jeudi 5 mai 2016

Catalogue de fessées



Le catalogue


La petite fessée impromptue :
               L’Ange reste debout, son Monsieur aussi. Il pose juste le pied gauche sur une chaise, puis fait se pencher l’Ange sur sa cuisse. La jupe est relevée prestement sur les reins, la culotte baissée juste sous les fesses et celles-ci sont claquées à la volée. Fesse droite, fesse gauche, alternativement, à grandes gifles qui  font tressauter les globes opalescents qui prennent vite une teinte rosée du plus bel effet. Il ne reste alors à l’Ange qu’à se relever, à masser rapidement son fondement brûlant, à remonter sa culotte en grimaçant quand celle-ci vient frotter la peau rendue si sensible puis à remettre sa jupe en place avant de reprendre ses activités.
                              Variante 1 : Si l’Ange porte un pantalon, le Monsieur lui ordonnera de le baisser avant de se mettre en position. Bien entendu il se réserve de baisser lui-même l’ultime rempart des fesses. Et cette détestable habitude de porter un pantalon sera sanctionnée par une fessée d’autant plus sévère.
                              Variante 2 : Il peut arriver au Monsieur de renoncer à baisser la petite culotte. Dans ce cas il en ramène les cotés dans la raie profonde de l’Ange, puis, l’empoignant par l’élastique de la taille, il tire la culotte vers le haut. Ainsi non seulement les fesses sont-elles offertes aux claques comme si il n’ay avait pas de culotte, mais en plus celle-ci s’insère dans l’intimité moite de l’Ange, pénètre dans sa fente, s’écrase sur le petit bouton et vient même titiller le petit trou. Comment d’étonner alors que, quand la fessée sera terminée, la petite culotte sera tellement humide que l’Ange sera amenée à en changer. Et comment s’étonner si l’Homme profite du moment où elle aura retirée la culotte mouillée et pas encore passée la culotte sèche pour distribuer un petit rab de claques sur le cul ainsi dénudé ?

                              Variante 3 : A l’inverse, il peut arriver qu’à l’issue de la fessée, au moment où l’Ange va remonter sa culotte l’Homme le lui interdise et la lui confisque, imposant à l’Ange de terminer la journée les fesses nues sous sa jupe.

