lundi 22 janvier 2018

Entretiens avec Lucie Cinquième partie

Entetiens avec Lucie
Cinquième partie

En complément des entretiens, Lucie nous a fait parvenir quelques témoignages écrits de ses découvertes. ….

Témoignages écrits

« Philippe »

Bonjour
Voici donc un chapitre que j’appellerai Philippe

Au temps du minitel ...

Pour fêter l’anniversaire de ma première fessée par Thomas, il y en a bien qui fête leur 1re rencontre, moi c’est celle de sa main avec mes fesses, nous voulions quelque chose de particulier. Sur le minitel 3614 fessées on annonçait une soirée sur Paris. Nous avons donc décidé d’y aller. Quelle déception, il y avait 80% d’hommes, du coup après avoir bu un verre nous sommes partis et là sur le trottoir nous discutions de ce que nous allions faire de notre soirée quand nous avons été abordés par un couple qui sortait aussi du même endroit aussi déçu que nous. Cette rencontre va changer toute la vision que nous avions de la fessée mais bien d’autres choses également.
- Excusez-nous mais vous êtes déçu aussi -
Oui, nous avions déjà assisté à ce genre de soirée mais là il aurait dû préciser que c’était uniquement pour des hommes.
- En plus nous venons de province -
Que diriez-vous de venir prendre un verre chez moi
- Après tout pourquoi pas, Thomas, ma femme Lucie
- Enchanté, Philippe, Chloé ma soumise

« Ma soumise »

