samedi 28 août 2010

Le plén ipotentiaire 3ème partie

Vendredi 16 mars
De A*S* à E*

Merci de m’aider par vos questions. Ainsi donc quand votre plénipotentiaire est revenu je lui ai proposé de nous rencontrer pour qu’il exécute sa mission et que cela se passe le lendemain, mercredi, dans un motel à la sortie de la ville.

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Vendredi 16 mars
De E* à A*S*

Vous moquez – vous de moi, A* ? Je vais fini par croire que mon plénipotentiaire a bien mal fait son travail pour que vous soyez encore aussi désobéissante ! Je vous ai demandé d’être claire, précise, et d’employer les mots qui conviennent. J’attends !

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Vendredi 16 mars
De A*S* à E*

Bien, monsieur, je vais reprendre en essayant de respecter vos consignes. Je vous confirme donc, pour employer les mots que vous souhaitez me voir écrire, avoir reçu ma fessée, avant-hier, dans le motel où j’avais donné rendez-vous à celui à qui vous aviez donné la consigne de me chauffer les fesses. Et il l’a fait, oh combien !

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Vendredi 16 mars
De E* à A*S*

C’est mieux, mon A*, je vois que vous êtes sur la bonne voie. Précisez- moi la tenue que vous aviez adoptée pour cette échéance. Mais auparavant indiquez-mo comment vous avez passé la dernière journée et la dernière nuit avant celle-ci. Je veux de la précision, m’entendez-vous ?
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Vendredi 16 mars
De A* S* à E*

Je vais répondre à votre exigence, monsieur. Mais si vous m’y autorisez je vais le faire dans une « pièce jointe » que je vous envoie avant ce soir. Merci d’avance de votre tolérance.
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Vendredi 16 mars
De E* à A*S*

Mais bien sur que je vous y autorise, chère A*. Mais vous comprendrez qu’en échange de ma patience je sois en droit d’exiger la plus grande précision. Prenez votre temps. A bientôt.

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Dimanche 18 mars
De A*S* à E*
P.J. : L’avant.

Merci de m’avoir donné le temps d’écrire les choses avec soin, monsieur. J’espère que mon travail vous donnera satisfaction.