La fessée « OTK » annoncée

               L’Ange sait qu’elle sera fessée par Monsieur, elle se prépare en conséquence. Jupe, bien sur, petite culotte pour le plaisir qu’éprouvera Monsieur à la lui baisser ou à la lui retirer, bas et porte jarretelles.
               L’Ange sera allongée au travers des genoux de Monsieur, comme une gamine. Si la jupe est ample, Monsieur pourra la relever lui-même pour dégager le lieu des hostilités. SI elle est un peu plus ajustée, peut-être l’Ange devra-t-elle aider au mouvement en soulevant le bassin pour que la jupe puisse glisser sous son ventre. Par ce mouvement elle relèvera donc les fesses, les tendant vers la main qui va les fustiger, pour le plus grand plaisir de Monsieur. Et si la jupe est par trop ajustée, elle aura du la retrousser elle- même avant de prendre position. Si elle ne l’a pas fait d’elle-même, Monsieur lui indiquera son souhait d’un geste impératif, ou bien il lui lancera sans vergogne :
               « Retrousse là et montre ton cul ! »
Des mots qui claquent déjà comme la main et qui frappent l’Ange au plexus. Elle saisi alors le bord de la jupe et la remonte bien haut, au dessus de la taille. Et Monsieur se régale de cette image de l’Ange qui se trousse sans pudeur, découvrant son derrière large gainé de la culotte et encadré par les porte jarretelles. Il lui arrive même, très exceptionnellement, de renoncer au plaisir de la déculotter lui-même et de lui intimer l’ordre :
               « J’ai dit montre ton cul. Retires – moi vite cette culotte et montre moi ton cul tout nu, tu sais bien qu’une fessée se reçoit cul nu ! »
Jouant l’ingénue, l’Ange se tourne alors de manière à être de dos devant Monsieur, elle passe les pouces dans l’élastique du slip et le descend, avec  une lenteur calculée jusque sous les fesses. Monsieur devra alors insister :
               « J’ai dit de la retirer ! Dépêches – toi et donnes- moi ta culotte ! »
Et quand, le regard baissé mais pourtant sure de l’effet qu’elle lui fait, l’Ange aura apporté son slip à Monsieur, celui-ci le portera à son nez, en humera la fragrance épicée et ne manquera pas de remarquer son humidité, qui justifiera une fessée plus claquante encore, le justifiant par un :
               « Puisque la perspective de la fessée te fait mouiller, la fessée te fera ruisseler, mon Ange ! »
L’Ange se met alors en place, au travers des genoux de son Homme. Elle pose les mains sur le sol et tente de trouver l’équilibre. L’Homme la maintient du bras gauche passé autour de sa taille, et peut alors se mettre à l’ouvrage. Une claque s’écrase sur la fesse droite. Aussitôt la marque de la main apparait sur la peau, avant de s’estomper comme une trace de pas sur le sable mouillé d’une plage. Monsieur aime a laisser le temps à la douleur de bien s’étaler, comme une goutte d’eau d’un début d’orage sur un sol chauffé par le soleil. Il se régale aussi de l’image de la fesse qui se déforme sous la force du coup avant de reprendre sa forme initiale. La fesse tressaute, s’écrase, ballotte. L’Ange ne crispe plus les fesses, sachant d’expérience que la fessée est plus douloureuse sur un derrière dur que sur des fesses relâchées.  La fesse gauche est traitée de la même manière, avec les mêmes conséquences. Et la danse peut alors commencer. Lente, détranchant chaque coup, marquant un temps d’arrêt entre chaque nouvelle claque. Ou rapide, crépitante, en averse d’orage. « L’ennui naquit un jours de l’uniformité » lui a dit un jour l’Homme. Et il fait en sorte qu’elle ne puisse jamais deviner comment elle va être fessée. Parfois il s’acharne sur une même fesse, concentrant ses coups cinq fois, dix fois sur au même endroit, le portant au rouge vif. D’autre fois il réparti au contraire les claques sur l’ensemble du large fessier offert à sa vue et à ses mains. Un moment il alterne les fesses régulièrement, comme un métronome. Puis, brusquement, il casse le rythme et les claques s’égaillent comme tombant au hasard. Le cul généreux prend vite sa belle teinte rosée, puis fuchsia, puis de plus en plus rouge cramoisi. Les fesses deviennent presque luminescentes. Mais l’Homme veille à ce que tout ce qui est présenté soit également traité, également fustigé. Les fesses, de la taille au pli séparant les cuisses, en n’oubliant pas les cotés, où la peau est plus fragile encore.  Mais aussi le haut des cuisses, ce qui lui permet de constater la lubrification de l’intimité de l’Ange, qui luit de son miel, confirmant la prévision de l’Homme quant à l’effet de la fessée sur sa production huileuse. Comme il se régale aussi de voir les fesses s’écarter, ouvrant la raie profonde, et laissant apparaître furtivement le petit trou secret qui baille et s’ouvre comme s’il cherchait de l’air. Comment s’étonner si, une fois la fessée terminée, l’Homme hésite entre prendre l’Ange en levrette, se glissant dans son antre si accueillante, si humide, si tiède, ou bien de forcer son petit trou en l’enculant après avoir préparé le chemin en le barbouillant de la mouille si abondante à proximité ?

