Contrairement aux habitudes, le texte qui suit n'est pas une fiction inventée par Alain ELoge. Il est élaboré à partir des confidences d'une dame qui a aujourd'hui plus de 60 ans, et qui nous raconte, dans ce premier épisode, comment elle a découvert la fessée quand elle était jeune fille.
Si les prénoms ont été modifiés, les révélations de "Lucie" sont reproduites telles qu'elle les a faites...
Seules les questions ont été ajoutées.
Entretien avec Lucie
1er Partie : « En Angleterre en 1969 »
A l’école en Angleterre
Aujourd’hui,
je reçois Lucie qui m’explique ce que la fessée représente pour
elle.
Bonjour,Lucie, pouvez vous vous présenter rapidement ? J’aimerais que vous le
fassiez ... sans rien
nous
cacher.
«Je
m’appelle Lucie, j’ai 63 ans mariée, une fille. . Je suis
intéressée par la fessée depuis ce séjour que je raconte et
aujourd’hui encore il m’arrive de devoir confier mes fesses à
mon mari pour leur donner un peu de couleur»
Vous
êtes concernée le sujet qui nous concerne depuis longtemps ?
«
Effectivement j’ai découvert la fessée au cours d’un séjour
linguistique en 1969. Mes parents m’avaient envoyé pour deux mois
en Angleterre pour remonter mes notes d’anglais because, le bac
l’année suivante. Moi qui pensais passer de bonnes vacances à la
plage et me disant que finalement il y aurait plus de français que
d’anglais..... . Le problème était que mes parents avaient choisi
la formule ‘’immersion’’ et j’étais la seule française
dans ce village non loin de Plymouth en Cornouaille. J’étais chez
un '' typically english couple '' avec 2 enfants Ann 16 ans et Andrew
12 ans. Mary la mère et Henry le père. »
Et
c’est donc en Angleterre que vous avez découvert ... «
l’Education Anglaise » ?
« Les
quinze premiers jours je suis allée au collège avec Ann car leurs
vacances ne
commençaient
que vers le 15 juillet. J’ai découvert l’uniforme classique
porté dans ce collège privée de jeunes filles. Je n’ai pas
découvert que ça et nous allons entrer rapidement dans le vif du
sujet. Cela faisait quatre jours que j’étais en classe et la
professeur de math a rendu un devoir et a appelé 2 élèves au
tableau.
-
Vos
devoirs sont identiques, qui a copié ?
-
...........
-
Qui
a copié ?
Vous
voulez aller toutes les deux chez la directrice ?
-
C’est
moi Madame
-
Bien
vous irez chez la directrice à 16h, quand à vous.…
Elle
a pris l’autre élève, l’a penchée sous son bras, relevé sa
jupe et ramené sa culotte vers la raie
des
fesses et l’a fessée. Personne n’était surpris dans la
classe... mis à part moi évidement. La fessée a durée 2 à 3
minutes sans interruption et très intense, ses fesses étaient bien
rouges quand elle l’a lâchée.... Elle est retournée à sa place
sans un mot et le cours a repris. C’était la première fois que je
voyais quelqu’un recevoir une fessée, moi-même n’en ayant
jamais reçue et je dois avouer que j’ai été très troublée.»
Qu’entendez-vous
par « troublée »Lucie ?»
« Pour
être tout à fait franche, en regardant cette fessée, j’ai senti
une boule dans mon ventre et je me suis imaginée à la place de
cette jeune fille. J’ai également senti une humidité naissance
dans mon bas ventre »
Et
votre condisciple anglaise, comment a-t-elle réagit ?
«A
la fin des cours, à 16 heures sur le chemin de la maison j’ai
demandé Ann :
«
Ann, que va-t-il arrivée à la fille qui est allée
chez la directrice ? »
- «
Elle va avoir le droit à la tawse ou la cane sur le cheval. »
J’allais
lui poser une autre question mais Mary nous attendait avec la
voiture.»
Je
comprends que vous n’ayez pas eu envie de parler de cela devant la
maman, mais, par la suite,
vous
avez eu de plus amples informations sur ce point ?
«En
effet, j’ai appris que cette jeune fille avait été fessée par la
directrice et avait reçu 12 coups de tawse sur le cheval.»
*
Si
je comprends bien, lors de ce séjour outre Manche, c’est
uniquement à l’école que vous avez
découvert
les pratiques de nos voisins ?
