Monique et Jeanne.
1 – Où Jeanne assiste à la fessée de Monique
1 – Où Jeanne assiste à la fessée de Monique
A la différence d’Annie, dont j’ai lu le témoignage sur
Internet, je n’ai connu la fessée ni quand j’étais enfant ni durant les années
qui ont suivies mon mariage avec Paul. En fait je n’ai « découvert »
cette pratique qu’à près de quarante ans, après plus de dix huit ans de
mariage. Et c’est avec l’autorisation, et même l’incitation, de mon amie
Monique que j’ai voulu tenter de témoigner, ce qui me permet aussi de faire le
point sur ce qui est devenu un aspect de ma vie dont je ne peux me cacher
l’importance. J’ai demandé l’avis de Monique avant d’écrire ce texte, parce que
à cause – ou grâce ? – à elle que j’ai découvert qu’une femme mure, bien
insérée dans la vie, saine d’esprit, responsable, respectée, pouvait être en même temps une femme fessée. Elle est, comme moi, une femme de notre temps, soucieuse des
droits des femmes même si nous en sommes pas des féministes militantes, et ne
supportant évidemment pas l’idée de femmes soumises et encore moins battues.
Monique et moi sommes des amies proches, mais nos maris respectifs se
connaissaient relativement peu, leurs rencontres se limitant à se croiser
parfois quand il arrivait que l’un des deux couples se donne rendez vous chez
l’autre à l’occasion d’une sortie entre femmes.
Comme c’était le cas ce jeudi de janvier dernier, où Monique et moi
avions fait les boutiques de soldes, ce qui nous avait amenées à rentrer chez
elle fort en retard, alors que nous savions que Paul m’attendait en compagnie de
Julien, le mari de Monique. Je m’attendais à une soupe à la grimace quand nous
sommes arrivées, mais il n’y eu presque pas de reproches de la part de Julien,
qui se contenta de répondre un bref « j’ai constaté » quand nous nous
sommes lancées dans une pénible tentative d’explication. Quant à Paul, il ne
semblait pas non plus trop bouder, j’en ai conclu qu’il avait du trouver la
compagnie de son hôte pas désagréable. Etant donné l’heure, il était plus de
dix-neuf heures, je pensais repartir tout de suite, mais Julien a insisté pour
que nous prenions un verre avant, et il ne nous a pas semblé correct de
refuser. Alors que Monique se dirigeais vers la cuisine pour ramener le
nécessaire, il a insisté pour qu’elle reste avec nous au salon, et il est allé
lui-même chercher une bouteille de champagne, des verres et une assiettes de
biscuits, en lançant à son épouse un énigmatique :
« Reste avec nos
amis, tu sais que ta présence va être nécessaire »
Nous avons donc trinqué en bavardant de choses et d’autres,
mais il m’a semblé que Monique, plutôt enjouée et bavarde d’habitude, restait
un peu sur son quant à soi et semblait tendue. Et au moment où j’allais
proposer de prendre congé, Julien, en reposant son verre, s’est adressé à
Monique :
-
« Bon,
je pense qu’il est temps de régler nos affaire, ma chérie »
Il m’a semblé que Monique avait brutalement pâlie, et elle a
juste balbutié :
« Mais … tu ne veux pas
…maintenant ? »
Et son mari a juste répondu, avec un grand sourire :
« Bien sur que si, tu sais bien que je
ne remet jamais à plus tard. Viens vite te mettre en place. »
Monique s’est alors levée sans un mot de plus. Elle était
maintenant vraiment très blanche, et elle s’est dirigée vers le fauteuil où
était assis son mari sans un regard pour nous. Elle a semblé hésiter un
instant, le regard toujours fixe et dans le vague, et son mari l’a juste
encouragée d’un petit geste de la main vers le haut. Sous nos yeux ébahis, nous
avons alors vu Monique relever le bas de sa jupe et la remonter jusqu’à sa
taille. On peut imaginer ma stupéfaction, et
même si je n’ai pas osé le regarder, je pouvais imaginer celle de mon