La fessée debout

Ce jour là, l’Ange voit dans le regard de l’Homme une sorte de lueur qui lui fait comprendre d’emblée que cette fessée sera différente de celles qu’elle reçoit presque chaque semaine. Différente de ces fessées devenues presque rituelles, tombant chaque vendredi soir, au travers des genoux de l’Homme, installé confortablement dans son fauteuil de cuir marron. Différente de ces fessées, certes toujours brûlantes, toujours différentes, toujours déroutantes par leurs intensités, leurs diversités, mais cependant en quelque sorte prévisibles, ou en tout cas prévues. Différente de ces fessées lors desquelles l’Homme aime à prétendre qu’ils « règlent les comptes de la semaine », en inventant si besoin des motifs à une fessée qu’elle recevrait de toutes manières. Différente aussi de ces fessées reçues le samedi, quand l’Homme explique qu’elle en recevra une plus sévère pour ne pas avoir pu la recevoir la veille, ou le jeudi, sous prétexte qu’il n’aura pas le temps le vendredi, même quand, finalement, elle en recevra une seconde le lendemain, sur un derrière encore marqué et douloureux de la séance de la veille.
On est pourtant vendredi. « Lundi c’est raviolis, vendredi c’est panpan cucu » comme dit parfois l’Homme, paraphrasant une réplique culte d’un film qui ne l’est pas moins. L’Ange n’est donc pas étonné que l’Homme ait l’intention de lui chauffer le derrière. Le contraire l’aurait même étonnée, sinon inquiétée. Elle n’est donc pas étonnée non plus de le trouver assis dans son fauteuil fétiche, devant lequel elle se présente, ponctuelle, prête à s’allonger au travers de ses cuisses, ou, si l’envie lui en prend, à se pencher par-dessus le dossier du fauteuil une fois que l’Homme l’aura quitté et à s’appuyer des deux mains sur l’assise de manière à ce que son cul soit juste à la bonne hauteur pour être fustigé le la main de son tourmenteur chéri. Mais l’Homme reste assis. Il ne lui désigne pas ses genoux d’une petite tape qui signifie, dans leur langage codé, « viens ici que je te claque le cul ». Non, il la regarde avec dans l’œil cette lueur animale. Ce regard de chasseur à l’affut. Devant lequel elle se sent gibier, chèvre de Monsieur Seguin déjà certaine qu’elle sera mangée avant l’aube. Dans ce regard il y a de la goguenardise, celle de celui qui sait qu’il arrivera à ses fins. Celle de celui qui imagine déjà comment il va porter au rouge vif ce derrière encore sagement caché dans son écrin de dentelle noire. Il y a aussi de l’envie, celle que l’Ange sait qu’elle fait naître en se  présentant ainsi devant lui qui sait qu’il va se régaler de ses rondeurs fustigées. Mais il y a, ce soir, quelque chose de plus. Du vice peut-être. En tout cas de la malignité. L’Homme a décidé de la déstabiliser, elle le sent. Et ses premiers mots le lui confirment. « Déshabilles-toi, je te veux à poil aujourd’hui » S’il lui arrive souvent d’être sommé de se trousser, il se réserve presque toujours la tâche de baisser lui-même le dernier rempart, la petite culotte. Or ici l’ordre est précis, et elle s’y conforme sans barguigner. Elle ouvre les boutons de son chemisier, le retire, puis fait glisse la fermeture éclair de sa jupe et la fait glisser jusqu’au sol. En soutien gorge et petite culotte, elle va déposer ses vêtements sur le divan. Elle s’y assoit un instant pour retirer ses bas auto-fixant, puis elle se relève, dégrafe son soutien-gorge qu’elle dépose avec les autres vêtements, et enfin elle retire prestement son slip qui rejoint le petit tas d’effets sur le divan. Elle revient alors se placer à sa position initiale, devant l’Homme qui n’a pas bougé, et qui la regarde revenir vers lui, sans chercher à cacher ni ses seins en poire qui balancent un peu au rythme de ses pas ni sa touffe noire et frisée. Quand elle a repris sa place, il sort de sa poche un petit carré de soie, d’à peine trente centimètre de coté, et le pose sur le sol.
« Tu poses les pieds sur ce joli petit tapis, et tu prends ta fessée, une douzaine. Si tes pieds quittent le tapis, le coup ne compte pas.  Tu mets les mains sur la tête, et bien sur elles y restent, jusqu’au bout»