«
Non, pas seulement, à la maison aussi ! Ce qui était long, c’était
les soirées car nous prenions le thé à 18 heures avec des
sandwichs, après, c’était la télé ou les jeux de cartes puis
vers 20 heures de nouveau du thé avec des sandwiches, des petits
gâteaux. M Travis lisait son journal et Mary tricotait. Un soir où
les enfants faisaient leurs devoirs et je lisais....un livre en
français, j’entendis le mot spanking à la télé, je levais les
yeux de mon livre, c’était un débat sur l’éducation dans les
écoles et du maintient des châtiments corporels. Henry m’expliqua
que devant la montée de l’incivilité, certains députés
souhaitaient le maintien des châtiments corporels dans les écoles
privées. Il précisa qu’il était pour et il ajouta que dans de
nombreuses familles, les châtiments corporels étaient en vigueur
aussi bien pour les enfants que pour la femme et en disant ceci, il
fit un sourire à sa femme qui plongea sa tête dans son
tricot....... Ajoutant qu’ils faisaient parti de ces familles. Je
me suis posé la question de ce qu’il voulait dire. »
Et,
là aussi, vous avez été « troublée » comme vous dites ?
«
Quand je suis montée dans ma chambre j’étais tout aussi troublée
qu’après la punition que j’avais vue en classe. Je constatais
que ma culotte était mouillée mais j’ai cru avoir lâché
quelques gouttes de pipi. IL faut que vous sachiez que j’ai fais
toutes mes études dans une école religieuse tenue par des bonne
sœurs et j’étais tout à fait ignorante de tout ce qui touchait à
la sexualité. »
Revenons
à l’école, si vous voulez bien, nous reparlerons de la famille
ensuite.
«
La semaine suivante, Ann a été surprise à discuter avec sa
compagne de table et ni l’une ni l’autre n’ont su répéter ce
que venait de dire la professeur. Celle-ci a écrit leur noms dans un
coin du tableau et le cours à continué. A la fin de la pause du
milieu de matinée, une femme qui tiens le rôle de surveillant
général que nous avions en France, a ouvert la porte et a appelé
Ann. Celle-ci l’a rejointe dans le couloir et nous avons entendu
quelques minutes plus tard à 6 reprises un bruit sourd, là encore
il n’y avait que moi qui ne savait pas ce qui se passait puis elle
est revenue en classe en se frottant les fesses et les yeux rougis
puis l’autre élève est sortie et a reçu la même punition »
Vous
avez compris ce qui se passait alors dans le couloir ? Ann vous l’a
expliqué ?
«Oui
bien sur, l’élève devait baisser sa culotte, coincer sa jupe dans
sa ceinture et se pencher en posant les mains sur le mur Et quand
nous sommes rentrées à la maison, Ann a donné à sa mère un
papier à signer.
«
Tu le donneras à ton père »
«
Ho ! Maman »
«
Vas dans ta chambre ! »
Je
l’ai rejointe et elle m’a montré ses fesses, on voyait nettement
les 6 impacts ».
J’aimerais
que vous précisiez, Lucie. Que voulez vous dire par « impacts » ?
«On
voyait très nettement les marquessur les fesses Et d’ailleurs,
Quand M Travis est rentré, Ann est tout de suite allé le voir et
lui a donné le papier à signer. Il lui a demandé à voir ses
fesses et a considéré que la punition était suffisante. »
Dans une famille anglaise.
La
fessée de Andrew
Donc
vous avez compris que, s’il en avaitété autrement, Ann aurait pu
aussi recevoir une punition chez elle, et donc vous avez eu la
confirmation que celle-ci faisait aussi partie de la vie familiale ?
«
Oui quelques jours plus tard, Andrew a mal répondu a sa mère et a
reçu une fessée par son père mains dans le dos et pyjama et slip
aux chevilles il a du s’excuser auprès de ses parents avant de se
mettre « in the corner » pendant 10 minutes. Punition anodine mais,
ne riez pas, pour la première fois de ma vie j’ai vu un sexe
d’homme enfin disons d’ado. Ann qui a assisté à la punition m’a
dit qu’elle était également punie de cette manière.
La
fessée de Ann
Et
je pus m’en rendre compte assez rapidement et pour le même motif
que son frère. Nous venions de finir de déjeuner et M Travis dit à
Ann d’aller au salon :
«
Come on girl ! »
Ann
tête baissée écoutait son père la réprimander pour avoir été
insolente avec sa mère. Andrews, Mary et moi les avions suivis au
salon. Ann essaya de se défendre mais son père lui intima l’ordre
de se taire, je la vis mettre ses mains devant ses yeux et je compris
qu’elle suppliait son père mais il ne céda pas. Je vis ses yeux
s’embuer. Elle enleva sa jupe. Elle se retourna vers son père, le
suppliant du regard puis elle prit l’élastique de son slip et
enleva celui-ci. Elle commençait à pleurer, Mary la fit mettre à
genoux sur une table basse, le front contre la table. Son père vint
derrière elle et lui fouetta les fesses avec, je l’appris ensuite,
une tawse. Elle en reçu 12 coups. Elle se releva et leur demanda
pardon et alla se mettre face au mur mains sur la tête. Une
demi-heure plus tard. Mary emmena les enfants chez leurs grands
parents mais je ne pus y aller car le grand père n’aimait pas les
français. Je n’ai pas vraiment bien compris pourquoi mais cela
datait de la guerre. »
Attendez,
Lucie, vous allez trop vite ! D’abord, si je vous comprends bien,
c’était toujours le père
qui
se chargeait de donner les fessées ?