L’avant

La veille

Je ne sais pas quand j’ai pris la décision d’accepter ce défi qui m’était lancé, à moins que je ne doive dire cette invitation ? En réalité il me semble que je n’ai jamais pris véritablement cette décision. Je veux dire que ma raison ne m’a jamais amené à accepter, à moins que je ne doive dire à demander, cette épreuve. A moins que je ne doive dire cette récompense ? Je l’ai pourtant fait. C’est bel et bien moi, A*, qui ai donné ce rendez – vous à cet homme dont je ne savais rien si ce n’est qu’il venait de votre part, à votre demande, sur votre injonction. Dés lors, vous le comprenez, monsieur, c’est bien à vous, et à personne d’autre que je donnais rendez – vous. .C’est bien à vous, et à personne d’autre, que je faisais confiance, entièrement, absolument, complètement. En fait, au moment où j’ai donné ce rendez-vous, tout était étonnamment clair dans ma tête. Comme si j’avais organisé la chose de longue date, avec soins et dans les détails. Je savais pouvoir disposer de mon après-midi, puisque ma fille serait chez sa grand-mère et mon homme dans une autre ville. Je connaissais ce motel, je l’ai raconté ailleurs, c’est là que j’ai rencontré pour la première fois un homme croisé sur le net. Et pourtant, aussitôt après, je suis retombée dans l’incertitude, l’hésitation, l’angoisse. « Y aller » me paraissait impossible, fou, trop risqué, stupide, aventureux, déraisonnable. Et c’était vrai, vous le savez aussi bien que moi. Et peut-être est-ce justement pour cela que vous me le proposiez. « Ne pas y aller » me paraissait fou, trop risqué, aventureux, déraisonnable. Et c’était vrai aussi, à mes yeux en tout cas. Bien sur vous perdre, vous voir disparaître de ma vie me paraissait trop dur, impossible, insupportable. Mais, franchement, je ne pense pas que j’ai accepté pour céder à un chantage. En fait, quelque part au fond de moi, je savais que nous ne me menaciez pas vraiment de disparaître. Je savais que je n’avais pas à céder à un échange sordide. Non pas que j’ai pensé un seul instant « il bluff, de toutes manières il sera là vendredi, même si je refuse ». Non, vraiment, je n’ai pas pensé cela un instant. Je n’ai jamais pensé que vous brandissiez une menace que vous saviez ne pas mettre en pratique quelle que soit ma décision. Mais je savais, au fond de moi, que vous ne pouviez pas disparaître de ma vie. Parce que je savais, au fond de moi, que j’allais « le faire ». Non pour remplir ma part d’un contrat sordide, mais, en fait parce que, presque depuis toujours, je savais que je le ferais, sans même en avoir pris la décision. Du reste, aujourd’hui, après que la chose ait eu lieu, je suis totalement incapable de dire – de vous dire – à quel moment j’ai pris ma décision. Il se trouve simplement qu’au cours de la journée, tranquillement, la chose est devenue presque évidente à mes yeux. Il me fallait ma préparer pour aller, demain, recevoir ma fessée. Celle qu’un inconnu allait me coller au nom et au lieu et place de mon « monsieur ». De celui qui allait me faire ce cadeau inimaginable : me faire découvrir son monde, celui des femmes fessées. Et, d’une certaine manière, quand la décision est devenue évidente à mes yeux, l’angoisse s’est totalement éclipsée. Au risque de vous fâcher – et peut-être de mériter une nouvelle sanction, monsieur ? – j’ai presque « oublié » l’échéance. Ma journée du mardi s’est –presque- passée de manière ordinaire. Sauf, bien sur, que j’ai passé beaucoup de temps dans mon « dressing » (est-ce que cet anglicisme veut dire le lieu qui fait se « dresser » l’organe des messieurs quand les femmes s’y prépare, monsieur ?) à choisir mes vêtements. Et mes sous-vêtements. Je les ai mis soigneusement de coté, cachés tout en haut de ma penderie. L’ensemble coordonné culotte-soutien gorge – porte jarretelle noir. Celui que vous connaissez pour l’avoir vu en photos. Il m’a semblé qu’ainsi vous seriez plus près de moi encore. Celui avec cette culotte plutôt couvrante, dont je savais qu’elle pourrait être ramenée dans la raie de mon cul si tel était la volonté de celui qui me fesserait. Celle aussi qui, une fois baissée juste sous les fesses, ferait avec les rubans du porte jarretelles,, comme vous me l’aviez dit avec gentillesse un joli cadre pour mon cul. J’ai aussi choisi un chemisier, sans savoir s’il me faudrait l’ouvrir ou le quitter, mais en pensant que si cela avait été vous, vous auriez aimez en ouvrir un a un les boutons. Un gilet par-dessus – eh oui, monsieur, même pour vous être agréable, je ne me suis pas engagée à risquer la fluxion de poitrine, et nous sommes quand même proche du grand Nord, vous savez. Et pour « le bas » une jupe – bien sur, je n’allais pas provoquer l’ire de votre représentant en faisant la faute de gout de me présenter en pantalon ! Pas une « mini », vous savez que mes formes ne me le permettent pas vraiment. Une jupe sage, qui m’arrive à mi – cuisses, et qui est assez large pour être troussée sans trop de difficultés. Et je savais, bien sur, qu’elle le serait. Bien sur j’ajoutais à ces vêtements l’indispensable parie de bas, des gris fumés, soyeux à souhaits, si doux que les toucher seulement me donne une crispation là où « vous savez » Le reste de la journée, je l’ai passé – presque – sans penser à ce « lendemain ». Je me suis occupée de ma fille, j’ai fait quelques courses, j’ai préparé le repas pour mon homme le soir, et ses affaires pour sa journée du lendemain. Je savais qu’elle serait rude pour lui (plusieurs centaines de kilomètres dans la journée, une réunion importante …) même si lui ignorait qu’elle le serait aussi pour moi ! Nous avons dîner, mon homme s’est affalé un moment devant la télé tandis que je faisais ma toilette, puis je me suis couchée et il est venu me rejoindre presque tout de suite.