Nous nous sommes regardé avec Thomas, c’était la première fois que l’on nous présentait quelqu’un comme une soumise et a vrai dire nous ne savions pas vraiment ce que cela voulait dire. Nous l’avons suivi jusqu’à Neuilly où il habite un hôtel particulier de 3 étages. À l'époque il avait une bonne quarantaine d’années, nous n’avons jamais su son âge, très chic, costume d’un grand couturier et elle fluette, 26 ans elle portait une minijupe super-courte et un bustier noir Il nous a proposé du champagne et la discussion a démarré sur le sujet qui nous intéresse. Nous leur avons expliqué nos petits jeux de fessée, l’achat du martinet, mon séjour en Angleterre. Nous avons ainsi discuté pendant une heure.
Je vois, évidemment nous avons dépassé ce stade, nous avons des jeux ou plutôt je devrais dire un mode de vie autour de la domination soumission mais ne vous affolez pas, Chloé n’est pas mon esclave, elle est libre de sortir, de découcher mais elle doit m’en informer à l’avance. Quand nous sommes ensemble, elle doit m’appeler Maître et m’obéir en tout point sous peine de punitions, n’est ce pas Chloé
- Oui Maître.
Cela me faisait tout drôle d’entendre cela, je ne me voyais pas vivre cela avec Thomas
- Quand nous nous sommes connus, Chloé en était au même point que vous mais cela ne veut pas dire que vous deviendrez comme elle est dès maintenant je peux vous dire sur le peu que je sais de vous que vous n’avez pas l’état d’esprit à devenir une soumise, je vous vois plus comme jouissant de jeux de soumission softs.
Chloé était là mais ne disait pas un mot
- Excusez-moi mais je suppose que si Chloé ne dit rien c’est qu’elle n’en a pas le droit ?
Il lui suffit de me demander si elle peut se joindre à la conversation et je ne m’y oppose jamais, Chloé…
- Oui Maître je serais très heureuse de pouvoir donner mon avis car je vois bien que Madame a du mal à comprendre ce que je vis
- Tu peux expliquer -
Merci Maître. J’ai rencontré Maître Philippe lors … D’un accident de voiture, je rentrais d’une fête un peu arrosée et à un feu j’ai freiné trop tard et j’ai percuté l’arrière de son véhicule, nous sommes descendus de voiture, il m’a lancé un regard noir, je me suis liquéfiée, j’ai commencé à m’excuser et je suis tombée dans ses bras suite au choc et du fait que j’avais un peu bu. Ma voiture avait le radiateur crevé, du coup il m’a proposé de me ramener chez moi et de venir chez lui faire le constat le lendemain ce que j’ai fait. Je lui ai dit que j’étais étudiante, il m’a regardé me demandant si j’avais des cours aujourd’hui, je lui ai dit que oui mais que je n’y étais pas allée. Il a pris un air très sévère; -
Et je lui ai demandé ce qu’elle faisait à 2 heures du matin dehors légèrement ivre alors qu’elle avait cours le lendemain et qu’en plus finalement elle les avait séchés
- Je ne lui ai pas répondu, lui par contre m’a demandé qui payait mes études et ma voiture, évidement je lui ai dit mes parents, j’ai eu le droit à un sermon qu’il a terminé par si j’étais à leurs place c’est une bonne fessée que je vous donnerais. J’ai éludé en lui disant que mes parents avaient beaucoup d’argent et que du moment que je leur disais que je suivais les cours…….Il a réfléchi
- Bien sur en plus vous mentez à vos parents dont vous parlez avec un air méprisant alors qu’ils vous payent tout mais c’est leur problème, par contre la voiture c’est la mienne alors moi je vais le faire.
- Je l’ai regardé ne comprenant pas ce qu’il voulait dire et je me suis retrouvée sur ses genoux, je me suis débattue, je l’ai insulté d’autant plus qu’il avait relevé ma jupe et baissé ma culotte et j'ai reçu la première fessée de ma vie mais croyez nous avons fait beaucoup de choses ensemble depuis mais celle-là elle est gravée au fond de ma mémoire. Quand il m’a lâchée, je l’ai insultée, il n’a rien dit, m’a mise sous son bras et a repris la fessée
- Lui disant que je n’arrêterais que quand elle s’excuserait ce qui n’a pas tardé. Dés que je l’ai lâchée, elle a pris son sac et est partie oubliant son constat.
- Je suis revenue le voir une semaine après car l’assurance me réclamait le constat. Nous avons discuté, il voulait savoir si j’avais repris mes cours, je lui ai dit que oui et là il m’a dit que ce que j’avais besoin c’est de quelqu’un qui l’aide aussi bien dans ses cours que dans la vie, il m’a donc proposé d’être cette personne et d’y réfléchir. Que je vivrais chez lui mais qu’il serait très strict avec moi. Je me doutais de ce que cela voulait dire mais d’un autre coté je ne me sentais pas capable de réussir toute seule. J’ai finalement accepté et me suis installée chez lui en tout bien tout honneur, j’avais ma chambre. Je pouvais circuler à ma guise, il avait une splendide bibliothèque et j’adore lire, le paradis. Un mois plus tard environ il m’a demandé de venir le voir dans son bureau, devant lui il avait deux livres que j’avais pris dans sa bibliothèque, un de la collection orties blanches, la petite dactylo, l’autre histoire d’O.
- Je lui ai demandé si c’étais pour un de ses cours, tu te souviens de ta réponse
- J’ai répondu que j’aimais bien ce genre de sujet et que vous m’aviez dis que votre bibliothèque était disponible pour mes cours. Je reconnais que sur le coté il y avait des livres avec une double porte et une clef sur celle-ci et comme il ne m’avait pas interdit d’en prendre…… J’ai baissé la tête, Monsieur je suis désolée et si vous estimez devoir me punir je le comprendrais.
- J’ai été très surpris de sa réaction et je lui ai dit que je devais réfléchir. Le soir après le repas, je lui ai dit qu’elle méritait effectivement une punition je n’avais pas encore décidé laquelle, j’ai vu son visage s’éclairer, un sourire. Je lui ai demander s’il elle avait une idée
- Peut être la même punition que l’autre fois
- Soit plus précise
- Une fessée monsieur
- Bien viens ici, Je lui ai donné sa fessée, elle s’est relevé, à remis sa culotte, laissé tombé sa jupe, s’est essuyé les yeux puis m’a prise dans ses bras en me disant que c’était la première fois qu’on s’occupait vraiment d‘elle et que si je l’en pensais digne elle voudrait essayer de ressembler à O. Il est évident que ce n’était pas si simple. Je lui ai dit que si elle avait sa licence nous ferions un test. Je ne sais pas si c’est cette perspective mais elle a eu sa licence après quoi j’ai testé sa capacité à être ma soumise. Je dois avouer que je m’étais attaché à elle et que finalement, elle l’est devenue et depuis 6 ans nous sommes ensemble.
- Effectivement je ne me vois pas vivre ainsi, devoir demander pour pouvoir parler, avoir cette contrainte.

