samedi 28 août 2010

Le plénipotentiaire 5ème partie

Mardi20 mars

De E* à A*S*

J’ai lu avec intérêt votre récit, chère A*. Et je vous en félicite. Je pense d’ailleurs que je devrais aussi féliciter mon plénipotentiaire qui semble s’être parfaitement acquitté de sa mission. EN tout cas en ce qui concerne sa préparation. J’espère qu’il en a été de même pour sa réalisation.

J’en jugerais sur pièce, je veux dire sur votre témoignage.

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Mardi 20 mars

De A*S* à E*

Je n’oserais me prétendre assez connaisseuse en la matière pour porter une appréciation sur la qualité de fesseur de votre plénipotentiaire, monsieur. De plus je suppose qu’une jeune fille punie n’a pas à le faire. Ce serait une insolence qui ne manquerait pas de provoquer une autre punition. Et je dois vous dire qu’il me semblerait raisonnable de laisser mon derrière se remettre avant de procéder à une nouvelle expérience.

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Mardi20 mars

De E* à A*S*

Une fois encore vous avez parfaitement raison, chère A*. Aussi il n’était pas dans mes intentions de vous demander si mon plénipotentiaire vous avez correctement fessée. Mais seulement d’attendre de vous que vous me décriviez comment vous avez reçu cette fessée. Peut-être comprendrez vous plus tard qu’en matière de fessée, il en est comme en matière de théâtre. Il ne peut y avoir de bon comédiens si le public n’est pas lui-même bon, prêt à recevoir le travail des acteurs, à leur renvoyer ce fluide qui les fait être meilleurs. De même il ne peut y avoir de bonne fessée que si celle qui la reçoit le fait de telle manière qu’il ne s’agit pas seulement d’une « série de coups donnés sur les fesses » comme disent les dictionnaires, mais d’un échange.

Je vous écoute.

Mardi 20 mars

De A*S* à E*

Ne prenez pas ma réponse pour une insolence, monsieur, mais je pense sincèrement que je vous ai déjà écrit l’essentiel. Au moins pour la première moitié. En m’allongeant au travers des genoux de votre représentant, je savais que j’allais découvrir la fessée par paliers. Par-dessus ma jupe, puis sur la culotte, directement sur la peau, avant que la culotte soit baissée, puis retirée. Il me semblait évident que la punition irait ainsi crescendo comme disent les musiciens. Et donc que la douleur serait progressive et croissante, tout comme la honte d’avoir à dévoiler mon derrière. Et bien, j’ai maintenant compris qu’avant de « la » recevoir je ne connaissais rien à la réalité d’une fessée. Non seulement la première série, malgré les protections du slip et de la jupe, m’a semblé terriblement douloureuse, mais même la toute première claque m’a arraché un vrai cri de douleur. Elle n’était pourtant que la première d’une série que j’aurais du savoir être longue, elle était pourtant appliquée sur une jupe, mais mon dieu que cela m’a fait mal ! Surtout qu’après quelques secondes, une seconde claque est venu s’écraser exactement au même endroit. Puis une troisième, toujours exactement superposée aux premières. Ce n’est qu’alors que j’ai compris que tant que je ne compterais pas, il reprendrait la même claque. J’ai donc réussi à articuler « une » quand sa main s’abattait pour la quatrième fois sur ma pauvre fesse. Comme une récompense, la suivante fut pour l’autre fesse, « deux ». Puis la main alterna les claques sur une fesse puis sur l’autre, jusqu’à ce que je compte « dix ». Et sans qu’il ne l’ait exigé, comme si cela allait d’évidence, j’ajoutais : « merci, monsieur ».

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Mardi20 mars

De E* à A*S*

Ma chère A*, je dois avouer que je n’ai rien à redire à votre récit… rien d’autre que : « continuez, jeune fille » !

