Le point de vue de Martine.
Premières
Je ne doute pas que le week-end qu’ont passés Annie et
Pascal dans notre maison de campagne restera dans leurs mémoires comme un
moment singulier. Quand j’écris ces lignes, je n’ai pas encore eu l’occasion
d’en reparler avec ma copine, et je ne sais d’ailleurs pas si cette occasion se
présentera. Il me semble que c’est à elle de m’indiquer si elle souhaite que
nous en reparlions ou si elle préfère faire comme si tout cela n’avait jamais
eu lieu que dans nos imaginations. J’ai d’ailleurs un peu de mal à me persuader
moi – même que ce n’est pas le cas. Et je ne sais pas si Annie a compris que ce
fut aussi pour moi une grande première et des moments peut-être presque aussi
forts que pour elle et son mari. Je crains qu’ils soient persuadés que Daniel et
moi soyons des vieux routiers de l’échangisme et des fessées publiques, ce qui
est loin d’être le cas.
Décompte.
Certes, les fessées que j’ai reçues – le terme me parait
plus correct que celui de « subies » - sont loin d’être les premières
que mes fesses aient connues. Comme je l’ai révélé à mon amie, la fessée fait
partie de notre vie de couple depuis avant notre mariage, et je serais bien
incapable de compter le nombre de fois où je me suis retrouvée le derrière à
l’air et les fesses rouges vif. Nous sommes mariés depuis plus de quinze ans,
et à raison de une à trois séances par semaines selon les circonstances et les
humeurs et envies de mon cher et tendre, et même en considérant qu’il y a eu
des périodes de répit lors de mes grossesses ou quand les circonstances de la
vie nous ont amenés à être séparés – encore que dans ces cas là mon mari a
souvent eu tendance à « rattraper le temps perdu » comme il dit en
m’en collant trois ou quatre dans la même semaine pour fêter à sa manière nos
retrouvailles – il me semble que mes fesses ont bien du connaître ces moments
claquants bien plus d’un millier de fois.
Motifs.
En effet, même si je n’ai pas pu répondre très précisément à
la question d’Annie qui m’a demandé tout de suite si mon mari « faisait ça
souvent » il est très rare qu’il se passe une semaine sans que mon cul ne
reçoive ce que mon mari désigne comme « son du » Pourtant, à la
différence de ce que j’ai pu lire dans des témoignages trouvés sur des sites
internet sur ce sujet, il n’a pas vraiment, chez nous, de régularité. Nous ne
pratiquons pas à jours fixes comme certains couples pour lequel un jour précis de la semaine est « le
jour de la fessée hebdomadaire » J’ai lu, dans un livre assez troublant
sur le sujet écrit par Jacques Serguine, qui est un passionné de la chose, que,
chez, lui, sa femme recevait régulièrement la fessée tout les vendredi soirs.
Rien de tel chez nous. Les fessées
arrivent au gré des circonstances et des motifs. Il faut dire en effet que,
même après tant d’années de pratiques, Daniel tient toujours à ce que chaque
fessée soit « justifiée » - les guillemets sont nécessaires – par un « motif »
Jamais il ne me fesse en admettant franchement qu’il le fait pour son plaisir.
Pour autant, bien sûr, je ne suis pas dupe, et il me semble que je ne l’ai
jamais été vraiment. Si notre couple est bien adepte de ce que d’aucuns
appellent la « discipline conjugale » , la fessée n’est pas
réellement un moyen de régler les inévitables conflits que connaissent tous les
couples. Et si je suis bel et bien « punie », c’est toujours pour une
raison assez futile pour que je sache bien qu’elle est un prétexte et non une
vraie justification. Daniel n’est ni une brute épaisse, ni un tyran domestique,
bien loin de là. C’est au contraire un mari attentif, ouvert, qui n’a jamais
utilisé ni la menace d’une fessée ni la fessée elle-même pour me contraindre à
quoi que ce soit. Et comme ce n’est pas non plus un imbécile, il sait fort bien
que je sais que les raisons avancées pour me déculotter et me tanner la peau du
cul ne sont que des prétextes pour justifier qu’il sacrifie à ce qui est pour
lui un moment fort de plaisir. Ce qu’il ne nie d’ailleurs pas en admettant tout
à fait le bonheur qui est le sien alors qu’il me frappe les fesses à coups
redoublés et que je pleurniche et crie sous ces coups.
Plaisir et fierté
Et, puisque la conversation avec Annie m’a amenée à une
sorte d’introspection à ce sujet, je dois bien admettre que le plaisir évident
qu’il trouve dans le fait de me fesser jusqu’aux larmes explique probablement
le fait que je me plie finalement aussi facilement à ces désirs. Je veux dire
par là que, si douloureuse que soient ces fessées, son excitation à la vue de
on derrière rougis est « quelque part » assez gratifiant pour moi.
D’autant qu’il n’hésite pas à exprimer sans ambages combien cette vue le ravi,
et donc à avoir pour mon séant des mots souvent forts louangeurs. Bien sûr, le
fait de l’entendre s’exclamer « Ho qu’il est beau ton cul quand il et tout
rouge » ou « Putain, un aussi beau cul, on ne peut qu’avoir envie de
le fesser » ne retire rien à la douleur. Mais, quand même, c’est une forme
de compliment à laquelle je ne suis pas insensible. Du reste, il lui est arrivé
de m’expliquer qu’à ses yeux, fesser un derrière n’a pas pour but de le faire souffrir
– même s’il admet fort bien qu’il est conscient du fait que la fessée soit très
douloureuse – mais bien plus de « lui rendre hommage » (sic) Comment
ne pas être touchée par cette admiration que je sais sincère, même s’il
m’arrive, j’en conviens, de considérer qu’il a parfois une drôle de manière de
rendre des hommages !
Prétextes.
Il n’en reste pas moins que mon mari est rarement en mal de
trouver une « bonne raison » pour me flanquer la fessée qui lui
démange le creux de la main. Il est vrai que, lors de la première soirée de ce
fameux week-end, je lui en ai apporté un « sur un plateau » si j’ose
dire. Mais, fort heureusement pour notre stock de vaisselle, je ne suis pas
souvent aussi maladroite. Mais, dans la vie quotidienne, il ne manque pas de circonstances
qui, avec « un peu de bonne volonté » peuvent fournir une
justification suffisamment crédible pour justifier d’une fessée. Un manquement
aux règes du code de la route, même s’il n’a pas entrainé une contravention,
mais que, bien souvent, je confesse alors même que mon mari n’en aurait rien
sur si je ne le lui avais pas raconté. Un repas servi « en retard »
par rapport à un horaire qu’il détermine de façon tout à fait arbitraire, ou de
qualité médiocre selon lui – trop salé, pas assez chaud, que sais-je – alors
même qu’en d’autres circonstances il aurait avoué qu’il s’en était régalé. Une
tenue trop osée, ou un autre jour trop stricte, selon son humeur et le besoin
d’y trouver à redire. Un retour à la maison trop tardif, même s’il en connait
fort bien les raisons incontournables. Une réplique considérée comme
« insolente » alors que, quand il n’est pas en recherche d’un
prétexte, il est tout à fait ouvert au débat, même vif. Tout est bon, à ses
yeux, pour justifier d’un passage sur ses genoux, ou d’une autre position lui
permettant de traiter mon postérieur comme il le souhaite. Et quand,
d’aventure, il n’a pas trouvé de raisons valables à ses yeux pendant un trop
long moment, il est tout à fait capable de considérer que « mon attitude depuis quelques jours » mérite sanction,
sans se sentir obligé d’appuyer cette considération sur des faits précis. Je
dois dire, qu’avec le temps, j’ai renoncé à ergoter sur la légitimité des
raisons invoquées.