Limites

- Oui mais vous m’avez dit que vous aimeriez connaître vos limites encore qu’on ne les connaît jamais et je pense que c’est une des raisons qui vont fait venir a cette soirée
- La raison principale était de fêter cet anniversaire, ensuite faire une nouvelle expérience.
- Vous devez donc être très déçue car finalement vous n’avez pas été fessée.
- Je suis sur que quand nous serons rentrées chez nous Thomas me fêtera mon anniversaire.
- Vous pensiez que ce serait Thomas ou une autre personne de la soirée qui vous fesserait
- Je n’avais pas de préférence.
- Pourquoi voulez vous attendre d’être rentrés, la soirée n’est pas terminée.
- Vous voulez dire…….
- Pourquoi pas
- Vous avez tout à fait raison, finalement ma chérie, tu vas l’avoir ta fessée, Monsieur nous sommes chez vous donc si vous voulez…..
- Ce sera avec plaisir et après cette fessée vous aurez le droit à un cadeau puisque c’est un anniversaire. Cette fessée étant une fessée d’anniversaire ne doit pas être une simple fessée mais une fessée dont on se souvient bien après. Vous m’avez raconté vos fessées en Angleterre et celles avec Thomas, j’en déduis et vous me direz si je me trompe. Vous devez aimez les fessées qui vous font honte, humiliantes et ce soir vous allez avoir les deux puisque fessée par une personne que vous ne connaissiez pas il y a quelques heures et devant une jeune femme de votre âge mais aussi. Néanmoins je vais vous donner un privilège que même Chloé n’a pas quand je lui donne une fessée. Vous le savez c’est le fesseur qui décide de la durée et de la force de la fessée mais je vais vous permettre d’employer si vous le désirez un mot code qui si vous le dites me fera arrêter immédiatement cette fessée, ce mot est ...
- Je vous remercie pour cette attention mais vous me faites un peu peur
- La peur fait partie de la fessée, levez vous (l’ordre avait claqué comme un coup de fouet). Enlevez votre jupe, votre culotte aussi
J’ai fait ce qu’il demandait. Il m’a prise par la taille et m’a fait asseoir sur la table et avant que je ne comprenne, il a pris mes deux chevilles, a relevé mes jambes, a demandé à Chloé de tenir la droite et à Thomas de tenir la gauche puis de les écarter.
- Nooooon !!! je vous en prie j’ai trop honte non

Honte

- J’espère bien, je vous avais dit que cette fessée serait exceptionnelle, je pense que c’est une première pour vous, que vous n’avez jamais été fessée comme cela. Je comprends votre honte, nous montrer votre fente grande ouverte, poisseuse
- Taisez-vous ! fessez moi mais ne dites plus rien (Une grande claque atterrie sur mes fesses) A partir de maintenant je vous demande de vous taire, si vous voulez dire un mot c’est rouge et rien d’autre, si vos avez compris faite un signe de la tête.
J'étais honteuse et très humiliée. Les claques commencèrent à tomber, il allait d'une fesse à l'autre, espaçant les claques ce qui était encore plus dur à supporter car on attend et on ne sait pas quand elle va tomber puis il accéléra et les claques furent bien plus fortes et surtout certaines tombaient soit à la jointure des fesses et du haut des cuisses soit sur le bord de ma fente. Mes fesses commençaient à chauffer, je sentais les larmes me venir mais j’essayais de ne pas le montrer.
- Maintenant vous êtes prête pour votre fessée d’anniversaire, là ce n’étais que la préparation, je vais vous donner 30 claques
La première tomba sur ma fesse droite puis sur la gauche, sur le haut des cuisses, a plat sur ma fente mais moins forte, je me mordais la lèvre pour ne pas crier. Thomas et Chloé avait du mal à tenir mes jambes en l’air, j’avais perdu toute pudeur, je sentais mon sexe s’ouvrir et se fermer. Il me demanda d’arrêter de gesticuler ou je recevrais 10 claques de plus, mais j’en étais incapable, je pleurais à chaudes larmes, de douleur et de honte d’être humiliée. Quand il arrêta, ils lâchèrent mes jambes, je suis restée prostrée ainsi 5 bonne minutes, mes fesses étaient en feu et mon sexe trempé. Je le voyais discuter avec Thomas. Ils revinrent vers moi.

Plus loin ?

