Monique et Jeanne
3- Où Jeanne raconte sa fessée et ses suites.
Comme je l’ai indiqué dans mon premier récit de cette
découverte, c’est à l’incitation de Monique que je me suis mise à tenter de
mettre les étapes de celle-ci par écrit. Nous nous étions en effet vite rendu
compte que, même si nous sommes assez amies pour parler très librement, et même
si nous avions encore moins de secret l’une pour l’autre depuis cette fameuse
soirée, il restait difficile d’aborder un sujet aussi intime de vive voix. En effet, la frontière entre la confession
qui pourrait tourner à l’exhibitionnisme et la gaudriole ou la grivoiserie est
mince. En même temps, Monique m’a très rapidement mise devant une réalité que
je ne pouvais refuser :
« Il me semble
que, dès lors que, même si tu ne l’avais pas demandé, tu as assisté à un
épisode pour le moins personnel et intime pour moi, il n’est pas injuste ni
déplacé que j’attende de toi la même ouverture sans fausse pudeur »
D’autant que, fine mouche, elle a très vite compris, malgré
mes tentatives d’euphémisation de la réalité,
que les choses ne s’étaient pas arrêtées pour moi au fait d’être
spectatrice d’une fessée reçue par elle :
« Si je ne
t’avais jamais parlé de cet aspect de ma vie, c’est bien sur parce que ce n’est
pas si facile de se dévoiler ainsi, même auprès d’une amie. Je peux comprendre
que, s’il m’a été impossible de t’en parler, cela te soit aussi très difficile.
Pourtant, si, au final, je me suis mise en situation de te faire découvrir cet
aspect jusque là secret, c’est aussi
parce que, confusément, je sentais le besoin de partager aussi cela avec toi.
Et comme j’ai constaté combien ce partage a été bénéfique pour moi, je suis
persuadé qu’il serait aussi bénéfique pour toi de ne pas garder les sentiments
qu’ont entraîné ta découverte. »
J’ai donc accepté de mettre par écrit le récit de cette
« fessée de Monique racontée par Jeanne » en n’omettant pas d’avouer
que la découverte visuelle de la fessée d’autrui avait entraîné, pour moi, la
découverte de la fessée effectivement reçue.
De son coté, elle a rempli sa part du contrat en couchant sur le papier la manière dont elle avait vécu ce qui
était pour moi une découverte, mais qui l’était aussi pour elle, dans la mesure
où c’était bien la première fois qu’elle recevait une fessée autrement que dans
le secret de sa vie de couple. Quand elle m’a transmis ce texte, et avant même
que je ne le lise, elle m’a glissé :
« Tu as fort bien
décrit la fessée que j’ai reçu en ta présence, ma chère Jeanne. J’ai essayé
d’écrire comment, moi, je l’avais ressentie. Il ne te reste plus qu’à faire
aussi le récit de l’autre fessée reçue ce soir là »
Je ne prétends pas être en mesure de rivaliser avec le récit
de Monique, que j’ai trouvé fort bien écrit. Mais surtout, et suis franchement
bien incapable de décrire les étapes de la fessée que j’ai reçue avec la même
précision qu’elle. En effet, si j’ai un souvenir précis du processus qui m’a
amené à al recevoir, et aussi de ce qui a suivi, je suis dans la compète
incapacité d’analyser le déroulement de la fessée proprement dite.