Alors, pour tenter de répondre à la question d’Annie,
« fait-il cela souvent » ? Je l’ai évoqué auparavant, il est
fort rare, sauf circonstances exceptionnelles, qu’il se passe une semaine sans
que mes fesses aient droit à l’attention de mon mari.
Fessées opportunistes
Bien entendu, nous sommes un couple d’actifs, et nous ne
consacrons pas tous les moments – trop rares – où nous pouvons être ensemble,
moi à montrer mes fesses et lui à les frapper. Pour autant, il n’est pas rare
qu’un prétexte quelconque occasionne une fessée que je qualifierais d’opportuniste.
Cela peut se passer à peu près à n’importe quel
moment de la journée. Ainsi, la semaine dernière, pour une raison que,
franchement, j’ai oubliée, mon mari a-t-il jugé nécessaire de me fesser
quelques instants avant que nous quittions l’un et l’autre notre domicile.
J’étais donc déjà habillée, j’avais même déjà enfilé mon imperméable, et ce fut
donc juste en relevant celui-ci, puis la jupe que j’avais choisie ce jour là,
qu’il mit au jour la partie de moi-même qu’il voulait fustiger. J’ai donc reçu
cette fessée matinale penchée sur l’escalier de l’entrée de notre maison, les
mains appuyées sur les marches de celui-ci. Une volée rapide, mais pas moins
cuisante. Et, ne pouvant me permettre d’être en retard au travail, je me suis
retrouvée quelques minutes plus tard dans la voiture, les fesses encore chaudes
et piquantes, consciente de frétiller sur le siège pour tenter de supporter le
frottement de celui-ci sur mon postérieur encore sensible. Et bien sûr sans
culotte puisque, depuis bien longtemps, il est de règle qu’après une fessée je
me passe de ce sous-vêtement, quel que soit mon vêtement du jour. Une fessée
dans ces circonstances m’amène donc à passer la journée le derrière nu sous ma
jupe ou ma robe, puisqu’il est fort rare que je porte un pantalon. Ainsi, quelles
que soient mes activités au cours de la journée, la nudité de mes fesses me
rappelle tout au long de la journée comment elle a commencée. Il se trouve
d’ailleurs que, rentrant à la maison ce soir là plus tard que lui, mon homme
considéra comme nécessaire de « poursuivre ce qu’il avait commencé sans
pouvoir le terminer » dés mon retour au domicile conjugal. Et je reçu donc
une deuxième fessée, dans la même position et sur le même lieu que celle du
matin. Avec pour seule différence qu’il n’a plus été nécessaire de baisser ou
de retirer ma culotte, puisque je m’en passais depuis celle du matin. De la
même manière, et cela nous ramène aux circonstances de ce week-end entre amis,
il m’est arrivé à plusieurs reprises d’être fessée quelques instants avant l’arrivée
d’invités. Alors que j’étais en pleine préparation du repas, et sous un
prétexte quelconque, j’ai ainsi été « invitée à me préparer »
avec la menace, si je ne le faisais pas assez vite de « la » recevoir
quand nos amis seraient arrivés. C’est donc parfois sans quitter mon tablier
que j’ai du me pencher sur le plan de travail de la cuisine pour que mon mari
puisse honorer mes fesses comme il avait décidé de le faire.
Lieux.
Ce qui a donné l’occasion à mon mari de varier un peu ses
pratiques. Par exemple en utilisant des outils de cuisines, en particulier une
grande cuillère en bois, comme instrument de punition. Et dieu sait si ce banal
instrument peut être mordant. Mais pourtant, j’en témoigne, moins difficile à
supporter que le torchon de cuisine, a fortiori quand il est humide. Si le
premier laisse de vilaines traces qui virent rapidement au bleu, le second,
lui, laisse le derrière balafré de longues marques violacées. Je dois ajouter,
à ce propos, que la cuisine semble donner aussi de l’appétit en matière de
fessées à mon mari. Je me souviens ainsi d’une des fessées les plus marquantes
de ma vie d’épouse, que j’ai reçue les mains dans la farine alors que je
préparais une tarte. Mon homme ponctuant la fessée de la ritournelle de Claude
Nougaro « rien n’est plus beau que les mains d’une femme dans la
farine » et poussant le jeu jusqu’à, une fois la fessée terminée, me
poudrer les fesses avec cet ingrédient. J’ajoute qu’il devait être d’humeur à
plaisanter ce soir là, puisqu’il prit l’initiative d’accrocher ma culotte au
crochet qui, d’habitude, supporte une de mes casseroles en cuivre et qu’il
exigeât qu’elle y reste, sous peine
d’une récidive qui, en les circonstances, eût été fort difficilement
supportable pour mes fesses. Cette initiative ajouta donc à la cuisson qui
ravageait mes fesses alors qu’il me fallait à la fois participer à a
conversation et organiser le service à table, la préoccupation de devoir tout
faire pour refuser l’aide me mes convives pour les empêcher de pénétrer dans la
cuisine. Et je voyais bien sûr, dans les yeux pétillants de mon mari, le
plaisir que ma gêne lui donnait.
Mais, pour ce qui est de mes fessées occasionnelles, mon mari n’a pas non plus de règle fixe en terme de lieu. L’entrée, la cuisine, mais aussi le salon, la chambre, voire la salle de bain ou le garage, lui conviennent, au gré des circonstances. Il est même arrivé, pour ma plus grande terreur qu’une fessée il est vrai fort rapide – fort heureusement – soit donnée dans le jardin. J’en garde un souvenir très fort, même si la sévérité fut bien moindre que dans d’autres circonstances. Mais la peur que « cela » soit entendu de voisins et l’impossibilité de protester m’ont fortement marqué. J’ai bien sûr repensé à ces moments lors de la fessée reçue alors que nos amis occupaient une chambre pas si éloignée dans la maison.
Mais, pour ce qui est de mes fessées occasionnelles, mon mari n’a pas non plus de règle fixe en terme de lieu. L’entrée, la cuisine, mais aussi le salon, la chambre, voire la salle de bain ou le garage, lui conviennent, au gré des circonstances. Il est même arrivé, pour ma plus grande terreur qu’une fessée il est vrai fort rapide – fort heureusement – soit donnée dans le jardin. J’en garde un souvenir très fort, même si la sévérité fut bien moindre que dans d’autres circonstances. Mais la peur que « cela » soit entendu de voisins et l’impossibilité de protester m’ont fortement marqué. J’ai bien sûr repensé à ces moments lors de la fessée reçue alors que nos amis occupaient une chambre pas si éloignée dans la maison.