- Thomas vient de me dire que vous souhaitiez aller un peu plus loin que la fessée, est ce vrai ?
- Oui mais ce soir mes fesses ne pourront pas en subir plus
- Ai-je parlé de vos fesses, acceptez vous de disons passer un petit test et après vous aurez votre récompense. Vous pouvez arrêter à tout moment.
- Oui mais j’espère que cela ne fait pas trop mal
- Non non ne vous inquiétez pas …
- Nooooon !!! non pas ça
- Chut ne vous inquiétez pas
- - IL avait une petite boite avec des pinces plates.

Pinces

- Regardez elles sont très spéciales, c’est moi qui les fabrique. Il y a de la mousse au milieu, voila je vous en mets une sur votre grande lèvre, alors avez-vous mal
- Non cela pince un peu mais pas trop. (Il en a mise une sur l’autre lèvre)
- Toujours supportable ?
- Oui
- Bien nous allons ouvrir ce chemisier et enlevez ceci, huuum !! vous avez de très jolis seins bien fermes, on en met une ici sur le téton droit
- Ouh !! ça pince plus mais c’est supportable
- Vous voyez, allez l’avant dernière sur le téton gauche et la dernière…..ici
- Ouille !!! là ça fait un peu mal (il l’avait mis sur mon clito)
- Levez vous doucement, voila. Toujours supportable ?
- Oui, c’est comment dire surprenant,
- suivez moi, marchez doucement.
Il a ouvert une porte, sa salle de jeu Je dois avouer que j’ai eu peur, il y avait une croix de saint andré, un établi, un genre de cheval d’arçon, des chaînes qui pendaient au plafond.

Salle de jeux

- Ne vous inquiétez pas Lucie, vous n’êtes pas prête pour cela. Venez
il a pris mes mains et les a mises dans des menottes en cuir puis a tiré sur une corde et mes bras se sont retrouvés au dessus de ma tête. Il a pris des petites chaines très fines et a relié les pinces entre elles
- N’ayez pas peur. Vous allez appréciez, regardez je ne vais pas vous faire de mal, c’est une plume de paon.
Il à passé la plume sur mon corps. Cela chatouillait énormément et évidement j’ai commencé à bouger, il avait relié une pince de mon sein droit à celle du clito, des que j’ai bougé, j’ai senti un élancement dans mon sexe et mon téton, c’était intenable mais dans le bon sens. Plus la plume me touchait surtout le dos et plus je bougeais et très rapidement j’ai eu un orgasme puis un deuxième.
- Vous voyez Lucie, je ne vous ai pas menti, je ne vous ai pas fait mal, Thomas voulais voir si vous pouviez jouez avec des pinces ou s’il pouvait s’occuper de vos tétons avec ses doigts, la réponse est oui, vous êtes très réceptive et vous avez pris du plaisir
- Oui je le reconnais, Vous m’aviez parlé d’une récompense c’était ça
- Non non, elle arrive mais je vais vous enlevez ces pinces et je vais vous demander de ne pas crier si vous le pouvez
J’ai serré les dents mais c’est vrai que cela fait plus mal quand on les enlève que quand on les met.
- Maintenant vous allez suivre Chloé, c’est encore un souhait de Thomas, mais ce n’est qu’un souhait donc si vous ne voulez pas vous direz non à Chloé. Elle va s’occuper de vous.

Salle de bain

Je l’ai suivi dans une salle de bain aussi grande que ma chambre, elle m’a fait prendre une douche puis a massé mes fesses avec une crème apaisante après quoi elle m’a dit ce que souhaitait Thomas. Que je me rase le pubis mais il n’osait pas me le demander. J’ai accepté, elle a commencé aux ciseaux puis au rasoir, elle m’a massé avec de la crème, m’a fait jouir avec ses doigts. Elle m’a conseillé si je voulais rester ainsi de passer le rasoir tous les jours en prenant ma douche ainsi cela ne gratte pas. Nous sommes retournées dans le salon et là Thomas m’a fait une minette d’enfer ce qu’il n’avait jamais voulut me faire car j’avais vraiment une toison très développée. Après quoi c’est Chloé qui s’est occupé de mon clito puis Philippe mais lui avec des baguettes de restaurant chinois. C’était, c’était…… extraordinaire. J’étais exténuée par tous ces orgasmes successifs. Après un passage dans la salle de bain, je me suis rhabillée, enfin sans la culotte car Thomas m’a annoncé que quand je recevrais une fessée, je n’aurais pas le droit de mettre de culotte et Chloé m’a conseillé de ne pas remettre le soutien gorge car mes tétons étaient sensibles. Nous sommes allés dans le salon pour boire un dernier verre sauf Thomas qui a préféré un café à cause de la route
- Alors Lucie contente de votre soirée d’anniversaire
- Oui tout à fait
- Mieux je pense que si nous étions restés à cette soirée
- Oui c’est sur en plus j’ai découvert des sensations que je n’imaginais pas possible. Je vous ai vu parlé avec Thomas et je suis sur que vous lui avais donné des conseils pour me punir.