«Non
il arrivait que ce soit Mary, Mme Travis qui punisse Ann ou Andrew
mais le plus
souvent
c’était M Travis»
Et
vous parlez de « tawse » ... vous savez que, pour les lecteurs
français ... c’est chose inconnue !
Qu’est-ce
que c’est ? Vous l’aviez déjà vue avant que le papa ne
l’utilise sur les fesses de sa fille ?
«
Une twase, c’est comment dire comme une ceinture d’environ
8cm de large coupée par le milieu jusqu’au ¾ le reste servant de
poignée. La longueur étant d’environ 40 à 50 cm»
Et
donc elle servait pour les enfants ?
«
Pas seulement ... »
Comment
cela ?
La
fessée de Mary
«
Pendant que Ann et Andrew étaient partie chez leurs grand parents,
j’ai décidé de faire un tour de en vélo. Je roulais quand je me
suis aperçue que j’avais oublié mon porte monnaie. J’ai fais
demi tour et arrivée à la maison, dans le jardin j’ai entendu des
éclats de voie venant de la buanderie. M Travis réprimandait sa
femme et celle-ci comme Ann tout à l’heure écoutait sagement son
mari. Il reconnaissait qu’Ann méritait la punition qu’elle avait
reçue mais qu’elle ne devait pas s’emporter quand elle parlait à
sa fille. De plus il lui reprochait de s’être énervé pour un
motif insignifiant, que ce n’était pas la première fois qu’il
lui disait. Il lui demanda si elle avait bien compris ses reproches,
elle hocha la tête. C’est à ce moment là que me revint cette
phrase qu’il avait dit quand nous regardions la télé l’autre
soir, ’’ il arrivait que le mari punisse sa femme’’. Il
n’allait quand même pas la punir. Il prit un gros billot de bois
dont il se servait pour couper du bois le fit glisser au milieu de la
pièce. Pendant ce temps-
là
Mary déboutonna sa blouse et je la vis apparaître en
sous-vêtements. Quelle belle femme !! »
Une
maman anglaise en sous-vêtements, vous comprenez bien que cela
mérite quelques précisions,
Lucie
surtout si en plus elle est belle ! Dites m’en plus sur cette
femme, et bien sûr sur se
s
dessous, je suis très intéressé par la découverte de ceux-ci,
vous vous en doutez !
«Vous
êtes coquin, Mary était une belle femme, 1m75 et je dirais dans les
60kg. Cheveux assez longs noirs. Une belle poitrine bien ferme malgré
ses deux naissances et une magnifique paire de fesses.. Niveau sous
vêtement c’était plutôt très simple une culotte en coton style
grand mère et un soutien gorge classique également»
Il
ne faut pas être grand clerc pour deviner que cette culotte ne resta
pas en place …
«En
effet, vous devinez juste ! Elle posa une serviette sur le billot et
se coucha dessus. Il prit la tawse dont il s'était servi pour Ann,
lui enleva sa culotte, leva la tawse, attendît quelques secondes et
frappa sèchement le derrière ainsi exposé avec petit sourire. Mary
fit un bond, la douleur devait lui brûler les fesses. Un deuxième
coup fut suivi par un troisième aussi sévère. La douleur était si
intense maintenant que Mary se tordait dans tous les sens du moins
elle envoyait ses jambes en l’air. Les larmes apparurent sur son
visage car les coups tombaient régulièrement couvrant toute la
surface du postérieur qui prenait une couleur de plus en plus rouge
vif. Maintenant Mary suppliait son mari d’arrêter mais en vain.
Des larmes coulaient sur son visage. Il fouettait plus rapidement
redoublant les pleurs, et gémissements de la punie. Je regardais la
taswe décrire des arcs de cercle et s’abattre sur les fesses sur
lesquelles des taches de couleur carmin apparaissaient.. Les cinglées
sonnaient avec un bruit clair sur les fesses nues qui tressautaient.
J'étais absolument fascinée, je n'arrivais pas à détacher mes
yeux du spectacle offert sans s’en douter par Mary. Il posa la
tawse et lui donna une dizaine de claques. Elle ne put empêcher les
mouvements spasmodiques de ses jambes qui se sont mises à ruer,
s'écarter, s'ouvrir, me faisant découvrir ses trésors »
« Ses
trésors ! » Quel joli mot vous employez,Lucie. Mais, encore une
fois, vous vous doutez bien
que
je vais vous demander ... de préciser !