Fessées rituelles
Annokncées
Mais, aux yeux de mon mari, ces fessées données sur
l’instant ne sont en quelque sorte que des pis aller, des entrées en matière,
voir des promesses. Je sais en effet qu’à chaque fessée reçue ainsi au fil des
jours, correspondra, dans les jours qui suivent, ce qu’il appelle une
« vraie fessée » laissant ainsi entendre que les autres ne seraient
que des simulacres, ce en quoi je suis loin de partager son avis.
Pour lui, une « vraie » fessée est d’abord une
fessée en quelque sorte « organisée », au sens de prévue, planifiée. Il
tient en effet à un certain rituel. D’abord, le plus souvent, la fessée est
annoncée. Je sais donc, à l’avance, quand elle tombera. Parfois il me prévient
dés le matin, le plus souvent au moment où nous nous quittons, par un
simple :
« Ce soir, tu viendras dans mon bureau … »
J’ai donc toute la journée pour me préparer psychiquement à
ce que je sais inéluctable. Encore qu’il arrive que, sachant que je ne pourrais
pas rentrer assez tôt ce jour là, je le lui dise et qu’il consente à reporter
la chose au lendemain, en ne manquant pas d’indiquer :
« Avec le complément nécessaire, bien sûr »
Je sais alors qu’après la fessée « prévue » - sans
que je ne sache jamais ce qu’il a prévu justement – j’en recevrais une autre,
le fameux « supplément » en paiement du report accordé. Il n’est
cependant pas exclu que le soir même, quelle que soit l’heure de mon retour à
la maison, il choisisse de me donner ce qu’il appelle un « avant
goût » sous la forme d’une fessée rapide, telle que celles décrites
ci-dessus.
D’autres fois, je peux aussi être prévenue de ses intentions
vespérales par un SMS ou un simple coup de téléphone. Il sait, et il en joue,
qu’être ainsi informée au milieu de ma journée de travail, parfois alors que je
suis en réunion, me déstabilise, et qu’il m’est parfois difficile de reprendre
le cours normal d’une conversation professionnelle alors que je viens de
l’entendre me dire au téléphone :
« Ce soir je m’occuperais de tes fesses, ma chérie, tu
te prépares en conséquences. »
Préparées
A vrai dire, c’est plus moi que lui qui tient à cette
préparation. Quand je sais que « j’y passerais » le soir, j’aime en
effet faire en sorte de rentrer à la maison avant lui afin de disposer d’un peu
de temps avant le passage à l’acte. D’abord pour me détendre, l’expérience m’a
en effet appris qu’une fessée, même plus coriace, reçue alors que j’ai pu
souffler et me préparer est moins difficile
supporter qu’une volée reçue alors que je suis encore stressée et tendue
par ma journée de travail. Même si, avec la mauvaise foi dont il est capable,
il prétend parfois qu’il est « nécessaire » que je reçoive une fessée
pour faciliter ma détente.
Je rentre donc souvent vers dix-sept heures, je me sers un
thé, et je passe par la salle de bain. Selon le temps dont je dispose, je
prends un bain ou une douche, ce qui me calme et m’assure aussi que ma peau
sera plus douce et plus parfumée. Après tout, tant qu’à se retrouver les fesses
à l’air, autant qu’elles sentent bon ! Je passe une culotte. Il m’arrive,
parfois, de m’en passer, mais je sais que le « déculottage » est un
moment trop précieux à ses yeux pour l’en priver. Et puis, pourquoi lui fournir
un prétexte trop facile pour sévir ? Je choisis une jupe qu’il n’aura pas
trop de mal à retrousser. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire
simple ? Je pousse parfois l’insolence jusqu’à mettre un porte jarretelle.
Même si je sais que cela risque de lui donner encore plus de cœur à l’ouvrage –
il est fou de cet accessoire - pourquoi
ne pas lui faire plaisir ? En tout cas, jamais de collants. C’est
inenvisageable. Ce sera donc des bas ou rien.
Et puis … j’attends son retour.
Et puis … j’attends son retour.
Secret
C’est dire si la fessée que j’ai reçu ce premier soir de la
visite de nos amis était loin d’être une première, comme je l’ai laissé
entendre à Annie. Mais jusque là, mes fessées avaient toujours été sinon
secrètes en tous cas discrètes. En fait, il m’était arrivé de craindre que
d’autres aient pu « entendre » Mais ces autres étaient restés en
quelque sorte virtuels, hypothétiques. Comme ces voisins de chambre lors de nos
escapades à l’hôtel. Encore un lieu qui suscite chez mon mari de furieuses
envies de me claquer les fesses. Et comme les chambres sont souvent assez mal
insonorisées, il m’est arrivé, en effet, d’envisager que d’autres clients aient
pu s’étonner des bruits venant de notre chambre. Avec la perspective, le
lendemain matin au petit-déjeuner si la fessée était vespérale ou le soir même
si elle était apéritive, de me demander qui, parmi les convives, avait pu
entendre. A tel point qu’il m’est arrivé de faire part de mes craintes, tout en
sachant, d’expérience, que, comme ce sera le cas le soir de ce week-end
mémorable, il ne trouvera d’autre moyen d’atténuer le bruit que d’utiliser
d’autres instruments pour parvenir à ses fins. La ceinture, qu’il a d’évidence
toujours sous la main si je puis dire, ou le chausson de voyage, une belle mule
en cuir souple que j’ai eu la mauvaise idée de lui offrir. Ou même, depuis
quelques années, le martinet qu’il glisse maintenant presque systématiquement
dans se valise quand nous envisageons un séjour à l’hôtel.
Mais il reste que personne, dans mon entourage, même
familial, n’a évidemment la moindre idée de la manière dont l’homme si gentil
et intentionné qu’ils connaissent peut me traiter dans notre intimité, et c’est
fort bien comme cela. Il lui est arrivé souvent, justement quand nous recevons
de la famille ou des amis à la maison, de me menacer à voix basse de « m’en
coller ne devant tout le monde » Mais, jusqu'à ce fameux soir, personne
n’avait été témoin ni de la chose ni de la menace.
« L’incident » et ses suites.
Parmi les innombrables « bonnes raisons » de faire
passer un mauvais quart d’heure à mon derrière, le bris de vaisselle fait
sûrement partie de celles qui ont le plus souvent servies. Non que je sois
particulièrement maladroite, mais, comme je suppose toutes les femmes – ou les
hommes – qui font la cuisine et servent à table, il m’est arrivé de casser des
verres ou des assiettes. Et comment s’étonner qu’il se soit souvent saisi de ce
prétexte en or ? Quand j’ai malencontreusement laissé tomber ce foutu plat
en présence de nos amis, je savais donc que cela aurait, presque
inévitablement, des conséquences rougissantes et douloureuses pour mon popotin.
Mais il est vrai que mon sang n’a fait qu’un tour quand il a lancé sa vanne
inspirée de la ritournelle de Pierre Perret. Franchement, je ne sais toujours
pas, aujourd’hui, s’il avait, dés cet instant, prémédité de passer à l’acte le
soir même. Et peut-être le fait que je me sois laissé aller à lui demander, un
peu vivement je le confesse, de se taire a-t-il été le déclencheur.