Comme je l’ai indiqué sans fard dans mon premier texte,
quand j’ai vu Monique recevoir sa fessée, mes sentiments étaient en même temps
la stupeur, la compassion, et le trouble. Je n’ai jamais été tentée par les
amours saphiques, je n’avais jamais vraiment fantasmé sur des mises en scènes
« SM », ni sur l’échangisme, l’exhibitionnisme ou le voyeurisme. Et
pourtant, je ne peux me cacher à moi-même que le spectacle de cette femme, les
fesses à l’air, recevant sous mes yeux et ceux de mon mari, une retentissante
fessée, puis de cette femme se relevant, le visage baigné de larmes, et
retirant sa culotte, avait provoqué chez moi cette crispation dans le bas
ventre que je ne peux pas ne pas interpréter comme le signe d’une excitation
sensuelle. De la même manière, je n’ai pas eu besoin d’interroger mon mari pour
savoir que, de son coté, ce spectacle avait provoqué une solide érection. Pour
autant, ce n’est que quand, dans la voiture, il est revenu sur le sujet que
j’ai commencé à comprendre vraiment que ce que nous venions de voir n’avait
rien à voir avec la violence conjugale, et tout à voir avec l’amour et la
sensualité. Il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre, à la manière
dont il considérait que Monique « n’avait pas eu l’air de se
plaindre » qu’il avait été lui
aussi plus que troublé par l’érotisme sous jacent de ces instants. Pourtant, je
ne sais pas s’il aurait été en mesure, de lui-même, de me proposer de suivre,
en quelque sorte, l’exemple de nos amis. De mon coté, faut-il dire que j’avais
« envie » de recevoir moi aussi une fessée de mon homme ? Je ne
pense pas que cela soit le mot approprié. Rien dans l’attitude de Monique ne
pouvait en effet me laisser entendre que cela soit en quoi que se soit agréable. La couleur de ses fesses après la tannée, ses
cris qu’elle n’avait pu retenir, ses sanglots et ses larmes, exprimaient assez
combien recevoir cette fessée avait été douloureux pour elle. D’où ma réelle empathie envers elle, que je
plaignais vraiment de devoir subir cette épreuve. Mais, en même temps, il me
semble qu’alors qu’elle recevait cette fessée, je me « voyais » par
instant à sa place. Ou plutôt, l’image de moi-même, cul nu, recevant une
fessée, venait s’interposer comme une image subliminale. Je reprendrais
volontiers l’image du dédoublement de la personnalité qu’à utilisé Monique dans
son texte. Durant le trajet jusqu’à la maison, je me « voyais »
entrain de recevoir cette fessée. Et
quand, alors qu’il semblait être passé à autre chose, et qu’en tout cas il n’y
faisait plus allusion, c’est bel et bien moi qui est en quelque sorte
« remis le sujet sur le tapis » en m’accusant d’être aussi
responsable de notre retard. En faisant
le récit de cette fin de soirée, donc a postériori, j’ai indiqué que j’avais pris
ma décision dans la voiture. A la réflexion, j’en suis moins sure. En tout cas
je ne suis pas du tout sure d’avoir explicitement décidé de me mettre en
situation d’être fessée. Là aussi, il me semble qu’une partie de moi-même
voyait l’autre partie s’engager dans ce dialogue sur la responsabilité du
retard. Dés lors, c’est un peu comme si je m’étais trouvée sur une pente sans
pouvoir arrêter le mouvement. En aucune manière mon mari n’a profité de la situation
pour m’imposer quelque chose que, peut-être il n’était pas lui-même résolu à faire. Ce sont bien mes propos, mes
hésitations, mon renoncement à refuser tout net d’envisager même la chose, qui
m’ont amenée je dirais presque inexorablement, vers la conclusion. Disons les
choses, dés lors que je soulignais moi-même que je m’estimais aussi coupable de
Monique, il était parfaitement logique que l’hypothèse que je sois traitée de
la même manière soit envisagée. Ce que j’ai d’ailleurs admit moi-même, même si
le mot a été difficile à prononcer. Mon mari a probablement eu l’intelligence
de comprendre à la fois ce que je voulais au fond de moi et ce que je ne
pouvais par énoncer spontanément. Il m’a donc amené à dépasser cette censure
des mots pour, qu’enfin, je brise le tabou que je m’imposais. Et ils sont sortis
de ma bouche, m’interdisant dés lors de nier ce que je voulais.
« Fessée », « Cul nu » Dés que ces mots ont été prononcés,
c’était comme si, après avoir hésité un long moment sur le plongeoir, après
avoir ressenti cette angoisse qui éteint je m’étais libérée en sautant dans le
vide. Pour poursuivre l’analogie, le plus difficile, finalement, dans le
plongeon, c’est de prendre la décision de sauter. C’est de dépasser sa peur.
C’est de s’imposer de faire ce que l’on a tellement peur de faire, mais qu’en même
temps on veut tellement réussir à faire.