«
On voyait très nettement sa fente ouverte à travers les poils ainsi
que son petit trou ridé»
Je
sais que je vous en demande beaucoup, Lucie, mais après tout, vous
avez commencé, il vous faut
aller
au bout ... Je suppose que l’intimité de cette adulte était,
comment dire ? plus « garnie » que la vôtre de jeune fille ?
«Ho!
vous êtes vraiment coquin, effectivement sa toison était très
fournie et d’une couleur
noire
et bien mouillée à la fin de la punition.»
Et
ses suites
C’était
la première fois que vous découvriez ainsi l’intimité
d’une femme adulte ? Il ne vous restait
plus
qu’à découvrir aussi celle d’un homme pour que votre éducation
soit complète !
«
Justement ... »
Justement
quoi ?Vous n’allez pas me dire que …
«
Eh bien si... Anthony lâcha sa femme, recula pour admirer son œuvre.
IL fit relever sa femme lui fit poser ses mains à plat sur le
billot. Il déboutonna son pantalon, sortit son sexe. J’ai faillit
pousser un cri devant ce que je voyais, rien à voir avec celui
d’Andrew. »
Je
m’en doute ! Mais, encore une fois,vous comprenez bien que je vais
vous demander. Je me trompe ?
«J’ai
un peu honte d’écrire cela. C’était la première fois que je
voyais cela, il faisait environ une bonne vingtaine de cm mais
surtout je l’ai trouvé très gros, il faut dire que je n’avais
pas à l’époque d’autre référence qu’Andrew et M Travis
....Il s’avança et pénétra sa femme d’un coup. Elle poussa des
petits cris que je prenais pour des cris de douleurs, évidement ce
n’était pas cela, encore qu’à chaque fois que son ventre
touchait ses fesses meurtries...... Il poussa un cri puis se retira.
IL sortit son mouchoir, essuya son pénis, elle se releva, tenant ses
fesses dans ses mains et j’entendis son mari lui annoncer que si
cela se reproduisait il servirait de la cane et la punition aurait
lieudevant Ann. Il se rhabilla et sortit de la buanderie. Je n’eus
que le temps de me baisser dans un buisson. Mary remis sa blouse mais
pas sa culotte et sortit à son tour en se frottant les fesses. Je
dois avouer que je n’en revenais pas de ce que je venaisde voir »
Et
... la vôtre d’intimité .., elle était en quel état devant ce
spectacle ?
«
La mienne était bien mouillée et je dois l’avouer, mes doigts
également.»
Ainsi,
vous avez découvert à la fois ... les choses de la vie, et la
discipline telle que la
conçoivent
nos amis anglais. Mais, fort heureusement, seulement « de visu »,
si je comprends bien.
«
Non, j’ai pu par la suite découvrir la réalité de cette
discipline ...»
Vous
voulez dire que ... vous aussi vous avez été ... ?
Les fessées de Lucie
Sur
le « cheval »
«
Oui, J’en viens à ma première fessée (mais puis je vraiment
appeler cela une fessée ? ) qui m’a été donné par Ann. Le
dernier jour de cours, il était d’usage que les élèves rangent
et nettoient le collège. Nous passions le balais dans le couloir et
je vis sur une porte une pancarte ‘’Punishment room’’.
-
«
Ann, c’est là que... »
-
«
Oui quand on est envoyé chez la directrice, on s’assoie sur ce
banc et on attend. Tu veux visiter. »
- «
Tu crois qu’on peut ? Oui allez ,viens».
Nous
sommes entrées mais j’ai senti une appréhension pour Ann. Il y
avait juste un bureau une chaise et au milieu de la pièce ce qu’elle
appela le cheval. Il fallait avoir beaucoup d’imagination. En fait
c’était un bloc rectangulaire en bois mais dont le haut était un
plan incliné. Il y avait a ussi une armoire, qu’elle ouvrit, avec
3 cannes de différentes grosseurs, elle m’expliqua que c’était
suivant l’âge de la punie. IL y avait aussi 3 tawse et 3 paddle.
Je n’ai pas besoin de vous expliquer à quoi tout cela sert
Pas
vraiment, en effet ! Par contre, comme vous m’avez décrit la
tawse, j’aimerais assez que vous
me
décriviez ces cannes et ces paddel.
«Le
paddle c’est un objet en bois, un peu en forme de pelle à tarte et
la cane, est un objet
très
flexible en bambou ou en bois, il y avait3 tailles utilisée suivant
l’âge de la punie …
Je
comprends que vous ayez été étonnée de découvrir ces choses
...d’autant plus que vous étiez là
un
peu en fraude ?
«
Oui et justement c’est à ce moment que la porte s’est ouverte-
«
Je peux savoir ce que vous faite là ? »
-
«
Je montais à Odile ...... »
-
«
Cette salle que vous connaissez bien ! »
-
«
Oui Madame » (dit elle en rougissant)
-
«
Profitez-en pour donner un coup de balais et je vérifierais si c’est
bien fait sinon votre amie pourra vraiment découvrir notre
cheval.... »
-
«
Oui Madame. »
Je
peux te dire que nous avons bien passé le balai. Elle est venue
vérifier et cela lui allait,
heureusement...