A vrai dire, avant même que nous ne prenions congés de nos
amis pour la nuit, j’avais bien anticipé que la menace de mon mari ne resterait
pas virtuelle. Je n’ai donc même pas tenté vraiment de l’en dissuader. Comme je
l’ai laissé entendre le lendemain à Annie, j’ai seulement dit, alors qu’il
venait de me demander, selon sa formule habituelle de me « mettre en
position » en me penchant sur le lit :
« Tu
sais que nous ne sommes pas seuls … »
Mais j’ai obtenue la réponse que j’aurais presque pu
deviner : il est allé chercher sa ceinture qu’il avait déposée avec se
vêtements sur une chaise – nous étions lui et moi déjà déshabillés – et l’a
brandie avec un air interrogatif, et j’ai signifié mon acceptation par un
mouvement de tête. Mais il a quand même tenu à « préparer le
terrain » par une première volée de claques à mains nues, avant que la
bande de cuir ne vienne remplacer sa paume. J’ai pu réprimer autant que faire
ce peut mes cris, et je dois reconnaître qu’il n’il pas cherché à me faire
dépasser mes limites, mais je ne pouvais pas ignorer que cette fessée manuelle
d’entrée en matière avait pu être entendue depuis la chambre de nos amis. Quand
la fessée a été terminée, et après que mon cher et pas si tendre que cela soit
en effet passé à des activités plus câlines
montrant que la vue de mon derrière marqué des traces de ce qu’il venait
de subir avait toujours un effet très stimulant sur sa libido et sa virilité,
j’ai quand même murmuré :
« Tu
crois qu’ils ont entendu ? »
Il a levé les épaules en plaisantant :
« Je
n’en sais rien, si c’est le cas cela donnera peut-être des idées à Pascal.
Après tout, ta copine à un popotin qui, à ce que j’en ai vu, me semble bien
adapté à la chose, tu ne crois pas ? »
J’ai préféré ne pas entrer dans une discussion sur ce sujet,
mais, en effet, je n’ai pu m’empêcher de sourire en constatant, sans en être
étonnée, que mon mari avait bien remarqué les rondeurs callipyges de ma copine.
Je dois avouer, du reste, que l’idée qu’après tout son popotin visiblement plus
« généreux » que le mien, conviendrait fort bien aux activités
favorites de mon homme, m’était déjà venue.
En parler, ou pas ?
Je n’ai pas pu aborder à nouveau le sujet, et je ne sais pas
si je l’aurais fait, le lendemain matin, puisque quand je me suis réveillée,
mon mari était déjà parti. Je ne suis
pas vraiment capable de comprendre moi-même quand j’ai pris la décision d’en
parler avec Annie. En tout cas, je n’ai pas vraiment préparé comment je
pourrais savoir si elle et son mari avaient vraiment entendu quelque chose.
Quand Annie est arrivée dans la cuisine, et que nous avons pris le
petit-déjeuner ensemble, rien dans son attitude ne pouvait me faire penser que
mes craintes étaient fondées. Mais, quand elle s’est mise à tellement insisté
sur la gentillesse de mon mari en s’extasiant sur le fait qu’il s’était
tellement bien entendu avec le sien, j’ai imaginé le regard de celui-ci s’il
« savait ». Comment allait-il me considérer ? Aurait-il
interrogé Daniel ? Serait-il goguenard, méprisant ou au contraire
compatissant ? Ces questions me taraudaient tellement, qu’il me semble
que, pendant quelques instants, je n’ai plus entendu ce dont Martine me
parlait. Et soudain, les mots sont sortis de ma bouche, presque sans que j’ai
vraiment anticipé. Puis les questions et les réponses se sont succédé,
finalement de manière presque « naturelle », jusqu’à ce que j’en
arrive à lâcher « le » mot tabou en lui révélant tout à
trac :
« Il m’a flanqué une bonne fessée ! »
Une sorte de libération.
Curieusement, une fois ce mot prononcé, le reste de ma
« confession » a pour ainsi dire coulé de source. Il est vrai
qu’Annie, par ses questions, m’a facilité la tâche, et surtout m’a bien fait
comprendre que si la révélation lui a fait pousser les hauts cris, elle a pour
le moins suscité son intérêt. Son intérêt, mais pas de curiosité malsaine, j’en
suis persuadé. Et très vite, nous avons discuté de ce sujet pourtant brûlant,
c’est le cas de le dire, d’une manière presque banale. J’exagérerais à peine en
disant qu’après tout ce n’était pas si différent que si je lui confiais des
recettes de cuisine. Et quand il m’est arrivé de faire allusion, sans trop de
circonvolutions, aux conséquences de la fessée sur nos libidos respectives, je
l’ai fait sans véritable gêne, et il me semble que ma copine n’a pas été non
plus mal à l’aise d’entendre ces confidences. Il est vrai que, sans être
habituées à des conversations sur nos vies intimes, nous ne sommes pas des oies
blanches, et il nous était déjà arrivé, même si c’était à mots un peu couverts,
d’aborder ce genre de sujets entre nous. C’est d’ailleurs pour cela que je me
suis autorisé à la provoquer un peu, en faisant allusion au fait que si le
repas n’était pas prêt à l’heure, cela pourrait donner prétexte à sanction.
Tout en précisant tout de suite, pour la rassurer, qu’il n’était pas dans mes
intentions de e faire la propagandiste
de la discipline conjugale. Je dois pourtant reconnaître qu’une fois qu’Annie
ait quitté la pièce pour aller se doucher, l’image de nos deux hommes nous
fessant de conserve m’a traversé l’esprit. Et même si je n’ai alors pas du tout
envisagé que cette idée puisse se concrétiser, elle m’a fait sourire …
Tensions
Pourtant à son retour puis à celui de nos hommes, le sujet
ne fut plus abordé. En tout cas en la présence de nos amis. Par contre, alors
que nous nous étions retirés dans notre chambre pour la sacro-sainte sieste, mon
homme me fit galamment compliment sur l’état de mon postérieur, qui portait
encore les marques de ce qu’il avait subit la veille au soir, et il su trouver
la manière de me prouver la sincérité de son admiration. Je ne jugeais pourtant
pas nécessaire de lui raconter ma conversation avec Annie. Quand nous nous
sommes retrouvés pour la promenade de l’après-midi puis la préparation du repas
du soir, il n’y eut toujours aucune allusion salace entre nous. Pourtant,
insensiblement, il me semble que, dés que nous avons commencé à prendre l’apéritif autour du feu de bois,
une certaine tension s’est installée. Ni mots, ni gestes déplacés pourtant.
Mais une sorte d’électricité dans l’air, comme quand le temps annonce l’arrivée
de l’orage. Qui a fait que des échanges qui, en toutes autres circonstances,
eurent parus bien banaux, devenaient à double sens. Ambigus. Que mon mari
conseille à Annie de faire attention aux marches qui séparent la cuisine du
salon, dans une maison qu’elle ne connaissait pas, rien que de très normal.