mari devant cette femme dont on voyait maintenant la culotte. Le silence était
devenu presque palpable dans la pièce, et pourtant, au risque de paraître bien
naïve ou bien sotte, je dois dire que ce n’est que quand elle s’est penchée
pour s’allonger au travers des genoux de son mari, les deux mains posée par
terre, que j’ai compris ce qui allait se
passer. Posément, Julien a retroussé un peu les manches de son pull, puis
toujours sans un mot ni un regard pour nous qui assistions pétrifiés à la
scène, il a glissé ses deux index sous l’élastique de la petite culotte gris
perle, et l’a fait lentement glisser jusqu’au dessous des fesses de son épouse. Quand elle a senti que son mari lui baissait
la culotte, elle a eu une sort de hoquet, mais elle n’a rien tenté d’autre pour
l’en empêcher qu’un faible :*
« Oh non .. s’il te plait..pas …. »
Mais il était déjà trop tard, Monique, mon amie, cette femme
moderne que je pensais bien connaître, était bel et bien là, devant nous, le
derrière à l’air, et je ne doutais pas que mon mari avait, comme moi, remarqué
qu’elle avait un cul bien rebondi. Le sien, de son coté, a posé la main gauche
au creux des reins de sa femme en disant seulement :
« Allons allons, tu sais bien … ne faisons
pas durer les choses plus que nécessaire. »
Puis il leva la main et l’abattit avec force sur une fesse,
puis sur l’autre. Ce qui m’a la plus frappé, sur le moment, c’est le bruit de ces claques, qui emplissait la
pièce. Puis ce fut la vitesse à laquelle les fesses de Monique se coloraient. Après une dizaine de claques, son derrière
était marqué d’un large rond rouge vif, contrastant avec l’extérieur du
postérieur et les cuisses. Comme s’il s’en était aperçu, son mari se mit alors
à distribuer les claques sur toute la surface offerte à sa main, et à nos yeux.
Quand il frappait le dessous des fesses, celles-ci tressautaient. Tout son cul
était devenu cramoisie. Et son mari intensifia alors le rythme des coups. Ils
tombaient maintenant en rafales. Alors que jusque là Monique n’avait pas laissé
échapper le moindre cri, elle se mit à gémir en poussant de petits cris de
souris prise au piège. On entendait aussi qu’elle pleurait. Ce qui s’est
confirmé quand, enfin, son homme a cessé de lui tanner la peau des fesses et
qu’elle s’est relevée. Son visage était baigné de larmes. Elle sautillait
légèrement d’un pied sur l’autre en se frottant doucement les fesses et en
reniflant pour ravaler ses larmes. Elle laissa sa robe retomber, mais,
étonnamment à mes yeux, elle ne remonta pas sa culotte. Au contraire, elle la retira complètement et la déposa sur
le plateau, à coté de la bouteille de champagne et des verres ! Ni mon
mari ni moi n’avions prononcé une parole. Nous ne nous étions même pas
regardés. Le silence se prolongea encore un instant, puis ce fut Monique
elle-même qui le rompit en disant à la cantonade :
« Bon …. Eh ben…
je suppose que cela devait arriver ! J’espère que … tout cela ne changera
rien à notre amitié, Jeanne. »
J’avoue que je ne sais plus très bien comment je m’en suis
sortie, et nous nous sommes retrouvés, mon mari et moi, dans la voiture après
avoir embrassé nos amis. Après quelques minutes de silence, mon mari m’a demandé :
« Tu savais que
ta copine …. ? »
« Bien sur que
non ! »
« En tout cas son
mari est un homme fort agréable, j’ai passé finalement un bon moment avec lui,
en vous attendant »
« Un homme
agréable ! Tu en as de bonnes, je ne suis pas sur que Monique pense comme
toi ! »
« Elle n’a pas
l’air de s’en plaindre vraiment, tu sais. Il ne m’avait pas dit ce qu’il
comptait faire, mais quand il a vu combien vous étiez en retard et quand je
râlais moi aussi il m’avait dit quelque chose du genre « ho, ce n’est pas
si grave, Monique sait ce qu’elle fait, et ce qu’elle risque. Elle fait son
choix !