On est venue la chercher. Elle est partie. Nous allions sortir de la
salle quand Ann
me
prit par la main.
-
«
Tu veux l’essayer ? »
-
«
Quoi donc ? »
-
«
Ben le cheval »
-
«
Non tu es folle ! »
-
«
Tu en meures d’envie ! »
(elle n’avait pas tort)
-
«
Ben ...heu »
-
«
Allez sort et va t’asseoir sur le banc »
Elle
m’a fait patienter 10 minutes puis m’a fait entrer. M’a fait
assoir sur la chaise et elle est passée derrière le bureau.
«
Lucie, vous avez encore bavardé en classe, je vous
avais prévenue mais comme
c’est
la première fois vous n’aurez qu’une fessée. »
-
«
Ho je vous en prie »
-
Taisez-vous et allez vous mettre sur le cheval »
Je
me suis levée et je dois t’avouer que là ..... Je savais pourtant
que c’était un jeu mais j’ai senti une boule dans mon ventre. Il
y avait un petit cube pour se hisser dessus. Du fait du plan incliné,
j’avais la tète plus basse que mes fesses. Elle a prit mes mains
et les a mise dans des genres de menottes en cuir. Tu ne peux pas
imaginer dans quel état j’étais et en plus une idée me vint «
et si la directrice revenait »-
«
Bien maintenant que tu es bien installée... »(elle a enlevé le
petit cube ce qui fait
que
mes jambes ne touchaient plus le sol puis a dégrafé ma jupe et l’a
enlevée)
-
«
Non s’il te plait »
-
«
Tu ne crois pas que tu va la recevoir sur ta jupe ! »
La
première claque est tombée sur ma culotte, puis une seconde et une
troisième, finalement cela ne faisait pas trop mal. Elle m’en a
donné une dizaine puis a pris l’élastique de ma culotte et j’ai
senti celle-
ci
descendre le long de mes jambes.-
«
Non pas ça»
-
«
Mais si, maintenant tu vas recevoir 20 claques sur tes fesses toutes
nues »
-
«
Ann je ne veux pas »
Vous
ne vouliez « vraiment » pas, Lucie ? Dites moi tout !
«Franchement
j’étais partagé mais je pense que je voulais plus la recevoir que
ne pas la
recevoir»
Vous
avez donc enfin découvert une « vraie » fessée ?
«
Elle a claqué mes fesses, cela faisait un peu plus mal mais c’était
très supportable. Après quoi elle a remis le petit cube et m’a
détachée. Je suis descendue du cheval et elle m’a fait mettre dos
au mur mains sur la tête »
.
Face
à elle ? Vous n’étiez pas « nez au mur » comme quand les
enfants allient «in the corner », donc
votre
amie voyait aussi ...dites moi les choses clairement, Lucie, sinon …
«
Eh bien oui, elle voyait mon intimité, j’ai mis mes mains devant
mais , elle m’a dit de les mettre dans mon dos.Et elle m’avoua :
«
pour moi c’est le moment le plus dur, tu vois quand la punition est
terminée tu dois rester ici et assister aux autres punitions mais
sans avoir le droit de te rhabiller. Il vaut mieux passer dans les
dernières tu comprends pourquoi.»
-
«
Oui tu as raison j’ai vraiment honte d’être ainsi devant toi
comme toi surement quand tes parents t’ont punie l’autre jour
devant Andrews et moi. »
-
«
Oui tout à fait. »
Je
me suis rhabillée et nous sommes sorties de la pièce. Etait ce
vraiment une fessée, honnêtement
je
ne pense pas plutôt un jeu, Mais rien que de vous l’écrire, je
suis troublée. Pour moi c’est ma première fessée.
Encore
une fois, Lucie, vous en dîtes trop ou plutôt pas assez ! Je vais
finir par croire que vous
cherchez
vraiment une fessée ! Comment se manifestait votre trouble ?
«
Je venais de recevoir une fessée et j’étais surtout troublée car
si cela avait été une vraie punition 4 ou 5 personnes aurait
assisté à ma punition, rien que d’y penser...
»
C’est
mieux comme cela ! Mais vous m’avez dit « ma première fessée »,
dois-je
comprendre
...qu’il y en a eu d’autres durant votre séjour ?
A
disgusting little French
«
Eh bien oui en fait j’en ai reçu deux autres qui n’avait rien à
voir avec celle d’Ann.