Mais cette phrase bien innocente m’a tout de suite fait penser à l’incident de
la veille. Avant même qu’il ne me conforte dans ce souvenir en faisant allusion
aux conséquences de la casse. Sur le moment, la conversation ayant tout de suite
repris je n’ai pas vraiment mesuré si la phrase ambigüe était à mon intention
ou à celle de mon amie. Mais à partir de cet instant il me semble que la
conversation a ressemblée à une sorte de scène de théâtre. Nous échangions des
phrases, Annie détaillait la recette de ses verrines, moi-même j’évoquais
d’autres recettes, mais la tension était presque palpable. J’avais la curieuse
sensation d’être à la fois actrice de la scène somme toute bien banale que nous
vivions ensemble et spectatrice de celle-ci, comme si j’étais extérieure. Ainsi
j’ai eu vraiment l’impression de m’entendre prononcer le mot
« fesses » sans l’avoir choisi. D’autant que, d’habitude, je suis
plutôt réservée dans le choix des mots, ce qui amène souvent des moqueries de
la part de mon mari. Pourtant les faits
sont là, plutôt que de dire tout simplement « laisse moi faire »,
j’ai bien dit que je devais « bouger mes fesses » Et, quand je me
suis dirigée vers la cuisine, j’ai eu l’impression– probablement fausse – de
sentir les regards des autres sur mon derrière. Je suis cependant revenue dans
le salon sans, je pense, rien laisser paraître de mon trouble, d’autant que
personne n’avait semblé remarquer particulièrement le mot que j’avais employé.
Mais je ressentais encore plus cette sorte de vibration impalpable qui précède
l’orage. Et en effet l’orage éclata.
L’orage
Les quelques instants qui précédèrent celui-ci, je les ai
vécu comme quand on regarde une scène au ralenti. Annie se lève, elle regroupe
ma vaisselle restée sur la table basse, ce qui l’amène à se pencher vers
celle-ci et j’ai clairement le souvenir de sa
jupe qui moule son derrière et qui remonte un peu sur ses cuisses. Puis
elle se dirige vers la cuisine, et vlan, ce qu’elle portait s’écrase au sol
avec fracas. Le temps s’arrête, nous sommes passés de l’autre côté du miroir.
Avant même que mon mari ne prenne la parole, et qu’Annie entre dans le jeu en
acceptant explicitement de recevoir la fessée de celui-ci, j’ai déjà compris ce
qui va se passer. Pour la première fois de ma vie, je vais voir une femme
recevoir la fessée. Je vais voir une autre femme vivre ce que j’ai vécu si
souvent. Je sais que c’est mon amie qui va être fessée, mais d’une certaine
manière, c’est aussi moi qui, à travers elle, va l’être. Je suis bien
consciente du côté au sens propre du mot extraordinaire de ce qui se passe sous
mes yeux, mais en même temps il me semble que l’enchaînement des mots et des
gestes obéit à une sorte de normalité. J’entends mon amie admettre qu’elle doit
être traitée comme moi, puis même prononcer d’une voix peut-être un peu
étranglée mais pourtant bien audible, le mot de « fessée » Il est
bien clair que c’est mon mari qui dirige les choses, qui l’amène à prononcer ce
mot, puis à se présenter dans la position adéquate après que son mari ait convenu,
comme si là aussi c’était tout naturel, et par une formule recherchée, que sa
femme devait bel et bien être fessée par le maître de maison. Je comprends que
mon mari va dévoiler les fesses d’une femme qu’il ne connait que depuis
quelques heures devant moi et devant le mari de celle-ci. Qu’il va la
déculotter. Qu’elle va mettre ses fesses à l’air. Qu’elles vont être claquées
par la main de mon homme. Qu’il va lui faire ce qu’il me fait régulièrement.
Mais qu’il va le faire devant nous, comme s’il était après tout banal qu’une
invitée se retrouve le cul nu au milieu de notre salon. Comme s’il était
parfaitement normal que mon mari flanque la fessée à une visiteuse, et que le
mari de celle-ci n’y voit aucun inconvénient. Le plus incompréhensible, à postériori,
c’est qu’à aucun moment je n’ai ressenti la morsure de la jalousie. Pourtant ce
trait de caractère m’a valu bon nombre de fessées carabinées quand il m’est
arrivé de laisser paraître ma jalousie souvent en effet sans véritable raison.
Un soleil
Or, là, une femme, qui plus est mon amie, se penche
par-dessus le dossier du fauteuil, dans la position qu’il m’est si souvent
arrivée de prendre, et mon mari se met en demeure de retrousser sa robe puis de
baisser sa culotte, et je n’ai pas un instant la tentation ni de protester ni
même de faire quoi que se soit pour arrêter l’enchaînement des gestes. Et quand
le cul de mon amie apparaît à nos yeux, la première pensée qui me traverse
l’esprit c’est « mon dieu quel beau cul ! » Mais je ne vois pas
ce cul nu comme une concurrence, je n’en suis pas jalouse. Je suis
véritablement en admiration. J’y porte un regard pourrait-on dire esthétique.
Il faut dire qu’en effet, le derrière de Martine s’affiche avec une tranquille
insolence. Je sais bien qu’on utilise souvent le terme de « lune »
pour désigner cette partie du corps féminin. Mais là, c’est plus celui de
« soleil » qui me vient à l’esprit. Le derrière d’Annie, c’est un
soleil. Un derrière de femme de Rubens. Deux fesses rondes, épanouies, larges,
amples, généreuses. Un derrière bien plus imposant que le mien, ce que je
savais déjà, mais aussi d’un galbe fort différent. Comme deux gouttes d’huile.
Deux fesses séparées par une raie qui semble s’évaser, comme une large vallée
entre deux monts. Mon mari m’avait dit, la veille au soir, sur le ton de la
plaisanterie, que le « popotin » de mon amie lui semblait bien adapté
à la fessée. Ce que je découvre, en même temps que les deux maris, confirme à
l’évidence son diagnostic. Il me semble évident que non seulement ce derrière
peut être fessé, mais presque qu’il doit l’être ; qu’il n’attend que cela,
qu’il est fait pour cela.
Ensemble.