Il me semble qu’il en a été de même pour ma première fessée. J’ai le
sentiment qu’il a été bien plus difficile d’admettre que je la voulais
vraiment, que de la recevoir. Pourtant, mon mari, aussi novice soit-il en la
matière, n’a pas « fait semblant ». Je n’ai pas reçu un simulacre de
fessée, la couleur de mes fesses aurait pu en témoigner. Cela a été une vraie
fessée. Retentissante. Claquante. Douloureuse. Ho oui, douloureuse ! C’est
même le souvenir le plus clair que j’ai gardé de ces instants comme suspendus
dans le temps. Mon dieu, qu’une fessée fait mal aux fesses ! Bien sur, je
ne doutais pas que Monique ai eu mal quand son mari lui avait tannée la peau du
cul avec tellement d’entrain. Et je la connais assez pour savoir qu’elle
n’avait pas joué la comédie, et que ni ses cris, ni ses pleurs n’étaient
exagérés. Pourtant, dés les premières claques, j’ai vraiment découvert à quel
point elles faisaient mal. Et c’est cette sensation d’avoir la peau des fesses
écorchée qui occulte tout autre souvenir de cette fessée.
Je me souviens avoir entendu les mots de mon mari
« viens te mettre en place et en tenue », reprenant presqu’à
l’identique ceux de Julien à l’intention de sa femme, et indiquant par là qu’il
entendait reproduire ce à quoi nous avions assisté à peine une heure plus tôt.
Comme j’étais en pantalon, j’ai du improviser, et je l’ai juste baissé jusqu’à
mes chevilles. Deux idées m’ont alors traversé l’esprit avant que je ne
m’allonge au travers des cuisses de mon homme : « avec mon pantalon
mes jambes resteront serrées, je montrerais moins mon intimité que
Monique » et « Mon Dieu, je suis sur que ma petite culotte est humide
à l’entrejambe, est ce qu’on peut voir la marque ? » C’est dire
qu’alors que, bien sur, nous étions seuls dans la maison, Paul et moi, je pensais déjà comme si la fessée que
j’allais recevoir allait être reçue en public. Prenant, là aussi, exemple sur
son initiateur, mon mari a délicatement fait glisser mon slip jusque sous mes
fesses qu’il s’est mis à frapper de sa grande main ouverte. Et c’est le tunnel,
le trou, l’absence. Combien de temps m’a-t-il ainsi fessée ? Je n’en sais
rien. Probablement une dizaine de minutes, mais cela pourrait aussi bien s’être
concentrée en une seconde, ou étalé sur des heures. Le temps a pris à mes yeux
une autre dimension. Je n’étais du reste pas en situation de chercher à mesurer
le temps, ni même de compter combien de fois la main est venue frapper mes
fesses. Tout mon être se résumait à cette lune claquée et claquée encore. Toute
ma personne était concentrée dans ce derrière fustigé, frappé, meurtri, chauffé
à blanc. Je suis bien incapable de savoir, comme Monique, si j’ai gardé les
fesses serrées ou si elles se sont écartées. Si la raie des fesses est restée
une fine ligne séparant les deux hémisphères, ou si au contraire elle s’est
élargie, offrant alors inévitablement au regard de mon mari les secrets de ma
chatte et de mon petit trou. Lui pourrait dire si mon derrière était plutôt
« bloc de granit » ou plutôt « pâte molle » comme l’écrit
Monique. Moi, je n’en sais rien. Il était seulement une boule de souffrance. Un
champ labouré. Bien sur, j’ai crié cette douleur. Je n’ai même pas essayé d’étouffer ces cris
et ces plaintes. Je ne sais pas non plus si les larmes sont arrivées dés le
début de la fessée ou si elles n’ont débordées que plus tard. A vrai dire, je
n’ai pas vraiment le souvenir d’un crescendo.
J’ai eu le sentiment que mon cul explosait dés la première claque, et
que la douleur restait dés lors à son paroxysme. En un mot comme en cent, j’ai eu un mal de
chien. Pourtant je ne pense même pas avoir consciemment espéré que cette
torture cesse. Ni bien sur qu’elle continue. Simplement je n’ai pas pensé. Je
n’étais plus un être pensant, mais seulement un être fessé. Plus de cerveau,
j’étais réduite à un cul. Mon derrière était tellement douloureux que je n’ai
pas tout de suite pris conscience que les claques s’étaient arrêtées.