« Et
alors ? »
« Eh bien,
peut-être que ton amie préfère régler les choses comme cela que risquer des
disputes et des bouderies à n’en plus finir, tu ne penses pas ? »
Sur le moment, j’ai préféré ne pas répondre. J’avais, bien
sur été totalement abasourdie de voir mon amie ainsi traitée. Mais,
curieusement, je n’avais pas été véritablement choquée. Je ne doutais pas un
instant que la fessée qu’elle avait reçu avait été douloureuse pour elle, pour
ses fesses comme pour son amour propre, mais à aucun moment je n’avais eu le
sentiment qu’elle était en quoi que ce soit contrainte. Bien sur, ses fesses
avaient été frappées, et comment. Bien sur elle avait pleurée et gémis de
douleur. Bien sur elle avait du montrer ses fesses non seulement à son amie
intime mais aussi au mari de celle-ci. Mais, en même temps, et même s’il était
mouillée de larmes, son visage m’avait paru étrangement serein quand la fessée
avait été terminée. Si, la veille, on m’avait raconté une histoire pareille,
nul doute que j’aurais été horrifiée qu’une femme puisse être ainsi maltraitée.
Et pourtant, là, je n’avais pas eu le réflexe ni de tenter d’intervenir, ni
même de m’en aller. Qui plus est, moi qui suis plutôt d’un naturel jaloux, je
n’avais même pas été offusqué que mon amie montre ainsi ses fesses à mon
mari ! J’avais été stupéfaite, bien sur. Mais pas vraiment révoltée.
D’ailleurs, je devais bien m’avouer à moi-même que je n’avais pas cherché à
détourner les yeux. Bien au contraire, je n’en avais pas perdu une miette. Et,
pour être vraiment honnête avec moi-même, je devais bien avouer avoir été
étrangement troublée. Je ne pouvais pas me cacher que j’avais senti la pointe
de mes seins durcir, et que, dans la voiture, je les sentais encore dardées et
que, pour dire les choses sans détour, j’avais un peu mouillée ma petite
culotte ! Bien sur, je n’en ai rien
dit à mon mari, mais j’ai eu la certitude que, lui non plus, le spectacle de ce
derrière dénudé et rougi ne l’avait pas laissé indifférent. Avant d’être
arrivée à la maison, ma décision était prise.
A la maison, mon mari m’a gentiment proposé une tisane et il
est allé me la préparer, avec un verre de cognac pour lui. Ni lui, ni moi
n’avons proposé de dîner. Comme me le dirait mon mari le lendemain « qui
fesse dîne ! » Quand il m’a apporté ma tisane, je me suis levée, je
n’ai pas pu le regarder en face, mais j’ai dit, d’une voix que je sentais mal
assurée :
« Tu sais… notre
retard…après tout, Monique n’en était pas la seule responsable … »
« Bien sur, je
m’en doute ! Et tu trouve injuste qu’elle soit la seule à être
punie ? »
« Je … je ne sais
pas …enfin ….eux ce n’est pas pareil …ils ont l’air d’avoir ….. »
« D’avoir l’habitude ?
Je le pense aussi, ce n’était surement pas la première qu’elle la recevait. En
même temps, je suppose qu’il y a bien eu
une première fois pour elle, non ? »
« Oui, surement,
bien sur »
« Et tu pense que
ce devrait être la première pour toi aujourd’hui ma chérie ? »
« Euh .. non
..enfin .. je ne sais pas … tu crois que ….enfin, je crois que .. »
« Tu crois que
quoi, ma chérie ? Il faut que tu le dises pour qu’il n’y ait pas de
malentendu… »
« Je crois que
j’ai mérité …de ..enfin…de recevoir …comme Monique »
« De recevoir
quoi ma chérie ? Cela porte un nom tu sais ! »
« De …de recevoir
une fessée, voilà ! »
« Une fessée de
qui, madame ? »
« De mon mari,
monsieur »
« Et tu la
recevras comment cette fessée ? »
« Ben … comme
Monique … »
« C'est-à-dire ?
Comment elle a été fessée par son mari ton amie Monique ? »
« Elle a été
fessée … cul nu »
« Voilà, c’est
dit ! Viens te mettre en place et en tenue … »
Et j’ai reçu ma première fessée d’épouse. Qui ne fut pas la
dernière !
Comme à votre habitude A., troublant récit que le vôtre ..;)
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Merci
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