Daniel a clairement demandé à Annie si elle consentait à
recevoir la fessée. Il a tout aussi clairement sollicité le consentement de son
mari. Mais il ne m’a pas consultée. Ni par les mots ni même par le regard. Je
ne me suis d’ailleurs pas demandé ce que j’aurais répondu s’il m’avait demandé
mon avis. Je suis persuadé qu’il a compris que, non seulement j’acceptais qu’il
fesse une autre femme que moi, mais d’une certaine manière que je le
souhaitais. Pas du tout parce que j’aurais eu l’envie perverse de voir cette
autre femme souffrir, même si je ne pouvais ignorer que cela allait être le
pas. Mais parce que, dés lors que ce derrière était là, nu et radieux, il était
évident qu’il devait, je dirais qu’il méritait, d’être fessé. De même, mon mari
ne m’a en aucune manière suggéré, ne serait-ce que par un regard, d’aller
rejoindre Annie en me plaçant devant elle. C’est de ma seule initiative que
j’ai renoncé à voir ce derrière fabuleux être claqué et qu’il m’a semblé
nécessaire d’aller en quelque sorte accompagner mon amie en lui tenant les
mains. Pas du tout pour la contraindre, il était évident qu’elle n’était en
rien forcée. Mais bien plus pour partager ce moment avec elle. Pour, en quelque
sorte, que nous recevions cette fessée ensemble. Et, véritablement, nous
l’avons reçue ensemble. J’ai ressenti presque physiquement ce qu’Annie
ressentait. La crispation de ses mains à chaque claque. Le raidissement de son
corps, cette sorte de ruade sauvage suivie de la reprise attentive de la
position attendue pour recevoir l’assaut suivant. Le crescendo de la douleur
qui envahit le derrière, qui le recouvre, qui l’inonde. Le visage qui grimace
de douleur. Les yeux qui s’ouvrent et se ferment frénétiquement. Les yeux qui
roulent, s’écarquillent. La poitrine qui se gonfle, halète. La mâchoire qui se contracte. Puis la
libération du premier cri. Mes yeux sont rivés à ceux de mon amie. Me
voit-elle ? Je n’en sais rien. Je les vois se mouiller, puis les larmes
jaillir et couler sur ses joues. Je pense même avoir esquissé un sourire en
pensant que, moi, c’est une autre partie de moi-même que je sens suinter. Ma
copine souffre, cire, pleure, se tortille, grimace, sautille. Et moi, pourtant
en pleine empathie avec elle, moi qui suis bien placée pour savoir ce qu’elle
vit et subit, je mouille ma culotte. Je sens ma chatte qui dégouline. Je n’ai
pourtant pas le sentiment de trahir ma copine. Je ne me réjouis en rien de sa
souffrance. Je la partage, mais en même temps, mon sexe manifeste son émoi. Je
suis sure à cet instant qu’Annie ne m’en veut pas, qu’elle comprend, qu’elle
sait. Nous sommes véritablement en symbiose, en accord. Même si une idée me
traverse l’esprit : « mouiller son slip en voyant sa copine recevoir
sa fessée, cela mérite bien une fessée aussi, non ? »
Egalité
C’est dire si la « proposition » de Daniel ne m’a
pas vraiment étonnée, et qu’en quelque sorte je l’avais anticipée. J’ai
accompagnée Annie jusqu’au bout se sa fessée, le m’ai serrée dans mes bras, je
lui ai murmurée à l’oreille mon admiration pour son courage, et elle m’a
remerciée d’une toute petite voix encore cassée par les sanglots. Puis je lui
ai suggéré de renoncer à remettre son slip, l’incitant ainsi à observer une règle
que mon mari m’impose, mais qui évite aussi de raviver la douleur par le
frottement d’une culotte. Et puis, le fait de placer le slip bien en vue sur le
fauteuil illustrait peut-être à mes yeux le fait que la fessée que venait de
recevoir Annie n’était pas une fin en soi. En exposant ainsi sa culotte, Annie
entrait de plein pied dans le monde des femmes fessées. En fait, alors que je
suggérais de sabler le champagne, je savais déjà au fond de moi que cette
culotte ne resterait pas seule. Je n’en ai pas été consciente sur le moment,
mais je sais aujourd’hui qu’il était nécessaire, inéluctable, indispensable,
que je sois moi aussi fessée. Annie, novice en la matière, l’avait été devant
nos yeux, il n’était que justice que je le sois dans les mêmes conditions. Non
par égard pour le respect de je ne sais quelle discipline qui serait imposée
par mon mari, mais par égard pour mon amie. Elle avait montré ses fesses, je
lui devais de montrer les miennes. Je sais aujourd’hui que c’est à ce prix que
le risque de jalousie disparut. C’est ainsi que c’est sans barguigner que je me
suis plié à la volonté de mon mari de prendre la place de ma copine pour, moi
aussi, recevoir la fessée en public. Ce ne fut pas un simulacre de fessée, loin
de là. Pascal avait fessé Annie de belle manière, et je dois dire que j’avais
été presque étonnée qu’elle supporte une telle volée pour son initiation. Il
aurait été inenvisageable aux yeux de mon mari, mais aussi certainement aux
miens, qu’il me ménage plus qu’il n’avait ménagé mon amie. Je reçue donc une
fessée carabinée. Peut-être fallait-il, en effet, que Daniel pousse les choses
assez loin pour m’amener, moi aussi, au point de non retour. Aux cris non
contrôlés, aux larmes, et à cet abandon auquel était parvenue Annie.
Dépassement.
Il me semble que je suis arrivée à ce point plus vite que
d’habitude. Cela veut-il dire que cette fessée fut plus sévère que celles que
je reçois régulièrement ? Je n’en suis pas sûre. D’abord, ce jour là, mon
mari n’utilisât « que » sa main, alors que, bien souvent, c’est aux
lanières d’un martinet, à une ceinture, voire à d’autres instruments que mes
fesses ont à supporter. Je ne suis même pas persuadée qu’il m’ait fessé plus
sévèrement que les autres fois. Mais il faut bien comprendre que le ressenti
d’une fessée n’est pas seulement proportionnel au nombre de claques reçues ou à
la force de celles-ci. Il dépend surtout, me semble-t-il, de l’état psychique
dans lequel se trouve celle qui la reçoit. Ainsi, il me semble que le fait de
recevoir cette fessée en quelque sorte « en public » ou, selon
l’expression qu’avait utilisé souvent mon mari en termes de menaces que je
n’avais jusque là pas vraiment prises au sérieux, « devant tout le
monde » a contribué pour beaucoup à accentuer mes sensations. Contrairement
à ce qui paraitrait peut-être normal, je n’ai pas vraiment tenté de résister
plus longtemps qu’à l’accoutumé, au contraire. Ainsi je pense avoir laissé
échapper mes cris et mes pleurs plus vite que d’habitude. Ce qui a aussi
contribué à rendre cette fessée très particulière, c’est que, juste avant,
j’avais assisté à celle reçue par ma copine. Ainsi, maintenant, je savais fort
précisément quel spectacle j’offrais à ceux qui y assistaient. J’avais vu Annie
se « mettre en position », je savais donc comment le derrière de
celle qui se place ainsi est exposé, présenté, presque offert. Je savais que ce
cul – en l’occurrence donc le mien come le sien auparavant – devenait
l’épicentre de la personne concernée. Qu’on ne voyait véritablement plus que
lui. J’avais de même pu voir l’image saisissante de la mise à l’air de ce
postérieur. Pour Annie, la jupe avait été relevée par mon mari, je fis le
choix, moi, de m’éviter cette étape, en allant tout de suite plus loin, puisque
je retirai directement ma robe pour apparaître tout de suite en sous-vêtements.
Et de la même manière, répondant à une suggestion ferme de mon mari, mais aussi
de ma propre volonté, je fis le choix de baisser moi-même ma culotte, en
sachant fort bien qu’ainsi mon derrière serait comme encadré, mis en valeur,
par celle-ci et le porte - jarretelles.