Curieusement c’est plutôt le silence qui a brusquement succédé au crépitement
ininterrompu qui m’a fait comprendre que la main avait cessé de s’abattre sur
mon pauvre postérieur. Je pense que je suis restée encore quelques instants
dans la même position, le corps encore secoué de sanglots. Quand j’ai senti que
la main gauche de mon homme se retirait du creux de mes reins, j’ai compris
qu’il était temps de me relever. Sans vraiment y réfléchir, j’ai moi aussi
reproduit la conduite de Monique. J’ai retiré entièrement mon pantalon et ma
petite culotte, que j’ai posée bien en évidence sur le dosseur du fauteuil. Mon
cul était encore une véritable boule de feu, j’ai tenté vainement d’atténuer la
brûlure en le frottant doucement tout en piétinant sur place. Alors seulement,
mon esprit recommence à fonctionner de manière à peu prés normale. J’ai encore
mal, très mal. Je continue à pleurer et à gémir. Mais en même temps, je me sens
incroyablement sereine. J’ai confusément le sentiment d’avoir fait ce que je
devais faire. Au travers de mes larmes, je vois mon mari qui se lève et qui
s’approche de moi. Je tente de lui sourire, je balbutie :
« Ca fait mal tu sais …. »
Il pose juste son doigt sur mes lèvres, puis, avec
infiniment de tendresse, il passe ses deux mains ouvertes sur mes fesses à vif.
Je réprime une grimace de douleur, mais en même temps cela me fait l’effet
d’une crème apaisante. J’en ai la chair de poule, et je me sens fondre. Au sens
figuré, bien sur, mais aussi au sens très physique du terme. Pour dire les
choses sans détour, je sens que je mouille. Mon chérie soulève mon pull et le
retire, puis, immédiatement il fait jaillir mes seins de mon soutif. Il se
recule de deux pas et me demande « tourne – toi » Obéissante, je
m’exécute et lui présente mes fesses. « Il est magnifique, comme cela ton
cul tu sais » souffle-t-il. …..
Le texte que j’ai
envoyé à Monique s’arrête à ce point. La suite, je ne l’ai écrite que pour moi…
« Je sais, mon
chéri, et c’est ton œuvre » Et pour qu’il puisse encore mieux admirer, je
me mets à genoux sur le canapé, à l’endroit même où, quelques minutes avant, Plus
question maintenant de jouer la femme soumise. J’ai reçu ma fessée, je
redeviens l’amante. Je m’assume impudique. Provocante. Tu m’as bien fessée, tu
m’as bien fait mal, maintenant tu vas bien me baiser, tu vas bien me faire
jouir. Voir mon cul rouge t’excites ? Tant mieux, tu ne m’en sauteras que
mieux. Je m’agenouille, je creuse les reins, et je lui offre mon cul en
majesté. Je lui présente mes fesses. Je lui présente mon cul. Et pour parfaire
le tableau, j’écarte des deux mains les deux hémisphères pour lui donner la vue
plongeant sur mon petit trou. Je le sens physiquement palpiter. Je sens la
mouille qui ruisselle me ma chatte. Si « avoir le feu au cul » a un
sens, c’est bien maintenant que je le comprends. Je ne sais comment il a fait
pour faire aussi vite, mais il est déjà collé à moi par derrière. Il est déjà
déshabillé, je sens déjà sa bite contre mes fesses. J’écarte encore un peu plus
les cuisses pour lui faciliter le passage. Il me prend par les hanches, et
glisse sa queue dans ma chatte ; Elle y entre sans effort. Il ne fait
pourtant que deux ou trois va et viens, puis il se retire. Je manifeste ma
colère de me voir ainsi priver de ce plaisir par un grognement. Mais déjà la
bite est remontée juste un peu plus haut. Elle s’insère entre mes fesses quand
il m’ordonne, presque avec brusquerie : « écarte-les
encore ! » J’ai compris son désir. A deux mains, j’ouvre grand la
raie des fesses. Facilitant ainsi le chemin de sa queue vers son but. Elle se
pose sur ma rondelle. J’ai peur, j’ai envie, il le sait, il le sent. Je sens
que sa queue est lubrifiée de ma mouille qu’il a récupérée devant pour mieux
pénétrer derrière. Il assure sa prise sur mes reins, puis il pousse lentement
sa queue. Même les fesses ainsi écartées, je sens que mon petit trou résiste.
La pression se renforce. La rondelle commence à céder. Elle s’entrouvre, elle
s’agrandie. Mon Dieu, qu’elle est grosse cette queue, jamais elle ne pourra
forcer un passage si étroit. Elle insiste, elle gagne du terrain, à petits
coups, réguliers, insistants. Mon cul est comme déchiré. J’ai mal. J’ai
m’impression que mon petit trou va exploser. Mais putain que c’est bon !