Conseils

- Je lui ai juste donné des conseils pour que vous ayez encore plus de plaisir Je ne pense pas que vous pourriez devenir comme Chloé une soumise à temps plein mais oui j’ai conseillé à Thomas, c’est de ne pas hésiter à vous donner des ordres, de vous punir même assez sévèrement car si vous dites que vous ‘aimez pas cela vous le supportez très bien mais surtout pour que vous preniez du plaisir même pour une simple fessée il vous faut votre part de honte et d’humiliation car sinon c’est comme un tournedos Rossini sans fois gras il manque un ingrédient. Votre idée de la privation de culotte est une excellente idée, n’hésitez pas non plus à lui annoncer une punition mais qu’elle recevra plus tard, L’attente sera pour elle un grand plaisir. Je reçois un vendredi par mois à diner des amis, 4 couples dont nous, il peut se passer quelque chose ou....rien sinon un très agréable diner avec des discussions d’un très bon niveau, seriez vous intéressés,
- Oui pourquoi pas, n’est ce pas Thomas
- Oui cela me parait très intéressant.
Nous sommes retournés à notre voiture, je sentais le frottement de ma jupe et de mon chemisier sur mes fesses et mes, c’était à la foi douloureux mais aussi agréable.

j’ai oublié de faire pipi

- Mon amour il va falloir t’arrêter sur l’autoroute, j’ai oublié de faire pipi
- Tu te moques de moi, tu ne pouvais pas y aller chez Philippe
- Désolée
- Il n’en est pas question, je vais donc appliquer ce que viens de dire Philippe, tu fais ici avant de monter dans la voiture.
- Tu es fou ici dans la rue, mais si quelqu’un vient
- A 3 heures du matin, dépêche toi il n’y a personne, ou tu obéis ou je te fesse et là avec le bruit
Je ne sais pas s’il l’aurait fait mais j’ai relevé ma jupe et j’ai fait pipi devant lui dans le caniveau entre deux voitures, j’avais presque plus honte que pendant la fessée. Nous sommes rentrés à la maison, mais je n’ai rien vu de la route, j’ai dormi tout le temps, Arrivés, il m’a prise dans ses bras m’a monté dans la chambre m’a déshabillée et s’est couché à coté de moi.
Je voulais absolument vous raconter cette rencontre avec Philippe car après celle avec Henry et Mary et deux autres qui vont arrivées, elle m’ont permis de me réaliser sexuellement et Thomas reconnais qu’il n’aurait jamais eu le courage de me demander certaines choses ayant peur d’essuyer un refus.