Le soir

Je ne sais si c’est la perspective de ce « lendemain qui chante » qui me faisait être plus tentante que d’autres jours, ou si c’est, pour lui, celle d’être loin de moi une longue journée, mais toujours est-il que mon mari a été … tendre ce soir là. Et comme il me semble commencer à vous connaître et que je ne veux pas vous donner une nouvelle raison pour sévir avant que mes fesses ne se soient entièrement remises de leur première épreuve, je suppose qu’il me faut être plus explicite. Dés qu’il a été allongé auprès de moi, ses mains se sont égarées, comme par hasard, sur mes seins. Vous le savez, ceux-ci ne sont pas sages, et ne restent guère insensible aux hommages masculins. Leurs bouts se sont donc immédiatement durcis et le coquin s’est mis à me triturer le droit tandis qu’il s’emparait du gauche de la bouche. L’effet ne s’est pas fait attendre : un coup de poignard au plus profond de ma chatte, que j’ai senti se mettre à couler. Dans le même temps, prudente, je vérifiais de la main la qualité de l’érection de mon chéri. Il n’y avait rien à redire, j’avais en main une belle queue, bien raide, bien dure, musculeuse à souhait. Je soupesais de la paume une belle paire de couilles, solides et remplies comme des fruits en été. Ma main remontée le long de la tige, pour découvrir ce renflement qui me fait toujours tressaillir. Son gland en chapeau de champignon, déja en partie sortie de sa gangue. Doucement, je me suis mise à le branler, laissant mes doigts aller et venir de la base de la bite jusqu’à la limite du gland. Il me faisait part de son appréciation positive sur mes initiative par des grognements explicites, qu’il a pourtant jugé nécessaire de rendre encore plus clairs en soufflant : « oui, vas-y, branle le, chérie, c’est bon » A vrai dire, je n’en doutais pas, mais un compliment n’est jamais mal venu, et, tout les enseignants le savent (n’est-ce pas monsieur le professeur ?) les félicitations amènent les élèves à se surpasser. Je n’y manquais pas, me mettant à genoux, au risque assumé de le faire abandonner sa délicieuse succion de mon sein pour me mettre de demeure de lui rendre la pareille sur sa queue. Me voilà donc occupée à engouffrer franchement son dard dans ma bouche, jusqu’à l’en emplir. Je sais que pour beaucoup de femmes ce geste est un cadeau qu’elles font, contre fortune bon cœur, à leur partenaire. J’ose espérer qu’il le reçoit ainsi, et les soubresauts de la chose sur ma langue comme les « humm, encore, suce, c’est bon….suce encore… » me portent à le croire. Mais, je dois l’avouer, j’adore cette sensation d’une belle queue dure et noueuse dans ma bouche. J’aime la sucer, ma mordiller, la pomper, la lécher, l’entourer de ma langue agile, l’étrangler entre mes joues, la faire entrer loin, si loin, jusqu’à la limite avant le haut le cœur quand elle touche mes amygdales. Et pendant que je m’acquittais ainsi d’un devoir conjugal ma fois fort agréable, mon homme prenait l’agréable initiative … de coller ses deux grandes pattes sur mes fesses et de les triturer comme un boulanger façonne sa pâte à pain. Et vous êtres bien placé, monsieur, pour savoir qu’il avait à sa disposition une belle grosse miche de pain ! Serait-ce parce que, sans m’en rendre compte, j’y pensais si fort, mon chéri prit même l’initiative, rare chez lui, de lancer quelques claques sonores sur mon postérieur épanoui de bonheur. Puis, restant concentré sur son sujet (mon homme est un méthodique) le voilà qui écarte mes fesses à pleines mains et qu’il glisse un doigt inquisiteur vers le petit trou qui n’en demandait pas tant. «L’index qui montre le chemin » comme le dit la comptine enfantine, trouve le sien sans trop hésiter. Mais, trouvant surement celui- ci un peu trop aride à son gout, voilà le maître doigt qui recule, repars vers la source vive, y prélève le lubrifiant qui lui manque, et reprend derechef le chemin du trou du cul, pour s’y glisser cette fois sans ménagement. Et ce doigt bien inspiré de me fourrager le cul de belle manière. Mais il n’est, comme on dit, de bonne compagnie qui ne se quitte, et mon homme, sentant probablement qu’il ne résisterait plus très longtemps aux sollicitations de ma bouche, en retire son membre pour exécuter un rétablissement digne des meilleurs gymnastes et se retrouver à genoux derrière moi, une main occupée …. comme indiqué ci-dessus, l’autre me saisissant la crinière sans autre forme de procs, et la queue entrée sans crier gare dans une chatte qui n’attendait pour tout dire que cela. Puisqu’il faut vous dire les choses sans craindre les mots, monsieur, je fus donc prise par les deux trous, mon homme activant son doigt dans mon cul en alternance avec sa queue dans ma chatte. Vous étonnerai-je en avouant que ce fut un bon moment, après lequel lui et moi sombrâmes dans les bras de Morphée. Et à mon réveil, mon galant homme avait quitté le lit sans juger utile de me réveiller. La chambre sentait encore cette odeur de goudron des soirs d’amour. L’oreiller gardait celle de son eau de toilette, mêlée à celle su sperme et de la sueur. Je l’avoue, j’ai ressenti à cet instant précis un immense amour pour lui. Et pourtant, à la même seconde, je savais que, quelques heures plus tard, j’offrirais mon cul à un autre. Comme le dit un humoriste de chez nous « je n’en ai connu qu’un qui ai compris quelque chose aux femmes, et il est mort en bas âge » !

