vendredi 1 novembre 2013

Monqiue et Jeanne - 1 -



Monique et Jeanne.
1 – Où Jeanne assiste à la fessée de Monique
A la différence d’Annie, dont j’ai lu le témoignage sur Internet, je n’ai connu la fessée ni quand j’étais enfant ni durant les années qui ont suivies mon mariage avec Paul. En fait je n’ai « découvert » cette pratique qu’à près de quarante ans, après plus de dix huit ans de mariage. Et c’est avec l’autorisation, et même l’incitation, de mon amie Monique que j’ai voulu tenter de témoigner, ce qui me permet aussi de faire le point sur ce qui est devenu un aspect de ma vie dont je ne peux me cacher l’importance. J’ai demandé l’avis de Monique avant d’écrire ce texte, parce que à cause – ou grâce ? – à elle que j’ai découvert qu’une femme mure, bien insérée dans la vie, saine d’esprit, responsable, respectée, pouvait être en même temps une femme fessée. Elle est, comme moi, une femme de notre temps, soucieuse des droits des femmes même si nous en sommes pas des féministes militantes, et ne supportant évidemment pas l’idée de femmes soumises et encore moins battues. Monique et moi sommes des amies proches, mais nos maris respectifs se connaissaient relativement peu, leurs rencontres se limitant à se croiser parfois quand il arrivait que l’un des deux couples se donne rendez vous chez l’autre à l’occasion d’une sortie entre femmes.  Comme c’était le cas ce jeudi de janvier dernier, où Monique et moi avions fait les boutiques de soldes, ce qui nous avait amenées à rentrer chez elle fort en retard, alors que nous savions que Paul m’attendait en compagnie de Julien, le mari de Monique. Je m’attendais à une soupe à la grimace quand nous sommes arrivées, mais il n’y eu presque pas de reproches de la part de Julien, qui se contenta de répondre un bref « j’ai constaté » quand nous nous sommes lancées dans une pénible tentative d’explication. Quant à Paul, il ne semblait pas non plus trop bouder, j’en ai conclu qu’il avait du trouver la compagnie de son hôte pas désagréable. Etant donné l’heure, il était plus de dix-neuf heures, je pensais repartir tout de suite, mais Julien a insisté pour que nous prenions un verre avant, et il ne nous a pas semblé correct de refuser. Alors que Monique se dirigeais vers la cuisine pour ramener le nécessaire, il a insisté pour qu’elle reste avec nous au salon, et il est allé lui-même chercher une bouteille de champagne, des verres et une assiettes de biscuits, en lançant à son épouse un énigmatique :
« Reste avec nos amis, tu sais que ta présence va être nécessaire »
Nous avons donc trinqué en bavardant de choses et d’autres, mais il m’a semblé que Monique, plutôt enjouée et bavarde d’habitude, restait un peu sur son quant à soi et semblait tendue. Et au moment où j’allais proposer de prendre congé, Julien, en reposant son verre, s’est adressé à Monique :
-          « Bon, je pense qu’il est temps de régler nos affaire, ma chérie »
Il m’a semblé que Monique avait brutalement pâlie, et elle a juste balbutié :
                « Mais … tu ne veux pas …maintenant ? »
Et son mari a juste répondu, avec un grand sourire :
                « Bien sur que si, tu sais bien que je ne remet jamais à plus tard. Viens vite te mettre en place. »
Monique s’est alors levée sans un mot de plus. Elle était maintenant vraiment très blanche, et elle s’est dirigée vers le fauteuil où était assis son mari sans un regard pour nous. Elle a semblé hésiter un instant, le regard toujours fixe et dans le vague, et son mari l’a juste encouragée d’un petit geste de la main vers le haut. Sous nos yeux ébahis, nous avons alors vu Monique relever le bas de sa jupe et la remonter jusqu’à sa taille. On peut imaginer ma stupéfaction, et  même si je n’ai pas osé le regarder, je pouvais imaginer celle de mon mari devant cette femme dont on voyait maintenant la culotte. Le silence était devenu presque palpable dans la pièce, et pourtant, au risque de paraître bien naïve ou bien sotte, je dois dire que ce n’est que quand elle s’est penchée pour s’allonger au travers des genoux de son mari, les deux mains posée par terre,  que j’ai compris ce qui allait se passer. Posément, Julien a retroussé un peu les manches de son pull, puis toujours sans un mot ni un regard pour nous qui assistions pétrifiés à la scène, il a glissé ses deux index sous l’élastique de la petite culotte gris perle, et l’a fait lentement glisser jusqu’au dessous des fesses de son épouse.  