Les confidences de ma mère

Souvenirs difficiles

La veille de mon mariage, le 11juillet 1982, j’étais chez mes parents, ma mère tenait à ce que je passe ma dernière nuit avant le mariage chez eux et sans Thomas. Nous avions fais les derniers achats et nous étions toutes les deux dans le salon sur le canapé. Je sentais que ma mère voulait me dire quelque chose mais n’osait pas.
- Maman, je t’écoute
- Quoi
- Tu veux me demander quelque chose alors vas y
- Voila j’ai entendu par hasard les enfants parler d’une fessée que Thomas t’aurait donnée
- Et…
- Comme ça et… c’est donc vrai Thomas te bat
- Oulla !!!! non il ne me bat pas. Je suis tout à fait consentante sur le principe. Quand je m’énerve, que je suis de mauvaise foi ou un peu capricieuse, tu me connais, plutôt que l’on se dispute il me donne une fessée et crois moi ça me calme c’est tout.
- C’est sur que par moment j’aurais du en faire autant quand tu étais gamine
- Pourquoi ne l’as-tu pas fais, une fois j’ai même cru que tu ne m’aimais pas quand la voisine a fessé sa fille et moi tu m’as envoyée réfléchir dans ma chambre
- La raison est j’ai vécu une expérience traumatisante quand j’étais jeune……. Je ne t’en ai jamais parlé mais voila. Ton grand père que tu n’as pas connu, il est mort en 1945 en Alsace. Il était dans l’armée, dans les spahis et je peux te dire qu’il menait sa famille comme ses hommes, à la baguette et pour nous c’était au sens propre. Il était en Afrique et rentrait tous les 6 à 8 moi, là cela faisait deux ans que nous ne l’avions pas vu, il avait rejoins la 1ère armée quand ils ont débarqué en Provence, nous habitions Avignon, il a pu venir nous voir rapidement, il n’est resté qu’une journée Pour ton oncle Edouard, c’était un inconnu car il n’avait que 3 ans. Dans l’après midi il nous a fait passé au rapport comme il disait. C’était son habitude à chacun de ses retour. Maman devait lui dire si nous avions bien travaillé à l’école et si nous avions été sages, si oui il nous donnait un cadeau souvent de l’argent sinon il nous punissait. Ce jour là tes oncles et tantes était passés avant moi puisque j’étais l’ainée. Ton oncle Robert et ta tante Adeline avait été punis. C’était mon tour, je suis entrée mais il fait revenir les sept autres ce qu’il ne faisait pas d’habitude. Il m’a reproché de ne pas être très bonne en classe mais aller au lycée et aider maman, c’était très compliqué. En plus ta tante Bernadette s’était plainte que j’étais méchante avec elle, il m’a prise par l’épaule m’a fait penchée sur la table, ta grand mère a relevé ma robe et baissé ma culotte et j’ai reçu 10 coups de cravache, j’en ai gardé les marques une semaine. Il m’a envoyée dans ma chambre quand je suis redescendue, il était parti et je ne l’ai jamais revu..
- Ma pauvre maman
- Tu sais pourquoi nous ne voyons pas ta tante, je ne lui ai jamais pardonnée. Voila pourquoi tu n’as jamais reçu de fessées ou de gifles et pourtant dieu sait que ton père et même monsieur le curé m’ont incité à te donner une bonne fessée car franchement tu nous en a fait baver, tu étais vraiment capricieuse.
- Je suis désolé, finalement tu aurais du écouté papa et…
- Pourquoi ta mère aurait du m’écouter
- Ho papa !! tu es rentré
- Oui j’en avais assez et il faut que je prenne des forces pour demain, il faut que je t’emmène à l’autel. Alors pourquoi ta mère aurait du m’écouter
- Je peux lui dire
- Oui, on peut lui dire il ne t’en voudra pas, en fait maman a entendu une discussion entre Cécile et Olivier qui disait que j’avais reçu une bonne fessée par Thomas
- Tu as reçu quoi ??
- Comme je l’expliquais à maman, quand je suis têtue, de mauvaise foi, enfin tu me connais, hé bien un jour Thomas en a eu assez, il m’a donné une fessée et pendant un temps j’étais beaucoup plus calme
- Tu vois maman j’avais raison, ton Thomas je l’aime bien, il a tout compris telle mère telle fille et finalement le même remède.