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Mardi 20 mars

De A*S* à E*

Encore une fois, monsieur, je ne veux en rien vous refuser ce que vous avez le droit d’exiger de moi, et encore moins être réticente ou insolente. Mais j’ai du mal à varier le récit de ces séries qui se succèdent, toujours aussi fortes, toujours aussi douloureuses, sur mes pauvres fesses de plus en plus meurtries. A vrai dire je ne suis vraiment pas sur que les claques reçues sur la peau nue aient été substantiellement plus douloureuses que les deux premières séries. Mais, bien sur, l’étape, que je savais incontournable depuis le début, de l’enlèvement de la culotte a été une vraie épreuve. Sentiment de honte, de gêne, d’être impudique, vulgaire, exposée, exhibée. Mais en même temps, le fait que ce soit « lui » qui ait d’abord ramené le tissus dans la raie de mes fesses, puis baissé la culotte jusque à la limite des fesses avant de la faire glisser jusqu’à mes pieds pour l’enlever, me retirait en quelque sorte toute « responsabilité » dans cette mise à nue. Bien sur j’ai eu honte, oh combien ! Mais en même temps, je l’avoue, j’étais troublée et émue. Même si les larmes étaient arrivées presque sans que je m’en sois aperçue, et si mes jambes ont eu du mal à me porter quand « il » m’a fait lever pour recevoir la dernière série debout, penchée sur le bureau. Mais avant, pour qu’il soit « à l’aise » - ce sont ses propres termes, il m’avait ordonné de retirer complètement ma jupe et de bien relever mon petit haut sur mes reins. Comme les précédente, j’en ai compté chaque coup, et comme les précédentes, le chiffre « dix » a été suivi d’un « merci monsieur » même si les sanglots devaient rendre mon élocution moins audible. J’ai aussi remercié votre représentant quand, après cette cinquième série, il m’a autorisé à me frotter les fesses pendant « la pause » (c’est le mot qu’il a employé) avant la deuxième série.

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mardi20 mars
De E* à A*S*

Ah, mon A*, vous recommencez à chipoter ! Et à éluder. Que signifie ce « j’étais troublée et émue » ? Voulez vous être claire et explicite, jeune fille ! Et je veux aussi en savoir plus sur l’état de vos fesses, et comment vous avez tenté d’en calmer la brûlure. J’attends !

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Mardi 20 mars
De A*S* à E*

Pardon, monsieur, je vais tenter d’être plus directe. Mais mon dieu que c’est difficile, presque plus que « la »recevoir, je vous assure. Je le répète, la fessée était très douloureuse, et la mise à nue de mon cul humiliante. Mais, oui, en effet, en même temps, quand il m’a mise le cul à l’air je sais que je mouillais, abondamment. Je suis même sure que, avant qu’il ne me retire la culotte, celle – ci devait être tâchée de l’humidité de mon excitation. Pardon, monsieur, je me rends compte que je censure encore mes mots. Ma culotte était trempée de ma mouille, monsieur. Il faut dire que ma chatte frottait sur le pantalon de votre représentant au rythme des coups qu’il lançait sur mon cul. En plus je sentais que de son coté il s’était mis à bander, et le contact avec cette queue que je devinais puissante faisait bailler ma chatte et durcir mon petit bouton. Quand il ma ordonné de me lever pour aller m’appuyer sur le bureau pour la dernière série, j’ai eu peur que la mouille ne coule le long de mes cuisses. J’ai bien essayé de serrer les jambes pour le cacher, mais il m’a ordonné d’une voix sans réplique « d’écarter les jambes » Et comme je ne le faisais sans doute pas assez à son gout, il a accentué l’angle du compas par de petits coups de pieds sur mes chevilles. Avant qu’il ne se mette en demeure de me flanquer la dernière série de douze, je savais déjà que dans cette position, mes fesses ne pouvaient que s’entrouvrir, et il ne devait rien ignorer de mon intimité. Je veux dire qu’il devait non seulement voir ma chatte dégoulinante mais aussi on petit trou. Voilà, monsieur, j’espère que ce récit vous conviendra. Si vous m’y autorisez, je poursuivrais demain.

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Mardi 20 mars
De E* à A*S*

Mais bien sur, ma chère A*, je vous autorise. Je peux comprendre que, même si la séance a été continue, vous ayez besoin d’une pause un peu plus longue. A demain donc. Mais n’oubliez pas que je vous ai aussi demandé de m’expliquer comment vous avez soigné vos fesses après cette première partie.

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Mardi 20 mars
De E* à A*S*

Bonjour, mon A*, puisque vous lirez ce message demain, quand vous reprendrez votre ordinateur. J’espère que vous vous êtes reposée, et que vous êtes prête à poursuivre votre récit si vivant. Mais avant cela il je veux savoir très précisément ce que vous avez fait hier soir, après avoir coupé notre conversation. Vous me comprenez ?