Quand elle a senti que son mari lui baissait la culotte, elle a eu une sort de hoquet, mais elle n’a rien tenté d’autre pour l’en empêcher qu’un faible :*
                « Oh non .. s’il te plait..pas …. »
Mais il était déjà trop tard, Monique, mon amie, cette femme moderne que je pensais bien connaître, était bel et bien là, devant nous, le derrière à l’air, et je ne doutais pas que mon mari avait, comme moi, remarqué qu’elle avait un cul bien rebondi. Le sien, de son coté, a posé la main gauche au creux des reins de sa femme en disant seulement :
                « Allons allons, tu sais bien … ne faisons pas durer les choses plus que nécessaire. »
Puis il leva la main et l’abattit avec force sur une fesse, puis sur l’autre. Ce qui m’a la plus frappé, sur le moment, c’est  le bruit de ces claques, qui emplissait la pièce. Puis ce fut la vitesse à laquelle les fesses de Monique se coloraient.  Après une dizaine de claques, son derrière était marqué d’un large rond rouge vif, contrastant avec l’extérieur du postérieur et les cuisses. Comme s’il s’en était aperçu, son mari se mit alors à distribuer les claques sur toute la surface offerte à sa main, et à nos yeux. Quand il frappait le dessous des fesses, celles-ci tressautaient. Tout son cul était devenu cramoisie. Et son mari intensifia alors le rythme des coups. Ils tombaient maintenant en rafales. Alors que jusque là Monique n’avait pas laissé échapper le moindre cri, elle se mit à gémir en poussant de petits cris de souris prise au piège. On entendait aussi qu’elle pleurait. Ce qui s’est confirmé quand, enfin, son homme a cessé de lui tanner la peau des fesses et qu’elle s’est relevée. Son visage était baigné de larmes. Elle sautillait légèrement d’un pied sur l’autre en se frottant doucement les fesses et en reniflant pour ravaler ses larmes. Elle laissa sa robe retomber, mais, étonnamment à mes yeux, elle ne remonta pas sa culotte. Au contraire,  elle la retira complètement et la déposa sur le plateau, à coté de la bouteille de champagne et des verres ! Ni mon mari ni moi n’avions prononcé une parole. Nous ne nous étions même pas regardés. Le silence se prolongea encore un instant, puis ce fut Monique elle-même qui le rompit en disant à la cantonade :
« Bon …. Eh ben… je suppose que cela devait arriver ! J’espère que … tout cela ne changera rien à notre amitié, Jeanne. »
J’avoue que je ne sais plus très bien comment je m’en suis sortie, et nous nous sommes retrouvés, mon mari et moi, dans la voiture après avoir embrassé nos amis. Après quelques minutes de silence, mon mari m’a demandé :
« Tu savais que ta copine …. ? »
« Bien sur que non ! »
« En tout cas son mari est un homme fort agréable, j’ai passé finalement un bon moment avec lui, en vous attendant »
« Un homme agréable ! Tu en as de bonnes, je ne suis pas sur que Monique pense comme toi ! »
« Elle n’a pas l’air de s’en plaindre vraiment, tu sais. Il ne m’avait pas dit ce qu’il comptait faire, mais quand il a vu combien vous étiez en retard et quand je râlais moi aussi il m’avait dit quelque chose du genre « ho, ce n’est pas si grave, Monique sait ce qu’elle fait, et ce qu’elle risque. Elle fait son choix !
« Et alors ? »
« Eh bien, peut-être que ton amie préfère régler les choses comme cela que risquer des disputes et des bouderies à n’en plus finir, tu ne penses pas ? »