Comme
Andrew et Ann, je donnais un coup de main pour les travaux de la
maison et Mary m’avait demandé d’étendre le linge de couleur
pour qu’elle puisse faire la machine de blanc. J’étais dans le
jardin quand elle m’appela. J’allais dans la buanderie. Elle
était en train de remplir la machine
«
C’est bien tes culottes Lucie ? »
-
«
Oui Mary, pourquoi ? »
-
«
Parce que tu es une dégoûtante petite française ! »
-
«
Mais.... »
«
Regarde... »
Elle
me fit voir plusieurs culottes, il faut que je te dise que j’avais
pris l’habitude de me caresser mais a travers ma culotte, pourquoi
je ne sais pas.
-
«
Alors.... ? »
«
Je suis désolée... »
-
«
Mais comment fais tu cela ? »
-
«
Ben...ben... ». (j’ai mis mes mains devant ma figure et je me
suis mise à pleurer)
-
«
Chut, chut ,calmes toi, je me doute tu te caresses comme le font
toutes les filles »
-
«
Oui Mary »
-
«
Mais je ne comprends pas comment tu arrives à ce qu’elles soient
aussi tachées. Montre-
moi
commenttu fais »
-
«
Ho !!!! non !!! j’aurais trop honte » (elle
m’a prise par l’oreille)
-
«
Je t’ai posé une question ! »
Je
lui ai montrée et lui ai avoué que je le faisais plusieurs fois par
jour.-
«
Tu es vraiment une cochonne, demain au lieu faire du bateau tu me
feras des exercices et je ne veux plus voir des culottes dans cet
état ! »
-
«
Ho ! non ! Mary j’ai trop envie de faire du bateau. »
-
«
Il fallait y penser avant et puis donne moi ta culotte dans l’état
où elle est »
J’ai
enlevé ma culotte et lui ai tendu. Je suis repartie fesses nues sous
ma jupe vers la porte du jardin, je me suis arrêtée, je suis
revenue vers elle.
-
«
Mary, viens »
Je
l’ai prise par la main, amené vers le billot de bois sur lequel
s’était assis M Travis
-
«
Assieds toi et écoutes moi. Je suis vraiment désolée, je reconnais
que je me suis mal conduite et que je mérite d’être punie mais me
punir de la sortie en bateau c’est trop sévère et en plus il va
falloir que tu expliques à M Travis, Ann et Andrew pour quoi je ne
viens pas avec vous alors.... (je
me suis allongée sur ses genoux) oui je sais mes parents
ne vous ont pas donné l’autorisation mais personne à part nous
deux ne le saura, ce sera notre secret. »
-
«
Mais tu veux que..... »
-
«
Oui donne moi une fessée comme si c’était Ann ou Andrew. »
-
«
Mais tu n’as pas l’habitude, alors une petite fessée. »
-
«
Non mes parents m’ont envoyé ici pour que j’apprenne l’anglais
en mode immersion, donc je dois apprendre vos coutume, je veux la
même fessée que celle que tu aurais donné à Ann »
-
«
Bon puisque tu le veux mais tu ne viendras pas te plaindre après ! »
C’était
vraiment à cause du bateau ?
«
Franchement oui car j’adore le bateau. En plus ils avaient un
bateau à voile magnifique et je vais être honnête, j’avais quand
même un peu peur. Le sort en était jeté, je serrais les fesses
attendant la première claque. Elle arriva sur ma jupe, puis une
autre et une autre. Elle les claqua très fort, La chaleur montait de
plus en plus, embrassant mes rondeurs, c’est insupportable, je
suppliais, pleurais à gros sanglots mais Mary tel un vrai métronome
claquait et claquait, je me lançais dans une danse des jambes
frénétique, celles-ci s’ouvraient et se refermaient Quelle folie
j’avais eu de forcer le destin, je m’en voulais, Elle s’arrêta,
ouf c’était fini. Elle releva ma jupe et passa sa main sur mes
fesses.
-
«
Tu voulais avoir ce que c’était qu’une fessée.... »
-
«
Oui Mary j’ai compris »
-
«
Mais non maintenant va commencer ta fessée car une fessée se donne
toujours sur les fesses nues »
-
«
Nooooon !!!!! s’il te plait j’ai compris la leçon aiiiiiiie
!!!!!!! »
Soyez
franche, Lucie, vous espériez vraiment
qu’elle renonce à cette fessée cul nu ?
«Je
vais être franche, à ce moment là, oui j’espérais qu’elle
allait arrêter car j’avais vraiment mal aux fesses, cela n’avait
rien à voir avec les quelques claques d’Ann. La fessée repris
mais directement sur mes fesses nues. Maintenant je poussais de vrais
cris tellement j’avais mal. Malgré ceux-ci, Mary continuait et me
serrait bien contre elle pour pas que je lui échappe et elle finit
la fessée par une série très forte, donnant ses coups bien
détachés les uns des autres mais en prenant tout son élan pour
chaque claque qui me faisait pousser un cri déchirant à chaque fois
que sa main aplatissait mes fesses. Elle me faisait payer le fait de
ne pas m’avoir fessée plus tôt. Elle me relâcha et j’entrepris
de faire une danse sur place en frottant mes fesses. Elles étaient
brûlantes.-
«
Maintenant tu sais ce que c’est qu’une fessée et j’espère que
c’est la dernière que je te donnerais, viens (elle m’a pris
dans ses bras) tu regrettes ?»