Comme je m’étais placée devant Annie pendant qu’elle recevait sa fessée, je n’avais pas vu son derrière se colorer. Mais j’avais pu constater, quand elle s’était relevée, qu’il était en effet bien plus rouge encore que je ne l’aurais imaginé. Bien sûr, il m’était arrivé, souvent, après ne fessée, d’aller constater dans un miroir l’état de mes fesses. Mais jamais immédiatement après la fessée, et encore moins au cours de celle-ci. Aussi, quand la fessée commença pour moi, j’imaginais tout de suite le changement de couleur de mes fesses. Dés que les claques commencèrent à s’abattre sur mon postérieur, j’eus la vision de celui-ci virant au rose puis au rouge vif. Et, après avoir assisté à la fessée de mon amie, je savais aussi comment celle qui la reçoit ne peut s’empêcher de gigoter. J’avais vu le corps d’Annie se raidir, se révolter, se cambrer, puis reprendre docilement la position attendue, comme pour signifier qu’il attendait que la punition se poursuive. Encore une fois, pourtant, je n’ai rien fait pour contrôler mieux mes réactions. Je sais que, très vite, je me suis mise à piétiner de douleur, à me hausser sur la pointe des pieds, réaction pourtant contradictoire, puisqu’elle approche ainsi le derrière de la main qui le fustige. J’avais entendu les « umpf » puis les « ailes » d’Annie. Je n’ai pas tenté de réfréner mes plaintes, presque au contraire. Dés lors que j’avais explicitement accepté cette fessée devant témoins, en considérant en effet que « je le devais » à Annie, plus qu’à mon mari, j’avais aussi, en fait, accepté toutes ses conséquences. J’étais donc pleinement consciente de mes mouvements, de mes cris, de mes pleurs. J’étais au-delà des conventions, au-delà de la fierté, au-delà de la pudeur. J’étais une femme que l’on fesse, je ne cherchais pas à être autre chose. Annie avait crié et pleuré, je faisais de même. Pourtant, à aucun moment, je ne me suis senti humiliée. Je n’ai jamais ressenti de honte. Cette fessée, je l’avais totalement acceptée, assumée, presque revendiquée. Sans être pudibonde à l’excès, je suis plutôt pudique. Mais, à cet instant, j’assumais sans la moindre honte, je pourrais presque dire sans la moindre gêne, de montrer mon cul. Il me fallait être fessée, pour être fessée, il faut être cul nu, j’étais fessée, j’étais donc cul nu. Voilà tout.
Comme je m’étais placée devant Annie pendant qu’elle recevait sa fessée, je n’avais pas vu son derrière se colorer. Mais j’avais pu constater, quand elle s’était relevée, qu’il était en effet bien plus rouge encore que je ne l’aurais imaginé. Bien sûr, il m’était arrivé, souvent, après ne fessée, d’aller constater dans un miroir l’état de mes fesses. Mais jamais immédiatement après la fessée, et encore moins au cours de celle-ci. Aussi, quand la fessée commença pour moi, j’imaginais tout de suite le changement de couleur de mes fesses. Dés que les claques commencèrent à s’abattre sur mon postérieur, j’eus la vision de celui-ci virant au rose puis au rouge vif. Et, après avoir assisté à la fessée de mon amie, je savais aussi comment celle qui la reçoit ne peut s’empêcher de gigoter. J’avais vu le corps d’Annie se raidir, se révolter, se cambrer, puis reprendre docilement la position attendue, comme pour signifier qu’il attendait que la punition se poursuive. Encore une fois, pourtant, je n’ai rien fait pour contrôler mieux mes réactions. Je sais que, très vite, je me suis mise à piétiner de douleur, à me hausser sur la pointe des pieds, réaction pourtant contradictoire, puisqu’elle approche ainsi le derrière de la main qui le fustige. J’avais entendu les « umpf » puis les « ailes » d’Annie. Je n’ai pas tenté de réfréner mes plaintes, presque au contraire. Dés lors que j’avais explicitement accepté cette fessée devant témoins, en considérant en effet que « je le devais » à Annie, plus qu’à mon mari, j’avais aussi, en fait, accepté toutes ses conséquences. J’étais donc pleinement consciente de mes mouvements, de mes cris, de mes pleurs. J’étais au-delà des conventions, au-delà de la fierté, au-delà de la pudeur. J’étais une femme que l’on fesse, je ne cherchais pas à être autre chose. Annie avait crié et pleuré, je faisais de même. Pourtant, à aucun moment, je ne me suis senti humiliée. Je n’ai jamais ressenti de honte. Cette fessée, je l’avais totalement acceptée, assumée, presque revendiquée. Sans être pudibonde à l’excès, je suis plutôt pudique. Mais, à cet instant, j’assumais sans la moindre honte, je pourrais presque dire sans la moindre gêne, de montrer mon cul. Il me fallait être fessée, pour être fessée, il faut être cul nu, j’étais fessée, j’étais donc cul nu. Voilà tout.
Plus loin
De même, bien que placée comme je l’étais durant la fessée
d’Annie, je comprenais bien que ceux qui assistaient la mienne ne voyaient pas seulement mes
fesses. Mais que c’est aussi mon intimité la plus secrète, ma chatte et même
mon pet trou qui devaient leur être visibles. Mais cela était la conséquence de
ce que j’avais accepté, cela devenait donc inéluctable. Je montrais mon cul, je
montrais mon sexe, je laissais voir mon trou du cul, mais tout cela,
pourrait-on dire, « à l’insu de mon plein gré » Je ne me sentais pas
impudique, je me sentais seulement fessée. C’est en cela, finalement, que cette
fessée fut, pour moi, comme une révélation, comme une initiation. Peut-être les
mots ne traduisent-ils pas bien ce que j’ai ressenti, mais jusque là j’avais
reçue des fessées, alors que là j’étais « une femme fessée » Je pense
sincèrement que, dés cet instant, je suis passé dans une autre dimension. Avec
une autre échelle des valeurs, d’autres règles, d’autres conventions. Dans la
vie ordinaire, une femme ne montre pas son cul. Mais je n’étais plus dans la
vie ordinaire. C’est pourquoi je suis allé « aussi loin » Plus loin
peut-être que mon mari n’avait envisagé que j’aille. En effet, c’est de ma
propre initiative qu’après avoir, de manière je dirais « habituelle »
retiré complètement ma culotte une fois
la fessée terminée, j’ai aussi retiré ce qui me restait de sous-vêtements.
Daniel ne me l’a pas demandé, il m’a seulement murmuré « tu as été très
belle, ma chérie » Mais il m’a semblé presque naturel d’ôter mon soutien
gorge et mon porte-jarretelles. Ce qui, du reste, ne changeait pas grand-chose
du point de vue de la pudeur. Quel sens aurait eu le fait de cacher mes seins
après que les assistants aient pu voir ce qu’ils avaient vu de moi ? Un
simple échange de regards avec mon mari m’a fait comprendre qu’il me fallait,
encore une fois, « me dépasser » C’est donc toute nue, à poil, que je
me suis retournée vers lui et nos hôtes. En toute autre circonstance,
l’instinct m’aurait dicté de dissimuler mes seins et mon bas-ventre avec mes
mains. Je ne l’ai pas fait. Ils avaient vu mon cul, ils verraient mes seins, et
ils verraient ma chatte. Cela me semblait soudain « dans l’ordre des choses »
Tout juste ai-je saisi une couverture pour me la mettre sur les épaules, mais
seulement parce que je frissonnais de froid.
Annie aussi.