Par Papa

- Papa tu veux dire que…
- Oui je suis comme Thomas quand ta mère m’énerve cela se termine comme ça
J’étais stupéfaite, mon père donnait la fessée à ma mère, je n’en revenais pas
- Si je m’écoutais je…je…je te donnerais là maintenant une fessée pour toutes celles que je ne t’ai pas données et que tu méritais et tu en as mérité un paquet.
- Elle à 29 ans, un père ne donne pas une fessée à sa fille de 29 ans qui se marie le lendemain
- Thomas le fait bien et tu as quel âge toi hein
- Papa, tu as raison, je serais toujours ta petite fille alors c’est à toi de décider
- Bien si tu le prends comme cela, viens
Je me suis mise sur ses genoux
- Ne sois pas trop sévère
- Ma chérie une fessée c’est une fessée
Il m’a serrée contre lui, j’étais en short, la première claque tomba, puis la suivante, il claquait en tapant sur toute la surface de mes fesses. J’ai tout de suite compris qu’il voulait me donner une bonne fessée. Il se lâchait, j’avais finalement terriblement honte de me retrouver sur les genoux de mon père. Les claques tombaient régulièrement mais pas très fortes. On sonna à la porte, mon père s’arrêta. C’était Thomas qui m’apportait mes bas que j’avais oublié à la maison. Me voyant ainsi…
- Qu’est ce qui se passe
Ma mère lui expliqua, j’étais toujours dans la même position.
- Vous avez bien raison Robert, avec ce qu’elle vous a fait endurer. Mais je ne veux pas vous déranger
- Pas du tout, vous pouvez rester
Mon père repris sa fessée
- Vous savez Robert moi quand je la fesse c’est cul nu
- Ca me gène
- C’est votre fille, vous avez déjà du voir ses fesses, vous avez changé ses couches
- Après tout vous avez raison
- Non non je ne suis pas d’accord
- Mais ma chérie on ne te demande rien
Je le senti prendre l’élastique de mon short et de ma culotte et tout baisser. Une grêle de claques vigoureuses tombait maintenant sur mes fesses. je recevais une bonne, une brûlante fessée. Mes fesses se tortillaient, ondulaient, mes jambes battaient l’air, se croisaient, s’écartaient, se tendaient et cette main qui enserrait mes hanches. J’essayais de rester digne, mais je n’y arrivais pas
- Aiie….. ouille……. Nooon…… arretes…… …ahhhhh……. Nooooon…… Je……..t’ en ……prie……… arrrrretes …………
Mes fesses brûlaient, je sentais la chaleur irradier tout mon corps, Il me semblait qu’il n’arrêterait jamais cette fessée cuisante. Je sanglotais maintenant lançant mes jambes dans tous les sens, il avait du mal à me maintenir, les claques pleuvaient, tantôt, à gauche, puis à droite, puis au centre, sur le bas des fesses Je réagissais comme une petite fille. Puis le silence, je prenais quelques secondes pour constater que c’est fini. Je restais inerte allongée sur lui qui reprenait son souffle. Je me relevais anéantie, je serrais mes fesses. Que j’avais mal, c’était horrible, quelle punition ! ! ! ! ! Je me rendis compte à ce moment là que j’étais face à eux et qu’ils voyaient mon pubis entièrement épilé, j’ai mis mes mains devant mais ils avaient vu.
- J’ai demandé à Lucie de se raser le pubis car comme par moment elle se conduit comme une gamine comme cela elle en est une
Ma figure était aussi rouge que mes fesses.
- Tu t’en sors bien, si tu avais été à la maison, j’aurais sûrement pris le martinet
- Si voulez j’en ai un Thomas (Là c’est ma mère qui est devenue écarlate)
- Je pense que cela suffit en plus demain soir elle recevra sa première fessée de femme mariée, n’est pas ma chérie, tu vas pouvoir t’asseoir demain
- (j’ai remonté mon short et ma culotte) oui ne t’inquiète pas. Papa, maman, je m’excuse pour tout ce que je vous ai fais subir mais je suis bien contente maman que tu n’aie pas voulut me fesser ni papa quand j’étais plus jeune, ouille ! ouille ! ouille, je ne suis pas prés de l’oublier celle-là.
- Tu seras toujours notre petite fille
- Vous savez Robert, Paulette, vous aurez toujours le droit de la fesser si vous estimez cela nécessaire
- Mais ce ne sera pas nécessaire, allez va t’en rentre à la maison

Après la noce

Le lendemain il faisait un temps magnifique, nous nous sommes dit oui. J’ai modifié à l’église la petite phrase, je jure de t’aimer, de t’être fidele dans le bonheur et les épreuves, te soutenir tout au long de notre vie, j’ai rajouté t’obéir après soutenir, il n’y a que Thomas et le curé qui l’on entendu et à la sortie de l’église celui-ci m’a glissé, tu as intérêt à lui obéir sinon… et il a fait un mouvement de la main que j’ai très bien compris.
Le soir, j’ai reçu ma première fessée de femme mariée après quoi nous avons fait l’amour et j’ai écouté le conseil de Philippe. Nous faisions une pause, j’ai ouvert le tiroir de table de nuit, je me suis mise à quatre pattes et j’ai dis à Thomas :
- Mon amour une femme a trois pucelages, le premier c’est Jürgen qui l’a eu, ta fiancée t’a donné sa bouche et aujourd’hui car un mariage sans dépucelage ne serait pas un mariage je te donne le dernier (J’ai tendu le petit tube de vaseline et j’ai écarté mes fesses, Thomas a eu un grand sourire et a fait cela avec douceur)

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