-
«
Un petit peu mais je vais pouvoir faire du bateau avec vous ! »
-
«
Tes fesses te feront un peu mal mais tu verras ce sera supportable.
Viens je vais te mettre de la pommade ».
Nous
sommes montées dans ma chambre et elle m’a mis de la pommade.
-
«
Tu es vraiment une petite cochonne, regarde moi comme tu mouilles ! »
-
«
Tais toi j’ai trop honte ! »
«
Je te laisse,je vais finir la lessive mais surtout silence M
Travis ne doit rien savoir. »
-
«
Promis ! »
Et
vous avez tenu promesse ? Vous ne l’avez raconté à personne ?
«
Ben
en fait, je ne vous dis rien vous le saurez plus tard.
Elle
est partie, je me suis caressée mais directement ce qui était
beaucoup plus agréable et le lendemain nous avons passé la journée
sur le bateau, mes fesses me faisaient encore un peu mal mais c’était
supportable.»
Dites-moi,
Lucie, cette habitude de « petite cochonne » pour parler comme
Mary, vous ... »
Je
suis comme toutes les femmes il m’arrive de caresser mon petit
bouton à la main ou avec un objet vibrant encore aujourd’hui.
»
En
tout cas, si je comprends bien, vous avez donc reçu deux fessées
durant ce séjour vraiment très « éducatif », et les deux fois
par des femmes ?
Fessées
pour Lucie et Mary
«
J’ai encore reçu une autre fessée pendant mon séjour, je vais
vous la raconter......
Une
dizaine de jour avant mon départ, j’étais dans la cuisine avec
Mary, M Travis venait de partir travailler, je portais un long
teeshirt, je ne me rappelle plus ce que je lui disais mais elle m’a
attrapé mise sous son bras a relevé mon tee shirt.
-
«
Mais tu n’as pas de culotte, tu mériterais que je te redonne une
fessée comme l’autre jour
»
-
«
J’ai même pas eu mal»
-
«
Tu vas voir! »
C’est
à ce moment là que nous avons entendu la voix de M Travis:
-
«
Qu’est ce que ça veut dire »
-
«
Rien Darling, nous jouons »
-
«
ne me prenez pas pour un idiot »
-
«
mais non »
«
Lucie, avez-vous été fessée par Mme Travis ? »
-
«
Heu ...ben....oui mais c’est moi qui l’ai voulut et je le
méritais (je n’avais qu’une peur
c’est
qu’il me demande la raison) j’ai même du insister en lui disant
que comme je devais découvrir vos coutumes.......»
-
«
Ce n’est pas une raison, Mary, vous vous rende compte, si
l’organisme l’apprend, pour qui allons nous passer et surtout si
elle en parle à ses parents »
-
«
Je ne dirais rien j’aurais trop honte »
-
«
Shut up girl » « Mary je vous promets que vos fesses vont s’en
souvenir »
-
«
M Travis je vous en prie ne lui donnez pas la cane comme vous lui
avais promis »
Il
y eu un moment de silence ils se regardèrent puis M Travis s’avança
vers moi
-
«
Qui vous a dit cela ? »
-
«
Mary je pense »
«
no !!!!!je n’ai jamais parlé de ça avec toi !»
-
«
Comment savez vous que j’ai promis la cane à Mme Travis?»
J’ai
éclaté en sanglot et j’ai expliqué ce que j’avais vu dans la
buanderie. Plus je parlais et plus M Travis devenait rouge. Quand
j’ai terminé, il m’a regardé les mains sur les hanches.
-
«
vous êtes une dégoûtante petite française, vous devriez avoir
honte alors que nous vous
avons
traité comme notre fille »
-
«
Je suis désolée »
-
« Vous
allez l’être encore plus, vous venez de me dire que vous vouliez
connaître nos coutumes, hé bien vous allez les apprendre à vos
dépends, je vais vous punir comme si vous étiez ma fille ainsi vous
saurez comment nous punissons en Angleterre les petites filles qui se
comportent mal »
Il
m’a prise par le bras m’a couché sur ses genoux, a relevé mon
tee shirt-
«
En plus ça se promène les fesses à l’air, ce n’est pas la
peine de les serrer, croyez moi, vous allez les ouvrir et savoir ce
que c’est qu’un good british spanking »
Il
m’a bien installée, le tee shirt tombant au niveau de ma figure.
