,
il m’avait convaincue de passer aux toilettes d’où j’étais ressortie avec la
culotte, un charmant petit slip soyeux vert à pois blancs, dans mon sa à main.
Quand j’avais rejoint notre table, je n’avais eu qu’à entrouvrir mon sac pour
que mon mari constate que mon sous vêtement y étais visible. Il n’avait pas eu
le temps de faire quelque commentaire que se soit, la serveuse arrivant au même
moment pour prendre la commande des desserts. Je me mis à rire toute seule en
me rappelant comment il avait bafouillé pour indiquer ce qu’il prendrait. Et
surtout en revoyant comment il s’était montré pressant dans la voiture sur le
chemin du retour à l’hôtel. Il n’avait pas eu la patience d’attendre que nous y
soyons arrivés et avait fini par arrêter l’auto dans un petit chemin pour me peloter
et constater du bout des doigts la nudité de mon entrejambes. Il faut croire
que la situation m’avait aussi plus qu’émoustillée, puisque je m’étais enhardie
jusqu’à ouvrir sa braguette pour prodiguer une fellation à un sexe dont la
vigueur prouvait à quel point la disparition de ce petit morceau de tissus
avait agit sur sa libido. Tandis que je m’étais allongée sur le lit, d’autres
images me venaient en tête. Cette autre soirée, à Reims, lors de laquelle je
n’avais pas eu à quitter la table pour me débarrasser de ma culotte, puisque je
m’étais rendue au restaurant sans en avoir mise, et que je ne l’avais dit à mon
mari qu’alors que nous étions déjà installés à table. Ou cette salle d’un
restaurant donnant sur la mer en Bretagne et dans laquelle nous étions restés
les derniers clients. Comme c’était déjà devenu presque un rituel lors de nos
repas en amoureux, j’étais passé aux lavabos pour retirer ma culotte un peu
plus tôt. Et à la fin du repas, alors que je m’étais levée de table pour aller
regarder la mer au travers de la grande baie vitrée, mon mari m’avait
brusquement soufflé : « montre-moi ! » Et, alors qu’un
serveur pouvait à tout instant surgir dans la salle desserte, j’avais, sans me retourner, relevé ma jupe au
dessus de ma taille pour lui permettre de se régaler de la vue de mes fesses
nues. Une autre fois, en plein hiver alors qu’l faisait un froid de loup, fait la même chose dans une rue de Lille,
alors que mon mari était quelques mètres derrière moi, et qu’il m’était bien
sur impossible de savoir si un habitant
ne pouvait pas bénéficier du même spectacle.
Auto - fessée
Tandis que ces souvenirs me
trottaient dans la tête, je m’étais allongée sur le lit et, presque
inconsciemment, ma main avait commencée à se balader sur ma peau. Comme je le
fais souvent, mon doigt s’est posé sur le bout du sein droit, puis s’est mis à
tourner autour, tandis que ce têton durcissait et se dardait. Puis l’autre main
a saisi l’autre sein à pleine paume, et je me suis mis à malaxer doucement ces
deux masses douces et tièdes. Je les pressais l’un contre l’autre, comme deux
fruits murs. Les mains descendirent ensuite sur les flancs, sur mon ventre, à
l’intérieur des cuisses, retardant le moment où, enfin une main viendrait se
poser en coque sur mon buisson frisé. Ma peau s’est mise frémir, à se couvrir
de chair de poule. Mon index s’est mis à tourner doucement autour de mon petit
bouton, avant de se glisser subrepticement entre les lèvres moelleuses. le
pouce a ensuite remplacé l’index, pour permettre à celui-ci de s’introduire
dans l’autre entrée, de manière à ce que l’une et l’autre soient investies en
même temps, comme par une pince. Je sentais mon petit trou palpiter, signe
avant coureur de l’approche de la jouissance. Alors je e suis retournée sur le
ventre. Ainsi mes seins frottaient sur la couverture rêche du lit, ajoutant une
nouvelle source de plaisir, puisque les deux doigts étaient bien sur restés en
place, poursuivant un double
va-et-vient. Mais avant que la vague du
plaisir ne me submerge, je me suis brusquement mise à genoux, le haut du corps
restant au contact du lit, dans la position que l’on adopte pour la levrette.
Ma main droite restait crispée sur mon sexe et sur mon cul, et, de la main
gauche, je me suis envoyée une grande claque sur la fesse. Le choc m’amena à
m’empaler plus profondément, devant d’abord, puis derrière en retour. La
fulgurance du plaisir fut telle que je la ressenti plus, bien plus, que la
douleur de la gifle. Je pense que j’ai gémit de plaisir. Alors, bien sur, j’ai
recommencé, me claquant moi-même le cul encore et encore. Je ne pense pas que
j’avais alors en tête les images de la fessée reçue par Mary auparavant. En
fait je pense que je n’avais plus rien d’autre en tête que la recherche
effrénée de faire monter le plaisir. Un plaisir rude, presque brutal. A chaque
nouveau coup sur mon cul, je me cabrais, je creusais les reins, et mon doigt
défonçait ma chatte. Puis je reprenais la position initiale, et l’autre doigt
défonçait mon petit trou. Je ne sais pas vraiment combien de claques je me suis
ainsi infligé. Assez en tout cas pour que je ressente vraiment la cuisson de
mes fesses. Et aussi assez pour que, après que je me sois écroulée, vaincue
par la déferlante de la jouissance, je
puisse aller constater, les jambes flageolantes, que mon cul était vraiment
rouge vif. J’en ai conçu une sorte de fierté, mais en même temps une sorte de
jalousie en constatant immédiatement qu’il l’était beaucoup moins que celui de
Mary. Et ce n’est qu’en faisant cette constatation, et donc en repensant au
couple qui m’accueillait, que je me suis demandée avec effroi si le couple qui
m’accueillait n’avait pas pu entendre …
Quel charmant récit ! Ca semble si évident l'éducation anglaise narrée ainsi ... merci
RépondreSupprimerj'espère qu'il y aura une suite, je dois avouer que moi aussi je suis trés troublée et toute mouillée aprés avoir lu ce récit. J'espère que cette petite stagiaire va être fessée par Ed à sa prochaine visite ou le lendemain matin
RépondreSupprimerMerci de vos commentaires. Je suis très fier de l'effet que ces mots ont sur vous, Martine. Et je prends bonne note de votre suggestion.
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