Ce jour là

Rassurez vous, monsieur, si vous avez quelque autre activité que de lire mes confessions, je ne vais pas vous raconter heure par heure cette matinée et le début d’après-midi. Il vous suffira de savoir que je fus sage, capable même – ce qui n’est pas si fréquent – de me doucher et de m’habiller sans un seul instant céder à mes bas instincts masturbatoires. J’aurais pu ne me mettre « en tenue » qu’après le dîner (oui, je sais, monsieur le français, après le « déjeuner » pour vous) mais d’une part je n’étais pas trop encline à manger juste « avant » et surtout il me semblait plus honnête que les vêtements que l’exécuteur de la mission aurait éventuellement à sentir aient été portés depuis le matin. J’ai lu quelque part le témoignage d’une femme qui disait passer un slip propre et frais juste avant la fessée. Je ne juge pas de ses choix, mais il me semble que c’est aussi priver le monsieur d’une part de la vérité de la dame.

A 14h30 j’ai enfilé mon manteau de pluie, j’ai pris mon sac, et je suis sortie. Me croiriez vous, j’étais alors parfaitement calme, parfaitement sereine. Infiniment moins angoissée que lors de mes rendez-vous clandestins précédents. Sachez le, monsieur, vous étiez à mes cotés, et je sacvais qu’il ne pouvait rien m’arriver. J’avais imaginé d’arriver à l’avance dans le bar et de m’installer de manière à « le » voir arriver sans qu’il me voit. J’ai abandonné cette idée de mauvais polar. Quelques minutes avant 15 heures je me suis assise sur un fauteuil, un de ceux dont je sais qu’il a tendance à faire découvrir les jambes des femmes en jupe mais qu’en avais-je à faire ? J’ai commandé un jus d’orange. Il n’est jamais inutile de prendre quelques vitamines. Quand le serveur me l’a amené, il m’a indiqué que la consommation était payée – comment avait-il fait ? et que « le monsieur » m’attendait « chambre 126 ». Encore une fois, la peur, l’inquiétude, la crainte, étaient restées derrière moi. Quand je suis arrivé devant la porte indiquée, je voyais comme dans un film les images de votre « Découverte » et j’avais le sentiment de revivre des instants déjà vécus. Pourtant rien n’a été pareil. Sauf .. l’essentiel, je veux dire la fessée. D’abord, quand j’ai frappé à la porte, je n’ai pas obtenu de réponse. J’ai recommencé, plus fort. Toujours rien. J’ai alors poussé la porte, elle était ouverte. J’ai découvert une chambre comme celle que je connaissais déjà. Impersonnelle, propre, fonctionnelle. Un lit pour deux personnes, un fauteuil « club » une tablette avec la cafetière électrique et quelques biscuits, une chaise devant, et la porte qui mène à la salle de bain. La lumière était éteinte dans la chambre, mais celle de la lampe de chevet était allumée. Et juste en dessous, sur la table de chevet, une petite carte de bristol avec ces mots, écrits en majuscule :

JE SERAIS LA DANS QUELQUES MINUTES. METTEZ-VOUS A L’AISE.

Le plénipotentiaire.

Là, je suis sur que la consigne était de vous, monsieur. Vous me laissiez ainsi, vraiment, la liberté de renoncer, de reculer, de partir, de m’enfuir, de disparaître. Et en même temps, j’en suis sure, vous étiez certain que je n’utiliserais pas cette possibilité. Vous me laissiez libre, mais vous saviez que je choisirais de rester proie. Consentante. Un instant après, « il » entrait.

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