J'étaishonteuse et très humiliée de me retrouver sur les genoux de
cet homme et j’avais peur car je me doutais que la fessée que
j’allais recevoir, j’allais m’en souvenir très très
longtemps. Les claques commencèrent à tomber, il allait d'une fesse
à l'autre, espaçant les claques ce qui était encore plus dur à
supporter car on attend et on ne sait pas quand elle va tomber puis
il accéléra et les claques furent bien plus violentes et surtout
certaines tombaient sur le haut des cuisses. Je commençais à remuer
les jambes pour éviter les coups, mais la pression de sa main gauche
sur ma taille se fit plus intense. Mes fesses me brûlaient, il
frappait de plus en plus fort, je sentais les larmes me venir mais
j’essayais de ne pas supplier puis il s’arrêta. J’essayais de
reprendre mon souffle. Le crépitement des claques repris se mêlant
à mes sanglots, il me tenait fermement pour me maintenir sur ses
genoux, car je jetais mes jambes en l’air, sans pudeur, leur
laissant voir toute mon intimité. . Une avalanche de claques
rougissaient mes fesses sans défense. J’avais l’impression que
mes fesses étaient assises sur une plaque chauffante. Il me
repositionna, ce qui eut pour effet de m’obliger à écarter les
jambes et je sentais mon clitoris frotter sur son genou et mon sexe
devenait de plus en plus mouillé, ce qui augmentait encore ma honte
car j’étais sûr qu’ils se rendaient compte de cela. Je pleurais
à chaudes larmes, de douleur et de honte d’être humiliée ainsi à
mon âge devant eux. Mais quelle fessée, jamais je n’aurais
imaginé cela. Je découvrais la différence entre la fessée d'une
femme et d'un homme Tout d’un coup, il n’y eu plus un bruit dans
le salon mis à part mes pleurs. Mon tee-shirt gisait devant moi, il
me fit lever, j’étais entièrement nue devant eux. Je sautais sur
place tellement j’avais mal. Je ne me rendais même pas compte que
j’étais nue tellement la douleur prenait le pas sur tout le
reste.Il m’a prise par le bras, m’a fait mettre à genoux sur la
table basse
« Bottom
up, open your legs »
J’attendais
anxieuse, qu’allait il faire et tout d’un coup une douleur
fulgurante, je n’arrivais plus à respirer, je me suis levée d’un
bond en criant. Il tenait à la main la fameuse canne. Je frottais
mes fesses en sanglotant et en trépignant sur place.
-
«
Voila maintenant vous savez ce que c’est que la canne et dites vous
que si cela avait été
Ann
elle en aurait reçu 6 coups. Marry take off your clothes »
-
«
Henry pas devant elle »
-
«
Si cela vous apprendra, ne m’obligez pas me répéter »
Mary
a déboutonné sa blouse, l’a pliée et posée sur une chaise, elle
a enlevé son chemisier et sa jupe qui ont rejoint la blouse, elle a
regardé son mari les yeux l’implorant de ne pas avoir à enlever
le reste. Elle a dégrafé son soutien gorge puis a enlevé sa
culotte, elle était entièrement nue. Il lui a fait prendre la même
position que moi sur la table basse. Quand je l’ai vu ainsi les
genoux écartés les fesses en l’air, je me suis imaginée dans la
même position quelques minutes plus tôt. Quelle honte, on voyait sa
fente ouverte et j’apercevais même son petit bouton. M Travis
s’est approché d’elle la cane à la main.
-
«
Vous les comptez et pour vous apprendre ce sera 12 coups »
-
«
Henry please »
-
«
Silence »
Mary
a attrapé le bord de la table et j’ai vu ses doigts se crisper. Le
premier coup et arrivé et une ligne rouge s’est imprimée sur ses
fesses, elle a dit d’une petite voix « un » puis onze fois la
canne s’est abattue sur ses fesses faisant 11 traits se croisant.
Elle a compté les 12 coups sans qu’un autre son sorte de sa
bouche. Je dois avouer que j’étais admirative devant tant de
stoïcisme. Elle s’est relevée et a remercié son mari puis
celui-ci a remis sa veste et est sorti de la maison, nous étions là
toutes les deux nues au milieu du salon et nous nous sommes mise à
pleurer.
Elle
a mis de la pommade sur mes fesses et moi sur les siennes, les
dernières traces de ma punition sont partie 2 jours avant mon
départ. Jamais je n’ai parlé de cette punition à mes parents.
Une
autre histoire ...
Souvent
après un séjour linguistique, on continue à correspondre avec le
jeune de son âge. Moi j’ai correspondu avec Mary jusqu’à son
décès il y a 4 ans, par lettre puis par internet au minimum une
fois par mois. Nous nous sommes revues à de très nombreuses
reprises car ils ont acheté une maison
à
Royan et quand ils y allaient, ils passaient toujours à la maison.
Si la fessée est revenue dans ma vie plusieurs années plus tard
c’est à cause d’eux ou plutôt grâce à eux mais cela c’est
une autre histoire.
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