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Mercredi 21 mars
De A*S* à E*

Ho ! Vous êtes diabolique, monsieur ! Comment savez vous que … comment pouvez vous savoir que je me suis … comment avez-vous deviné que … Comment pouvez vous savoir qu’il y a quelque chose à raconter ? Comment pouvez-vous savoir que vous avoir raconté cette première partie de la fessée, et ses conséquences, m’avait à ce point excité ? Déjà en vous écrivant, j’avais laissé ma main s’égarer sur ma culotte. Et j’avais senti qu’au moment où je vous avouais avoir mouillé comme une fontaine sous les coups, ma minette se remettait à ruisseler. Je sentais le jus traverser ma fine culotte. J’avais porté la main à mes narines, et je retrouvais cette senteur femelle, animale, chaude, dont je percevais les relents alors que j’attendais, penchée sur la table, que mon bourreau si sensuel reprenne son office. Quand j’ai eu fermé ma session et rangé mon ordinateur, j’ai ressenti le besoin impérieux de retrouver les sensations procurées par la table sur mes seins. Il m’avait imposé de me pencher sur cette table de telle manière que ma poitrine soit écrasée contre elle. A chaque claque, mon corps glissait un peu vers lavant, et alors les pointes de mes seins roulaient et se frottaient sur le bois rugueux de la table. J’avais bien sur laissé mon haut et mon soutif, mais c’était aussi fort que si mes tétons avaient frottés directement le bureau. Je voulais le sentir encore. Mes seins le voulaient. Je sentais leurs pointes qui se tendaient, qui devenaient sures. Alors, j’ai arraché mon pull, je n’ai pas pris le temps de dégrafer mon soutien-gorge, j’ai seulement fait passer mes seins par-dessus. Puis les ai écrasé sur ma table, et comme je ne retrouvais pas assez les sensations, j’ai saisi les bouts entre mes doigts et je les ai pincé jusqu’à ce que la douleur me fasse crier, tout comme j’avais crié sous les coups. Je me revoyais, ou plutôt je m’imaginais comme il avait pu me voir. Le corps cassé en deux, les seins compressés, les fesses tendues, les cuisses écartées, le cul offert, la chatte poisseuse, et le trou du cul palpitant. Mes jambes flageolaient comme elles l’avaient fait quand il m’a autorisé à me relever et à me frotter les fesses. Sans me retourner, sans le regarder, je m’étais alors mise à frotter doucement mon cul pour tenter d’en atténuer la brûlure. Je sentais ma peau aussi chaude qu’une poêle à frire. Je sentais aussi qu’elle était devenue comme plus soyeuse, plus douce, et en même temps plus inégale, comme grumeleuse. Mes mains n’atténuaient pas vraiment la douleur, et pourtant je ne pouvais m’empêcher de les frotter, et de les frotter encore. Je tentais de les effleurer, puis de les masser, puis de les pétrir, puis de les caresser doucement de nouveau. Peine perdue. Il me semblait que la douleur remontait du fond de mes chairs pour faire frissonner ma peau cramoisie. Je n’ai pas regardé mon cul, je n’osais pas. Mais je sais que je me suis mise à danser une danse de Saint Guy en me balançant d’un pied sur l’autre et en sautillant. Je devais être ridicule, mais cela m’était tellement égal ! Ces images me revenaient comme dans un film. Je me suis agenouillée sur la moquette, et j’ai posé les avant-bras et la tête sur le sol. Je me retrouvais donc le cul en l’air, encore une fois. J’imaginais son regard sur mon cul ainsi exposé. J’imaginais qu’il scrutait mes deux fesses volumineuses et écartées. J’imaginais que son regard pénétrait jusqu’à mon petit trou béant. Alors, presque à taton, j’ai saisi la grosse télécommande qui traine toujours sur mon bureau. Je savais d’expérience que son format, sa forme, et même sa texture de plastique doux avait souvent fait merveille lors de mes séances de caresses. Pour dire les choses sans fard, je m’étais souvent enfoncé cet objet dans la chatte, en remarquant qu’il était un peu plus gros que le sexe des hommes que j’ai connu. Mais cette fois je ne l’ai approché de mon antre ruisselant que pour l’humecter, le lubrifier. Et c’est vers l’autre trou que je l’ai dirigé. Et c’ »est en comptant les va et viens comme j’avais compté els claques que je me le suis enfoncé dans le cul jusqu’à exploser dans l’orgasme en criant « dix » … et sans avoir besoin, ici, d’ajouter « merci monsieur ».

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Mercredi 21 mars
De E* à A*S*

Vous commencez à comprendre ce que j’attends de vous, A*. C’est bien. Je vais être absent deux jours, vous avez donc le temps pour rédiger la deuxième partie de votre témoignage. J’espère que vous aurez à cœur d’être exhaustive. A vendredi, mon A*

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Mercredi 21 mars
De A*S* à E*

Bon voyage, monsieur. Comme vous le souhaitez, je vais prendre le temps de rédiger la suite de ce que vous appelez mon témoignage et qui est aussi une confession, et je vous l’enverrais demain soir.

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