La règle est claire. Il lui faudra donc prendre les douze claques sur les fesses en restant debout, sans bouger les pieds, et en laissant les mains sur la tête. Elle obéit en mettant ses mains sur sa tête, doigts croisés, puis en posant les pieds sur le carré de soie. Elle attend la première claque. Mais elle se crispe en entendant le bruit caractéristique d’une ceinture que l’on ouvre et qui glisse dans les passants du pantalon. Ce ne seront donc pas douze claques manuelles qu’elle devra subir, mais douze coups de cette ceinture dont elle connait, et craint, la morsure.  Comme pour l’avertir de ce qui va lui arriver sur les fesses, il a plié la ceinture en deux, et la fait claquer d’un coup sec. Elle sursaute, et il sourit de ce tressaillement qui lui fait fermer les yeux, crisper les doigts, serrer les fesses et tressauter les seins.  Alors, vicieusement, il profite du moment de relâchement, quand elle comprend que le bruit n’était qu’un stratagème,  pour lancer une première fois la lanière de cuir qui s’abat sur le derrière imprudemment détendu. Elle lance un cri bref, tout autant de surprise que de douleur, et porte vivement es deux mains à son cul, tout en avançant d’un pas. Il n’a pas besoin de la rappeler à l’ordre. Elle a compris d’elle-même son erreur. Sans un regard pour lui, qui attend, la ceinture enroulée autour de son poing, elle reprend sa place et sa position.  Il n’a pas besoin non plus de rappeler la règle, il sait qu’elle a déjà compris que ce coup ne comptera pas, et qu’il lui reste donc à en subir douze. Il tourne lentement le poignet pour donner l’impulsion à la ceinture, puis la lance d’un geste précis. Elle claque, juste au milieu des fesses, laissant presque instantanément une marque perpendiculaire à la raie des fesses. Cette fois, elle parvient à ne pas bouger les pieds. Mais tout son corps de tend, comme un arc, et elle sursaute, sans décoller les pieds du sol. Patient, il attend que son corps ait fini de vibrer, que ses muscles  se détendent, avant de prononcer tranquillement « et un » avant de lancer une troisième fois la ceinture qui, cette fois, atteint les fesses par en dessous. Elle lâche un « umpf » étouffé, s’élève sur la plante des pieds comme pour décoller, mais ne sors pas du carré magique, et obtient l’attendu « et deux ». Et la ballet de la ceinture reprends, mordant à chaque fois le gras des fesses, entraînant ce raidissement de tout son corps, un cri de douleur de moins en moins retenu, et ce sautillement sur place qui entraîne immanquablement  le ballotement  de ses seins dont les pointes sont visiblement durcies. A la huitième fois, volonté ou manque de précision, la langue de cuir cingle les cuisses, juste sous les fesses. Soit que la peau soit plus sensible en cet endroit, soit sous l’effet de la surprise, elle lance cette fois un cri strident et saute littéralement en l’air, tandis que ses mains viennent tenter d’atténuer la déchirure de la peau fragile de l’arrière de ses cuisses. Elle semble déséquilibrée, mais pourtant, au prix d’un rétablissement quelque peu acrobatique, elle parvient à ce que ses pieds ne  sortent pas du carré de soie. Le visage torturé, elle se redresse en gémissant et reprend la position imposée en hoquetant encore. Magnanime, bien que ses mains aient quitté la tête, il lance quand même « Et huit ! » Le coup suivant mord à nouveau les fesses, ce qui est presque un soulagement relatif pour elle. Pourtant l’accumulation des coups a porté son derrière au vif, et la flagellation vient maintenant  surajouter à une peau déjà meurtrie. Chaque nouvelle morsure du serpent de cuir vient ainsi raviver une douleur déjà lancinante. Aussi ne retient- elle plus ses cris. Elle exalte une sorte de long lamento, à peine renforcé chaque fois que la bête vient griffer ses pauvres fesses.  Bien qu’il n’ait pas vraiment augmenté le rythme de ses coups, elle ne parvient plus à reprendre l’immobilité entre chaque attaque. Elle tressaute de manière presque continue, et même sautille sur place, toujours attentive à ne pas sortir du carré magique.  Elle n’a cure du spectacle qu’elle lui offre ainsi avec ses seins lourds qui balancent au rythme de sa danse sur place. Au onzième coup il change de méthode de flagellation. Jusque là, la ceinture venait s’abattre sur la peau, à la volée.  