Que c’est bon de se sentir enculée. Ses mouvements de va et viens s’arrêtent.
Va-t-il renoncer ? Craint-il de me faire trop mal, de me blesser ? Sa
queue recule. M’abandonne. Je ne veux pas. S’il ne m’enfonce pas, c’est moi qui
m’empalerais sur lui. Je donne un coup de rein, et je sens que sa queue est
revenue là où elle en était avant sa reculade. Il reprend son élan et crie presque :
« Je vais te défoncer, je vais t’enculer ! » Et il tient sa
promesse. Il se redresse et cette fois le madrier force l’entrée. Un
déchirement. Une brûlure. Une explosion. Son cri, bestial. Mon cri de douleur,
qui se transforme en une sorte de meuglement de plaisir. Je suis emplie de sa
queue. Tout mon corps ressent les coups de reins qu’il continue à donner. Il
halète. Il commente son bonheur. Il n’est plus qu’une bite, je ne suis plus
qu’un cul. « Ha ! c’est bon, c’est bon, je te défonce, je vais
t’exploser, je viens, je vais jouir ! » J’accompagne chaque mot d’un
cri de jouissance. Il a cessé de bouger. Je sens dans mon cul le tressaillement
qui annonce l’explosion. Il s’est couché contre mon dos pour entrer plus à
fond. Il a lâché mes reins et saisi mes seins à pleines mains. Il en pince les
deux tétons, brutalement, et c’est l’irradiation. Tout mon corps est traversé
par une déflagration. Des pointes de ses seins torturées jusqu’au plus profond
de ma chatte. Je la sens exploser elle aussi, comme mon trou du cul. Je sais
qu’il palpite, qu’il se serre, qu’il enserre cette épée qui le pénètre, comme
pour l’empêcher d’en sortir. L’homme lance un cri encore plus guttural, encore
plus animal. La queue cherche à s’enfoncer plus loin encore, le ventre est soudé
à mon cul. Je sais qu’il est entrain de jouir. Je ne connais pas l’orgasme mais
une sorte de succession d’orgasmes. Comme si chaque partie de mon corps vivait
le sien successivement. Mon cul inondé et empli. Ma chatte béante, mon clitoris
érigé, mes seins électrisés, mon ventre, les cuisses, je crie ma jouissance. Il
s’est effondré sur mon dos. La bite encore entrée jusqu’aux couilles dans mon
cul. Je cherche à reprendre ma respiration. Mon corps est encore parcouru de
frissons. L’homme se soulève, et il amorce la retraite. Sa bite est encore
grosse. Je la sens sortir lentement, forcer encore l’étroit passage de la
rondelle. . Nouvel éclair de plaisir. L’homme s’est décollé de moi. Je sens le
sperme qui coule sur mes cuisses. Je me retourne, je m’allonge sur le dos,
épuisée, malgré la décharge de douleur quand mon cul frotte sur le divan. Je
veux dire à mon mari combien je l’aime. Mais il ne m’en laisse pas le temps. Il
est déjà à genoux entre mes jambes, la queue dressée, encore ou de nouveau
gonflée, violacée, avec le gland rouge vif. Il a un sourire carnassier. Il
glisse « je ne t’ai pas encore baisée, ma belle salope » Et d’un seul
mouvement il se jette sur moi, sa queue s’enfourne dans ma chatte, et les coups
de reins reprennent, violents. Son ventre claque contre le mien. Sa bite cogne
au fond de ma chatte. Il accompagne chaque coup de rein d’un « han »
presque rageur. Il accélère le mouvement. Il me baise. Il me lime. Il n’a pas
besoin cette fois de m’avertir, je sais qu’il va jouir à nouveau. Et je l’encourage :
« vas-y, donne moi tout ! » Nouvelle explosion. L’orgasme qui me
submerge une nouvelle fois. La queue qui m’abandonne, le sperme qui coule,
encore, inépuisable, entre mes cuisses. Je suis moulue, épuisée. Les fesses
encore brûlantes et douloureuses, le petit trou explosé, la chatte en feu. Je
me pelotonne sur le divan. Je sens qu’il me recouvre d’un châle. Et alors que
je sombre vers le sommeil j’entends qu’il me murmure à l’oreille :
« si tu aime la fessée, tu va être servie, ma belle garce »L’a-t-il
dit vraiment ou était ce déjà un rêve ? Je le prends en tout cas comme une
promesse.
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