Sur le moment, j’ai préféré ne pas répondre. J’avais, bien sur été totalement abasourdie de voir mon amie ainsi traitée. Mais, curieusement, je n’avais pas été véritablement choquée. Je ne doutais pas un instant que la fessée qu’elle avait reçu avait été douloureuse pour elle, pour ses fesses comme pour son amour propre, mais à aucun moment je n’avais eu le sentiment qu’elle était en quoi que ce soit contrainte. Bien sur, ses fesses avaient été frappées, et comment. Bien sur elle avait pleurée et gémis de douleur. Bien sur elle avait du montrer ses fesses non seulement à son amie intime mais aussi au mari de celle-ci. Mais, en même temps, et même s’il était mouillée de larmes, son visage m’avait paru étrangement serein quand la fessée avait été terminée. Si, la veille, on m’avait raconté une histoire pareille, nul doute que j’aurais été horrifiée qu’une femme puisse être ainsi maltraitée. Et pourtant, là, je n’avais pas eu le réflexe ni de tenter d’intervenir, ni même de m’en aller. Qui plus est, moi qui suis plutôt d’un naturel jaloux, je n’avais même pas été offusqué que mon amie montre ainsi ses fesses à mon mari ! J’avais été stupéfaite, bien sur. Mais pas vraiment révoltée. D’ailleurs, je devais bien m’avouer à moi-même que je n’avais pas cherché à détourner les yeux. Bien au contraire, je n’en avais pas perdu une miette. Et, pour être vraiment honnête avec moi-même, je devais bien avouer avoir été étrangement troublée. Je ne pouvais pas me cacher que j’avais senti la pointe de mes seins durcir, et que, dans la voiture, je les sentais encore dardées et que, pour dire les choses sans détour, j’avais un peu mouillée ma petite culotte !  Bien sur, je n’en ai rien dit à mon mari, mais j’ai eu la certitude que, lui non plus, le spectacle de ce derrière dénudé et rougi ne l’avait pas laissé indifférent. Avant d’être arrivée à la maison, ma décision était prise.
A la maison, mon mari m’a gentiment proposé une tisane et il est allé me la préparer, avec un verre de cognac pour lui. Ni lui, ni moi n’avons proposé de dîner. Comme me le dirait mon mari le lendemain « qui fesse dîne ! » Quand il m’a apporté ma tisane, je me suis levée, je n’ai pas pu le regarder en face, mais j’ai dit, d’une voix que je sentais mal assurée :
« Tu sais… notre retard…après tout, Monique n’en était pas la seule responsable … »
« Bien sur, je m’en doute ! Et tu trouve injuste qu’elle soit la seule à être punie ? »
« Je … je ne sais pas …enfin ….eux ce n’est pas pareil …ils ont l’air d’avoir ….. »
« D’avoir l’habitude ? Je le pense aussi, ce n’était surement pas la première qu’elle la recevait. En même temps, je suppose qu’il y a bien  eu une première fois pour elle, non ? »
« Oui, surement, bien sur »
« Et tu pense que ce devrait être la première pour toi aujourd’hui ma chérie ? »
« Euh .. non ..enfin .. je ne sais pas … tu crois que ….enfin, je crois que .. »
« Tu crois que quoi, ma chérie ? Il faut que tu le dises pour qu’il n’y ait pas de malentendu… »
« Je crois que j’ai mérité …de ..enfin…de recevoir …comme Monique »
« De recevoir quoi ma chérie ? Cela porte un nom tu sais ! »
« De …de recevoir une fessée, voilà ! »
« Une fessée de qui, madame ? »
« De mon mari, monsieur »
« Et tu la recevras comment cette fessée ? »
« Ben … comme Monique … »
« C'est-à-dire ? Comment elle a été fessée par son mari ton amie Monique ? »
« Elle a été fessée … cul nu »
« Voilà, c’est dit ! Viens te mettre en place et en tenue … »
Et j’ai reçu ma première fessée d’épouse. Qui ne fut pas la dernière !



2 commentaires:

  1. Comme à votre habitude A., troublant récit que le vôtre ..;)
    Je lirai la suite plus tard ...
    Merci

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  2. Merci de vos visites et de votre soutien.

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