Cette fois il fait un mouvement bref du poignet et la ceinture se déroule comme un fouet et son extrémité vient claquer avec un bruit de coup de feu sur sa peau. La douleur l’irradie littéralement. La transperce. C’est un arc électrique qui la traverse. Elle ressent une sorte d’explosion intérieure. Ses jambes la trahissent, elle tombe à genoux, roulée en boule, en positon fœtale. La vague de douleur l’emplit, puis semble se retirer, comme la mer qui reflue. Mais elle ressent ses élancements dans chaque parcelle de son corps. Jusque dans ses mâchoires, dans ses dents, sur ses seins, dans son ventre et dans son sexe. Comme si un peigne infernal et porté à l’incandescence la griffait à l’intérieur comme sur sa peau. Pourtant, ses pieds ne sont pas sortis du carré défini, même si ses genoux touchent le sol en dehors. Un long moment elle reste ainsi, immobile, secouée seulement de sanglots, exposant impudemment son derrière zébré de marques rougeâtres. L’Homme ne dit rien, il attend, sans marquer la moindre impatience, ni la moindre compassion. Peu à peu les halètements et les geignements s’éteignent. Sa respiration redevient plus régulière.   Elle inspire et expire longuement, comme un athlète avant une compétition. Elle renifle et ravale ses sanglots. Puis, lentement, en prenant appui sur ses mains, elle se relève. Elle reste un moment pliée en deux, les mains posées sur ses genoux, dans la position qu’il aime parfois à lui faire prendre pour  des séances de martinet ou de « strap » Elle ne se soucie pas de montrer ainsi son intimité, son abricot et les abords de son petit trou.  Mais comme il ne semble pas décider à reprendre tant qu’elle n’a pas repris sa position, elle fini par se relever en grimaçant, remet ses mains sur la tête, et relève le menton, comme une provocation. Alors seulement elle entend le « Et onze ». Puis, après que la ceinture l’ait une dernière fois cinglée, le « Et douze » qui la libère. Elle bondit littéralement  hors de ce carré maudit. Elle danse, elle tourne, elle piétine, elle masse ses fesses labourées. Toute sa peau la fait souffrir. Elle a le sentiment que son derrière n’est qu’une boule de feu, un terrain dévasté. Elle sait que la douleur persistera encore un long moment. Elle sait qu’elle ne pourra s’asseoir sans grimacer pendant plusieurs jours. Elle sait que les marques rouges qui, déjà, virent au bleu, vont continuer à évoluer, passant au violet puis au noir. Elle sait que pour au moins huit jours, ses fesses seront deux hémisphères violacées, marbrées, boursouflées. Mais elle est immensément fière d’avoir, une fois encore, été au-delà de ses limites. Elle sait que l’Homme est, lui aussi, fier d’elle. Elle sait qu’il se régale de son corps marqué par lui. Il y a bien longtemps qu’elle a compris qu’il ne la fessait que parce qu’il l’aime. Que la fessée, si insupportablement douloureuse soit-elle, est une marque d’amour. Elle sait que c’est pour l’Homme un puissant aphrodisiaque. Mais elle sait aussi, qu’alors même que la douleur la déchire, son bas ventre ne peut mentir. Elle sait que sa source coule. Elle sait, elle sent, qu’elle mouille. Abondamment. Impudemment. Elle sait que son miel sourd d’elle, se répand sur ses cuisses. Elle sait qu’elle sent la femme, qu’elle sent l’envie animale. Elle n’attend pas que l’Home la sollicite. Elle le veut, là, maintenant, tout de suite. Sans retenue, sans pudeur, elle s’agenouille sur le divan, les cuisses largement écartées, le derrière relevé. Offerte, indécente, animale. L’Homme est déjà derrière elle, déjà le sexe prêt et sorti. Sa queue rouge brique, tendue, brillante. D’un coup de rein il s’enfonce en elle, dans son sexe ouvert et ruisselant. Elle lâche une sorte de feulement animal. Elle relève la tête, pouliche sauvage possédée par l’étalon.  L’Homme passe les mains sous ses bras et prend ses deux seins à pleines mains. Il les malaxe, presque violemment. Il pince les pointes érigées, provoquant un nouveau râle. Puis la queue sort de l’antre tiède. Elle a compris ses intentions. D’elle-même, elle ouvre ses fesses  à deux mains pour faciliter l’introduction de la tige dure et gluante de sa mouille. La queue n’a plus qu’à se positionner sur l’anneau, et en forcer la résistance qui cède sans barguigner. Attentif, il s’enquiert : « Tu la sens bien, là ? Je vis t’enculer à fond » et elle l’y encourage de même « oui, oui, vas-y, défonce moi  chéri ! »En deux coups de reins il explose en elle, ils jouissent de concert. Et quand il se retire, un petit filet de liqueur blanchâtre suinte du petit trou.

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