Je sais que cela peut sembler difficile à croire, mais quand
je me suis assise avec les autres, je me sentais parfaitement à l’aise.
Sereine, soulagée. Et, sans que je puisse expliquer pourquoi puisqu’elle n’a
rien dit et rien fait, j’ai eu la certitude qu’Annie, elle aussi, était prête à
se dépasser. Du reste, Daniel avait probablement aussi senti la disponibilité
d’Annie, mais aussi de Pascal. Celui-ci n’avait jusque là pas prononcé un mot
depuis son fameux « à Rome on fait comme les romains » Mais il
acquiesça quand Daniel fit part de son admiration pour « nos petites
femmes » indiquant ainsi sans ambages qu’il nous mettait toutes les deux
en quelque sorte « dans le même panier » si j’ose dire. Quant à ce
qui concerne Annie, elle n’a jamais exprimé son intention de m’accompagner,
mais je suis tout à fait sûre que, quand Daniel a suggéré que « nous
montrions », non seulement elle a tout de suite compris de quoi il
s’agissait mais aussi elle a bien enregistré que l’invitation avait été lancée
au pluriel. Et, sincèrement, je pense avoir en quelque sorte « lu »
dans son regard qu’elle était prête à me suivre très loin. Bien sûr, elle ne
pouvait pas savoir précisément jusqu’où je voulais aller, et je crois que,
quand je me suis levée, je ne le savais pas moi-même. Ce n’était pas la
première fois que mon mari sollicitait ainsi de contempler « son
œuvre » Et je sais donc, d’expérience, qu’il trouve un véritable plaisir
dans la vue du derrière qu’il vient de faire rougir. Une de ses expressions
préférée n’est-elle pas « il n’est rien de plus beau que ton cul quand on
je vais de fesser, si ce n’est ton cul quand il vient de l’être » Dois-je
avouer que cette déclaration me remplit toujours d’une certaine fierté ?
Annie m’a donc accompagnée, et il me semble que c’est sa
présence auprès de moi, et la pression confiante de sa main dans la mienne qui
m’a poussée à aller plus loin que le seul fait de faire voir à mon mari – et
donc au sien – l’état de mes fesses. Il s’est alors mis en place entre elle et
moi une sorte de duo, et aussi de surenchère. J’ai quitté ma couverture, elle a
quitté sa jupe. Je me suis penchée en avant pour mieux exhiber mon cul, elle
s’est mise tranquillement à poil. Je me sis retournée, elle en a fait de même.
J’ai provoqué mon mari en feignant de m’adresser aux deux hommes, et il m’a
suivi en sortant tranquillement sa bite pour nous faire constater que la vue
que nous lui offrions ne le laissait pas indifférent. J’ai alors fait encore
monter les enchères en provoquant son mari, et je dois dire qu’il n’a rien fait
pour m’empêcher d’arriver à mes fins. Non seulement Annie n’a en rien manifesté
son refus, mais elle m’a pris à mon propre jeu en surenchérissant, allant même
jusqu’à reprendre l’expression qu’avait utilisée son mari pour signifier son
accord pour qu’elle soit fessée pour justifier qu’elle fasse à mon mari ce que
j’étais entrain de faire au sien.
Nous nous sommes donc mises, de conserve, à pomper
consciencieusement chacune la queue du mari de l’autre. Je ne sais pas si elle
est habituellement adepte de la « gorge profonde » ni s’il est usuel
pour elle de sucer son homme jusqu’à la jouissance. Nous ne sommes pas assez
intimes pour nous être fait ce genre de confidences. Que du reste je n’ai
jamais fait à qui que se soit. En tout cas, son mari a semblé apprécier à sa
juste valeur mes qualités de suceuse, et il me semble que le mien ne perdit
rien au change. Nos deux hommes déchargèrent donc à quelques secondes
d’intervalles, chacun dans la bouche de la femme de l’autre. Je dois aussi
convenir que, de mon côté, cette expérience fut très loin d’être désagréable.
Je ne me connaissais pas ce fantasme, mais il faut bien avouer que le fait de
pratiquer cette caresse à un homme que je connais à peine, et surtout le fait
de le faire sous les yeux de mon mari et de l’épouse de celui que je suçais m’a
procuré un degré d’excitation assez extraordinaire. Tandis que je prenais en
bouche ce sexe long et fin, au gland recouvert alors que celui de mon mari est
circoncis, tandis que je pressais les couilles comme des fruits mûrs, tandis
que je sentais les frémissements de la bite dans ma bouche, et que j’entendais
les soupirs de plaisir du mari de ma copine, je sentais mon sexe véritablement
dégouliner. D’ailleurs, quand nous sommes passées à la salle de bain, l’intérieur
de mes cuisses était moite de ma mouille. Et mon visage et mes seins couverts
de traces de sperme. En effet, il m’a semblé que Daniel avait produit une
quantité de liqueur assez stupéfiante. Bien sûr, j’en ai reçu une bonne donne
dans la bouche, et j’ai dégluti sans dégout, mais comme, d’instinct, mon
partenaire s’est reculé, le reste des jets se sont écrasés sur mes lèvres et
sur ma poitrine. Pourtant, une fois encore, et bien que je sois peu habituée à
ce genre de pratique, le fait de recevoir ainsi le sperme sur ma peau ne m’a en
rien humiliée. Je dirais presque au contraire, j’ai ressenti ce qui ressemble
bien à de la fierté d’être ainsi marquée des signes du plaisir de mon
partenaire.
Faire et non dire.
Au moment où j’écris ces lignes, je ne sais toujours pas si
Annie a été consciente que ces moments étaient aussi nouveaux pour moi que pour
elle. Peut-être a-t-elle cru que Daniel et moi étions de vieux habitués de
l’échangisme. Peut-être aussi a-t-elle pensée que j’étais coutumière des
caresses saphiques. Peut-être aussi, après tout, est ce moi qui n’ait rien
compris, et que ce couple qui nous paraissait tout découvrir était-il, en fait,
plus habitué que nous à ces pratiques ? Après tout, Pascal s’était en tout
cas fort bien adapté à la situation, et Annie m’a semblée apprécier autant que
moi notre rapprochement sous la douche.
Alors, au final, quel couple a été l’initiateur de l’autre ? Je ne le sais toujours pas. Il m’a semblé qu’à un moment, Annie était prête à commenter ce qui venait de se passer. Je l’en ai empêchée, et je reste convaincue que j’ai eu raison de considérer que ces choses là se font plus qu’elles ne se disent.
L’avenir nous dira si nous en resteront dans cette ignorance, et si cette soirée restera un moment magique, presque irréel, mais unique, ou si elle n’aura été que la première étape d’une découverte mutuelle.
Alors, au final, quel couple a été l’initiateur de l’autre ? Je ne le sais toujours pas. Il m’a semblé qu’à un moment, Annie était prête à commenter ce qui venait de se passer. Je l’en ai empêchée, et je reste convaincue que j’ai eu raison de considérer que ces choses là se font plus qu’elles ne se disent.
L’avenir nous dira si nous en resteront dans cette ignorance, et si cette soirée restera un moment magique, presque irréel, mais unique, ou si elle n’aura été que la première étape d’une découverte mutuelle.
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